rivis plusieurs fois ; elle me renvoya mes lettres cachetées sans les
lire
. J’allai trouver Phénice, pour savoir d’elle en q
orte que mes soins ; elle ne voulut jamais entendre parler de moi, ni
lire
mes lettres. Je n’avais plus d’autre moyen pour e
voici une copie qui m’a été remise en main, et que je vous supplie de
lire
. La marquise la prit et lut. Vous avez eu raison
emise en main, et que je vous supplie de lire. La marquise la prit et
lut
. Vous avez eu raison de me dire qu’il n’y a poin
Silvie Vous voyez, Madame, reprit Silvie, après que la marquise eut
lu
, qu’il m’était impossible d’écrire en termes plus
mme elle voulait que mes tantes en fussent instruites, elle la voulut
lire
tout haut sous prétexte d’en admirer le style : c
t comme je ne voulus point entrer avec lui dans aucune explication ni
lire
ses lettres, il s’adressa vainement à Phénice pou
elle tira en même temps un billet qu’elle donna à la marquise qui le
lut
. Mon départ a dû vous surprendre, mais quand vou
Manche, avec le plus grand mépris du monde. Mais un valet, qui avait
lu
une partie de l’histoire, les ramassa ; et de cel
e badaud, s’il avait véritablement vécu, et si les aventures qu’on en
lisait
lui étaient effectivement arrivées. Quelques Espa
droits qu’il a traduits de la suite de Don Quichotte ; ce que j’en ai
lu
m’est resté dans la tête, et ne m’a pas déplu ; e
ue voici. Madame de Terny voulut en cet endroit empêcher son époux de
lire
cette lettre, et n’en vint pas à bout. Au contrai
plus. Tenez, Monsieur, poursuivit-il, en la présentant à Des Ronais,
lisez
-la. Il la prit, et lut ce qui suit. LETTRE. Je s
oursuivit-il, en la présentant à Des Ronais, lisez-la. Il la prit, et
lut
ce qui suit. LETTRE. Je suis extrêmement embarra
ouvé à les faire. Dès la première fois que vous m’avez vue, vous avez
lu
dans mes yeux toute l’aversion que j’ai pour le c
de compliments pour mon ami, et voici celle que Clémence m’écrivait ;
lisez
-la s’il vous plaît. Des Ronais la prit et lut ce
Clémence m’écrivait ; lisez-la s’il vous plaît. Des Ronais la prit et
lut
ce qui suit. LETTRE. Votre visite m’expose aux r
it. Ce fut là que je reçus une lettre de Clémence. Je vous prie de la
lire
, dit-il, en parlant à Des Ronais, c’est celle qui
donna une lettre de Clémence ; la voici encore, Des Ronais la prit et
lut
ces mots. LETTRE. N’admirez-vous point notre mal
en instruisit. Il me donna la lettre que voici ; mais avant que de la
lire
, il faut savoir ce qui s’était passé. Sitôt après
ettre que je viens de vous mettre entre les mains, et que vous pouvez
lire
à présent. LETTRE. Je vous écris celle-ci, Monsi
retira de ses rêveries en lui montrant son livre, et en le forçant à
lire
le décret du destin. Il le prit donc, et y lut qu
e, et en le forçant à lire le décret du destin. Il le prit donc, et y
lut
qu’il était arrêté que cette princesse serait rel
l continua pendant une demi-heure toutes les imprécations qu’il avait
lues
dans ses romans ; et Cid Ruy Gomez dit qu’il les
surtout ayant le cœur préparé à l’amour par les sottises qu’il avait
lues
dans ses romans, et dont il avait encore la mémoi
Je quittai le jeu que je priai sa mère de tenir pour moi. J’allai le
lire
dans une chambre à côté. Il n’était pas long, ce
le se trouvait mal. Elle dit que non, et ajouta qu’elle et moi avions
lu
chez le libraire où sa mère nous avait trouvés le
onne n’en faisait de lui confier le bien de la société. Ma lettre fut
lue
publiquement, et on l’obligea de garder la montre
e le prendre. Je le pris, et lui payai le port fort grassement. Je le
lus
, il n’y avait que ces mots : Trouvez-vous à trois
it notre intelligence, ils me firent la guerre de mon peu de soin. Je
lus
ce billet et le déchirai avec tant d’indifférence
i si vous voulez, car le cœur me dit que je serai malade lorsque vous
lirez
ce billet-ci. J’ai craint de gagner votre mal ; e
t qui était sur la table. Ha mon Dieu ! s’écria-t-elle, après l’avoir
lu
; se peut-il qu’il ait pris feu sur une simple pl
elle, elle m’écrivit un billet qu’elle m’envoya par notre hôte. Je le
lus
, et me mis en devoir d’aller la trouver. En trave
est ce même papier que vous m’avez vu, et que je porte sur mon coeur.
