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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
moins il nous était permis de nous aimer, de nous le dire, et de nous marier à son insu, puisque j’étais en âge. Que je trouve
puisque j’étais en âge. Que je trouverais assez de prêtres pour nous marier , si elle voulait y consentir ; et qu’après cela l
ocente moi-même, je hasarde tout le reste. C’est, lui dis-je, de nous marier sans que personne le sache que le prêtre et les s
et que je dis à cette femme. Enfin, poursuivis-je, il s’agit de nous marier sans que qui que ce soit en sache rien. Elle est
gé, reprit cette femme, à ce que vous entreprenez ? À l’égard de vous marier , il me paraît très difficile ; car quel est le cu
le curé de Paris assez hardi pour vous prêter son ministère ? De vous marier à l’Officialité, encore pis ; Monsieur Des Prez l
nda-t-elle ? Il nous faudrait, répondis-je, un prêtre qui voulût nous marier en secret ; on ne lui demande pas même de certifi
at : mais, dit cette femme, ce prêtre n’aurait pas l’autorité de vous marier , et ce mariage serait cassé. Que vous êtes pressa
yeux de Dieu par un infâme sacrilège. Si elle veut être effectivement mariée avec moi, je veux l’être effectivement avec elle 
sermon ; mais il prit un autre texte, qui fut l’attache que les gens mariés doivent avoir l’un pour l’autre, il réussit mieux
ulement de nous, mais aussi de lui, et des témoins qui nous verraient marier , après la bénédiction, et devant la consommation.
s de suivre ses paroles à la lettre beaucoup plus que les autres gens mariés . En effet, dit-il, ceux dont les parents ont fait
e dimanche ensuite, et au lundi suivant six heures du matin pour être mariés . Il nous promit de nous attendre dans sa chapelle
e dimanche après-midi, je rencontrai l’ecclésiastique qui devait nous marier le lendemain, et comme il allait se promener nous
fait de n’employer que la canne et le bâton ; mais si c’est une femme mariée , une veuve, ou une fille dont la réputation soit
. Elle craignit que sa mère ne fût pas contente de ce qu’elle s’était mariée sans sa participation, surtout à moi, à cause qu’
accorder son pardon à ma prière. Elle a cru poursuivis-je, pouvoir se marier sans votre consentement, et en même temps que je
er, tant elle m’interrompit de fois. Quoi ! dit-elle, la friponne est mariée  ! Elle est grosse ! Je l’étranglerai, où est-elle
dans aucun de ces inconvénients. Que sa fille et moi avions bien été mariés plus de dix mois, sans que qui que ce soit ni ell
our l’en convaincre, je lui proposai de voir le prêtre qui nous avait mariés . Elle me pria de l’envoyer quérir. Il ne s’y atte
as pour huit jours : que ses sœurs et son frère sachant qu’elle était mariée sans savoir à qui, bien loin d’en être scandalisé
on père s’y soit pris pendant sa vie, il n’a jamais pu l’obliger à se marier  ; et à présent qu’il est libre, et revêtu d’une d
e. Il a fait avoir une fort belle cure à l’ecclésiastique qui l’avait marié . Il a fait avoir une charge honnête à celui qui l
dit-il, que je commence à être las de vous voir débaucher la mienne ? Mariez -vous, ajouta-t-il, et ne menez pas une vie scanda
hasard de vous voir méprisées de vos maris, comme je la suis du mien, mariez -vous, vous n’en serez pas plus malheureuses. Vous
demain mon histoire, vous verrez si vous me conseillerez encore de me marier  ; je n’ai rien à vous dire jusque-là. En achevant
celle dont nous parlons, c’est sa bru. Monsieur de Contamine est donc marié  ? reprit Jussy. Oui, répondit Des Frans, et sa fe
nt. Il n’y a, dit Des Ronais en parlant à Contamine, que les gens mal mariés qui peuvent être de votre sentiment, et nous ne v
les qu’elle, le nombre en est même très grand. Cependant quelque bien marié que soit un homme, il se rencontre très souvent d
e sa liberté. Je ne parle pas, comme vous voyez, de ceux qui sont mal mariés , je parle des mariages les mieux unis tels qu’est
, je passe assez souvent des moments où je voudrais, sinon n’être pas marié , du moins être bien loin de ma femme : ainsi il y
