e de retour d’assez bonne heure, pour me trouver à l’assemblée de mes
parents
. Je la trouvai dans sa chambre seule, fort pensiv
côté-là, je dois tâcher de l’oublier par toutes sortes de moyens. Mes
parents
m’en ouvrent une voie, je l’accepte, dans l’espér
de croire le sacrifice sincère. Je prévois tous les chagrins que mes
parents
en auront, je prévois le ressentiment d’une fille
l parût y avoir de ma faute. J’allai chez Mademoiselle Grandet où mes
parents
étaient assemblés avec les siens ; elle me parut
ui fis civilité en entrant, et me mis auprès d’elle. Je laissai à nos
parents
le soin d’ajuster les articles de notre mariage,
us ; je vous en offre autant de ma part. Il est inutile, dis-je à mes
parents
, que vous preniez tant de peines pour accommoder
ne croyais pas devoir, en honnête homme, abuser de l’autorité de ses
parents
, qui me la donnaient malgré elle. Après cela je s
, se déchaîna contre. On lui donna tout le tort de l’aventure, et ses
parents
lui en voulurent tant de mal, que pour se délivre
, soit par ambition, soit par intérêt, soit par complaisance pour ses
parents
, ou par tous ces motifs ensemble. Je la fis souve
on, comme elle me l’avait promis. Les promesses et les menaces de ses
parents
ne purent point l’ébranler ; elle ne voulut jamai
choses, il fut prononcé qu’elle serait remise entre les mains de ses
parents
, ou dans un couvent à leur choix jusques à sa maj
t mon nom devant elle, et elle ne le prononçait jamais, ni devant ses
parents
, ni devant leurs amis. Elle ne paraissait pas s’e
le questionnai sur sa famille, je ne m’aperçus pas que nous fussions
parents
. Je ne lui dis point mon nom, je me crus seulemen
t de sa destinée. J’obligeai les gens de l’ambassadeur d’écrire à mes
parents
que j’étais mort. Je leur fis mettre dans la lett
de mort, et un extrait de sépulture. Ils le firent, de sorte que mes
parents
me croient encore présentement en l’autre monde.
s dont je m’acquitterai demain. Le bruit de ma mort se répandit ; mes
parents
écrivirent tout droit à son Excellence pour en êt
fit ce que j’en avais espéré, d’Ivonne laissa sa nièce en repos. Mes
parents
cessèrent de m’envoyer de l’argent, mais je n’en
enfin qu’elle et moi serons contents pour le reste de nos jours. Ses
parents
n’ont plus rien à nous dire. Elle est maîtresse d
eur donner la bénédiction. Il fit plus, il amena avec lui un curé son
parent
, dont la paroisse n’était qu’à une petite lieue d
olut en dînant de faire connaître leur mariage à d’Ivonne, et à leurs
parents
avec éclat, ce qui se fit mardi dernier au soir :
-il, ai-je gain de cause à la fin ? Oui, lui dit-elle en riant, votre
parent
que j’ai laissé là-haut avec Madame votre mère, a
it plaisir : ou plutôt c’est qu’elle avait quelque chose à dire à son
parent
, qu’elle ne veut pas que je sache ; cela doit êtr
ma naissance, mais peu ailleurs, si ce n’est par le moyen de quelques
parents
que j’ai eus, qui l’ont porté chez les voisins de
rter à Calais, tant pour être mieux soigné, que parce que j’avais des
parents
en Angleterre, dont je recevais des secours plus
erais les moyens de l’en tirer malgré grilles, serrures, murailles et
parents
. Elle me répondit toujours du même style, et me f
e démarche, je la fis demander en mariage avec le consentement de mes
parents
, qui eurent assez de peine à me le donner, quoiqu
s après, parce que je pris la poste comme vous la prîtes ensuite. Mes
parents
furent étonnés de trouver dans moi un bon catholi
oursuivi, je m’embarquai à Calais et passai en Angleterre auprès d’un
parent
assez proche qui fait une fort belle figure. J’y
qu’on allait partout à pied sec. J’écrivis de là à Clémence, et à des
