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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
rivis plusieurs fois ; elle me renvoya mes lettres cachetées sans les lire . J’allai trouver Phénice, pour savoir d’elle en q
orte que mes soins ; elle ne voulut jamais entendre parler de moi, ni lire mes lettres. Je n’avais plus d’autre moyen pour e
voici une copie qui m’a été remise en main, et que je vous supplie de lire . La marquise la prit et lut. Vous avez eu raison
emise en main, et que je vous supplie de lire. La marquise la prit et lut . Vous avez eu raison de me dire qu’il n’y a poin
Silvie Vous voyez, Madame, reprit Silvie, après que la marquise eut lu , qu’il m’était impossible d’écrire en termes plus
mme elle voulait que mes tantes en fussent instruites, elle la voulut lire tout haut sous prétexte d’en admirer le style : c
t comme je ne voulus point entrer avec lui dans aucune explication ni lire ses lettres, il s’adressa vainement à Phénice pou
elle tira en même temps un billet qu’elle donna à la marquise qui le lut . Mon départ a dû vous surprendre, mais quand vou
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
Manche, avec le plus grand mépris du monde. Mais un valet, qui avait lu une partie de l’histoire, les ramassa ; et de cel
e badaud, s’il avait véritablement vécu, et si les aventures qu’on en lisait lui étaient effectivement arrivées. Quelques Espa
droits qu’il a traduits de la suite de Don Quichotte ; ce que j’en ai lu m’est resté dans la tête, et ne m’a pas déplu ; e
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
ue voici. Madame de Terny voulut en cet endroit empêcher son époux de lire cette lettre, et n’en vint pas à bout. Au contrai
plus. Tenez, Monsieur, poursuivit-il, en la présentant à Des Ronais, lisez -la. Il la prit, et lut ce qui suit. LETTRE. Je s
oursuivit-il, en la présentant à Des Ronais, lisez-la. Il la prit, et lut ce qui suit. LETTRE. Je suis extrêmement embarra
ouvé à les faire. Dès la première fois que vous m’avez vue, vous avez lu dans mes yeux toute l’aversion que j’ai pour le c
de compliments pour mon ami, et voici celle que Clémence m’écrivait ; lisez -la s’il vous plaît. Des Ronais la prit et lut ce
Clémence m’écrivait ; lisez-la s’il vous plaît. Des Ronais la prit et lut ce qui suit. LETTRE. Votre visite m’expose aux r
it. Ce fut là que je reçus une lettre de Clémence. Je vous prie de la lire , dit-il, en parlant à Des Ronais, c’est celle qui
donna une lettre de Clémence ; la voici encore, Des Ronais la prit et lut ces mots. LETTRE. N’admirez-vous point notre mal
en instruisit. Il me donna la lettre que voici ; mais avant que de la lire , il faut savoir ce qui s’était passé. Sitôt après
ettre que je viens de vous mettre entre les mains, et que vous pouvez lire à présent. LETTRE. Je vous écris celle-ci, Monsi
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
retira de ses rêveries en lui montrant son livre, et en le forçant à lire le décret du destin. Il le prit donc, et y lut qu
e, et en le forçant à lire le décret du destin. Il le prit donc, et y lut qu’il était arrêté que cette princesse serait rel
l continua pendant une demi-heure toutes les imprécations qu’il avait lues dans ses romans ; et Cid Ruy Gomez dit qu’il les
surtout ayant le cœur préparé à l’amour par les sottises qu’il avait lues dans ses romans, et dont il avait encore la mémoi
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
Je quittai le jeu que je priai sa mère de tenir pour moi. J’allai le lire dans une chambre à côté. Il n’était pas long, ce
le se trouvait mal. Elle dit que non, et ajouta qu’elle et moi avions lu chez le libraire où sa mère nous avait trouvés le
onne n’en faisait de lui confier le bien de la société. Ma lettre fut lue publiquement, et on l’obligea de garder la montre
e le prendre. Je le pris, et lui payai le port fort grassement. Je le lus , il n’y avait que ces mots : Trouvez-vous à trois
