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1 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
l apprit que Dupuis était toujours de ses amis, et que Gallouin était mort . Il est mort, interrompit-il avec précipitation !
Dupuis était toujours de ses amis, et que Gallouin était mort. Il est mort , interrompit-il avec précipitation ! Oui, répondi
terrompit-il avec précipitation ! Oui, répondit le conseiller, il est mort comme un saint, et d’un genre de mort qui vous ét
répondit le conseiller, il est mort comme un saint, et d’un genre de mort qui vous étonnera, quand vous le saurez ; il y av
in. Comment, reprit encore Des Frans avec précipitation, Gallouin est mort capucin… Il voulait poursuivre lorsque le tailleu
eu de secret l’un pour l’autre, et leur confidence a duré jusqu’à sa mort , qui est encore toute récente. Il est venu ici qu
ilà, poursuivit Dupuis, l’état où nous en sommes, fort affligés de la mort funeste du pauvre religieux. Elle me touche, dit
asse aucune peine, Gallouin s’est rendu capucin, et outre cela il est mort . Il ne peut plus vous donner d’ombrage, et la let
ue, et où elle est. Elle est morte, répondit Des Frans. Ils sont donc morts tous deux, reprit tristement Dupuis, et peut-être
morts tous deux, reprit tristement Dupuis, et peut-être tous deux de mort violente. Non, répondit Des Frans, la mort de Sil
et peut-être tous deux de mort violente. Non, répondit Des Frans, la mort de Silvie a été naturelle. J’avoue, poursuivit-il
six ans, à cause de sa maîtresse ; par un homme que tout Paris croit mort depuis quatre ans, et qui retrouve sa maîtresse f
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
fait des pertes terribles. Heureux pourtant d’avoir reconnu avant la mort , qu’il n’était pas né pour amasser beaucoup de bi
y a environ quatre ans et demi, aux jours gras ; le propre jour de sa mort son mari se masqua et alla chez le marquis de Ver
e qualité, qu’il épousa quatre jours après. Il avait été averti de la mort de Mademoiselle Dupuis, et on remarqua que cette
isait, la seule journée de bonheur qu’il eût eu en sa vie, mettant la mort de sa femme et son gain dans le même rang. Comme
médecins et des chirurgiens, fit ouvrir le corps de sa femme ; et la mort s’étant trouvée naturelle, il prit leurs certific
us laid, n’ayant rien de beau que le front, les yeux et la taille. La mort de sa mère ne la fit point sortir du couvent ; Du
 ! Je me représentai les bruits qui avaient couru de sa mère après sa mort , le peu de bien qu’elle avait ; et je crus que qu
re chanter un aveugle. Qu’il fallait si elle voulait l’avoir après sa mort , qu’elle le gagnât pendant sa vie par son attache
vait s’il y aurait plus d’un côté que d’autre ; et que peut-être à sa mort , sa fille paraîtrait un parti aussi avantageux po
’autre lui appartenaient, et qu’il voulait les conserver jusques à sa mort , n’étant nullement d’humeur à se dépouiller avant
et qu’il ne voulait pas les exposer à offenser Dieu en souhaitant sa mort . Que le monde n’était rempli que de vieillards qu
à, son inclination n’étant pas de la marier de sa vie, et qu’après sa mort elle choisirait elle-même. Qu’il n’avait point en
ille qui me doit tout, et à qui ma seule bonté y donne droit après ma mort . On veut m’obliger de quitter un bien dont je ne
lais mourir ; et à force de l’entendre dire je le crus, la peur de la mort m’avait démonté. Quand on est dans cet état-là, l
uit ans avec elle en purgatoire, où j’ai fait pénitence de n’être pas mort . Elle s’est enfin laissé mourir, et franchement e
ie, ou à filer le parfait amour en fidèle héros de roman jusques à sa mort , qui arriva environ dix-huit mois après. J’avais
é que je lui avais jurée, et Didon m’assurait de la sienne jusqu’à sa mort . Didon s’est pourtant démentie, mais ce n’est pas
dont je suis à présent revêtu. Il en était tombé une à vendre par la mort du titulaire ; il s’agissait de payer. J’avais en
chez Madame de Ricoux chez qui je logeais, car ce n’est que depuis la mort de Dupuis et ma réception dans ma charge, que je
’en coûta de l’argent, et que je promis de prendre l’enfant ; mais sa mort qui arriva quinze jours après sa naissance, me dé
nature défaillit en un instant. Il avait assez vécu pour songer à la mort . Il s’y prépara en bon chrétien, et comme cette f
ns mon cœur une faiblesse qui y était, et que la seule approche de la mort en chasse. Je sais que vous l’aimez véritablement
nt, si je pouvais vous voir l’un à l’autre, et voir ma fille avant ma mort dans une alliance assurée, que mille contretemps
eures de vie. Il semblait qu’il prévît ce qui devait arriver après sa mort  ; mais le voyant dans une si bonne disposition, j
Bientôt débarrassé des troubles de la terre, Et bientôt au nombre des morts , Je ne me verrai plus dans l’esprit et le corps C
u nombre de mes jours, Je ne gémirai plus des coups de la fortune, Ma mort en arrête le cours. Ce n’est point un mal que la
la fortune, Ma mort en arrête le cours. Ce n’est point un mal que la mort  ; Je m’y prépare sans effort. Toujours obéissant
ne vous porte point d’envie. Les troubles d’ici-bas sont pires que la mort , Si du fond du néant j’avais pu les connaître, Et
t point en vivant qu’on trouve du repos. Contre tous ces malheurs la mort m’ouvre un asile, Je m’y jette l’esprit tranquill
ant la main et en demandant des prières, il expira entre mes bras. Sa mort m’arracha des larmes, et je secondai très sincère
out, et que notre mariage ne regardant plus que nous, et nullement le mort , à qui il était désormais indifférent, nous n’éti
, où j’avais laissé Madame Dupuis et son fils, belle-sœur et neveu du mort , et plusieurs autres parents, qui tous me regarda
lui représenta en ma présence, que si elle se mariait sitôt après la mort de son père, cela donnerait à parler ; qu’on dira
soit ce rival, je vous jure sa perte sitôt que je serai arrivé, ou ma mort me délivrera de l’horreur de vous voir entre ses
el parti auriez-vous pris ? On ne meurt point de douleur, j’en serais mort dans le moment même. Je restai plus d’une heure c
a fureur, et résolus de prévenir cet homme, qui promettait si bien ma mort avant que de m’avoir vu. Je mis la main à la plum
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
lui manquai de respect, et m’en séparai d’une manière à lui mettre la mort au cœur. Elle en tomba malade, et en cacha le suj
’emploi. Il me semblait qu’il m’était honteux, fils d’un homme brave, mort au service de son prince, de passer ma vie dans u
je dois l’honneur de vous avoir vue, et j’ai un sensible regret de sa mort que Monsieur Des Ronais m’a apprise. Je revins à
ries et beaucoup d’argent comptant que cette dame avait peu devant sa mort , et qu’on n’avait pas trouvé dans ses coffres : q
ue tout cela était demeuré un simple soupçon, parce que Garreau était mort en prison, où les héritiers de cette dame l’avaie
Silvie mot pour mot. Il la déchira sur sa conduite, sur le secrétaire mort en prison, et finit par me dire, qu’il n’y avait
hères, continuai-je parlant à Silvie ? C’est dommage que Garreau soit mort en prison ; on dit que vous vous aimiez tant, que
vous vous aimiez tant, que vous vous seriez tenu compagnie jusqu’à la mort  ; et que vous auriez été unis tous deux par une m
nt que j’étais, ne me laissait pas plus de connaissance qu’à un homme mort , je restai longtemps dans cet état. Enfin j’en re
ébarrasser, me donna celui de réfléchir à ce que je voulais faire. La mort de cette femme était indigne de ma main. Je me co
e résisterait ; je n’avais aucune attache à la vie. J’espérais que la mort me délivrerait du malheur qui m’avait toujours pe
de tout. Il est certain que dans cet état j’aurais reçu l’arrêt de ma mort avec joie, ou du moins avec indifférence. Mais mo
it que j’étais indigne de vivre si je payais une si bonne mère par la mort que je lui donnerais en me précipitant dans ce qu
e la duchesse de Cranves était sœur de Monsieur le marquis de Buringe mort en Candie avec Monsieur de Beaufort ; c’est lui q
déplaisir qu’il avait de ne l’avoir pas retirée lui-même, lorsque la mort de ses frères l’avait rendu l’aîné de sa maison ;
sa nièce. Vous avez eu raison de me dire que je devrais regretter la mort de Garreau. Il avait cette lettre que Madame de C
n approfondir la vérité, les directeurs de l’hôpital ne sont pas tous morts . Ils me reconnaîtront, et sont trop honnêtes gens
ns votre lit, et c’est de quoi je vous demande justice. Il était plus mort que vif pendant mon discours, mais il le fut bien
sa s’en ressentir pendant la vie de Madame de Cranves : mais après sa mort il s’en est vengé d’une manière digne de lui, pui
d’une manière digne de lui, puisqu’il est cause de sa prison et de sa mort , dans une espèce d’infamie. Il est temps de vous
qu’elle le pouvait. Elle m’aimait et ne voulut pas m’exposer après sa mort aux risques de plaider contre des héritiers extrê
mes menues pierreries devant ceux mêmes qui y auront intérêt après ma mort  ; et pour ce que je lui laisserai par mon testame
r, et tout le monde étant sorti, elle leur parla ainsi devant moi. Ma mort va bientôt vous rendre tous deux maîtres de ce qu
ous en avertir. Je lui laisse encore quelque argent comptant après ma mort , et une petite rente toute sa vie, ne lui dispute
nsuite qu’ils ne trouveraient point ou peu d’argent comptant après sa mort , ayant disposé de tout par conscience : mais auss
ne trouveraient pas un sol de dettes, ayant depuis son veuvage et la mort de ses frères tout à fait acquitté les dettes des