Lisez
-le, dit-il, en me le donnant. Je le pris de ses m
l, en me le donnant. Je le pris de ses mains, et avec mille peines je
lus
ces paroles. BILLET. Je meurs, je ne m’attendais
ort. Je meurs aussi. Si je vous embrassais avant que de... Je ne pus
lire
que ces paroles, le reste n’étant ni formé ni de
J’ai été chez elle ; elle me l’a donné, c’est celui que vous venez de
lire
. Je ne vis plus présentement que dans le dessein
de quelle manière Des Prez me conta son histoire, et je ne sais point
lire
dans les yeux d’un homme, si sa douleur n’était t
incapable d’imposer : ainsi, on pourra croire avec assurance ce qu’on
lira
dans la suite ; étant fortement résolu de donner
ne dîmes rien du marché, parce que cela ne le regardait pas. Il n’en
lut
pas de même de M. de Combes, que nous trouvâmes c
et dont il reconnut tout d’un coup l’écriture et la signature. Il la
lut
toute entière, me félicita d’une si puissante pro
’offrait à tout moment un nouveau chagrin. Elle ne m’empêchait pas de
lire
Ovide, le plus à mon goût de tous les poètes lati
et honneur à un autre sujet que celui qui m’amène. Prenez la peine de
lire
; ou souffrez, monsieur, que je vous lise le proc
m’amène. Prenez la peine de lire ; ou souffrez, monsieur, que je vous
lise
le procès-verbal que voilà. Quoi ! dit M. du Ques
oyage, et une santé parfaite. Comment diable ! reprit-il, après avoir
lu
le procès-verbal tout bas, un fond de cale forcé
obligé d’en rendre compte devant une autorité légitime et suprême. Je
lus
le procès-verbal tout haut. M.de La Chassée, comm
rbal, qui en disait assez sans que j’ouvrisse la bouche. M.Céberet le
lut
avec son froid ordinaire, mais il ne le garda pas
s peu d’utilité, et qui cela est de même assez indifférent à ceux qui
lisent
un journal. parce qu’il y a peu de lecteurs qui s
e par semaine, j’en demandai comme les autres douze à quinze. Cela me
lut
accordé, et Guillaume, distributeur, ayant eu ord
été saluer la belle Alcidiane. Est-ce à un homme de son caractère de
lire
ces sortes de livres ? et s’il a lu celui-là étan
à un homme de son caractère de lire ces sortes de livres ? et s’il a
lu
celui-là étant jeune, est-il de son honneur de fa
ngler et brûler les souverains du Nouveau Monde. Il est impossible de
lire
sans horreur les barbaries qu’ils y ont exercées,
ble d’impureté ils ont porté leur infâme lubricité. Et on ne peut pas
lire
non plus, sans adorer la juste vengeance de Dieu,
ce qui n’en ferait pourtant que la soixantième partie. Il n’y a qu’à
lire
Mézeray, le plus exact des historiens. Je retourn
la prédestination. La quantité de libelles ou petits livres que j’ai
lus
et que j’ai sur cette matière me donne l’idée de
il commence, je ne suis pas au bout de mes écritures, ni ceux qui le
liront
au bout de leur lecture, supposé qu’ils se donnen
t au bout de leur lecture, supposé qu’ils se donnent la peine de tout
lire
. Si on s’ennuie, il n’y a qu’à le laisser ; mais
’en dirai d’autres qui peut-être ne vaudront pas mieux que ce qu’on a
lu
. Ex eadem fonte pares aquae. C’est Quintilien qui
Chassée ; car pour moi, je ne me souviens point de l’avoir ni vu, ni
lu
dans mon Rabelais. Il n’importe, nous boirons cha
tre des êtres n’est autre chose que Dieu. Je me souviens même d’avoir
lu
que ce fut lui qui érigea dans Athènes cet autel
urnée, bien persuadé qu’elle m’est nécessaire pour écrire ce qu’on va
lire
. Pour savoir à quelle occasion ce discours fut pr
urance que j’ai été présent à quatre de leurs assemblées. Ce qu’on va
lire
n’est qu’une simple idée du discours qui fut fait
ars 1690 Je n’écrivis pas hier en entier tout ce que l’on vient de
lire
