e disant que je lui ferais plaisir de revenir l’après-midi quérir une
lettre
qu’elle allait écrire à son frère. Je vis sortir
n peu de mots de ce que son frère et moi avions dit. Elle me donna la
lettre
qu’elle avait écrite, qui fut pour son frère un g
il le lui avait promis. Ce fut là ce qui nous fit connaître que cette
lettre
était pour moi, et qu’elle l’avait écrite devant
des distractions plus fréquentes que jamais. Il écrivit à sa sœur une
lettre
de créance en particulier pour le porteur, par la
nvoyer. J’y ajoutai un mot de ma main qui disait la même chose. Cette
lettre
-ci devait être secrète. Il en écrivit une autre,
i écrivit rien que d’un pédagogue, parce que ne doutant pas que cette
lettre
ne fût vue de son père, il n’était pas fâché de l
u’elles ont promis par écrit. Je fus convaincu de cette vérité par la
lettre
que je reçus et que voici. Madame de Terny voulut
adame de Terny voulut en cet endroit empêcher son époux de lire cette
lettre
, et n’en vint pas à bout. Au contraire elle ne fi
lle ne fit qu’augmenter la curiosité de la compagnie ; et comme cette
lettre
était un peu forte et qu’elle avait honte d’en av
a présentant à Des Ronais, lisez-la. Il la prit, et lut ce qui suit.
LETTRE
. Je suis extrêmement embarrassée de la manière do
re ; elle ne nous sera pas inutile. Engagez-le à vous faire tenir mes
lettres
, et à me faire rendre les vôtres. Notre commerce
plaira. N’envoyez ici que des laquais bien instruits, et toujours une
lettre
dévote, parce que je suis obligée de les faire vo
cœur, des espérances et des craintes qui m’agitent. Je montrai cette
lettre
à Bernay. C’est aller bien vite, dit-il en riant
vent, et je demandai Clémence de la part de son frère. Il y avait une
lettre
de lui et une autre de moi, par laquelle je l’ins
rnai dans ce couvent l’après-midi : les deux sœurs me donnèrent leurs
lettres
, et toujours avec mes airs de niais, nous nous dî
moi bien des choses que nous seuls entendions. J’en partis chargé de
lettres
et de compliments pour mon ami, et voici celle qu
t ; lisez-la s’il vous plaît. Des Ronais la prit et lut ce qui suit.
LETTRE
. Votre visite m’expose aux risques de la pénitenc
sûreté me donnez-vous de ne me point oublier ? Dois-je en croire vos
lettres
et vos serments ? Votre départ ne les dément-il p
mer les troubles que votre seule idée conservera dans mon cœur. Votre
lettre
, votre déguisement me parlent en votre faveur. L’
înée d’une terrible manière contre les couvents. Je voudrais avoir sa
lettre
ici, pour avoir le plaisir de vous faire voir ses
une âme à Dieu en la retirant de la religion du pape ; en un mot, ma
lettre
était d’un véritable huguenot. Elle aurait assuré
de l’argent, tout ce qu’elle aurait pu vendre ; mais grâce à Dieu, ma
lettre
n’arriva que deux jours après sa mort, et j’en re
cience et ma maîtresse. Nous prîmes des mesures pour la sûreté de nos
lettres
, parce que son père était tout puissant auprès de
confia notre secret, et la pria de vouloir bien lui rendre toutes les
lettres
qui lui seraient écrites par moi sous le nom de G
à Grenoble pour les terminer tout à fait. Ce fut là que je reçus une
lettre
de Clémence. Je vous prie de la lire, dit-il, en
donné lieu à la réponse que vous avez vue qui vous a tant chagriné.
LETTRE
. Je vous avais promis de souffrir jusqu’à votre r
z de retour ; hâtez-vous de venir m’en retirer. Adressez toujours vos
lettres
à Mademoiselle Dupuis, tâchez pourtant de m’appor
e Dupuis que je trouvai toute en pleurs, à cause de l’équivoque de ma
lettre
qu’elle me conta. J’en fus au désespoir, je voulu
vous désabuser, vous n’étiez point à Paris, j’écrivis à Grenoble une
lettre
pour vous, qu’on m’a renvoyée, je n’ai pu vous jo
eur, elle me plaignit, et heureusement le lendemain elle me donna une
lettre
de Clémence ; la voici encore, Des Ronais la prit
e de Clémence ; la voici encore, Des Ronais la prit et lut ces mots.
LETTRE
. N’admirez-vous point notre malheur, mon cher ama
urs de la même voie de Mademoiselle Dupuis, pour vous faire tenir mes
lettres
, demandez-lui la continuation de ses bontés. Je s
écrivez-moi le plus souvent que vous pourrez. Je fis réponse à cette
lettre
et quoique je lui envoyasse bien plus d’argent qu
Paris, où tout s’était passé à ma satisfaction. Je fis entériner mes
lettres
de grâce ; et j’y reçus des lettres de Clémence,
atisfaction. Je fis entériner mes lettres de grâce ; et j’y reçus des
lettres
de Clémence, qui me mandait que son père ne lui d
onnus pour avoir été de ma compagnie, m’en instruisit. Il me donna la
lettre
que voici ; mais avant que de la lire, il faut sa
i faudrait pour être bien mariée, si elle pouvait me faire rendre une
lettre
, et pour arrhes de sa reconnaissance, elle lui do
romit monts et merveilles s’il voulait aller en Angleterre porter une
lettre
, et en rapporter la réponse. Le présent de deux c
z mon parent, il me dit ce que je viens de vous dire en me donnant la
lettre
que je viens de vous mettre entre les mains, et q
s de vous mettre entre les mains, et que vous pouvez lire à présent.
