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1 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
ui s’en mêlent ? Celui-ci, monsieur, lui répondis-je, est d’une telle nature qu’il doit vous être connu. Si M. de Bouchetière
ère du fond de cale, ni de ce qui y est renfermé de quelque espèce ou nature que ce soit : et à l’égard des marchandises qui a
pic est tout blanc ; et on le prendrait pour un bloc de marbre si la nature pouvait en lor-mer de si énorme. Nous avons parlé
je demande, lui ai-je brusquement répondu : ce sont les effets de la nature dont je demande l’explication, parce que je n’en
e y est ab incunabulis mundi, ou si elle y est par un pur effet de la nature  ; en un mot, ce que je veux savoir est si c’est D
qui voudrait voir sans énigme et sans emblème tous les secrets de la nature à découvert. Notre conversation se faisait à tabl
dre aucune raison solide et convaincante des simples opérations de la nature , qui se passent dans lui-même et sous ses yeux, q
u’on ne sera pas fâché de voir. Le voici. Sur l’ignorance de l’Homme Nature , enseigne-nous par quel bizarre effort Notre âme
ou connaître ses maux. Change l’état obscur où toi-même nous ranges, Nature , abaisse-nous aux sens des animaux, Ou bien élève
de mes réflexions fussent des conclusions certaines. Telle est sur la nature la faible connaissance de l’homme. Sa plus forte
notre esprit reste toujours dans l’incertitude sur ce qui regarde la nature  : et plus il y a de gens qui l’étudient et qui éc
igion, et de nous en tenir seulement aux simples connaissances que la nature , notre existence, ou autres objets visibles, nous
ante jours, qui est-ce qui prépare un domicile à cette âme ? C’est la nature . Par qui cette nature est-elle conduite ? N’est-c
qui prépare un domicile à cette âme ? C’est la nature. Par qui cette nature est-elle conduite ? N’est-ce pas Dieu, qui contin
ompensât de ne nous être point écartés des devoirs réciproques que la nature seule nous inspire. Cette pensée me semble d’auta
ent meilleur que celui qu’on vend à Paris. C’est qu’il est tel que la nature le produit. Pour éviter les querelles qui naissen
st quelque chose au moins à qui finit son sort Suivant les lois de la nature , C’est quelque chose au moins à qui trouve la mor
ort-ci ? On fait ce qu’on peut pour se sauver : cela est naturel ; la nature abhorre sa destruction. On voit les autres s’inté
mis sous les cieux ? A quoi étais-je nécessaire ? Toujours également nature eût travaillé, La terre aurait produit ses œillet
n’avaient rien d’humain que la figure, et auxquels il semblait que la nature n’avait mis une âme dans le corps, que comme un c
ire la raison. J’avais moi-même plusieurs fois admiré cet effet de la nature , sans en comprendre la cause ; parce que je n’ai
s produit. Cette conversation a été poussée loin sur les effets de la nature et les prodiges qu’on y remarque. Je les ai fait
que les autres qui sont permanents en trouvent par les canaux que la nature s’est faits, et par lesquels elle leur porte ce q
ement contents de ces ridicules consultations : bien persuadés que la nature seule en sait plus que tous les animaux qu’elle p
é autrement à son voyage, c’est qu’il a été assez heureux pour que la nature se soit dérangée ; ce que je ne crois pas : Duval
agation de son espèce ; cela est vrai et naturel : mais il est contre nature que ce même animal tende à la détruire ; ce qui e
it animal, dévoré par sa propre mère, a crié de toute la force que la nature lui a donnée. L’équipage de quart a couru au brui
e cage. La guerre a été de tout temps : c’est un malheur attaché à la nature humaine, mais dont on ne doit pas lui faire un cr
des lieux par lesquels les troupes de Charles Quint avaient passé. La nature anime tous les animaux : chaque mâle trouve sa fe
sont abondantes. Ainsi, ils ont tout à souhait, et mènent suivant la nature une vie tout heureuse. Après avoir dit ce qu’il y
et tel est l’orgueil de l’esprit qu’il croit s’élever au-dessus de la nature dans le temps même qu’il s’abaisse à des puérilit
uris, chats-huants, chouettes, et c. , le tout par un attribut que la nature a attaché à leur espèce sans aucun secours étrang
encore de la sotte vanité de l’homme, et du peu de préférence que la nature lui donne sur les autres animaux, auxquels elle e
parle de l’ananas. C’est sans contredit le roi des fruits ; aussi, la nature l’a-t-elle couronné. Il vient seul sur une tige,
