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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
homme qu’elle avait tendrement aimé à tous les partis qui lui ont été offerts , quoiqu’il s’en soit présenté, qui à juste titre,
pas été, elle ne serait jamais parvenue où elle est. Contamine lui a offert toutes choses pour en triompher sans sacrement ;
l’être il faut faire une lâcheté. Vous n’êtes pas le seul qui m’ayez offert votre secours, d’autres en ont fait autant ; mais
une, Contamine était à son goût ; mais elle dit à la princesse, qui s’ offrait d’en entamer les premières paroles, qu’il ne s’ét
es à présent ; et pourvu que vous vouliez sauver les apparences, je m’ offre à faire le reste, consultez-en votre mère. Je ne
vous ; mais approuveriez-vous que j’acceptasse les moyens que vous m’ offrez de sortir de l’état où je suis ? Ma vertu n’y ser
point, belle Angélique, dans l’état de refuser les secours qu’on peut offrir à votre mère. Celui où elle est m’oblige à la sec
de toutes choses. Sa mère courait risque faute de secours. On lui en offrait  ; mais c’était son amant. Elle craignait de s’eng
l’autre qu’elle prenait le chemin du faubourg Saint-Germain. Elle lui offrit une place dans son carrosse. Cette fille l’accept
ce moment la princesse de Cologny elle-même revint sur ses pas, pour offrir au miroitier plus qu’elle ne lui avait déjà offer
sur ses pas, pour offrir au miroitier plus qu’elle ne lui avait déjà offert de ses lustres. Les miroirs lui frappèrent la vue
ans vos intérêts, et si je puis vous être utile à quelque chose, je m’ offre à vous rendre tous les services dont vous me juge
unique cause des refus qu’il avait faits des partis qu’elle lui avait offerts depuis quatre ans. Enfin il lui fit voir en même
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
ureux que ce fût chez lui où le destin eût fixé sa demeure, et il lui offrit tout ce qui dépendait de lui pour le bien diverti
rait d’envie de se faire voir luisant et brillant dans son village, s’ offrit à les aller quérir lui-même. On s’y opposa, et on
l ne se trompa pas, car sitôt qu’il fut connu de ces Messieurs, ils s’ offrirent fort généreusement à lui rendre service. Il ne se
valet, j’ai bien changé mon cheval borgne dans un aveugle. Tu m’avais offert ton service, et tu t’en dédis, continua-t-elle av
n’aurai pas grande peine, lui répliqua Sancho, filles et femmes qui s’ offrent perdent tout leur prix ; mais, Monsieur, c’est un
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
je ne vois pas que ce fût un sacrilège, au contraire c’en est un de n’ offrir à Dieu que le rebut du monde. Non, Mademoiselle,
elle, repris-je avec précipitation, ne vous flattez pas qu’on ne vous offre à Dieu, que parce que vous êtes belle, d’autres i
s ferez religieuse, mais ce seront les vœux de votre famille que vous offrirez à Dieu, et non pas les vôtres. Ma sœur est trop r
rt aux malheurs que je prévoyais dans le monde. L’amant qu’on m’avait offert , m’avait inspiré de l’horreur pour tous les autre
t vaincue, vous méprisez votre victoire. J’ai refusé un homme qu’on m’ offrait , celui à qui je me suis offerte m’abandonne ! Mal
ictoire. J’ai refusé un homme qu’on m’offrait, celui à qui je me suis offerte m’abandonne ! Malheureuse ! J’abandonne tout à mo
bienfaitrice, si on pouvait l’obliger à se faire religieuse. Il avait offert pour elle une dot si forte, que ces bonnes dames
Cette dernière attaque lui fit prendre un parti qui nous sauva. Elle offrit de signer cette requête, mais elle dit qu’elle de
rs. Je me sacrifierai à mon malheur, et ne ferai point le sacrilège d’ offrir à Dieu une victime involontaire. Je vous ai dit q
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
’il vous plaît que je devienne, et quel est cet autre parti qui m’est offert  ? Elle rougit à cette demande. Avant que de vous
