e. J’en suis resté sur une partie de jeu, qui comme je vous ai dit,
Madame
, ne nous servait que de prétexte ; cette amie qui
les plus tendres transports qui se puisse[nt] jamais ressentir : car,
Madame
, il faut enfin vous avouer tout, puisque vous m’a
ésobligerais pas d’en faire la proposition à sa mère. Je vous ai dit,
Madame
, que le parti était très avantageux ; ainsi voyan
n fort grand ; éclat dans le monde ; et pour accomplir votre souhait,
Madame
, je vous dirai que c’est elle que j’ai sauvée, et
trop bien fondée pour renouer jamais aucun commerce avec elle. Voilà,
Madame
, ce que vous avez voulu savoir de moi, et je sais
e pitié. La marquise la consola du mieux qu’elle put. Le coup est là,
Madame
, lui dit Silvie, en mettant la main à l’endroit d
r à Sainville autant de pitié que de haine. — Il ne vous hait point,
Madame
, lui dit la marquise. — Quand il me haïrait, Mad
vous hait point, Madame, lui dit la marquise. — Quand il me haïrait,
Madame
, reprit tristement Silvie, sa haine m’est trop du
mouvements de mon cœur, on m’en a rendu la plus infortunée. Je vais,
Madame
, vous instruire de tout. L’estime que Sainville a
qu’il m’en a fait le récit. Il ne pouvait pas vous en dire davantage,
Madame
, reprit Silvie, lui-même ignore encore les fourbe
que c’est cette fatale lettre qui a causé tous mes malheurs, il faut,
Madame
, que vous sachiez ce qu’elle contenait, afin que
deux cœurs qu’un penchant réciproque a déjà joints ; adressez-vous à
Madame
… elle peut tout sur l’esprit de ma mère, elle m’a
chez à ma personne, vous avancerez aussi celui de Silvie Vous voyez,
Madame
, reprit Silvie, après que la marquise eut lu, qu’
ais su de plus expressifs, je m’en serais servie sans scrupule. Mais,
Madame
, comme il vous est sans doute impossible de conce
u que la faveur qui leur avait fait gagner leur procès. Epargnez-moi,
Madame
, poursuivit Silvie en s’interrompant elle-même, l
ut ce qu’on pouvait en dire de plus outrageant, elle retomba sur moi.
Madame
votre mère, continua-t-elle, n’est pas plus exemp
vous lui aviez paru la plus emportée de toutes les filles. Là-dessus,
Madame
, cette fourbe me rapporta mot pour mot la convers
mystère de la sortie par la chambre de la fille qui me sert. J’étais,
Madame
, dans un désordre et dans une confusion épouvanta
surprise où j’étais ne me permit pas de l’en empêcher. Imaginez-vous,
Madame
, ce que je devins à cette lecture ! il ne me rest
dès qu’il saurait que j’aurais rompu avec Sainville. Je vous ai dit,
Madame
, poursuivit Silvie, que ma mère et mes tantes ava
férence apparente m’anima encore contre lui ; j’avais néanmoins tort,
Madame
, parce que j’ai appris depuis qu’il était malade
’avait persuadée qu’il avait pour moi. Que puis-je vous dire de plus,
Madame
? Le dépit et le désespoir m’ont jetée entre les
Deshayes m’avait faites, il était absolument indigne de moi. J’avoue,
Madame
, que les termes sont forts, et qu’ils ne s’accord
respect qu’une honnête femme doit à son époux tel qu’il soit ; mais,
Madame
, suspendez votre jugement, et ne me condamnez pas
rmées à la clef. Quoique je ne me sentisse coupable en rien, j’avoue,
Madame
, que ces clefs et ces serrures m’épouvantèrent. L
ander à vous, puisqu’en effet mes intérêts sont les siens. En un mot,
Madame
, poursuivit-elle, ma vie est en danger ; et si je
er ; et si je la perds, la sienne n’est pas en sûreté. Imaginez-vous,
Madame
, la surprise que ces terribles paroles me causère
ent ; elle est au-dessus de mes expressions. Ne vous effarouchez pas,
Madame
, continua-t-elle, je n’ai besoin que de protectio
e Sainville ; il peut tout sur eux, et vous pouvez tout sur lui. Moi,
Madame
, lui dis-je toute étonnée, je ne puis rien sur Sa
ine qu’il fera tout pour vous sauver. Il n’est plus temps de feindre,
Madame
, répliqua-t-elle ; il n’est pas nécessaire que vo
vaient ensemble un commerce criminel depuis longtemps. Dispensez-moi,
Madame
, de vous dire jusques à quel point ils avaient po
e fond et l’excès lui en avaient été connus. Vous voyez présentement,
Madame
, poursuivit-elle, qu’il est de l’intérêt de votre
a que l’innocence qui puisse y faire trouver la tranquillité. Ainsi,
Madame
, toute réflexion faite, nous avons résolu ensembl
us le lendemain et prit pour cela l’heure que vous étiez à table avec
Madame
votre mère. Il s’adressa à votre femme de chambre
s, qui avait été concerté entre Deshayes et moi, et sur ses mémoires,
Madame
votre mère, vos tantes et moi, tînmes une espèce
hes m’étaient permises dans l’état violent où j’étais. Je n’eus donc,
Madame
, d’autre conseillère que moi-même. Je me bornai à
lle avait soupé, et qu’on ignore encore. J’avais oublié de vous dire,
Madame
, que sitôt que ma santé me l’avait pu permettre,
re au hasard de ma vie avec le plus violent de tous les hommes. Mais,
Madame
