ulu l’accorder dans les endroits où ils sont les maîtres ; les autres
nations
les ont imités, à l’exception des Anglais & d
é de se déchausser pour entrer dans le tombeau de Schah Séphi, que la
nation
persane regarde comme un saint. C’est ce qu’en di
t ils ne peuvent se dispenser, quand ce ne serait que l’honneur de la
nation
qui les y engage. M.de Saint-Paul, l’un des princ
i les avait piqués d’honneur sur les richesses de l’une & l’autre
nation
, & leur avait enfin dit qu’il en jugerait par
ver sur son chemin. J’ai écrit ceci pour faire connaître le génie des
nations
orientales & de leurs rois, qui ne se font pa
é autant qu’il a pu qu’il ne participait point aux lâchetés que notre
nation
a faites à Louvo, par tout le royaume, & surt
Français qui y ont été maltraités que pour y rétablir l’honneur de la
nation
, & pour piller leurs temples ou leurs pagodes
nt, parce que leur habileté sur ces sciences est connue de toutes les
nations
. Cette île, qui peut avoir deux à trois lieues de
capables. Les habitants de cette île ont été maltraités des Anglais,
nation
terrible lorsqu’elle est la plus forte. Ces pauvr
a dans les Indes bien moins d’intérêt à nous ménager que toute autre
nation
d’Europe. Les Bengalais sont assez affables, fort
ue pauvre. Elle est desservie par un religieux augustin, portugais de
nation
; il se nomme padre Bernard, ou père Bernard. Je
isse couvrir & faire éclore. Il n’arrive ici aucun vaisseau de sa
nation
qui ne lui apporte, à ce qu’il dit, des reliques
a du vin de Chiras. Ils ne trafiquent que très rarement avec d’autre
nation
que la leur : quelquefois avec les Français, &
la Compagnie, qui, à beaucoup près, n’est pas si forte que les autres
nations
, ne trafique à présent que par terre, ou sous pav
villon & passeport portugais par mer. Quelle humiliation pour une
nation
aussi brave que la nôtre d’être obligée de céder
istance de gens qui sans nous languiraient encore dans les fers d’une
nation
étrangère & dure ! Je ne puis m’empêcher de f
on d’Au-bonne, fameux voyageur. Le bien qu’il lui entendit dire de la
nation
, & la probité qu’il avait remarquée en lui, l
e avec l’intérêt qu’ont les Hollandais, les Anglais, & les autres
nations
d’Europe de perdre la nôtre de réputation. Aussi,
mage qu’un si beau vaisseau reste inutile & à pourrir. Les autres
nations
y ont aussi des vaisseaux, & ont à présent au
raient pas bien ; car, outre que le Mogol donnerait congé à celle des
nations
qui aurait tort & qui aurait commencé la nois
ire entre eux aucun tort, ni violence. Je n’ai point vu les loges des
nations
étrangères : j’ai seulement vu celle des Français
a point augmenté son autorité, y ayant longtemps qu’il est chef de la
nation
dans toute la péninsule. Il ne serait pourtant en
ous les traiterions, & ferait brûler tout ce qui appartenait à la
nation
à Ougli ; & qu’en effet, c était afin que M.