; je ne l’ai achevé que ce matin. Peut-être que c
’étaient rien moins qu’infaillibles. J’en ai parlé ci-dessus. Il faut
lire
ce qu’en disent le scélérat Machiavel, Mézeray, M
t et en chœur le grand office des Morts. Ceux qui savent le latin ont
lu
chacun une leçon, et les trois ecclésiastiques on
ait venir tous les officiers mariniers l’un après l’autre. Je leur ai
lu
à chacun l’article qui le regardait. M.de Porrièr
t qu’ils avaient reçu du magasin de l’Orient ce que je venais de leur
lire
, je leur ai demandé leur consommation. Ceci vous
ai-je dit. Ils ont tiré de leurs poches leurs petits régîtres, et ont
lu
leur consommation, un tel jour employé telle chos
m’attendaient. Un quart d’heure après, on m’a fait remonter, pour le
lire
tout haut : je l’ai dit, et suis redescendu dans
ue du Conseil, ils ont fait venir Bouchetière, à qui le commissaire a
lu
le procès-verbal. Il n’est point disconvenu des f
ette fraîcheur, et le reste, étaient également imaginaires. Je lui ai
lu
ensuite les pages 310 et 311 de ce journal-ci, qu
d’enfants contre leurs pères. Pour en être convaincu, il ne faut que
lire
Tavernier et une infinité d’autres relations qui
le : c’était au mois de janvier 1689, le surlendemain des Rois. Qu’on
lise
l’histoire de Hollande, on verra que Philippe duc
ont détestés ; et je ne me souviens pas que jamais Mahomet, dont j’ai
lu
la vie, aussi bien que son Alcoran, ait sacrifié
nation. Jephté ne fut pas même pressé de l’accomplir : il ne faut que
lire
le texte sacré. J’ignore dans quel endroit de l’é
ait déshonorée quand son enfant ne vivait pas. Je me souviens d’avoir
lu
un commentaire fait par un rabbin sur le Livre de
s. Je conviens qu’il y a des îles flottantes, supposé que ce qu’on va
lire
en soit. La mer, par ses brisements, son flot et
imal le plus exécrable et le plus immonde que la nature produise. Ils
lurent
pourtant trouvés bons, l’un à bord, l’autre à ma
ote ; mais je ne m’en suis pas souvenu. En effet, que sert à ceux qui
lisent
des relations de savoir positivement à quel endro
uit, [sont ? ] à peu près de la grosseur d’une moyenne aiguille. J’ai
lu
quelque chose d’approchant dans une relation de G
es. Comme celle-ci vient au sujet, je ne puis me dispenser de vous la
lire
. En achevant ces mots, il prit un petit coffre où
un petit coffre où il y avait plusieurs lettres, il en ouvrit une, et
lut
ces paroles. LETTRE. Si je me croyais, je ne vou
mais comme il l’avait en partie prévu, comme je vous l’ai dit, ayant
lu
quelques-unes de mes lettres, et qu’il s’y était
n’en pouvait revenir, il voulut se réconcilier avec moi, et me faire
lire
jusques au fond de son cœur. Après qu’il eut reçu
te que j’avais baissée ; et comme cette adresse était au-dessous, j’y
lus
le nom de Gauthier sans savoir en quelle ville. C
i ai écrit coup sur coup ; il m’a renvoyé toutes mes lettres sans les
lire
. Il fait bien pis ; car partout où il me voit, il
en avoir reçu l’impertinente lettre que voilà, et que je vous prie de
lire
. Elle lui mit une lettre entre les mains, il l’ou
prie de lire. Elle lui mit une lettre entre les mains, il l’ouvrit et
lut
. LETTRE. Le hasard vient de me découvrir votre p
s des courtisanes. Vous voyez bien, poursuivit-elle, après qu’il eut
lu
, que votre ami a pris tout de bon la chèvre. Vous
lère. J’avais reçu à midi trois grandes lettres en même temps. Je les
lus
, je dînai, je les relus ; et je cherchai dans ma
is reçues pour m’excuser ; il me dit brutalement, que j’aurais pu les
lire
tout aussi bien dans mon bureau, après l’avoir ex
t être. Je décachetai l’enveloppe dans le moment, comme si j’avais pu
lire
dans un lieu où je ne pouvais discerner les rues.