a d’y avoir l’œil aussi ; mais je ne fus pas en état de lui obéir. La mort de Madame de Cranves qui arriva quatre jours aprè
ue cette dame avait reçu beaucoup d’argent environ dix jours avant sa mort . Il le dit à un homme de pratique que Monsieur d’
sur votre rupture, vous ne refuseriez pas de remplir une place que la mort de ma femme vient de laisser vacante. Si bien don
pez-vous une fois pour toutes : je n’entre point dans le détail de la mort de votre femme qui se portait bien il n’y a qu’un
serai généreuse : parlez seulement. Que vous dirai-je, reprit-il ? La mort de ma femme me laissant une place à vous offrir,
pas connu ? Si je lui avais dit qui vous êtes, vous seriez peut-être mort à l’heure qu’il est sous le bâton, et je n’aurais
laissâmes pas elle et moi d’avoir regret d’être en partie cause de la mort d’un homme, quoiqu’il la méritât bien. On ne parl
omme, quoiqu’il la méritât bien. On ne parla pas plus de lui après sa mort que s’il n’avait jamais été en vie. On ne put pas
en cet endroit, je sais la vie de Rouvière presque par coeur, il est mort en prison, il n’y a que fort peu de temps ; il av
rt peu de temps ; il avait subi huit interrogatoires que j’ai lus. Sa mort et la considération de fort honnêtes gens et de q
st peut-être pas tout à fait soutenue. Elle s’est soutenue jusqu’à sa mort , reprit Dupuis, écoutez le reste, lui dit Des Fra
sser jeune et veuve. Si elle avait eu son bien, elle pouvait après ma mort trouver un parti considérable, et tout autre que
sité absolue de passer dans un convent le reste de ses jours après ma mort . Non, plus je me représente cette démarche, et pl
trahisse un secret qui m’a été confié par des gens qui sont à présent morts , au hasard de ne faire pas ma cour aux vivants, q
ient la faire reconnaître. Que les aînés de Monsieur de Buringe étant morts , et lui n’ayant point fait ses vœux, il était rev
st fait votre mariage ; et enfin tout ce qui lui est arrivé depuis la mort de Madame de Cranves. Non seulement je l’approuve
, et après cela Silvie lui dit tout ce qui lui était arrivé depuis la mort de Madame de Cranves, et la manière dont s’étaien
e n’a qu’un temps, mais que la vérité subsiste toujours, et que si la mort de Rouvière répondait à sa vie, elle y aurait tro
ommandeur partit peu de temps après pour retourner à Malte, où il est mort il y a environ trois ans, bien touché de la mort
r à Malte, où il est mort il y a environ trois ans, bien touché de la mort de Silvie que je lui appris, sans oser lui en dir
mpait sans doute, puisqu’elle couchait dans sa chambre. On dit que sa mort ne fut pas tout à fait naturelle, et qu’elle fut
’en ai point approfondi la vérité. Quoi qu’il en soit, j’eus de cette mort toute la joie dont j’étais capable. Elle me tirai
s-je, c’est l’endroit qui vous est destiné pour pleurer jusqu’à votre mort votre crime, et ma honte. Jamais sentence de mort
eurer jusqu’à votre mort votre crime, et ma honte. Jamais sentence de mort prononcée contre un criminel ne fit sur lui un ef
dont on conserve la vie uniquement pour faire un exemple public de sa mort . Elle ne revint point à elle par les violentes se
en était indigne ; elle me priait seulement d’abréger par une prompte mort des malheurs plus grands que la mort même, et je
lement d’abréger par une prompte mort des malheurs plus grands que la mort même, et je la quittais sans lui rien répondre. L
une vie tranquille, et moi n’ayant aucun repos à espérer que dans la mort que je vais chercher, et qui ne m’arrivera pas si
r ; ne vous informez point de moi. Je vais me persuader que vous êtes mort  ; c’en sera assez pour abréger des jours qui me s
onnez, Monsieur, ajouta-t-elle en me regardant, à ma mémoire après ma mort , l’horreur que ma vie vous inspire. Ne portez poi
e pris la route d’Italie. Tout me déplaisait ; je ne cherchais que la mort . Je ne pus résister à tant de peines ; la fièvre
profita d’un de leurs relâches pour me dire que je devais songer à la mort , et qu’il n’y avait pour moi aucune espérance de
i la prendre ni la lire, s’étant absolument condamnée elle-même à une mort civile. Je reçus tous les sacrements, on crut que
er. Je ne vous dirai point les regrets que je fis, je m’accusai de sa mort , et voulus m’en punir moi-même. On m’ôta mon épée
ncy, lui et moi allâmes en Hongrie. L’envie que j’avais de trouver la mort , me fit passer pour un déterminé ; on donna à une
ste vie que j’y ai menée. J’y reçus il y a deux ans la nouvelle de la mort de ma mère, qui me fut fort sensible. J’avais tou
uoique pourtant encore vivement pénétré d’une véritable douleur de la mort de Silvie, qui est morte comme une sainte, et qui
r suivi une maxime plus douce et plus humaine. L’état où ils seraient morts ne m’aurait causé que des remords éternels, au li
it causé que des remords éternels, au lieu que je suis innocent de la mort de Madame Morin, et que Silvie et Gallouin ont fa
le déguisement n’a jamais été de mon caractère, et la retraite et la mort de son épouse me charment. Si, poursuivit cette d
ir n’avait pas été sincère, pourquoi l’aurait-elle soutenu jusqu’à la mort  ? Oui, continua-t-elle, Silvie était innocente, e
e dangereux et même magique, si j’ose me servir de ce terme. Ils sont morts tous deux, Madame, dit Dupuis, et tous deux dans
4 (1721) Mémoires
s comme je suis certain que ces mémoires-ci ne paraîtront qu’après ma mort , je crois que les louanges qu’on a fait de mes éc
fait honneur, quoiqu’il l’ait gâté en bien des endroits, surtout à la mort de son héros, qu’il fait mourir dans ses visions
, que c’eût été dommage qu’un aussi honnête homme que notre héros fût mort dans ses imaginations. 2. Messieurs du Journal li
bles qui ont bien terni sa réputation, et qui ont été cause qu’il est mort avec peu de regret de ses sujets, quoiqu’il en eû
uand vous serez au bout, vous me direz combien d’empereurs turcs sont morts dans leur lit, et je vous dirai moi combien il en
t morts dans leur lit, et je vous dirai moi combien il en est péri de mort violente. Je vous en dirai les causes et vous pro
it, il aurait été très avantageux à la mémoire de Louis XIV qu’il fût mort trente ans plus tôt. Ses conquêtes seraient toute
ume riche et abondant aurait rendu sa mémoire précieuse, et il serait mort dans ce temps-là le père et l’adoration de son pe
nnent quitte[s] du leur, étant très certain que le roi Jacques serait mort sur le trône si il n’avait pas entrepris de rendr
dont la même paroisse de Saint-Eustache est remplie tant vivants que morts , quelques-uns d’eux dont on a caché les noms entr
ée de ce qu’un coup de foudre n’écrasait pas un si grand scélérat. Sa mort est un fruit de ce pouvoir arbitraire qu’il inspi
l’autre à Paris. 53. La première est qu’une femme dont le mari était mort il n’y avait que quinze jours ou environ, et qui
d’heure après, vomissant mille imprécations contre les auteurs de sa mort , dont elle demandait à Dieu la vengeance ; et pou
re, les coquins d’archers ou sergents, craignant d’être accusés de sa mort , dont ils étaient assurément cause par les coups
eu nommé comte d’Ayen, fils du maréchal de Noailles, et qui depuis la mort de son père est appelé duc de Noailles, et le mêm
it par des espions qu’il avait partout, résolut de s’en venger par la mort du comte, et fit si bien par ses intrigues sourde
oissons à la bataille de Sedan. Que cela soit vrai ou faux, et que la mort de ce prince fût un coup de bonne guerre, ou un c
e pareille alliance, il ne songea qu’à s’en venger, et réussit par la mort du comte et par l’éloignement de Gaston qui fut o
n tout naïf, vous perdrez vos pas car le chanoine qui les faisait est mort il y a plus de trois semaines. Cette aventure dér
ce qu’il y eut d’étonnant, c’est qu’on ne fit aucune enquête ni de sa mort , ni de ceux qui pouvaient en être les auteurs, et
point de mal qu’on n’ait dit de ce prélat pendant sa vie et après sa mort . Cependant toute la France convient à présent qu’
de quoi vivre, mais il trouva bientôt un moyen facile d’en avoir. La mort de Louis XIII qui arriva environ un an après cell
était son mari ; en effet elle l’avait épousé environ un an après la mort de Louis XIII. Bien des gens s’en doutaient, mais
la chose à mon père qui me défendit bien d’en parler, mais tous étant mort [s] je ne vois point de raison de garder à présent
’avait cru pendant sa vie, il témoigna ne le plus croire au lit de la mort , et ce fut là l’action la plus sincère qu’il eût
de Sorbonne en firent autant, et vraisemblablement le cardinal serait mort sans aucun sacrement de l’Eglise et en véritable
, il aurait été un prince parfait et un véritable héros. 88. Après la mort du cardinal on grava son portrait, au bas duquel
n’avons plus que la copie. Le diable a pris l’original. 89. Après sa mort M. Fouquet lui succéda. 11 fut assez mal conseill
lui furent confrontés, sa conviction fut complète, et sa sentence de mort lui fut prononcée qu’il n’était pas midi ; on le
apprirent avec surprise dans le même temps sa prison, son crime et sa mort . Mais comme l’exécution était faite, il n’y en eu
abondance. En effet, tant que son ministère, qui a duré jusques à sa mort , a subsisté, la France ne s’est point ressentie d
amour des peuples et faire leur félicité, a été interrompue depuis sa mort , en faveur de malhureux qui n’ont retenu de lui q
vécu. Mais son zèle pour le roi et le royaume ne tint point après sa mort contre le zèle indiscret de faux dévots qui gouve