a, si, comme on le croit, il est encore appuyé par-dessous main d’une
nation
européenne. Je dirai qui elle est, en rapportant
ondaines abondent ? Pourquoi laissent-ils sans instruction toutes ces
nations
incultes & idolâtres qui sont sur leur chemin
rtant, à ce qu’affirment universellement & unanimement toutes les
nations
européennes, la véritable cause de la persécution
dent qu’ils sont hollandais. Je ne sais si cela est pardonnable à une
nation
dont le commerce est en effet l’unique divinité ;
oi de Ceylon d’appeler les Hollandais à son secours, pour chasser une
nation
si perverse et si corrompue ; mais il en est deve
es Anglais, les Danois, peut-être même les Portugais & les autres
nations
européennes ne soient forcés d’abandonner leurs é
indraient aux Anglais, qui ne respiraient que vengeance. Que ces deux
nations
jointes ensemble pourraient conduire du canon, ou
tation de la France, la feront craindre & respecter de toutes les
nations
orientales, feront plus de tort aux Hollandais &a
llandais empêcheraient la France d’être obligée d’avoir recours à ces
nations
pour en tirer les épiceries & les autres marc
rt pour le moins au commerce de la Compagnie des Indes que toutes les
nations
européennes ensemble. Joignez-y les missionnaires
us riche : il surpasse celui des Anglais, des Danois & des autres
nations
; & je ne sais s’il ne l’emporte point aussi
lis pour ce que l’apparence montre, c’est-à-dire pour marchands de la
nation
dont ils sont : car il est de fait qu’il y en a d
n dont ils sont : car il est de fait qu’il y en a de toutes sortes de
nations
, même des Arméniens & des Turcs, & de tou
ent des marchandises qu’ils doivent acheter ou vendre, & à quelle
nation
, pour y faire un plus gros gain ; en sorte que ce
le prouver en France, à qui seul ce commerce faisait tort. Les autres
nations
, qui en tiraient du profit par le fret, se soucia
rend odieux. Les Hollandais, ardents à nuire de toute manière à notre
nation
, & à notre commerce, nous rendent suspects à
os ; & cela donne très mauvaise impression de la douceur de notre
nation
. Cette mauvaise impression est augmentée par l’ac
amp; le peuple la méprise. Pour donner encore plus d’horreur de notre
nation
, les Hollandais la font regarder comme la plus tu
dans tous les lieux où elle est établie. Ils la font passer pour une
nation
sanguinaire, & tellement attachée à ses intér
s jésuites portugais qui étaient dans le Japon ; afin de rendre notre
nation
généralement odieuse, partout où elle pourrait s’
du feu. Que les missionnaires ne se brouillent point avec les morts,
nation
autant terrible que respectable, dans la Chine :
gence aurait pu par la suite être utile à la Compagnie, & à notre
nation
; ce qui est l’unique but où je tends ; & les
, mais moins fréquemment ; & c’est toujours par l’une de ces deux
nations
que les jésuites font passer d’Asie en Europe les
le nom sauvage était Aroüim-Tesche, portait la parole pour toutes les
nations
iroquoises. J’appris, ce jour-là, quantité de cho
sement perdu. Il faut le dire à la louange, & à la honte de notre
nation
, rien de si prompt & de si vif au travail, ri
fois pris par les Algériens que de l’être encore une par les Anglais,
nation
cruelle, tigresse & traîtresse. J’ai été pris
lecteur ne s’y méprenne pas : je dis la bonté de les tuer ; car cette
nation
diabolique n’en usait pas si humainement envers l
M. de La Chassée, qui est son fléau, & qui ne lui passe rien. La
nation
basse-bretonne & le monachisme ont éclaté sur
emède ; celui-là étant éprouvé utilement une infinité de fois par les
nations
qui fréquentent ces mers. On mouille dans une ans
ls, malgré les défenses, ayant commerce avec leurs parents & leur
nation
, les informent de tout, sans qu’on puisse connaît
que nous les attaquerions par mer. On peut juger de là combien cette
nation
est haïe partout. Mais, puisque l’occasion vient
, assez désintéressé pour rendre le plus souvent justice à toutes les
nations
, et même à toutes les communions, si l’on en exce
par conséquent ennemi mortel des Anglais ; et malheur à ceux de cette
nation
qui tomberont sous sa coupe. Il n’est nullement p
es Indes orientales. Le pape Clément Vil prétendait accorder les deux
nations
en adjugeant aux Espagnols tout ce qui est sur to
vaine décision a donné lieu à une infinité de disputes entre les deux
nations
; et la cour de Rome, qui ne les voit pas d’humeu
itre ces vastes pays appartenaient-ils au pape, pour les donner à des
nations
qui y avaient plus de droit que lui, puisqu’il ét
s cartes françaises, hollandaises, espagnoles et portugaises ; chaque