, ce n’est pas là ce qui m’épouvante le plus, puis
menant avec elle pour toute compagnie qu’une fille pour la servir, et
Madame
sa tante, que sa mère a prié de l’accompagner, qu
e vous avez eu à démêler ensemble ? lui demanda la duchesse. — Pardi,
Madame
, ne le voyez-vous pas bien ? Elle est éveillée co
aire d’elle, et elle me paiera ma fraise, ou bien nous serons deux. —
Madame
la duchesse a promis de vous la faire payer, lui
it la mère, ce n’est pas à toi à me montrer à marcher droit. Eh bien,
Madame
, me voilà venue, dit-elle à la duchesse ; je vous
Sancho qui est à présent fort riche. Vivez-vous bien ensemble ? — Oh
Madame
, répondit Thérèse, nous avons toujours bien vécu
votre mari est-il honnête homme, et vous traite-t-il bien ? — Hélas,
Madame
! répondit Thérèse, il est bon comme le pain, il
anda la duchesse, et vous, ne buvez-vous pas un peu ? — En bonne foi,
Madame
, dit Thérèse, vous êtes bien instruite. Oui, il a
étais à jeun. — Mais ne vous bat-il pas quelquefois ? — Jour de Dieu,
Madame
, répondit Thérèse, nous sommes deux, et quand il
e a une amourette et qu’un certain homme ou garçon nommé… — Non, non,
Madame
, interrompit la mère, jour de Dieu, Nicolas a sau
pourtant, comme vous voyez, dit la duchesse d’Albuquerque. — Oh bien,
Madame
, répondit la fille en colère, qu’on le sache ou q
e chambre, mais vous ne sauriez empêcher le monde de parler. — Tenez,
Madame
, lui dit Sanchia, Nicolas est un animal qui y va
et non l’envie ; mais tenez que si je trouve un Monsieur qui me fasse
Madame
, vous verrez si je ne plante pas là Nicolas comme
l ne devait se prendre qu’à lui-même de ce qui lui était arrivé. Oui,
Madame
, lui répondit-il, vous avez raison ; mais vous sa
en colère, et pour mon malheur, cela tient comme glu ; et puis voilà
Madame
la gouvernante qui vient mêler son museau où elle
re auprès de sa fille qu’elle allait mettre fille d’honneur auprès de
Madame
la princesse de Cologny. Dupuis qui connaissait c
ien souvent. Il y paraît Monsieur, répondit-elle, par la nécessité où
Madame
votre mère et vous mettez Mademoiselle de Vougy d
pas dans une maison d’honneur comme la vôtre, et surtout si proche de
Madame
votre mère ; et supposé que je regrettasse ici la
de Vougy qu’il demandait, il prit le temps qu’elle était sortie avec
Madame
la princesse de Cologny pour aller la voir. On lu
ue, et ajouta qu’elle lui en avait une obligation toute particulière.
Madame
votre mère, poursuivit-elle, Monsieur, m’avait té
’il était amoureux de cette demoiselle. Chacun lui en fit la guerre ;
Madame
la princesse de Cologny elle-même lui dit que ce
ous quelque prétexte, et parla à la mère d’Angélique. Il est inutile,
Madame
, lui dit-il, de vous dire que [j’aime] la belle A
it travaillé pour elle, et c’est ce qui me reste à vous dire. Un jour
Madame
la princesse de Cologny alla à la Foire Saint-Ger
errière elle. Le marchand qui ne regardait que l’apparence l’appelait
Madame
. Le miroir qu’elle marchandait était le plus beau
put s’empêcher de lui parler. Vous êtes dans un état bien magnifique,
Madame
, lui dit-elle. Vous avez bien changé depuis que v
èrent dans un désordre qui ne se peut exprimer. Je suis encore fille,
Madame
, poursuivit-elle, d’un air fort embarrassé. Vous
re estime, reprit votre commère, et la remettre bien dans l’esprit de
Madame
la princesse de Cologny. Je vous la certifie sage
même, de vous faire réfléchir sur cette action. Tout le monde connaît
Madame
la princesse de Cologny pour un exemple de toutes
le Angélique, lui dit-elle : la visite de Mademoiselle par l’ordre de
Madame
la princesse, en est une preuve certaine. Il ne t
renoncer sans retour au bonheur qui semblait la venir chercher ; car
Madame
, ajouta-t-elle, pouvais-je refuser les présents q
fin elle y succombera. Ce n’est point là ce que je pense, reprit-il,
Madame
, et pour vous assurer que je n’ai que des vues fo
ne lui ai pas même proposé, c’est uniquement comme je vous l’ai dit,
Madame
, le profond respect que j’ai pour ma mère qui m’e
ue son dessein était d’en parler elle-même à Madame de Contamine. Ah,
Madame
, reprit-il se jetant à ses pieds, je vous supplie
mal : elle se mit en devoir de le faire soulager. Arrêtez vos bontés
Madame
, lui dit-il, je n’ai point de maladie corporelle,
e, qui lui dit qu’un gentilhomme demandait à lui parler de la part de
Madame
la princesse de Cologny. Elle le fit entrer. Il l
Angélique, lui dit Madame de Cologny en la prenant par la main, voilà
Madame
, poursuivit-elle, en la présentant à Madame de Co
otre mariage avec mon fils. C’est premièrement à la recommandation de
Madame
la princesse de Cologny, à votre vertu, et à votr
te de cette démarche, qui me persuade que vous méritez les bontés que
Madame
a pour vous. Elle obligea Madame de Contamine d’a
nt votre maîtresse, et demandez-lui pardon de toutes vos folies. Ah !