une écriture d’homme fort menue. Comme il me fallait du temps pour la
lire
, je me couchai et la lus dans mon lit. Je ne vous
menue. Comme il me fallait du temps pour la lire, je me couchai et la
lus
dans mon lit. Je ne vous la répéterai point, elle
ns m’arrêter à pas une. Je rêvai toute la nuit à ce que je ferais. Je
lus
et relus cette lettre : j’en souhaitai l’auteur a
pas vu les avis qu’on me donne : je vous les apporte, ajouta-t-elle,
lisez
-les, et me les rapportez tout à l’heure dans ma c
re de cette femme comme la mienne propre. Il en était en effet. Je le
lus
, voici ce qu’il contenait en propres termes : BI
vous, sinon moins intéressé, du moins plus continent. À peine eus-je
lu
ce billet, que l’envie me prit de le garder. Je t
a que fort peu de temps ; il avait subi huit interrogatoires que j’ai
lus
. Sa mort et la considération de fort honnêtes gen
rait cadrerait avec ce que Silvie m’en avait dit. Il les prit, et les
lut
d’un bout à l’autre. Après qu’il en eut achevé la
it et reprit la parole. Je suis étonné, dit-il, de ce que je viens de
lire
; mais si celui qui vous donne ces avis n’est pas
abuser ; et qu’ainsi j’avais eu raison de ne lui en rien dire. Il lui
lut
la lettre de Monsieur de Buringe, qui vérifiait l
ui dis-je en la relevant, mon dessein n’est plus de vous persécuter ;
lisez
, poursuivis-je en lui donnant cette lettre, vous
espérer jamais entre nous de réconciliation sincère. Je l’obligeai de
lire
cette lettre : à peine put-elle en venir à bout,
issant pas sur l’enveloppe, elle ne voulut jamais ni la prendre ni la
lire
, s’étant absolument condamnée elle-même à une mor
in, environ six mois après sa sortie de Paris ; voulez-vous que je la
lise
? Tout le monde l’en pria, elle était en ces term
anuscrit lui a été remis, et que j’ai vu dans son cabinet. Comme j’ai
lu
ce passage plusieurs fois, je le sais par cœur, e
été vif en reparties sincères. Le Roi lui dit un jour qu’il venait de
lire
un livre dont il était charmé. — Quel est-il, lui
ndit-il, que Votre Majesté s’occupe à la lecture. Mais avec-vous tout
lu
Calcondille ? — Non, répondit le Roi, je n’en ai
is avec-vous tout lu Calcondille ? — Non, répondit le Roi, je n’en ai
lu
que la préface. — Hé bien, répliqua M. de Grammon
oi, je n’en ai lu que la préface. — Hé bien, répliqua M. de Grammont,
lisez
-le tout entier, et quand vous serez au bout, vous
que pour des gens véritablement zélés pour sa gloire ; il ne faut que
lire
la vie des deux grands hommes que je viens de cit
e, intendant en Poitou, envoya un cahier de remontrances que j’ai vu,
lu
et tenu. Il y représente avec sincérité la misère
de leurs richesses, et de leur trafic tant intérieur qu’extérieur. Il
lisait
des mémoires et y faisait des remarques en son pa
de Sei-gnelay, puisqu’il lui a succédé, ne les a certainement jamais
lus
, ni Monsieur de Maurepas son fils, et encore moin
lui faire confirmer en bonne compagnie. 125. Comme ceux qui pourront
lire
ces mémoires ne savent pas ce que c’est que couri
aient de si mauvais papier qu’au bout de vingt ans on ne pouvait plus
lire
ce qu’on y avait écrit. Au lieu qu’ayant du papie
aire il lui paraissait passable, il s’approchait d’une fenêtre, et le
lisait
tout haut seul à seul avec le donneur. Celui-ci c
ouvait à point nommé un scribe qui écrivait aussi vite que M. Colbert
lisait
. Après cela, bien sûr qu’il avait la copie du mém
Après cela, bien sûr qu’il avait la copie du mémoire qu’il venait de
lire
, il disait à celui qui le lui avait donné qu’on l