LETTRE
. Je vous écris celle-ci, Monsieur, sans espérance
m’a jeté dans le désespoir où je suis. Je vous ai écrit plus de vingt
lettres
, on m’a assuré que vous les avez reçues, et que v
la Trinité. Il n’y a pas un mois d’ici là. Je me suis flattée que mes
lettres
ne vous avaient point été rendues. Je me sers de
oir, conservez-vous, c’est la seule grâce que je vous demande. Cette
lettre
et le récit qu’on m’avait fait, m’épouvantèrent,
rtie, elle revint, et m’ayant dit de revenir le lendemain prendre une
lettre
qu’elle laisserait pour moi sous la housse du der
pas de longue durée. J’allai le lendemain chez Silvie pour prendre la
lettre
qu’elle avait promis de m’écrire ; sa mère ni ell
dont je vous ai parlé, où elles allaient très souvent. Au lieu d’une
lettre
que j’espérais, je ne trouvai qu’un billet de deu
rompt changement. Je lui écrivis plusieurs fois ; elle me renvoya mes
lettres
cachetées sans les lire. J’allai trouver Phénice,
mes soins ; elle ne voulut jamais entendre parler de moi, ni lire mes
lettres
. Je n’avais plus d’autre moyen pour empêcher ce f
t que vous promîtes de lui écrire ; je sais qu’il ne trouva pas votre
lettre
, mais seulement un billet, qui l’instruisait que
r lui découvrir tout mon cœur. Je n’eus pas le front de lui donner ma
lettre
en main propre, la honte m’en empêcha, et je me c
point mon écriture, n’en ayant jamais vu. Puisque c’est cette fatale
lettre
qui a causé tous mes malheurs, il faut, Madame, q
voir le désespoir dont je fus saisie le lendemain, lorsque cette même
lettre
me fut rendue par une femme qui m’assura que Mons
avec Deshayes. Dès le lendemain que Sainville avait dû recevoir cette
lettre
, la baronne entra dans ma chambre, où je feignais
ui avait rien dit que de vrai, il lui avait promis de lui apporter la
lettre
que je devais lui écrire, et qu’en effet il la lu
de toute son autorité sur l’esprit de Sainville, pour lui ôter cette
lettre
des mains, en lui promettant de la lui rendre ; m
attachement pour lui. Après cela, elle tira de son sein cette fatale
lettre
; et comme elle voulait que mes tantes en fussent
lecture ! il ne me resta de force que pour déchirer cette malheureuse
lettre
qu’elle me rendit ; je me levai toute nue, pour e
Je la remerciai du service qu’elle m’avait rendu en me rapportant ma
lettre
, et en me désabusant, et je fus la première à la
uver contre moi, puisque je ne lui avais jamais écrit que cette seule
lettre
, qui était brûlée, tout ce qu’il pourrait dire de
nt, qu’elle ne lui avait rien dit, et ne lui dirait jamais rien de la
lettre
que j’avais écrite à Sainville, et qu’elle m’avai
e ne voulus point entrer avec lui dans aucune explication ni lire ses
lettres
, il s’adressa vainement à Phénice pour me faire d
qu’il aurait pu faire. Ses soins à me faire expliquer la quantité de
lettres
qu’il m’avait écrites, et qu’on m’avait dit qu’il
promîtes de lui écrire, et lui dîtes l’endroit où vous mettriez votre
lettre
, et vous le fîtes sortir par la même chambre où é
avait entendu. Je le rassurai, et nous jetâmes notre plomb sur cette
lettre
que je me chargeai de prendre. Je mis le lendemai
quelque chose à ma coiffure, j’approchai du miroir pour prendre votre
lettre
, et y mis le billet que Sainville a dû y trouver.
que c’était dans ce dessein que nous avions gardé une copie de votre
lettre
, que voilà, et que je vous rends. Nous avions enc
Deshayes et moi, qu’il ne ferait pas semblant de rien savoir de votre
lettre
ni de votre engagement de parole, afin que vous n
ie accepta son offre sur-le-champ, et la marquise lui ayant donné une
lettre
de recommandation pour cette sœur, à qui elle écr
reprendre partout où il la trouverait. Il demanda pour cet effet une
lettre
de cachet, et les amis qu’il avait en Cour, qui i
crivit à sa sœur", et la pria d’avertir une dame qui lui rendrait une
lettre
de sa part, que l’asile qu’elle lui avait promis
lui manda. Elle écrivit aussi à Silvie que Deshayes avait obtenu une
lettre
de cachet, qui lui donnant pouvoir de la suivre o
tes de dévotions et de pèlerinages hors de sa porte. Qu’à l’égard des
lettres
et des billets doux, il les laisserait volontiers
crit tous les ordinaires, et tous les ordinaires aussi j’avais de ses
lettres
: je lui envoyais même de petits présents tels qu
le dit, et parle plus juste qu’un autre ne pourrait penser ; mais ses
lettres
l’emportent sur tout, j’en suis charmé. C’est un
out venait d’elle ; et pour les mieux convaincre, je leur montrai une
lettre
que je venais de recevoir il n’y avait pas une he
En achevant ces mots, il prit un petit coffre où il y avait plusieurs
lettres
, il en ouvrit une, et lut ces paroles. LETTRE. S
il y avait plusieurs lettres, il en ouvrit une, et lut ces paroles.