, et en disposer comme bon me semblera. Voyez si le parti que je vous offre ne vous est pas plus avantageux que celui de Made
anter ce sacrifice, laissez-moi disposer de ma destinée, je vous l’ai offerte , vous la refusez, le couvent me sauvera de faire
n de rompre, je n’en laissai pas échapper l’occasion que sa réponse m’ offrait . Vous ne m’épouserez qu’avec répugnance, repris-j
t haut, je ne suis pas d’humeur à vous avoir malgré vous ; je vous en offre autant de ma part. Il est inutile, dis-je à mes p
e bourreaux assemblés pour me trouver un nouveau genre de supplice, n’ offrent rien à mes yeux de si cruel pour moi que votre mo
parent, dont la paroisse n’était qu’à une petite lieue de Paris, qui offrit son ministère quand on voudrait. Etant impossible
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
t nous commencions à désespérer de le trouver lorsque l’occasion me l’ offrit . Il vous pria un soir en me quittant de lui accor
n’avait encore jeté les yeux sur aucun ; et pour lors la marquise lui offrit une retraite auprès d’une de ses sœurs abbesse d’
sœurs abbesse d’un couvent fort éloigné de Paris. Silvie accepta son offre sur-le-champ, et la marquise lui ayant donné une
re, était de partir pour l’Espagne avec les recommandations qu’on lui offrait . Elle s’y résolut, et pria Sainville de ne la poi
ire à Paris, dont ses chagrins lui rendirent même le séjour odieux, s’ offrit avec plaisir à l’accompagner. Ils revinrent à Par
royaume, et que si elle voulait passer en Espagne avec elle, elle lui offrait une retraite certaine, auquel cas elle pouvait la
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
cela m’est donné de si bonne part, je le reçois de bon cœur, et vous offre le tout pour reconnaissance de votre protection.
Quichotte se contenta de lui dire que tout lui appartenait, et la lui offrit . Il allait lui dire de quelle manière cela lui av
Quichotte qui se souvenait de l’ordre qu’on lui avait donné accepta l’ offre sur-le-champ, et excepta seulement une paire de f
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
lle pût, ou pour parler plus juste, elle s’affligea avec elle, et lui offrit de s’employer pour la faire séparer d’avec un hom
près cela Sotain lui avoua la maladie dont il était travaillé, et lui offrit toutes choses au monde pour avoir d’elle la ceint
alheureusement Sotain n’osait se fier à personne. La fine Italienne s’ offrit à le tirer de peine ; il la prit au mot, et lui c
deur extraordinaire dans une femme, elle lui embrassa les genoux, lui offrit sa vie et tout ce qu’elle possédait pour la venge
es couleurs si naturelles, qu’elle cessa de l’aimer. Il finit par lui offrir de la tirer de captivité si elle voulait se fier
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
venue des dissipations de la jeunesse. Qu’à l’égard de son bien que j’ offrais de lui laisser pendant sa vie, on ne l’entendait
n résolu de n’en point courir les risques. Que pour l’appui qu’on lui offrait dans son gendre, il n’en avait aucun besoin, ses
ses pieds, et lui demandai sa fille toute nue, c’est-à-dire, que je m’ offrais à la prendre sans bien, sans aucun engagement de
avoir un sou d’elle, et sans même espérer en avoir jamais rien, je m’ offrais à l’avantager de tout ce qu’il voudrait, et à rec
elle n’a pas voulu rien prendre, quoique je lui en aie plusieurs fois offert . Elle avait ses vues, dit-il, mais n’importe, c’e
aller trop loin, Monsieur Des Ronais que voilà, s’est plusieurs fois offert à mon service, et s’y offrirait bien encore, ou j
s Ronais que voilà, s’est plusieurs fois offert à mon service, et s’y offrirait bien encore, ou je suis fort trompée. Vous ne la
s pour un moment, elle pria cet ecclésiastique de nous marier, et lui offrit même un présent fort considérable, pour l’obliger
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