u net ce que le commis avait écrit sous sa dictée pendant qu’il avait
lu
. 179. Le temps du rendez-vous arrivé, le donneur
lecteur, pour peu qu’il soit judicieux, peut bien voir par ce qu’il a
lu
jusques ici que je ne m’assujettis pas à aucun or
par des gens auxquels ils sont obligés de se confier, ne pouvant pas
lire
par eux-mêmes toutes les écritures par lesquelles
gardes, fort bien dans l’esprit du Roi, et pour lors de quartier. Il
lut
le placet et se fit expliquer le tout, et comme i
tra dans la tribune du Roi. Puisque, lui dit-il, vous ne faites rien,
lisez
le placet que l’on vient de vous présenter, ce se
ais ce fut bien pis lorsque le Roi tira de sa basque ce fatal placet.
Lisez
cela, Monsieur de Mesmes, lui dit-il en le lui do
voilà des vers à votre louange. M.de Mesmes voulut ouvrir la bouche.
Lisez
, lui dit Louis en l’interrompant, après cela je v
sez, lui dit Louis en l’interrompant, après cela je vous parlerai. Il
lut
donc, et le Roi ayant repris le placet : Ce que c
ions, et à quoi ils seraient propres. Que ce portrait soit exactement
lu
par ceux qui auront droit de donner leurs voix à
i les autres subsistent, les miens doivent subsister aussi. Qu’on les
lise
, et on verra que ni les miens ni les autres n’ont
e pour leurs conférences, et que là le gouverneur de la Bastille leur
lirait
à haute voix l’intention de la Cour, et ensuite l
intention de la Cour, et ensuite l’afficherait afin qu’ils pussent la
lire
si bon leur semblait. Qu’ils y seraient avertis q
ler des parfums exquis ; en un mot, Don Quichotte n’avait jamais rien
lu
dans ses romans qu’il ne vît et ne trouvât effect
aille de Roncevaux, et ils lui répétèrent tout ce qu’il en avait déjà
lu
dans ses romans, et eux s’enquirent à leur tour d
e à la bouche. Il a rejoint son rat & est revenu sans que sa pipe
lût
éteinte. La manière dont il s’y est pris me fait
est ici le comble de l’idolâtrie & de l’impureté. Préparez-vous à
lire
quelque chose qui va vous étonner, par l’horreur
que le cœur en pense : surtout après avoir vu devant soi ce qu’on va
lire
, & que j’ai promis de rappeler. Nous avions e
pour s’habiller & célébrer : je lui ai donné mon bouquet : il l’a
lu
en riant & m’a remercié. M.Charmot le lui a d
nt, & c’était lui qu’ils voulaient manger. Je me souviens d’avoir
lu
quelque part que le lion fait fuir le tigre, &
échisse à son tour. J étais à me promener sur le bord de la mer &
lisais
mon cher Ovide, & j’en étais à l’endroit des
par les lois & éclairés des lumières de l’Évangile. Il n’y a qu’à
lire
ce que disent les commentaires qu’on attribue à J
coupable du crime de lèse-faculté. Que le lecteur traite ce qu’il va
lire
comme une vision qui m’est passée par l’esprit da
tion qui entretient, multiplie & fomente ces abus. Il ne faut que
lire
ce qu’en écrit un savant capucin, qui a pensé y ê
upli se jeta aux pieds du roi & lui présenta le placet. Le roi le
lut
: il n’était pas long ; en voici la substance. Il
scélérats qui l’avaient volé lui avaient laissé. Après que le roi eut
lu
le placet, il s’informa de l’affaire, M. de Lédig
le roi eut lu le placet, il s’informa de l’affaire, M. de Lédiguières
lut
le mémoire en entier ; & Monicault, à qui le
ait l’ombre du sens commun, cette ridicule infaillibilité. J’ai assez
lu
l’Histoire de l’Église pour savoir, de certitude,
propagation de la loi : il ne s’embarrassait point par qui le Sauveur
lût
annoncé, pourvu qu’il le fût ; Quid enim, écrit-i