1683, et l’édit ne fut supprimé qu’en 1685 environ deux ans après sa mort . 99. A l’égard du commerce, on peut assurer que j
fait par le roi d’Angleterre Charles II, qui ne voulut pas venger la mort de son père par l’effusion du sang d’aucun de ceu
ouis, et aurait sans doute réussi s’il n’avait pas été prévenu par la mort . 102. Il faut dire à sa louange que quelque remon
bert. Monsieur de Pontchartrain, qui a dû avoir ces mémoires après la mort de Monsieur de Sei-gnelay, puisqu’il lui a succéd
de santé qu’ils n’auraient été chez père et mère, et qu’il n’en était mort aucun. Je ne vois là-dedans rien que d’humain et
s peuvent me servir de témoins, car certainement ils ne sont pas tous morts . Mais comme il faut passer douze cents lieues de
heur de tout le royaume. 132. Les fréquents changements que depuis la mort de ce ministre on a fait dans la monnaie, par les
main ; et il ne fut plus parlé de lui deux jours après que d’un chien mort . 137. Ses confrères en furent quittes pour aller
aient. Il ne voulait donc pas passer cet impôt. Mais Hindret, qui est mort receveur des consignations à Vannes en Bretagne,
e. Il est vrai qu’il me la dit en secret, mais tous les acteurs étant morts , je ne crois pas devoir le garder. 155. Louis dau
ous est dû ? Nommez-le-moi, et je vous en promets la vengeance, ou ma mort . — Non, Hubert, lui dit le dauphin, je n’ai aucun
mbarqua sur le soir, mais on ne sait par quelle destinée il trouva la mort à Châlons-sur-Saône. Il avait mangé le soir à son
point ouvert, et qu’on ignore encore s’il a été empoisonné, ou si sa mort a été naturelle. 172. Quoique M. Colbert fût four
vit M. Picon, je ne crois pas qu’il l’ait été au point de procurer la mort à qui que ce fût. Il est pourtant vrai qu’il crai
ssipation. Le contraire a paru par le peu de bien qu’il a laissé à sa mort après un ministère de plus de vingt-un ans. Mais
le peuple, qui n’est qu’une bête féroce, crut avoir tout gagné par sa mort  ; que les impôts allaient cesser, et que l’âge d’
et bien justes, les voici : Non dolus inventus in eo. 189. Après sa mort , M. de Louvois, qui avait besoin d’un homme à la
ni prendre la qualité de tuteur ; et ce Jean-Jacques de Mesmes étant mort , son fils, père du premier président d’aujourd’hu
cessaire tant pour la vie que pour les vêtements ; mais que depuis sa mort son fils qui lui avait succédé les laissait manqu
ouffrir qu’un innocent vivant soit coupé en deux comme l’autre enfant mort . Mais dans le jugement du Roi, c’est parler en vé
urvivre à l’affront qu’il avait si publiquement reçu, et on le trouva mort le lendemain samedi, la tête sur le bureau, et le
t à sa maison de Reuil [sic] proche Meulan cinq ou six jours avant sa mort  ; et la visite de M. de Brissac chez lui m’a été
Sa nourrice savait le secret de sa naissance et ce fut la cause de sa mort . Elle ne tenait de la race canine qu’un très peti
refusa pas le parti, mais la difficulté fut à lui trouver des parents morts dont les noms cadrassent à son extrait baptistair
s et se moquait encore d’eux. Je lui ai ouï dire à un nommé M. Lemée, mort fermier général, que quoiqu’il fût un des plus fi
ent osé lui demander des billets, et qui se servaient du moment de sa mort pour tâcher d’avoir raison de lui, il était sourd
tes les conséquences de cette démarche, et se comptâ[t] au nombre des morts sacrifiés à la pétulance d’un ministre ignorant e
’ils croyaient que le roi Jacques y était, et qu’ils voulaient par sa mort ou sa prise assurer le repos de l’Angleterre et l
canon lui emporta la tête. Le sous-lieutenant épouvanté d’un genre de mort si prompt, se mit à dire : Ah ! mon Dieu, sauvez-
ière parole qu’un autre boulet de canon lui perça le corps et le jeta mort sur la place. Le capitaine, qui, je crois, était
rbal ; et lorsque je lui dis que nous avions cent quarante-six hommes morts et plus de soixante blessés, il me dit qu’il ne f
public. Il semble qu’on va les mener à la boucherie, et la peur de la mort que cette cérémonie leur inspire les laisse fort
enger en même temps le Ciel et la terre ; qu’ils devaient offrir leur mort à Dieu en satisfaction de leurs péchés, et rendre
e, tant la harangue de l’aumônier leur avait imprimé la terreur de la mort . Cependant la couleur leur revint à la seconde bo
nt les plus effrontées harengères auraient eu honte. Lorsque après la mort de M. Boucherat M. de Pontchartrain fut revêtu de
it plus à lui du tout lorsqu’il l’envoya quérir dix-huit ans après la mort de son mari, à laquelle il rendit tant pour elle
elle s’en serait ressentie. Il tomba malade de la maladie dont il est mort . Il envoya chercher des médecins pour consulter d
s faire brûler ; qu’il voulait les conserver pendant sa vie ; que lui mort celui qui les aurait en ferait tout ce qu’il lui
e eu trop de respect pour Messieurs du Parlement pour les dédire à ma mort . A l’égard du bâtiment de Saint-Roch, je n’appréh
int-Roch, et ordonna à son fils de le faire porter à Courson après sa mort . Il mourut deux jours après, et voici ce qu’on fi
rès sa mort. Il mourut deux jours après, et voici ce qu’on fit sur sa mort  : Thévenin est donc mort, ce n’est pas grand dom
x jours après, et voici ce qu’on fit sur sa mort : Thévenin est donc mort , ce n’est pas grand dommage : Tout Paris et la co
aintes actions dans la sacrée maltôte a été canonisé au pilori et est mort aux galères. Il y était venu voir aussi un nommé
taient dans mes intérêts. Le hasard voulut qu’un de mes parents était mort il n’y avait que huit jours. Il m’était assez pro
é de sa fortune, du fondement de cette fortune, de son progrès, de la mort de Cordier et du reste de ce qui le regarde, puis
fait auprès de Secousse, et accusa le peu de charité de ce curé de sa mort . (C’est ce billet qui a été trouvé qui a tout déc
rs des Missions étrangères, de la ruine entière de la Religion, de la mort de M. Constance, de la prostitution de sa veuve,
ui ramenait en France tant de misérables qui auraient dû périr par la mort la plus infâme. Le père Marcel Le Blanc, seul Jés
sacrements gratis ; qu’il n’exige rien du tout pour la sépulture des morts  ; et que, quelque occasion qui se présente, il ne
par les actions des vivants prévoir ce qu’ils deviendront après leur mort , combien voyons-nous de cadavres honorablement en
rt, combien voyons-nous de cadavres honorablement enterrés après leur mort qu’on aurait dû brûler vivants ? Tout le monde sa
rt qu’on aurait dû brûler vivants ? Tout le monde sait la cause de la mort de Baptiste Lulli, surintendant de la musique du
rs fois brûlé vif pour sodomie. On fit ces vers-ci sur la cause de sa mort  : Pour se guérir de la gangrène, Lulli a fait à
le plus honnête homme du monde. Voici ce qu’on a fait à ce sujet : O mort qui cachez tout dans vos demeures sombres, Et par
retien de cette colonie des secours réels et fréquents, et que Crozat mort , cet établissement sera abandonné comme l’a été l
ceux qui approuvaient le plus une si belle et si utile entreprise. La mort de cet homme doit instruire ceux qui travaillent
ulut me voir. Ces mémoires, restés à M. de Seignelay, ont dû après sa mort en 1691 passer entre les mains de M. de Pontchart
ortât la séparation ; que Monsieur le Premier Président de Metz était mort sans enfants mâles ; que son oncle était hors d’â
n de François Ier, à qui il n’avait pu guérir le gros lot dont il est mort à Rambouillet. Varillas le dit en une infinité d’
mé rester à Baston avec les Anglais, chez lesquels je crois qu’il est mort . Du moins n’est-il pas revenu en France. Il aura
la France de former des projets de ce côté-là ; et ce ministre étant mort en 1691, et sa place ayant été remplie par un hom
missaires qui jugea M. Fouquet. Il y avait donné ses conclusions à la mort pour faire plaisir aux gens qui étaient en faveur
it disposé à faire pour M. Chamillart tout ce qu’il pouvait faire. La mort de M. de Boucherai qui arriva ouvrit à la marquis
gent et de crédit, qu’il fut obligé de prendre à toutes mains ; et la mort de Charles II, roi d’Espagne, qui appelait à sa s
de nous tous que nommera le sort, N’importe qui ce soit, méritera la mort . Nous espérons pourtant que la troupe grondeuse M
chesses odieuses des gens d’affaires augmentaient de jour en jour. La mort de Monsieur de Barbezieux, ministre d’Etat de la
on viendrait en tirer un au sort pour être pendu et étranglé tant que mort s’ensuivît en leur présence, tous ses biens acqui
qui le cachaient ; et qu’il ne voyait point d’autre véhicule que leur mort publique et une sévère question qui pût donner à
5 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
in brouillard qui empêche les yeux de pénétrer. Notre apothicaire est mort cette nuit ; nous l’avons jeté ce matin à la mer,
ubère et Monsieur Céberet. Je crois qu’il est lui-même l’auteur de sa mort et qu’il aurait vécu davantage s’il avait fait co
es après midi, c’est un mandarin à qui on a donné sépulture qui était mort le soir auparavant. Cinq coups de canon pour un m
Une chose m’a surpris, on l’a vu sur l’eau, on l’a rattrapé, il était mort , et n’allait point à fond. Du lundi 27 [mars]
rouve incommodé. Du jeudi 30e. [mars] Encore calme. Le vent est mort , chaleur enragée ; nous ne voyons point notre omb
pirer. Monsieur Hurtain est bien mal ; on ne lui a pas parlé de cette mort crainte de lui donner de mauvais pressentiments s
dire que je décharge ma bile sur Boileau comme s’il était cause de la mort du goret, je vous répondrai que cela me chagrine.