LETTRE
. Si je me croyais, je ne vous écrirais pas, je su
fensant pour moi, que cette liberté d’esprit que je remarque dans vos
lettres
, et que cette santé parfaite dont vous jouissez e
pendant de ne pas regarder votre indolence, votre sang-froid dans vos
lettres
, la longueur de votre absence, et votre parfaite
sque sur le papier. J’avais résolu de vous quereller en commençant ma
lettre
, mais votre idée qui s’est présentée à mon esprit
quelques-uns des mouvements que j’ai, lorsque je pense à vous. Cette
lettre
acheva le portrait de Mademoiselle Dupuis : les d
core près de deux mois à Angoulême ; et pendant tout ce temps-là, les
lettres
qu’elle m’écrivait furent le sujet des conversati
nfin sa manière d’écrire, et l’amour effectif qui paraissait dans ses
lettres
, lui firent autant de partisans qu’il y avait de
dessein de faire tout pour l’épouser. Dupuis avait vu quelqu’une des
lettres
que j’écrivais à sa fille sur cet article, et ava
n partie prévu, comme je vous l’ai dit, ayant lu quelques-unes de mes
lettres
, et qu’il s’y était préparé, il me répondit, que
ière fois, étant la veille de mon départ ; je lui vis écrire quelques
lettres
par la poste. Je ne m’en inquiétai point, sachant
. Il y arriva dans le moment même que j’y étais, un facteur avec deux
lettres
pour elle. Sa femme de chambre qui savait l’état
, et cela parce que je voulais lui faire une surprise, en mettant une
lettre
de ma main dans une de celles que j’avais, afin d
ous ai dit, j’étais venu descendre chez elle. J’étais prévenu que ces
lettres
ne parlaient que des affaires qui concernaient so
qui je l’avais reçue était le même qui m’en apportait chez moi. Cette
lettre
était signée par un nommé Gauthier. Cela me fit s
penser. Vous êtes sans doute en peine de savoir ce que chantait cette
lettre
, il est juste de vous le dire, en voici la copie
ettre, il est juste de vous le dire, en voici la copie mot pour mot.
LETTRE
. C’est avec la dernière joie, Mademoiselle, que j
ETTRE. C’est avec la dernière joie, Mademoiselle, que j’ai reçu votre
lettre
du 14. et que j’ai appris qu’enfin vous n’êtes pl
de ce que j’écrivis dans le transport où j’étais. Je lui renvoyai ses
lettres
sans avoir vu que celle de ce Gauthier, et lui en
nait. Cet ordre a été exécuté : elle m’a écrit, je lui ai renvoyé ses
lettres
cachetées, avec son portrait et d’autres bijoux q
nt rebutée. Je lui ai écrit coup sur coup ; il m’a renvoyé toutes mes
lettres
sans les lire. Il fait bien pis ; car partout où
des civilités que son sexe doit au mien ; et tout cela fondé sur une
lettre
que j’ai voulu mille fois lui expliquer, sans qu’
garde encore des mesures avec lui, après en avoir reçu l’impertinente
lettre
que voilà, et que je vous prie de lire. Elle lui
nente lettre que voilà, et que je vous prie de lire. Elle lui mit une
lettre
entre les mains, il l’ouvrit et lut. LETTRE. Le
e lire. Elle lui mit une lettre entre les mains, il l’ouvrit et lut.
LETTRE
. Le hasard vient de me découvrir votre perfidie,
E. Le hasard vient de me découvrir votre perfidie, je vous renvoie la
lettre
de votre cher amant, à qui j’en vais porter répon
otre manière. Je vous renvoie tout ce que j’ai à vous. J’ai brûlé vos
lettres
, votre esprit est trop fertile en galanterie, pou
r pas pitié des peines qu’il se donne à plaisir. Je n’ai montré cette
lettre
qu’à deux dames de mes amies. Si mon cousin l’ava
ce sera assurément la dernière. Concertons tout, reprit Des Frans, la
lettre
qu’il ouvrit vous était adressée ; elle cadrait à
ais ait beaucoup tort d’avoir pris feu. Il est vrai, dit-elle, que la
lettre
m’était adressée, mais il n’est pas vrai qu’elle
ur Des Ronais parle à Monsieur de Terny, qui est le Gauthier de cette
lettre
. Monsieur de Terny lui montrera de son écriture,
Et pour témoigner que vous parlez par mon ordre, voilà avec sa belle
lettre
mon portrait que je lui renvoie. Rendez-le-lui, e
vous quereller de la part de ma commère, qui est fort innocente de la
lettre
dont vous l’accusez d’être l’héroïne, et de la pa
à le portrait de la future épouse que je vous rapporte, avec la belle
lettre
que vous lui avez écrite. On vous fera connaître
îtresse, vous certifiera qu’elle l’a reçue. On vous dira pourquoi ces
lettres
étaient adressées à votre maîtresse, et pourquoi
sais par où je commencerai pour satisfaire. Comment se peut-il qu’une
lettre
qui est écrite à une fille, qui cadre si bien à s
issai pas de m’en mettre en colère. J’avais reçu à midi trois grandes
lettres
en même temps. Je les lus, je dînai, je les relus
comblai de civilités ; j’avouai que j’avais tort. Je lui montrai les
lettres
que j’avais reçues pour m’excuser ; il me dit bru
e, ce fut de m’approcher d’une bougie, et de jeter les yeux sur cette
lettre
rendue avec tant de mystère. Les premiers mots qu
e fille. On m’avertissait qu’on avait envoyé à ma mère copie de cette
lettre
, qu’on n’avait pas voulu m’adresser à moi-même au
vais dire à Silvie elle-même ce qu’on m’écrivait, sans lui montrer la
lettre
, qu’elle n’en pourrait pas disconvenir ; et qu’en
une. Je rêvai toute la nuit à ce que je ferais. Je lus et relus cette
lettre
: j’en souhaitai l’auteur au diable ; je lui voul
ce que vous avez à me dire Madame, lui dis-je, dès que je la vis ; la
lettre
que vous tenez est celle dont on me parle ici. El
