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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ardonnez, Monsieur, à sa jeunesse les injures qu’elle vous a faites ; oubliez tout ce qui s’est passé, et la regardez comme une
vie des fautes qu’elle avait faites, et de supplier son époux de les oublier , et d’y contribuer elle-même par une conduite tou
me que je vous rends, et quoique vous ne la repreniez qu’à ma prière, oubliez que je suis son père, et n’ayez pour elle aucune
utre. Je vous reprends, Madame, lui dit enfin son époux, je consens d’ oublier tout ce qui s’est passé, et je l’oublie bien sinc
nfin son époux, je consens d’oublier tout ce qui s’est passé, et je l’ oublie bien sincèrement, oubliez-le de même, et tâchons
s d’oublier tout ce qui s’est passé, et je l’oublie bien sincèrement, oubliez -le de même, et tâchons vous et moi, de ne nous do
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
les premières avaient si mal réussi : cela m’occupa du temps. J’avais oublié mon bureau, et il était près de trois heures lors
leçon. Le Roi veut que je sois à deux heures dans mon bureau, je ne l’ oublierai pas ; mais je n’oublierai pas non plus que je pui
sois à deux heures dans mon bureau, je ne l’oublierai pas ; mais je n’ oublierai pas non plus que je puis le fermer à midi. Tout c
de l’état où elle était. La compassion réveilla toute ma tendresse. J’ oubliai mes résolutions ; et bien loin de lui dire les du
faisant voir toute l’indignation qu’elle en avait conçue : enfin je n’ oubliai rien pour la rassurer, et lui faire voir qu’elle
ce que Madame avait voulu tout à fait l’humilier. Je lui pardonnai, j’ oubliai son insolence, et bien loin de lui faire tort, je
pant. Eh bien Valeran, lui dis-je, comptez pour deux que je veux bien oublier  : mais soyez certain que la troisième rassemblera
arquis d’Annemasse, vous seriez en droit de vous plaindre, si je vous oubliais lorsque je donne tout. Je vous laisse mon hôtel m
difficultés que je croyais qu’elle m’allait faire ; elle me promit d’ oublier tout : mais poursuivit-elle, ne croyez pas que ce
venir des duretés que vous m’avez dites ; puisque vous voulez bien en oublier le sujet. Nous nous dîmes là-dessus tout ce que n
aindre de vous ; mais enfin les choses sont passées, je consens à les oublier . Je consens même à employer mon crédit pour vous
venger qu’en lâche. Mais non, n’appréhendez rien, j’ai promis de tout oublier , et même de vous rendre service. Je ferai l’un et
de moi qu’avec le respect que vous devez au sang de vos maîtres, et n’ oubliez pas ce que Madame de Cranves et Monsieur le comma
onsieur Des Frans, soit à moi. Allez, poursuivit-elle en se levant, n’ oubliez pas mes leçons, mais oubliez-moi si vous pouvez,
. Allez, poursuivit-elle en se levant, n’oubliez pas mes leçons, mais oubliez -moi si vous pouvez, tant pour mon repos que pour
pas volontaire. Ne me voyez jamais, je vous supplie, aidez-moi à vous oublier  ; ne vous informez point de moi. Je vais me persu
re, et je lui promis sincèrement. Je le priai d’écrire à Silvie que j’ oubliais tout, il le fit, et je signai la lettre ; mais mo
enez-vous du secret que vous m’avez juré, ne le violez pas, ou plutôt oubliez jusqu’à mon nom. Voici la première lettre que vou
is, et tous deux dans un état qui doit faire respecter leur mémoire ; oublions ce qu’ils ont fait pendant leur vie. Monsieur Dup
dit Des Ronais. Vous le devez pour la tranquillité de votre vie, vous oublierez dans les bras de Madame de Mongey toutes les idée
Terny ne contribua pas peu au divertissement. Des Ronais n’avait rien oublié pour bien régaler ses hôtes ; et avait fait les c
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
allait jusqu’à l’effronterie. C’est encore une bonne qualité que j’ai oublié de me donner. J’ai toujours ouï dire qu’on n’avai
elle, que votre attache pour moi ne soit un amusement pour vous faire oublier plus facilement la belle Mademoiselle d’Épinai. V
n de la convaincre était de la faire demander à sa mère ; que je ne l’ oublierais pas, et que je la suppliais de me le permettre. E
dans le monde, et la honte que je me ferais à moi-même, si je m’étais oubliée jusque-là. Ces raisons ne sont bonnes, repris-je,
usse crainte que celle de me voir infidèle : en me la témoignant vous oubliez que vous m’avez dit que vous me croyez honnête ho
une, sans pousser ses droits jusqu’à me prendre pour son jouet. Que j’ oubliais volontiers ce qui s’était passé, et que je le rem
mps, Monsieur, me répondit-elle ; et vous m’avez paru l’avoir si bien oublié vous-même, que je n’ai pas cru devoir m’en souven
ce qui s’est passé entre nous : mais comme vous avez apparemment tout oublié , je suis venu exprès en poste pour vous en faire