chetière lieutenant les a contrescellés. Nous avons fait connaître sa mort au reste de l’escadre par le pavillon à poupe, à
etournés ensemble. Après leur sortie on a chanté une grande messe des morts , le corps présent dans une bière, une croix dessu
Monsieur Du Quesne a parlé ainsi : Je suis fâché, mes enfants, de la mort de Monsieur Hurtain. Vous avez fait une grande pe
tout le monde est dans le même cas, on se tient à la mer dévoués à la mort , et qui voudrait, sur ce pied-là, intéresser sa c
e vie ou de force davantage, mourir par la plus cruelle de toutes les morts , d’autant plus horrible qu’on la combat longtemps
les lois de la nature ; C’est quelque chose au moins à qui trouve la mort Dans une guerrière aventure D’espérer une sépultu
l’âme est-elle assez forte ? En effet plus j’envisage cette sorte de mort et plus je la trouve horrible. Chausson avant que
du feu. Je ne crois pas qu’il y en puisse avoir à l’épreuve de cette mort -ci : on la voit venir sans y être préparé, on voi
Mai 1690 Du Lundi Premier de Mai Il me remet en mémoire la mort de défunt mon père qui est mort à pareil jour, de
r de Mai Il me remet en mémoire la mort de défunt mon père qui est mort à pareil jour, devant Dieu soit son âme. Monsr. l
, nous avons trouvé ce matin, dans le parc des bestiaux, deux cochons morts  : nos rafraîchissements s’en vont bien vite, et q
er de quelque chose. Nous faisons donc très pauvre chère. Il nous est mort encore aujourd’hui un matelot du Port-Louis. Le c
variable. La mortalité s’est mise sur nos cochons : il en est encore mort deux cette nuit, et les malades consomment bien d
ugmenter car il est bien faible. Du mardi 13 [juin] Le vent est mort . Il a calmé dès hier au soir, point de vent ni ce
par leur loi ; d’autant plus qu’ils avaient encore devant les yeux la mort malheureuse de leur roi Saül auquel David père de
ces malheureuses à une si criminelle extrémité, laquelle est punie de mort lorsque les coupables sont découvertes ; mais ici
ût plus savoureux que ceux de France. Il est impossible de les garder morts du jour au lendemain, cette viande se corrompt d’
ont je vous ai parlé, laquelle sert de tombeau à un Anglais qui y est mort et que l’idolâtrie de ces peuples a sanctifié à p
son navire outre les malades qui étaient à terre et ceux qui étaient morts  ; qu’il portait soixante pièces de canon, dont il
cris du reste de son équipage que ce malheureux avait abandonné à une mort certaine, quelle horreur d’entendre le meuglement
elle, dont il y en a un à la mamelle. Je ne compte plus les matelots morts , mais ceux qui restent ne sont pas moins à plaind
s-ci font calmer le vent. Du vendredi 21. [juillet] Il nous est mort cette nuit un matelot : la chaleur ne donne pas l
commodité ont tout conservé, on n’en dit pas même un mot. Il nous est mort un matelot comme je vous ai dit, et il en est tom
vie, lesquels ont gagné la corde à Batavie, et qu’on ne punit pas de mort afin d’avoir toujours des gens prêts pour servir
r Oprapitrachard est roi absolu, que le roi de Siam, notre allié, est mort d’un genre de mort inconnu, que Monsieur Constanc
t roi absolu, que le roi de Siam, notre allié, est mort d’un genre de mort inconnu, que Monsieur Constance est mort dans les
llié, est mort d’un genre de mort inconnu, que Monsieur Constance est mort dans les tourments aussi bien que sa femme et ses
eau : Je les ai cassés tous deux ; ces misérables s’imaginent que les morts y viennent manger et boire, et c’est pour cela qu
mmes du commun peuvent se remarier, ou vivre dans le célibat après la mort de leurs maris, mais les femmes des bramènes, à m
à un esprit bienheureux. Secondement il faut que, dès le moment de la mort de son mari, elle déclare qu’elle veut se brûler
ite, arrivâmes à un village où nous apprîmes qu’il y avait un bramène mort qui devait être brûlé le jour même, et que sa fem
ta le corps dans un champ environ à cent pas de la maison où il était mort . Il était assis dans une espèce de chaire fort bi
s et suivie de plusieurs bramènes qui tous l’exhortaient à braver une mort passagère pour aller retrouver un homme au bonheu
ombril jusques aux genouils ; ensuite elle s’assit auprès du corps du mort , le prit par la tête, qu’elle nul dans son giron 
uteur d’une si cruelle exécution, lui lia le bras droit avec celui du mort , et se retira ; après quoi, on les couvrit tous d
tifié, et si l’on obligeait en Europe les femmes à se brûler après la mort de leurs maris on n’entendrait point tant parler
ler après la mort de leurs maris on n’entendrait point tant parler de morts subites. Il est pourtant faux ce que disent toute
oute à cause de la proximité de la Perse. Ils brûlent aussi les corps morts , et leur religion est tellement confuse qu’ils ne
asser l’un et l’autre en sortant de la pagode. L’adultère est puni de mort parmi les Gentils et les Maures, mais parmi les N
, chez les derniers passe pour une bagatelle ; une femme qui après la mort de son mari convole en seconde noce perd sa renom
a peine puisque c’est dans ce pèlerinage nocturne que je vis le corps mort brûlé dont je vous ai parlé ci-dessus, et dont je
cordez cela, si vous pouvez, avec leur coutume de punir l’adultère de mort , et voyez la patience de Coinda de n’avoir pas pu
é à Dieu de bon cœur, ç’a été en bon chrétien qui ne regarde point la mort brutalement, et pour le salut de mon âme et non p
nhabitées, cependant nous y avons trouvé des têtes et des os d’hommes morts qui étaient hors de terre. Mais je ne crois point
comme nous, et qui y ont enterré comme nous ceux des leurs qui y sont morts , et que les bêtes féroces, tigres, lions ou autre
rait bien avoir été une échappée. Quoi qu’il en soit pour revenir aux morts l’Ecueil n’en a point laissé. Mais avant que de s
malades que nous au moins. Il y a assurément sur l’escadre outre les morts plus de trois cents hommes hors de service. Du
ières terres du Royaume d’Aracan. C’était peu d’avoir des malades, la mort s’en mêle à la fin. Nous avons jeté à la mer un d
le nombre de nos malades notre chirurgien l’est à son tour, et il est mort ce matin encore un de nos charpentiers. Du lun
e dire sans insulter à leurs souffrances, les malheureux avalent leur mort en s’emplissant le ventre. Du mardi 28 [novemb
ne nous a point quittés a fait ici une petite mission. Il est encore mort cette nuit un de nos matelots qui reçut hier l’ex
t à l’ancre à midi. Nous avons aujourd’hui perdu deux hommes qui sont morts  : ce matin, un Lascaris ou esclave de ceux que no
et vous dirai que le 19e notre second canonnier, Mathurin Le Cocq est mort à terre où il avait été envoyé pour sa maladie. C
Vasseur notre sous-lieutenant ne lui a survécu que quatre jours étant mort le 23e. J’avais reçu son testament et j’ai fait s
était frère de Monsieur Le Vasseur avocat au Conseil à Paris. Il est mort tout à fait chrétiennement et a donné tout ce qu’
e tirer rien de ses mains pendant sa vie, l’a laissé en repos. Il est mort roi paisible et tranquille, aimé de ses sujets, c
obéissance qu’on n’appelait plus que les terres de Sauvagy. Après sa mort son fils aîné, nommé Sombagy, est monté sur le tr
, est monté sur le trône, prince faible et jeune. Le Mogol sachant la mort de Sauvagy a voulu rentrer dans ses anciens droit
t sans se mettre en peine de s’opposer aux conquêtes du Mogol. Il est mort enfin il y a environ dix-huit mois. Son jeune frè
son frère avait laissé prendre sans tirer l’épée. Le Mogol sachant la mort de Sombagy, a cru qu’il aurait aussi bon marché d
de passer dans ce royaume, car il n’est point homme à s’exposer à la mort par un zèle indiscret. J’ai aussi appris par des
ry que ni la femme ni les enfants de Monsieur Constance ne sont point morts , mais sont seulement esclaves du roi régnant, éta
J’y allai le matin sur les dix heures et vis dans une cabane un corps mort couché de son long sur une natte et couvert de to
u’ils tiennent pour certain que la même âme qui est sortie d’un corps mort va animer celui d’un enfant naissant. Mais retour
ant naissant. Mais retournons trouver le fils qui questionne son père mort . Après quantité de demandes impertinentes, il se
yer, où ils s’arrêtent. Là le bramène, le visage tourné vers celui du mort , récite quelques prières, fait trois tours autour
du riz à trois reprises, qu’il jette aussi à trois fois sur le corps mort justement au droit de la bouche, un linge entre d
retourne, et on porte ce même riz, qu’on a ôté de dessus le corps du mort , à la femme du défunt ou à sa plus proche parente
avec de l’eau dans deux pots neufs auprès du foyer, afin que l’âme du mort y vienne prendre sa réfection, comme je vous ai d
ers de nos poudres mouillé et en boue, les deux tiers de nos bestiaux morts et emportés par les coups de mer qui entraient et
t il faudra qu’elle prenne le parti de l’épouser lui, son fils, ou la mort , car ce n’est pas la coutume des Orientaux de gar
sité de climats et de température nous cause des malades. Il nous est mort même ce soir un matelot. Du jeudi 5e. [avril]
Du vendredi xie. [mai] La chaleur qu’il fait nous tue. Il nous est mort encore ce matin un matelot, et un canonnier qui m
vendredi 18 [mai] Chaleur étouffante, pluie et calme. Il nous est mort ce soir un soldat. Du samedi 19e. [mai] Tou
medi 26. [mai] Toujours bon vent et beau temps. Il nous est encore mort cette nuit un de nos matelots. Du dimanche 27.
di 30e. [mai] Toujours bon vent et bonne route. Il nous est encore mort un matelot cette après-midi. Du jeudi 31e. et
i vu à Lorient prêt à s’embarquer, mais les nouvelles certaines de la mort du Roi de Siam et des révolutions arrivées dans c
Il a calmé toute la journée. Notre second pilote André Chavitteau est mort aujourd’hui ; il paraissait encore il n’y a que q
plus, habile et bon matelot. Le Gaillard et le Lion ont eu aussi des morts , que nous avons vu jeter à la mer. J’en rejette l
t] Nous allons un peu, pas beaucoup. Notre second contremaître est mort  ; il se nommait Pierre Hervé, il y avait longtemp
s la zone tempérée. Mais le soleil est bien près de nous. Il nous est mort un passager qui était malade dès Pondichéry ; je
illet] Nous allons toujours assez bien. Monsieur de Quistillic est mort . On l’a jeté à la mer ce soir, et Monsieur d’Aube
squadrelle lieutenant d’infanterie qui était sur le Dragon et qui est mort aujourd’hui. Je le regrette parce qu’outre qu’il
lleurs, car on dit que la peste est à bord. Il nous est effectivement mort cette après-midi un matelot qui en avait trois ch
6 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
teur Pitrachard est roi absolu ; que le roi de Siam, notre allié, est mort d’un genre de mort inconnu ; que M. Constance est
roi absolu ; que le roi de Siam, notre allié, est mort d’un genre de mort inconnu ; que M. Constance est mort dans les tour
tre allié, est mort d’un genre de mort inconnu ; que M. Constance est mort dans les tourments huit jours après, & qu’on
s, dont un était notre conducteur. Ces misérables s’imaginent que les morts y viennent manger & boire pendant quarante jo
me de quarante jours a toujours été consacré aux mânes ou esprits des morts , tant par les juifs que les païens. Il l’est enco
je dis, parler ni du purgatoire ni des suffrages de l’Église pour les morts  : je n’entends parler que de ce qui a du rapport
amp; des esclaves ou Lascaris, se remarier, ou rester veuves après la mort de leurs maris ; mais cette indulgence ne s’étend
ouve dans les bras d’une épouse toute neuve de quoi se consoler de la mort de la première. Il n’en est pas ainsi d’elle ; qu
à un esprit bienheureux. Secondement, il faut que dès le moment de la mort de son mari, elle déclare qu’elle veut se brûler
cérémonie. Si elle mettait un intervalle d’un quart d’heure entre la mort de son mari & sa déclaration, elle n’y serait
arrivâmes dans un village, où nous apprîmes qu’il y avait un bramène mort , qui devait être brûlé le jour même, & que sa