civilité, ce que je donnais aux premiers mouvements de mon cœur, je m’ offris de les faire parler à lui. Je pris la mère par la
consentir ; et qu’après cela les provinces ou les pays étrangers nous offraient des asiles pour y passer le temps de sa colère. À
votre père, et [contre] la beauté d’une autre épouse qui vous serait offerte . Je la rassurai de ses craintes par tout ce qu’un
rouve tout à propos, Monsieur, me dit-elle, j’ai besoin d’appui. Je m’ offris à son service. Elle me demanda si je ne connaissa
r et de ma foi ne dépendent que de moi. Acceptez le moyen que je vous offre d’être l’un à l’autre sans que personne puisse no
eudon, et qu’il ne tiendrait qu’à moi d’être des leurs : j’acceptai l’ offre . Je vis mon homme qui m’avait suivi à la porte d’
ient, la solitude où nous étions, et l’amour que j’avais pour elle, m’ offrirent un nouveau plaisir à la caresser sur l’herbe. Je
u Palais, je la conduisis partout où elle avait besoin de moi. Je lui offris ma bourse, et ne parlai à sa fille devant elle, q
t sans qu’elle sortît. Cette femme qui l’aimait jusques à la folie, s’ offrit à la servir, et comme elle ne faisait pas de tort
l’exempt ne voulut pas les recevoir. Je me jetai à ses pieds, et lui offris ma bourse, où il y avait cinquante louis d’or, mo
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
nce, mais le temps n’en était pas encore venu. Cependant mes oncles m’ offrirent un autre emploi ; mais parce que c’était pour qui
vre diable, et me promet pour cela monts et merveilles. Elle m’a même offert cent louis d’or. Et à quoi pouvez-vous leur être
ue je devais m’assurer un appui, et là-dessus ce galant homme s’était offert à moi. Je le reçus comme méritait une pareille ef
gure dans le monde pour que vous ne les connaissiez pas : je vous les offre encore pour témoins de ce que je vous dis ; ils s
irai-je, reprit-il ? La mort de ma femme me laissant une place à vous offrir , je vous cherchai, j’appris votre demeure, et dan
ons ne seront point éclairées, et mille prétextes que l’occasion vous offrira , avanceront votre retour. Mille nuages, qui nous
é par la nécessité de toutes choses, et que cent louis d’or qu’on lui offrait avaient achevé de le résoudre. La longue excuse q
uper. Elle me fit appeler, et me demanda si je trouverais bon qu’elle offrît sa table à Monsieur de Villeblain. Je lui dis que
achetasse une charge ; j’y consentis. Je traitai d’une fort belle, et offris d’en payer le prix comptant. Cela vint jusqu’à ma
plaida pour Silvie comme s’il avait plaidé pour sa fille propre, et s’ offrit pour caution de ce qu’il disait. Il la justifia d
persuadé que je ne pourrais jamais trouver un meilleur parti, qu’il s’ offrait de m’en parler, et à me raccommoder avec Silvie q
is des autres. Je m’en tiens aux conditions que Madame Des Frans nous offre , et je te prie de t’y tenir aussi. Une réponse si
ns notre particulier elle plaisantait avec moi des services qu’on lui offrait . Elle me pria de souffrir qu’elle vécût à sa mani
yer l’un et l’autre par la première occasion que le hasard pourrait m’ offrir . Mais comme je voulais être seul qui sût qu’elle
rté ne violât leur clôture ; mais enfin la grosse pension que je leur offris pour elle et sa fille de chambre, les fit résoudr
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
son beau-frère, comme en effet c’en était un, se crut obligée de lui offrir un asile dans son château, tant pour elle que pou
et c’était pour tenir ce petit conseil qu’elle avait empêché le duc d’ offrir une place dans son carrosse à la demoiselle franç
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
n pas en valet, mais en homme de qualité très riche. Celle-ci s’était offerte à rendre tous les services qu’il pouvait prétendr
venu voir à Barcelone, où il s’était fait porter blessé, et lui avait offert sa bourse, et tout ce qui pouvait dépendre de lui
13 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