t ma fille ; on engagera l’amant à m’écrire, et à mettre lui-même les
lettres
à la poste, afin qu’il se doute moins du tour. Je
ettres à la poste, afin qu’il se doute moins du tour. Je recevrai ces
lettres
là-bas ; je les montrerai, j’y répondrai, et revi
s ceux qu’elle aurait été obligée de payer, s’il en avait fait. Cette
lettre
fut rendue décachetée à Madame de Cranves par Mon
qui mon père s’était ouvert en mourant, et qui était nommé dans cette
lettre
, afin de l’obliger de solliciter auprès de sa sœu
nsieur le marquis de Buringe son frère. Elle fit voir seulement cette
lettre
à Messieurs les directeurs de l’hôpital ; et Mada
e me dire que je devrais regretter la mort de Garreau. Il avait cette
lettre
que Madame de Cranves lui avait donnée comme vous
lement sans appui, mais aussi gueuse et misérable. Il est vrai que la
lettre
de mon père reconnue par elle, pouvait en prouver
elle, pouvait en prouver la vérité : mais on aurait pu dire que cette
lettre
était supposée, ou que je l’aurais été moi-même :
sse à penser avec quelle joie. Elle mit entre les mains de Garreau la
lettre
dont je vous ai parlé, qu’elle certifia, et pria
son corps ; et je n’ai pas encore pu trouver le moyen de ravoir ni la
lettre
de défunt Monsieur le marquis de Buringe mon père
ière qui a eu l’insolence de m’en faire une par écrit. Je déchirai sa
lettre
de colère ; heureusement j’en ai retrouvé les mor
r épousée la promesse de mariage qu’elle avait faite à Garreau, et la
lettre
de Monsieur le marquis de Buringe son père à Mada
ler votre accord, afin d’avoir du temps devant moi pour concerter mes
lettres
, et mes vues. Ce fut dans ce dessein que je l’obl
re de l’endroit même où nous étions. Ce fut moi qui vous fis tenir sa
lettre
, et je lui fis jurer de ne pas démordre de sa dem
Monsieur son fils. Je comptais qu’il ne vous verrait jamais ; que mes
lettres
ne viendraient jamais jusqu’à vous ; et que tout
d’un orage près d’éclater, se dissiperont pendant votre absence. Nos
lettres
entretiendront notre commerce. Je ne prévois pas
vait été m’attendre, nous prîmes là des mesures pour la sûreté de nos
lettres
. Elle me demanda si je voulais lui permettre de g
qu’effectivement je ne regardais point cette femme de bon œil. Que la
lettre
qu’elle avait écrite à Rouvière me revenait toujo
’a fait sa proposition par écrit, et Madame Morin à qui je montrai sa
lettre
, dont je vous ai donné les morceaux, ne m’en a pa
s fois de ses nouvelles, et je lui avais écrit fort souvent, mais nos
lettres
n’étant que des assurances d’une fidélité récipro
ousés deux jours après, lorsque le lendemain du contrat, je reçus une
lettre
de Monsieur le comte de Lancy, qui me priait inst
était intéressé, et que Monsieur l’évêque de... qui m’avait donné la
lettre
de Monsieur son frère, lui rendrait compte de mon
et une plume, et pendant qu’il écrivait à Rome, j’écrivis à Silvie.
LETTRE
. Si vos larmes m’avaient été moins sensibles, je
i rendre compte de mon prompt départ. Je chargeai l’aumônier des deux
lettres
, avec ordre de ne les rendre qu’après que je sera
. Nous terminâmes à notre satisfaction. Dès le soir même je reçus une
lettre
de Madame Morin, qui me mandait que Silvie était
née deux fois le jour de mon départ, qui était celui de la date de sa
lettre
. Je demandai promptement congé, et je l’obtins pa
qui en avait de comptant, n’avait point perdu de temps, sitôt que ma
lettre
lui avait été rendue. Elle en avait porté à la po
ant ; il me semble que je retarde le courrier ; qu’il n’attend que ma
lettre
pour partir, et qu’il ne sera pas si tôt à Grenob
i-même, puisque vous n’en partirez qu’après son arrivée. Je reçus la
lettre
et l’argent. Dans le même moment j’allai retirer
le priai de me renvoyer à l’adresse de Silvie que je lui donnai, une
lettre
et de l’argent qui devaient encore me venir de la
nt que je n’eusse eu nouvelle du père carme qui devait me renvoyer la
lettre
et l’argent de ma mère, afin qu’elle crût que je
humble et très obéissante servante, Silvie de Buringe. Je pris cette
lettre
et la cachetai, après quoi je la mis devant elle.
mains des gens de justice, ou de celles des héritiers de Garreau, la
lettre
de Monsieur le marquis de Buringe à Madame de Cra
r, et de lui dire tout. Il y alla dans le moment et porta avec lui la
lettre
de Monsieur de Buringe, que nous avions retirée i
; et qu’ainsi j’avais eu raison de ne lui en rien dire. Il lui lut la
lettre
de Monsieur de Buringe, qui vérifiait le principa
ieur de Buringe ! Voilà une belle raison ! Vous avez bien retrouvé sa
lettre
, n’en pouvait-elle pas faire autant ? De dire que
ce dessein je lui écrivis que je serais bientôt à Paris. Je reçus une
lettre
d’elle qui me fait encore frémir toutes les fois
rer de liens si infâmes. Je la priai de donner elle-même à Silvie une
lettre
que j’avais résolu de lui écrire, pour l’obliger
lui ôter tous les soupçons qu’elle eût pu prendre, je lui écrivis la
lettre
la plus tendre que j’aie écrite de ma vie, et d’a
ui percer le sein. Dans ce sentiment je retournai dans sa chambre, la
lettre
de ma mère, dont je vous ai parlé, à la main. Ell
t plus de vous persécuter ; lisez, poursuivis-je en lui donnant cette
lettre
, vous verrez le conseil qu’on me donne, et que j’
ais entre nous de réconciliation sincère. Je l’obligeai de lire cette
lettre