ce qu ils en pensent ; mais on le connaît assez, pour peu qu’on sache
lire
, dans les yeux & l’altération du visage, les
ds la justice qui leur est due en affirmant que je n’y ai jamais rien
lu
qui ne soit conforme à la vérité. Leur style est
gions éloignées ? Que le lecteur se ressouvienne de ce qu’il vient de
lire
dans les pages 172 et suivantes. Si j’avais omis
à la corruption de leur morale impie. Je vous avoue que quoique j’aie
lu
& relu vingt fois les Lettres au Provincial,
a théologie n’est-elle pas mon fait : je n’en sais que ce que j’en ai
lu
dans des livres, qui accusent les jésuites de n’e
ey. Nous courons le Sud-Ouest. Du vendredi 23 février 1691 J’ai
lu
les Mémoires de M. de Bassompierre, et me suis se
ragan, c’est-à-dire, un coup de vent terrible. Je me souviens d’avoir
lu
, dans le Journal du règne de Henri III, que les h
de l’Oiseau parler à M. d’Aire, à présent notre commandant. Je lui ai
lu
à haute voix le procès-verbal de l’état où nous s
u’il disait était vrai, & qu’il était fort bien instruit. J’avais
lu
une partie de ce caractère des moines dans M. l’é
plus que l’abbé Tiretaine, a dit Bouchetière : je ne m’amuse point à
lire
; mais, je sais bien que les moines d’Espagne ne
assurés l’un de l’autre : & ainsi, hors de toute crainte, je lui
lis
comprendre que ce qu’elle pouvait emporter appart
eur quantité. J’ai été surpris que dans aucune des relations que j’ai
lues
on ne parlait point de ce que pouvait être devenu
pour lui seul du gingembre confit ; que je requérais que ce gingembre
lût
apporté à l’office du dessert commun, sauf à la c
s d’Eragny, vice-roi, & à M. Du Metz de Goimpi, intendant. On m’a
lu
ces lettres, qui avaient été préparées dès hier.
vés ici, leur premier soin fut d’y faire des connaissances. Cela leur
lut
aisé : tous deux bien laits d’esprit & de cor
Ainsi, Monsieur, vous pourrez avec assurance croire tout ce que vous
lirez
dans la suite, et être bien certain que le prover
comme je vous en ai prié, et qu’ainsi vous le connaîtrez avant que de
lire
ce que je vous écris à présent. A propos de Monsi
étais, je tenterais l’aventure ; du moins ai-je quelque idée d’avoir
lu
autrefois dans quelque relation, et je crois que
ongtemps à Paris sans autre occupation que la lecture. Je crois avoir
lu
toutes les relations qui ont été imprimées, tant
s que sur la religion, mais je ne me souviens point d’en avoir jamais
lu
de Messieurs des Missions Etrangères, mais oui bi
uaderait que je vise assez juste, c’est que j’ai quelque idée d’avoir
lu
autrefois que ces ennemis du peuple de Dieu immol
u lundi 3e, [juillet] Je n’écrivis point hier, et quand vous aurez
lu
ce qui suit, vous voirez bien que mon empêchement
avions eu affaire avec lui le premier qu’il nous en voulait, mais il
lira
sur nous autant qu’il put, et nous sur lui. Cette
n grand bruit comme de mousqueterie dans son entre-deux-ponts dont il
lut
tout éclairé, et vîmes en un moment ce navire en
, mais je ne m’en suis point souvenu. En effet à quoi sert à ceux qui
lisent
des relations de savoir où les navigateurs étaien
tres ce que le cœur en pense, surtout ayant vu devant soi ce que vous
lirez
dans la suite. Si j’avais été occupé à quelque ch
tombait sous quelque figure que ce fût. Je me souviens d’avoir vu et
lu
quelque part que le lion fait fuir le tigre, et q
très grosse pluie et d’une brume fort épaisse. Je me souviens d’avoir
lu
dans le Journal du règne de Henri trois que les h
’y a mené avec les principaux de ses officiers mariniers. Il m’a fait
lire