Madame
reprit Des Frans en riant, ce n’est pas là exécut
épaules et en riant. Dans un coupe-gorge, répondit celui-ci. He oui,
Madame
, poursuivit-il, s’adressant à Madame de Contamine
, à laquelle même il avait autrefois fait semblant d’en vouloir. Ah !
Madame
s’écria-t-il, en l’embrassant tout d’un coup, que
rais pas venue ; mais j’ai été trompée. Êtes-vous fâchée de m’y voir,
Madame
, reprit-il d’un grand sérieux ? Non, Monsieur, di
ire deux mots, et n’avez fait que parler bas à Madame de Mongey. Ah !
Madame
, reprit Des Frans, vous faites prendre garde à de
êter l’oreille à quelque chose que vous voulez qui soit secrète. Non,
Madame
, répondit Des Frans en rougissant, nous n’interro
voilà un laquais qui va le quérir. Je vous le porterai bien moi-même,
Madame
, répondis-je, et en même temps j’entrai dans la m
e ne lui répondis qu’en le menaçant. Je passai. Voilà votre éventail,
Madame
, lui dis-je en le lui rendant. Je vous remercie,
donner la peine de monter, mon petit laquais descendait. Il est vrai,
Madame
, lui répondis-je, mais je n’aurais pas eu le plai
is beau garçon, et que je lui avais répondu qu’elle était aussi belle
madame
. Elle ne prononçait pas tout à fait bien le franç
t j’éveillai la belle dormeuse, qui demanda qui était là ? C’est moi,
Madame
, répondis-je, qui viens chercher les petits pâtés
icile de comprendre ce que c’est, lui répondis-je en riant. C’est que
Madame
a été pour me relancer chez la digne Martinière,
a Madame de Contamine ? Est-ce encore quelque coup de scélérat ? Non,
Madame
, reprit Des Frans, il n’y avait aucune fourbe : i
il en riant ? Je la veux savoir, dit Madame de Contamine. Volontiers,
Madame
, dit-il, mon dessein n’est pas de vous rien cache
comme une femme. Je ne m’arrêtai point à lui prêter audience : voilà
Madame
, lui dis-je en sortant, le premier fruit de votre
p pour la continuer, je les laissai et j’allai trouver la mère. Quoi,
Madame
, lui dis-je, il est donc vrai que malgré votre pr
ux et surpris de la surprise de son maître, écouta à la porte. Tenez,
Madame
, dit-il à Célénie, voilà des vers à votre louange
e serait un homme de qualité qui était son maître ; et il m’a envoyé,
Madame
, ajouta-t-il, pour voir si la commère vaut la pei
ême. Ah, ah, dit-elle en riant, il s’en rapportera donc à vous ? Oui,
Madame
, répondit mon effronté laquais, il sait bien que
les yeux bons. Eh bien, dit-elle, si je viens, y viendra-t-il ? Oui,
Madame
, répondit Poitiers, il viendra vous quérir lui-mê
us honnête homme, je ne resterais pas un quart d’heure chez lui. Oui,
Madame
, il en vaut la peine, et vous serez peut-être fâc
oudra, je serai toujours prête. C’est pour l’heure qu’il vous plaira,
Madame
, reprit-il, mon maître sait la civilité qu’il doi
s a-t-il chargé de toutes ces civilités-là, lui demanda-t-elle ? Oui,
Madame
, répondit-il, il m’en a chargé pourvu que la comm
vous mille choses aimables qu’il ne m’est pas permis d’y voir : mais,
Madame
, poursuivit-il, pour achever mon ambassade, ayez
-elle, que je me ferai toujours un plaisir de prendre la sienne. Non,
Madame
, dit-il, j’ai ordre de prendre la vôtre, et je vo
venir, et vous ne trouvez pas que l’original en vaille la peine. Non,
Madame
, lui dis-je, il ne m’a point trompé, il est impos
e que je pense. On donna un siège à cet homme : de quoi parliez-vous,
Mesdames
, dit-il ? Nous parlions, reprit la sœur de ma veu
n’ai aucun intérêt ici à ménager, Monsieur, lui dis-je d’un ton fier,
Madame
qui est seule veuve ici et seule à marier, me fai
e a accordée à son amant. Et vous, Monsieur, qui paraissez soupçonner
Madame
de pouvoir un jour l’accorder, vous ne ménagez gu
: ce que j’ai dit n’est pas pour me faire un mérite dans l’esprit de
Madame
, c’est uniquement la justice de la cause que je d
t à Monsieur de Beauval lui-même à qui vous parlez. Je ne sais point,
Madame
, repris-je tranquillement, si Monsieur est Monsie
is ajouter, que mon dessein n’est pas de me faire un mérite auprès de
Madame
, comme vous l’avez soupçonné d’abord. J’en revien
urpris de la trouver dans l’état qu’elle était. Il faut vous le dire,
Mesdames
. Ce n’était plus une femme occupée à la lecture.