La crainte qu’ils eurent du danger qu’il courait, les obligea de lui offrir place. Il acceptait leurs offres, et ne délibérai
, et ne délibérait plus que du choix d’une des places qui lui étaient offertes , lorsque l’un de ces messieurs, vêtu d’une robe d
14 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
ient, & les inscriront dans leur martyrologe. Croyez-moi, ne leur offrez point de bougies : la cire & le coton en sera
voyaient. L’endroit était tentatif ; il fallait s’en tirer. L’Anglais offrit mille écus, le Hollandais deux mille ; & ils
le en bas ; & qu’enfin, si on ne voulait pas y aller en corps, il offrait d’y aller seul, qu’il avait vu d’autres périls en
ec lui au sujet de ce fort. Ils demandent la paix avec instance &  offrent d’achever de raser ou de ruiner ce fort, ou de le
la il aurait payé de négative. Rupli redemanda ses diamants. Martinon offrit de partager. L’Arménien n’y voulut pas entendre ;
justice ; & que, si sa sacrée bouche condamnait le suppliant, il offrait , pour réparation de sa témérité, sa vie, qui étai
ent encore, n’avait pas fait évanouir toute sorte d’espérance. On lui offrit à Paris plusieurs partis : il les refusa & fi
ement refusé d entrer dans un couvent, où ses parents à lui s’étaient offert de l’entretenir pour sauver leur nom de l’infamie
i leur coule tout le long du menton & sur les lèvres. Tout cela n’ offre ensemble, dans leurs personnes, que des salopes q
e ne s’y pas conformer & de ne faire aucun usage des belles qu’il offre . Le lecteur n’admire-t-il pas encore de quelle ma
ect en allant attaquer Madras, qui est un port de sa dépendance ; ils offriront de le venger en nous attaquant à leur tour ; ils
’égard de Remraja, ils lui feront entendre les mêmes choses ; & l’ offre qu’ils lui feront de partager avec lui nos dépoui
 garnie ; que la distance de cette chapelle au mur qui l’enferme leur offrait assez de terrain pour y construire une maison pou
e, & digne du fagot en Europe : n’importe, il passera. Qu’ils lui offrent des sacrifices, avec un petit crucifix sur eux bi
e leurs prosélytes le fassent & par direction d’intention, qu’ils offrent au crucifix les prières & les cérémonies fait
l aux missionnaires ? Qu’ils fassent comme les jésuites : je les leur offre pour garants que tout cela passera partout, malgr
lles concertent avec leur profit. Le passage de ces mandarins leur en offre une, & ils n’ont garde de la manquer. Ils leu
Je disais, de ma part, que pour lui mettre la conscience en repos, j’ offrais d’en refaire l’inventaire sous sa dictée ; que je
tre mes mains. Vous seriez bien surpris, me dit ce commis, si je vous offrais à dîner chez M. Germain & qu’il vous rendît a
é chrétienne ; &, pour vous le faire oublier, elle & moi vous offrons , d’un cœur vraiment sincère, notre maison, notre
présent à feu La Ville aux Clercs ; & 1 écrivain du roi, qui m’en offrit autant que j’en voudrais, a toujours cru que j’en
ette dernière ville, qui avait pris pour lui seul une cabane : il lui offrit une place ; elle l’accepta. Les bêtes ne sont pas
eux tourné, pour faire figure dans le pays romanesque. Elle accepta l’ offre de bonne grâce. Le marchand fut charmé de ses man
oir en régal avec une compagnie choisie, sous un berceau de vigne qui offre sur le même cep de vigne du raisin en fleur, dont
ppliait d’obliger le mari & la femme de garder le secret, & s’ offrit d’être médiateur de la réparation. Cela fut accep
15 (1721) Mémoires
Il prodigua les biens, répandit les honneurs ; En un mot comme toi n’ offrit que des grandeurs. Il fit des apostats par cette
fait un zéro, et avancé un point. avant ce zéro, si bien que le tout offrait dix mille livres. J’appelle cela une action de fr
es. Il aurait pris de l’argent de la main du diable s’il lui en avait offert , et aurait sur l’intérêt damé le pion aux fripier