devant Monsr. d’Haire le procès-verbal qu’il m’a
s. J’ai été surpris de ce que dans aucune relation de celles que j’ai
lues
, on ne parlait point de la princesse de Siam. Je
ns un demi-quart d’heure de temps est devenu verdâtre et plombé. J’ai
lu
grâce à Dieu les Mémoires de Monsieur de Bassompi
ce que je dis. Un valet de pied de Madame la comtesse, poursuivit-il,
lisait
tout haut l’autre jour auprès de mon lit l’histoi
rbe, et empruntait pour la peindre tous les lieux communs qu’il avait
lus
dans les romans ; les roses des joues, les perles
rdre, vivants et morts. Oh pardi, dit Sancho après que son maître eut
lu
à haute voix, un cœur pur, une conscience nette,
Du pain, du pain, à la famine. Don Quichotte qui n’avait jamais rien
lu
de pareil dans ses romans, ne savait où il en éta
it point donner au lecteur l’explication de tous les prodiges qu’on a
lus
au désenchantement de Dulcinée et des autres ench
lle lui donna ; et celle-ci qui la reconnut pour être de son époux la
lut
avec empressement. Elle y trouva la confirmation
er criant à pleine tête dans l’entonnoir, avait dit ce qu’on vient de
lire
.
i était charitable, en eut beaucoup de soin. Elle lui fit apprendre à
lire
et à écrire, pour en être soulagée dans le détail
comme si elle avait fait une mauvaise action, et étant seule, elle la
lut
et y trouva ces paroles. LETTRE. Voici la sixièm
Elle était toute pleine d’or, et d’un billet qui en sortait, qu’elle
lut
. Il contenait ces mots. BILLET. Vous n’êtes poin
ant aperçu un billet qui était au haut de ce coffre, elle l’ouvrit et
lut
. BILLET. Il serait honteux, ma charmante cousine
i avait pris son nom lui avait joué ce vilain tour. — Je n’ai jamais
lu
, reprit Don Quichotte, que pareille aventure soit
la vie, que l’Espagnol rapporte, et que je passe sous silence, il lui
lut
le papier qu’il avait apporté, et lui expliqua to
gants aussi blancs que le reste, et portait un livre où il paraissait
lire
quelque chose. Il s’approcha au petit pas suivi d
’ils aient été touchés par personne. Quelques lecteurs de ceux qui ne
lisent
que pour chicaner un auteur sur un mot mal à prop
re chose, ami Sancho, reprit Don Quichotte, je voudrais que tu eusses
lu
le divin Arioste, tu verrais que l’archange Gabri
, mais un autre démon l’entreprit en lui disant : N’as-tu pas entendu
lire
par ton maître ce qui est écrit au-dessus de la p
squ’il l’avait demandée. Il me dit qu’après avoir eu tout le temps de
lire
ce que je lui avais écrit, elle était venue le re
is à mon laquais tout ce qui s’était passé entre elle et moi ; je lui
lus
les copies de ce que j’avais écrit et dicté. Je f
t dans son lit. Il se fit faire du feu, se leva en robe de chambre et
lut
d’un bout à l’autre ; imaginez-vous ce qu’il pens
tres devant ceux qui les lui ont portées, excepté la première qu’elle
lut
. Elle a fait plus, depuis ce malheureux jour, ell
enir chercher, et je sortis aussitôt. Apparemment que Madame de Londé
lut
ma lettre ; car il me fut impossible de trouver,
ort en votre présence, puisque je ne puis espérer de vous adoucir. Je
lis
mon arrêt dans vos yeux. L’exécution que j’en vai
r un carreau le plus proprement qu’il put. Après cela, en s’amusant à
lire
pour soulager son inquiétude, il attendit l’arriv
mme ils étaient trop animés pour examiner leurs paroles, le secret ne
lut
plus caché, puisqu’il fut su de tant de femmes. E
our elle : voilà des lettres de Mademoiselle Fenouil, vous pouvez les
lire
. Elles vous convaincront que je ne vous dis rien
▲