s un de vous, qui en ma place n’eût fait ce que j’ai fait. Pour vous,
Mesdames
, si vous étiez aussi sincères que cette veuve, vo
constamment ressenti la force. Il me mena un jour dîner avec lui chez
Madame
sa mère, et avec toute sa famille, c’est-à-dire,
avec lui chez Madame sa mère, et avec toute sa famille, c’est-à-dire,
Madame
sa mère, ses deux sœurs, et un frère fort jeune q
is pas mon fils plus réformé qu’un autre. C’est donc pour mon compte,
Madame
, reprit Gallouin, que Monsieur se donne la peine
sont les fruits de votre curiosité : vous savez ce que je veux dire,
Madame
; mais au nom de Dieu ne vous fatiguez plus en va
e temps à l’église. Vous ne vous tromperiez pas tant que vous croyez,
Madame
, repris-je d’un grand sérieux, Monsieur votre fil
s puisque l’occasion vient d’en parler, je crois vous devoir avertir,
Madame
, que Monsieur votre fils, tout l’aîné qu’il est d
j’étais d’humeur à vous croire ? Je ne vous impose pas d’une syllabe,
Madame
, répondis-je, et tout au moins vous avouerez que
l’estimerais bien heureux. Il n’est pas encore temps que cela arrive,
Madame
, lui dit Gallouin, on m’en a fait voir les conséq
si vous reveniez [à] Paris, il alla au-devant de l’accommodement que
Madame
votre mère, qui y revint dans ce temps-là, voulai
tait déjà venue lui parler revint encore. Il n’y a point d’apparence,
Madame
, lui dit-elle, votre chasse est inutile, les oise
oujours votre secret ; la discrétion est de mérite. Vous avez oublié,
Madame
, lui dis-je en la retenant, que vous ne voulez pa
force de les soutenir. Un moment après je me jetai à ses pieds : Ah,
Madame
, lui dis-je, par quelle rencontre vous êtes-vous
me faire connaître toute la perte que j’avais faite ? C’en est fait,
Madame
, ajoutai-je, vous avez appris mon secret ; je ne
fends pourtant de songer à me voir jamais. Votre défense est inutile,
Madame
, interrompis-je ; je vous tromperais, et je me tr
seront pas toujours si violents, Monsieur, me dit-elle : la bonté de
Madame
en émoussera la plus forte pointe ; et vous Madam
elle : la bonté de Madame en émoussera la plus forte pointe ; et vous
Madame
, poursuivit-elle parlant à elle, quand vous y aur
, reposez-vous sur mes soins de celui de votre conduite ; vous verrez
Madame
, je suis à elle, et je vous en faciliterai les mo
uelque chose encore qui m’est plus précieux, qui est la réputation de
Madame
. Achevez, poursuivis-je, faites-la résoudre d’y c
n’en eût jamais témoigné le moindre chagrin, ni à lui ni à personne.
Madame
a beau se déguiser, poursuivit cette femme, et vo
en particulier ni nuit ni jour ? Est-ce pour vivre en religieuse que
Madame
s’est mariée ? Pardi, ajouta-t-elle avec une poin
n effet, Mousson voulut sortir, elle la rappela. Vous avez bien peur,
Madame
, lui dis-je, que je profite d’un moment d’entreti
mon révérend Père, lui dit-elle, vous supplier de faire ma paix avec
Madame
, elle vient de me donner mon congé fort en colère
Il n’y a point de temps à perdre, mon révérend Père, reprit-elle. Si
Madame
en prend une autre à ma place, il n’y aura plus r
que j’eusse vu Madame de Londé depuis son mariage. Je n’ai pas voulu,
Madame
, lui dis-je en entrant, manquer l’occasion d’acco
rtaine qu’il les approuve, s’il veut dire ce qu’il en pense. J’avoue,
Madame
, lui dis-je, que je pénètre vos raisons : cette f
femme ne peut pas être innocente en même temps et vous déplaire. Mais
Madame
, à tout péché miséricorde. Je vous assure pour ce
venir voir, que des querelles domestiques, reprit Londé. Reprenez-la,
Madame
, poursuivit-il en s’adressant à sa femme, et ne n
te lettre : LETTRE. Vous avez beau vous mettre en colère contre moi,
Madame
, j’ai beau me repentir de vous en donner sujet, j
tabatière, et j’entrai sans la faire avertir. Je viens vous avertir,
Madame
, lui dis-je, de vouloir bien faire demander à vos
lorsque j’entrai dans sa chambre. Elle voulut sortir ; c’en est fait,
Madame
, lui dis-je, en la retenant, je n’ai plus rien à
que vois-je, s’écria-t-elle ? Vous ne voyez rien que le commencement,
Madame
, lui dis-je : donnez que j’achève, poursuivis-je,
à couvert, je vous en supplie, et je vous l’ordonne. Vous le voulez,
Madame
, lui dis-je, vous serez obéie. Je suivis Mousson
ni tout ce qu’il avait de criminel. Vous êtes maîtresse de vous-même,
Madame
, poursuivis-je, il ne tient qu’à vous de me rendr
en de mon âge, et de beaucoup d’esprit : ce fut Monsieur votre frère,
Madame
, dit-il à Madame de Mongey. Lorsque je me portai
elle et la plus spirituelle personne qu’on puisse voir. Je sais bien,
Mesdames
, ajouta Des Frans, en s’interrompant lui-même, qu
l’avoir épousée. Vous avez été marié, s’écria Madame de Mongey ? Oui
Madame
, je l’ai été, reprit Des Frans, je ne m’étonne pa
r qu’elle ne fût belle, que c’était cette raison qui avait obligé feu
Madame
la duchesse de Cranves, qui n’avait jamais eu d’e
hambre des papiers à la main. Je sais tout ce que vous avez à me dire
Madame
, lui dis-je, dès que je la vis ; la lettre que vo
t-elle, sitôt qu’elle me vit, quel est votre dessein ? En doutez-vous
Madame
, lui dis-je en riant ? Je me tiendrais indigne du
le premier. Il me dit qu’il avait été autrefois de la connaissance de
Madame
la duchesse de Cranves, morte depuis environ deux
ai que je ne dirais pas que vous êtes ma fille : et à propos ma bonne
Madame
, dis-je à la Morin, ce charmant frère ne s’est pa
de m’avoir vue ; mais Monsieur il faut vous dire comment cela se fit.