: à peine put-elle en venir à bout, par la quanti
lui donner jusqu’à la valeur du revenu de ma terre. Je lui donnai des
lettres
de change pour des sommes très considérables à pr
les donner à mon fermier dans une boîte cachetée, il n’y avait aucune
lettre
. J’avais retrouvé ses pierreries où elle les avai
iai d’écrire à Silvie que j’oubliais tout, il le fit, et je signai la
lettre
; mais mon écriture ne lui paraissant pas sur l’e
elle s’en est doutée, et j’en suis certain. Voici, poursuivit-il, la
lettre
qu’elle écrivit à Gallouin, environ six mois aprè
que je la lise ? Tout le monde l’en pria, elle était en ces termes :
Lettre
de Silvie dans un couvent, à Gallouin. Si je n’ét
e le violez pas, ou plutôt oubliez jusqu’à mon nom. Voici la première
lettre
que vous recevez de moi, vous n’en recevrez jamai
été convertie en une pénitence sincère. Ses adieux à son époux, et sa
lettre
à Gallouin me le persuadent. Ils sont remplis d’u
que par tous les endroits où nous passions les nuits, il recevait des
lettres
. Ces manières où je ne comprenais rien, m’inquiét
on des connaisseurs. Elles est née railleuse ; mais si j’en crois ses
lettres
, les traverses de la fortune ont fait sur elle un
je suis hors du royaume, je suis instruit de tout par le commerce de
lettres
que j’ai toujours eu avec Mademoiselle Fenouil pe
vait fait toutes les avances de notre commerce. Je montrai toutes ses
lettres
, je dis la vérité telle qu’elle était ; malgré ce
e. Je sortis de prison ; je pris des mesures pour lui faire tenir mes
lettres
, et avoir ses réponses. Je me suis servi d’un ami
en est pas encore huit ; cependant comme j’ai reçu d’elle quantité de
lettres
, et que j’en ai eu une hier au soir extrêmement l
otion. Le bruit de notre aventure était assoupi, et notre commerce de
lettres
n’était point soupçonné. La manière de vie qu’ell
r d’écrire à mes parents que j’étais mort. Je leur fis mettre dans la
lettre
, que ce garçon les en avait priés avant que de mo
rents vaisseaux ; j’ai considérablement gagné, et je rapporte tout en
lettres
de change. J’ai écrit à ma maîtresse tout ce que
s dis, poursuivit-il, n’est point par flatterie pour elle : voilà des
lettres
de Mademoiselle Fenouil, vous pouvez les lire. El
endons plus que lui, et qu’il prenne la peine de venir. Il achève une
lettre
, Madame, dit ce laquais. Cela redoubla l’étonneme
le retirer d’une rêverie où il était enseveli. Je vis devant lui une
lettre
ouverte ; dont l’écriture me parut être de femme.
faire diversion à sa douleur, et pour éclaircir mes soupçons : cette
lettre
, lui dis-je, ne devait pas vous être rendue au so
us vois. Je n’ai point été malade, me dit-il, et ce n’est point cette
lettre
qui cause ma douleur, elle ne fait que l’entreten
ai publiquement, je lui envoyai une fort belle montre sonnante et une
lettre
où je ne parlais point d’amour. Je savais bien qu
uisque personne n’en faisait de lui confier le bien de la société. Ma
lettre
fut lue publiquement, et on l’obligea de garder l
me rendre. C’était tout ce que je demandais. Je lui donnai une autre
lettre
, où je déclarais mon dessein ; qu’il m’était indi
e l’eût déjà fait. Je n’y retournai que le lendemain, je préparai une
lettre
pour la fille, je la lui donnai sans qu’on le vît
lle, je la lui donnai sans qu’on le vît. Voici ce qu’elle contenait.
LETTRE
. Vos prédictions commencent à s’accomplir, Mademo
t heures, et ne finira que longtemps après midi. Je lui donnai cette
lettre
sans que personne en vît rien, et je me mis proch
re heureux. Mais de quelle manière, ajoutai-je, vous faire rendre vos
lettres
, et recevoir vos réponses ? Ce n’est pas là le pl
e plus difficile, dit-elle, j’y ai songé ; lorsque vous aurez quelque
lettre
à me donner, ne vous servez point de confident, d
ouvrirai mes fenêtres, et le soir en passant vous y pourrez jeter vos
lettres
avec assurance ; j’emporterai la clef de ma chamb
nt, et pour commencer à entrer en matière, je lui donnai à écrire des
lettres
galantes qui couraient dans ce temps-là, et lui r
jour suivant dans le même endroit où nous étions. Elle me dit que la
lettre
que je lui avais jetée la veille, l’avait mise da
mme pour son mari. Que nous étions obligés de suivre ses paroles à la
lettre
beaucoup plus que les autres gens mariés. En effe
s l’autre. Lorsqu’elle n’y était pas, mon hôtesse m’allait quérir les
lettres
qu’elle avait laissées, et j’y faisais réponse da
ble ; et sans prendre garde à ce que je faisais, je laissai tomber la
lettre
de ma femme que je venais de recevoir. Je sortis
ssant par l’endroit où je m’étais mis pour lui parler, il aperçut une
lettre
qu’il n’avait pas vue d’abord, parce que son bure
ureau sans y faire d’autre réflexion. Mais admirez la fatalité, cette
lettre
fit tomber d’autres papiers en les poussant, il l
piers en les poussant, il les ramassa encore ; et comme cette funeste
lettre
s’était ouverte entombant une seconde fois, il y
ntôt ailleurs. C’est cela, poursuivit-il, en me montrant cette fatale
lettre
, la reconnaissez-vous ? Je voulus me jeter à ses
z point empêchés de porter nos conjectures jusqu’à la vérité, par une
lettre
qu’elle lui écrivit environ six mois après son dé
s volontaire ? Oui répondit Dupuis, elle lui a écrit ; mais que cette
lettre
ne vous fasse aucune peine, Gallouin s’est rendu
