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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
e de retour d’assez bonne heure, pour me trouver à l’assemblée de mes parents . Je la trouvai dans sa chambre seule, fort pensiv
côté-là, je dois tâcher de l’oublier par toutes sortes de moyens. Mes parents m’en ouvrent une voie, je l’accepte, dans l’espér
de croire le sacrifice sincère. Je prévois tous les chagrins que mes parents en auront, je prévois le ressentiment d’une fille
l parût y avoir de ma faute. J’allai chez Mademoiselle Grandet où mes parents étaient assemblés avec les siens ; elle me parut
ui fis civilité en entrant, et me mis auprès d’elle. Je laissai à nos parents le soin d’ajuster les articles de notre mariage,
us ; je vous en offre autant de ma part. Il est inutile, dis-je à mes parents , que vous preniez tant de peines pour accommoder
ne croyais pas devoir, en honnête homme, abuser de l’autorité de ses parents , qui me la donnaient malgré elle. Après cela je s
, se déchaîna contre. On lui donna tout le tort de l’aventure, et ses parents lui en voulurent tant de mal, que pour se délivre
, soit par ambition, soit par intérêt, soit par complaisance pour ses parents , ou par tous ces motifs ensemble. Je la fis souve
on, comme elle me l’avait promis. Les promesses et les menaces de ses parents ne purent point l’ébranler ; elle ne voulut jamai
choses, il fut prononcé qu’elle serait remise entre les mains de ses parents , ou dans un couvent à leur choix jusques à sa maj
t mon nom devant elle, et elle ne le prononçait jamais, ni devant ses parents , ni devant leurs amis. Elle ne paraissait pas s’e
le questionnai sur sa famille, je ne m’aperçus pas que nous fussions parents . Je ne lui dis point mon nom, je me crus seulemen
t de sa destinée. J’obligeai les gens de l’ambassadeur d’écrire à mes parents que j’étais mort. Je leur fis mettre dans la lett
de mort, et un extrait de sépulture. Ils le firent, de sorte que mes parents me croient encore présentement en l’autre monde.
s dont je m’acquitterai demain. Le bruit de ma mort se répandit ; mes parents écrivirent tout droit à son Excellence pour en êt
fit ce que j’en avais espéré, d’Ivonne laissa sa nièce en repos. Mes parents cessèrent de m’envoyer de l’argent, mais je n’en
enfin qu’elle et moi serons contents pour le reste de nos jours. Ses parents n’ont plus rien à nous dire. Elle est maîtresse d
eur donner la bénédiction. Il fit plus, il amena avec lui un curé son parent , dont la paroisse n’était qu’à une petite lieue d
olut en dînant de faire connaître leur mariage à d’Ivonne, et à leurs parents avec éclat, ce qui se fit mardi dernier au soir :
-il, ai-je gain de cause à la fin ? Oui, lui dit-elle en riant, votre parent que j’ai laissé là-haut avec Madame votre mère, a
it plaisir : ou plutôt c’est qu’elle avait quelque chose à dire à son parent , qu’elle ne veut pas que je sache ; cela doit êtr
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
ma naissance, mais peu ailleurs, si ce n’est par le moyen de quelques parents que j’ai eus, qui l’ont porté chez les voisins de
rter à Calais, tant pour être mieux soigné, que parce que j’avais des parents en Angleterre, dont je recevais des secours plus
erais les moyens de l’en tirer malgré grilles, serrures, murailles et parents . Elle me répondit toujours du même style, et me f
e démarche, je la fis demander en mariage avec le consentement de mes parents , qui eurent assez de peine à me le donner, quoiqu
s après, parce que je pris la poste comme vous la prîtes ensuite. Mes parents furent étonnés de trouver dans moi un bon catholi
oursuivi, je m’embarquai à Calais et passai en Angleterre auprès d’un parent assez proche qui fait une fort belle figure. J’y