t, Cependant, après une harangue aussi fière que spirituelle, ils lui offrirent la paix. Comme cela se passa en 1682 et que j’all
l faut passer douze cents lieues de mer pour aller en Canada, je leur offre un témoin plus proche et à leur porte. C’est Deni
e moment à l’appartement de Monseigneur pour réparer sa faute, et lui offrir non seulement cent mille écus mais tout ce qu’il
out le monde, et Hubert lui dit qu’au lieu de cent mille écus, il lui offrait un million, et lui dit ce que son père lui avait
r des gens si considérables qu’elle en aurait une bonne issue. Il lui offrit sa bourse, et lui mit le feu si vivement sous le
aie, et que pourtant le lecteur ne croira pas sans peine. Mais je lui offre pour témoin Madame Deschiens, veuve de celui dont
un pour tous et plus à chaque porte suivant la grandeur des lieux. Il offrait une compagnie solvable pour caution et présentait
érales sur le pied que le roi les avait affermées au dernier bail. Il offrait dix mois toujours d’avance, et consentait que fau
et de quoi payer cet excédent de douze millions d’augmentation qu’il offrait  ; qu’il n’y avait autrefois que quatre fermiers g
mains pour venger en même temps le Ciel et la terre ; qu’ils devaient offrir leur mort à Dieu en satisfaction de leurs péchés,
dans son cabinet, parce que les nudités qui y étaient représentées n’ offraient rien que d’impur à la vue, ce qui pouvait faire r
obligé de refuser les vingt mille livres de rente que le cardinal lui offrait pour rompre un mariage si indigne, et dont elle-m
ns instruits et éclairés comme les martyrs du Japon, à qui personne n’ offre ni cierge, ni bougie, pas même un bout de chandel
ls la perdirent encore et n’en prirent que huit. M.Chamillart leur en offrit dix pour jouer leur tout. Ils topèrent et perdire
16 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
tre ancienne connaissance en nous embrassant. J’étais à jeun. Je leur offris bouteille ; la bouteille ne nuit pas toujours : i
e ne serait pas pour lui ; qu’il devait le prendre quand je le lui ai offert  : rendez-lui son honnête billet de change ; et l’
esse étaient les plus fortes, et celles qu’on n’oubliait jamais. Il m’ offrit tout ce qui pouvait dépendre de lui, et même sa b
ient d’aussi grands fripons que ceux dont le munitionnaire se sert, s’ offrit de m’envoyer un commis pour le dresser. J’accepta
e sert, s’offrit de m’envoyer un commis pour le dresser. J’acceptai l’ offre  : ce commis vint dès le lendemain. Je le reçus le
d’être bientôt auprès de MM. de Seignelay et Céberet. Votre lettre m’ offrait à tout moment un nouveau chagrin. Elle ne m’empêc
e est fait en pain de sucre, il nous a donné matière à parler. Le bas offre à la vue un paysage très beau, rempli de verdure,
peut-être faire pis ; du moins jusqu’à ce que le voyage plus avancé m’ offre des occasions pour entretenir autrui. Je me fais
e voudraient être quittes de leurs cancers ? Je les y laisse : cela m’ offre une idée trop infâme pour m’y arrêter. Les cartes
i au contraire y tiendra appétissamment sa place. Que de bagatelles j’ offre à un homme comme vous, dont les moments sont si p
. D’où vient que ce qui me paraissait autrefois très indifférent ne m’ offre à présent qu’une matière de réflexions sérieuses 
s différents tous les hommes qui ont vécu, qui vivent et qui vivront, offre à l’idée un objet inconcevable d’années, il est p
Enfer. Quand leurs tourments ne seraient pas cruels, leur seul aspect offre un supplice. Dans cette maison est une manière de
oin, surtout dans des parages pleins de requins. Puisque l’occasion s’ offre de parler de ces animaux, je crois devoir faire l
 : on craindrait à moins. Il a pris à table la première place, sans l’ offrir aux étrangers qui étaient venus à bord voir la cé
eut pas par orgueil en demander ; et nous ne sommes pas gens à lui en offrir . Du jeudi 4 mai 1690 J’avais fait réserver
