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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
t-être, lorsque je vous aurai dit ce qu’il fit le propre jour qu’elle mourut , il y a environ quatre ans et demi. Dupuis, comme
reçut au siège de Charenton trois coups dans le corps, dont il pensa mourir . Tous les sacrements lui furent administrés, aprè
à être parée, et à être vue ; mais n’a jamais attaqué sa vertu. Elle mourut , comme je vous ai dit, il y a environ quatre ans
Il y va de la vie de votre enfant, parce que tous ceux que je tiens, meurent , et que de plus de vingt que j’ai tenus, il n’y e
it le reste de ses jours. Qu’il n’était pas assez bon pour se laisser mourir pour leur faire plaisir ; et qu’il ne voulait pas
e son amant ; et la pauvre fille fut conduite à l’Hôtel-Dieu, où elle mourut le même jour. Je m’en souviens, reprit Des Frans,
faire venir jusque-là ; mais on me disait à tout moment que j’allais mourir  ; et à force de l’entendre dire je le crus, la pe
e, où j’ai fait pénitence de n’être pas mort. Elle s’est enfin laissé mourir , et franchement elle m’a fait plaisir ; et il est
sais à son enfant. Ce testament n’a point eu de lieu, puisqu’elle est morte avant moi. J’ai vécu avec elle avec assez de tran
roit où je donnerai tout ce qui me reste, et où j’aurai le bonheur de mourir avec tranquillité. Je ne sais s’il poursuivit ; s
ous n’espérions plus rien de favorable que du temps ; et cependant je mourais de chagrin de voir vivre quelqu’un. Ce quelqu’un
our mon malheur un banquier qui avait plus de vingt mille écus à moi, mourut dans cet intervalle de temps ; et comme ces sorte
este, il les prit effectivement ; mais me demanda si j’avais envie de mourir avant lui, et ajouta que les gens d’honneur ne de
les ; elle fut si mal que l’on désespéra de sa vie, elle-même crut en mourir  ; elle jurait son Dieu et son âme, que si elle en
s moi-même. Je voyais tous les jours un homme, dont la vie me faisait mourir de chagrin, et que je ne pouvais haïr ; car outre
r dans ma chambre même. Je n’ai plus rien à prétendre au monde, et je mourrais tout à fait content, si je pouvais vous voir l’un
irais la tranquillité dont il la consolait ; car il est certain qu’il mourut en stoïque, et qu’il ne lui échappa jamais ni imp
qu’auriez-vous fait en ma place ? Quel parti auriez-vous pris ? On ne meurt point de douleur, j’en serais mort dans le moment
rbe, et la plus scélérate fille qui soit au monde, puisque Silvie est morte . Je ne sais ce qu’il peut y avoir, reprit Des Ron
ier, et fort avantageusement ; mais je ne puis songer qu’à lui, et je mourrai fille, ou je l’épouserai. Je le regarde toujours
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
d’amour si vifs, et qui donnaient à connaître un dessein si formé de mourir avec elle si elle mourait, que qui que ce soit ne
donnaient à connaître un dessein si formé de mourir avec elle si elle mourait , que qui que ce soit ne put douter que ce ne fût
le ménagez, j’en sais une cause plus forte et qui devrait vous faire mourir de honte ; et là-dessus il s’emporta à mille extr
r vous de nous rendre tous deux malheureux, vous voulez encore que je meure  ! Qui peut vous empêcher, poursuivit-il, de vous
r sur ses actions ; mais elle n’y gagnera rien, et quand elle devrait mourir de chagrin, je veux que vous y restiez. —  Ah ! S
ent, que si vous sortiez elle aurait ses coudées franches et que j’en mourrais de désespoir ? Laissez-la telle qu’elle est, pour
urd’hui, comptez que demain mon mari saura que vous êtes un homme, et mourir pour mourir j’aurai du moins la satisfaction d’av
ptez que demain mon mari saura que vous êtes un homme, et mourir pour mourir j’aurai du moins la satisfaction d’avoir fait mon
tôt qu’il les vit entre les bras l’un de l’autre, il se découvrit. Tu mourras , perfide, cria-t-il en venant à Célénie l’épée à
sa perte, ni au désespoir d’être l’objet des railleries publiques, il mourut comme il avait vécu les dix-huit derniers mois de
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
prier de monter promptement dans la chambre d’un des Français, qui se mourait . C’était Deshayes, qui se sentant proche de sa fi
comme elle apprit qu’elle était dans la chambre d’un Français qui se mourait , elle y monta, et fut présente au récit que fit D
açon les dédommager des peines qu’il leur avait causées. Il dit qu’il mourrait content s’il pouvait embrasser Sainville, et le d
uoi ayant prié sa femme qu’elle l’embrassât pour la dernière fois, il mourut entre ses bras avec toutes les dispositions d’un
