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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
sagers si communs aux jeunes gens. Je crus que c’était un assez grand malheur pour elle d’avoir épousé Deshayes, pour me croire
é qui m’occupe, ou si c’est l’intérêt que je prends dans votre commun malheur , mais il me semble que vous auriez dû vous instru
ant jamais vu. Puisque c’est cette fatale lettre qui a causé tous mes malheurs , il faut, Madame, que vous sachiez ce qu’elle con
use aventure sans expirer. Quelles réflexions ne fis-je point sur mon malheur  ! L’amour que j’avais pour Sainville voulait pren
malgré mon cœur qui le justifiait. Quoique ce soit le plus grand des malheurs qui puisse arriver à une femme qui a de la vertu
pourtant jamais rien témoigné, et j’aurais supporté avec constance le malheur où je m’étais moi-même précipitée, si je n’avais
dra compagnie ; c’est à vous à voir si vous voulez m’abandonner à mon malheur , ou si vous voulez faire agir vos amis. C’est Mon
, de quel front osez-vous m’avouer que vous êtes la cause de tous les malheurs qui me sont arrivés, et qui m’arriveront encore !
dans un couvent inconnu à Deshayes, où je puisse pleurer à jamais mes malheurs et mes infidélités pour Sainville, qui en sont la
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
habit noir. Elle portait le deuil de sa mère, j’eus compassion de son malheur . J’avais appris en venant que son père la destina
qu’il ne voulait point l’apprendre, parce qu’il en arriverait trop de malheur . Qu’il fallait que ce fût un homme de qualité, pu
donnés, ils me faisaient regarder le convent comme l’unique port aux malheurs que je prévoyais dans le monde. L’amant qu’on m’a
erminerais assurément par une mort volontaire et précipitée, tous les malheurs qui m’ont jusqu’ici poursuivie. Venez promptement
qu’il me fut possible, et je m’attristai avec elle. Je lui contai mon malheur , elle me plaignit, et heureusement le lendemain e
s Ronais la prit et lut ces mots. LETTRE. N’admirez-vous point notre malheur , mon cher amant ? Vous auriez toujours été heureu
z toujours été heureux si vous ne vous étiez point attaché à moi. Mes malheurs se répandent sur tout ce qui m’approche. Je suis
i lui en coûte, mais un simple éclaircissement guérira son amant. Nos malheurs sont bien plus cruels, l’amie qu’elle a ici m’a a
mbler un[e] autre. Si vous cessez de m’aimer, je finirai moi-même mes malheurs . Je me punirai du crime de mon père et du temps q
oi, crainte qu’il ne soit découvert ailleurs. Je me sacrifierai à mon malheur , et ne ferai point le sacrilège d’offrir à Dieu u
pour l’être toujours, il est plus généreux de finir moi-même tant de malheurs , que d’y rester davantage, et de les combattre pl
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
poux que celle-là l’était du sien ; elle le crut aussi, et ce fut son malheur , parce que cela l’obligea à en avoir pour lui plu
ude, et lui demanda le plus honnêtement du monde, si elle avait eu le malheur de lui donner par quelques-unes de ses actions qu
valets, et du jardinier, elle tint néanmoins bon, et ne découvrit son malheur à personne ; et pour toujours sauver la réputatio
et l’autre que du poignard et du poison. Cette femme, pour éviter les malheurs que la fureur d’un fou lui faisait prévoir, fut o
res, et ne prit point d’autre résolution que de pleurer en secret son malheur et de le souffrir. Comme il y avait longtemps que
i avoir fait trouver un seigneur si charitable, et qui la retirait du malheur et de la honte de demander sa vie dans un pays où
pas née pour être heureuse ; mais du moins je ne mériterai jamais mon malheur . Si vous m’aimiez autant que vous voulez me le pe