Ronais, que ma belle maîtresse me fatigue de même lorsque nous serons mariés . Oui, repartit l’aimable Dupuis, afin de vous ent
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
seule Mademoiselle Grandet ne s’en consola pas facilement. Elle a été mariée depuis, mais très mal, et si sa mère ne l’avait p
on, qu’en promettant de changer de vie, et d’épouser sa femme. Il fut marié dans son lit ; et lorsqu’il se porta bien, on fit
 ; et lorsqu’il se porta bien, on fit courir le bruit qu’il avait été marié incognito il y avait plus d’un an, et qu’il n’ava
l ne changerait pas, et qu’il priait qu’on ne lui parlât jamais de la marier , si on voulait rester de ses amis. Une réponse si
equel il fallait avoir de la condescendance : qu’il était temps de la marier . Que je consentais de la prendre telle qu’elle ét
de sa part, et l’en rendre responsable devant Dieu, faute de l’avoir mariée . Qu’à cela il n’avait qu’un mot à répondre. Qu’il
tenait pour justifié de ce côté-là, son inclination n’étant pas de la marier de sa vie, et qu’après sa mort elle choisirait el
ait, ce qu’il ne craignait pas, puisqu’elle avait tant d’envie d’être mariée . Que les pères et mères étaient encore coupables,
ller à me détacher d’elle, et la première fois qu’on me parlera de la marier , et que je saurai que cela viendra d’elle, ou la
’autre. Il nous dit seulement que nous ne devions point songer à nous marier  ; que c’était de la peine et du temps perdu. Qu’i
s, d’où il m’avait fait relever ; et puisqu’enfin vous consentez à la marier , donnez-la-moi si elle le veut bien. Le transport
s à aucun mariage qu’avec vous, et sur ce pied-là il ne veut point me marier de sa vie. À l’égard de l’amant qu’il me donne, j
était repenti dans l’instant même ; car il ne voulait absolument pas marier sa fille. Ainsi il chercha les moyens de rompre l
sa fille firent encore plus pour se mettre l’esprit en repos. Ils ont marié cette fille à un homme de province, et Dupuis qui
e tout. Par exemple, poursuivit-il, si lorsque je n’ai pas voulu vous marier ensemble, je t’avais défendu, dit-il à sa fille,
nt la douleur de sa fille, qui était excessive. La permission de nous marier arriva après son dernier soupir ; et elle nous fu
repos du côté du monde, en l’obligeant à n’y plus songer. Qu’il nous marierait très volontiers, si Monsieur Dupuis était encore
qu’il soit administré ; et à mon égard, je me serais tenu aussi bien marié que si je l’avais été par le pape même, à la face
êve à ses larmes pour un moment, elle pria cet ecclésiastique de nous marier , et lui offrit même un présent fort considérable,
priée d’en agir ainsi, lui représenta en ma présence, que si elle se mariait sitôt après la mort de son père, cela donnerait à
antage. Je partis pour mon voyage, au retour duquel nous devions être mariés . Nos adieux furent encore plus tendres qu’à mon p
emande rien, si ce n’est qu’elle me laisse en repos. Elle n’est point mariée , et je ne sais ce qui peut l’en avoir empêchée ;
ir aux explications, j’ai perdu mon temps. Il n’a tenu qu’à moi de me marier , et fort avantageusement ; mais je ne puis songer
a. L’homme qui l’a écrite, et la demoiselle pour qui elle était, sont mariés ensemble, et sont tous deux à Paris. Il est bon q
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
gnance, je dirai les choses comme je les pense. Après que nous serons mariés elle et moi, je serai le premier à la faire rire
e, et elle était toutes les deux. C’était une Maltaise, qui sans être mariée , avait quitté l’île pour suivre un homme de quali
ent regarder de ma mère comme un Caton de nouvelle fabrique. Il était marié en province depuis fort peu de temps, et y avait
pour le moment il lui dit simplement que cela était infâme à un homme marié  ; et tout au moins, ajouta-t-il, si vous ne craig
e me crus en droit de les traverser, et me fis un plaisir de les voir mariés inutilement. J’avais entendu parler à mes amis de
mps. Enfin je me déclarai. Cela vint au sujet de la sœur aînée qui se mariait . Vous savez qu’elles étaient trois sœurs, qui tou