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
et d’une prudence consommée. Il avait épousé une fille fort riche qui mourut trois ans après son mariage, et ne lui laissa qu’
maître. L’amour se nourrit et s’augmente par l’espérance, mais il ne meurt pas par le désespoir. Verville pensa mourir de do
ar l’espérance, mais il ne meurt pas par le désespoir. Verville pensa mourir de douleur et de rage, lorsqu’il ne put plus dout
ne doit pas faire, parce que ce sont des témoins convaincants qui ne meurent jamais, et qui ne peuvent être récusés. Il la pri
que c’est la joie la plus sensible que j’aie ressentie de ma vie ; je mourrai content si je vous vois réunis ; comme au contrai
e ; je mourrai content si je vous vois réunis ; comme au contraire je mourrai de douleur si la réunion n’est pas parfaite. Pard
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
ère sous leur tutelle. Pour moi, qui étais en classe lorsque mon père mourut , je sentis vivement sa perte ; et je la sentis bi
e y était entrée par une voie si oblique, et lorsque cette dame était morte . Je vous laisse à penser ce que je devins à cette
fille, parce qu’il le pouvait, en ayant eu une à peu près de son âge morte depuis peu sur le chemin de son pays à Paris. On
e de qualité : qu’il l’amenait à Paris pour cela ; mais qu’elle était morte en deux jours de maladie à Illiers. Qu’il avait p
it été autrefois de la connaissance de Madame la duchesse de Cranves, morte depuis environ deux ans ; et qu’il la regrettait,
dans un convent avec ma sœur, et qui que ce soit ne sait qu’elle est morte . Et Silvie pour n’être point reconnue, loge dans
aufort ; c’est lui qui était mon père. Il fut blessé, et avant que de mourir , il eut le temps de faire un testament tout de sa
n’ayant qui que ce fût à qui se confier, la mère de cet enfant étant morte en couche[s]. Il lui cita le jour, l’heure, l’end
pour avoir l’œil à ses intérêts, en cas que Madame de Cranves vînt à mourir , et qu’elle aurait pu se chagriner, si de son viv
i, que ce malheureux, qui avait eu quelque chose crevé dans le corps, mourut le cinquième jour de sa prison, jetant le sang pa
mal à propos soupçonnée, quoique très sage et très vertueuse ; et est morte enfin criminelle en apparence et très innocente e
r père, et leur bien ne peut pas être mieux qu’entre vos mains. Si je meurs devant vous, poursuivit-elle, et que je ne laisse
ien rendre à personne. Tout est à moi, et je vous donne tout. Si vous mourez le premier, soit que vous me laissiez des enfants
encore presque autant que l’argent qu’elle m’avait donné. Je pouvais mourir bientôt, et la laisser jeune et veuve. Si elle av
ela était faux, puisque celle-ci, qui était mariée secrètement, était morte en couche[s], et que la mère de Silvie n’était mo
crètement, était morte en couche[s], et que la mère de Silvie n’était morte que longtemps après. Que c’était une fille de gra
n de cette dame, il avait mandé à sa sœur que la mère de Silvie était morte en couche[s] et n’était qu’une simple demoiselle 
Si j’avais appris son mariage par un autre que par vous ; j’en serais morte de douleur ; mais pour tout héritage, je lui aura
commettre ; et je sortis. Je l’avoue avec Monsieur Des Ronais, on ne meurt point de douleur. Je fus à peine sorti que je me
eur le comte de Villeblain son frère. Madame Morin était heureusement morte quelque temps auparavant, et peu après que j’avai
térêt de le faire. Je n’avais pour lors autre dessein que de la faire mourir inconnue dans une prison éternelle. J’y montai, j
n pas vers le monde que je quitte sans regret, mais vers vous ; et je mourrai bientôt victime en même temps d’un amour légitime
s résister à tant de peines ; la fièvre me prit ; mais ne voulant que mourir , je résistai à ses accès, et ce ne fut qu’à Lyon
où la première nouvelle que m’apprit mon fermier fut que Silvie était morte il n’y avait que deux jours. Cette nouvelle si pe
me garda à vue comme un furieux : et enfin sans quitter le dessein de mourir , je quittai celui d’attenter sur moi-même, et j’a
ché à mon désespoir. Nous allâmes ensemble à ce couvent où elle était morte . Ma douleur se réveilla sur sa fosse. Je lui fis
ivement pénétré d’une véritable douleur de la mort de Silvie, qui est morte comme une sainte, et qui s’est souvenue de moi ju
rps que dans l’esprit. J’ai souffert tout ce qu’on peut souffrir sans mourir . Je me suis sincèrement repentie, et je me repens
6 (1721) Mémoires
gâté en bien des endroits, surtout à la mort de son héros, qu’il fait mourir dans ses visions à la fontaine de Merlin et que j
