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1 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
s les cabarets, et on est obligé d’envoyer ailleurs chercher ce qu’on mange  ; je ne dis pas ce qu’on veut manger, mais ce qu’
nvoyer ailleurs chercher ce qu’on mange ; je ne dis pas ce qu’on veut manger , mais ce qu’on peut trouver. Le vin de Madère qu’
res seulement, mais même Européens, ne demandaient point à boire ni à manger , leur orgueil naturel ne le permet pas, mais dévo
yant que lui qui en eût. Pour souper et rafraîchissements, nous avons mangé un morceau de pain, une fricassée de sardines sal
viât, et comme il était bon, nous fîmes comme dit le proverbe à petit manger bien boire. Ce n’est qu’après l’écot qu’on est co
c’est un paradis auprès de ceci. Nous bûmes bien effectivement et ne mangeâmes guière, la chère qu’on nous faisait nous rassasia
est passé. Il n’est sauce que d’appétit : le thon frais est un pauvre manger , mais nous étions à jeun à dîner, il n’a pas tenu
ai. Mon plus grand travail est celui des chanoines de Boileau, boire, manger , et dormir. Ces pluies-ci ne sont autre chose que
irurgien qui lui prêche la diète. Il a toujours faim et veut toujours manger . On vient de prendre un marsouin, je vous dirai u
scription d’un marsouin : je vais vous tenir parole car je viens d’en manger . C’est un animal amphibie, si on peut appeler de
age, c’est-à-dire à 180 hommes, et 180 matelots, ou soldats à la mer, mangent plus que 300 hommes à terre. Vous ne le croirez p
à terre. Vous ne le croirez peut-être pas ; il est pourtant vrai, on mange plus ici qu’ailleurs, et les matelots ont toujour
cuite. Nos matelots disent qu’il fait de fort bonne soupe. Ils en ont mangé . Je ne me fie point à leur goût ; il est dépravé 
bon, ce sont des gouffres que leurs ventres. Pour nous, nous en avons mangé en pâté et je puis vous dire que c’est un très mé
pour le diable et qui conviendrait à sa couleur, que du marsouin pour manger , du café pour boisson et une pipe de tabac pour d
hors de l’eau pour le dévorer, et l’hameçon l’arrête. Il est bon à en manger une fois ou deux frais, mais après cela on s’en d
ui avait mis bas il y a un mois dix petits cochons, en a tué trois et mangé cinq autres grandelets, dont elle a ce matin mang
en a tué trois et mangé cinq autres grandelets, dont elle a ce matin mangé le dernier, c’était le plus gras des trois qui lu
lus gras des trois qui lui restaient. Nous ferons en sorte qu’elle ne mangera pas les deux autres, nous lui en épargnerons la p
dévore le plus faible, car sans parler de la truie d’ici, le lapin ne mange-t -il pas ses petits lorsqu’il peut les trouver où l
rsqu’il peut les trouver où la femelle les cache ? Les poissons ne se mangent -ils pas l’un l’autre, non seulement ceux de diffé
se passe point de jour qu’il n’y ait quelqu’une de nos poules tuée et mangée par les autres. Après cela, qu’il traite l’homme
es tourneurs se servent à polir leurs ouvrages. Nous n’en avons point mangé parce qu’il ne vaut rien, mais les matelots ne le
en, mais les matelots ne leur font point de quartier. Je crois qu’ils mangeraient le diable s’il tombait entre leurs mains. Cet ani
les plats sur notre table donnent de la sauce à tel qui voudrait bien manger sec, on fait en buvant les plus plaisantes contor
out si nous avons quelque rencontre d’Anglais ou de Hollandais, on ne mange plus à la chambre ni moutons ni poules, parce que
ons, si ce n’est que nous n’avons point de légumes fraîches ; nous ne mangeons rien qui ait eu vie faute d’en avoir. Du samed
la que nous nous conformons à nos bons missionnaires, et n’osons rien manger de gras les jours maigres crainte de scandale. Po
rs, Dieu y a pourvu, on a pris ce matin une dorade qui leur a donné à manger quoiqu’ils fussent bonne compagnie. Ce poisson es
bonne compagnie. Ce poisson est fort beau à voir et encore meilleur à manger . Il est doré, plat à peu près comme nos brêmes en
e me console de la mauvaise chère que nous faisons parce que j’espère manger bientôt de la salade, du gibier, de bon bœuf, de
int les noms, seulement sais-je qu’ils sont fort beaux et fort bons à manger . Mais comme les noirs ne les peuvent point avoir,
. Ils étaient dans un temps de jeûne pour eux, c’est-à-dire qu’ils ne mangeaient ni ne buvaient tant que le soleil était sur l’hor
sus, m’ayant été absolument impossible de leur faire rien ni boire ni manger , de quelque manière que je m’y sois pris. Un Fran
re qui ne nous parut pas gros quoiqu’il le fût beaucoup : la terre le mangeait . Le vent cessait petit à petit. Notre amiral mit
, mollasse et sans goût. J’y ai vu des bœufs, mais je n’en y ai point mangé et je crois qu’ils n’en abattent que rarement. J’
e. Il y avait table ouverte à la loge ou maison du Directeur : j’y ai mangé plusieurs fois. Tout y est très proprement servi
assés tous deux ; ces misérables s’imaginent que les morts y viennent manger et boire, et c’est pour cela qu’ils y laissent ce
nglais, l’autre hollandais. Que le roi de Golconde leur avait donné à manger à sa table, où le Français qui m’a conté ceci fut