it notre intelligence, ils me firent la guerre de mon peu de soin. Je lus ce billet et le déchirai avec tant d’indifférence
i si vous voulez, car le cœur me dit que je serai malade lorsque vous lirez ce billet-ci. J’ai craint de gagner votre mal ; e
t qui était sur la table. Ha mon Dieu ! s’écria-t-elle, après l’avoir lu  ; se peut-il qu’il ait pris feu sur une simple pl
elle, elle m’écrivit un billet qu’elle m’envoya par notre hôte. Je le lus , et me mis en devoir d’aller la trouver. En trave
est ce même papier que vous m’avez vu, et que je porte sur mon coeur. Lisez -le, dit-il, en me le donnant. Je le pris de ses m
l, en me le donnant. Je le pris de ses mains, et avec mille peines je lus ces paroles. BILLET. Je meurs, je ne m’attendais
ort. Je meurs aussi. Si je vous embrassais avant que de... Je ne pus lire que ces paroles, le reste n’étant ni formé ni de
J’ai été chez elle ; elle me l’a donné, c’est celui que vous venez de lire . Je ne vis plus présentement que dans le dessein
de quelle manière Des Prez me conta son histoire, et je ne sais point lire dans les yeux d’un homme, si sa douleur n’était t
6 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
incapable d’imposer : ainsi, on pourra croire avec assurance ce qu’on lira dans la suite ; étant fortement résolu de donner
ne dîmes rien du marché, parce que cela ne le regardait pas. Il n’en lut pas de même de M. de Combes, que nous trouvâmes c
et dont il reconnut tout d’un coup l’écriture et la signature. Il la lut toute entière, me félicita d’une si puissante pro
’offrait à tout moment un nouveau chagrin. Elle ne m’empêchait pas de lire Ovide, le plus à mon goût de tous les poètes lati
et honneur à un autre sujet que celui qui m’amène. Prenez la peine de lire  ; ou souffrez, monsieur, que je vous lise le proc
m’amène. Prenez la peine de lire ; ou souffrez, monsieur, que je vous lise le procès-verbal que voilà. Quoi ! dit M. du Ques
oyage, et une santé parfaite. Comment diable ! reprit-il, après avoir lu le procès-verbal tout bas, un fond de cale forcé 
obligé d’en rendre compte devant une autorité légitime et suprême. Je lus le procès-verbal tout haut. M.de La Chassée, comm
rbal, qui en disait assez sans que j’ouvrisse la bouche. M.Céberet le lut avec son froid ordinaire, mais il ne le garda pas
s peu d’utilité, et qui cela est de même assez indifférent à ceux qui lisent un journal. parce qu’il y a peu de lecteurs qui s
e par semaine, j’en demandai comme les autres douze à quinze. Cela me lut accordé, et Guillaume, distributeur, ayant eu ord
été saluer la belle Alcidiane. Est-ce à un homme de son caractère de lire ces sortes de livres ? et s’il a lu celui-là étan
à un homme de son caractère de lire ces sortes de livres ? et s’il a lu celui-là étant jeune, est-il de son honneur de fa
ngler et brûler les souverains du Nouveau Monde. Il est impossible de lire sans horreur les barbaries qu’ils y ont exercées,
ble d’impureté ils ont porté leur infâme lubricité. Et on ne peut pas lire non plus, sans adorer la juste vengeance de Dieu,
ce qui n’en ferait pourtant que la soixantième partie. Il n’y a qu’à lire Mézeray, le plus exact des historiens. Je retourn
la prédestination. La quantité de libelles ou petits livres que j’ai lus et que j’ai sur cette matière me donne l’idée de
il commence, je ne suis pas au bout de mes écritures, ni ceux qui le liront au bout de leur lecture, supposé qu’ils se donnen
t au bout de leur lecture, supposé qu’ils se donnent la peine de tout lire . Si on s’ennuie, il n’y a qu’à le laisser ; mais
’en dirai d’autres qui peut-être ne vaudront pas mieux que ce qu’on a lu . Ex eadem fonte pares aquae. C’est Quintilien qui
Chassée ; car pour moi, je ne me souviens point de l’avoir ni vu, ni lu dans mon Rabelais. Il n’importe, nous boirons cha
tre des êtres n’est autre chose que Dieu. Je me souviens même d’avoir lu que ce fut lui qui érigea dans Athènes cet autel
urnée, bien persuadé qu’elle m’est nécessaire pour écrire ce qu’on va lire . Pour savoir à quelle occasion ce discours fut pr