as se défaire sitôt, et qu’outre cela, ma mère ne consentira pas à me marier que Toinon ne la soit aussi bien que son aînée. E
nie en riant ? Si vous voulez m’en croire, poursuivis-je, nous serons mariés avant elle, et en dépit d’elle, cela ne dépend qu
que sa mère et sa sœur devaient aller ensemble voir l’aînée qui était mariée , et malade. Nous ne fûmes pas si sages dans cette
de que j’en avais fait faire ; je n’étais pourtant point en âge de me marier sans son consentement : mais j’avais supposé qu’e
Que je n’avais pas besoin du consentement de ma mère, et que je ne me marierais plutôt jamais, que de lui en demander aucun. La r
e découvrir sa grossesse. Je lui fis comprendre que sa sœur allant se marier , il fallait que nous différassions ; afin qu’on n
afin qu’on ne crût point que ce fût la nécessité qui l’obligeât à se marier en même temps qu’elle. Qu’il était de notre intér
elle ; elle garda le lit quatre jours, et pas plus. Si elle avait été mariée , elle en aurait eu pour plus de six semaines. Je
e, lui dis-je, il est donc vrai que malgré votre promesse, vous allez marier Célénie ? Ne vous souvient-il plus de me l’avoir
in de le faire tenir en main propre, dès le matin même, avant que les mariés fussent levés ; et comme il entrait dans ma venge
mère, elle appuierait si bien ma demande de sa part, que nous serions mariés ensemble. Cette proposition me fit trembler ; je
e non, et qu’il savait bien lui-même que je n’étais pas en état de me marier . Cela étant, poursuivit-il, je vous supplie de ce
ture. Vous trouverez bon que je la refuse, parce que nous devons être mariés Mademoiselle Récard et moi dans huit jours. Je ve
aux aventures de secrètes débauchées. La Delorme nous amena une femme mariée qu’elle avait été quérir, que je connaissais, com
que de faire enrager la belle Récard, et lui ôter à lui l’envie de se marier avec une créature si perdue. Je vous entretiendra
re sûre de sa fidélité ? Cependant il n’y a pas un an que nous sommes mariés , et le traître va chercher fortune ailleurs ! Enc
femmes que par comparaison aux hommes. Vous parlez comme une nouvelle mariée , et quand vous serez dégoûtée de votre époux, com
oyez sensible ; sans cela vous ne seriez pas jalouse. J’avoue, dit la mariée , que j’ai goûté avec plaisir des voluptés légitim
s pas sensible au plaisir d’embrasser un homme ? Mais ma sœur, dit la mariée , on peut y être sensible quand il est permis, com
ous inspirait ? Vous me faites là des questions, ma sœur, répondit la mariée , auxquelles je ne puis pas répondre. Ce serait un
qui nous attache aux hommes, quelle est celle de nous qui voudrait se marier  ? Quelle est celle de nous qui voudrait se donner
r moi je vous avoue que je n’en connais point. Il est vrai, reprit la mariée , que ce que vous dites cadre juste avec les incli
ons au monde et non pas à notre salut. Vous me faites voir, reprit la mariée , bien des choses qui sont tout à fait vraies et à
c, et dans le particulier je tâchais de badiner. J’étais en âge de me marier pour lors ; elle m’aurait fort accommodé, mais av
, lui dis-je d’un ton fier, Madame qui est seule veuve ici et seule à marier , me fait la grâce de me souffrir chez elle, mais
engagements qu’elle y employait convainquirent Gallouin qu’elle était mariée . La querelle que vous lui aviez faite le convainq
ris avec beaucoup d’indifférence, que Mademoiselle Gallouin avait été mariée à Monsieur de Londé. Si je vous croyais capable d
yais capable d’aimer. Il y avait donc plus de trois ans qu’elle était mariée , et plus de cinq, que je ne l’avais vue que par r
encore vrai qu’elle ne s’est point souciée de moi, puisqu’elle s’est mariée avec un autre : il est encore vrai que je ne suis
e demoiselle Gallouin si craintive et si réservée ; c’était une femme mariée , chagrine contre son mari, qu’elle n’avait jamais
er ni nuit ni jour ? Est-ce pour vivre en religieuse que Madame s’est mariée  ? Pardi, ajouta-t-elle avec une pointe de colère,
est mariée ? Pardi, ajouta-t-elle avec une pointe de colère, on ne se marie que pour être deux, et travailler à faire un troi