, étant pour eux l’animal le plus exécrable et le plus immonde que la nature produise. Ils lurent pourtant trouvés bons, l’un
t, ils font bien ; mais, ils ont tort de ne pas observer cette loi de nature à l’égard des étrangers comme ils l’observent ent
, et le vent est revenu à soleil couchant. L’habitude est une seconde nature  : je me fais à la chaleur ; je ne m’en trouve plu
s désintéressé ; j’étais seul à savoir ce qui se passait dans moi, où nature souffrait d’une terrible manière : cependant, con
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
, où l’on place les hommes dans de vastes enceintes qui ont épuisé la nature et l’art, pendant que Dieu n’est placé que dans u
leur propre jardin bornait leur promenade ; assez parées de la seule nature , elles faisaient consister leur beauté dans leur
3 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
défaire les idolâtres. On en fait une infinité de contes de pareille nature , meilleurs dans la conversation que sur le papier
à la mémoire du défunt & on accorde le reste aux nécessités de la nature . Ainsi, on voit très peu de secondes noces ; parc
-à-dire, lui à onze ou douze ans, & elle à huit ou neuf ; car, la nature est ici précoce. Que la femme meure devant où apr
se aussi. En un mot, j’y serais très volontiers entré En état de pure nature , justement comme on peint nos deux premiers paren
ens de parler au sujet de sa tête d’éléphant, a une représentation de nature d’homme, d’une grosseur & d’une longueur plus
e cassent, la peau obéissant sans se crever. Il semble que Dieu ou la nature (l’un n’est pas ici autre chose que l’autre) ait
tromper l’ardeur de cet animal dans la propagation de son espèce, la nature lui a donné l’instinct de faire un trou dans le s
er. Une queue de paon sauvage est un des plus beaux spectacles que la nature puisse faire voir : on pourrait dire que c’est so
’avoir ni médecins, ni chirurgiens de leur ordre ! & de ce que la nature , sans art, leur enseigne les simples qui convienn
s’exécute, le pays se repeuple, & insensiblement le crime contre nature s’abolit. Cette prohibition de mariage, & l’u
n relevé l’avantage des brutes & des connaissances infuses que la nature leur donne & qu’elle refuse à l’homme qui ne
dre, non seulement sur la morale naturelle & la médiocrité que la nature nous inspire, mais aussi sur nos devoirs réciproq
u contraire des animaux qui ne s’écartent jamais de l’instinct que la nature a attaché à leur espèce ; en un mot, il a telleme
tais persuadé que sa vie & sa mort avaient été des prodiges de la nature , qui l’avait fait vivre sans cœur & mourir sa
amp; très riche, y ayant par l’industrie des Bengalais tout ce que la nature produit à leur portée & que l’art perfectionn
re, on les prendrait pour animaux de même espèce. L’antipathie que la nature leur a inspirée est si forte que, d’abord que l’u
ans le Japon, comme boutefeux de rébellion & de révolte contre la nature & contre le souverain ? Pourquoi écrivent-ils
oint d’indiscret. Je résistai donc à leurs beaux discours, & à la nature , qui certainement n’avait jamais été mise à une é
ez de riz pour vivre ? Et une infinité d’autres questions de pareille nature , après quoi elle sortit. Le fils aîné lui fit sa
uatorze. Il fut lâché quelques paroles qui ne faisaient pas plaisir : nature pâtissait chez Chalonge & chez moi ; & si
t scellées, par lesquelles tous leurs péchés généralement, de quelque nature qu’ils soient, tant commis qu’à commettre, leur s
’esprit de l’Église, & à la sévérité des anciens canons : mais la nature est à présent tellement corrompue que ce serait v
t qu’on ne les commence, elles cadreraient mieux avec le temps que la nature agit. Les fleurs paraîtraient avec le printemps ;
si grand puisse-t-il être, il ne vaut pas la peine d’être acheté. La nature fait de très mauvais sang, & certainement la
fet, le désert du théâtre donne une légère idée de celui-ci ; mais la nature surpasse l’art. J’ai dit que cette île est inhabi
a tortue n’avait pu les dissoudre ; & qu’enfin les efforts que la nature , aidée de cette tortue, avait faits pour expulser
ari sur le ventre, violé la femme sur son corps, & fourré dans la nature de celle-ci, & dans le fondement de celui-là,
femmes des îles. Faut-il s’étonner si de si beaux objets émeuvent la nature  ! Les Caraïbes sont les anciens sauvages du pays.