malice des méchants ? Je ne vous dirais pas ce que je vous dis si mon malheur ne vous était parfaitement connu. C’est à vous à
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
moiselle de l’Épine ; vous connaîtrez en même temps mon innocence, le malheur de cette pauvre femme, et le mien. Je l’appelle f
ir été la cause innocente de sa mort. Vous savez que je suis pour mon malheur fils unique d’un homme extrêmement puissant dans
unique d’un homme extrêmement puissant dans la robe ; je dis pour mon malheur , car si mon père avait eu moins de crédit et d’au
e sa famille, entre autres d’un procès maudit qui est la cause de mon malheur . Il est de longue discussion, et n’est pas encore
squ’il vous l’a dit. Je ne veux point être cause qu’il vous arrive de malheur . Ce qui m’attirait ici, c’est qu’il est impossibl
éissance que les enfants doivent à leurs parents ; il me fit voir les malheurs arrivés à ceux qui en avaient manqué. Il me cita
certain que les pressentiments de son cœur l’ont toujours menacée du malheur qui lui est arrivé, et du véritable état où sa pe
jouta-t-elle languissamment, du moins je crois devoir l’être, que mes malheurs ne viendront jamais de vous, ni que vous n’y cont
ais je ne puis me figurer que je sois née pour être heureuse. Quelque malheur néanmoins qui m’arrive, je ne vous en accuserai j
re à soupçon. Cela aurait continué jusques après ses couches, sans le malheur qui arriva, dont mon imprudence fut cause, qui lu
nts de ce qui doit arriver ; mais on ne peut pas néanmoins éviter son malheur . Mille raisons devaient m’empêcher de consentir à
ur secrète de ce transport, auquel je m’opposai autant que je pus. Le malheur de mon épouse et le mien voulut qu’elle se servît
e lus ces paroles. BILLET. Je meurs, je ne m’attendais pas à tant de malheurs à la fois. Je ne m’informe point des auteurs de m
e : ils tâchaient de me consoler, et me firent peu à peu craindre des malheurs plus grands que ma captivité. Enfin ils m’instrui
s tous deux, ajouta Madame de Mongey, ils ne méritaient point tant de malheurs . Je les plains aussi, dit Madame de Contamine, ma
sa femme toute surprise, et presque les larmes aux yeux, ai-je eu le malheur de faire quelque chose qui vous ait déplu ? Tu es
5 (1721) Mémoires
es jeunes gens, et leur apprendre par ma propre expérience dans quels malheurs peuvent les précipiter leurs passions trop écouté
ue ce fût involontairement, afin qu’ils ne trouvent pas comme moi les malheurs , les peines et les chagrins dont j’ai été accablé
ne dirai pourtant rien que de vrai ayant été témoin moi-même pour mon malheur , comme étant intéressé à une bonne partie de ce q
eurs, sergents, greffiers et mille autres canailles s’engraissent des malheurs publics. Je n’aurais jamais fait si j’entreprenai
dinairement dure pour le prochain, et par des gens qui profitaient du malheur public, il ne faut pas s’étonner si la France abî
é de paix que le fils infortuné de ce malhureux roi aille traîner son malheur hors de France et de [sic] servir pour ainsi dire
onnes, que la Compagnie Française de l’Acadie, dans laquelle pour mon malheur j’étais intéressé, les a vendues jusques à cinq c
e pape chassé de l’Italie par l’Empereur se réfugia en France pour le malheur du royaume, il se retira à Avignon. La France, le
qui ne s’embarrassent pas de donner un soufflet au bon droit ; et le malheur est qu’on ne pèse pas les voix, mais qu’on les co
fréquentes demandes de secours qu’ils avaient fait, et auxquelles les malheurs des temps n’avait pas pas permis à sa bonté pour
ouis, près de la place Royale ; il y vint avec les autres et pour son malheur entra le premier. M.Colbert commença sa harangue