outre cela il est mort. Il ne peut plus vous donner d’ombrage, et la
lettre
dont je vous parle, est ce qui l’a tout à fait dé
rrivé en mon particulier : cependant ne vous chagrinez point de cette
lettre
: elle est toute chrétienne, et d’une véritable r
onsieur Des Ronais veut être brouillé avec elle sur l’équivoque d’une
lettre
. Ma cousine a fait honnêtement tout ce qu’elle a
lais servir, qu’il connaissait très particulièrement. Il me donna une
lettre
pour lui, et ne l’ayant point trouvé à Paris, je
mée qui était commandée par Monsieur de Turenne, lorsque je reçus des
lettres
de Paris qui m’apprenaient que mon père était à l
pas la décision du procès pour terminer le charme. Je fis écrire une
lettre
d’une main inconnue que je fis adresser à la mère
avait été possible, n’ayant aucune envie de la dédire. J’y joignis la
lettre
la plus tendre que je pus, où je lui demandais pa
pît promptement. Je ne pouvais pas faire plus : je gardai copie de la
lettre
et de la promesse ; ou plutôt je ne déchirai pas
qu’il m’était honteux de lui céder. Quoi qu’il en soit, j’envoyai la
lettre
et la promesse bien cachetées ensemble, avec ordr
e prendre garde à tout ce qui se ferait. Je fis copier à cet homme la
lettre
que mon laquais avait portée à mon infidèle, avec
s les copies de ce que j’avais écrit et dicté. Je fis ajouter dans la
lettre
à Alaix, qu’on était instruit de l’oraison funèbr
, mais bien plus lorsqu’elle eut jeté les yeux sur ce que c’était. La
lettre
que je lui avais écrite, la copie de la promesse
avais écrite, la copie de la promesse que je lui avais envoyée, et la
lettre
qu’on écrivait à Alaix ne lui laissèrent plus dou
ses compagnies, et enfin qui m’a tout à fait rendu honnête homme. Une
lettre
de change que mon frère m’avait envoyée, m’avait
mais voulu rien recevoir qui vînt de ma part. Elle a brûlé toutes mes
lettres
devant ceux qui les lui ont portées, excepté la p
rès être guéri, il fut au bout de ses conjectures, lorsqu’il reçut la
lettre
qu’elle lui écrivait de son couvent. Nous poussâm
ais mon horoscope assurément. J’avoue encore qu’il m’épouvante, et la
lettre
de Silvie qui vient à la charge, et qui semble me
de Madame Gallouin, qu’elle vit son fils aîné capucin. Il consulta la
lettre
de Silvie avec son confesseur, qui l’obligea de f
cret. Je lui écrivis vingt fois, elle ne voulut prendre aucune de mes
lettres
; et quelque peine que je pusse prendre, il me fu
Madame de Londé, par le moyen de Mousson, et j’écrivis le soir cette
lettre
: LETTRE. Vous avez beau vous mettre en colère c
Londé, par le moyen de Mousson, et j’écrivis le soir cette lettre :
LETTRE
. Vous avez beau vous mettre en colère contre moi,
s qu’elle ne lui en avait pas paru persuadée. Je voulus lui donner ma
lettre
pour la lui rendre ; elle me pria de trouver bon
n’avais entendu marcher dans son antichambre. Je voulus lui donner ma
lettre
, elle la rebuta, et je la jetai décachetée à la r
son lit. Elle vit mon action, et voulait m’obliger de reprendre cette
lettre
; mais l’arrivée de cette fille qui me rapportait
ercher, et je sortis aussitôt. Apparemment que Madame de Londé lut ma
lettre
; car il me fut impossible de trouver, pendant pl
aussi fit-il tout ce qui dépendait de lui, et à la réception de cette
lettre
le marquis eut tout lieu de se louer de sa généro
lphe. Il le manda à la marquise son épouse, mais elle ne reçut pas sa
lettre
sitôt que le duc de Médoc reçut des nouvelles de
e-roi de Naples pouvait lui faire ; mais elle en fut délivrée par des
lettres
qu’elle reçut de lui, et d’autres que la duchesse
; elle y consentit fort honnêtement. Il voulut en sortant donner une
lettre
à Angélique, elle ne la prit pas, et ne fit pas m
a fut cause qu’il ne fut plus rebuté, lorsqu’il voulut lui donner une
lettre
en cachette. Elle la prit en tremblant, comme si
auvaise action, et étant seule, elle la lut et y trouva ces paroles.
LETTRE
. Voici la sixième lettre que je vous écris, belle
seule, elle la lut et y trouva ces paroles. LETTRE. Voici la sixième
lettre
que je vous écris, belle Angélique, sans savoir s
de ma mort ; c’est-à-dire avec la dernière impatience. Adieu. Cette
lettre
était d’un style à lui faire tout espérer, pourvu
vous parler. Vous savez écrire, reprit-elle, je ne refuserai pas vos
lettres
. Cependant, dit-il, vous resterez dans un état qu
l avait voulu lui dire. Il le fit, mais il ne put lui faire rendre sa
lettre
ce jour-là ni le lendemain. Il sut enfin que sa m
devenir, vous en avez trop souffert. Contentez-vous de savoir que la
lettre
qui vous a rendu fou à courir les champs, était p
nous consentons à vous dire pourquoi Mademoiselle Dupuis recevait des
lettres
qui n’étaient pas pour elle. Et comme cela ne se
il d’Espagne ayant trop de lenteur pour décider rien sur une première
lettre
, et sans avoir fait des informations exactes, sur
is il écrivit encore aux premiers du Conseil de Madrid. Il montra ses
lettres
avant que de les cacheter, qui étaient écrites av
cœur les tendres sentiments qu’elle sentait pour lui, elle reçut une
lettre
de sa part, par laquelle il lui mandait, que ne v
t d’en découvrir le sujet, et la surprit un jour qu’elle écrivait une
lettre
. C’est encore ce qu’une femme ne doit pas faire,
t d’un coup son parti, et de dire qu’elle écrivait à un parent. Cette
lettre
n’avait rien d’essentiel, n’étant pas achevée, ai