ui ne savait que le bas normand, qu’elle disait qu’elle voulait faire marier ensemble, et qui se faisaient des contes l’un à l
assurément pas. Elle est cependant vraie, me dit-il ; et si les gens mariés avaient l’un pour l’autre autant de considération
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
ber au malheur qui te suivra partout. Balerme et Durandar qui ont été mariés ce matin, n’ont pas pu te dire adieu, parce que j
Eh bien, dit-elle, si tu es si scrupuleux, épouse-moi. Quand tu seras marié avec moi, tu seras bourgeois jusqu’aux oreilles,
s femmes pour ce qu’elles sont. On peut faire une fois la folie de se marier , mais c’est sottise de la faire une seconde ; et
la moitié par la vallée d’entonne, mais moi je prétends m’en servir à marier ma fille et à vivre paix et aise, et à ne rien fa
ez, tout ce que vous ferez sera bien fait ; pourvu que Sanchette soit mariée et que je ne manque de rien, je ne me soucie pas
rs font un mois, et douze mois font un an ; et depuis que nous sommes mariés , chaque saint a amené sa fête, c’est-à-dire que n
bientôt, répondit la duchesse. Cependant j’ai à vous dire qu’il veut marier sa fille. — Ah, ma mère ! reprit aussitôt la fill
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
tu l’es aux miens ; surtout depuis environ deux mois que nous sommes mariés . Quoique ma femme soit laide à présent, continua-
ontément, parce que n’étant plus écouté que par un homme et une femme mariée , je ne craignais plus de blesser les oreilles cha
rasser de l’inclination de ses enfants ? Ma sœur, Madame d’Ornex, est mariée malgré elle, non pas qu’elle ne voulût point se m
e d’Ornex, est mariée malgré elle, non pas qu’elle ne voulût point se marier  ; mais elle ne voulait pas épouser d’Ornex, et mo
faut qu’elles le soient par nécessité : car mon père et ma mère pour marier Madame d’Ornex, l’ont tellement avantagée par son
lus de bienséance les visites qu’on lui rendait. Mon père voulait les marier toutes deux en même temps, son aînée se rendit, m
Une nouvelle persécution a commencé avec sa santé ; c’est celle de me marier à son choix. Il a mis en deux jours de temps les
avoue que j’en ai envie ; car je vois bien que vous n’avez jamais été marié du consentement de Monsieur de Bernay, qui est en
ée de prendre l’habit. Sa sœur qui n’attendait que ses vœux pour être mariée , et Bernay qui aurait déjà voulu que c’en eût été
e confia à une autre religieuse qui la trahit. On lui dit que j’étais marié en Angleterre où je m’étais retiré, elle ne le cr
de lui donner dans le monde autant qu’il lui faudrait pour être bien mariée , si elle pouvait me faire rendre une lettre, et p
a chambre de ma mère, que si j’y étais ; car vous diriez que je serai marié dans cinq ou six jours, et qu’en faveur de mon ma
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
plus encore, je comprends que si vous ne m’aimiez point vous ne vous marieriez pas. Non, lui dis-je, si mon cœur était tranquill
rsqu’avec sa grossesse qui commençait à paraître, son oncle voulut la marier . On lui proposait un grand parti, tout le monde y
e plus importunée de ce côté-là, de déclarer tout haut, qu’elle ne se marierait jamais, et vivrait à son particulier. Elle a fait
ils sussent de son aventure, et conclut par dire qu’ils allaient être mariés , et qu’à leur retour à Paris ils pourraient en in
L’allégresse fut entière, le notaire, Du Val et moi, pendant que les mariés étaient dans l’église avec le curé, passâmes le t
, chacun prit le chemin de chez soi, excepté moi qui couchai chez les mariés , qui comme moi, étaient encore au lit à midi. Du
champ, que ses laquais avaient dit à ceux du logis, qu’elle avait été mariée la nuit. Ils ne pouvaient savoir avec qui, tant l
s fatigué que si j’avais couru quinze jours la poste. J’ai laissé les mariés dans leur lit et ne les ai point vus depuis : mai
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
rce qu’elle tombera morte à ses pieds devant le prêtre qui voudra les marier  ; ainsi la vie et la mort de cette princesse sero
, sans en parler à ta femme ; il est homme d’honneur, et aura soin de marier ta fille, et de t’empêcher de jamais tomber en né