ravir l’honneur de finir. Un homme dans l’état où était M. Picon a le malheur de ne se pas connaître. Au contraire, il se crut
e plaisaient point au Roi, et encore moins à la dauphine qui avait le malheur d’être aussi laide que jalouse, ou aussi jalouse
us fait peine, ou consentez que je me tue à vos yeux pour avoir eu le malheur de ne pas mériter votre confiance. 161. Monseigne
la France en général a pour son Roi l’empêcha de se prendre à lui des malheurs que tous les particuliers commençaient à ressenti
. Le Roi lui demanda qui il jugeait capable de le remplir, et pour le malheur de la France, il lui nomma M. de Pontchartrain, p
la haine du dauphin, prince bon et charitable et qui participait aux malheurs publics. A l’égard de M[onsieulr et de Madame d’O
as mettre pied à terre chez lui, et vint à cheval chez Deschiens. Par malheur pour celui-ci, M. de Brissac était accompagné de
es : en un mot c’est lui qu’on peut accuser et convaincre de tous les malheurs du royaume. Je lui donne pourtant un adjoint qui
gouvernant plus, il fut impossible de se tenir en ligne ; et, pour le malheur de la France, les ennemis emportés comme nous par
chaleur de leur estomac les étouffaient. Louis savait une partie des malheurs publics, mais il n’en voulait rien savoir ; et pa
e Madame Crozat sa mère, avec laquelle elle allait souvent pleurer le malheur de son mariage, et les mauvaises manières du comt
t en laissant les galères vides et inutiles. Ce serait de profiter du malheur des temps pour tirer de la misère une infinité de
bien de garde d’en mener dans le Nouveau Monde, afin de prévenir les malheurs dont ils sont cause en Europe. Je ne mets pas au
rges. Mais la justice de Dieu a puni les permiers auteurs de tous ces malheurs en abîmant le vaisseau L’Oriflamme, qui ramenait
ant sa fortune dans notre traversée de France à l’Acadie en 1685. Mon malheur voulut qu’il allât loger à Paris dans une auberge
ins en France avec le premier vaisseau, et l. a Boulaye resta pour le malheur de la colonie. Je donnai à M. de Seignelay les no
us en avions de prêt. Mais nous savions comment Faire notre profit du malheur de la France. Nous lui vendions notre finance. Et
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
passé, je fus obligé de rester à Paris l’automne et l’hiver pour mon malheur . Je dis pour mon malheur ; car si j’avais été par
rester à Paris l’automne et l’hiver pour mon malheur. Je dis pour mon malheur  ; car si j’avais été partout ailleurs, je ne me s
est cause de toutes les extravagances que j’ai faites, et de tous les malheurs qui me sont arrivés, par l’amour qu’elle a fait n
emps, et m’en parlait comme y ayant eu part : il invectiva contre son malheur . Il me dit qu’il avait eu une fille qu’il avait e
aire mort en prison, et finit par me dire, qu’il n’y avait qu’heur et malheur en ce monde. Que malgré tout cela, elle ne laissa
je la suis ; mais il est vrai aussi qu’il y a dans mon crime plus de malheur que de dessein de vous offenser ; au contraire je
ais aucune attache à la vie. J’espérais que la mort me délivrerait du malheur qui m’avait toujours persécuté, et de ceux que mo
de vous : vous avouerez vous-même qu’il y a dans ma conduite plus de malheur que de malice. Je vous quitte, Monsieur, trop heu
der ; elle vous fera quelquefois souvenir de moi, et que ça a été mon malheur seul, et non pas ma faute qui nous a séparés. Je
enez garde à vous, je vous le répète, vos sottises vous attireront du malheur tôt ou tard, je vous pardonne puisque je l’ai pro
ndais, et au retour du courrier j’eus cette réponse : RÉPONSE. Votre malheur m’a vengée de votre dureté. Bien loin de savoir m
a fureur m’abandonna, je n’écoutai plus ma rage que pour plaindre mon malheur . Peut-on être capable d’une si grande faiblesse ?