malgré moi que j’ai été mis sous la presse. Ils ont plusieurs de mes
lettres
et reconnaîtront bien mon écriture, si ceci leur
u’ils craignissent. Mais ils appréhendaient les Jésuites auxquels les
lettres
de cachet pour des exils et même des prisons ne c
t été assez fourbes pour faire imprimer qu’il s’était rétracté de ses
Lettres
au Provincial. Je suis en état autant qu’homme de
son zèle et de sa reconnaissance. On y voit par cette inscription en
lettres
d’or autour du dôme en dedans Christo nascenti à
ays leur propre défense par terre, et donner même à ce gouverneur des
lettres
de noblesse le nom en blanc, pour qu’il les distr
er qu’il pouvait tirer sur lui jusqu’à un million de livres ; que les
lettres
ne seraient point protestées, et que tout serait
t, on lui apporta des vers latins à son honneur pour y être gravés en
lettres
d’or. Il les trouva beaux, mais ne voulut point q
n aussi honnête homme que M. de LaFaluère. Il lui en fit expédier les
lettres
, et deux jours après envoya le marquis les porter
a nuit, donna à la dame une bourse de deux cents louis d’or, avec des
lettres
à Monsieur de Congy, gouverneur du Louvre, son be
rrosse prit la poste de Rouen à Paris, où il rendit à M. de Congy une
lettre
infiniment plus pressante que celle dont la mère
res du roi, il en prit une charge ; et voici ce qu’il trouva dans une
lettre
d’écriture inconnue dont il paya le port à la pos
he. Il voulut faire assembler ce même conseil pour lui communiquer la
lettre
qu’il venait de recevoir. Il passa au cabinet du
entrer dans le cabinet de Mons[ieu] r Desclouzeaux, où il me dicta la
lettre
circulaire pour faire venir les officiers au cons
ulaires au nombre de quatorze, il relut tout haut plus de dix fois le
lettre
de M. de Pontchartrain, et les exclamations qu’il
s, etc. 234. M.de Tourville jurait contre le peu de civilité de cette
lettre
. Il se plaignait que le mot de Monsieur ne fût po
Il prétendait bien leur faire leur procès, mais il n’en fut rien. Une
lettre
de la cour les fit relâcher. Mons[ieu] r Langeron
sulta avec sa propre mère, et par des canaux souterrains il y eut une
lettre
de cachet qui ordonna à Mons[ieur] et à Madame d’
i ; qui était dix mille francs plus qu’il n’avait espéré lui-même, sa
lettre
portant qu’il aurait voulu en être quitte pour di
s partis et les traités les plus criants. Il est fils d’un facteur de
lettres
ou d’un des valets de la poste. Il n’est parvenu
ès peu d’augmentation, ne consistant qu’en trois feuilles de papier à
lettres
, parce que les premiers disaient tout ce qui se p
orsqu’il fut rentré chez lui, son portier lui donna un papier plié en
lettre
et cacheté. Voici ce qu’il contenait : Le fin pa
re gorge. Que pour que cela fût fallait leur permettre le commerce de
lettres
avec qui bon leur semblerait, mais non pas de par
mais non pas de parler à personne. Que l’heure pour la réception des
lettres
qu’on leur écrirait serait fixée du moment de la
onneur & le respect qui me seraient dus, & j’exécuterais à la
lettre
le précepte de Sénèque, Age quod agis. Il m’a par
la tendresse qu’il lui avait conservée. Celui des deux qui avait une
lettre
pour elle, qui n’était point cachetée, la tira de
; fut agréablement surprise de voir que c’était à elle-même que cette
lettre
était écrite. Tant de témoins étaient croyables.
; que. cependant, il me priait de me charger d’un paquet de plusieurs
lettres
, tant pour ses parents que pour cet ami. Je l ai
Valerian les a traités d’imposteurs en Allemagne, à ce que disent les
Lettres
au Provincial. Ne plaisantons point, dit-il, en m
e impie. Je vous avoue que quoique j’aie lu & relu vingt fois les
Lettres
au Provincial, les Remontrances des curés de Pari
e. Mais tant qu’ils se mettront sur le pied de suivre l’Évangile à la
lettre
, d’imiter exactement saint Paul & les autres,
lle Compagnie aurait de ses refus : étant lui-même convaincu, par des
lettres
interceptées, que le plus grand & le plus jus
tait son nom, pour aller régenter en théologie à Bruxelles, & une
lettre
, écriture de femme, qui nous instruisit que ce sa
e nommée Marie Coignet qui lui promettait de le suivre partout. Cette
lettre
était à l’adresse du RP Germain, cordelier, au gr
es parents de prendre part à sa conduite, & leur aurais envoyé sa
lettre
. L’oubli de cette lettre était une marque du trou
t à sa conduite, & leur aurais envoyé sa lettre. L’oubli de cette
lettre
était une marque du trouble de mon fripon & d
, qui l’avions cru ainsi, ne nous étions pas trompés, & que cette
lettre
l’avait mis dans une terrible inquiétude. Revenon
s cela, il avait tout mis en œuvre pour partir ; qu’il avait pris des
lettres
de change à Paris sur Amsterdam, pour le plus d’a
vous ne pouvez comprendre quel fut mon désespoir de ne pas trouver la
lettre
que j’avais laissée dans la manche de l’habit que
t dû être fait, ne m’étant aperçu qu’à Rotterdam de la perte de cette
lettre
, que je croyais avoir mise avec mes billets de ch
maines dans des inquiétudes mortelles dont je ne fus tiré que par des
lettres
que je reçus d’Anvers. La demoiselle que j’avais
yeux sont toujours des plaisirs fatigants. Nous n’avons trouvé aucune
lettre
, ni de M. du Quesne ni d’autre, ni aucune chose q
nvenu avec M. du Quesne : chiffre aussi facile à déchiffrer que si la
lettre