ait mourir dans ses visions à la fontaine de Merlin et que je faisais mourir en honnête homme revenu de ses imaginations. Soit
ppartient pas, et qu’il a défiguré par son peu de jugement en faisant mourir D[om] Quixotte de plurésie, et dans ses folies, s
en haute qu’il ne pouvait pas prier Dieu pour un homme qui le faisait mourir de faim ; et effectivement ne chanta pas. Tout le
emple de Paris qui est du côté du midi disent que ce pape et Philippe moururent tous deux le même jour et à la même heure, un ann
é, et dont vous vous êtes rendu indigne. En effet, ses quatre enfants moururent avant lui, deux de rage d’être cocus, un autre fo
ns de dire. Je parlerai encore d’eux ; et j’en reviens à la bonne foi morte en France, dont la rapidité de ma plume m’a écart
le Roi à Hérode, avec cette différence seulement qu’Hérode ne faisait mourir les enfants qu’après qu’ils étaient nés, mais que
urir les enfants qu’après qu’ils étaient nés, mais que lui il faisait mourir les innocents dans le ventre de leurs mères auxqu
ureuse accoucha dans le moment d’un enfant étouffé dans son corps, et mourut un quart d’heure après, vomissant mille imprécati
est juste que notre enfant se ressente de la dureté du temps, et s’il meurt de faim, il ira lui-même demander dans le ciel ju
. Le cardinal Mazarin était à la tête des affaires lorsque Louis XIII mourut et que Louis XIV son fils vint à la couronne. Bea
rance sous la minorité de Louis XV. 79. Le cardinal de Richelieu, qui mourut à la fin de l’année 16[42], laissa celui de Mazar
u’il lui donnât ce qu’il avait pris aux uns et aux autres, il pouvait mourir en bon chrétien. 86. Il faudrait savoir, pour app
l en sortit la vie sauve. Je dirai dans la suite de quelle manière il mourut sur le point de rentrer en grâce. Je reviens aux
e faire des amas de grains, et s’en sont servis uniquement pour faire mourir les pauvres de faim, et s’enrichir en ruinant les
le zèle indiscret de faux dévots qui gouvernaient Louis. En effet il mourut en 1683, et l’édit ne fut supprimé qu’en 1685 env
et reprend racine, la paix sera de longue durée, mais que si l’arbre meurt , la paix ne subsistera pas longtemps. 131. Je ret
ba, et ne fut relevé que tout en sang pour être porté chez lui, où il mourut le lendemain ; et il ne fut plus parlé de lui deu
nir sans éclater, il appela du monde sur les deux heures du matin, et mourut deux heures après dans une très grande tranquilli
m’oblige à suivre le goût d’autrui plutôt que le mien. 187. M.Colbert mourut en 1683, et le peuple, qui n’est qu’une bête féro
ances ; il en sortit dans le temps qu’il était chancelier. Son épouse mourut , et cela commença à le dégoûter du monde ; et que
pour Monsieur de La Faluère, qui se retira dans une communauté où il mourut environ deux ans après. 198. Pour revenir à M. de
larmes, les soupirs et les gonflements de cœur l’étouffèrent, et elle mourut en moins d’une heure, malgré les soulagements qu’
viventibus ! Quod meruere semper timent et expectant ! 224. Deschiens mourut comme il avait vécu, ne croyant en Dieu que par b
ans l’emploi en 1689. M.de Seignelay, secrétaire d’Etat de la Marine, mourut au commencement de 1691 : il fut encore revêtu de
us les jours quatorze et quinze cents personnes de tous sexes et âges mourir à Hôtel-Dieu, et les autres, faute de lits, mouri
tous sexes et âges mourir à Hôtel-Dieu, et les autres, faute de lits, mourir sur des tas de boue en pleine rue. Je ne dis rien
fallait simplement y en faire tuer une cinquantaine au plus, et faire mourir les autres peu à peu dans l’hôpital. J’entendis f
lus que ce qu’un ouvrier pouvait gagner, et presque tous les ouvriers mouraient de faim, parce que chacun se retranchait à son se
son seul nécessaire, encore très petitement. Les pauvres sans secours mouraient sur le pavé, et tout le monde se contentait d’en
r un écu, porter ce même écu chez un boulanger, y prendre du pain, et mourir un moment après. On en a ouvert quelques-uns, et
tigre, s’il pouvait parler, que d’un roi chrétien. Eh bien, quand il mourrait quatre ou cinq cents mille de ces canailles-là, q
et ordonna à son fils de le faire porter à Courson après sa mort. Il mourut deux jours après, et voici ce qu’on fit sur sa mo
, tout nous prêchant un Dieu, et le sentant dans nous-même. Le Gendre mourut comme il avait vécu, c’est-à-dire comme un chien,
lus vite à sa paroisse chercher ce confesseur ; mais Le Gendre voulut mourir comme il avait vécu, abîmé dans les affaires du m
e heure et demie à attendre, et qui n’en put jamais rien tirer. Ainsi mourut Le Gendre, morte praeciosa in conspectu diaboli.