urance que j’ai été présent à quatre de leurs assemblées. Ce qu’on va lire n’est qu’une simple idée du discours qui fut fait
ars 1690 Je n’écrivis pas hier en entier tout ce que l’on vient de lire  ; je ne l’ai achevé que ce matin. Peut-être que c
’étaient rien moins qu’infaillibles. J’en ai parlé ci-dessus. Il faut lire ce qu’en disent le scélérat Machiavel, Mézeray, M
t et en chœur le grand office des Morts. Ceux qui savent le latin ont lu chacun une leçon, et les trois ecclésiastiques on
ait venir tous les officiers mariniers l’un après l’autre. Je leur ai lu à chacun l’article qui le regardait. M.de Porrièr
t qu’ils avaient reçu du magasin de l’Orient ce que je venais de leur lire , je leur ai demandé leur consommation. Ceci vous
ai-je dit. Ils ont tiré de leurs poches leurs petits régîtres, et ont lu leur consommation, un tel jour employé telle chos
m’attendaient. Un quart d’heure après, on m’a fait remonter, pour le lire tout haut : je l’ai dit, et suis redescendu dans
ue du Conseil, ils ont fait venir Bouchetière, à qui le commissaire a lu le procès-verbal. Il n’est point disconvenu des f
ette fraîcheur, et le reste, étaient également imaginaires. Je lui ai lu ensuite les pages 310 et 311 de ce journal-ci, qu
d’enfants contre leurs pères. Pour en être convaincu, il ne faut que lire Tavernier et une infinité d’autres relations qui
le : c’était au mois de janvier 1689, le surlendemain des Rois. Qu’on lise l’histoire de Hollande, on verra que Philippe duc
ont détestés ; et je ne me souviens pas que jamais Mahomet, dont j’ai lu la vie, aussi bien que son Alcoran, ait sacrifié
nation. Jephté ne fut pas même pressé de l’accomplir : il ne faut que lire le texte sacré. J’ignore dans quel endroit de l’é
ait déshonorée quand son enfant ne vivait pas. Je me souviens d’avoir lu un commentaire fait par un rabbin sur le Livre de
s. Je conviens qu’il y a des îles flottantes, supposé que ce qu’on va lire en soit. La mer, par ses brisements, son flot et
imal le plus exécrable et le plus immonde que la nature produise. Ils lurent pourtant trouvés bons, l’un à bord, l’autre à ma
ote ; mais je ne m’en suis pas souvenu. En effet, que sert à ceux qui lisent des relations de savoir positivement à quel endro
uit, [sont ? ] à peu près de la grosseur d’une moyenne aiguille. J’ai lu quelque chose d’approchant dans une relation de G
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
es. Comme celle-ci vient au sujet, je ne puis me dispenser de vous la lire . En achevant ces mots, il prit un petit coffre où
un petit coffre où il y avait plusieurs lettres, il en ouvrit une, et lut ces paroles. LETTRE. Si je me croyais, je ne vou
mais comme il l’avait en partie prévu, comme je vous l’ai dit, ayant lu quelques-unes de mes lettres, et qu’il s’y était
n’en pouvait revenir, il voulut se réconcilier avec moi, et me faire lire jusques au fond de son cœur. Après qu’il eut reçu
te que j’avais baissée ; et comme cette adresse était au-dessous, j’y lus le nom de Gauthier sans savoir en quelle ville. C
i ai écrit coup sur coup ; il m’a renvoyé toutes mes lettres sans les lire . Il fait bien pis ; car partout où il me voit, il
en avoir reçu l’impertinente lettre que voilà, et que je vous prie de lire . Elle lui mit une lettre entre les mains, il l’ou
prie de lire. Elle lui mit une lettre entre les mains, il l’ouvrit et lut . LETTRE. Le hasard vient de me découvrir votre p
s des courtisanes. Vous voyez bien, poursuivit-elle, après qu’il eut lu , que votre ami a pris tout de bon la chèvre. Vous
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
lère. J’avais reçu à midi trois grandes lettres en même temps. Je les lus , je dînai, je les relus ; et je cherchai dans ma
is reçues pour m’excuser ; il me dit brutalement, que j’aurais pu les lire tout aussi bien dans mon bureau, après l’avoir ex
t être. Je décachetai l’enveloppe dans le moment, comme si j’avais pu lire dans un lieu où je ne pouvais discerner les rues.