 ? Allez, poursuivit-elle, laissez-moi en repos. Contentez-vous que j’ oublie tout ce que j’ai fait, et que je ne porte pas ma
Alaix. Hé quoi, belle Célénie, repris-je dans ce sentiment, avez-vous oublié que vous êtes attachée à moi par des liens qu’il
u’il est de votre honneur de rendre éternels et innocents ? Avez-vous oublié qu’un enfant n’attend que de vous, un droit que D
la nature, et votre honneur vous défendent de lui refuser ? J’ai tout oublié , dit-elle avec dédain. Je ne l’ai pas oublié moi,
lui refuser ? J’ai tout oublié, dit-elle avec dédain. Je ne l’ai pas oublié moi, repris-je à mon tour d’un air fier. Je vois
enacer de la perdre si elle se refusait à la raison, lui promettant d’ oublier tous les engagements qu’elle avait pu prendre ave
ble sur l’article, et la demoiselle étant telle que vous la faites, j’ oublierais mes résolutions, ainsi trouvez bon que je la tien
mon invention ; au contraire j’en ai beaucoup omis, parce que je l’ai oublié . Je conviens qu’elle ne croyait point être entend
sse et avec amour, et qu’enfin j’en triomphai sans aucune peine. Elle oublia tout pour moi, et cette Silvie qui ne m’avait jam
gardez toujours votre secret ; la discrétion est de mérite. Vous avez oublié , Madame, lui dis-je en la retenant, que vous ne v
l’inclination que j’ai eue autrefois pour vous. Je croyais vous avoir oublié , je me trompais ; je n’ai pu résister à l’envie q
s m’avez assurée que vous m’avez toujours aimée, je ne vous ai jamais oublié , et je vous avoue que je vous aime encore ; mais
dia Mousson sous des prétextes inventés, entre lesquels n’était point oubliée la défense qu’elle lui avait faite de ne jamais s
peut-être mort sans secours, si le hasard n’eût voulu que Mousson eût oublié sa serviette dans sa chambre, où elle venait la q
4 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
engagement toute sa vie ; n’y ayant que sa constance qui puisse faire oublier sa fragilité. Celle de Des Prez fait voir à quels
briquets, par la suite des temps deviennent des noms usités, qui font oublier celui du père. Cet abus a infecté Paris, où nous
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
ui faire tout espérer, pourvu qu’elle sût se bien ménager ; elle ne s’ oublia pas. Contamine revint le lendemain ; il croyait t
ne fussiez point connues, vous pourriez en changeant de figure, faire oublier ce que vous êtes à présent ; et pourvu que vous v
voir dans de certains moments qu’elle serait seule, où peut-être elle oublierait toutes ses leçons de sagesse et de vertu. Elle co
t la rencontre qu’elle avait faite de la princesse de Cologny. Elle n’ oublia ni le compliment, ni la réplique, ni l’adieu. Il
se faire rechercher à son tour ; mais l’état où il la trouva lui fit oublier la dureté qu’il avait préméditée. La fièvre qu’el
point avec vous que je veux faire la renchérie, mais en consentant d’ oublier tout ce que vous m’avez fait, je vous prie pour l
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
rillé encore en chien renfermé ; souviens-t’en bien ; on a sans doute oublié exprès la gloutonnie, mais prends-y garde, tu t’e
lle et sur ce qui leur était arrivé. Don Quichotte le raconta sans en oublier la moindre circonstance, et Sancho le certifia pa
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
mblables impertinences y tinrent leur place ; en un mot, rien n’y fut oublié . Sancho qui l’écoutait attentivement, fut ennuyé
peut-être le sage enchanteur qui écrivait leur histoire, et qui n’en oubliait pas une circonstance, serait embarrassé d’entendr
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
que, ma mère ne consentirait pas à me voir religieuse ; qu’il fallait oublier Sainville et le mépriser encore plus qu’il ne me
je restai au lit, et qu’il vint continuellement me voir, je tâchai d’ oublier Sainville, et de m’accoutumer à voir et à aimer s
dans un endroit où elle avait soupé, et qu’on ignore encore. J’avais oublié de vous dire, Madame, que sitôt que ma santé me l
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
s plus belles promesses du monde ; mais que la signature faisait tout oublier . Que pour lui il répondait devant Dieu que sa fil
re moi ! Quand reviendrez-vous ? Ne vous verrai-je plus ? M’avez-vous oubliée  ? Si vous m’aimez autant que vous voulez me le fa
agatelle, reprit-il, vous me teniez l’épée dans les reins, et j’avais oublié que j’étais engagé avec Monsieur Du Pont. Je vous
à Angoulême, résolu d’y rester jusqu’à ce que je l’eusse tout à fait oubliée . Quatre mois n’y ont pas suffi. J’y serais resté
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
e vais-je mener ! Et vous quelle sûreté me donnez-vous de ne me point oublier  ? Dois-je en croire vos lettres et vos serments ?