attendre, et qui n’en put jamais rien tirer. Ainsi mourut Le Gendre, morte praeciosa in conspectu diaboli. Un pasteur vraime
’ils ont tenu fort longtemps en pénitence, et qu’ils ont enfin envoyé mourir je ne sais où ; je crois que c’est à Vérone ou Lu
cet endroit que je suis presque obligé de le rapporter. 292. Mon père mourut en 1681, et quelque querelle que j’eus vers la fi
es vautours et des bourreaux. 293. Enfin M. de Boucherat, chancelier, mourut en 1699, et M. de Pontchartrain fut élevé à cette
e jeux aimait celui du billard. La personne qui lui servait de second mourut . Il en fut fâché, et Monsieur le chevalier de Gra
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
ille. Angélique y resta six à sept ans ; et Mademoiselle Dupuis étant morte , son mari voulut mettre Angélique dans le couvent
contente, il me semble que je le serai aussi ; et qu’au contraire je mourrais de chagrin et de désespoir, si en vous épousant,
depuis leur mariage ; car ils sont mariés séparés de biens ; et qu’il meure quand il voudra, elle est en état de soutenir l’a
ique resta ainsi avec elle plus de deux ans. Au bout de ce temps elle mourut d’une rechute, et tout ce qu’elle fit de remarqua
che fournissait le moyen de le porter si leste. Angélique resta comme morte dans le moment. Elle était au désespoir d’avoir é
is que cette princesse avait fait d’elle, lui avait fait souhaiter de mourir dans le moment. Elle sortir promptement de la Foi
qui me fait horreur. Tout ce que vous pouvez me dire est inutile ; je mourrais de douleur si je ne la désabusais pas ; je mourra
est inutile ; je mourrais de douleur si je ne la désabusais pas ; je mourrai de vous perdre, mais mourir pour mourir, souffrez
douleur si je ne la désabusais pas ; je mourrai de vous perdre, mais mourir pour mourir, souffrez du moins que je meure justi
je ne la désabusais pas ; je mourrai de vous perdre, mais mourir pour mourir , souffrez du moins que je meure justifiée et inno
rai de vous perdre, mais mourir pour mourir, souffrez du moins que je meure justifiée et innocente dans l’esprit de tout le m
nt. Il le fut aussi : le laquais lui dit que sa maîtresse avait pensé mourir la nuit, et qu’elle l’attendait avec beaucoup d’i
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
’une semaine au mois. Peu manger et mal nourrir, font bientôt l’homme mourir . Tout bien compté et bien rabattu, je jeûne plus
les meilleurs aliments qu’on pourrait lui fournir, et de le renvoyer mourir chez lui en repos. En effet, ç’aurait été une cho
que cet accident, la duchesse de Médoc leur dit que cette demoiselle mourait d’amour pour l’incomparable chevalier des Lions,
cette nuit de son lit jusque dans l’étang du château où elle a pensé mourir de frayeur et de froid : les enchanteurs qui l’on
ps de fouet, et on vient de la remettre dans sa première chambre plus morte que vive. Est-il possible que vous ne vengerez pa
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
suite du Conseil, j’appris que Mademoiselle de l’Épine l’aînée était morte dans un état pitoyable il n’y avait pas plus de t
d’elle en effet. Mais comment peut-elle vous écrire, puisqu’elle est morte , poursuivis-je, à ce que tout le monde dit ? Elle
oir sera celui de ma mort ; mais je vous verrai du moins avant que de mourir . Quels troubles s’élèvent dans mon esprit ! Pourq
n soupçonnerai le motif, et tout le monde y sera trompé. Mais non, je mourrais de douleur à vos yeux, si je n’y remarquais point
ux sont passés pour moi, s’écria-t-il, je ne la verrai plus, elle est morte  ! Et mille autres choses qu’il dit de pareille na
es, qui la portèrent dedans par les pieds et les bras, comme une bête morte  ; et dans cet état, elle l’envoya à l’Hôtel-Dieu.