était écrite en idiome vulgaire. Les Mémoires du
hamps et les lieux inhabités. » Je me sers de Pajot pour écrire cette
lettre
, & mon correspondant, qui a un autre dictionn
à ce que je crois, certain qu’il serait impossible de déchiffrer ces
lettres
, & qu’on pourrait écrire à un ambassadeur, &a
autre, ce qu’on voudrait, sans autre énigme. Ceux qui porteraient ces
lettres
ignoreraient eux-mêmes ce qu’ils porteraient : on
évenir les abus. Je retourne à l’Ascension, où nous n’avons trouvé ni
lettre
ni marque de passage. Nous y avons laissé une bou
r, qui m’envoie au Fort Saint-Pierre, à sept lieues d’ici, porter des
lettres
à M. le marquis d’Eragny, vice-roi, & à M. Du
gny, vice-roi, & à M. Du Metz de Goimpi, intendant. On m’a lu ces
lettres
, qui avaient été préparées dès hier. On me les a
e l’île & où est née Mme la marquise de Maintenon. J’y rendis les
lettres
dont j’étais chargé ; &, si j’ose le dire, je
nt criminel, ayant pris connaissance de tout, fulmina contre elle une
lettre
de cachet du Châtelet pour sortir de Paris &
j’aurai le plaisir d’y voir le marchand de Fanchon, pour qui j’ai des
lettres
. Du vendredi 3 août 1691 Le vent a tout d’u
rs dernier, dont j’ai parlé ci-dessus. Je remets mes compliments à ma
lettre
qui va partir, & me renferme à vous assurer q
nte du jour nous serons prêts de mettre à la voile. J’ai un paquet de
lettres
: je vous les envoie, et vous supplie de les fair
ais vous ne savez pas le reste, et ce qui donna lieu à la foudroyante
lettre
que je reçus de vous au Port-Louis au retour de l
oit dit par parenthèse, au nom de Dieu ne m’écrivez plus de pareilles
lettres
, à moins que vous ne soyez convaincu que j’aurai
mbre. où j’écrivis à MM. Le Mayer et Chevallier, en leur envoyant les
lettres
de change que Chaviteau et Des Herbiers m’avaient
r. Il me fit mille offres de service, qui redoublèrent à la vue d’une
lettre
de M. de Seignelay, que je fis semblant d’ouvrir
contre moi à la Compagnie. Je n’en fus informé que par votre violente
lettre
que je trouvai à Brest, au retour de l’armée. Je
t sur Albus. Je mandai à M. de Seignelay tout ce qui en était : et ma
lettre
, qui était une espèce de procès-verbal et d’apolo
et Hurtain. M.de Seignelay, suivant sa prudence ordinaire, renvoya ma
lettre
à M. Céberet, avec ordre d’entrer dans le détail
Pendant ce temps j’étais à Brest, fort impatient de savoir ce que ma
lettre
opérerait. Albus et moi, nous nous accablions de
comptais d’être bientôt auprès de MM. de Seignelay et Céberet. Votre
lettre
m’offrait à tout moment un nouveau chagrin. Elle
fit l’honneur de m’écrire qu’il était content : vous m’écrivîtes une
lettre
aussi gracieuse que l’autre était fulminante ; et
e : et me témoigna bien du regret de m’avoir attiré de votre part une
lettre
aussi chagrinante que celle que vous m’aviez écri
as tant. J’y porte le paquet que vous recevrez par la poste, avec une
lettre
pour vous ; et tout étant à cachet volant, il vou
au soir, je mis à la poste un paquet pour vous, dans lequel sont des
lettres
que je suis certain que vous ferez rendre. Il y a
nt-Évremond est un officier exilé depuis plus de trente ans, pour une
lettre
satirique contre le cardinal Mazarin. J’ai bu man
é, il faut savoir que celui qui le fit était d’une société de gens de
lettres
et d’esprit, qui s’assemblaient deux fois la sema
ont certainement fait bien du tort aux curieux et à la république des
lettres
; ce que je puis dire avec d’autant plus d’assura
iguent pas. Heureusement, j’en avais sur moi le quart d’une feuille à
lettre
. Je lui donnai et le priai d’écrire à ses gens po
res et ses papiers n’ont point été épargnés, non plus que quantité de
lettres
qu’il avait pour plusieurs personnes qui sont aux
ces histoires pourrait leur donner. Les vers de Dupuis mourant ; les
lettres
de sa fille ; celles de Madame de Terny, et celle
de le commettre : aussi cet article est-il marqué sur mon journal en
lettres
rouges ; mais ce ne sera qu’après sa mort qu’il e
elqu’occasion de vous envoyer de mes nouvelles vous en aurez, car mes
lettres
sont prêtes dès cette après-midi, tant pour vous
n prévu, nous ne sommes pas partis ; je vais à Lorient, j’emporte mes
lettres
avec moi : vous aurez la vôtre qui vous dira adie
je vous écris à présent. A propos de Monsieur Gouault, vous avez une
lettre
pour lui, je ne m’en mets point en peine : elle e
x gros navires hollandais bien chargés. Tant mieux nous donnerons des
lettres
de naturalité à quelques-uns ; Monsieur Du Quesne
irecteur général a si bien fait tant par les négociations que par les
lettres
qu’il a écrites à l’un et à l’autre, que les Fran
Pondichéry. Un peu avant que nous en partissions on y avait reçu des
lettres
de Surate venues par terre, par lesquelles on a a
ux sont toujours des plaisirs fatigants. Nous n’y avons trouvé aucune
lettre
, comme nous l’espérions, mais seulement une seule
nous rencontrer dans le chemin. Monsieur de Porrières n’y a laissé ni
lettre
ni adresse, je n’en sais point la raison. Il est
un écriteau de marbre noir sur lequel ces paroles étaient écrites en
lettres
d’or : Qui que vous soyez qui venez affronter Mer
duchesse à qui son frère avait écrit avait trouvé dans son paquet une
lettre
adressée à la marquise, qu’elle lui donna ; et ce
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