qu’ils priaient qu’aucun Français ni autre chrétien ne touchât à leur manger ni à leurs plats. Je me suis fait expliquer pourq
nous tiennent impurs, et se laisseraient plutôt mourir de faim que de manger de ce que des chrétiens auraient touché et ne viv
viandes. Nous en avons trois à bord, qui viennent de la flûte qui ne mangent que du riz et ne boivent que de l’eau. Du same
Florissant, de l’Oiseau et du Lion l’ont suivie. Les maringouins nous mangent , il ne fait point de vent, c’est une chaleur insu
es de France. La tourterelle était bonne, j’en viens de goûter ; nous mangerons demain au soir la bécasse. Bien des gens qui sont
nt pris un qu’ils avaient écorché, l’avaient fait cuire et 1’allaient manger sans Monsieur de Porrières qui le fit jeter à la
fussent aussi de même humeur. Nos chasseurs en ont tué, nous en avons mangé , et je puis vous dire que c’est un très excellent
nous en avons mangé, et je puis vous dire que c’est un très excellent manger à quelque sauce qu’on le mette, et qu’il fait de
’en faut de beaucoup qu’il ne vaille le cerf de France. Nous en avons mangé en toutes sauces, au pot, à la broche et en pâte,
nçais à en être dégoûté de toutes. Cette viande veut être promptement mangée parce qu’elle se corrompt d’un jour à l’autre ; p
qu’on tua aussitôt s’est gardé bon jusques à aujourd’hui que l’on l’a mangé ce soir. Ce n’est donc ni le sang qui peut rester
sur le feu. Ces œufs ne valent rien du tout quoique les matelots les mangent , mais que ne mangent-ils pas ? Ils sont couverts
ne valent rien du tout quoique les matelots les mangent, mais que ne mangent -ils pas ? Ils sont couverts non pas d’une coque m
t qu’il reste en vie tourné sur le dos vingt et vingt-cinq jours sans manger , en le lavant tous les matins d’eau de la mer. La
longtemps nourri de bœuf et de lard salés ; mais il ne faut point en manger ni trop à la fois ni trop longtemps, parce qu’ell
’arriver à Négrades et j’en rejette la cause sur la tortue qu’ils ont mangée avec trop d’avidité, outre qu’effectivement la fa
ête, d’autant plus qu’il est constant que les gens de ce pays-ci n’en mangent point et aiment mieux se passer de riz et de pois
r d’une viande qu’ils ont apparemment reconnue malsaine. Les matelots mangent tout, et si on peut le dire sans insulter à leurs
un quart d’heure après lequel temps ils se lèvent tous, présentent à manger au corps et ensuite le conduisent à son bûcher, c
Du lundi 29 [janvier] Toujours bon vent. Nous avons aujourd’hui mangé la dernière vache de celles que nous avons apport
et nos matelots en ont encore de salé. Le meilleur que j’y aie vu et mangé est fait comme une petite carpe, l’écaille, la pe
’une demi-lieue, tout le reste de l’île est bordé de roches minées et mangées par la mer lesquelles jointes au reste de l’île b
s îles inhabitées. Ils ont guerre perpétuelle avec les Anglais et les mangent . Il n’y a pas longtemps qu’un de leurs canots qui
e fille est à La Martinique et je l’ai vue. Ils font bien plus que de manger les Anglais, ils les distinguent au fleuré de tou
nglais, ils les distinguent au fleuré de toute autre nation. Ils nous mangeaient aussi autrefois, mais leur appétit s’est jeté sur
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
si tranquillement ses brusqueries. Notre chevalier qui était à table, mangeait et buvait si vite et si dru, si j’ose me servir d
me il était jour de jeûne, et que malgré lui il était à jeun, il n’en mangea ni plus modérément ni avec moins d’avidité. Le bo
nt jeûner que de se remplir comme il faisait ; qu’on ne devait jamais manger et boire que pour vivre ; mais qu’on devait les j
jeûne se priver d’une partie de sa subsistance ordinaire, et non pas manger et boire dans un seul repas autant qu’on buvait e
et non pas manger et boire dans un seul repas autant qu’on buvait et mangeait dans deux ; qu’en un mot, pour bien jeûner il fal
l y a plus d’un jour à la semaine, et plus d’une semaine au mois. Peu manger et mal nourrir, font bientôt l’homme mourir. Tout
dors à la belle étoile, le ventre creux comme un tambour, après avoir mangé un morceau de pain bien dur, et bu de l’eau telle
belle Altisidore lui dit que ce ne serait qu’après qu’il aurait bu et mangé . Il se mit donc à table, où il dit à Altisidore m
ssa ; et comme il avait passé une fort mauvaise nuit après avoir bien mangé et bien bu, il se mit dans son lit et s’endormit
3 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
des matelots qu’il vienne ici et m’apporte du pain, et que j’en veux manger une galette avec du beurre. Chaviteau y alla. Le
tant à quatre sols huit deniers la ration des gens qu’on disait avoir mangé à sa table, et non des vivres du fond de cale. Je
notre auberge vers les cinq heures et demie pour aller chez Foulquier manger le reste de notre souper, nous avons justement tr
is que nous avions des vivres pour deux ans, tant pour boire que pour manger , mais que nous n’étions pas dans la situation de
nt François Portioncule. Le diablezot a repris Le Vasseur, il boit et mange comme un porc, pourvu qu’il ne lui en coûte rien.