nation
mettant à son choix le premier méridien, au Pic,
aison : mais, je sais bien qu’ils l’exercent envers toutes les autres
nations
indistinctement ; et je sais bien encore que si o
i point vu de reliques, quoique ce soit ce qui coûte le moins à cette
nation
. L’évêque est blanc, de l’ordre de Saint-François
’homme qui le pousse à juger de son prochain en général, et de chaque
nation
en particulier, par les objets extérieurs dont il
, par les objets extérieurs dont il est frappé ; mais, à parler de la
nation
portugaise sur ce qui m’en a paru à Lisbonne, à l
use restitution, que, certainement, je n’attendais pas d’un Poitevin,
nation
toujours altérée. Du dimanche de Pâques, 26 ma
uatre le vaisseau à la première terre que nous trouverons, de quelque
nation
que ce soit. Il faudrait pourtant que le diable s
issue du dîner. J’y étais, et m’informais sur la carte des routes des
nations
, et par quel chemin on avait abrégé le cours des
t des vaisseaux qui vont ou qui viennent ; de leur nombre, et de leur
nation
. S’ils osaient, ils viendraient à nous ; mais, il
nité d’autres relations qui parlent des Indes. Tant de gens de toutes
nations
et de religions différentes ne se sont pas concer
commence la puissance formidable des Hollandais dans les Indes. Cette
nation
, la plus attachée au commerce, et qui connaît le
ite avec douceur et humanité et qu’elle n’a aucune acception, ni pour
nation
, ni pour religion, on ne doit pas s’étonner si el
r le mérite, dans quelque sujet qu’il se trouve, indépendamment de la
nation
et de la religion. (Le gouverneur du Cap est fran
On cache ce crime le plus qu’on peut, pour conserver l’honneur de la
nation
, qui punit avec la dernière sévérité la bestialit
ai déjà parlé. Cela ne m’épouvanterait pas s’il s’agissait de quelque
nation
plus méridionale. Tout le monde sait qu’il n’y a
lécites, et la perfidie, la cruauté, l’avarice et l’impureté des deux
nations
: vices qui leur sont familiers, et qui le sont e
ue lui et sa famille, et nullement la religion et la conscience de la
nation
. Jephté ne fut pas même pressé de l’accomplir : i
qui aient été embarqués. On peut voir, par cet échantillon, que cette
nation
n’est pas tout à fait barbare. Il nous conduisit,
que leur origine est assurément arabesque, et qu’à l’exemple de cette
nation
vagabonde, ils tirent leur plus forte subsistance
ur une religion aussi chaste que la catholique. Cela indique déjà une
nation
dont les mœurs ne sont pas tout à fait corrompues
us d’humanité qu’ils n’en avaient trouvé dans leur capitaine, de même
nation
qu’eux. Ils nagèrent à l’Oiseau, qui était le vai
ipage, ou capitaine des matelots, eut pitié d’eux, quoique provençal,
nation
pourtant très peu pitoyable. Il dit à M. d’Aire q
ajouté qu’il l’avait cru tout autre ; qu’ordinairement les gens de sa
nation
sont soldats ; qu’il ne devait pas se charger d’a
ces de canon. Effectivement, j’ai toujours ouï dire, à la honte de la
nation
, qu’elle est propre et bonne à tout entreprendre
btil : c’est par le commerce universel. Il fleurit si bien chez cette
nation
qu’elle est en état de se mesurer avec les têtes
rope comptent pour rien les conquêtes et les établissements que cette
nation
fait ici. C’est qu’on n’est, en Europe, occupé qu
intérêt de toute l’Europe d’avoir les yeux sur les démarches de cette
nation
en Asie. Cette terre de Trinquemalé paraît belle,
ni l’un ni l’autre ne connaissaient leurs forces ni le génie des deux
nations
. Les Français idolâtrent leur roi, et à propremen
ur hors de France et de [sic] servir pour ainsi dire de spectacle aux
nations
. Que la France de sa part y a-t-elle gagné, ou pl
ateurs. Mais depuis longtemps les Turcs et les Allemands, et d’autres
nations
en guerre, ont bien fait leurs paix ensemble sans
arder leurs enfants pour les élever à la sauvage et en augmenter leur
nation
en les y incorporant ; et afin qu’aucun des Franç
rveux, et âgé au plus de trente-cinq ans, il était un des chefs de la
nation
Iroquoise et des autres sauvages qui s’étaient jo
rit que rien ne démontait, et qu’il connaissait les intérêts des deux
nations
française et sauvage, et qu’il connaissait aussi
s française et sauvage, et qu’il connaissait aussi ceux de toutes les
nations
sauvages chacune en particulier. Ces gens-là ne f
voulait maintenir le commerce sur le pied qu’il était avec les autres
nations
. Il n’y eut que son neveu qui y fit faire mille f
u’elles aillent contre. Instruit par ce moyen de la jonction des deux
nations
, il écrivit qu’elles étaient jointes, au moins de
nous étions entrés dans la Manche si peu forts : Voilà une insolente