urandar. Rien ne s’oppose à votre mariage, leur dit-il, et vous serez mariés quand vous voudrez. Là-dessus ils se donnèrent la
me un barbet, à présent que j’ai le vent en poupe. Adieu, je m’en vas marier Sanchette, et trouver un gendre avec qui je ferai
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
nt été convaincu du contraire qu’après l’avoir épousée. Vous avez été marié , s’écria Madame de Mongey ? Oui Madame, je l’ai é
ne crains pas d’en être le héros, reprit-il, car sitôt qu’ils seront mariés , après avoir vu l’air du gobet, et lui avoir enco
et voici l’explication. Cette dame avait envie de m’établir et de me marier . Elle jeta les yeux sur Garreau qui était un jeun
-elle, Monsieur, il est à propos de vous dire que cet homme qui était marié dans l’hôtel, et qui avait épousé une des femmes
né pour époux, elle tomba malade comme elle allait effectivement nous marier ensemble. Dans ce même temps elle reçut une somme
gent comptant lui fit changer la résolution qu’elle avait prise de me marier comme sa nièce, et de m’avantager par le contrat
t croire qu’ils étaient instruits de ma naissance. Ils sont à présent mariés ensemble, il y a environ un an, et des gens de ce
e, et à qui elle avait ordonné de ne me point quitter que je ne fusse mariée . Valeran fut le premier à me faire connaître que
reprit-elle ; mais qu’espériez-vous par là ? Il était garçon, et vous marié  ; il pouvait prétendre à moi sans m’offenser, et
u’il se repose sur moi, et qu’il témoigne toujours avoir envie d’être marié , je lui réponds qu’il ne le sera que quand il vou
lle n’était pas désabusée, mais aussi parce qu’elle ne voulait pas me marier si jeune. Je lui fis voir que si je lui en parlai
ma faveur ; elle m’oblige de prendre tout malgré moi ; et se faisant marier séparée de biens, elle se met en ma faveur dans l
ne le sût, et surtout ma mère, qui n’aurait garde de croire que je me marierais à Paris, elle qui me croirait toujours à Grenoble
us allâmes à Saint-Paul qui n’était qu’à deux pas de là. Nous y fûmes mariés et nous rentrâmes au logis sur les deux heures. N
isse à penser où j’allai. Il y avait environ six semaines que j’étais marié et de retour, que Monsieur le commandeur de Ville
me de Buringe ; mais que cela était faux, puisque celle-ci, qui était mariée secrètement, était morte en couche[s], et que la
esse, et retirer leur enfant auprès d’eux ; mais qu’il l’avait trouvé mariée avec M… qu’elle avait été forcée d’épouser malgré
acheter m’ouvre les yeux ; c’est de là qu’il a de l’argent. Ils sont mariés , n’est-il pas vrai, Monsieur, poursuivit-elle ? L
sans déguisement ce que vous feriez. Je n’ai qu’un fils unique qui se marie sans que j’en sache rien : le coup est déjà très
rdu d’honneur aussi bien que sa femme : sans prévoir tout cela, il se marie . Je suis désabusée de tout ce que je croyais d’el
: les conditions furent plus longues à terminer. Je dis qu’elle était mariée et qu’elle voulait être libre de sortir quand bon
9 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
vous serez logé avec assez de commodité, parce que comme j’ai cru me marier il n’y a pas longtemps, j’ai meublé une maison tr
n particulier. Vous m’avez dit que vous avez été sur le point de vous marier , et que cela n’a point réussi. Je voudrais bien e
onsieur Dupuis, qui la doit épouser, et avec qui il devrait être déjà marié . C’est elle qu’on appelait Mademoiselle Nanette,
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
e, et moins encore qu’elle y consente. Je sais qu’elle a résolu de me marier , je parerai le coup, et je ne serai jamais qu’à m
e reste, que Contamine lui a donné depuis leur mariage ; car ils sont mariés séparés de biens ; et qu’il meure quand il voudra
méraire : tout ce que j’en pense, c’est que vous êtes avantageusement mariée , sans que personne en sache rien. Je vous promets
y, qu’elle était sortie de chez elle malgré elle, sous prétexte de se marier  ; qu’elle n’avait pas osé le porter beau sous ses
à sa vanité ; que sa confusion venait de ce que cette dame la croyait mariée , et qu’elle ne l’était pas, ce qui lui faisait co
