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1 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
qu’il a fait ce soir l’a fait calmer. J’ai appris qu’il y a quarante malades au Gaillard, Dieu merci nous n’en avons que cinq.
eur qu’il a fait et qu’il fait encore, joint qu’il ne faut qu’un seul malade pour infecter ceux qui couchent auprès de lui dan
aîchissements s’en vont bien vite, et quoique nous n’ayons que peu de malades à bord grâce à Dieu, comme il peut y en avoir dan
mise sur nos cochons : il en est encore mort deux cette nuit, et les malades consomment bien des poules. Nous jeûnerons assuré
ous mettront à Amzuam. Nous avons besoin de voir terre, le nombre des malades augmente, nous avons plusieurs soldats attaqués d
ay ; qu’il avait deux cent cinquante hommes dans son navire outre les malades qui étaient à terre et ceux qui étaient morts ; q
Gaillard et l’Oiseau, le besoin que nous avons d’eau, la quantité de malades qui sont dans les navires qui ont besoin de repos
plus, du moins du côté que j’ai vu et où j’ai été. Nous avons mis nos malades à terre dans la petite, et je n’ai été que deux f
s chasseurs nous en ont amplement fourni, tant pour nous que pour nos malades , et même pour partie de notre équipage. Le sangli
temps, parce qu’elle incommode. En effet, nous avons beaucoup plus de malades à présent que nous n’en avions avant que d’arrive
. Nous avons plus de cinquante hommes hors de service qui sont tombés malades depuis mardi. Le capitaine de la flûte hollandais
Du dimanche 19e. [novembre] Même chose, il nous tombe toujours des malades , et les autres navires n’en manquent pas. Du l
lui au court bâton. Nous avons à présent plus de soixante de nos gens malades , et presque tous de fièvres chaudes, lesquels fon
nt, aumônier, missionnaire, maître-canonnier, maître-pilote, tout est malade  ; il n’y a pas la moitié de nos gens en parfaite
scadre a besoin de viande fraîche, tous les vaisseaux ayant autant de malades que nous au moins. Il y a assurément sur l’escadr
u soir notre route pour Balassor. Il tombe tous les jours de nos gens malades . Pour moi qui ai eu quatre petits accès de fièvre
vue les dernières terres du Royaume d’Aracan. C’était peu d’avoir des malades , la mort s’en mêle à la fin. Nous avons jeté à la
à la fin. Nous avons jeté à la mer un de nos charpentiers. Les autres malades sont accablés de fièvres chaudes, lesquelles sont
mpatriotes viennent, et se disent les uns aux autres : Les voilà tous malades , si nos gens pouvaient venir ils en auraient bon
corps. Du dimanche 26e [novembre] Pour achever le nombre de nos malades notre chirurgien l’est à son tour, et il est mort
n de nos charpentiers. Du lundi 27. [novembre] Le nombre de nos malades et le genre de la maladie augmentant, et notre au
es autres. Je ne sais sur qui rejeter la faute et la cause de tant de malades  : ce ne doit point être sur les vivres, car ils s
vembre] Nous avons eu ici aujourd’hui beaucoup de communiants tant malades que convalescents et sains, et Monsieur de Quemen
ment aux mercredis des Cendres. Je ne sais comment ils traitent leurs malades , mais il ne me paraît pas qu’ils soient bien ; du
se effectivement ; mais le meilleur est qu’il y a ordre d’envoyer les malades à terre, ils y recouvreront leur santé mieux qu’à
eux qu’à bord. Du mercredi 6e. [décembre] Nous avons envoyé nos malades à terre, et nous allons prendre des marchandises 
chaleurs. Cette diversité de climats et de température nous cause des malades . Il nous est mort même ce soir un matelot. Du
imodo ne permit pas de faire. Le chaud nous accable et nous donne des malades . Du mardi 24e. [avril] Toujours bon petit v
tres. Quoi qu’il en soit, n’étant point en état seul avec beaucoup de malades , chargé et sale comme nous sommes d’aller affront
aient avoir une santé capable d’enterrer le genre humain, n’y ont été malades que trois ou quatre jours, et pas un n’y a passé
t mort ; il se nommait Pierre Hervé, il y avait longtemps qu’il était malade . Du dimanche 8e. [juillet] Bon vent. Nous a
soleil est bien près de nous. Il nous est mort un passager qui était malade dès Pondichéry ; je ne sais comment il a subsisté
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