une écriture d’homme fort menue. Comme il me fallait du temps pour la lire , je me couchai et la lus dans mon lit. Je ne vous
menue. Comme il me fallait du temps pour la lire, je me couchai et la lus dans mon lit. Je ne vous la répéterai point, elle
ns m’arrêter à pas une. Je rêvai toute la nuit à ce que je ferais. Je lus et relus cette lettre : j’en souhaitai l’auteur a
pas vu les avis qu’on me donne : je vous les apporte, ajouta-t-elle, lisez -les, et me les rapportez tout à l’heure dans ma c
re de cette femme comme la mienne propre. Il en était en effet. Je le lus , voici ce qu’il contenait en propres termes : BI
vous, sinon moins intéressé, du moins plus continent. À peine eus-je lu ce billet, que l’envie me prit de le garder. Je t
a que fort peu de temps ; il avait subi huit interrogatoires que j’ai lus . Sa mort et la considération de fort honnêtes gen
rait cadrerait avec ce que Silvie m’en avait dit. Il les prit, et les lut d’un bout à l’autre. Après qu’il en eut achevé la
it et reprit la parole. Je suis étonné, dit-il, de ce que je viens de lire  ; mais si celui qui vous donne ces avis n’est pas
abuser ; et qu’ainsi j’avais eu raison de ne lui en rien dire. Il lui lut la lettre de Monsieur de Buringe, qui vérifiait l
ui dis-je en la relevant, mon dessein n’est plus de vous persécuter ; lisez , poursuivis-je en lui donnant cette lettre, vous
espérer jamais entre nous de réconciliation sincère. Je l’obligeai de lire cette lettre : à peine put-elle en venir à bout,
issant pas sur l’enveloppe, elle ne voulut jamais ni la prendre ni la lire , s’étant absolument condamnée elle-même à une mor
in, environ six mois après sa sortie de Paris ; voulez-vous que je la lise  ? Tout le monde l’en pria, elle était en ces term
9 (1721) Mémoires
anuscrit lui a été remis, et que j’ai vu dans son cabinet. Comme j’ai lu ce passage plusieurs fois, je le sais par cœur, e
été vif en reparties sincères. Le Roi lui dit un jour qu’il venait de lire un livre dont il était charmé. — Quel est-il, lui
ndit-il, que Votre Majesté s’occupe à la lecture. Mais avec-vous tout lu Calcondille ? — Non, répondit le Roi, je n’en ai
is avec-vous tout lu Calcondille ? — Non, répondit le Roi, je n’en ai lu que la préface. — Hé bien, répliqua M. de Grammon
oi, je n’en ai lu que la préface. — Hé bien, répliqua M. de Grammont, lisez -le tout entier, et quand vous serez au bout, vous
que pour des gens véritablement zélés pour sa gloire ; il ne faut que lire la vie des deux grands hommes que je viens de cit
e, intendant en Poitou, envoya un cahier de remontrances que j’ai vu, lu et tenu. Il y représente avec sincérité la misère
de leurs richesses, et de leur trafic tant intérieur qu’extérieur. Il lisait des mémoires et y faisait des remarques en son pa
de Sei-gnelay, puisqu’il lui a succédé, ne les a certainement jamais lus , ni Monsieur de Maurepas son fils, et encore moin
lui faire confirmer en bonne compagnie. 125. Comme ceux qui pourront lire ces mémoires ne savent pas ce que c’est que couri
aient de si mauvais papier qu’au bout de vingt ans on ne pouvait plus lire ce qu’on y avait écrit. Au lieu qu’ayant du papie
aire il lui paraissait passable, il s’approchait d’une fenêtre, et le lisait tout haut seul à seul avec le donneur. Celui-ci c
ouvait à point nommé un scribe qui écrivait aussi vite que M. Colbert lisait . Après cela, bien sûr qu’il avait la copie du mém
Après cela, bien sûr qu’il avait la copie du mémoire qu’il venait de lire , il disait à celui qui le lui avait donné qu’on l
u net ce que le commis avait écrit sous sa dictée pendant qu’il avait lu . 179. Le temps du rendez-vous arrivé, le donneur
lecteur, pour peu qu’il soit judicieux, peut bien voir par ce qu’il a lu jusques ici que je ne m’assujettis pas à aucun or