ue cette montagne est isolée, et que sa hauteur n’est ni confondue ni mangée par celle d’aucune autre, qu’elle m’a paru la plu
te ans, pour une lettre satirique contre le cardinal Mazarin. J’ai bu mangé avec lui, et son esprit, dans un corps bien vieux
ts : on est obligé d’envoyer chercher ailleurs, non ce qu’on voudrait manger , mais ce qu’on peut trouver. Le vin de Madère qu’
asanés que les Portugais d’Europe), ne demandaient point à boire ni à manger , leur orgueil naturel ne le permet pas, mais dévo
point de poisson. Il a fallu nous contenter de sardines très puantes mangées avec de l’ail et de l’huile qui sortait de la fou
encore, je ne sais qui que ce soit plus malheureux que ces gens-ci. A mangé de ce régal qui a voulu, sur un coffre qui servai
t des paradis, au lieu de ceci. Effectivement, nous bûmes bien, et ne mangeâmes guère : la bonne chère nous rassasiait. Il n’y a
essence, et le sublimé. Je suis revenu vers le midi, n’ayant ni bu ni mangé que chez l’évêque, conduisant mon vin. J’ai trouv
 : tout au contraire, ils se fient tellement sur la Providence qu’ils mangeraient volontiers dans un repas ce qui servirait à d’aut
t d’un bouc et d’une chèvre. Je parlerai de son goût quand j’en aurai mangé  ; je ne le crois pas meilleur que celui de Proven
faites à nos yeux, que le chien du cocher du maître chez lequel nous mangions avait plus de raison qu’un homme qui venait de so
a tanche : sa chair est blanche, mais sèche ; il est bon lorsqu’on le mange à quelque sauce grasse, comme à l’huile et au vin
es mains du cuisinier, ce serait signe qu’on la tiendrait. Nous avons mangé ce soir du cabri à la broche. Il a paru bon à que
tout à telle sauce qu’on l’accommode ; et selon moi, du marsouin pour manger , du café pour boisson, et une pipe de tabac pour
ps, et ses entrailles, nous ont fait une très bonne soupe. Nous avons mangé le reste sur le gril, à l’huile et au vinaigre, e
masse toujours sèche se réduit facilement en cendre, et est peu à peu mangée jusqu’à son sommet, étant le propre de la flamme
rtainement on ne peut pas se divertir plus sobrement qu’il fit. Il ne mangea que fort peu de potage et rien autre chose ; et n
re. Les deux de celui de lundi furent pris avec lui. Les matelots ont mangé les autres, et que ne mangeraient-ils pas. Il ne
di furent pris avec lui. Les matelots ont mangé les autres, et que ne mangeraient -ils pas. Il ne vaut rien du tout : j’en ai goûté.
que ces chaleurs-ci diminuent ; et le père de La Chassée et moi avons mangé chacun deux tranches de langues de bœuf, et vidé
r savoir comment se porte M. Hurtain, qui, comme j’ai dit, ne but, ni mangea lundi dernier, et le prier à dîner dimanche proch
ses tranches. Pour nous, qui ne la croyons pas assez faite, nous n’en mangerons que de demain en huit ; et j’en fais toujours acc
que nos soins n’y seraient point épargnés. Il n’a voulu ni boire, ni manger , et est parti en nous disant de ne point obéir au
ui a été entamé pour M. d’Auberville ; car nous n’en avons pas encore mangé ici. Un quart d’heure après il est remonté avec l
, et depuis midi de la pluie qui tombe encore. Nous avons aujourd’hui mangé publiquement pour la première fois de la bonite m
nt fort réjouis de cette bonite, et que tant que nous en aurons on ne mangera rien autre chose pendant les jours maigres. Le te
oujours, et le pis de tout, à ce qu’on dit, c’est qu’il veut toujours manger contre le sentiment des missionnaires, de l’aumôn
vre, lui a-t-il dit : je ne sais à quoi il tient que je ne vous fasse manger avec les valets. Ôtez-vous de là ; et sachez qu’u
ns. Bouchetière n’en a pas perdu un coup de dent : au contraire, il a mangé de colère, et ne s’est levé qu’au dessert, que le
ssés et en hachis, avec des anchois. (C’est le premier que nous avons mangé à la mer ; mais il était excellent. Il y en a enc
avait apporté exprès. Il m’en a remercié et m’a dit qu’il en voulait manger qu’il n’y eût que nous trois. Je lui ai dit que M
e. J’ai fait aujourd’hui la vie d’un des chanoines de Boileau, boire, manger et dormir. Le commandeur a écrit toute la journée
reste des fèves des matelots font un lard ferme et bon. Nous en avons mangé à la broche : il est excellent ; et puisque je le
ous, ou que nous serions obligés de dégarnir nos cages ; et peut-être mangerions -nous les poules qui nous font des œufs tous les j