de la porter dans une petite chambre particulière. Ma pauvre femme se mourait  : elle était revenue de son premier évanouissemen
is de ses mains, et avec mille peines je lus ces paroles. BILLET. Je meurs , je ne m’attendais pas à tant de malheurs à la fo
restera de moi que le souvenir. Je sens votre enfant, il est mort. Je meurs aussi. Si je vous embrassais avant que de... Je
r plusieurs raisons, dont [la principale est] que le lieu où elle est morte ne lui fait point d’honneur. Il est vrai qu’il n’
estion, reprit Des Ronais, de cette autre passion, puisque Silvie est morte , (car c’est d’elle dont vous voulez parler) il es
u’elle et les autres à qui Monsieur Des Frans a conté votre histoire, meurent d’envie de vous voir aussi ; et toute la compagni
on, Madame, continua-t-il, le désordre ne me plairait nullement ; j’y mourrais de chagrin, mais je veux dire que souvent la tend
10 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
autre se rend bramène, ou prêtre des idoles. Quand tous ces idolâtres meurent , on les brûle. J’ai vu à cinq ou six cents pas du
indulgence ne s’étend point sur les veuves des bramènes. Que la femme meure la première, le monsieur bramène cherche parti ai
isait horreur, lui dîmes que si c’était la pauvreté qui la poussait à mourir , nous lui promettions de l’en mettre à couvert, &
elations est certainement faux. Leurs auteurs assurent que les hommes mouraient si fréquemment que les empereurs du Mogol ordonnè
, qui ne souffre point de contradictoire. C’est que les autres hommes mouraient aussi dru que les bramènes (si je puis me servir
honneur ridicule, & une vaine ostentation, que ces femmes se font mourir  ; mais, la volonté du prince n’a aucune part à le
s cette mort est volontaire, puisqu’il ne dépend que de ces femmes de mourir ou de ne mourir pas. Aussi, ne se brûlent-elles p
volontaire, puisqu’il ne dépend que de ces femmes de mourir ou de ne mourir pas. Aussi, ne se brûlent-elles pas toutes : il n
p; elle à huit ou neuf ; car, la nature est ici précoce. Que la femme meure devant où après la consommation, le mari cherche
, le mari cherche parti ailleurs ; je l’ai déjà dit. Si c’est lui qui meurt le premier, & que le mariage ait été consommé
r être Roi des Rois. Que les rois en prirent l’alarme ; qu’ils firent mourir beaucoup d’enfants ; & que, pour sauver le si
urs plats. Ces misérables nous tiennent impurs, & se laisseraient mourir de faim plutôt que de manger de ce qu’un chrétien
able, & prenait un peu du bouillon qu’on lui présentait. Son faon mourut le troisième jour entre ses bras, faute de nourri
a de nouveau, tout aussi inutilement que les autres fois. Enfin, elle mourut le matin du sixième jour de ses blessures entrant
lessée le samedi quatre du courant sur les cinq heures du soir, &  mourut le samedi à six heures du matin, dans le moment q
, qu’il est vrai que je suis chrétien baptisé & qu’il faut que je meure un jour. Que ce lecteur me trouve parmi les femme
e que dit Corneille Tacite au sujet de trois cents esclaves qu’on fit mourir parce qu’ils n’avaient pas assez bien gardé le sé
t tenir parole il voyait bien lui-même qu’il ne m’était pas permis de mourir si tôt & que c’était cela seul qui m’empêchai
la mort, terreurs si fortes & si pressantes qu’elles font souvent mourir dans le désespoir un homme prêt d’aller rendre co
été des prodiges de la nature, qui l’avait fait vivre sans cœur &  mourir sans rendre l’esprit. C’était un assez bon garçon
vaient eu aucune nouvelle l’un de l’autre. Il ne savait si elle était morte ou vive : il ne pouvait même indiquer aucune marq
certitude les soupçons qu’on avait conçus. Que ces jésuites vagabonds meurent pendant leurs courses, ce sont toujours pour la c
vaux évangéliques ont coûté la vie. Qu’ils soient assommés, ou qu’ils meurent d’un autre genre de mort violente, ce sont des ma
our tout le monde en général que, pour l’honneur de la Société, il ne meurt dans ces pays éloignés que les saints de la Compa
c moins de voiles que les autres ; car, quoique nous soyons chargés à morte charge, nous allons toujours mieux que les autres
u règne de Henri III, que les huguenots disaient qu’il avait fait bon mourir la nuit que mourut le cardinal de Lorraine, qu’il
I, que les huguenots disaient qu’il avait fait bon mourir la nuit que mourut le cardinal de Lorraine, qu’il fit très mauvais t
aux autres mourants. Si cela était ainsi, il a certainement fait bon mourir en Europe & dans l’Amérique ces trois dernier
quoi Pitrachard prétend la réduire par les tourments ; sinon la faire mourir  : étant trop bon politique pour la mettre entre l
us sortons des chaleurs. Un matelot, nommé René Le Penneven, vient de mourir . Du jeudi 5 avril 1691 Toujours vent bien p
1 Il y a aujourd’hui un an, dimanche 23 avril 1690, que M. Hurtain mourut . Nous aurions dû faire hier son anniversaire, mai
