énérale, font foi de cette vérité. Mais comme je suis certain que ces
mémoires
-ci ne paraîtront qu’après ma mort, je crois que l
si tu veux, la primitive Histoire : Ce tyran dont l’Eglise abhorre la
mémoire
, Julien l’Apostat, pour détruire la foi, Contre l
eu]r de Seignelay. Je parlerai de ces bons pères dans la suite de ces
Mémoires
; on y verra des endroits qui certainement ne leu
e qui eût jamais régné ; le royaume riche et abondant aurait rendu sa
mémoire
précieuse, et il serait mort dans ce temps-là le
e Français, l’Histoire des guerres civiles, le Journal du Palais, les
Mémoires
de Mons[ieu] r le duc de La Rochef[ouc] ault, et
aise éducation. Je dirai là-dessus quelque chose dans la suite de ces
Mémoires
qui je crois méritera bien l’attention du lecteur
ir le Roi et le royaume, et ruiner les marchands. 100. Il suivait les
mémoires
du cardinal de Richelieu, envoyait des renforts e
nt, et qu’il envoyait par tout le monde avec ordre de lui dresser des
mémoires
exacts et circonstanciés de la situation des lieu
chesses, et de leur trafic tant intérieur qu’extérieur. Il lisait des
mémoires
et y faisait des remarques en son particulier, et
a à Monsieur de Chevri, chef de la compagnie de l’Acadie, ceux de ces
mémoires
qui regardaient toute la Nouvelle France. Comme j
la main de M. Colbert. Monsieur de Pontchartrain, qui a dû avoir ces
mémoires
après la mort de Monsieur de Sei-gnelay, puisqu’i
e confirmer en bonne compagnie. 125. Comme ceux qui pourront lire ces
mémoires
ne savent pas ce que c’est que courir l’allumette
it de lui renvoyer M. Picon, sur la même affaire lorsque les nouveaux
mémoires
qu’il en devait dresser seraient en état. Cela fu
e le ministre le souhaitait. Il le fit appeler, et en lui donnant ces
mémoires
que M. Picon avait dressés lui-même et qui n’avai
à un service que vous me rendez, Hubert, dont je ne perdrai jamais la
mémoire
, lui dit Monseigneur ; vous et votre famille pouv
e que M. Colbert lisait. Après cela, bien sûr qu’il avait la copie du
mémoire
qu’il venait de lire, il disait à celui qui le lu
ne l’avait communiquée à personne, Mons[ieurl Colbert lui rendait son
mémoire
et lui donnait rendez-vous à trois ou quatre jour
ui, ni à [sa] femme, ni à ses enfants, et n’en fait point encore à sa
mémoire
, quoique ce droit soit passé dans une autre main,
ne m’assujettis pas à aucun ordre de suite ni de temps. Je donne ces
Mémoires
à la manière de M. de Montagne, non pour bons, ma
on secrétaire. — Pourquoi, Le Noir, lui dit-il, ne vois-je dans votre
mémoire
qu’une copie d’un tel contrat, et que j’en trouve
s du désordre que cet homme connaissait si bien qu’il avait donné des
mémoires
pour les arrêter et les prévenir, en commençant p
à M. de Beauvilliers parlant au Roi que Deschiens avait présenté des
mémoires
au Conseil pour supprimer des abus qui s’étaient
ient dû entrer immédiatement dans les coffres du Roi. 220. J’ai vu ce
mémoire
, où tout était discuté avec un ordre et une clart
aient déjà assez de leur ignorance. M.Colbert auquel il communiqua ce
mémoire
le trouva bon et bien projeté, mais il vécut trop
et fut le premier à la montrer ; et ajouta que ceux qui faisaient des
mémoires
contre lui étaient les premiers à envier sa place
re, il se ressouvint qu’il avait oublié de communiquer au ministre un
mémoire
(on m’a dit que c’était l’impôt sur les suifs. Il
re s’en aperçut le premier, et lui ayant dit qu’il aurait soin de son
mémoire
, il le congédia pour qu’il allât se faire panser.
t ni moine ni pigeon. J’ajouterai encore volontiers avec l’auteur des
Mémoires
des ambassadeurs que des gens qui ont l’âme assez
u Réveiller à nos yeux la sacrilège histoire D’un scélérat indigne de
mémoire
, Puisque même il était indigne du tombeau ? Quel
leur perte vient d’eux-mêmes. Je puis dire qu’en 1684 j’en donnai des
mémoires
à M. de Seignelay ; et que ces mémoires eurent si
re qu’en 1684 j’en donnai des mémoires à M. de Seignelay ; et que ces
mémoires
eurent si bien son approbation qu’il eut la bonté
obation qu’il eut la bonté d’en parler au Roi qui voulut me voir. Ces
mémoires
, restés à M. de Seignelay, ont dû après sa mort e
encore la même chose sur Québec, mais dans un temps plus éloigné. Mes
mémoires
doivent encore exister, à moins qu’on ne les ait
e parut goûter mes raisons, et M. de Seignelay me parut approuver mes
mémoires
qui me furent bien payés. Mais tout cela n’eut po
Il m’avait sur toutes choses recommandé la sincérité. Je fis donc ces
mémoires
que je lui présentai en 1684, qui fut la même ann
avais eu l’honneur d’en entretenir le Roi et que j’en avais remis les
mémoires
à M. de Seignelay. Ainsi, en ayant encore le goût
la relation que je lui avais faite de vive voix du pays, que pour les
mémoires
par écrit que j’en avais fait[s], et m’exhorta de
ur le malheur de la colonie. Je donnai à M. de Seignelay les nouveaux
mémoires
que j’avais dressés, où il y avait très peu d’aug
que je souhaitais. M.de Seignelay en fut outré et m’avoua que si mes
mémoires
avaient été suivis cela ne serait point arrivé, e
là bien des si. J’en ajouterai pourtant encore un, qui est que si mes
mémoires
avaient été suivis, les Anglais ne se seraient pa
fit la grâce de me dire en 1687 qu’on travaillait sur le plan de mes
mémoires
, et que je pouvais me disposer à repartir bientôt
a gloire du royaume, le tout s’est évanoui. J’avais remarqué dans mes
mémoires
qu’il fallait que les commandants qu’on enverrait
peuple qui, bien loin de blâmer cette sévérité, maudissait encore la
mémoire
des sangiacs qui avaient été étranglés.