qu’on allait partout à pied sec. J’écrivis de là à Clémence, et à des parents que j’avais qui sollicitaient ma grâce. La premiè
devait rester dans son couvent : je retournai en effet auprès de mon parent . J’y fus plus de trois mois sans avoir aucune de
fit pas grande diligence. Il arriva cependant, et me trouva chez mon parent , il me dit ce que je viens de vous dire en me don
uc de Lutry à cinq grandes lieues de là. J’avais l’honneur d’être son parent et d’en être fort considéré. Quoiqu’il ne fût que
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
lleures maisons d’ici autour, et pourtant moins riche qu’aucun de mes parents  : parce que mon père avait suivi le parti de l’ép
ai même Monsieur l’intendant, à qui je découvris mon chagrin ; et mes parents satisfaits de lui, et me destinant ailleurs, le c
aris, n’ayant plus rien à faire en province, y étant sans emploi. Mes parents m’y retinrent plus qu’ils ne croyaient, n’en ayan
es Frans, je l’ai été, et voilà le secret que j’ai l’obligation à mes parents d’avoir caché, et que je vous supplie tous de ne
faire : il était le plus fort, je lui sacrifiai tout, honneur, vertu, parents , fortune, inclination ; je ne regardais rien que
avions tenu un enfant ensemble : qu’elle avait été abandonnée de ses parents dès le moment de sa naissance, et exposée sur une
que je n’y serais pas, crainte que je ne crusse qu’elle venait de mes parents qui en étaient fort innocents ; ni me la faire do
et qu’à l’égard de son consentement à elle, et de celui de mes autres parents , elles s’étaient promis de me faire passer par-de
la Morin, qui voulaient me suborner : et même contre moi par avis de parents , pour me faire mettre dans un lieu qui répondît d
n tel que Monsieur le commandeur de Villeblain, qui était très proche parent de ma mère, parfaitement honnête homme, et tout à
colère de Madame votre mère : vous me sacrifiez l’indignation de vos parents , ce que vous avez à craindre de leur ressentiment
lu de l’épouser, si elle y voulait consentir, sans en rien dire à mes parents . Je lui fis goûter mes raisons qui étaient, que m
ingt ; et ce fut elle qui le voulut absolument de même. Je n’ai aucun parent , disait-elle, je n’aurai aucun héritier, et si j’
re autres le principal hôte de la maison où Silvie demeurait, et deux parents de Madame Morin entrèrent. Nous soupâmes fort bie
commandeur de Villeblain qui était, comme je vous ai dit, très proche parent de ma mère, vint la voir et dîner au logis. Je lu
que j’ai fait le mariage avec une cousine, et Madame… Vous êtes donc parents , interrompit Silvie ? Oui, Madame, reprit le comm
andeur en l’embrassant, permettez-moi de reconnaître dans vous un bon parent et un véritable père. Il reçut fort honnêtement s
s possible, elle avait cru pouvoir jouer d’artifice pour se faire des parents  : qu’elle en avait un vrai repentir, et que cela
it entrée, ne refuseraient assurément pas de la reconnaître pour leur parente , et de lui dire eux-mêmes ce qu’il venait de lui
s Frans que cela soit ainsi, tant pour ne se point brouiller avec ses parents , que pour conserver la réputation de sa femme, ou
int dans ce temps-là, fit l’affaire. Il la mena chez ma mère comme sa parente , en effet elle l’était, puisqu’il était mon oncle
uché une fort belle fille à Paris qui venait me trouver, sans que ses parents en sussent rien. Qu’il ne fallait pas que j’allas
r dire qu’ils la reverraient bientôt, et qu’elle était allée chez une parente  ; et cela dans l’intention de les renvoyer l’un e
t bien vrai que les enfants sont souvent punis des iniquités de leurs parents  !) Je porte toute la punition que m’a donnée la n
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
ligée d’aller chez Madame de Contamine, pour une affaire qu’un de ses parents avait avec elle, et qu’il lui avait recommandée.