ressemble pas, je tiendrai mieux ce que je vous ai promis. Je ne vous oublierai jamais ; et dans toutes les amertumes qui vont em
t que son plus grand plaisir était de susciter des querelles, il ne l’ oublia pas. Le gendre qu’il s’était choisi était effecti
11 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
mes n’entendent rien. Il faut parler de tous séparément, & ne pas oublier les esclaves ou Lascaris, qui forment la troisièm
on a bon marché des autres. Le fort, ni les vaisseaux, ne l’ont point oubliée . Nous avons essuyé tout leur feu, sitôt que l’Ecu
oins, il a fini sa vie par une bonne action, mais qui, je crois, sera oubliée par son exécuteur testamentaire ; c’est qu’il a d
les que leurs louis ne valaient de deniers. Cet incident ne fut point oublié  : le roi en fut informé, mais il n’a point été mi
t de parler, expliqua ce qui aurait rendu ce mémoire trop long : il n’ oublia pas la visite des fermiers généraux, & la tou
ont j’ai le mémoire sur mes tablettes, & dont par conséquent je n’ oublierai pas un article. Je viens à la guerre du Mogol.  
euse à dix lieues ; &, à deux lieues de Paris, il feignit d’avoir oublié dans son cabinet un petit paquet qu’il voulait, d
orte : j écris aussi à M. de Seignelay ; & je vous prie de ne pas oublier de lui taire connaître la nécessité qu’il y a de
les à Paris ; &, n’y ayant pas longtemps, ils n’y sont pas encore oubliés ). C’est sur ces talons, a poursuivi M. Martin, qu
queroute, & de brigandage. Les révoltes dans le Japon ne sont pas oubliées , & servent de témoins irréprochables d’avidit
, se souviendra du vœu comme de Jean de Wert, puisqu’ils l’ont si tôt oublié qu’ils se demandaient en dînant ce qu’on avait pr
agan ; & un bordage d’artimon cet après-midi a achevé de le faire oublier . Chacun chante l’air d’opéra le mieux qu’il peut,
urtant sans blesser la charité chrétienne ; &, pour vous le faire oublier , elle & moi vous offrons, d’un cœur vraiment
Toujours bon vent : tant mieux. Les pilotes ni l’aumônier n’ont point oublié ma fête. Le diable de La Chassée, qui les en a fa
c’est que les vivants ont bonne grippe, & que notre aumônier ne s’ oublie pas. Du samedi 12 mai 1691 Toujours bon ven
que le père l’était peu, s’étaient embarqués avec lui. Il n’avait pas oublié quatre jésuites, ni les richesses immenses que M.