corps dans un champ à quelque deux cents pas de la maison où il était mort . Il était comme assis dans une chaise : on lui fi
la démarche assurée & rien ne témoignait dans sa personne que la mort cruelle qu’elle allait souffrir lui fît aucune ho
uis le dessus des hanches jusqu’aux genoux. Elle s’assit au chevet du mort , & lui mit la tête sur son estomac à elle. Ju
monté avec elle sur le bûcher, lui a lié le bras droit avec celui du mort . Ce bramène se retire promptement, & promptem
fié ; & si on obligeait en Europe les femmes à se brûler après la mort de leurs maris, les morts subites ne seraient pas
it en Europe les femmes à se brûler après la mort de leurs maris, les morts subites ne seraient pas si fréquentes ; & not
es se font mourir ; mais, la volonté du prince n’a aucune part à leur mort , & il n’y a jamais eu de loi à ce sujet. Leur
ne part à leur mort, & il n’y a jamais eu de loi à ce sujet. Leur mort est le fruit d’un zèle mal conduit ; mais cette m
à ce sujet. Leur mort est le fruit d’un zèle mal conduit ; mais cette mort est volontaire, puisqu’il ne dépend que de ces fe
e Hali. Ils retiennent beaucoup de choses des Juifs : ils brûlent les morts comme les idolâtres. Leur religion est tellement
oixante-quinze sur la Création, l’état de l’âme après & devant la mort , & l’éternité. Il fait ses remarques : s’il l
commun qu’ils ne mangent rien qui ait eu vie. L’adultère est puni de mort parmi les gentils & les Mores ; mais, on n’en
ure où ils ont très grand soin de les retenir. Une femme qui après la mort de son mari, gentil ou More, en prend un autre, p
secondes noces ; parce que ces femmes, jouissant de la liberté par la mort de leur mari, n’ont garde de se rejeter dans l’es
de Mado. Accordez cela, si vous pouvez, avec leur coutume de punir de mort une femme adultère ; & voyez la patience de C
p; c’est sans doute saint Thomas l’apôtre qui est venu, & qui est mort dans les Indes. Ils tiennent par tradition qu’il
e d’un honnête homme, & d’un bon chrétien qui ne regarde point la mort avec brutalité. Cette peur n’a été connue qu’à mo
e outrageant pour un homme vivant, & que c’était lui souhaiter la mort . Voilà le sujet de la dispute, & ce qui a par
de topazes. C’est dommage que cet éclat ternisse lorsque l’animal est mort , & que par la suite du temps ces écailles &am
ses bras, faute de nourriture, le lait de sa mère étant pourri. Tout mort qu’il était, elle l’embrassa & le baisa, &
itées : cependant nous y avons trouvé des têtes & des os d’hommes morts exhumés, ou hors de terre. Il n’est pas croyable
t pas croyable que ce soit des originaires du Pégu, qui brûlent leurs morts . Ce sont des gens des navires européens, qui y so
ont venus hiverner, comme nous, qui comme nous y auront enterré leurs morts  ; et que les bêtes féroces, lions, tigres ou autr
il était premier enseigne de M. du Quesne, & je dis ici qu’il est mort lieutenant de M. d’Aire. Cela ne se contredit poi
il a changé de poste à Pondichéry & a été élevé à celui où il est mort . Pour ne plus parler d’objets si funestes, l’Ecue
ayant pour le moins autant de malades que nous. Je ne compte plus les morts  ; mais, très assurément, il y a présentement sur
ui les dernières terres d’Aracan. C’était peu d’avoir des malades, la mort s’en mêle : il nous est mort un de nos charpentie
can. C’était peu d’avoir des malades, la mort s’en mêle : il nous est mort un de nos charpentiers, nommé Louis Le Cudon. Les
lté le bonheur des animaux de n’être point frappés des terreurs de la mort , terreurs si fortes & si pressantes qu’elles
nte d’aller donner sur quelqu’un des écueils qui sont proches. Il est mort encore ce matin un de nos charpentiers. Je crois
e dire sans insulter à leurs souffrances, les malheureux avalent leur mort en se remplissant le ventre. Du mardi 28 novem
i une petite mission, avec autant de zèle que de charité. Il nous est mort cette nuit un matelot, nommé René Dérien. Le cang
, étant presque à terre & à la veille d’en avoir d’autres. Il est mort trente-deux hommes sur ce navire, tant à Négrades
qu’hier : à la voile le matin & à l’ancre à midi. Un lascaris est mort ce matin ; & cet après-midi, Henri Couriou, l
amp; vieux soldat, vieux fainéant. Notre second maître canonnier est mort le mardi 19. Il se nommait Pierre Hervé. Il a été
r, notre sous-lieutenant, ne lui a survécu que de quatre jours, étant mort le samedi 23. J’avais reçu son testament, & j
e ce testament avait été exécuté par la prise de possession, avant la mort du testateur. Je n’ai pu m’empêcher d’en dire ma
te cette manœuvre s’est faite à plusieurs fois, & toutes avant la mort de Le Vasseur. J’étais de ses amis avant sa lâche
pas porté de santé depuis. Si cela est, je suis en partie cause de sa mort . On me l’a dit en riant. J’ai répondu sur le même
oyais rien & qu’au contraire j’étais persuadé que sa vie & sa mort avaient été des prodiges de la nature, qui l’avai
matériel, qui en relevaient avantageusement la circonférence. Il est mort fort chrétiennement, à ce qu’on dit ; du moins, i
amp; même les incestes. On déserterait le pays si on les punissait de mort . Les lois les y condamnent, mais les magistrats,
; le peu d’intelligence de ceux qui en ont eu la direction, depuis la mort du grand Colbert, & devant lui sous le cardin
nt, en le dévorant, le punir d’avoir dévoré les autres. Ces genres de mort sont cruels, j’en conviens : mais ils rétabliront
, & Martinon à une prison perpétuelle. Si le Conseil condamnait à mort , il aurait dansé en Grève. L’Arménien alla remerc
on dans la marchandise, & voulait en faire un marchand ; mais, la mort subite dont il fut prévenu ne lui laissa pas le t
en savait rien. Je reviens au bâtard, qui est celui dont je parle. La mort de son père lui ôta toute espérance d’être établi
e vingt-huit à vingt-neuf ans, lorsqu’il se maria, douze ans après la mort de son père. Il s’était amouraché de la fille d’u
la péninsule. Il ne serait pourtant encore que simple directeur si la mort du roi de Siam, notre allié, n’avait retenu le ma
e lui restait qu’une fille, & que ses deux autres enfants étaient morts  ; que sa fille travaillait à nettoyer de la morue
que Sévagi a usurpé sur lui. Dans ce dessein, sitôt que Sévagi a été mort , il a envoyé dans ce pays-ci une armée de cinquan
jésuites y sont en exécration, leur seul habit y porte leur arrêt de mort  : ceux qui y étaient y ont été suppliciés, non co
mat du Pégu, d’où nous sortons, & où ils seraient infailliblement morts  : on me l’avait lait craindre, & je n’en dout
eur saura tout ce que je sais moi-même du pays dont je sors. Il était mort environ sur les huit heures du soir précédent. Pe
s hommes vivants, si je n’avais pas été bien sûr qu’ils n’étaient pas morts . Ils restèrent dans cet état lugubre, qui m’inspi
t une manière de brancard, qui est apporté à la porte de la cabane du mort par huit hommes, deux devant, deux derrière &
st la vérole, dont ils sont bien farcis, qui les a pourris avant leur mort . Quoi qu’il en soit, les jointures des membres de
, du riz, à trois reprises, qu’il jette à trois reprises aussi sur le mort , justement sur la bouche, un linge bien blanc ent
. La première, c’est que cette nourriture, portée proche d’un cadavre mort , ne convient point chez des gens qui croient la m
i que ce soit que de regarder. Si ces gens sont si sensibles pour les morts , ils le sont bien peu pour les vivants ; & pa
nt au christianisme, puissent n’être pas la proie du démon après leur mort , ni les tristes victimes de l’impureté pendant le
ne le portaient : que véritablement ils avaient droit de vie & de mort sur quelques-uns de leurs sujets, mais n’en avaie
qu’ils ne savent ce que c’est que de pardonner ni aux vivants, ni aux morts . Je ne pus m’empêcher de sourire à ce prélude. Vo
la vie. Qu’ils soient assommés, ou qu’ils meurent d’un autre genre de mort violente, ce sont des martyrs. Mais le malheur es
e son utilité, & vérifient par leur vie, leur conduite & leur mort , qu’une communauté n’est jamais riche à moins que
radis sans aucune information de vie ni de mœurs, attendu qu’ils sont morts au service & pour l’utilité de la sacro-saint
t servi de l’argent que ce même banian lui avait mis en main avant sa mort , & qu’il avait aussi destiné à cette construc
chrétienne, & ainsi bien plus resserrée ; qu’ils prêchent un Dieu mort en croix avec ignominie ; & non un Jésus-Chri
s, quoique tous en eussent besoin, puisque plus des deux tiers y sont morts , & qu’ils fussent tous à la portée des jésuit
 dignes du feu. Que les missionnaires ne se brouillent point avec les morts , nation autant terrible que respectable, dans la
âche de Bangkok, la sortie forcée de Mergui & du royaume après la mort tragique du roi de Siam & celle de M. Constan
rs fertile en Cléments, en Châtels & en Ravaillac. Il tremble aux morts d’Henri III, & d’Henri IV ; & n’en veut p
devient pour cette sanguinaire Société un homme commun & digne de mort , sitôt qu’il s’oppose à ses desseins. Table là-de
i a donné du lait pendant toute la traversée. Son lait s’est tari, sa mort a été jurée : belle récompense, ou plutôt belle m
ffrait le dedans. Ce n’est rien d’affronter, les armes à la main, une mort qu’on va chercher pour l’honneur, ou la gloire :
 ses coups doubles à droit & à gauche ne nous présentaient qu’une mort également horrible à certaine, & dont nous go
ier moment ! Oui, sans doute, on conçoit bien mal ces horreurs de la mort lorsqu’on ne la voit que de loin : il faut avoir
es mains & les yeux au ciel. Pour moi, qui ai toujours regardé la mort comme un mal nécessaire, & en stoïque, je l’a
par jour. Notre riz est pourri : les deux tiers de nos bestiaux sont morts , ou ont été emportés par les coups de mer, dont l
branlé. Ce matelot a été saisi d’une telle peur qu’il est tombé roide mort , blanc comme albâtre & froid comme glace. Le
sse servante étant dans notre chambre, il se laissa tomber comme ivre mort , rendit du vin & autre chose, joua la comédie
atelots ont traité un requien & cela, afin de se divertir de leur mort & que l’horreur les en frappât davantage. Heu
mai me remet toujours devant les yeux le jour funeste pour moi de la mort de mon père : perte toujours présente & nouve
emple, suivant toujours Pajot, j’ai besoin de ces mots… « Il venge la mort cruelle qu’on a fait souffrir aux hommes les plus
it accommoder deux barils : je crois que c’en sera assez. Il nous est mort ce matin un matelot. Toutes ces morts me déplaise
que c’en sera assez. Il nous est mort ce matin un matelot. Toutes ces morts me déplaisent terriblement, parce que cela affaib
fait par débit & crédit de chacun de l’équipage, tant vivant que mort . Il est vrai que ces inventaires ne sont pas long
e tout ce qui a été laissé par le canonnier & les quatre matelots morts à l’Ascension, & par celui d’aujourd’hui. Pou
ai 1691 Chaleur étouffante, pluie, & calme. Il nous est encore mort un matelot. Du samedi 19 mai 1691 Toujours
Du samedi 26 mai 1691 Toujours bon vent, & beau temps. Il est mort cette nuit deux matelots. À peine ont-ils été exp
nner. Ce n’est donc point cela qui me fait le plus de peine. C’est la mort fréquente de nos matelots, & le genre de la m
mai 1691 Toujours bon vent, & bonne route. Il nous est encore mort un matelot cet après-midi, & toujours de la m
au contraire, plusieurs avaient recouvré leur santé. Qu’à l’égard des morts , il était surpris qu’il en fût mort si peu, puisq
vré leur santé. Qu’à l’égard des morts, il était surpris qu’il en fût mort si peu, puisqu’ordinairement les vaisseaux perdai
’en avions perdu ; qu’il fallait encore observer que ceux qui étaient morts étaient malades avant que d’avoir passé le cap de
; voici ce que j’ai appris de certain sur ce sujet. M. Des Farges est mort en deçà du cap de Bonne-Espérance ; & il y av
; richesses, unique cause de la perte de Siam, de nos lâchetés, de la mort du roi de Siam, de celle de M. Constance & de