parents
que j’avais qui sollicitaient ma grâce. La premiè
devait rester dans son couvent : je retournai en effet auprès de mon
parent
. J’y fus plus de trois mois sans avoir aucune de
fit pas grande diligence. Il arriva cependant, et me trouva chez mon
parent
, il me dit ce que je viens de vous dire en me don
uc de Lutry à cinq grandes lieues de là. J’avais l’honneur d’être son
parent
et d’en être fort considéré. Quoiqu’il ne fût que
lleures maisons d’ici autour, et pourtant moins riche qu’aucun de mes
parents
: parce que mon père avait suivi le parti de l’ép
ai même Monsieur l’intendant, à qui je découvris mon chagrin ; et mes
parents
satisfaits de lui, et me destinant ailleurs, le c
aris, n’ayant plus rien à faire en province, y étant sans emploi. Mes
parents
m’y retinrent plus qu’ils ne croyaient, n’en ayan
es Frans, je l’ai été, et voilà le secret que j’ai l’obligation à mes
parents
d’avoir caché, et que je vous supplie tous de ne
faire : il était le plus fort, je lui sacrifiai tout, honneur, vertu,
parents
, fortune, inclination ; je ne regardais rien que
avions tenu un enfant ensemble : qu’elle avait été abandonnée de ses
parents
dès le moment de sa naissance, et exposée sur une
que je n’y serais pas, crainte que je ne crusse qu’elle venait de mes
parents
qui en étaient fort innocents ; ni me la faire do
et qu’à l’égard de son consentement à elle, et de celui de mes autres
parents
, elles s’étaient promis de me faire passer par-de
la Morin, qui voulaient me suborner : et même contre moi par avis de
parents
, pour me faire mettre dans un lieu qui répondît d
n tel que Monsieur le commandeur de Villeblain, qui était très proche
parent
de ma mère, parfaitement honnête homme, et tout à
colère de Madame votre mère : vous me sacrifiez l’indignation de vos
parents
, ce que vous avez à craindre de leur ressentiment
lu de l’épouser, si elle y voulait consentir, sans en rien dire à mes
parents
. Je lui fis goûter mes raisons qui étaient, que m
ingt ; et ce fut elle qui le voulut absolument de même. Je n’ai aucun
parent
, disait-elle, je n’aurai aucun héritier, et si j’
re autres le principal hôte de la maison où Silvie demeurait, et deux
parents
de Madame Morin entrèrent. Nous soupâmes fort bie
commandeur de Villeblain qui était, comme je vous ai dit, très proche
parent
de ma mère, vint la voir et dîner au logis. Je lu
que j’ai fait le mariage avec une cousine, et Madame… Vous êtes donc
parents
, interrompit Silvie ? Oui, Madame, reprit le comm
andeur en l’embrassant, permettez-moi de reconnaître dans vous un bon
parent
et un véritable père. Il reçut fort honnêtement s
s possible, elle avait cru pouvoir jouer d’artifice pour se faire des
parents
: qu’elle en avait un vrai repentir, et que cela
it entrée, ne refuseraient assurément pas de la reconnaître pour leur
parente
, et de lui dire eux-mêmes ce qu’il venait de lui
s Frans que cela soit ainsi, tant pour ne se point brouiller avec ses
parents
, que pour conserver la réputation de sa femme, ou
int dans ce temps-là, fit l’affaire. Il la mena chez ma mère comme sa
parente
, en effet elle l’était, puisqu’il était mon oncle
uché une fort belle fille à Paris qui venait me trouver, sans que ses
parents
en sussent rien. Qu’il ne fallait pas que j’allas
r dire qu’ils la reverraient bientôt, et qu’elle était allée chez une
parente
; et cela dans l’intention de les renvoyer l’un e
t bien vrai que les enfants sont souvent punis des iniquités de leurs
parents
!) Je porte toute la punition que m’a donnée la n
ligée d’aller chez Madame de Contamine, pour une affaire qu’un de ses
parents
avait avec elle, et qu’il lui avait recommandée.