dmirer. L’affaire que Mademoiselle de Vougy avait entreprise pour son parent , était pour un chemin qui avait été reculé par un
nter d’autant le revenu de sa terre. Cela faisait beaucoup de tort au parent de Mademoiselle de Vougy, dont la terre était d’a
prit-il ; c’est vous qui avez tout fait, et sans vous, ni elle ni son parent n’auraient jamais rien obtenu, ni de ma mère ni d
n avait été si longtemps à la satisfaire, et lui faisant voir que son parent obtenait plus qu’il n’avait demandé. Cette demois
aviez obligée de céder une pièce de terre plus à la bienséance de mon parent  ; ainsi c’est à vous, Monsieur, à qui je dois ren
s pouvez. Elle croira sur ce pied-là, que vos visites seront d’un bon parent  ; et j’espère que vous vivrez avec moi aussi sage
u’elle avait pu, parce qu’il devait se trouver à la Foire avec de ses parents , à qui il était bien aise de la faire voir comme
particulièrement Mademoiselle de Vougy, ajouta-t-elle, elle est votre parente et votre amie ; au nom de Dieu sachez ce qu’on pe
colie. Il se fit auprès du lit d’Angélique. Mademoiselle Dupuis et sa parente s’en retournèrent ensemble : Contamine et les deu
ent d’affaires, Des Frans les informa de ce qu’il avait fait avec ses parents , et de la résolution où il était de s’établir. Du
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
ue vous étiez retourné dans les troupes ; les autres disaient que vos parents appréhendant que vous fissiez à Gallouin une quer
et faisait passer ces conjectures pour des faits certains ; vos seuls parents ne s’expliquaient pas. Madame votre mère même éta
pareil mariage, aussi bien que ceux qui venaient de père et de mère, parents de sang, étaient toujours malheureux dans leur fo
pouvoir de disposer de moi, ayant l’âge qu’il me fallait, et plus de parents à qui je dusse compte de mes actions. Suivant tou
tout le monde en agissait comme lui, les enfants auraient pour leurs parents plus d’égards et de vénération. Car comme il disa
age ; avant cela je m’étais mis en pension chez cette dame qui est ma parente , et pour tout train je n’avais qu’un cocher, un v
u’une fille donne des rendez-vous à un amant, qu’elle voit malgré ses parents , c’est un temps dérobé qu’elle y emploie, mais do
Dupuis et son fils, belle-sœur et neveu du mort, et plusieurs autres parents , qui tous me regardaient comme le maître du logis
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
i à proprement parler ne sont que les victimes de l’ambition de leurs parents  ; ainsi elle regrettait Verville dans le fond de
de prendre tout d’un coup son parti, et de dire qu’elle écrivait à un parent . Cette lettre n’avait rien d’essentiel, n’étant p
e me permettent pas de paraître pendant le jour, ni de rester chez un parent où je couche ; ainsi, dit-il, je ne vous incommod
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
et la chute du corps, dont la bière s’était rompue, firent croire aux parents et à la digne assemblée, que c’était un guet-apen
de nous parler, et nous ne nous étions pas vus depuis son retour. Nos parents furent scandalisés du peu d’union qui était entre
. Il m’envoya quérir, et me dit tout ce qu’un honnête homme et un bon parent peut dire à un jeune homme qui se perd. Il voulut
Monsieur Dupuis, ne furent pas trouvées déraisonnables par mes autres parents , ni par ma mère même. Il y avait plus de quatre m
une, et nous mit mon frère et moi aux épées et aux couteaux. Tous mes parents avaient dîné au logis. Je m’y étais trouvé malgré
l un choix de votre cœur, ou de votre mère ? Est-ce l’autorité de vos parents , ou votre inconstance qui vous arrache à ma tendr
ai-je d’un ton hypocrite, ce religieux qui est un saint homme est mon parent , cousin de ma mère que vous connaissez. Mais puis
tre l’a-t-il encore, de se rendre religieux. Il s’en est ouvert à mon parent , et n’en a été empêché que par la forte remontran
, que malgré l’envie que j’avais de vous mettre l’esprit en repos, le parent de mon ami a tellement combattu mon dessein, qu’i
ue j’en pouvais dire, était qu’il allait encore fort souvent voir mon parent , mais que j’ignorais ce qu’ils traitaient ensembl
n est en droit d’en attendre. Je sais bon gré, ajouta-t-elle, à votre parent de vous avoir détourné de votre première résoluti