s de suite, sans pouvoir lui parler, parce qu’on me dit qu’elle était malade  ; mais je restai dans la dernière surprise, lorsq
la fatigue, et surtout mon désespoir, me firent effectivement tomber malade . Ma maladie fut longue, et l’abattement où elle m
cette lettre, la baronne entra dans ma chambre, où je feignais d’être malade , pour m’épargner la honte de paraître si tôt deva
vais néanmoins tort, Madame, parce que j’ai appris depuis qu’il était malade  ; mais dans la situation où j’étais à son égard,
r chez moi, où étant arrivée, elle fut toute étonnée de me trouver si malade  ; et elle-même se trouva très mal lorsqu’elle en
3 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
de Négrades seulement, dans laquelle nous avons campé, à cause de nos malades  ; car pour l’autre, qui est grande, à ce qu’on di
& en fournissaient une très grande quantité, tant à nous qu’à nos malades , auxquels on en faisait de la soupe & du boui
sont d’un très grand secours pour un équipage, & surtout pour des malades , quand ce ne serait qu’à cause du bouillon. Nos c
nous allons au large. Il est aujourd’hui tombé vingt-cinq de nos gens malades , tant matelots que soldats. Pluie & chaleur t
s, mais il est bien faible. Vingt-cinq de nos gens sont encore tombés malades  : en deux jours, en voilà cinquante. Le capitaine
près. Nous tirons avec lui au court bâton. Nous avons soixante-quatre malades , & presque tous de fièvres chaudes, qui font
de viandes fraîches, tous les vaisseaux ayant pour le moins autant de malades que nous. Je ne compte plus les morts ; mais, trè
t, aumônier, missionnaire, maître-canonnier, premier pilote, tout est malade  : nous n’avons pas la moitié de nos gens en bonne
emps que notre chirurgien accusait ses garçons de manger les œufs des malades  : il avait beau les compter, il s’en trouvait tou
vu aujourd’hui les dernières terres d’Aracan. C’était peu d’avoir des malades , la mort s’en mêle : il nous est mort un de nos c
ipage à manquer de rien ; &, depuis notre départ de Balassor, les malades n’ont point eu d’autre pot que celui de leur capi
e leurs gens viennent, & se disent l’un à l’autre : Ils sont tous malades , on en aurait bon marché. J’assure pourtant qu’il
dence ? Du dimanche 26 novembre 1690 Pour achever le nombre des malades , notre chirurgien l’est aussi. A mon égard, peu m
ctateurs d’Esculape. Du lundi 27 novembre 1690 Le nombre de nos malades & le genre de la maladie augmentant, & no
r, aumônier & missionnaire, dont j’ai parlé, afin de donner à nos malades le salut de l’âme, si on ne peut leur procurer la
ela, notre équipage n’a point encore manqué de viande fraîche, ni les malades de volaille, & l’artimon a souvent été bordé.
8 novembre 1690 Nous avons eu aujourd’hui beaucoup de communiants, malades , convalescents & en bonne santé ; & M. de
oupé au Florissant. Il n’y a plus de viande fraîche ; officiers &  malades sont réduits au bœuf salé & au lard. Ils se s
e chose ; & le meilleur de tout, c’est l’ordre de mettre tous les malades à terre. Ils y seront mieux soignés & y recou
ime de vivre. Du mercredi 6 décembre 1690 Nous avons envoyé nos malades à terre, au nombre de cinquante-six, & comme
i a dit qu’attendu le mauvais état du vaisseau, plus de trente hommes malades ou hors de service, toutes nos légumes, & bea
ières ne devait pas douter qu’il n’eût aussi bien que lui quantité de malades , & quantité de vivres gâtés ; qu’il avait mêm
n ; & nous avons eu ensemble une conversation à être mise dans le Malade imaginaire. Je lui ai remontré que tous les remèd
ffrit autant que j’en voudrais, a toujours cru que j’en avais aidé un malade . L’aumônier me promit de les employer au gingembr
i-ci avait tuées ; & qu’il s’est frauduleusement servi du vin des malades pour faire ses confitures. Non, monsieur, repris-
 de tête, & deux soldats. Ce sont sept hommes : & quantité de malades que nous avons. Je vois ici quantité de gens qui
 ; pluie, calme, & vent par intervalle. Nous avons cinquante-deux malades , tant soldats que matelots, & le nombre en au
Quoi qu’il en soit, n’étant nullement en état, seul, avec beaucoup de malades , chargé & sale, comme est l’Écueil, d’affront
pour tout le monde : qu’il était vrai que nous avons grand nombre de malades  ; mais qu’il fallait observer qu’aucun soldat, ni