arrivé. La même truie, qui mit bas la nuit du 14 au 15 du courant, a mangé ce matin le plus gros et le plus gras de ses gore
ait : mais, jusqu’à ce que la sentence s’exécute, on l’empêchera d’en manger d’autres ; car on les lui ôtera lorsqu’ils l’auro
nt de même espèce. La truie d’aujourd’hui en est une preuve. Le lapin mange-t -il pas ses petits, lorsqu’il peut les trouver où
ites dans l’estomac des grosses qui les ont englouties. Nos poules se mangent les unes les autres : il n’y a pas de jour qu’il
u’il n’y en ait quelqu’une tuée, ou du moins dont le croupion ne soit mangé par ses voisines de cage. La guerre a été de tout
inguent le goût de leur amant, ou de leur maîtresse, en lui en voyant manger avec le plus d’appétit. On ajoute que ces animaux
rir nos truies, on avait fait couper leur verrat : nos matelots l’ont mangé aujourd’hui à leurs deux repas. La hauteur d’aujo
mplis de toutes sortes de gibier, et de bêtes fauves, toutes bonnes à manger . Il n’y croît aucun animal malfaisant, ni lions,
exemple de Saül, qui voulut faire mourir Jonathas son fils pour avoir mangé un rayon de miel ; ou celui de Jephté, qui sacrif
on trouve dans les montagnes d’Auvergne. J’en ai envoyé un à bord, et mangé l’autre dans ma tente, avec d’autres, qui, comme
e cuite qu’elle puisse être, il n’y a que les matelots capables de la manger  ; et de quoi ne mangeraient-ils pas ? Les chauves
être, il n’y a que les matelots capables de la manger ; et de quoi ne mangeraient -ils pas ? Les chauves-souris dont j’ai parlé leur
rix à notre départ. Toutes ces viandes sont bonnes ; mais il faut les manger sitôt qu’elles sont abattues, ou au plus tard dan
autre, et chaque grappe en porte depuis douze jusqu’à vingt. On ne le mange que mûr ; car, lorsqu’il est vert, il est aigre e
cats mangers qui croissent dans tout le monde ; et, si je n’avais pas mangé de l’ananas, dont je parlerai bientôt, je dirais
bientôt, je dirais que ce fruit, l’un des plus savoureux qu’on puisse manger , l’emporte sur tous les autres ; mais, à mon goût
ui peut y trouver, et qui y trouve en effet, de quoi boire et de quoi manger , et de quoi se mettre à couvert des injures du te
le est bonne et nourrissante et je ne crois pas qu’un homme puisse en manger à un repas plus qu’un coco en contient. Ainsi, ce
u’on s’en est servi ; parce que ce fruit est tellement corrosif qu’il mange le fer et l’acier : mais, quand on corrige cette
et de sucre (je n’y mettais qu’un peu d’eau-de-vie), on ne peut rien manger de meilleur et de plus sain. Qu’on se figure tout
n. Ils n’ont pas l’odorat fade comme ceux d’Europe, mais, il faut les manger frais, et ne s’en pas fier sur les Noirs ; autrem
n des fruits du pays et de notre vin. Il ne voulut jamais ni boire ni manger  ; et me fit prier par mon nègre de ne l’en pas pr
l’en pas presser, étant dans le Ramadan. Il avait vu que nous avions mangé avec plaisir de l’ananas : il envoya des Noirs en
a treizième lune, dans quelque saison ou temps qu’elle vienne, ils ne mangent ni ne boivent depuis le soleil levant, jusqu’à ce
luisent au ciel ; et que dans cet intervalle de nuit, ils boivent et mangent de tout, excepté les viandes qu’ils croient impur
s, quoiqu’il le fût beaucoup ; mais, pour parler matelot, la terre le mangeait . Le vent cessait peu à peu, et calma presque tout
t aujourd’hui le premier de la lune. Il avait un taot [thon] et l’ont mangé . M. de La Chassée et moi, avons dîné dans la cham
ne s’en trouve pas plus mal ; parce qu’on est obligé d’abattre et de manger , plus tôt qu’on n’aurait fait, ceux qui s’estropi
ère a célébrées : ils donnent de la sauce à tel qui aurait bien voulu manger sec. M.de La Chassée en a été échaudé à dîner. Il
qui que ce soit n’en est exempt. Je me fais un plaisir par avance de manger des poulets à Pondichéry. On dit qu’ils y sont ex
noire. Je n’en ai jamais vu : je dirai ce que c’est quand j’en aurai mangé . Je les trouverais bien meilleurs si quelque Angl
eur vie : ils sont mal nourris, en comparaison de ce que les ouvriers mangent à terre ; peu soignés, et avec cela, quelquefois
ue des Anglais appelaient à leur secours. As-tu de quoi leur donner à manger  ? lui demanda froidement M. d’Aire. Ils vivront a
oyé à bord de l’Ecueil, et m’a fait plaisir ; car je n’avais ni bu ni mangé de la journée, et il était près de trois heures.