avaient mauvaise grâce de tant donner à leurs plaisirs sitôt après la mort de leur père, les deux frères, comme concertés, l
lui répondirent unanimement qu’ils ne pouvaient trop se réjouir de la mort d’un homme qui avait ôté la couronne de Siam à l’
as leur libertinage que j’ai entrepris d’écrire. Outre cela, ils sont morts , Dieu leur fasse miséricorde. Je laisse leur mémo
t où il fallait un homme choisi ; & son voyage étant rompu par la mort du roi notre allié, le roi, qui n’a pas coutume d
du pourpier, qu’ils faisaient cuire ensemble, & se résignant à la mort , virent leur santé si bien rétablie au bout de qu
! La première nouvelle que j’appris en arrivant au Fort-Royal fut la mort de M. de Seignelay. Que devins-je ? Je ne puis en
eux heures, notre second pilote, André Chaviteau, de La Rochelle, est mort . Il était frère de celui à qui je vendis le pain
é des vaisseaux le Gaillard & le Lion. Je rejette la cause de ces morts si promptes sur deux causes, & je ne crois pa
à prendre avec le soldat & le matelot lorsqu’on ne veut pas leur mort  ; mais il est impossible d’en faire autant pour l
s tous : il s’en faut beaucoup. L’autre cause à laquelle j’impute ces morts précipitées est l’excès où s’abandonnent, avec le
juillet 1691 Nous allons un peu. Un de nos deux contremaîtres est mort cet après-midi. Il se nommait Pierre Hervé : il é
er, & nous sommes présentement dans la zone tempérée. Il nous est mort un passager, dont j’ignore le nom. Du jeudi 12
2 juillet 1691 Nous allons toujours fort bien. M.de Quistillic est mort  : on l’a jeté ce soir à la mer ; &, tout auss
Desquatrelles, lieutenant d’infanterie, qui était sur le Dragon, est mort , & a été jeté à la mer cet après-midi. J’en s
rs très mal, car on dit que la peste est à bord. Il est effectivement mort ce soir un matelot qui en avait trois charbons, &
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
quantité de frères et de sœurs que nous étions, nous laissa après la mort de mon père et de ma mère hors d’état de pouvoir
mille fort au-dessus de la mienne. Il avait chez lui une nièce que la mort de père et mère avait laissée sous sa tutelle. El
e provient que d’une charge dont mon aïeul était revêtu lorsqu’il est mort  ; et vous pourrez un jour en acheter une pareille
innocente victime, d’autant plus qu’elle en était cause. Son mari est mort enfin, il y a près de deux ans, et l’a laissée ve
nne par la main d’un bourreau. Que ce n’était point un crime digne de mort que de faire des enfants ; mais que le rapt en ét
e avait. À peine ce petit animal en eut-il dans le corps, qu’il tomba mort sans branler. Je regardais cette chienne, et j’ét
de supplice, n’offrent rien à mes yeux de si cruel pour moi que votre mort . Je vous emmènerai où et quand il vous plaira. Je
eux de ne me point abandonner ; elle me dit que je savais bien que la mort ne lui faisait pas peur ; et que quelque chose qu
r. Elle a fait cette déclaration peu de temps avant la nouvelle de ma mort . Car afin qu’elle pût être moins obsédée, et plus
obligeai les gens de l’ambassadeur d’écrire à mes parents que j’étais mort . Je leur fis mettre dans la lettre, que ce garçon
rir ; ce qui était vrai. Je les priai même d’envoyer un certificat de mort , et un extrait de sépulture. Ils le firent, de so
non, que tous les Français qui étaient à Madrid, disaient qu’il était mort depuis peu un nommé Monsieur de Jussy, parisien.
ce sont des obligations dont je m’acquitterai demain. Le bruit de ma mort se répandit ; mes parents écrivirent tout droit à
vonne qui voulut s’en éclaircir aussi ; ainsi personne ne doute de ma mort à Paris, excepté ma maîtresse et Du Val. Quelle s
e avait été mariée la nuit. Ils ne pouvaient savoir avec qui, tant la mort de Jussy qu’on croyait certaine les mettait hors
le et moi pensionnaires dans le même couvent, et je vous avoue que sa mort me donne de l’horreur pour lui, et que je voudrai
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
sses qui étaient chez eux. Qu’il lui avait tout promis pour éviter la mort présente ; mais que quatre jours après, plusieurs
it compter les bandits qui avaient été tués. On en trouva huit roides morts et deux hommes de justice : reste à vingt, dit-il
s et deux hommes de justice : reste à vingt, dit-il, qu’il faut avoir morts ou vifs ; allons, Messieurs, ajouta-t-il, poursui
, et les pria de leur sauver la vie. Eh bon, bon, dit Sancho, plus de morts et moins de mangeurs ; tuez, tuez, Messieurs, ou
ncho qui vit que les gens de justice dépouillaient et fouillaient les morts , les imita, et heureusement pour lui, celui à qui
is en fit tomber un de si haut, qu’il se brisa tout le corps et resta mort sur la place. Le duc parla à l’autre avec tant de
commettre avec des gens comme eux, ils avaient résolu de venger leur mort par la sienne ; ainsi au lieu de se cacher dans l
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
’avaient instruit. Mais, poursuivis-je dans ce sentiment, pourquoi la mort de cette fille vous est-elle si sensible, puisque
ellement dans mon cœur le regret d’avoir été la cause innocente de sa mort . Vous savez que je suis pour mon malheur fils uni
cardinal Mazarin qui lui avait donné de l’emploi en France jusqu’à sa mort qui laissa sa veuve chargée des affaires de sa fa
dirai ce que j’ai à vous dire. Elle le suivit, et moi je restai plus mort que vif. J’approchai de la porte de ce cabinet, d
l’horreur de ma destinée. L’ordre que je vais avoir sera celui de ma mort  ; mais je vous verrai du moins avant que de mouri
me compter dans un couvent, si ma seule douleur ne me causait pas la mort . Elle m’en dit autant ; mais enfin, lui dis-je, c
vous serez mon épouse, et devant Dieu et devant les hommes, la seule mort nous arrachera l’un à l’autre. Je l’espère ainsi,
femme, à l’heure qu’il est, est presque ma seule consolation, tant la mort funeste de mon épouse l’a touchée ; et je répondr
signé de ma main, et contenait ma pure et franche volonté, en cas de mort ou d’autre accident, que je voulais qui fût secrè
ée des mains de ma femme, et lui dis d’aller chez nous : et toi tu es mort , dis-je à cet homme que je reconnus pour un paysa
erre, sans qu’il osât ni crier ni remuer. Il est constant qu’il était mort , s’il avait fait l’un ou l’autre : et quand, par
’esprit. Il était en effet tout couvert de larmes, et paraissait plus mort que vif. Il fut quelque temps sans rien dire, et
intes ; ainsi quoique malgré moi, j’y consentis. Voilà la cause de sa mort . Le moment fut pris au lendemain à huit heures du
grands coquins, qui commencèrent par m’ôter mon épée. Je restai plus mort que vif. Vous ne resterez pas longtemps ici, Mons
à tant de malheurs à la fois. Je ne m’informe point des auteurs de ma mort , parce que je veux pardonner à tout le monde. Adi
ne vous restera de moi que le souvenir. Je sens votre enfant, il est mort . Je meurs aussi. Si je vous embrassais avant que
demanda l’absolution qui lui fut donnée. Elle mit au monde un enfant mort , et un quart d’heure après, elle expira dans les
me je vous l’ai dit, à Saint-Lazare. Je ne pus être instruit de cette mort , qui arriva dans le moment même que j’y entrais.
alheurs plus grands que ma captivité. Enfin ils m’instruisirent de la mort de ma chère femme. Ce fut là que je regrettai ma
s pardons qu’elle m’a demandés, et les regrets qu’elle témoigne de la mort de sa fille. Pour me venger encore du coquin d’ex
it, que j’aie abandonné ma pauvre Madelon, et que je sois cause de sa mort  ? Moi, qui voudrais racheter sa vie aux dépens de
er, et qu’ainsi on aurait su que son père était en partie cause de sa mort , par son emportement, qui est ignoré de tout le m
evenir, mais seulement ses enfants, qui ont une douleur sincère de la mort de leur sœur : si bien qu’il n’y a pas d’apparenc
en qu’il n’y a pas d’apparence que ce procès soit terminé qu’après la mort de leur mère. Il a fait avoir une fort belle cure
secret lui a coûté à dire, et ce n’est que fort peu de temps avant la mort de Monsieur Dupuis, qu’elle s’est découverte à sa
des premières figures, était comme vous savez, mon intime ami. Il est mort dans un habit de pénitence en odeur de sainteté,
10 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
ume a été trouvé en manuscrit dans le cabinet de son auteur, après sa mort  ; et, comme il est tout rempli de vérités extrême
crétaire d’État de la Marine, et par son ordre, m’étant restés par sa mort , et y ayant quantité de choses qui me paraissent
e leur échapper. Il se battit en brave homme ; et se sentant blessé à mort , il fit sauver tout son monde et mit le feu à son
ers présents. Il commença son plaidoyer sans aucun préambule par Un «  mort D… » tout à la matelote. Vous avez, dit-il à M. l
avec défense d’en rien écrire à ma mère, à laquelle cela mettrait la mort au cœur. J’étais trop en colère pour vous répondr
. Constance, premier ministre de ce royaume, et est fort touché de sa mort , et de celle du roi notre allié. Je croyais avoir
r autant sur mon compte. Bouchetière, pendant ce temps-là, était plus mort que vif, tant il est vrai qu’il n’y a rien de plu
maux qui troublent notre vie, Et des mille terreurs que nous donne la mort . Assemblage confus d’esprit et de matière, L’homm
is, si j’en étais le maître, j’y enverrais des malheureux condamnés à mort et ferais grâce à ceux qui réussiraient. Du je
ne peut pas lire non plus, sans adorer la juste vengeance de Dieu, la mort funeste de leurs premiers conquérants. Les autres
ux terribles cependant, qui énervent et pourrissent un homme avant sa mort . Ceux que j’en ai vu attaqués m’ont paru si hideu
, les jésuites, ne m’ôteront pas de l’esprit que Jésus-Christ ne soit mort pour sauver tous les hommes, que sa grâce ne se s
pis pour ceux qui comptent qu’elle descendra sur eux à l’heure de la mort . Je ne conseille à personne de s’y fier ; et je n
n’annoncent rien plus précisément que de se tenir toujours prêt à la mort , et prononcent des malédictions contre ceux qui n
ent connaître ses iniquités, sera assez heureux pour être frappé à la mort d’un coup impératif de la grâce efficace ? Certai
âchés de demi-quart d’heure en demi-quart d’heure nous ont indiqué la mort d’un mandarin. Vent devant, et six coups pour un
e, que l’École reconnaît pour le prince des philosophes, n’est-il pas mort dans ces sentiments ? Ne dit-il pas en mourant, n
lois tenaient pour infâme ou pour lâche celui qui ne méprisait pas la mort , puisque la vie lui devait être rendue. Ce n’étai
s avoir méprisé les Dieux pendant sa vie en santé, les réclamait à sa mort . Boursault, dans sa comédie d’Ésope à la cour, vi
ce nous apprend qu’on trouve dans les vaisseaux ombilicaux d’un homme mort , lorsqu’on en exprime l’humeur, une infinité de c
remèdes qui décident souverainement et sans appel de sa vie ou de sa mort , quoiqu’ils ne l’aient vu qu’un moment, devraient
une chimère et une vanité ; et qu’il n’y a que la seule crainte de la mort qui met les médecins en vogue, et qui oblige les
ige les hommes d’avoir par faiblesse recours à eux. On veut éviter la mort , et très souvent, au lieu d’être reculée, elle es
e l’autre monde se plaindre du médecin qui l’a tué dans celui-ci. Les morts sont trop discrets. Je vois, messieurs, quelqu’un
es damner tous, lui qui veut au contraire les sauver tous, et qui est mort pour leur salut. Je soutiens et je prétends que n
ter en fil une, qui fit connaître à M. du Quesne que ce général était mort , ou du moins bien blessé, puisque, s’il avait com
e plus élevé et le plus beau de la ville. On m’a dit que c’est où est mort Alphonse VI, roi de Portugal, frère aîné de dom P
ce : il est vrai que dom Pedro n’a pris la qualité de roi qu’après la mort de son frère. Le château du gouverneur est bâti e
elle. Pour Renaucourt, il fit comme Ragotin dans la maison de l’hôte mort  ; il en fit moins de bruit, et en but davantage.