ur intérieure, un contraste qui ruine ou dérange les opérations de la nature . Cette limonade flatte le goût, & est à bon m
4 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
qu’honnête homme comme il est, il conviendra que le vôtre était d’une nature à n’être jamais révélé sans votre consentement ;
a été forcée à ce qu’elle a fait par une puissance plus forte que la nature . Je ne m’étonne pas de ne vous voir pas demander
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
à l’homme, conviennent que la femme n’est qu’un informe composé de la nature . L’Ecriture Sainte même élève l’homme au-dessus d
hement des doigts de Dieu, et par le mélange de la salive de Dieu. La nature de cette boue se changea en une espèce plus noble
6 (1721) Mémoires
d’autres qui vont contre les commandements de Dieu, les droits de la nature et du sang, et contre la charité chrétienne. 25.
est bon, mais qu’avons-nous besoin qu’ils nous le répètent puisque la nature nous le dit à tout moment, et que nous nous le di
is XIV. Car il ne faut point se flatter, un impôt en France, de telle nature qu’il puisse être, est une tache que toute l’eau
pour lui, d’autant plus aimable que son teint ne devait rien qu’à la nature . Il résolut de l’envoyer hors du royaume, mais de
in, et l’altération qui paraît sur mon visage n’est qu’un effet de la nature qui n’est pas toujours la même. — Un autre que mo
sœurs l’abbaye royale de Charron en Poitou, sur le bord de la mer. La nature et la marée produisent dans cet endroit là, que l
à sont ordinairement caressants. Cependant, le temps ordinaire que la nature accorde à ces bêtes pour mettre bas étant passé,
ne, qui voulait en faire un homme d’importance, obtint pour lui de la nature un de ces esprits transcendants capables de tout.
rt à la poste : Nouveaux secrétaires du Roi, Vos charges changent la nature , Puisque par une signature Un sang ladre et vilai
hever le bâtiment, conserva à son fils les droits à lui acquis par la nature , et ne dit pas un mot de sa femme. 256. Les Petit
contre tout le genre humain, et outre cela leur institut va contre la nature qui veut que chacun travaille pour sa subsistance
l leur soit même défendu de recevoir aucun legs ni présent de quelque nature que ce soit. 286. A l’égard des Jésuites, on aura
broderie, et qui ne sert qu’à parer un habit sans changer le moule de nature . Ils regardent le S[aint] -Esprit sur les habits
té et même un sacrilège de mettre de la pourriture, et le rebut de la nature , dans le même lieu où repose et où nous adorons l
tions qu’il aurait fallu y faire, étant presque tous fortifiés par la nature sans le secours de l’art. J’y décrivais les mœurs
à la fin pressés De vous faire notre peinture. Pour la tirer d’après nature , Trois mots vous en diront assez. Nous sommes tou
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
au jeu. Mes petits emportements la firent rire, je me sentis ému ; la nature est une grande maîtresse, je m’y pris bien ; elle
; et c’est là qu’il apprit des secrets qui très assurément passent la nature . Pour moi je vous avoue que je ne voulus en savoi
respirent que l’amour ; sa naissance du mois de mai, temps auquel la nature n’en produit point de cruelles, ou bien peu, me f
-vous oublié qu’un enfant n’attend que de vous, un droit que Dieu, la nature , et votre honneur vous défendent de lui refuser ?