Madame
la duchesse de Cranves était sœur de Monsieur le
marié dans l’hôtel, et qui avait épousé une des femmes de chambre de
Madame
, était encore assez scélérat pour vouloir en fair
lle, en quoi je fis mal. Il apprit par elle que je n’avais rien dit à
Madame
sur son chapitre. Cela le rendit assez hardi pour
lui promit de mieux vivre. J’intercédai pour lui, et sans mes prières
Madame
n’aurait jamais voulu le voir ; elle le lui dit à
à deux genoux devant tout le monde, pendant que j’étais à table avec
Madame
, et ne se releva que lorsque je lui dis : parce q
table avec Madame, et ne se releva que lorsque je lui dis : parce que
Madame
avait voulu tout à fait l’humilier. Je lui pardon
vait, et tout ce que je faisais. Je mangeais ordinairement seule avec
Madame
. De tous les gens qui étaient dans l’hôtel, il n’
vint desservir suivant sa coutume, et pour lors, faites-moi la grâce
Madame
, lui dis-je, d’instruire Valeran, sans le nommer
us trouvez quelque chose de condamnable dans moi, que ne dites-vous à
Madame
ce que vous en savez, sans en entretenir des gens
ge, et vous vous déchaînez de plus en plus. Rendez-moi justice devant
Madame
et devant Monsieur, avouez que vous êtes un fourb
encore quelque chose de nouveau, interrompit Madame de Cranves ? Oui
Madame
, continuai-je en montrant Valeran de la main : la
heureux de ce que Mademoiselle ne s’est point plainte à d’autres qu’à
Madame
; car tout le respect qu’on a pour elle n’aurait
’il devienne, ce que vous en ordonnerez sera exécuté. Je vous supplie
Madame
, lui dis-je… Parlez-lui à lui-même, dit-elle en m
st pourtant lui, Monsieur, qui se mêle de donner des avis à vous et à
Madame
votre mère. Je connais fort bien son écriture que
re nous, je ne vous verrais qu’avec confusion ; et je ne veux pas que
Madame
votre mère ait le moindre sujet de vous chagriner
tion et un penchant aveugle pour vous. Vous me sacrifiez la colère de
Madame
votre mère : vous me sacrifiez l’indignation de v
Nous nous entretenions ainsi en attendant Valeran : mais Monsieur et
Madame
, poursuivit Des Frans en s’interrompant lui-même,
écrit à Monsieur Des Frans afin de le dégoûter de vous : j’ai écrit à
Madame
sa mère afin qu’elle l’obligeât à vous quitter s’
remèdes si violents. Vous ne pouvez vous dispenser de tenir parole à
Madame
votre mère : la facilité apparente avec laquelle
ais le dessein juste et nécessaire. Je soupai avec ma mère : Eh bien,
Madame
, lui dis-je, avez-vous eu la bonté de voir Messie
e. Elle trouva ma pensée juste, non pas, dit-elle, par la crainte que
Madame
votre mère n’y trouvât pas pour vous tous les ava
rave homme et un fort honnête homme. Il parla de sa famille, et nomma
Madame
la duchesse de Cranves ; c’était où je l’attendai
nte conduite, je ne sais pas ce qui en aurait été. Vous me surprenez,
Madame
, reprit le commandeur, quand vous me parlez de Si
avait renoncé au mariage. Qu’il avait enfin été tué en Candie, et que
Madame
de… ne lui avait pas beaucoup survécu. Ce que je
être mieux instruit ? Le voilà mon esprit familier. Vous avez raison,
Madame
, dit-il, j’ai eu tort de vous nommer Mademoiselle
pour l’épouser : car à ce que je vois, l’affaire est faite, sans que
Madame
votre mère le sache. Oui, Monsieur, elle l’est, r
u, et dont je puis dire que j’ai fait le mariage avec une cousine, et
Madame
… Vous êtes donc parents, interrompit Silvie ? Oui
cousine, et Madame… Vous êtes donc parents, interrompit Silvie ? Oui,
Madame
, reprit le commandeur. Madame Des Frans et moi so
errompant, le génie des femmes n’y fait rien. Je vous demande pardon,
Madame
, reprit-il, l’ardeur du discours m’avait emporté,
nt encore ; et pour elle, poursuivit-il, elle l’aime toujours : ainsi
Madame
, si vous voulez y donner votre consentement, je v
ite, mais choisie, qui s’assemblait presque tous les jours chez vous,
Madame
, dit-il à Madame de Londé, ou chez elle, avec qui
nsieur, me dit-elle, ce n’est qu’un cachot ? C’est votre appartement,
Madame
, lui répondis-je, c’est l’endroit qui vous est de
me une nouvelle trahison. Ces humiliations-là ne sont plus de saison,
Madame
, lui dis-je en la relevant, mon dessein n’est plu
e retour que je suis séparée de vous pour jamais ! Vous l’avez voulu,
Madame
, lui dis-je, vous avez été la maîtresse de votre
ai la main qui me châtiera pourvu que je la voie. Le temps est passé,
Madame
, lui dis-je, si je ne croyais que l’amour que j’a
mener une vie remplie de confusion, de honte et de désespoir. Adieu,
Madame
, je vous… C’en est assez, Monsieur, dit-elle en m
que son mouvement, mit la main dessus en criant voilà le portrait de
Madame
. Le père connut dans ce moment ce qui en était. I
me magique, si j’ose me servir de ce terme. Ils sont morts tous deux,
Madame
, dit Dupuis, et tous deux dans un état qui doit f
s de souper, il est temps ; et ne songeons qu’à nous divertir. Allons
Mesdames
, reprit Contamine en se levant. J’ai toujours ouï
oire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. Je commence,
Madame
, reprit Des Frans; mais avant que de vous rapport
r toutes sortes d’endroits et passait même mes espérances. Ce furent,
Madame
, continua Des Frans, en parlant à Madame de Monge
is sûr que Mademoiselle Fenouil se joindra à moi avec plaisir. Voilà,
Madame
, continua Des Frans en parlant à Madame de Contam
t Madame de Contamine, et c’est fort bien nous faire votre cour. Eh !