nation
! Si les Hollandais avaient donné, la France n’au
qu’il était hors d’état de défense, il ne connaissait point de quelle
nation
étaient les vaisseaux dont nous étions environnés
ait à combattre ou à craindre, et que ce sont les Jésuites de toutes
nations
qui s’y sont établis, et qui viennent au-devant d
r. Mais ce que je dis ne sera jamais suivi, étant très vrai que notre
nation
n’est propre qu’à commencer une entreprise, mais
le travail. En effet nous épousons toutes les mauvaises coutumes des
nations
étrangères, mais nous ne savons point imiter ni l
spem vetat Inchoare longam. 282. Il me semble qu’Horace avait notre
nation
en vue ; et en effet on nous regarde partout et o
une comparaison où l’Italien qui me la fit ne ménageait nullement sa
nation
. Il était honnête homme, et je le connaissais dès
le cardinal de Maldachiny. Cet Italien compara les quatre principales
nations
de l’Europe aux quatre insectes ou vermines que l
as, non plus que les siens, des griffes de pareils diables. C’est une
nation
fougueuse qui respecte trop peu le véritable S[ai
le est belle et même très utile pour le bien et l’honneur de toute la
nation
, et en particulier pour l’utilité des gens qu’il
leur industrie ils se sont fait un asile certain contre les barbares
nations
qui ont ravagé l’Italie pendant les 3, 4 et 5e si
s pour mettre toute la côte à couvert des incursions de toutes autres
nations
. J’y parlais d’un nommé M[onsieu] r de Saint-Cast
partie, retiré[s] dans les bois, enragés de la cruauté de leur propre
nation
, et de concert avec les sauvages assommaient tous
: je n’ai jamais vu de peuples plus misérables, quoique j’aie vu huit
nations
de sauvages dans le Canada. Et avec cela ceux-ci
uantité de naufrages qu’y ont faits des vaisseaux de toutes sortes de
nations
, la description d’une partie desquels fait horreu
Chaumont ambassadeur du Roi, fondé sur le plus court chemin que cette
nation
prenait pour aller aux Indes chercher ces bois od
e qui est une cruauté horrible particulière à ces peuples, les autres
nations
si barbares soient-elles ayant un très grand soin
s’y maintenir. Effectivement j’ai toujours ouï dire à la honte de la
nation
qu’elle est bonne pour tout entreprendre, mais a
r anglais ou hollandais : ce serait une lâcheté dont l’une et l’autre
nation
est incapable ; outre que nous avons ici assez d’
nt on ne peut pas se dispenser quand ce ne serait que l’honneur de la
nation
qui y oblige. Un des principaux officiers de la C
’honneur ces deux capitaines sur les prérogatives de l’une et l’autre
nation
et les richesses de leurs maîtres, et leur avait
trouve. Je vous ai écrit ceci pour vous faire connaître le génie des
nations
orientales et de leurs rois, qui malgré leurs ric
e est vrai : Gens superstitioni obnoxia, religionibus adversa. Qu’une
nation
attachée à la superstition est contraire à toute
r mer, parce qu’elle n’est pas si forte dans les Indes que les autres
nations
à beaucoup près ; elle ne commerce que par terre
beau navire que celui-là reste à pourrir dans l’eau douce. Les autres
nations
y en ont aussi et ont autant de peur de nous prés
nt pas bien, car outre que le Grand Mogol donnerait congé à celle des
nations
qui aurait tort, son commerce serait interrompu s
t les uns aux autres par voie de fait. Je n’ai point vu les loges des
nations
étrangères, j’ai seulement vu celle des Français
avis à quelqu’autre qu’il va à l’Ile Barboude qui appartient à cette
nation
; ce ne peut pourtant être de cette année, car au
e de manger les Anglais, ils les distinguent au fleuré de toute autre
nation
. Ils nous mangeaient aussi autrefois, mais leur a
uva dans un festin avec des Espagnols ; on y parla des héros des deux
nations
. Le Français nomma Don Quichotte, et demanda avec
angèrent point d’opinion, et chacun donna toujours la préférence à sa
nation
. Les Espagnols prétendirent que l’indifférence de
plus de maître, il ne ferait aucune difficulté d’en prendre un de sa
nation
, que son bonheur semblait lui présenter dans un p
de probité que les Espagnols n’ont, pas ; je l’avoue à la honte de la
nation
, mais la vérité me force à faire cet aveu. Il ser
e eut cessé de parler, nous ont avoué avec sincérité le génie de leur
nation
, il est juste de leur rendre le change, et d’avou
eur chasteté, sont mille fois plus louables que les femmes des autres
nations
que je viens de nommer, parce qu’elles sont toujo
c’est cette sagesse plus naturelle à nos Françaises qu’à aucune autre
nation
du monde, qui fait le sujet de l’admiration et de
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