vous avoir détourné de votre première résolution. Ce n’est point mon parent qui m’en a détourné, lui répondis-je. C’est, Made
toujours caché avec tant de soin, et que mon intime ami, même proche parent de ma maîtresse, a toujours ignoré, aussi bien qu
l fut donc résolu que j’irais voir cette femme sous un nom déguisé de parent , et que nous prendrions des mesures pour nous voi
Elle ne voit âme qui vive que ses domestiques, et quelques-uns de ses parents , encore si rarement que j’en ai honte moi-même. E
orda. Elle me pria de sauver du moins les apparences en obligeant ses parents de la presser de la même chose : afin qu’elle par
8 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
se touchent dans la main, se donnent mutuellement du riz ; & les parents & amis sont régalés pendant trois jours. Ces
 ; & les parents & amis sont régalés pendant trois jours. Ces parents & amis sont tous de la même famille, qu’ils a
thagore, et croiraient manger l’âme, ou le vêtement de l’âme de leurs parents ou amis s’ils mangeaient quelque chose qui eût eu
ré En état de pure nature, justement comme on peint nos deux premiers parents  : Excepté, qu’au lieu d’une pomme, J’aurais peut
former de lui. Le nom de Martin est très commun : j’ignore s’ils sont parents  ; mais j’ai trouvé des Martins partout ; et, comm
ont on convient ; & ces filles, autorisées de la volonté de leurs parents , se tiennent bien mariées, & gardent la fidél
es esclaves de ceux qui les auraient achetées, &, outre cela, ses parents seraient obligés de rendre à leur prétendu gendre
homme ainsi marié peut, en laissant son argent, rendre sa femme à ses parents , qui la reprennent sans difficulté. S’il y a des
sut qu’il avait une maîtresse. C’est faire bien vite une sottise. Ses parents ne furent nullement contents d’une alliance si pr
lle ; qu’elle avait nettement refusé d entrer dans un couvent, où ses parents à lui s’étaient offert de l’entretenir pour sauve
pitait ; qu’ils avaient voulu agir d’autorité, & par assemblée de parents  ; mais qu’ils n’avaient pas pu réussir, parce que
priait de me charger d’un paquet de plusieurs lettres, tant pour ses parents que pour cet ami. Je l ai fait : j’ai ce paquet ;
inq ans. Sa veuve était au chevet, ses enfants à ses pieds, & ses parents à ses côtés, sans proférer une seule parole &
arrivé, la femme se leva la première, les enfants ensuite, & les parents après ; car ils étaient tous assis sur leurs talo
de ridicules demandes, ce fils se laissa tomber, & resta avec les parents , qui étaient debout dans un silence & un repo
nviron un gros quart d’heure. Après cet espace de temps, un des vieux parents , portant la parole au fils, lui dit : Ton père ne
de diable avec des tambours de basque & d autres instruments. Les parents suivirent, & ensuite vint le corps, porté, co
té dessus. Ce riz est porté à la veuve du défunt, ou à sa plus proche parente , qui le lait cuire, et le renvoie ou l’apporte ap
ace de temps vagabonde, & pourtant vivant toujours aux dépens des parents du dernier corps dont elle était sortie ? L’un me
amp; bien plus étincelante. Sitôt qu’il les a en main, le plus proche parent prend le pot dans lequel l’eau avait été apportée
sa maison ; mais, les jésuites se sont moqués de ce qu’eux & les parents de la défunte, qui espéraient être ses héritiers,
emiers actes ; et, au cinquième, pour éviter tout le scandale, malgré parents et amis de la belle, malgré les jaloux et l’indis
ue si j’avais su quelle était cette Marie Coignet j’aurais averti ses parents de prendre part à sa conduite, & leur aurais
pourrait dire, si elle était arrêtée, qu elle se sauvait des mains de parents tyranniques ; qu’ainsi il n’y avait rien à craind
an de ce qu’elle devait faire ; & elle l’a fort bien exécuté. Son parent était un gros caissier, toujours fourni d’or, d’a
s pas. Quoi qu’il en soit, elle dit à celui-ci : Qu’elle était née de parents très nobles & de bonne maison, mais pauvre. E
e. Elle lui dit son nom & celui du lieu de sa naissance ; que ses parents & elle avaient toujours fait profession de la
assez pour y subsister ; jusqu’à ce qu’elle reçût des secours de ses parents , elle était résolue de s’humilier au travail le p
s parmi eux, lesquels, malgré les défenses, ayant commerce avec leurs parents & leur nation, les informent de tout, sans qu
& y a gagné la seigneurie de la Planche, qui le distingue de ses parents , ou autres de même noM. Les rendez-vous journalie