mort fréquente de nos matelots, & le genre de la maladie dont ils meurent . J’ai dit ci-dessus que je crois que toute la mat
s Lascaris dont j’ai parlé ci-dessus, ont pris la peine de se laisser mourir cet après-midi. Les bonites, ni autres poissons d
une planche, il faut m’en sauver. Eh ! combien y a-t-il d’avocats qui mourraient de faim s’ils ne plaidaient pas contre leur consc
amp; ses deux frères étaient passés en Angleterre ; que sa mère était morte de chagrin, & qu’elle était venue à Paris pou
, & comme les Espagnols ont fait dans le Nouveau Monde, les faire mourir peu à peu en leur cassant la tête avec des boulet
balle en dedans, y mettre le feu, les faire crever, & les laisser mourir dans cet état. Le diable est-il capable d’invente
; briser sur les rochers les enfants à la mamelle & les y laisser mourir d’eux-mêmes. Cela me donne trop d’horreur pour co
rougeole, petite vérole, etc. Les autres malades ne s’y ruinent pas à mourir dans les formes. Plus de vingt personnes de notre
ec nous. Je reviens à la limonade, dont, Dieu aidant, peu de nos gens mourront , parce qu’ils n’ont pas descendu à terre toutes l
rurgien, plusieurs matelots attaqués du même mal dont Jacques Le Roux mourut hier. Cela ne se dit pas tout haut, ni publiqueme
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
e, en mettant la main à l’endroit du cœur, mais du moins avant que de mourir , aurai-je la triste satisfaction d’inspirer à Sai
e gouverner avec Sainville après son infâme et indigne procédé. Si on mourait de douleur je n’aurais pas assurément passé la nu
ar environ quinze jours après être sortie de prison, elle fut trouvée morte dans son lit, avec beaucoup d’apparence d’avoir é
ce n’est pas là ce qui m’épouvante le plus, puisque je suis résolue à mourir mille fois plutôt qu’à me revoir jamais dans ses
ne heure après nous dans l’hôtellerie où nous étions. Silvie en pensa mourir de frayeur ; mais on la remit, en lui faisant con
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
is ma sœur est une sotte : outre que c’eût été un manteau, il pouvait mourir le premier, et la laisser veuve. Je perdis mes pr
. Peut-être en enragera-t-elle, mais il n’est plus temps. Ma mère est morte il n’y a qu’un mois, elle a témoigné du regret à
utes différentes, Clémence m’écrivit que Madame d’Ornex sa sœur était morte , maudissant père et mari, qu’elle n’avait jamais
it tombé malade, autant de l’esprit que du corps. J’espérais qu’il en mourrait , je demandais tous les jours à Dieu la fin de sa
i mon consentement, grâce à mon amour, j’ai tenu bon, bien résolue de mourir plutôt, que d’être jamais à un autre que vous. Le
accuserais de ma mort, et je veux pouvoir dire en mourant, que je ne meurs que parce que je ne puis vous appartenir. Hélas !
temps n’était point si court, je me flatterais de vous voir et de ne mourir pas ! Votre idée me donne vers le monde des retou
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
on. Quoi ! faut-il tant se désoler pour une femme ? Pardi pour une de morte mille retrouvées. Allez, allez, la perte n’est pa
pos. — Eh mon pauvre mari, lui répondit-elle, je vous demande pardon, mourez en paix. — Tu n’as donc qu’à t’en aller, lui repa
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
génie qui était évanouie et sans mouvement. Don Quichotte qui la crut morte résolut de la venger : Ah maudits Sarrasins ! s’é
abrielle de Monsalve qui elle était. Celle-ci qui croyait la comtesse morte , pleurait, criait et s’arrachait les cheveux sans
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
on Quichotte ne s’opposa point au dessein de la troupe, et Sancho qui mourait d’envie de se faire voir luisant et brillant dans
ta vie tu seras heureux ; mais si tu en agis autrement, prépare-toi à mourir avec infamie et à succomber au malheur qui te sui
la fille, laissez-la parler ; ne savez-vous pas bien que les envieux meurent et non l’envie ; mais tenez que si je trouve un M
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
res n’ont pas mieux exécuté de leur part ce qu’il leur recommanda. Il mourut trop tôt pour moi, puisque je commençais d’être e
qui se fit me laissa dans toute l’inutilité de la jeunesse. Mon père mourut vers la fin de juillet, et moi abandonné à ma bon
ous l’étions, pour pousser la débauche jusque-là, car ce garçon pensa mourir de peur. Pour exécuter cette sentence, nous le fî
e sein, percez si vous n’êtes pas satisfait ; au moins quand je serai morte , je serai à couvert de vos persécutions. Il n’est
s fermer la porte au verrouil. Je me rapprochai d’elle qui était plus morte que vive, et qui pleurait en pécheresse surprise
d’en sortir. Je n’ai que trop compris cette vérité, poursuivis-je. Je mourrais de rage et de désespoir si une clôture me défenda
er mon cœur aux tendres mouvements dont il est agité. Hé comment n’en mourrais -je pas, puisque tout libre que je suis, je n’ose