é surprise de l’état où Angélique lui avait paru, qu’elle l’avait cru mariée  ; mais qu’elle ne lui avait pas semblé excusable
re à l’hôtel. Il y avait longtemps qu’elle aurait voulu voir son fils marié , et la personne dont il s’agissait étant demoisel
upportait qu’impatiemment le retard de la cérémonie. Ils furent enfin mariés , il y eut deux ans à Pâques. Ils demeurent toujou
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
isir que celui de les faire jaser. Elle dit à Thérèse qu’elle voulait marier sa fille avec le fils de son défunt fermier. — Es
sa mère en présence de toute la compagnie, Madame la duchesse veut te marier avec ce jeune homme-là ; si c’était moi, j’aurais
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ort d’une épouse qu’il avait parfaitement aimée, il ne voulut plus se marier et borna son plaisir à élever l’enfant qu’il avai
i. La première chambre est occupée par un homme de qualité, qui s’est marié en secret, et qui ne vient ici que deux ou trois
ué une autre, était toujours payée par les gens prétendus secrètement mariés  ; ce qui avait été cause qu’il avait aussi toujou
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
n’était pas par un motif d’indifférence, que les amants et les hommes mariés abandonnaient en France leurs maîtresses et leurs
leurs jalousies, et que très assurément le meilleur parti qu’un homme marié pouvait prendre, était de ne témoigner à sa femme
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
dit Sancho, t’y voilà laisse-t’y choir ; une fille qui a envie d’être mariée ne se déguise pas ? n’est-ce pas ? Elle ne fait p
C’est ce que je disais l’autre jour, reprit Sancho, ravi que les gens mariés fussent de son parti. — Mais, Chevalier Sancho, l
15 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
iages, où, dit-il, ils ne font d’autres cérémonies que de conduire le marié et la mariée qui ne se sont jamais vus à un lit é
it-il, ils ne font d’autres cérémonies que de conduire le marié et la mariée qui ne se sont jamais vus à un lit élevé de trois
ge l’un à l’autre de quelque couleur pour se reconnaître, et c’est le marié qui se lève le premier et relève sa mariée, peut-
se reconnaître, et c’est le marié qui se lève le premier et relève sa mariée , peut-être, dit notre pilote, pour lui faire conn
ndichéry et de vous dire ce qui reste. Il y a des Français qui y sont mariés avec des filles portugaises qui ne sont pas tout
quelque discours et les reconduit jusques à la porte de la pagode. Le marié prend la mariée sous le bras comme pour la souten
s et les reconduit jusques à la porte de la pagode. Le marié prend la mariée sous le bras comme pour la soutenir, l’emmène che
t incessamment et crachent à tout moment. Faut avoir bien envie de se marier pour l’être ici. Si je restais seul dans le monde
prétendu gendre l’argent qu’ils en auraient reçu. Et un homme qui est marié de cette manière-là, peut, quand bon lui semble,
ière fort commode, et si cette coutume était établie en France, je me marierais deux jours après mon arrivée, car je crois qu’une
que j’ai horreur d’écrire. C’est que les Gentils, d’abord qu’ils sont mariés avant que de toucher à leurs femmes les obligent
16 (1721) Mémoires
andes filles blanches qui étaient si charitables à leur choix pour la marier au fils de leur sarno ou pour la renvoyer quand i
en faire la gobine que de me coucher à jeun. — Mais tu n’es pas bien marié , lui dit ce magistrat. — Parsandié, répondit-il e
ntre le mari et la femme. Il y avait un compagnon menuisier parisien, marié depuis quelques [sic] cinq à six mois à une fille
si magnifique, lui demanda-t-il. — C’est, répondit-il, que ma sœur se marie aujourd’hui ; vous-même en avez signé le contrat,
ieur et Madame d’Orléans ont eu soin de la veuve de Cordier, et l’ont mariée très avantageusement. 266. Miotte est un misérabl
ance ; et elle de son côté, qui n’avait qu’onze ans lorsqu’elle a été mariée , ne pouvait pas encore savoir que pour vivre hure