nous taire. Outre cela, il mène sur son vaisseau une très belle dame, parente fort proche de Mme la marquise de Mainte-non. C’e
9 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
aventure D’espérer une sépulture. On parle à ses amis, on parle à ses parents . Cela console en quelque sorte Mais se voir dévor
on mariage. L’infidélité ou la bassesse d’un amant, l’indignation des parents , la crainte de passer pour infâmes peuvent pousse
ous le bras comme pour la soutenir, l’emmène chez lui et y régale les parents et amis pendant trois jours. Il faut savoir que p
égale les parents et amis pendant trois jours. Il faut savoir que par parents et amis j’entends les gens de même famille qu’ils
ers en état de pure nature Justement comme on peint nos deux premiers parents et je ne croirais point par celte démarche avoir
eulement esclaves du roi régnant, étant la coutume de ce pays que les parents d’un criminel d’Etat sont faits esclaves du princ
nts d’un criminel d’Etat sont faits esclaves du prince après que leur parent a payé de sa vie, si ce n’est qu’ils soient impli
rix dont on convient, et les filles autorisées de la volonté de leurs parents se tiennent bien mariées et sont fidèles ; et si
ent les esclaves de ceux qui les auraient achetées, et outre cela les parents seraient obligés de rendre à leur prétendu gendre
e cette manière-là, peut, quand bon lui semble, rendre sa femme à ses parents qui la reprennent sans difficulté, et avec elle l
e découvert. Sa femme était au chevet, ses enfants à ses pieds et ses parents à ses côtés, tous assis sur leurs talons sans dir
rt d’heure après que j’y fus arrivé la femme se leva la première, les parents ensuite et les enfants après. Ils firent leurs ha
mandes impertinentes, il se laisse tomber à terre et demeure avec les parents dans un silence et un repos qui les ferait plutôt
autres instruments qui font un charivari de diable. Après ceux-ci les parents , après les parents le corps porté comme je vous a
qui font un charivari de diable. Après ceux-ci les parents, après les parents le corps porté comme je vous ai dit par huit homm
core de l’eau dessus comme la première fois. Tous les assistants tant parents qu’autres font la même chose que le vieillard et
bois de senteur tel qu’ils l’ont. D’abord que le feu est pris, un des parents prend le pot à l’eau, y fait trois trous par où c
de dessus le corps du mort, à la femme du défunt ou à sa plus proche parente , qui le fait cuire et le renvoie avec de l’eau da
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
e, chacun lui ouvre la porte, il est bien reçu partout, et trouve des parents où il n’en cherchait pas ; nul n’a honte de paren
ut, et trouve des parents où il n’en cherchait pas ; nul n’a honte de parents vicieux pourvu qu’ils soient riches. Bref, tant y
11 (1721) Mémoires
s autres, ce n’était que le seul intérêt temporel, parce que lui, ses parents , son indigne société, et la Maintenon, ministre p
urs. Le Roi est naturellement leur père, ou il devrait l’être ; leurs parents doivent avoir soin de leur éducation et de leur b
les économes et non pas les propriétaires. Ils en enrichissent leurs parents , en dotent leurs nièces, et enfin en font tout un
appelle cela une justice prompte et véritablement prévotale ; et ses parents apprirent avec surprise dans le même temps sa pri
maîtresse parée comme une poupée trouver le curé accompagnés de leurs parents mutuels, et en présence de tout le monde lui dema
l parla très mal de M. Colbert à son épouse. A leur arrivée, tous les parents de M. Fouquet supplièrent Madame la Dauphine d’ob
apport aux services qu’il aurait pu rendre, non à ses amis, non à ses parents , mais au Roi et à la France, qui étaient à la dis
s la fit venir auprès d’elle, et la traita comme si elle avait été sa parente . Elle la faisait manger à sa table, et sa charité
qui ne refusa pas le parti, mais la difficulté fut à lui trouver des parents morts dont les noms cadrassent à son extrait bapt
sont certainement point blâmables, entretiennent commerce avec leurs parents par la Suisse, Genève, etc. Ainsi lesAnglais et l
t de chambre étaient dans mes intérêts. Le hasard voulut qu’un de mes parents était mort il n’y avait que huit jours. Il m’étai