par des gens auxquels ils sont obligés de se confier, ne pouvant pas lire par eux-mêmes toutes les écritures par lesquelles
gardes, fort bien dans l’esprit du Roi, et pour lors de quartier. Il lut le placet et se fit expliquer le tout, et comme i
tra dans la tribune du Roi. Puisque, lui dit-il, vous ne faites rien, lisez le placet que l’on vient de vous présenter, ce se
ais ce fut bien pis lorsque le Roi tira de sa basque ce fatal placet. Lisez cela, Monsieur de Mesmes, lui dit-il en le lui do
voilà des vers à votre louange. M.de Mesmes voulut ouvrir la bouche. Lisez , lui dit Louis en l’interrompant, après cela je v
sez, lui dit Louis en l’interrompant, après cela je vous parlerai. Il lut donc, et le Roi ayant repris le placet : Ce que c
ions, et à quoi ils seraient propres. Que ce portrait soit exactement lu par ceux qui auront droit de donner leurs voix à
i les autres subsistent, les miens doivent subsister aussi. Qu’on les lise , et on verra que ni les miens ni les autres n’ont
e pour leurs conférences, et que là le gouverneur de la Bastille leur lirait à haute voix l’intention de la Cour, et ensuite l
intention de la Cour, et ensuite l’afficherait afin qu’ils pussent la lire si bon leur semblait. Qu’ils y seraient avertis q
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
ler des parfums exquis ; en un mot, Don Quichotte n’avait jamais rien lu dans ses romans qu’il ne vît et ne trouvât effect
aille de Roncevaux, et ils lui répétèrent tout ce qu’il en avait déjà lu dans ses romans, et eux s’enquirent à leur tour d
11 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
e à la bouche. Il a rejoint son rat & est revenu sans que sa pipe lût éteinte. La manière dont il s’y est pris me fait
est ici le comble de l’idolâtrie & de l’impureté. Préparez-vous à lire quelque chose qui va vous étonner, par l’horreur
que le cœur en pense : surtout après avoir vu devant soi ce qu’on va lire , & que j’ai promis de rappeler. Nous avions e
pour s’habiller & célébrer : je lui ai donné mon bouquet : il l’a lu en riant & m’a remercié. M.Charmot le lui a d
nt, & c’était lui qu’ils voulaient manger. Je me souviens d’avoir lu quelque part que le lion fait fuir le tigre, &
échisse à son tour. J étais à me promener sur le bord de la mer &  lisais mon cher Ovide, & j’en étais à l’endroit des
par les lois & éclairés des lumières de l’Évangile. Il n’y a qu’à lire ce que disent les commentaires qu’on attribue à J
coupable du crime de lèse-faculté. Que le lecteur traite ce qu’il va lire comme une vision qui m’est passée par l’esprit da
tion qui entretient, multiplie & fomente ces abus. Il ne faut que lire ce qu’en écrit un savant capucin, qui a pensé y ê
upli se jeta aux pieds du roi & lui présenta le placet. Le roi le lut  : il n’était pas long ; en voici la substance. Il
scélérats qui l’avaient volé lui avaient laissé. Après que le roi eut lu le placet, il s’informa de l’affaire, M. de Lédig
le roi eut lu le placet, il s’informa de l’affaire, M. de Lédiguières lut le mémoire en entier ; & Monicault, à qui le
ait l’ombre du sens commun, cette ridicule infaillibilité. J’ai assez lu l’Histoire de l’Église pour savoir, de certitude,
propagation de la loi : il ne s’embarrassait point par qui le Sauveur lût annoncé, pourvu qu’il le fût ; Quid enim, écrit-i
ce qu ils en pensent ; mais on le connaît assez, pour peu qu’on sache lire , dans les yeux & l’altération du visage, les
ds la justice qui leur est due en affirmant que je n’y ai jamais rien lu qui ne soit conforme à la vérité. Leur style est
gions éloignées ? Que le lecteur se ressouvienne de ce qu’il vient de lire dans les pages 172 et suivantes. Si j’avais omis
à la corruption de leur morale impie. Je vous avoue que quoique j’aie lu & relu vingt fois les Lettres au Provincial,