quelquefois un plaisir brutal d’aller insulter à ses peines et à ses malheurs . Elle se jeta cent fois à mes pieds ; elle ne dem
indigne ; elle me priait seulement d’abréger par une prompte mort des malheurs plus grands que la mort même, et je la quittais s
érité votre amour, je me suis attiré votre horreur, mais ces derniers malheurs méritent aussi votre compassion. Adieu, Monsieur,
entendiez jamais le mien. Quoique je puisse vous accuser de tous mes malheurs , et d’avoir troublé le cours d’une vie, qui sans
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
iel veuille confondre plutôt que de souffrir qu’il m’arrive aucun des malheurs dont il m’a menacé. Point d’imprécations contre c
ulant forcer, pour ainsi dire, les destinées, ils ne tombent dans des malheurs qui leur attirent le mépris des mêmes hommes dont
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
i ne lui plaisaient pas. Il s’était figuré que ce château lui portait malheur , et il ne se trompait pas tout à fait comme on l’
Français s’empoisonner, se poignarder, ou se pendre, pour avoir eu le malheur de n’avoir pas épousé une vestale, et que sauf le
9 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
uisse faire oublier sa fragilité. Celle de Des Prez fait voir à quels malheurs une passion trop écoutée aboutit. Elle fait voir
mps elle fait voir que des étrangers sont souvent plus touchés de nos malheurs , que ne le sont nos plus proches. Elle fait aussi
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
n agis autrement, prépare-toi à mourir avec infamie et à succomber au malheur qui te suivra partout. Balerme et Durandar qui on
moi tison d’enfer, chat échaudé craint l’eau froide ; à quelque chose malheur est bon ; le dé en est jeté, et si vous voulez vi
écessaire. — Je ne le sais que trop, reprit-il en colère, et pour mon malheur , cela tient comme glu ; et puis voilà Madame la g
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
e à la bouche, et ne réussit pas. Il avait à faire à un homme que ses malheurs avaient aigri, et que le monde avait instruit : a
is je m’étais engagé de fournir le tout en un seul paiement. Pour mon malheur un banquier qui avait plus de vingt mille écus à
flatter, toute sa vie. J’y vis une suite perpétuelle de pertes et de malheurs  ; mais parmi tant d’infortunes et beaucoup de déb
te et droite ; et si il l’avait moins été, outre qu’une partie de ses malheurs ne lui seraient point arrivés, il aurait acquis d
il brillant des cieux. Je ne trouverai plus sa lumière importune, Mes malheurs sont égaux au nombre de mes jours, Je ne gémirai
e n’aurais jamais voulu naître. Tous les jours opposés à de nouveaux malheurs  ; Tous les jours exposés aux nouvelles douleurs D
re ; Ce n’est point en vivant qu’on trouve du repos. Contre tous ces malheurs la mort m’ouvre un asile, Je m’y jette l’esprit t
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
heureux que j’ai passés dans la vie, et qui furent aussi la cause des malheurs qui nous accablèrent. Elle devint grosse, cela no
où vous me parûtes hier de sortir de France ; je n’en prévois que des malheurs horribles pour vous et pour moi. Je n’en ai pourt
élité que je vous ai jurée : elle dépendra toujours de moi ; et si le malheur veut que nous soyons arrêtés dans notre fuite, je
mes et tant de véhémence, que j’en fus attendri. J’avais supporté mon malheur avec assez de constance ; mais je n’étais point à
13 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
is, à mes parents, et à moi-même, en me rendant à ma patrie, dont mes malheurs m’ont si longtemps banni ; et c’est un heureux au
je n’étais pas son ennemi jusques au point de lui souhaiter un pareil malheur . Vous auriez eu tort de l’être, reprit Dupuis, il
14 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
t cependant des fossés qu’il faut sauter de bonne grâce quand on a le malheur de les trouver sur son chemin. J’ai écrit ceci po
semaines la vengeance de la mauvaise action de ses mains & de son malheur aux cartes. C’est un plaisir qu’une pareille exéc
s plus civils. Si le matelot avait eu un fusil, il nous serait arrivé malheur . Je les laissai passer, & fis bien, puisque d
d’eux, en sont-ils bénis & aimés. En mon particulier, j’ai eu le malheur de tomber à la mer en sortant du navire à Négrade
sert qu’à nous rendre malheureux dans nous-mêmes & à aggraver le malheur de ceux qui dépendent de nous, au contraire des a