Madame
, reprit-il, ce n’est point à vous que je m’adress
lus que lui, et qu’il prenne la peine de venir. Il achève une lettre,
Madame
, dit ce laquais. Cela redoubla l’étonnement de d’
de parler en ces termes des femmes devant nous ? Je vous ai déjà dit,
Madame
, répondit-il, que je vous regarde toutes comme de
nt à blâmer ; mais nous n’attaquons point le général. Avez-vous fini,
Madame
, interrompit Dupuis, les deux bras croisés sur l’
eur Des Prez, il est plus digne de pitié que de blâme ; et vous-même,
Madame
, qui lui faites son procès sur l’étiquette du sac
e que d’ailleurs il me paraît un fort honnête homme. Très volontiers,
Madame
, lui dit-il, et si la compagnie le veut bien, cha
ant d’elle, toute la compagnie se leva, et lui fit civilité. Eh bien,
Madame
lui dit-il, ai-je gain de cause à la fin ? Oui, l
Oui, lui dit-elle en riant, votre parent que j’ai laissé là-haut avec
Madame
votre mère, a tant fait, qu’il a persuadé. Que je
adame votre mère, a tant fait, qu’il a persuadé. Que je suis heureux,
Madame
, lui dit-il, de recevoir une si bonne nouvelle, e
ousin et la cousine seront bientôt contents. Ce sera pour moi lorsque
Madame
le voudra, reprit Dupuis. Et pour moi, poursuivit
vez fait que me prévenir, Monsieur, lui dit-il, car j’allais parler à
Madame
avec la même sincérité que vous avez fait, et j’a
ho, lui demanda la duchesse, puisque vous vous en plaignez ? — Pardi,
Madame
, répondit Sancho, elle est tout comme les autres
duchesse, croyez-vous qu’elles soient toutes méchantes ? — Mon Dieu,
Madame
, lui répliqua Sancho, ne remuons point l’eau qui
o, lui dit Eugénie, vous déchirez là les femmes sans pitié. — Eh non,
Madame
, reprit-il, je ne parle que de la mienne ; et en
e toutes les femmes fassent désespérer leurs maris. — Non pas toutes,
Madame
, répondit-il ; il y en a qui sont bien douces ; m
donnée telle qu’elle est pour vous faire faire pénitence. — Non, non,
Madame
, lui dit-il, ce n’est pas le bon Dieu, c’est le D
arbouillez l’esprit ; je sais bien ce que je dis. Un valet de pied de
Madame
la comtesse, poursuivit-il, lisait tout haut l’au
z-vous, reprit-elle, Seigneur chevalier Sancho ? — Je vous le dirai,
Madame
, répondit-il ; mais déjeunons auparavant. Parafar
ez de nous dire que vous vous êtes engagé à soutenir que la beauté de
Madame
la comtesse surpasse celle de toutes les dames de
n poulet de grain. Parafaragaramus est comme vous voyez intime ami de
Madame
la comtesse ; il n’a pu souffrir que vous ne vous
manquez, vous aurez peut-être d’autres risques à courir. La beauté de
Madame
la comtesse vous donnera la victoire sur tous les
e belle perle dans une boîte aussi bien qu’ailleurs. Je veux dire que
Madame
la comtesse n’en est pas moins belle, quoique sa
es pour des faits certains ; vos seuls parents ne s’expliquaient pas.
Madame
votre mère même était plus réservée que les autre
bservèrent que Mademoiselle Dupuis (car il ne l’a jamais fait appeler
Madame
) accoucha environ six mois après la blessure de s
her leur secret comme telle et telle, dont on ne parle seulement pas.
Madame
une telle accoucha il n’y a que six mois ; elle s
ortir, mais il en fut empêché par elle-même. Vous ne reconnaissez pas
Madame
, lui dit la belle Dupuis, vous ne la regardez qu’
fférence. Il la regarda pour lors avec attention. Je demande pardon à
Madame
, dit-il, si je ne la remets pas d’abord. J’ai que
is qui je suis à présent. Je ne sais point ce que vous êtes à présent
Madame
, reprit-il, mais vos traits me rappellent une fil
Vous ne vous trompez pourtant pas, reprit cette dame. Est-il possible
Madame
, reprit-il, que ce soit vous que j’ai vue autrefo
refois si différente de vous-même ? Oui, interrompit la belle Dupuis,
Madame
est la même personne que vous avez connue sous le
t à sa vertu. Elle est à présent femme de Monsieur de Contamine. Ah !