elle n’était plus en état de les entendre, je m’aperçus qu’elle était morte . Des objets si cruels pour moi me firent regarder
orce et à la quantité de ce que je lui avais fait manger, fut trouvée morte dans son lit. Silvie ne m’a point accusé de cette
onnable à une femme, de faire aussi tirer le mien. J’y suis menacé de mourir pendu et étranglé. Ah Dieu ! dis-je. Ce n’est pas
genoux, je ne pourrai m’empêcher de vous voir, et de vous adorer. Je mourrai malheureux, mais du moins je mourrai satisfait, p
vous voir, et de vous adorer. Je mourrai malheureux, mais du moins je mourrai satisfait, puisque vous saurez que je ne mourrai
ux, mais du moins je mourrai satisfait, puisque vous saurez que je ne mourrai que pour vous. J’ai le don de pleurer auprès des
escalier. Je revins en tirant mon épée du fourreau : elle était plus morte que vive, et tellement transie de frayeur, qu’ell
et moi percé de part en part tout plein de sang, et sa maîtresse plus morte que vive. Madame de Londé m’embrassa pour lors. A
17 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
endront pas le moment. La plupart des hommes vivent-ils comme prêts à mourir  ? Tanquam semper victuri vivimus… S. Aug.. La sec
r les disputes des écoles au sujet de l’état où cette âme reste comme morte , ou du moins assoupie avec le corps, jusqu’au jug
monde est charmé. Ces prétendus athées s’y reconnaissent. J’en ai vu mourir deux de ce caractère ; et je n’ai jamais vu de mo
atière qu’elle anime, ils prétendent qu’elle est organique et qu’elle meurt avec les organes naturels qui forment nos sens. I
réveillerait la charité tellement assoupie qu’il semble qu’elle soit morte dans le cœur ; parce que chaque homme vivant, se
combat de Famagouste, où Ruyter reçut une blessure au talon, dont il mourut peu après en 1674 à Palerme. Ces deux chefs des a
ne les poursuivit pas fort loin. Il revint à Messine, et Ruyter alla mourir à Palerme, moins de sa blessure que du chagrin d’
puis dire ce qu’on y fait cuire, n’y ayant vu ni feu ni bête vive ou morte , de terre, ni d’eau, pas même légumes ni œufs, ma
ar des gouffres vivants, Mon Dieu, dans ces cruels moments, Pour bien mourir en vous, l’âme est-elle assez forte ? Chausson,
int, il vient de lui-même se jeter dans les voiles, d’où il tombe, et meurt dans le moment, comme tout autre poisson de la me
vive et ardente, et un véritable repentir de nos péchés, et que nous mourrions comme lui dans une parfaite résignation à sa sain
l est, je crois, le seul homme du monde qui puisse les supporter sans mourir . Il a calmé pendant deux à trois heures : après c
e eau et le linge les retient. Cela dure environ huit jours. Ces vers meurent dans l’eau, qui devient blanchâtre, à peu près co
isson cause, je ne puis m’empêcher de dire que toute sorte de vermine meurt sous les tropiques. Cela est certain ; et je croi
er ; pour lui faire son procès criminel dans les formes, si le blessé mourait  ; et qu’il s’était porté partie formelle contre l
tures, tout indigne qu’elle était de sa protection ; que si le soldat mourait , on reconduirait Bouchetière en France, toujours
son procès, dont on envoierait copie en cour ; et que si ce soldat ne mourait pas, Bouchetière était assez puni par ce qui vena
lus vrai que la même expérience me montre que ceux de leurs pères qui meurent dans ces pays sauvages d’une mort violente, mais
plus grand plaisir est l’effusion du sang : aussi en voit-on très peu mourir d’une mort naturelle. La justice, l’ombre même de
n ne doit pas tirer à conséquence l’exemple de Saül, qui voulut faire mourir Jonathas son fils pour avoir mangé un rayon de mi
ni temples ni idoles. De là vient ce nombre prodigieux d’enfants qui meurent en sortant des entrailles de leur mère. Encore, s
ment point des Juifs, qu’ils ont pris cette damnable coutume de faire mourir leurs enfants, et de consulter les devins. Au pre
t pour maudite lorsqu’elle n’avait point d’enfants, ou que cet enfant mourait au berceau. Si cela avait été autrement, la posté
tes gens. C’est que les sueurs que cette chaleur excite, noie et fait mourir absolument toute la vermine qui s’engendre dans l
 ; et que tel animal que ce soit, lorsqu’il est piqué de cet insecte, meurt dans le moment ; et que le corps, la chair, le sa
ts d’oreilles et ses bracelets de diamants, sans que cette fille plus morte que vive ait dit un mot. Si, après cela, il l’eût
claves noirs, qui sont affreux. Ces malheureux se laisseraient plutôt mourir de faim que de toucher à ce qu’un chrétien aurait
e : que l’opra Pitrachard, qui avait usurpé le royaume, et avait fait mourir le roi notre allié, a été poignardé par Monpan, l
18 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ainsi nous avons cru que c’était un officier major qui s’était laissé mourir , et qu’on avait jeté à la mer. Nous nous sommes t