du ; qu’il fallait encore observer que ceux qui étaient morts étaient malades avant que d’avoir passé le cap de Bonne-Espérance
p; la famine. Ils n’ont pas tout le tort ; car, outre l’infection des malades , nous avons effectivement pris beaucoup de leurs
aladie d’enfance, telles que rougeole, petite vérole, etc. Les autres malades ne s’y ruinent pas à mourir dans les formes. Plus
aient avoir une santé capable d’enterrer le genre humain, n’y ont été malades que trois ou quatre jours ; & aucun n’y a pas
aîtres est mort cet après-midi. Il se nommait Pierre Hervé : il était malade depuis fort longtemps. Du dimanche 8 juillet 1
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
tte pensée qui me trompa. Je trouvai sa fille chez lui, il était très malade , non pas du chagrin de la mort de ses enfants, il
in de la mort de ses enfants, il était trop dur pour en prendre, mais malade de la fatigue qu’il s’était donnée à faire enrage
r, et s’était tellement fatigué à la poursuivre, qu’il en était tombé malade , autant de l’esprit que du corps. J’espérais qu’i
domestique, à moins qu’il n’ait été pris exprès. Je n’ai jamais vu de malade plus brutal. Il eut assez peu de considération po
écrire de plus loin ce qui s’était passé. Ces nouvelles la rendirent malade , je ne le sus qu’après mon éloignement, qui ne me
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
sa lettre ce jour-là ni le lendemain. Il sut enfin que sa mère était malade , et qu’elle était allée lui rendre dans sa maladi
otre mère. Vous n’êtes point assez forte, ni assez faite à garder des malades , pour supporter les fatigues du jour et de la nui
oir d’argent, et enfin tout le service qui pouvait servir à une femme malade . Il ne voulut pas en faire porter plus, crainte q
ner la joie qu’il avait de manger avec elle pour la première fois. La malade à qui Angélique, par le conseil de son confesseur
la traita hier, l’a si vivement pénétrée, qu’elle en est au lit fort malade . Voilà le billet qu’elle m’a écrit, je n’ai pu re
passer dans l’autre chambre ; et comme le chagrin qui l’avait rendue malade avait fait place à la joie de s’être satisfaite a
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
édecins ; il la traita de folle, de vouloir lui persuader qu’il était malade d’imagination, et bien loin de répondre à ses car
si vivement pénétrée de ces manières qu’elle en devint effectivement malade . Il eut d’elle tous les soins imaginables, et dev
it, que qui que ce soit ne put douter que ce ne fût d’amour qu’il fût malade . Cela parut extraordinaire dans un mari, surtout
7 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
heureux ; mais douze personnes à table et tous de bon appétit, et les malades qui peuvent venir, feront tomber sur eux la morta
jamais. Est-ce un effet de quelque maladie ? Non : je n’ai jamais été malade que de blessures, dont le mal a cessé avec la dou
en vivent ne s’y fient pas eux-mêmes. En effet, lorsqu’un médecin est malade , il ne se fie nullement sur la théorie de son art
re ; puisque eux qui s’osent flatter de connaître le tempérament d’un malade en lui tâtant simplement le pouls, en faisant les
consommation journalière. J’ai fait percer une botte de vin, pour les malades et les gens qui servent le fond de cale, avec déf
reposait de cela sur l’amitié que nous avons l’un et l’autre pour le malade . Nous l’avons tous deux remercié de sa confiance
viné ! Les chirurgiens sont des ânes. Il faut être assidu auprès d’un malade pour être guéri de la médecine, maladie plus crue
die de M. Hurtain. Faut-il tant d’ignorants pour tuer un homme âgé et malade  ; surtout dans ce climat ? M. de La Chassée, ni m
ée en est enragé ; fort résolus tous deux qu’en cas que nous tombions malades , pourvu que ce ne soit pas en même temps, celui d
tre lui et notre aumônier que l’un d’eux resterait toujours auprès du malade , et que M. Guisain, notre autre missionnaire, mai
e de concert, et de ce que, grâce à Dieu, nous n’avions eu que peu de malades , non seulement par les bonnes nourritures, mais a
’il ne manquerait pas de nous demander l’aumône, ayant plus de trente malades qui consommaient ses bestiaux à poil et à plume.