dmirer. L’affaire que Mademoiselle de Vougy avait entreprise pour son
parent
, était pour un chemin qui avait été reculé par un
nter d’autant le revenu de sa terre. Cela faisait beaucoup de tort au
parent
de Mademoiselle de Vougy, dont la terre était d’a
prit-il ; c’est vous qui avez tout fait, et sans vous, ni elle ni son
parent
n’auraient jamais rien obtenu, ni de ma mère ni d
n avait été si longtemps à la satisfaire, et lui faisant voir que son
parent
obtenait plus qu’il n’avait demandé. Cette demois
aviez obligée de céder une pièce de terre plus à la bienséance de mon
parent
; ainsi c’est à vous, Monsieur, à qui je dois ren
s pouvez. Elle croira sur ce pied-là, que vos visites seront d’un bon
parent
; et j’espère que vous vivrez avec moi aussi sage
u’elle avait pu, parce qu’il devait se trouver à la Foire avec de ses
parents
, à qui il était bien aise de la faire voir comme
particulièrement Mademoiselle de Vougy, ajouta-t-elle, elle est votre
parente
et votre amie ; au nom de Dieu sachez ce qu’on pe
colie. Il se fit auprès du lit d’Angélique. Mademoiselle Dupuis et sa
parente
s’en retournèrent ensemble : Contamine et les deu
ent d’affaires, Des Frans les informa de ce qu’il avait fait avec ses
parents
, et de la résolution où il était de s’établir. Du
ue vous étiez retourné dans les troupes ; les autres disaient que vos
parents
appréhendant que vous fissiez à Gallouin une quer
et faisait passer ces conjectures pour des faits certains ; vos seuls
parents
ne s’expliquaient pas. Madame votre mère même éta
pareil mariage, aussi bien que ceux qui venaient de père et de mère,
parents
de sang, étaient toujours malheureux dans leur fo
pouvoir de disposer de moi, ayant l’âge qu’il me fallait, et plus de
parents
à qui je dusse compte de mes actions. Suivant tou
tout le monde en agissait comme lui, les enfants auraient pour leurs
parents
plus d’égards et de vénération. Car comme il disa
age ; avant cela je m’étais mis en pension chez cette dame qui est ma
parente
, et pour tout train je n’avais qu’un cocher, un v
u’une fille donne des rendez-vous à un amant, qu’elle voit malgré ses
parents
, c’est un temps dérobé qu’elle y emploie, mais do
Dupuis et son fils, belle-sœur et neveu du mort, et plusieurs autres
parents
, qui tous me regardaient comme le maître du logis
i à proprement parler ne sont que les victimes de l’ambition de leurs
parents
; ainsi elle regrettait Verville dans le fond de
de prendre tout d’un coup son parti, et de dire qu’elle écrivait à un
parent
. Cette lettre n’avait rien d’essentiel, n’étant p
e me permettent pas de paraître pendant le jour, ni de rester chez un
parent
où je couche ; ainsi, dit-il, je ne vous incommod
et la chute du corps, dont la bière s’était rompue, firent croire aux
parents
et à la digne assemblée, que c’était un guet-apen
de nous parler, et nous ne nous étions pas vus depuis son retour. Nos
parents
furent scandalisés du peu d’union qui était entre
. Il m’envoya quérir, et me dit tout ce qu’un honnête homme et un bon
parent
peut dire à un jeune homme qui se perd. Il voulut
Monsieur Dupuis, ne furent pas trouvées déraisonnables par mes autres
parents
, ni par ma mère même. Il y avait plus de quatre m
une, et nous mit mon frère et moi aux épées et aux couteaux. Tous mes
parents
avaient dîné au logis. Je m’y étais trouvé malgré
l un choix de votre cœur, ou de votre mère ? Est-ce l’autorité de vos
parents
, ou votre inconstance qui vous arrache à ma tendr
ai-je d’un ton hypocrite, ce religieux qui est un saint homme est mon
parent
, cousin de ma mère que vous connaissez. Mais puis
tre l’a-t-il encore, de se rendre religieux. Il s’en est ouvert à mon
parent
, et n’en a été empêché que par la forte remontran
, que malgré l’envie que j’avais de vous mettre l’esprit en repos, le
parent
de mon ami a tellement combattu mon dessein, qu’i
ue j’en pouvais dire, était qu’il allait encore fort souvent voir mon
parent
, mais que j’ignorais ce qu’ils traitaient ensembl
n est en droit d’en attendre. Je sais bon gré, ajouta-t-elle, à votre