u meilleur. Celui qui croît en connaissance, Ne fait qu’accroître son malheur . Franchement, ce vol des rats nous a mené bien l
personnelles. Il y a certainement de la destinée dans le mariage. Son malheur voulut qu’il fut obligé d’aller en Normandie, où
urent d’un autre genre de mort violente, ce sont des martyrs. Mais le malheur est pour tout le monde en général que, pour l’hon
émoin de ceci que tous les navigateurs, sans exception, qui ont eu le malheur d’avoir un jésuite dans leur compagnie. Tous les
conforme au génie des peuples de l’autre, il a établi ses impostures. Malheur à lui & à ses sectateurs. Il n’en est pas de
t que notre fanal, qui en a aussi été emporté ; &, pour comble de malheur pour messieurs de la Compagnie, c’est que le navi
devenu M. du Quesne : Dieu veuille qu’il ne lui soit point arrivé de malheur  ! Nous avons vu un mât de hune à l’eau ; il a pas
e naufrage d’Eléonor. Ce que j’en peux croire, c’est qu’ils ont eu le malheur de s’y trouver à la fin de février ou au commence
oie l’eussent laissé échapper de leurs serres ; enfin, pour comble de malheurs , richesses, cause de la persécution que la religi
-même ; quand ce ne serait que pour montrer qu’il n’y a qu’heur &  malheur dans le monde, & que la vertu & la sagess
ompatriotes un bien qui leur appartient. Ainsi, on peut dire que leur malheur enrichit non seulement les ennemis de l’État, mai
t avec nous : & La Chassée, en colère, lui dit que nous avions le malheur de ne la voir qu’en plein jour ; mais qu’ils sera
on argent ; & M. de Vallière, officier d’artillerie, qui pour son malheur couchait dans la même chambre de Bernard, devint
ours sans pouvoir sortir de son lit. Il se consolait cependant de son malheur en faisant malgré lui pénitence de sa mauvaise in
15 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
de raillerie avec lui : il est homme à le faire comme il le dit. Quel malheur  ! notre déjeuner nous attendait : il a fallu le q
ournal, j’y retourne. Monsieur Hurtain est plus mal que jamais, et le malheur est qu’il ne veut point croire notre chirurgien q
i tant de prudence entraîne trop de soin Il ne faut point prévoir les malheurs de si loin. C’est ce que dit Pyrrhus dans 1’Andr
able, on ne peut se tenir debout. Il est arrivé au Florissant le même malheur qui est arrivé au Gaillard et à nous : un de ses
ncertains, puisque les marées étant inconnues, les pilotes qui ont le malheur de se perdre et leurs vaisseaux trouvent leur exc
’est un vol public qu’il leur a fait de ne s’être pas laissé prendre. Malheur à l’Anglais qui leur tombera entre les mains il p
aller prendre part à leur béatitude, après avoir partagé ensemble les malheurs qui accompagnent la vie mortelle. [Mores rubrique
y a de fâcheux c’est que leurs rivières sont pleines de crocodiles et malheur à ceux qui s’y baignent ou qui s’y laissent tombe
a, et les autres restent quelque temps auprès du feu à déplorer leurs malheurs et à se jeter dans les bras les uns des autres et
er un mât d’hune à l’eau : Dieu veuille qu’il ne soit point arrivé de malheur à qui que ce soit, et que ce ne soit qu’un mât de
s avoue que je ne puis me mettre dans la tête qu’il soit arrivé aucun malheur au Gaillard qui l’ait fait périr. La perte en ser
un bien qui leur appartient légitimement. Ainsi on peut dire que leur malheur enrichit non seulement les ennemis de l’Etat, mai
16 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
rouvé. Il est normand : par conséquent ennemi mortel des Anglais ; et malheur à ceux de cette nation qui tomberont sous sa coup
s qui sont ici, qui ont déjà fait le voyage des Indes, savent que ces malheurs ne sont que trop ordinaires. Je vous avoue que je
que les mangeurs du crucifix sont ceux qui compatissent le moins aux malheurs d’autrui. Ce sont eux aussi que La Fontaine a tir
e poisson de la pêche sédentaire de l’Acadie, dans laquelle, pour mon malheur , j’étais intéressé, j’y fus sage, quoique tenté :
uoiqu’ils fissent semblant de se chercher. Mais enfin, le vent, et le malheur de Ruyter, triomphèrent de leur prudence. Celui-c
t rien. Du mardi 21 mars 1690 Il nous est arrivé aujourd’hui un malheur très grand, et dont tous les gens du vaisseau son
ours ; on en conçoit quelque espérance : cependant, on succombe à son malheur , Dieu seul sait ce qui en réussit. Cela m’inspire