’il avait cru que j’avais fait comme lui, c’est-à-dire que je l’avais mangé en trahison, sans en faire part à personne. Du
4 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
t vu d’autres ; il n’y en a point non plus : la preuve est qu’on n’en mange point d’autres chez M. Martin, dont la table devr
mollasse & sans goût. J’ai vu des bœufs, mais je n’y en ai point mangé , pas même chez le général des Français. Je ne cro
on de M. Martin, ou à la loge de la Compagnie : j’y ai plusieurs fois mangé  ; on y est fort proprement servi, en vaisselle d’
oisson, & c’était les jours maigres que je choisissais pour aller manger à la loge, parce qu’on n’y servait point de cocho
vu de pareil. Il était attaché au milieu de la cour en vie, & ne mangeait que du fruit & des herbes. Il avait la tête d
parce qu’ils croient tous la métempsycose de Pythagore, et croiraient manger l’âme, ou le vêtement de l’âme de leurs parents o
manger l’âme, ou le vêtement de l’âme de leurs parents ou amis s’ils mangeaient quelque chose qui eût eu vie. On verra dans la su
notre conducteur. Ces misérables s’imaginent que les morts y viennent manger & boire pendant quarante jours ; & c’est
le cangé, ou le bouillon : voilà leur dîner, & à leur souper ils mangent ce riz qui s’est grossi & qui en froidissant
ensemble, gentils, Mores, & Lascaris ont cela de commun qu’ils ne mangent rien qui ait eu vie. L’adultère est puni de mort
leurs prières seraient plus efficacement exaucées si elles pouvaient manger ou avaler quelque morceau du saint. Il était trop
l n’a rien qui sente le mâle que la barbe : le bas du ventre est tout mangé , & bien plat. Le voit qui veut ; mais une gri
n expliquait, c’est qu’ils suppliaient que personne ne touchât à leur manger ni à leurs plats. Ces misérables nous tiennent im
s tiennent impurs, & se laisseraient mourir de faim plutôt que de manger de ce qu’un chrétien aurait touché. Ils ne font p
il est convenu pour faire venir des Français à bord. Nous sommes déjà mangés de maringouins, ou mouches de pré, qui font éleve
lardées de citrons, & d’un sirop de couleur d’ambre. Chacun en a mangé une, excepté moi, qui ne mange point de chatterie
sirop de couleur d’ambre. Chacun en a mangé une, excepté moi, qui ne mange point de chatterie. Parbleu ! a dit M. de Pondère
& une bécasse. Ces deux dernières étaient bonnes ; j’en viens de manger ma petite part. Bien des gens qui sont venus ici
ient écorché un caïman, qu’ils l’avaient fait cuire, & l’allaient manger si je n’en avais pas averti le commandeur, qui vi
os. De nos matelots l’emportèrent, & c’était lui qu’ils voulaient manger . Je me souviens d’avoir lu quelque part que le li
; un bras démis en tombant. Nos chasseurs en ayant tué & en ayant mangé , je puis assurer qu’il ne diffère en rien de celu
. C’est une viande dont on est dégoûté en peu de jours. Nous en avons mangé à toutes sauces, au pot, à la broche, en ragoût &
a passé douze heures dans le sel. Cette viande veut être promptement mangée , parce qu’elle se corrompt d’un jour à l’autre :
, s’est conservé jusqu’à aujourd’hui si pur & si sain qu’on ne le mangera que demain. J’en reviens à ce que j’en ai déjà di
is dans le corps de l’animal, avant l’expulsion. Ils ne valent rien à manger , quoique les matelots les mangent ; mais que ne m
nt l’expulsion. Ils ne valent rien à manger, quoique les matelots les mangent  ; mais que ne mangent-ils pas ? Ces œufs sont cou
valent rien à manger, quoique les matelots les mangent ; mais que ne mangent -ils pas ? Ces œufs sont couverts, non d’une coque
ées ; elle est à mon sens trop purgative, car pour en avoir seulement mangé deux fois de suite, je me suis trouvé très affaib
joutez à cela que les Portugais qui étaient à Négrades n’en ont point mangé du tout : cela me fait soupçonner que cette tortu
proportion : & c’était tout ce qu’un homme pouvait taire que d’en manger une à lui seul ; &, comme elles étaient d’une
l y avait très longtemps que notre chirurgien accusait ses garçons de manger les œufs des malades : il avait beau les compter,
le, que les Portugais n’en ont pris aucune & n’ont point voulu en manger , ayant mieux aimé se passer de riz & de poiss
ne. J’ai dit l’effet que cette nourriture a fait sur moi, qui n’en ai mangé que deux fois, & que, malgré la bonté de mon
enti en effet plus de huit jours de suite. Mais les matelots français mangent tout ; &, si on peut le dire sans insulter à
munitionnaire général donne aux soldats ; si vrai que tant qu’ils ont mangé de bon pain, c’est-à-dire pendant tout le temps q
mp; ils ont à souhait tout ce qu’il faut pour la vie. Je n’y ai vu ni mangé ni bœuf, ni veau : je ne sais ce que les Asiatiqu
itures. Je n’y ai point vu de gibier ; du moins, je n’en ai ni tué ni mangé . J’ai dit, ci-dessus page 89 que si le crocodile
n naturel. Au contraire, son frère dénaturé a vu son ample succession mangée & dissipée par sa faute & sa mauvaise con