a théologie n’est-elle pas mon fait : je n’en sais que ce que j’en ai lu dans des livres, qui accusent les jésuites de n’e
ey. Nous courons le Sud-Ouest. Du vendredi 23 février 1691 J’ai lu les Mémoires de M. de Bassompierre, et me suis se
ragan, c’est-à-dire, un coup de vent terrible. Je me souviens d’avoir lu , dans le Journal du règne de Henri III, que les h
de l’Oiseau parler à M. d’Aire, à présent notre commandant. Je lui ai lu à haute voix le procès-verbal de l’état où nous s
u’il disait était vrai, & qu’il était fort bien instruit. J’avais lu une partie de ce caractère des moines dans M. l’é
plus que l’abbé Tiretaine, a dit Bouchetière : je ne m’amuse point à lire  ; mais, je sais bien que les moines d’Espagne ne
assurés l’un de l’autre : & ainsi, hors de toute crainte, je lui lis comprendre que ce qu’elle pouvait emporter appart
eur quantité. J’ai été surpris que dans aucune des relations que j’ai lues on ne parlait point de ce que pouvait être devenu
pour lui seul du gingembre confit ; que je requérais que ce gingembre lût apporté à l’office du dessert commun, sauf à la c
s d’Eragny, vice-roi, & à M. Du Metz de Goimpi, intendant. On m’a lu ces lettres, qui avaient été préparées dès hier.
vés ici, leur premier soin fut d’y faire des connaissances. Cela leur lut aisé : tous deux bien laits d’esprit & de cor
12 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
Ainsi, Monsieur, vous pourrez avec assurance croire tout ce que vous lirez dans la suite, et être bien certain que le prover
comme je vous en ai prié, et qu’ainsi vous le connaîtrez avant que de lire ce que je vous écris à présent. A propos de Monsi
étais, je tenterais l’aventure ; du moins ai-je quelque idée d’avoir lu autrefois dans quelque relation, et je crois que
ongtemps à Paris sans autre occupation que la lecture. Je crois avoir lu toutes les relations qui ont été imprimées, tant
s que sur la religion, mais je ne me souviens point d’en avoir jamais lu de Messieurs des Missions Etrangères, mais oui bi
uaderait que je vise assez juste, c’est que j’ai quelque idée d’avoir lu autrefois que ces ennemis du peuple de Dieu immol
u lundi 3e, [juillet] Je n’écrivis point hier, et quand vous aurez lu ce qui suit, vous voirez bien que mon empêchement
avions eu affaire avec lui le premier qu’il nous en voulait, mais il lira sur nous autant qu’il put, et nous sur lui. Cette
n grand bruit comme de mousqueterie dans son entre-deux-ponts dont il lut tout éclairé, et vîmes en un moment ce navire en
, mais je ne m’en suis point souvenu. En effet à quoi sert à ceux qui lisent des relations de savoir où les navigateurs étaien
tres ce que le cœur en pense, surtout ayant vu devant soi ce que vous lirez dans la suite. Si j’avais été occupé à quelque ch
tombait sous quelque figure que ce fût. Je me souviens d’avoir vu et lu quelque part que le lion fait fuir le tigre, et q
très grosse pluie et d’une brume fort épaisse. Je me souviens d’avoir lu dans le Journal du règne de Henri trois que les h
’y a mené avec les principaux de ses officiers mariniers. Il m’a fait lire devant Monsr. d’Haire le procès-verbal qu’il m’a
s. J’ai été surpris de ce que dans aucune relation de celles que j’ai lues , on ne parlait point de la princesse de Siam. Je
ns un demi-quart d’heure de temps est devenu verdâtre et plombé. J’ai lu grâce à Dieu les Mémoires de Monsieur de Bassompi
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
ce que je dis. Un valet de pied de Madame la comtesse, poursuivit-il, lisait tout haut l’autre jour auprès de mon lit l’histoi
rbe, et empruntait pour la peindre tous les lieux communs qu’il avait lus dans les romans ; les roses des joues, les perles