parent
de vous avoir détourné de votre première résoluti
vous avoir détourné de votre première résolution. Ce n’est point mon
parent
qui m’en a détourné, lui répondis-je. C’est, Made
toujours caché avec tant de soin, et que mon intime ami, même proche
parent
de ma maîtresse, a toujours ignoré, aussi bien qu
l fut donc résolu que j’irais voir cette femme sous un nom déguisé de
parent
, et que nous prendrions des mesures pour nous voi
Elle ne voit âme qui vive que ses domestiques, et quelques-uns de ses
parents
, encore si rarement que j’en ai honte moi-même. E
orda. Elle me pria de sauver du moins les apparences en obligeant ses
parents
de la presser de la même chose : afin qu’elle par
se touchent dans la main, se donnent mutuellement du riz ; & les
parents
& amis sont régalés pendant trois jours. Ces
; & les parents & amis sont régalés pendant trois jours. Ces
parents
& amis sont tous de la même famille, qu’ils a
thagore, et croiraient manger l’âme, ou le vêtement de l’âme de leurs
parents
ou amis s’ils mangeaient quelque chose qui eût eu
ré En état de pure nature, justement comme on peint nos deux premiers
parents
: Excepté, qu’au lieu d’une pomme, J’aurais peut
former de lui. Le nom de Martin est très commun : j’ignore s’ils sont
parents
; mais j’ai trouvé des Martins partout ; et, comm
ont on convient ; & ces filles, autorisées de la volonté de leurs
parents
, se tiennent bien mariées, & gardent la fidél
es esclaves de ceux qui les auraient achetées, &, outre cela, ses
parents
seraient obligés de rendre à leur prétendu gendre
homme ainsi marié peut, en laissant son argent, rendre sa femme à ses
parents
, qui la reprennent sans difficulté. S’il y a des
sut qu’il avait une maîtresse. C’est faire bien vite une sottise. Ses
parents
ne furent nullement contents d’une alliance si pr
lle ; qu’elle avait nettement refusé d entrer dans un couvent, où ses
parents
à lui s’étaient offert de l’entretenir pour sauve
pitait ; qu’ils avaient voulu agir d’autorité, & par assemblée de
parents
; mais qu’ils n’avaient pas pu réussir, parce que
priait de me charger d’un paquet de plusieurs lettres, tant pour ses
parents
que pour cet ami. Je l ai fait : j’ai ce paquet ;
inq ans. Sa veuve était au chevet, ses enfants à ses pieds, & ses
parents
à ses côtés, sans proférer une seule parole &
arrivé, la femme se leva la première, les enfants ensuite, & les
parents
après ; car ils étaient tous assis sur leurs talo
de ridicules demandes, ce fils se laissa tomber, & resta avec les
parents
, qui étaient debout dans un silence & un repo
nviron un gros quart d’heure. Après cet espace de temps, un des vieux
parents
, portant la parole au fils, lui dit : Ton père ne
de diable avec des tambours de basque & d autres instruments. Les
parents
suivirent, & ensuite vint le corps, porté, co
té dessus. Ce riz est porté à la veuve du défunt, ou à sa plus proche
parente
, qui le lait cuire, et le renvoie ou l’apporte ap
ace de temps vagabonde, & pourtant vivant toujours aux dépens des
parents
du dernier corps dont elle était sortie ? L’un me
amp; bien plus étincelante. Sitôt qu’il les a en main, le plus proche
parent
prend le pot dans lequel l’eau avait été apportée
sa maison ; mais, les jésuites se sont moqués de ce qu’eux & les
parents
de la défunte, qui espéraient être ses héritiers,
emiers actes ; et, au cinquième, pour éviter tout le scandale, malgré
parents
et amis de la belle, malgré les jaloux et l’indis
ue si j’avais su quelle était cette Marie Coignet j’aurais averti ses
parents
de prendre part à sa conduite, & leur aurais
pourrait dire, si elle était arrêtée, qu elle se sauvait des mains de
parents
tyranniques ; qu’ainsi il n’y avait rien à craind
an de ce qu’elle devait faire ; & elle l’a fort bien exécuté. Son
parent
était un gros caissier, toujours fourni d’or, d’a
s pas. Quoi qu’il en soit, elle dit à celui-ci : Qu’elle était née de
parents
très nobles & de bonne maison, mais pauvre. E
e. Elle lui dit son nom & celui du lieu de sa naissance ; que ses
parents
& elle avaient toujours fait profession de la