nt, et le canot à l’eau : malgré tous nos soins il a été noyé. Quelle mort  ! Voici ce qu’en dit Ovide : Est aliquid fatoque
t les lois de la nature, C’est quelque chose au moins à qui trouve la mort Dans une guerrière aventure, D’espérer une sépult
vait point d’âme à l’épreuve du feu. Y en a-t-il à l’épreuve de cette mort -ci ? On fait ce qu’on peut pour se sauver : cela
quement pour l’empêcher de pourrir. M. Hurtain est inconsolable de la mort du pauvre François Nicole. Il est généralement re
on. Notre premier pilote, qui la lui montrait, est au désespoir de sa mort . Je suis fâché de ma longue digression ; mais c’e
nt contre la situation du monde. Jacques Vinent notre apothicaire est mort ce matin, après avoir longtemps traîné d’une fièv
ns les entrailles un feu qui y est allumé par de l’eau-de-vie. Il est mort tout à fait décharné. Du jeudi 30 mars 1690
te comprehendere non possum, me comprehendes ; que je regardais cette mort comme celle d’un fou furieux, et nullement d’un p
ue deux coups ; il ne nous paraît pas jouir d’une santé parfaite : la mort de Jacques Nicole, dont j’ai parlé ci-dessus, le
el chagrin que son fils lui a donné, dont j’ai parlé ci-dessus ; à la mort de Nicole ; et à la chaleur excessive du climat,
. Hurtain, dont les forces diminuent de moment en moment. Le vent est mort  ; nous n’en sentons pas la moindre risée : cepend
rois lieues : nous sommes à un degré trente minutes Nord. Il nous est mort ce matin un matelot, nommé Jean Canevette : la fi
nts sur sa maladie. Une chose jusqu’ici inouïe nous a étonnés dans ce mort . Après les prières ordinaires, on a laissé tomber
t sur l’usage qu’on devait faire de cette vie, pour se préparer à une mort inévitable. Son discours n’a pas été de plus d’un
avant que son quart commençât. Ces six coups de canon sont tirés à la mort du capitaine : c’est l’usage de la mer. Tout l’éq
, réveillé par le pilote pour venir à son poste, a été instruit de la mort de son capitaine. J’ignore si c’est par bêtise ou
répondu. Je crois pourtant, a-t-il ajouté, que puisque M. Hurtain est mort , je dois être le maître ici. Vous ! lui ai-je rép
ée, Le Vasseur et moi : après cela, nous avons assisté à la messe des Morts , qui a été hautement célébrée, et n’a fini qu’à o
la dunette, et on a chanté hautement et en chœur le grand office des Morts . Ceux qui savent le latin ont lu chacun une leçon
t. Les ecclésiastiques étant vêtus, on a célébré une grande messe des Morts . Dom Louis Querduff a officié : M. Charmot et not
ux ecclésiastique l’avait tellement touché, qu’il s’était résolu à la mort la plus cruelle plutôt que de renier sa religion 
parti huit hommes de son ancien équipage, tous également résolus à la mort , et de vendre chèrement leur vie aux barbares plu
père ? Et qui enfin de nous ne le regrette pas avec amertume ? Il est mort , a-t-il poursuivi tout en larmes qui ont été seco
en. Je suis capitaine pourtant, a-t-il ajouté, puisque M. Hurtain est mort . Vous ! a repris M. de La Chassée avec fureur, je
serait pas dans l’ordre, parce que tout commandement devait paraître mort ici, jusqu’à ce que le capitaine fût reçu. Du
surément mauvaise chère. Il y a aujourd’hui neuf ans que mon père est mort  ; perte toujours nouvelle pour moi : je vous dema
i nous étions encore dans les chaleurs, ce serait assurément un homme mort , parce que la gangrène se mettrait dans la plaie 
ntre que ceux de leurs pères qui meurent dans ces pays sauvages d’une mort violente, mais pourtant bien méritée, et dont ils
ais, soumis à sa juridiction, et qu’elle a sur eux droit de vie et de mort , sans rendre compte de sa conduite aux États Géné
emme est remise à son mari, et on ne s’informe point de quel genre de mort elle est expédiée. Si ce mari est assez bon pour
aisir est l’effusion du sang : aussi en voit-on très peu mourir d’une mort naturelle. La justice, l’ombre même de la justice
vont de si loin en pèlerinage à La Mecque, leur faux prophète n’étant mort que vers le milieu du septième siècle, et les pèl
t rapporté dans le sens que je viens de dire : et roulait, non sur la mort de l’enfant, quoiqu’il s’agissait de découvrir ce
étouffé le sien, mais sur le déshonneur qu’une mère souffrait par la mort , dans un sujet si jeune, et le mépris qu’on avait
s consulter ; d’autant moins qu’ils avaient encore devant les yeux la mort funeste et récente de leur roi Saül, qui avait ét
, poules, fruits, légumes, bois, et eau. Plus de malades : il n’y est mort aucun homme de l’escadre ; signe évident que l’ai
st plus vieux que lui. Pour son frère, passe ; car, M. de Lédiguière, mort en 1682, a été sur l’article un maître sire. Quoi
taient point blessées restaient où elles étaient ; celles qui étaient mortes tombaient ; et celles qui étaient seulement bless
es ont tous généralement l’inclination portée au larcin, afin que moi mort , le secret m’étant pour lors indifférent, ceux en
tre plus de soixante malades qui étaient à terre, et ceux qui étaient morts  ; qu’il portait soixante canons, dont il y en ava
ris du reste de son équipage, que ce malheureux avait abandonné à une mort certaine ! Quelle horreur d’entendre le mugisseme
is aussi par la cruauté qu’il a eue d’abandonner aux flammes et à une mort également certaine et horrible les mêmes hommes q
’année. Nous avons appris, par le retour de M. Porrières, qu’il était mort à bord du Général deux hommes blessés à Amzuam, e
e peut presque pas respirer. Du vendredi 21 juillet 1690 Il est mort cette nuit un de nos matelots. La chaleur tue ; e
modité se sont tirés d’intrigue : on n’en dit pas même un mot. Il est mort un de nos matelots cette nuit, je l’ai déjà dit ;
Bonne-Espérance, comme je l’ai dit page 347, et qu’on ne punit pas de mort afin d’avoir toujours des gens pour servir les au
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
Ma mère est morte il n’y a qu’un mois, elle a témoigné du regret à la mort de l’avoir si rudement traitée, aussi bien que d’
rcher du remède. Mais si vous ne me secourez pas, assurez-vous que la mort me délivrera de la nécessité de faire des vœux co
père et mari, qu’elle n’avait jamais voulu voir qu’une heure avant sa mort , et qu’elle qu’on avait envoyé quérir dans son co
vai sa fille chez lui, il était très malade, non pas du chagrin de la mort de ses enfants, il était trop dur pour en prendre
t enfin criminel, ils s’accusaient l’un l’autre d’être la cause de la mort de la défunte. Le beau-père cita tous les mauvais
r elle des vœux horribles. Elle avait si peu aimé cette vertu, que la mort de son quatrième mari, dont elle était restée veu
endre ; mais grâce à Dieu, ma lettre n’arriva que deux jours après sa mort , et j’en reçus la nouvelle dans le temps que je p
, que si votre secours me manquait, je terminerais assurément par une mort volontaire et précipitée, tous les malheurs qui m
lui qui se plaît dans la désunion, en laissera des semences après sa mort . Cependant puisque vous voulez savoir le reste, j
ue vous saurez bientôt. Je me résolus donc d’attendre du temps, ou la mort de Bernay, ou la majorité de Clémence. Je lui pro
ie. Si je vous savais certainement infidèle, je vous accuserais de ma mort , et je veux pouvoir dire en mourant, que je ne me
lheureuse ! À quoi bon tant d’apprêts et de faste, pour conduire à la mort une victime d’ambition et de haine. Je quitterai
la vie sans chagrin, elle a été trop infortunée pour la regretter. La mort me mettra à couvert d’un orage de maux plus cruel
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. Le lendemain matin Eugén
u l’étrange situation où elle était, à cause des entreprises et de la mort de ses beaux-frères. Elle continua par leur dire
uvoir qu’il avait sur elle, d’épouser Sainville aussitôt qu’il serait mort , et il fit écrire cette volonté avec le don qu’il
rsonne, écrivit à sa mère tout ce qui lui était arrivé, et surtout la mort de Deshayes et ce qui l’avait précédée, et s’enga
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
eur force : celui qui n’était que blessé était à terre, où étant plus mort que vif, il n’osait branler ni ouvrir la bouche.