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
cher d’aller au secours de Sancho, s’il l’eût entrepris, et qu’il eût oublié les ordres de Parafara-garamus. Cependant Sancho
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
ue n’ayant aucun bonheur à espérer de ce côté-là, je dois tâcher de l’ oublier par toutes sortes de moyens. Mes parents m’en ouv
n’était point soupçonné. La manière de vie qu’elle menait, avait fait oublier ce qu’elle avait fait. Il s’est présenté plusieur
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
out dans les familles et les ménages ; cependant elle n’a pas si bien oublié le chemin des couvents, qu’elle ne le retrouve bi
15 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
de très grand appétit, et soit dit en passant votre santé n’a pas été oubliée , et je l’ai fait boire à tel qui ne vous sera jam
ue l’un et l’autre. Mais pour revenir à cette Relation, l’auteur fait oublier à son maître la réception qui lui fut faite à Sia
là des endroits que Monsieur le chevalier de Chaumont n’aurait point oubliés s’il avait écrit lui-même, mais il s’en est Fié à
’ai fait votre paix avec lui, et à ma considération il veut bien tout oublier pourvu que vous buviez à sa santé, a-t-il poursui
ut bien et dûment considéré nous sommes mal si le vent ne continue. J’ oubliais à vous dire que notre eau est fort rousse, qu’ell
us ne connaissez point en France et que je ne connais point encore. J’ oubliais à vous dire que par un vent fort comme celui-ci l
ie. Tant mieux chacun y aura part, et je ne suis pas assez sot pour m’ oublier . Du jeudi 13e. [juillet] Que nous sommes he
a bon marché des autres. Les Anglais et les Hollandais ne l’ont point oubliée . D’abord que l’Ecueil a été à la portée de leur c
16 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
pour secrétaire, lui a dit M. de Combes : je suis certain qu’il n’en oubliera aucune circonstance, d’autant plus que sa conduit
erville, et priez l’écrivain du roi de les accompagner, et priez-le d’ oublier tout ce qui s’est passé. Je tâcherai d’être des v
connaissances de jeunesse étaient les plus fortes, et celles qu’on n’ oubliait jamais. Il m’offrit tout ce qui pouvait dépendre
oudrait que l’eau-de-vie fût à tous les diables, et qu’il me priait d’ oublier tout ce qui s’était passé à ce sujet ; comme de s
’oublier tout ce qui s’était passé à ce sujet ; comme de sa part il l’ oubliait de tout son cœur. Cette manière honnête attira me
que nous serons les premiers aux prises, et je tâcherai de ne me pas oublier  ; et je serais ravi d’avoir du drap d’Angleterre,
xprès : ensuite les ecclésiastiques se sont habillés pour célébrer. J’ oubliais de dire que notre aumônier conduisait le deuil, q
solution, attendu que c’est aujourd’hui ma fête, que Lénard n’a point oubliée , et dont l’arrosement du bouquet est remis à un j
en sortir. J’ai eu ordre de dresser le procès-verbal, et de n’y point oublier la défense qui lui a été personnellement faite de
commandeur se plaint fort de vous ; je vous ai excusé ; il consent d’ oublier tout pourvu que vous buviez à sa santé : et, en m
nt de fiel ; et qu’une bonne action, le dernier de décembre, lui fait oublier tout le mal de l’année. Nous avons appris, par le
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
e j’avais à te dire, il ne me reste qu’à te recommander de ne les pas oublier . Pour toi, incrédule Sancho, continua-t-il s’adre
18 (1721) Mémoires
ou Chedabouctou, et plusieurs autres que je ne nomme pas. Je ne puis oublier les îles de La Madeleine d’où les Anglais peuvent
nsée il fit à M. de Tourville une réponse si dure que M. de Tourville oublia sa sagesse, et ne connut plus que la témérité. 23
rincipaux de Monsieur Chamillart, il me dit honnêtement qu’il fallait oublier le passé, et que si je voulais lui faire l’honneu
x une aliénation invincible. 277. Le Gendre, réduit aux emplois, ne s’ oublia pas, et son air insinuant l’ayant faufilé avec de
’il avait le pied droit sur la portière, il se ressouvint qu’il avait oublié de communiquer au ministre un mémoire (on m’a dit
e de l’été. Tout fut conduit à Baston par nos propres vaisseaux, sans oublier les canons du fort que les Anglais rasèrent rez p
te, un fils établi, une fille mariée, en un mot aucun prétexte ne fut oublié pour prouver qu’ils n’avaient point d’argent, et
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
elle n’aime pas. Elle est encore choquée de son compliment, qu’elle n’ oubliera jamais ; mais quand nous aurons terminé sans elle
m’encourager dans les douleurs qu’on me présage, vous semblez m’avoir oubliée . Au nom de Dieu, venez aujourd’hui si vous voulez
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