table, en dînant, non seulement en présence de tous les officiers qui mangeons ensemble, mais aussi de ceux qui nous servent &am
doigt. Le banian ne se mit point à table : car, outre que ces gens ne mangent rien qui ait eu vie. c’est la coutume, par tout l
aimable. Elle le conduisit dans un salon, à côté de la salle ou nous mangions . Ils restèrent ensemble seuls près d’une demi-heu
lorsqu’elle apprit que j’allais partir. Celle-ci, qui est mahométane, mangeait de la viande avec moi, et buvait aussi de mon vin
omme les banians, parlent leur idiome aussi bien qu’eux, vivent &  mangent avec eux & comme eux, font leurs mêmes cérémo
rès incertaine. Du lundi 29 janvier 1691 Nous avons aujourd’hui mangé la dernière vache de celles que nous avons apport
, tant mieux pour nous : sinon, d’autres auxquels tout est propre les mangeront  : je veux dire nos matelots. Du samedi 10 févr
de Grave, & en bus plus de cinq pintes mesure de Paris, sans rien manger du tout. J’ai sué, vomi & dormi comme un porc
proposition ; & ont dit que tant que ce pain-là durerait, ils en mangeraient le soir dans leur chaudière, recuit avec la grais
mônier ne pouvait pas disconvenir de cette vérité, puisqu’il en avait mangé sa bonne part ; que je l’avais donné à la table,
on où j’avais toujours été, & où j’étais encore, que les gens qui mangent ensemble à la mer ne devaient avoir qu’un même pl
les rochers de très excellente passe ou casse-pierre, dont nous avons mangé de très bonnes salades, & confit deux petits
ls sont refroidis, on les larde & on les met à la broche : on les mange ensuite au poivre, au sel & au vinaigre. Ils
it souvenir de la nôtre, qui sent un peu. Rikwart, qui avait envie de manger de la salade de pourpier & de casse-pierre, m
le que du pain & du vin de retour. Le meilleur poisson que j’y ai mangé est fait comme une petite carpe de quatorze à dix
anse, tout le reste de l’île est bordée de rochers caves, minés &  mangés par les coups de mer qui viennent incessamment s’
le diable dans les dents. Nous avons ici un nommé René Le Gallic, qui mange les rats, & dit qu’ils valent mieux que les l
les inhabitées. Ils ont guerre perpétuelle avec les Anglais & les mangent . Il n’y a pas longtemps qu’un de leurs canots ava
vec adresse. Un coup de fusil les fait fuir comme des étourneaux. Ils mangeaient autrefois les Français ; mais, depuis longtemps,
le était à plaindre en ce qu’il avait le défaut d’être ivrogne, qu’il mangeait tout au cabaret & ne lui donnait seulement pa
égaler à son tour. Bernard lui dit que Vallière était son ami, qu’ils mangeaient & couchaient ensemble ; & qu’en cette con
ourant, & a de son autorité convié le Provençal de boire & de manger sa part de la gageure. Nous voilà déjà cinq, comp
Te Deum de meilleur cœur que tous les musiciens du monde, nous avons mangé à soupé deux poitrines de veau, & les ris des
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
eur de toucher des viandes qui sortaient de l’enfer, et s’excusa d’en manger . Le duc tira Sancho en particulier, et voulut lui
urant qu’il allait faire enlever par des enchanteurs tous ceux qui ne mangeraient pas. Chacun se mit donc en état de manger, et man
teurs tous ceux qui ne mangeraient pas. Chacun se mit donc en état de manger , et mangea en effet, et même de bon appétit. Sanc
ceux qui ne mangeraient pas. Chacun se mit donc en état de manger, et mangea en effet, et même de bon appétit. Sancho, qui fou
nteur lui répondit qu’il était jeûne pour lui ce jour-là, et qu’il ne mangeait jamais avec les dames. Il ordonna aux satyres de
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
de nous que nous sommes saint Antoine et son cochon, puisque nous ne mangeons pas à la même écuelle, et que vous êtes avec des
as sujet de me plaindre du traitement, puisqu’il n’a tenu qu’à moi de manger autant et plus que vous ; mais ce dont je me plai
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
s dans les offices ; le maître d’hôtel qui est un bon vivant m’a fait manger tout mon saoul, et je n’ai pas fait un repas de c
s de Chevaleries à part vous n’êtes qu’un simple gentilhomme, et vous mangez avec des ducs et des duchesses, vous riez tous en
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
l leur dit là qu’il y avait assez longtemps qu’ils n’avaient ni bu ni mangé pour avoir appétit. A ce mot de manger Durandar,
temps qu’ils n’avaient ni bu ni mangé pour avoir appétit. A ce mot de manger Durandar, Balerme, Montésinos et leur suite, se m
r ayant imposé silence, il les regarda avec plus de tranquillité. Ils mangeaient comme des loups, et avec une voracité qui rendit
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
a fantaisie ; et sur ce pied-là n’ayant rien eu à faire qu’à boire et manger , il ne faut pas s’étonner de mon libertinage. J’e