assez pour y subsister ; jusqu’à ce qu’elle reçût des secours de ses
parents
, elle était résolue de s’humilier au travail le p
s parmi eux, lesquels, malgré les défenses, ayant commerce avec leurs
parents
& leur nation, les informent de tout, sans qu
& y a gagné la seigneurie de la Planche, qui le distingue de ses
parents
, ou autres de même noM. Les rendez-vous journalie
nous taire. Outre cela, il mène sur son vaisseau une très belle dame,
parente
fort proche de Mme la marquise de Mainte-non. C’e
aventure D’espérer une sépulture. On parle à ses amis, on parle à ses
parents
. Cela console en quelque sorte Mais se voir dévor
on mariage. L’infidélité ou la bassesse d’un amant, l’indignation des
parents
, la crainte de passer pour infâmes peuvent pousse
ous le bras comme pour la soutenir, l’emmène chez lui et y régale les
parents
et amis pendant trois jours. Il faut savoir que p
égale les parents et amis pendant trois jours. Il faut savoir que par
parents
et amis j’entends les gens de même famille qu’ils
ers en état de pure nature Justement comme on peint nos deux premiers
parents
et je ne croirais point par celte démarche avoir
eulement esclaves du roi régnant, étant la coutume de ce pays que les
parents
d’un criminel d’Etat sont faits esclaves du princ
nts d’un criminel d’Etat sont faits esclaves du prince après que leur
parent
a payé de sa vie, si ce n’est qu’ils soient impli
rix dont on convient, et les filles autorisées de la volonté de leurs
parents
se tiennent bien mariées et sont fidèles ; et si
ent les esclaves de ceux qui les auraient achetées, et outre cela les
parents
seraient obligés de rendre à leur prétendu gendre
e cette manière-là, peut, quand bon lui semble, rendre sa femme à ses
parents
qui la reprennent sans difficulté, et avec elle l
e découvert. Sa femme était au chevet, ses enfants à ses pieds et ses
parents
à ses côtés, tous assis sur leurs talons sans dir
rt d’heure après que j’y fus arrivé la femme se leva la première, les
parents
ensuite et les enfants après. Ils firent leurs ha
mandes impertinentes, il se laisse tomber à terre et demeure avec les
parents
dans un silence et un repos qui les ferait plutôt
autres instruments qui font un charivari de diable. Après ceux-ci les
parents
, après les parents le corps porté comme je vous a
qui font un charivari de diable. Après ceux-ci les parents, après les
parents
le corps porté comme je vous ai dit par huit homm
core de l’eau dessus comme la première fois. Tous les assistants tant
parents
qu’autres font la même chose que le vieillard et
bois de senteur tel qu’ils l’ont. D’abord que le feu est pris, un des
parents
prend le pot à l’eau, y fait trois trous par où c
de dessus le corps du mort, à la femme du défunt ou à sa plus proche
parente
, qui le fait cuire et le renvoie avec de l’eau da
e, chacun lui ouvre la porte, il est bien reçu partout, et trouve des
parents
où il n’en cherchait pas ; nul n’a honte de paren
ut, et trouve des parents où il n’en cherchait pas ; nul n’a honte de
parents
vicieux pourvu qu’ils soient riches. Bref, tant y
s autres, ce n’était que le seul intérêt temporel, parce que lui, ses
parents
, son indigne société, et la Maintenon, ministre p
urs. Le Roi est naturellement leur père, ou il devrait l’être ; leurs
parents
doivent avoir soin de leur éducation et de leur b
les économes et non pas les propriétaires. Ils en enrichissent leurs
parents
, en dotent leurs nièces, et enfin en font tout un
appelle cela une justice prompte et véritablement prévotale ; et ses
parents
apprirent avec surprise dans le même temps sa pri
maîtresse parée comme une poupée trouver le curé accompagnés de leurs
parents
mutuels, et en présence de tout le monde lui dema
l parla très mal de M. Colbert à son épouse. A leur arrivée, tous les
parents
de M. Fouquet supplièrent Madame la Dauphine d’ob
apport aux services qu’il aurait pu rendre, non à ses amis, non à ses
parents
, mais au Roi et à la France, qui étaient à la dis
s la fit venir auprès d’elle, et la traita comme si elle avait été sa