Madame
, reprit promptement Des Frans, est-il possible qu
celles à qui je dois tout ce que je suis. Je n’ai rien fait pour vous
Madame
, qui mérite tant de reconnaissance, reprit cette
eprit Des Frans, quels services Mademoiselle a pu vous rendre ; mais,
Madame
, après vous avoir vue ce que je vous ai vue, vous
ble Dupuis, retournez chez Monsieur Des Ronais, il sait l’histoire de
Madame
, elle a bien voulu la lui dire elle-même ; dites-
vous en fasse le récit, il ne vous ennuiera pas, et je suis sûre que
Madame
ne sera pas fâchée que vous l’appreniez ; car out
it d’avoir avec Des Frans, qui continua. Des Ronais est trop heureux,
Madame
, dit-il, d’avoir une si bonne protectrice et une
de Contamine, venez au fait. J’aime dans une belle femme comme vous,
Madame
, reprit-il, cette charmante impatience, elle témo
oint à Dieu qu’on vous sacrifie, c’est à la fortune de Monsieur et de
Madame
, poursuivis-je en lui montrant Bernay et Madame d
prit Madame d’Ornex, en rougissant de colère. Je m’en rapporte à vous
Madame
, lui répliquai-je. Je voudrais bien savoir si vou
imez guère, de la manière dont vous venez d’en parler. — Il est vrai,
Madame
, répondit Terny, que ç’a été malgré lui que nous
de me faire recevoir à une charge que mes amis m’ont négociée. Voilà,
Madame
, poursuivit Terny, s’adressant à Madame de Contam
le a la vertu et la raison de son côté. Vous le savez par expérience,
Madame
, reprit Dupuis, qui ne faisait que de rentrer ; n
nir qu’on ne saurait donner trop de louanges à la constance. Il en a,
Madame
, reprit Des Frans, son mariage avec Madame de Lon
distraction que vous faites à quelque soin plus pressant. En vérité,
Madame
, reprit Des Frans sur le même ton railleur, vous
us parlions de constance aussi, dit-il, mais sans aucun rapport, ni à
Madame
, ni à moi, et seulement parce que je voulais lui
e prétexte au souper que vous donnez à votre maîtresse. Eh ! morbleu,
Madame
reprit-il, en affectant comme elle un air de colè
procureurs, de notaires ou de marchands un peu aisés, se faire nommer
Madame
. Les gens de bon sens voudraient bien savoir, si
ens de bon sens voudraient bien savoir, si ces femmes prétendent être
Madame
à carreau, ou Madame à chaperon ? Ce n’est pourta
aient bien savoir, si ces femmes prétendent être Madame à carreau, ou
Madame
à chaperon ? Ce n’est pourtant pas là ce qui surp
aître à toute la terre ses extravagances, et vous en serez délivrée :
Madame
votre mère vous l’a conseillé, toute la terre vou
a reconduisant dans la chambre de Célénie, voilà Julia que je ramène,
Madame
, lui dit-il, nous sommes étonnés de votre empress
se jeta à ses pieds sitôt qu’il fut dehors. Vous jouez à vous perdre,
Madame
, lui dit l’amoureux cavalier ; au nom de Dieu aye
ir. Il entra dans son cabinet et se jeta à ses genoux. C’en est fait,
Madame
, lui dit-il, je me suis vaincu, votre vertu triom
utre sujet de mon éloignement que le véritable. Je sors de chez vous,
Madame
, continua-t-il, mais j’en sors dans le dessein d’
ire naître lorsqu’on les espère le moins. — Je ne vous promets rien,
Madame
, répliqua-t-il, l’état où je suis est trop doulou
onner. — Quoi ! dit la comtesse, c’est lui qui vous régale ? — Oui,
Madame
, répondit Sancho. — Et je ne vois ici personne d
e que les enchanteurs sont mariés ? demanda la marquise. — Non, non,
Madame
, répondit Sancho, ils sont trop heureux pour avoi
re de lui dire, et qu’il dormît en repos sur cette assurance. — Ah !