t conservé un peu de bon sens, il est constant que nos braves étaient morts , parce qu’il n’y avait rien de si facile que de l
a main, qui surpris de se voir sur les bras un homme qu’ils croyaient mort , se défendirent avec tout le désespoir de gens qu
ressouvenant que la dépouille était à lui, fouilla les vivants et les morts , sur qui il trouva encore un butin qui lui plut b
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
e chose digne de pitié, qu’un aussi honnête homme que notre héros fût mort dans ses imaginations ; mais avec ces favorables
qui fut exécuté de la manière qu’on va voir. Sancho fut rapporté plus mort que vif ; et après avoir demeuré quelque temps su
se serait passé son épée dans le corps, mais qu’il n’avait différé sa mort que jusqu’à ce qu’il eût trouvé une corde et un a
e ; il ne faut pas jeter le manche après la cognée ; car quand on est mort on ne voit goutte ; n’est pas marchand qui toujou
à, et lui avait si bien moucheté le corps et les épaules. Sancho plus mort que vif le prit quelque temps pour un fantôme, ma
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
hotte, qui courut à son écuyer, et le trouva, comme j’ai dit, presque mort , grillé, roussi et rôti, et la mâchoire toute en
tez-moi ces armes infernales, Chevalier, dit-il à son maître, je suis mort . Il crachait plus de sang qu’il ne disait de paro
uprès de son écuyer qui criait toujours de toute sa force qu’il était mort . C’est ici, mon pauvre Sancho, lui dit-il d’un to
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ait emporté le plus net et le plus clair du bien du logis, et que lui mort , ma mère ne s’est pas trouvée dans la volonté de
ut mis en nourrice ; je l’ai élevé jusqu’à l’âge de six ans qu’il est mort de la petite vérole, ou d’une autre maladie que s
autre maladie que sa garde m’a donnée pour argent comptant ; et cette mort n’est arrivée que depuis environ deux ans. Je rec
iqu’elles parlassent fort bas. Elle roulait sur leurs maris vivant et mort . Il y en avait une qui pleurait à chaudes larmes 
ver de nouveaux supplices, ne m’empêcheraient pas de me venger par sa mort , soit par moi-même, soit par des gens apostés. Hé
core après, elle eut une autre fille. Ces trois derniers enfants sont morts au berceau, et le secret fut tellement gardé qu’â
i le serment que j’ai fait de garder le secret ; mais tous deux étant morts , je n’en vois aucun inconvénient à craindre ; et
me il en doutait, la connaissant d’un cœur assez ferme pour braver la mort . Que quelque réussite que pût avoir une pareille
nt à Silvie, ni ce que j’avais fait pour triompher de sa vertu, ni la mort de Madame Morin. Je lui demandai un pardon sincèr
, fut trouvée morte dans son lit. Silvie ne m’a point accusé de cette mort , parce qu’elle a craint qu’on n’en découvrît le m
tous ceux de la compagnie. Silvie y fut pleurée par tout le monde. La mort d’une femme si belle, si sage et si vertueuse, fu
rir la cause. Enfin après avoir fait mes exercices, et mon père étant mort , je la pressai avec tant d’instance de me dire le
nsidérables, et ses prédictions avaient été vérifiées par le genre de mort d’une bonne partie d’eux tous. Ma mère fut aussi
’étais mis en justice pour ce que j’ai fait au sujet de Silvie, et la mort de Madame Morin qui en est le fruit, quand vous s
le fruit, quand vous seriez mon juge, pourriez-vous me garantir d’une mort infâme ? Et l’atrocité du crime qui dégénère dans
mmençai à haïr son mari d’une telle force, que j’aurais voulu le voir mort  ; et ne pouvant pas posséder sa femme de son viva
rdre en sa présence, ou de l’obliger à se livrer à moi pour éviter ma mort . Je vous avoue qu’il y avait là-dedans de la foli
plus rien à ménager dans les termes où je suis. Je viens chercher la mort en votre présence, puisque je ne puis espérer de
loignée, qu’on ne l’aurait point entendue, et que je serais peut-être mort sans secours, si le hasard n’eût voulu que Mousso
pas encore guéri, ni en état de sortir, que j’appris que Londé était mort de pleurésie, en deux jours à sa maison de campag
ze jours de notre mariage, lorsque nous le vîmes encore reculé par la mort de son pauvre frère, que je vais vous dire, et da
s scélérats avaient jeté les habits dans un fossé. C’est ainsi qu’est mort un homme dont la vie dans son couvent a été celle
saint ; c’est ainsi qu’en voulant éviter par sa retraite du monde la mort funeste dont il était menacé, il n’a fait que se
ui pas donner votre compassion, après une pénitence si sincère et une mort si funeste. Vous connaissez ce que je pense, répo
n que vous ; et je suis persuadé que qui que ce soit qui apprendra sa mort , ne lui refusera pas des larmes, pour peu qu’il a
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
aite trop pour vouloir en clouter ; cette incertitude me donnerait la mort . Je crois votre tendresse pour moi telle que vous
retient ici ; mais vous allez savoir autre chose que la crainte de la mort m’oblige de vous dire, et qu’il est de votre inté
plutôt l’effronterie de cette femme qui sur le point de souffrir une mort infâme parlait avec tant d’audace et d’assurance.
présent s’il vous est plus avantageux d’être bientôt veuve d’un mari mort avec infamie, que de porter longtemps le nom d’un
z ma mère. Deshayes qui revint à Paris trois ou quatre jours après la mort de la baronne, vint m’y trouver ; mais ayant fort
mille fois plutôt qu’à me revoir jamais dans ses bras ; mais c’est la mort de ma mère que je crains, parce que cette nouvell
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
malheureusement pour lui, qu’il s’enferra de lui-même, et tomba roide mort  ; le Français le démasqua, et voyant que ce n’éta
onfesseur que de tout autre secours, et que c’était sûrement un homme mort dans vingt-quatre heures au plus tard ; ce fut au
ia de l’excuser, lui disant que ses malheurs ne lui laissaient que la mort à souhaiter ; la marquise pria Eugénie de souffri
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
sait et la regardait avec un certain air de mépris qui lui mettait la mort au cœur. Comme elle l’aimait véritablement, elle
la muraille, où il se donna un si grand coup de la tête qu’on le crut mort . Il fut en un moment tout couvert de son sang, et
on le mit au lit toujours gardé à vue, et lui toujours prévenu de la mort de sa femme, fit en sorte en se tourmentant de dé
espérait que cette dame aurait soin d’elle, parce que son mari était mort en la défendant ; ou que du moins les parents de
outa que sa vie était entre ses mains ; qu’il savait bien qu’il était mort pour peu que son mari le soupçonnât ; qu’elle pou
vaudrait bien mieux que je sortisse de chez vous que de lui causer la mort . —  Hé ! ne voyez-vous pas, répliqua-t-il avec em
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
a qu’une petite fille que je nommerai Silvie. Pénétré du regret de la mort d’une épouse qu’il avait parfaitement aimée, il n
était résolu de quitter le pays et le royaume pour aller chercher une mort qui le délivrât tout d’un coup des supplices éter
epter le don de tout mon bien pendant ma vie, il sera à vous après ma mort  ; cependant en voici des arrhes que je vous donne
eût retirée ; on ne peut pas dire non plus que ce fût le regret de la mort de son amant, puisqu’il ne fut tué à l’armée que
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
les Amadis, les Roger et les autres illustres de l’Ordre, vivants et morts . Oh pardi, dit Sancho après que son maître eut lu
encore vivante, elle n’est point descendue dans ce sombre empire des morts  ; elle est encore au nombre des vivants, quoiqu’e
lé de sa grandeur et de son éclat lorsqu’il entre dans le royaume des morts , où il est rendu égal à tous ceux qui dans le mon
lables. Notre chevalier se rendit à ces raisons, parce qu’en effet la mort remet au même niveau ceux que la naissance ou la
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
s, du moins avec beaucoup d’indifférence. De sorte qu’Henriquez étant mort dans son voyage des Indes, Ruy Gomez, qui n’avait
sein était de tout jeter au feu, et qu’il n’en fut empêché que par la mort qui le surprit. Ses héritiers, gens plus attachés
23 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
e, duquel elle est restée seule héritière ; ses frères et sœurs étant morts avant père et mère, et après le mariage avec le p
uincourt, et qu’il fût tué dans un parti contraire à celui du Roi. Sa mort laissa sa veuve privée de tout secours, et chargé
r moi-même. J’attends votre réponse comme l’arrêt de ma vie, ou de ma mort  ; c’est-à-dire avec la dernière impatience. Adieu
ne encore. Lorsque je l’épous[er] ai cela me reviendra ; et si par ma mort je ne l’épouse pas, elle aura toujours de quoi vi
e, et tout ce qu’elle fit de remarquable, et de bon sens au lit de la mort , ce fut de remercier Contamine de toutes les bont
elle est trop sage. Elle vécut encore fille près de deux ans après la mort de sa mère ; et vraisemblablement elle le serait
préméditée. La fièvre qu’elle avait le fit trembler ; il devint plus mort que vif, et sans proférer une seule parole, il to
ie des filles avec qui je mange, qui ne m’ont point quittée depuis sa mort  ; le soin que j’ai pris de ne rester jamais seule
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
gante, on se coucha de bonne heure ; le lendemain on fit enterrer les morts fort honorablement, surtout le gentilhomme qui av
, et qu’il n’y avait avec eux ni paix ni trêve à espérer que par leur mort  ; enfin des gens universellement regardés avec ex
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
pondit-il, pour m’arrêter dans mon chemin ? prépare-toi toi-même à la mort , ou à avouer une chose que je fais avouer à tous
tions de notre combat. —  Je n’en veux point avec toi que celle de la mort , répondit-il. Si je suis vaincu je t’abandonne ma
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
mer régulièrement deux fois par jour. Il avait appris sans chagrin la mort de Deshayes ; mais il n’avait pas pu apprendre sa
as pu apprendre sans douleur la confession qu’il avait faite avant sa mort , et l’ordre qu’il avait donné à sa veuve d’épouse
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
aires du monde. Il dit que l’infortuné chevalier ne savait s’il était mort ou vif, tant il était épouvanté du combat qu’il a
u’il eût oublié les ordres de Parafara-garamus. Cependant Sancho plus mort que vif, était presque prêt de fuir, et l’aurait
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
ans la mer, d’où elles ont été depuis retirées par un moine allemand. Mort non de diable, dit Sancho en colère, ces moines s
ui dire, et bien loin qu’il ait mis depuis la paix dans notre ménage, mort de ma vie, il n’y a mis que la discorde. —  Il n’
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
fausse : je m’explique. Ils jugent qu’une femme infidèle est digne de mort , et le plus souvent ce sont eux-mêmes qui en sont
t l’enfer n’engloutirait pas les âmes de ceux qui étant surpris de la mort , sans s’y être préparés, ne peuvent mériter leur
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
ardi oui, répondit Sancho, je tomberais bien de fièvre en chaud mal ! Mort de ma vie, je n’ai qu’une femme qui me fait enrag
vons trouvé de quoi nous nourrir jour par jour, et que nous ne sommes morts ni de faim ni de soif. Nous n’avons pas mangé de
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
bien qu’il lui serait d’un grand secours, et qu’après tout c’était la mort la plus glorieuse qui pût arriver à deux fous, qu
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
nt fait enrager, m’ont battu et m’ont fait battre, et celles qui sont mortes me font assommer. Je ne m’étonne pas si je n’en a
33 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
ront en chien renfermé, comme les Français, dont il y en a déjà un de mort . Pour moi, Dieu me préserve du baume de Fierabras
34 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
au pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. Le che
35 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
s gens d’emmener Eugénie. Le valet de Deshayes qui croyait son maître mort , avait résolu de le venger et de rendre à Don Qui
36 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
les Espagnols en contèrent d’Espagnols, qui avaient aimé jusques à la mort , et même par-delà ; et les Français, pour leur mo
37 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
ses pieds devant le prêtre qui voudra les marier ; ainsi la vie et la mort de cette princesse seront entre ses mains. C’en e
38 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
arqué sur mon journal en lettres rouges ; mais ce ne sera qu’après sa mort qu’il en tiendra compte. Ce qui me choque, c’est
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