parente
. Elle la faisait manger à sa table, et sa charité
qui ne refusa pas le parti, mais la difficulté fut à lui trouver des
parents
morts dont les noms cadrassent à son extrait bapt
sont certainement point blâmables, entretiennent commerce avec leurs
parents
par la Suisse, Genève, etc. Ainsi lesAnglais et l
t de chambre étaient dans mes intérêts. Le hasard voulut qu’un de mes
parents
était mort il n’y avait que huit jours. Il m’étai
n demanda au comte d’Evreux son fils s’il avait été rendre visite aux
parents
de sa future épouse. Il lui répondit que oui. — J
inhumer dans l’église aucun cadavre de quelque qualité que soient ses
parents
vivants, ou de quelque qualité qu’il ait été pend
es du pays qui épouseraient des Français, parce que, par le moyen des
parents
de ces femmes, ils seront instruits de tout ce qu
re tous les jours. Il faut même s’appliquer à gagner la confiance des
parents
de ces sauvagesses francisées, parce que ce sont
continuer mes remarques. Je ne savais point encore que La Boulaye fût
parent
de M. de Villefranche. Je crus que c’était un off
cette femme fût toute enterrée dans sa maison, ne voyant pas même ses
parents
les plus proches, c’est-à-dire son père et sa mèr
, parce que son mari était mort en la défendant ; ou que du moins les
parents
de son mari, qui étaient à Paris, ne la laisserai
ui l’empêcherait de regretter la dame qu’elle allait chercher, et les
parents
de son mari. L’Italienne accepta promptement le p
ient trop abîmés dans leur tristesse pour songer à plaisanter. Un des
parents
de la défunte entre autres, s’approcha de l’indis
ir qui que ce fût. Chacun se retira donc : la marquise coucha avec sa
parente
qui avait raconté l’histoire de Silvie, et que no
avait à faire ; c’est-à-dire de mander au duc de Médoc qui était son
parent
, l’état de toutes choses, et le prier de venir lu
de lui. Il fut en même temps surpris et réjoui de voir la duchesse sa
parente
; il frémit du péril qu’elle avait couru, et eut
le duc d’Albuquerque de passer chez elle ; et celui-ci qui était son
parent
fort proche, y allait, et y menait son épouse, qu
nce que leurs héros ou leurs héroïnes apportent à la volonté de leurs
parents
, en faveur de leurs maîtresses ou de leurs amants
et c’est Monsieur le Président… qui est mon juge. Ils sont tous deux
parents
et intimes amis de Sainville ; il peut tout sur e
e ordre à leurs affaires ; et la marquise, dont j’ai l’honneur d’être
parente
de fort proche, m’ayant fait connaître qu’elle so
i pour lui faire obtenir cette grâce. La marquise qui vit bien que sa
parente
ne demandait pas mieux, y consentit de la meilleu
votre absence ? Oui, reprit Des Frans, je me rends à mes amis, à mes
parents
, et à moi-même, en me rendant à ma patrie, dont m
e comte du Chirou qui ne voulait point quitter la belle Provençale sa
parente
. Sainville ne voulait pas non plus abandonner Sil
cateur. Il me prêcha sur l’obéissance que les enfants doivent à leurs
parents
; il me fit voir les malheurs arrivés à ceux qui
coup plus que les autres gens mariés. En effet, dit-il, ceux dont les
parents
ont fait le mariage, ont quelque sujet de se plai
ue presque toutes ces sortes de mariages faits à l’insu ou malgré les
parents
, ne sont jamais heureux. Monsieur Des Prez en est
fait plusieurs voyages de long cours, et a épousé à la Martinique une
parente
de Mme la marquise de Maintenon. C’est un bel end
enture, D’espérer une sépulture ! On parle à ses amis, on parle à ses
parents
: Cela console en quelque sorte ; Mais se voir dé
ssaire : leurs enfants ne seraient point infectés des crimes de leurs
parents
, et peu à peu il s’en formerait d’honnêtes gens.
evant sans aucune fête. Lorsque ces enfants sont en âge nubile, leurs
parents
leur cherchent parti ; et ce sont ordinairement l
t. Le mari se lève le premier ; et, après avoir embrassé et salué les
parents
et parentes de sa femme, il retourne relever sa m
se lève le premier ; et, après avoir embrassé et salué les parents et
parentes
de sa femme, il retourne relever sa mariée, resté
▲