Madame
, lui dit le triste chevalier les larmes aux yeux,
t marier sa fille avec le fils de son défunt fermier. — Est-il riche,
Madame
? demanda Thérèse, car quand une femme apporte de
Ecoute, Sanchette, lui dit sa mère en présence de toute la compagnie,
Madame
la duchesse veut te marier avec ce jeune homme-là
artir ! Où est donc l’honneur de la Chevalerie ? — Vous avez raison,
Madame
, lui répondit Don Quichotte, je ne dois point avo
ue vous avez mis en fuite l’armée des ennemis, et que vous avez sauvé
Madame
la comtesse. — Cela est vrai, répondit Don Quich
erechef dans ses défaites. Ne continuez pas vos impostures davantage,
Madame
, lui dit-il avec un ris moqueur, elles me font pe
trois quelque temps dans les bras l’un de l’autre. Je vous reprends,
Madame
, lui dit enfin son époux, je consens d’oublier to
u poignard et du poison, si familier en Italie et parmi vous. Puisque
Madame
et ces Messieurs, reprit le duc de Médoc après qu
ler sa valeur, et lui reprocha qu’il n’était pas de parole. Ah pardi,
Madame
, lui répondit Sancho, nous voilà bien dedans. Ne
tendait faiblement les bras à Silvie : Je ne suis plus votre ennemi,
Madame
, lui dit-il d’une voix mourante, et en même temps
t de rien, parce qu’on se moquerait de toi, et que Monsieur le duc et
Madame
la duchesse seraient choqués, s’ils savaient que
il possible que vous ne vengerez pas une fille qui vous aime tant ? —
Madame
, répondit Don Quichotte avec un air froid à glace
e, et de cent mille autres, si j’avais à les donner pour elle. Voilà,
Mesdames
, poursuivit Dupuis, de quelle manière Des Prez me
, mariez-vous, vous n’en serez pas plus malheureuses. Vous voyez bien
Mesdames
, poursuivit Contamine toujours d’un ton goguenard
Oui, répondit Des Frans, et sa femme est une héroïne de vertu, comme
Madame
en est une de constance. Cette dame rougit, et té
me qui pût écouter jusqu’à Amen, poursuivit-il en la regardant ! Non,
Madame
, continua-t-il, le désordre ne me plairait nullem
il nous déchire plus que si nous lui avions fait bien du mal. Ma foi,
Mesdames
, dit Dupuis en prenant la défense de son ami, il
Dieu par l’intercession de la Vierge la grâce d’avoir un enfant. Ah !
Madame
, lui dit cette femme d’un ton tout naïf, vous per
les instances de ce médecin l’obligèrent d’en parler comme en riant à
Madame
la duchesse de Chevreuse, et la vérité est qu’il
duc d’Arpajon dont nous avons vu la veuve première dame d’honneur de
madame
la dauphine Victoire de Bavière. Ils se promenaie
le même jour de Versailles qui conta cette histoire en ma présence à
Madame
la maréchale de Castelnau, chez laquelle j’étais,
l aurait avantageusement soutenu ses offres. Mais il échoua parce que
Madame
celle-ci et Monsieur celui-là demandaient des emp
Boucherat M. de Pontchartrain fut revêtu de la dignité de chancelier,
Madame
la princesse de Monaco alla en féliciter Mad[am]
is, du moins à ceux que mal à propos il croyait tels ; que c’était de
Madame
son épouse et de M[onsieu] r son fils qu’il voula
on pas dix écus comme les piqueurs ont eu depuis. Sa femme, pour lors
madame
du plus bas étage, et depuis madame à carreau, av
nt eu depuis. Sa femme, pour lors madame du plus bas étage, et depuis
madame
à carreau, avait une chaudière où elle faisait cu
que ce mariage se fit, a fait tout son possible pour l’empêcher, mais
Madame
la duchesse de Bouillon sa mère l’a obligé de ref
que non, reprit-elle, et que vous n’avez pas été voir Faitout. — Eh !
Madame
, lui dit son fils, c’est vous qui avez fait mon m
demoiselle, au mariage de qui le père n’avait consenti que parce que
Madame
la grande-duchesse de Toscane l’avait prié d’y co
vouerai que je commence à m’ennuyer dans ce château. Je sais bien que
Madame
la duchesse n’épargne rien pour m’en rendre le sé
n’est que pour y combattre à outrance, préparez-vous-y, ou avouez que
Madame
la comtesse Eugénie est plus belle que toutes les
je toucher à cette arme d’enfer ? Tenez, Monsieur, ajouta-t-il, c’est
madame
la duchesse qui m’attire tout ceci, car si je n’a
ais vous voulez bien que je vous demande des nouvelles de ma famille.
Madame
votre mère est morte, dit le conseiller. Je le sa
ns-Pareil dix milliers de pain biscuit, etc. Le tout sans Monsieur ni
Madame
. Ce billet me fut rendu par un commis des vivres
urs voyages de long cours, et a épousé à la Martinique une parente de
Mme
la marquise de Maintenon. C’est un bel endroit po
artir, il l’y enverrait, du moins, jusqu’à ce qu’il eût eu réponse de
Mme
la marquise de Maintenon. Qu’il savait fort bien
veu de M. Frémont, garde du Trésor royal ; et ainsi cousin germain de
Mme
la maréchale de Lorges. Ayant appris ce que Bouch
e tous messieurs les lieutenants en auraient été au désespoir, et que
Mme
la marquise de Maintenon trouverait peut-être mau
ain pelé, & un aussi laid mâtin que le chien de votre cocher, que
Madame
trouve beau, parce qu’il est épouvantable. Il ne
une pauvre femme se plaindre à ma mère du trop d’appétit de son mari.
Madame
, lui disait-elle, le malheureux heume le pain com
, & ne parle nullement le jargon des harengères. On l’appelle ici
Madame
tout court, ou on y joint la générale ; & la
ieu le plus beau & le plus considérable de l’île & où est née
Mme
la marquise de Maintenon. J’y rendis les lettres
il mène sur son vaisseau une très belle dame, parente fort proche de
Mme
la marquise de Mainte-non. C’en est assez pour ne
du Quesne, et on joint à son nom celui de Guitton, qui est le nom de
Madame
sa femme, petite-fille du grand Guitton, maire de
e bon marchand. Tout le monde s’en loue, et personne n’en dit de mal.
Madame
la directrice sa femme nie paraît avoir été une t
une pauvre femme se plaindre à ma mère du trop d’appétit de son mari.
Madame
, lui disait-elle, ce malheureux heume le pain com
▲