raison ; parce qu’elles ne suivent pour toute règle que celles de la nature , et que ces règles répugnent aux lois austères qu
sienne, et à souffrir même ses mauvaises humeurs ? Je parle selon la nature , ma chère sœur, et seulement par rapport à la vie
ariée, que ce que vous dites cadre juste avec les inclinations que la nature nous donne ; mais, ma sœur, ce serait vivre comme
assujetties à un honneur que la force des hommes, bien plutôt que la nature , a imposé à notre sexe. Puis donc, continua-t-ell
raient mieux résister que nous aux tentations et aux mouvements de la nature , puisqu’ils prétendent avoir l’esprit plus fort e
vait armé contre elle les puissances de l’enfer, et les secrets de la nature . J’allai voir Gallouin dans son lit qui m’ayant f
mes du caractère de Madame de Londé sont extrêmement rares, et que la nature n’en produit pas grand nombre si peu sensibles qu
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
e sur le carreau. Le père qui sentit à cette vue les mouvements de la nature , tomba comme elle ; de sorte que c’était un trist
uppose qu’un homme n’a pas pu résister aux mouvements impétueux de la nature , ni à la rage qu’un pareil objet lui a inspiré. I
9 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
Même chose pour le vent, mais je viens d’en voir une qui contredit la nature . On dit ordinairement qu’il n’y a point d’animal
st quelque chose au moins à qui finit son sort Suivant les lois de la nature  ; C’est quelque chose au moins à qui trouve la mo
ment qui arrive dans les mœurs, il ne va jamais contre les lois de la nature , quoiqu’il puisse par une volupté criminelle alle
ent pas ; si cela est, ils ont tort de ne point observer cette loi de nature envers les étrangers comme ils l’observent entre
tin, mais heureusement est revenu ce soir. L’habitude est une seconde nature , je commence à être fait à la chaleur, je ne m’en
lent défaire les idolâtres. On en fait cent petits contes de pareille nature qui valent mieux dans le discours que sur le papi
Siam est fait et sa légation imparfaite si les choses ne changent de nature . Monsieur Channot revient avec nous, mais il est
ma chemise aussi, et j’y aurais entré très volontiers en état de pure nature Justement comme on peint nos deux premiers parent
u son plastron ne serait pas assez forte pour les faire éclore. Et la nature pour ne point tromper l’ardeur de cet animal dans
à la chaleur du soleil qui par son influence bénigne achève ce que la nature a commencé, en donnant la vie à ces œufs, et les
l’objet pût réveiller, dans ces hommes infâmes, les sentiments que la nature seule inspire. Cela se pratique encore aujourd’hu
puis l’exécution de cet ordre le pays se repeuple, et le crime contre nature s’abolit insensiblement. Pour cette communauté de
st Coinda dont je vous ai parlé au sujet de sa tête d’éléphant, a une nature d’homme d’une grosseur et d’une longueur plus qu’
tu pas assez de riz pour vivre ? Et mille autres demandes de pareille nature , après quoi elle sortit. Le fils aîné lui fit sa
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
utilement servir sa conscience et le public dans une guerre de cette nature , que dans une guerre réglée, parce que les ennemi
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
fois étaient bien plus forts et plus grands que ceux d’à présent ; la nature dépérit tous les jours, et outre cela Pinabel éta
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
ne l’assure pas, que la peur lui avait ouvert les conduits par où la nature se décharge, du moins il est bien certain, qu’au
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
i plus, elle est morte ! Et mille autres choses qu’il dit de pareille nature  : ensuite il continua d’un ton plus tranquille qu
mon infamie. Vous êtes toutes ici des chefs-d’œuvre du ciel et de la nature  : celle-ci vous a fait toutes belles, et toutes a
s autres en petit nombre passant dans mon esprit pour miracles que la nature ne produit que rarement. Arrêtez là votre invecti
ur Silvie, elle a peut-être été poussée par une force, à qui toute la nature humaine, et toute la vertu d’une femme ne peut pa
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
, et l’art joint à la magnificence des habits ajoutant du lustre à la nature , il ne faut pas s’étonner si notre chevalier, qui
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
l’harmonie de son corps en fut déconcertée, et que les conduits de la nature s’ouvrirent, mais c’est dont il n’a jamais eu de
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
qu’en un mot, pour bien jeûner il fallait dérober quelque chose à la nature . Sancho, après avoir écouté en mangeant et buvant
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
sorte, Dupuis tomba tout d’un coup dans une très grande faiblesse. La nature défaillit en un instant. Il avait assez vécu pour
mort ; Je m’y prépare sans effort. Toujours obéissant aux lois de la nature Lorsqu’elle l’a voulu ma mère m’a conçu, J’ai sui
18 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
fets que la rage pouvait inspirer, et mille autres choses de pareille nature , qui ne furent point entendues par ces gens impit
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
n’avais jamais vu d’homme capable de se faire aimer que mon frère. La nature et le devoir m’avaient défendue contre lui. Tout
20 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
et je restai malade du corps et de l’esprit. Je ne croyais pas que la nature résisterait ; je n’avais aucune attache à la vie.
onne foi m’en chasse : mais tout au moins distinguez les crimes de la nature , d’avec les miens, et vous me rendrez votre estim
21 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
auté achevée et régulière ; en un mot c’est un raccourci de ce que la nature peut produire de plus beau et de plus accompli ;
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