la première à en turlupiner son fils et à jeter le divorce entre les mariés . La belle-mère de Crozat était, comme j’ai dit, u
ns la paroisse de S[aint] -Gervais ; ainsi il était grand-oncle de la mariée . La duchesse de Bouillon demanda au comte d’Evreu
clôture ne de chasteté. Qu’ils puissent sortir de leur couvent et se marier dans le monde, ou y vivre dans le célibat à leur
l’égard de la femme qu’il voulait épouser, il était assez âgé pour se marier sans le consentement de personne, et même malgré
bâtie, une perte sur mer, une banqueroute, un fils établi, une fille mariée , en un mot aucun prétexte ne fut oublié pour prou
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
es impostures ; que le seul parti qu’il y avait à prendre était de me marier promptement, qu’elle avait un parti en main qui m
li d’un autre, mon infortune ne s’y est pas bornée. A peine ai-je été mariée que les manières de Deshayes, si opposées à la po
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
où elle avait servi, et où elle demeurait encore lorsqu’elle s’était mariée en premières noces à un Flamand qui l’avait emmen
19 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
à quoi il obéit. Je retourne à Pondichéry. Il y a plusieurs Français mariés à des filles portugaises, qui ne sont pas noires,
s, les pères & mères conduisent chacun de leur côté les prétendus mariés , qui ne se sont jamais vus ; les filles restant t
nove. Il y a plus, c’est que d’abord que les gentils ou esclaves sont mariés , avant que de toucher à leurs épousées, ils les o
is mon truchement, rirent de la demande que je fis, si cette nouvelle mariée restait seule avec l’idole. Voilà en partie ce qu
rs & les autres gens de distinction auxquels il soit permis de se marier , & de renfermer leurs femmes & de faire b
& y était encore âgé de vingt-huit à vingt-neuf ans, lorsqu’il se maria , douze ans après la mort de son père. Il s’était
marchand chez lequel il était, ne voulant point de garçon de boutique marié , le congédia. Il vécut ainsi deux ans & plus
, ou on y joint la générale ; & la fille est très avantageusement mariée & est très heureuse. C’est ainsi que M. Marti
nner encore une autre fille pour être sa femme : & un homme ainsi marié peut, en laissant son argent, rendre sa femme à s
& très facile, & si la mode en était établie en France, je me marierais & épouserais le lendemain de mon arrivée, &am
ré les jaloux et l’indiscrète vigilance des autres religieux, je vous marierai ensemble. Le pauvre pater, tout défait et confus,
selle : & le mari & la femme, qui ne voulaient pas qu’elle se mariât , faisaient, par un esprit d’intérêt, tout leur po
s. Il y avait eu une amourette, dont il était venu une fille, qu’il a mariée à un nommé M. de La Pommeraie, gentilhomme de la
d’attente, le marchand & la marchande l’ont très avantageusement mariée avec un très honnête homme, qui l’a amenée ici, o
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
us devez vous battre contre son fils. Est-ce que les enchanteurs sont mariés  ? demanda la marquise. —  Non, non, Madame, répon
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
elle que jamais, et se livra toute à son Italienne, avec qui elle fut mariée au retour de la campagne dernière. Il ne connaît
22 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
e convient ; et, plaise ou non, on n’en est jamais refusé. Les hommes mariés en approchent peu ; mais ils ont plusieurs femmes
ge. Il est venu ici trois fois et en entend l’idiome : il est de Goa, marié au Port-Louis avec une Bretonne qui était servant
conclusion. On n’y observe point d’autre cérémonie que de conduire le marié et la mariée, qui ne se sont jamais vus (les fill
On n’y observe point d’autre cérémonie que de conduire le marié et la mariée , qui ne se sont jamais vus (les filles ne sortant
et salué les parents et parentes de sa femme, il retourne relever sa mariée , restée sur le lit pour lui faire connaître qu’un
Cela s’appelle-t-il des moineaux ? Vartigué ! y sont pu gros que des maries  ! Ho Dame, je sommes queuques louas si galans, qu
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