. Je ne sais ce qu’ils y font cuire n’y ayant rien vu, ni feu ni bête morte ou vivante, mais oui bien des négresses, qui m’on
r dans ces chaleurs-ci, on n’a pas la force de se remuer. Il vient de mourir un matelot à qui j’ai parlé il n’y a pas une heur
aperçu et faute peut-être de deux pater de vie ou de force davantage, mourir par la plus cruelle de toutes les morts, d’autant
par des gouffres vivants ! Hélas ! dans ces cruels moments Pour bien mourir en Dieu, l’âme est-elle assez forte ? En effet p
t à Dieu à Amzuam à la fin de nos rafraîchissements. Nos volailles se meurent d’elles-mêmes : je dirais volontiers que c’est le
urt, ces insulaires exposent à la fureur des bêtes fauves et laissent mourir misérablement leurs enfants d’abord qu’ils sont n
us saurez toujours que l’usurpateur du royaume de Siam qui avait fait mourir le Roi notre allié a été poignardé par l’ambassad
e classe qu’il y a des bramènes ou prêtres de leurs idoles. Quand ils meurent on les brûle. J’ai vu un corps brûlé à cinq ou si
reur, lui dîmes que si c’était la pauvreté qui l’obligeait à se faire mourir , nous lui promettions de l’en mettre à couvert ;
femme sont tous deux en âge de se joindre. Que les femmes de ceux-ci meurent avant ou après la consommation du mariage, les ma
i des Rois ; que les rois voisins en prirent l’alarme ; qu’ils firent mourir beaucoup d’enfants, et que Cita Maria pour sauver
quoi : ces misérables nous tiennent impurs, et se laisseraient plutôt mourir de faim que de manger de ce que des chrétiens aur
règne de Henri trois que les huguenots disaient qu’il avait fait bon mourir la nuit que mourut le Cardinal de Lorraine, qu’il
is que les huguenots disaient qu’il avait fait bon mourir la nuit que mourut le Cardinal de Lorraine, qu’il fit le plus vilain
oint à celles des autres agonisants. Si cela est ainsi, il a fait bon mourir en Europe ces trois derniers jours-ci, car assuré
tue. Il nous est mort encore ce matin un matelot, et un canonnier qui mourut dimanche dernier à l’Ascension. Toujours bon vent
ys-ci n’est pas sain, mais je me suis aperçu qu’on ne s’y ruine pas à mourir dans les formes, car plus de vingt personnes de m
e quantité de matelots attaqués à ce qu’on dit du même mal dont il en mourut un hier. On ne dit pas cela publiquement de crain
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
. Il contrefit l’étonné de les voir si bien armés. Don Quichotte, qui mourait d’impatience de se signaler, voulait brusquement
on gouvernement le docteur Pedro Rezio de Tirtafuera me voulait faire mourir de faiM. Mais à propos, mon cher maître, ce n’est
20 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ue je vous demande des nouvelles de ma famille. Madame votre mère est morte , dit le conseiller. Je le sais depuis longtemps,
s-moi, en attendant, ce qu’elle est devenue, et où elle est. Elle est morte , répondit Des Frans. Ils sont donc morts tous deu
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
elle. Et les contorsions qu’il faisait pour se tenir droit, faisaient mourir de rire les ducs et les autres qui le suivaient à
e que ma main et ma langue vont trop vite, mais il faut que le renard meure dans sa peau, à moins qu’on ne l’écorche en vie,
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
e même. Diable emporte si j’étais l’enchanteur je les laisserais tous mourir de faim par plaisir pour leur pénitence. Avec de
boso ne serait pas bien vengée si elle ne l’était par mon bras, et je mourrais de rage si un autre que moi le renvoyait en enfer
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
es qualités. Le maudit enchanteur Freston vient de la laisser presque morte des coups d’étrivières qu’il lui a donnés en ma p
itable chemin de retrouver son argent l’imita en criant : Allons, ici mourra Samson et tous ceux qui sont avec lui. Les França
24 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
qui appartenait au cocher d’Ivonne, vint lécher cette composition, et mourut un moment après. Quoi, dis-je, ma chère enfant, c
 ? Oui, Monsieur, ce l’est, me répondit-elle. Vous m’avez empêchée de mourir devant vous, vous avez jeté le poison que je voul
mettre dans la lettre, que ce garçon les en avait priés avant que de mourir  ; ce qui était vrai. Je les priai même d’envoyer
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
arbier, après huit saignées et grand nombre de bouteilles de tisanes, mourut entre les bras de son curé avec tous les sentimen
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
onsent pas, elle ne sera pourtant jamais à lui, parce qu’elle tombera morte à ses pieds devant le prêtre qui voudra les marie
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
preuve de cela, c’est qu’on voit peu d’hommes, mais plusieurs femmes mourir d’amour, témoin Didon pour Enée, Isabelle pour Ze
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