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
rdre, vivants et morts. Oh pardi, dit Sancho après que son maître eut lu à haute voix, un cœur pur, une conscience nette,
Du pain, du pain, à la famine. Don Quichotte qui n’avait jamais rien lu de pareil dans ses romans, ne savait où il en éta
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
it point donner au lecteur l’explication de tous les prodiges qu’on a lus au désenchantement de Dulcinée et des autres ench
lle lui donna ; et celle-ci qui la reconnut pour être de son époux la lut avec empressement. Elle y trouva la confirmation
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
er criant à pleine tête dans l’entonnoir, avait dit ce qu’on vient de lire .
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
i était charitable, en eut beaucoup de soin. Elle lui fit apprendre à lire et à écrire, pour en être soulagée dans le détail
comme si elle avait fait une mauvaise action, et étant seule, elle la lut et y trouva ces paroles. LETTRE. Voici la sixièm
Elle était toute pleine d’or, et d’un billet qui en sortait, qu’elle lut . Il contenait ces mots. BILLET. Vous n’êtes poin
ant aperçu un billet qui était au haut de ce coffre, elle l’ouvrit et lut . BILLET. Il serait honteux, ma charmante cousine
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
i avait pris son nom lui avait joué ce vilain tour. —  Je n’ai jamais lu , reprit Don Quichotte, que pareille aventure soit
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
la vie, que l’Espagnol rapporte, et que je passe sous silence, il lui lut le papier qu’il avait apporté, et lui expliqua to
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
gants aussi blancs que le reste, et portait un livre où il paraissait lire quelque chose. Il s’approcha au petit pas suivi d
21 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
’ils aient été touchés par personne. Quelques lecteurs de ceux qui ne lisent que pour chicaner un auteur sur un mot mal à prop
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
re chose, ami Sancho, reprit Don Quichotte, je voudrais que tu eusses lu le divin Arioste, tu verrais que l’archange Gabri
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
, mais un autre démon l’entreprit en lui disant : N’as-tu pas entendu lire par ton maître ce qui est écrit au-dessus de la p
24 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
squ’il l’avait demandée. Il me dit qu’après avoir eu tout le temps de lire ce que je lui avais écrit, elle était venue le re
is à mon laquais tout ce qui s’était passé entre elle et moi ; je lui lus les copies de ce que j’avais écrit et dicté. Je f
t dans son lit. Il se fit faire du feu, se leva en robe de chambre et lut d’un bout à l’autre ; imaginez-vous ce qu’il pens
tres devant ceux qui les lui ont portées, excepté la première qu’elle lut . Elle a fait plus, depuis ce malheureux jour, ell
enir chercher, et je sortis aussitôt. Apparemment que Madame de Londé lut ma lettre ; car il me fut impossible de trouver,
ort en votre présence, puisque je ne puis espérer de vous adoucir. Je lis mon arrêt dans vos yeux. L’exécution que j’en vai
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
r un carreau le plus proprement qu’il put. Après cela, en s’amusant à lire pour soulager son inquiétude, il attendit l’arriv
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
mme ils étaient trop animés pour examiner leurs paroles, le secret ne lut plus caché, puisqu’il fut su de tant de femmes. E
27 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
our elle : voilà des lettres de Mademoiselle Fenouil, vous pouvez les lire . Elles vous convaincront que je ne vous dis rien
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