ne m’accommode point. L’équipage se porte bien : il n’y a qu’un seul malade  ; et tout le monde est content, à l’exception de
aisse pas cependant de se priver de l’un et de l’autre, en faveur des malades . Toujours calme et temps couvert. Du jeudi 18
és ce matin à Moali. Je vas à terre faire préparer une tente pour nos malades , au nombre de seize, presque tous attaqués du sco
sion de bœufs, cabris, poules, fruits, légumes, bois, et eau. Plus de malades  : il n’y est mort aucun homme de l’escadre ; sign
de cette île est très pur et très salubre. On n’a remporté qu’un seul malade  : c’est le premier enseigne de M. du Quesne, nomm
ouverain contre le scorbut de mer. Nous n’avons effectivement plus de malades , et tout le monde de l’escadre s’en est bien trou
e l’eau, des tentes et des matelots et soldats, qui étaient descendus malades à terre, et qui sont à présent en bonne santé, to
aisseau deux cent cinquante hommes d’équipage, outre plus de soixante malades qui étaient à terre, et ceux qui étaient morts ;
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
que la vôtre. Toute la compagnie alla voir la marquise, Silvie et les malades  ; ils trouvèrent la première auprès du lit de Sai
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
dans le même château que lui. Il fut visité le premier comme le plus malade , et le chirurgien ayant eu ordre de venir rapport
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
n’eûmes pas la peine de le garder longtemps. Ce garçon fut huit jours malade sans retourner chez son maître, et qui n’en ayant
et sa sœur devaient aller ensemble voir l’aînée qui était mariée, et malade . Nous ne fûmes pas si sages dans cette entrevue-c
augmenta tout à fait, elle ne mit plus de corps et se plaignit d’être malade pour rester au lit, ou être toujours en robe de c
eux-tu me visiter, poursuivis-je, pour être sûre que je ne suis point malade  ? Non, dit-elle, je sais bien que vous prenez tro
jamais quitter ses filles de vue. Cette fois-là, la cadette qui était malade , l’avait fait appeler ; elle y était allée, et av
u me montrer. Cependant, comme vous savez ma belle cousine, je tombai malade cet été dernier. La chaleur de la fièvre jointe à
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
’en séparai d’une manière à lui mettre la mort au cœur. Elle en tomba malade , et en cacha le sujet à tout le monde. Elle n’en
pensée m’entra si vivement dans l’esprit, que je devins effectivement malade . Monsieur l’intendant commit à mon emploi, jusqu’
-même horreur et pitié tout ensemble. La fièvre me prit, et je restai malade du corps et de l’esprit. Je ne croyais pas que la
résolution lorsque j’allai chez elle. Le peu de temps que j’avais été malade m’avait extrêmement changé. Mon esprit plus abatt
i dit que Madame de Cranves me l’avait destiné pour époux, elle tomba malade comme elle allait effectivement nous marier ensem
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
es pensées firent dans son esprit une telle impression qu’il en tomba malade . Silvie apprit sa maladie avec une douleur d’auta
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
t elle qui vous cause la tristesse où je vous vois. Je n’ai point été malade , me dit-il, et ce n’est point cette lettre qui ca
les pas hasarder souvent. Je la vis un jour à la messe, elle me parut malade , j’en fus en peine. J’allai l’après-midi dans not
otre aise aujourd’hui si vous voulez, car le cœur me dit que je serai malade lorsque vous lirez ce billet-ci. J’ai craint de g
14 (1721) Mémoires
s bêtes pour mettre bas étant passé, on crut que cette levrette était malade . Mais quelle fut la surprise de tout le monde qua
s son fils, parce que sa fille à elle s’en serait ressentie. Il tomba malade de la maladie dont il est mort. Il envoya cherche
e se bien divertir à Marseille et coûter tous les jours une ration de malade au Roi. Car ces gros fripons-là sont toujours cen
ablissement d’une colonie et dans son progrès, le soin qu’ils ont des malades tant pour l’âme que pour le corps est un travail
résorier, et ne se mêle d’autre chose que d’exhorter et confesser les malades et leur administrer les sacrements, sans entrer d
nna le champ libre à mentir. Je lui dis que sa maîtresse était tombée malade de rage d’être abandonnée, et qu’elle voulait se
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
eprit-il, ce n’est point à vous que je m’adresse ; il est permis à un malade de se plaindre, vous saurez demain le sujet que j
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
e si elle n’avait point été grosse, ou que je n’eusse point été assez malade pour ne plus espérer en revenir, je ne l’aurais j
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