onversation finit par une prière qu’elle me fit de venir le lendemain manger des petits pâtés avec elle. Je me souviens fort b
tait dans une telle colère, qu’elle n’osait ouvrir la bouche, ni pour manger , ni pour parler. Mon frère la copiait, et moi je
este grande chère et beau feu : nous y buvions du vin excellent, et y mangions de bons morceaux assez souvent sans couteaux, et
belle fille, lui dis-je. Il est aujourd’hui dimanche, dit-elle, on ne mange point d’omelette. Ce ne serait pas pour faire une
je sais faire aussi du beurre et du fromage. Ne le laissez-vous point manger au chat, lui dis-je ? Il n’y en a point chez nous
me retirer de sa table. Que c’était la seule cause qui m’obligeait de manger ailleurs. Que si je lui déplaisais encore jusqu’a
ose. Je la fis mettre à table malgré elle, et qui plus est, je la fis manger et boire sans faim ni soif. Grandpré sortit mieux
d’affaire que je ne l’avais espéré ; il se remit peu à peu et but et mangea avec assez d’appétit ; mais la vérité est que je
icassée de poulets que je savais que cette femme aimait, et dont elle mangea beaucoup ; et en badinant, j’empêchai Silvie d’en
et dont elle mangea beaucoup ; et en badinant, j’empêchai Silvie d’en manger , les domestiques mangèrent le reste. À peine Mada
coup ; et en badinant, j’empêchai Silvie d’en manger, les domestiques mangèrent le reste. À peine Madame Morin eut-elle soupé, qu
ou de se tuer elle-même. Il fallait que ses domestiques, qui avaient mangé le reste de cette drogue, en ressentissent un cru
pour résister à la force et à la quantité de ce que je lui avais fait manger , fut trouvée morte dans son lit. Silvie ne m’a po
bons amis seulement, ou bien plutôt comme frère et sœur, puisque nous mangeons ensemble ; mais c’est aussi tout ce que nous fais
n épée, elle courut appeler du secours. La cuisine où les domestiques mangeaient était tellement éloignée, qu’on ne l’aurait point
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
ngélique lui en sut bon gré. Il demanda à cette femme si elle pouvait manger . La garde répondit pour elle que oui, et que dès
e viendrai souper avec vous. Ne vous embarrassez point de ce que nous mangerons  ; j’en aurai soin. Je serai demain des vôtres ma
il l’interrompit toujours, pour lui témoigner la joie qu’il avait de manger avec elle pour la première fois. La malade à qui
et de voir avec quelle joie il avait saisi de lui-même l’occasion de manger avec elle ; honneur qu’elle n’aurait jamais espér
ée par sa mère, aux deux filles du logis chez le père desquelles elle mangeait , et les obligea d’y coucher. Cet homme était, com
faisait de ne me point quitter ; la compagnie des filles avec qui je mange , qui ne m’ont point quittée depuis sa mort ; le s
que Contamine lui avait faite, de la retirer auprès d’elle ; qu’elle mangerait et coucherait dans l’hôtel, où elle lui donnerait
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
ts qu’avec leurs propres armes ? Ils auraient plus longtemps parlé et mangé , car la station plaisait fort à Sancho, si le duc
ataria ; car avec mon argent je trouverai de quoi vivre, à boire et à manger tout mon saoul, et dans mon gouvernement le docte
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
quand on devrait être payé en chats et en rats, autrement celle qui a mangé le lard ne le paierait pas, et moi qui n’ai mis q
e poisson. Oui ma foi, elle a bonne gueule, autant de servi autant de mangé  : bien gagné bien dépensé, il ne faut point de bo
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
s me témoigna son indigence. J’envoyai chercher à déjeuner, je le fis manger avec moi ; et sous prétexte de lui payer ce qu’il
en jasant avec elle. J’envoyai encore quérir à déjeuner, et je la fis manger avec moi, quelque difficulté qu’elle en fît. Je m
in, et l’emmenai. Il n’était pas accoutumé aux bons morceaux ; car il mangea avec un très grand appétit ce qu’il trouva, qui n
ut que trois coups, encore de l’eau rougie. Je n’ai jamais vu si bien manger et si peu boire. Cela le mit pourtant dans une au
lésiastique que je récompensai fort honnêtement. Je le priai de venir manger un morceau avec nous, il y vint, et ma femme lui
Notre tête-à-tête ne fut interrompu que pour faire collation, où nous mangeâmes du reste de notre dîner, avec plus d’appétit que
ui dit Jussy. J’ai entendu parler de déjeuner, dit-elle, et j’en veux manger ma part. À la bonne heure, reprit-il, dépêche-toi
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
rendu à la comtesse Eugénie, à qui je donne bien souvent à boire et à manger  ; c’est par mon art que tu t’es trouvé aux occasi
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
s transports ; et comme sa mâchoire se raccommoda, et qu’il buvait et mangeait tout son saoul, il se releva avec un embonpoint q
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