n demanda au comte d’Evreux son fils s’il avait été rendre visite aux parents de sa future épouse. Il lui répondit que oui. — J
inhumer dans l’église aucun cadavre de quelque qualité que soient ses parents vivants, ou de quelque qualité qu’il ait été pend
es du pays qui épouseraient des Français, parce que, par le moyen des parents de ces femmes, ils seront instruits de tout ce qu
re tous les jours. Il faut même s’appliquer à gagner la confiance des parents de ces sauvagesses francisées, parce que ce sont
continuer mes remarques. Je ne savais point encore que La Boulaye fût parent de M. de Villefranche. Je crus que c’était un off
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
cette femme fût toute enterrée dans sa maison, ne voyant pas même ses parents les plus proches, c’est-à-dire son père et sa mèr
, parce que son mari était mort en la défendant ; ou que du moins les parents de son mari, qui étaient à Paris, ne la laisserai
ui l’empêcherait de regretter la dame qu’elle allait chercher, et les parents de son mari. L’Italienne accepta promptement le p
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
ient trop abîmés dans leur tristesse pour songer à plaisanter. Un des parents de la défunte entre autres, s’approcha de l’indis
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
ir qui que ce fût. Chacun se retira donc : la marquise coucha avec sa parente qui avait raconté l’histoire de Silvie, et que no
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
avait à faire ; c’est-à-dire de mander au duc de Médoc qui était son parent , l’état de toutes choses, et le prier de venir lu
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
de lui. Il fut en même temps surpris et réjoui de voir la duchesse sa parente  ; il frémit du péril qu’elle avait couru, et eut
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
le duc d’Albuquerque de passer chez elle ; et celui-ci qui était son parent fort proche, y allait, et y menait son épouse, qu
18 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
nce que leurs héros ou leurs héroïnes apportent à la volonté de leurs parents , en faveur de leurs maîtresses ou de leurs amants
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
et c’est Monsieur le Président… qui est mon juge. Ils sont tous deux parents et intimes amis de Sainville ; il peut tout sur e
e ordre à leurs affaires ; et la marquise, dont j’ai l’honneur d’être parente de fort proche, m’ayant fait connaître qu’elle so
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
i pour lui faire obtenir cette grâce. La marquise qui vit bien que sa parente ne demandait pas mieux, y consentit de la meilleu
21 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
votre absence ? Oui, reprit Des Frans, je me rends à mes amis, à mes parents , et à moi-même, en me rendant à ma patrie, dont m
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
e comte du Chirou qui ne voulait point quitter la belle Provençale sa parente . Sainville ne voulait pas non plus abandonner Sil
23 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
cateur. Il me prêcha sur l’obéissance que les enfants doivent à leurs parents  ; il me fit voir les malheurs arrivés à ceux qui
coup plus que les autres gens mariés. En effet, dit-il, ceux dont les parents ont fait le mariage, ont quelque sujet de se plai
ue presque toutes ces sortes de mariages faits à l’insu ou malgré les parents , ne sont jamais heureux. Monsieur Des Prez en est
24 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
fait plusieurs voyages de long cours, et a épousé à la Martinique une parente de Mme la marquise de Maintenon. C’est un bel end
enture, D’espérer une sépulture ! On parle à ses amis, on parle à ses parents  : Cela console en quelque sorte ; Mais se voir dé
ssaire : leurs enfants ne seraient point infectés des crimes de leurs parents , et peu à peu il s’en formerait d’honnêtes gens.
evant sans aucune fête. Lorsque ces enfants sont en âge nubile, leurs parents leur cherchent parti ; et ce sont ordinairement l
t. Le mari se lève le premier ; et, après avoir embrassé et salué les parents et parentes de sa femme, il retourne relever sa m
se lève le premier ; et, après avoir embrassé et salué les parents et parentes de sa femme, il retourne relever sa mariée, resté
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