restitution, quelque équivalent que la couronne d’Angleterre lui ait offert . L’entrée du port est à présent mieux défendue qu
soufflait lorsque nous y entrâmes, il y eut vendredi huit jours, il n’ offre à la vue qu’un passage et qu’un atterrage aisé. C
e bois à leur choix, embrassés ou croisés par les nattes. Tout cela n’ offre rien de désagréable à la vue, ni par dehors, ni e
gendre dans le corps humain. En disant toute, je n’excepte rien. Cela offre une trop basse idée, et un objet trop vilain, pou
n cœur. Cet écrivain du roi, nommé Héros, n’a pas eu l’honnêteté de m’ offrir rien du tout d’un butin qui aurait bien dû tout a
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
mariage de sa sœur ; elle me parut avoir envie de l’être aussi. Je m’ offris de la demander, et lui dis que je ne croyais pas
ires l’un de l’autre, qu’autant que nous nous en sommes priés. Il m’a offert plusieurs fois de me rendre ce qu’il a à moi ; ma
idération d’un mariage si honnête, et qui m’est si avantageux, il m’a offert des choses que je n’attendais point de lui, et qu
ntrat. Que voulez-vous que je fasse de plus ? Les sûretés que je vous offre ne valent-elles pas bien celles que je vous ai em
rouvé le secret de me plaire avant elle, je me serais très volontiers offert à la consoler des tiédeurs de son mari : elle éta
pouvez-vous, dans l’état où vous êtes, refuser encore ce que je vous offre de si bon cœur ? Je l’accepterais si je vous aima
l ne m’appelle pas dans la retraite. Je me suis flatté que le monde m’ offrait un bonheur plus solide, et je me sens trop engagé
i remontrai que l’éclat ne servirait qu’à la perdre elle-même. Je lui offris encore de l’épouser. Elle rebuta ma proposition,
s, et que je le garderais toute ma vie pour l’amour d’elle. Je lui ai offert et envoyé vingt fois la valeur de ce collier ; el
ns, de vos bras, de votre gorge, de vos yeux et de votre taille, je m’ offre à remplir sa place, et je suis sûr, que vous ne r
on frère : comme nous en étions convenus. Elle me dit qu’elle s’était offerte à nous rendre service par deux raisons ; la premi
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
it mille difficultés ; et enfin le Français ardent comme un Français, offrit un si beau présent, que le valet espagnol le prit
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
uait que la recherche qu’on faisait de gens qu’on destinait au gibet, offrait à l’esprit quelque chose de bas et de rebutant, q
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
à faire devant elle, était venue pour s’informer de sa santé, et lui offrir ses services ; et comme elle apprit qu’elle était
21 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
me pas, que d’en épouser une qu’il aime, et dont il n’est point aimé, offrent quelque chose digne de curiosité. Quoi qu’il en s
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
des leurs vers le fameux Roque, pour lui demander sa jonction, et lui offrir de partager le butin avec lui et ses gens ; mais
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
nés que peuvent donner une belle fille ou une belle femme qui vient s’ offrir  ; il faut appeler à son secours toute sa raison e
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
it vu lui-même, et de tout ce qu’il en avait souffert, et conclut par offrir à son beau-père de lui faire voir les choses à lu
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
it effrontément Sancho, pourquoi aussi s’y obstine-t-elle ? Je lui ai offert mon service, et lui ai dit qu’elle trouverait en
26 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ançais qui y ont été pour ne pas croire que ce sont elles-mêmes qui s’ offrent à quiconque leur paraît leur fait, et qu’outre ce
ire grand tort ; et qu’enfin si on ne voulait pas y aller en corps il offrait d’y aller seul ; qu’il avait vu d’autres périls e
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