ettons tous. Si les autres vaisseaux allaient aussi bien que nous, ce malheur ne nous fût pas arrivé. Le vent s’est encore rafr
tant de prudence entraîne trop de soin, Je ne sais point prévoir les malheurs de si loin. C’est ce que dit Pyrrhus à Oreste, d
out cela. Nous espérions tous que sa maladie ne serait rien ; mais le malheur est qu’elle augmente avec sa faiblesse. Il n’y a
gé par ses voisines de cage. La guerre a été de tout temps : c’est un malheur attaché à la nature humaine, mais dont on ne doit
ait été déclarée entre la France et les États Généraux ; et, pour son malheur , il avait sur son bord quatre jésuites mathématic
entre autres, qu’on ne savait si on était en paix ou en guerre : son malheur voulut qu’il se rendît. La Maligne alla devant, e
igne avait toujours son pavillon français ; et il ne s’aperçut de son malheur que lorsqu’il vit trois vaisseaux en mouvement po
ù la Compagnie de la Pêche sédentaire, dans laquelle j’étais pour mon malheur intéressé, s’était fixée dans l’enfoncement du ca
r à quatre ou cinq pieds de profondeur ; et un vaisseau qui aurait le malheur de donner dessus ne s’en relèverait assurément ja
ublic et pendable qu’il nous a fait, de ne s’être pas laissé prendre. Malheur à l’Anglais qui leur tombera entre les mains : il
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
e résolution de ne plus se hasarder contre des gens déterminés, si le malheur du pays voulait qu’il fût encore infecté de cette
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
Quichotte en fit autant, après avoir fait quelques réflexions sur son malheur , qui ne lui permettait pas de désenchanter Dulcin
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
la à Sophie qui me le dit. Je traitai cela d’imposture, j’accusai mon malheur  ; je lui fis voir un désespoir dont elle me tint
de Silvie qui vient à la charge, et qui semble me prophétiser quelque malheur plus fort, achève de me déterminer. C’en est fait
, mais même de la voir. Je ne l’ai regardée qu’en fuyant, lorsque mon malheur me l’a fait rencontrer, parce que sa vue renouvel
aime encore ; mais si vous vous obstinez à me voir, je prévois mille malheurs qui me rendront la plus infortunée de toutes les
u ? Votre vertu est en sûreté avec moi, répondis-je ; le récit de mes malheurs , de mes souffrances et de mon désespoir, n’échauf
ruauté. Je vous déteste, comme la seule cause de mon désespoir, et du malheur que je prévois qui en résultera, et je suis en mê
avec un frère qui l’accompagnait, lorsqu’il lui arriva le plus grand malheur qui puisse jamais arriver à un homme de sa robe.
upuis ; car je crois qu’il est inutile de vous dire les pleurs que ce malheur a coûtés à toute la famille, particulièrement à s
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
s brigandages. Ils volaient et assassinaient tous ceux qui avaient le malheur de tomber entre leurs mains. Ils étaient au nombr
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
Silvie qui fondait en larmes la pria de l’excuser, lui disant que ses malheurs ne lui laissaient que la mort à souhaiter ; la ma
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
nes et d’acquérir ma haine pour toujours : vois, indigne Sancho, quel malheur ton imprudence t’attire ; souviens-toi que l’ench
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
lui dit le curé, il faut que vous vous désabusiez. Si vous avez eu le malheur de trouver une mauvaise tête, cela ne mérite pas
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ntion. La morale qu’on peut en tirer est qu’un honnête homme qui a le malheur d’avoir une femme infidèle, doit se contenter de
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
e sans remuer non plus qu’un rocher. Si vous n’êtes pas touché de son malheur , soyez-le de celui d’une princesse nommée Dulciné
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
u’elle se retirât seule dans une chambre, pour y pleurer en repos son malheur , et qu’elle n’avait pas cru lui devoir refuser ce
27 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
pousa une demoiselle de son pays qui n’en avait pas plus que lui. Son malheur voulut qu’il fût attaché [à] la fortune de Monsie
ublant ses pleurs et en l’embrassant, c’est vous qui avez voulu notre malheur . Si vous ne m’aviez pas obligée d’être si magnifi
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