de vendre celles dont ils ont besoin. Quand on vend pour vivre, on ne mange pas de bon cœur, et le rire et la faim ne sont pa
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
it lui fit faire une vie de son goût, puisqu’il ne faisait que boire, manger et dormir. Cela dura dix à douze jours, qui fut l
18 (1721) Mémoires
logea à Saint-Germain dans la même auberge où mon père logeait ; ils mangèrent à la même table, et eurent bientôt fait connaissa
ivit point d’autre que de vivre en son particulier, et de ne boire ni manger rien qu’elle ne l’eût vu accommoder elle-même ; e
e des Iroquois quand ils les tuent et qu’ils n’ont rien autre chose à manger , et que les chiens du pays suffisaient pour le dé
sition, et leur dit que tous les Français étaient résolus de se faire manger tous plutôt que de sacrifier à leur brutalité une
u’il s’était exposé mal à propos, il choisit la paix. La sagamité fut mangée et le calumet de paix sucé par tous les assistant
gras-double, ou du fromage m’aurait fait plaisir, car je ne peux pas manger du pain sec. — Eh bien, dit-elle, mange de la mer
plaisir, car je ne peux pas manger du pain sec. — Eh bien, dit-elle, mange de la merde. Trouveriez-vous cela bon, Monseigneu
t par quelle destinée il trouva la mort à Châlons-sur-Saône. Il avait mangé le soir à son souper d’une poitrine de veau en ra
n souper d’une poitrine de veau en ragoût ; il en avait même beaucoup mangé , et soit que son estomac ne pût pas tout digérer,
ête sur le bureau, et les jointures des doigts de ses mains en dehors mangées à belles dents ; et M. le comte d’Avaux son frère
lle, et la traita comme si elle avait été sa parente. Elle la faisait manger à sa table, et sa charité s’étendit jusques à lui
nous n’eûmes qu’une même table avec un pâté et un jambon dont chacun mangea avec appétit au clair de la lune. Pendant ce peti
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
souvenait plus des mauvais traitements qu’il venait de recevoir ; il mangeait et buvait mieux que jamais. et le trésor qu’il po
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
ie venait le voir fort souvent, et que tous les Espagnols et Français mangeaient ensemble, du Chirou eut tout le loisir de voir ce
21 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
portée, pendant plus de quinze jours, je ne la quittai que pour aller manger , et si elle avait voulu je n’en serais point sort
it généralement tout ce qui m’arrivait, et tout ce que je faisais. Je mangeais ordinairement seule avec Madame. De tous les gens
allai trouver Rouvière : il logeait dans le même endroit, mais il n’y mangeait pas, n’étant pas en état de faire une si grosse d
parassent, qu’il gardât seulement un appartement garni, et qu’il vînt manger avec elle : qu’elle n’en ferait point un ordinair
des difficultés, il accepta ses offres, à condition que ses valets ne mangeraient point chez elle, et qu’ils n’y entreraient que qu
la table. On s’y mit, et on dîna splendidement. Comme on commençait à manger , Monsieur et Madame de Terny arrivèrent, ils avai
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
fait. Sancho passa encore toute la journée dans son lit où il but et mangea à son ordinaire, c’est-à-dire qu’il pensa se crev
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
, Dulcinée y perdit sa peine, et on fut obligé de mêler dans ce qu’il mangeait et dans son verre des compositions assoupissantes
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
il avait faites. Les ulcères dont il était couvert, la vermine qui le mangeait , et le fumier sur lequel il était étendu, ne pure
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ne vous incommoderai pas beaucoup, que pour aller me faire apporter à manger , et dès demain matin je viendrai prendre possessi
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
, et que nous ne sommes morts ni de faim ni de soif. Nous n’avons pas mangé de bons morceaux, mais un morceau de pain bis nou
27 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
e, et un laquais. Je donnais à mes gens leur argent à dépenser, et je mangeais avec cette dame. On disait que cette fille était
nsi que nous passions le temps. J’allais chez lui à tous moments, j’y mangeais tous les jours ; et pour être en effet le gendre
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
l’ayant suivi, il la fit entrer chez lui ; et après l’avoir bien fait manger en sa présence même, il la mena dans son jardin t
29 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
e reste de cette poudre, qu’elle mêla avec des confitures, et les fit manger à une petite chienne qu’elle avait. À peine ce pe
30 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
s transports de Bernay, qui fulmina terriblement au commencement. Ils mangèrent le festin qui avait été préparé pour la professio
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