moi-même quels ils étaient, ou quels ils sont ; ceci n’étant que des
histoires
différentes que j’ai entendu raconter en différen
uis, et non pas des étrangers. Quoique je pose la scène de toutes les
histoires
à Paris, elles ne s’y sont pas toutes passées, le
de leurs amants, soit en effet une action de vertu. Mon roman et mes
histoires
, comme on voudra les appeler, tendent à une moral
faits certains, on y voit établie une partie du commerce de la vie. L’
histoire
de Des Ronais fait voir que si tous les pères et
e détourner d’autant plus les curieux des idées que la lecture de ces
histoires
pourrait leur donner. Les vers de Dupuis mourant
e ici qui leur feront condamner tout l’ouvrage ; mais la naïveté de l’
histoire
a voulu cela pour la plus grande partie, aussi bi
la veuve dit à sa sœur, dont Dupuis rapporte la conversation dans son
histoire
. J’en ai vu d’autres qui ont trouvé que cet endro
un autre, où on verra quelque chose qui ne déplaira peut-être pas. L’
histoire
de Rouvière, celle de Querville, et celles qui so
este qu’un mot à dire, qui est que le commencement ou l’entrée de mon
histoire
est un peu embrouillé pendant quatre ou cinq feui
atre ou cinq feuillets : c’est que j’ai suivi, pour la liaison de mes
histoires
, la première idée qui m’est venue dans l’esprit,
peut en provenir n’est pas essentielle, et ne se répand point sur les
histoires
qui n’ont rien d’obscur, ni d’embrouillé ; parce
ses aventures. Il faut remarquer là-dessus, que Des Frans raconte son
histoire
en présence de Madame de Londé, et que Dupuis aur
de payer souvent cet excès bien cher. 1. Ce paragraphe annonce une
histoire
apocryphe que nous ne reproduisons pas ici mais q
fidèles. Chacun pour appuyer ses sentiments par des faits raconta une
histoire
; les Espagnols en contèrent d’Espagnols, qui ava
us les Espagnols ne se ressemblaient pas, racontèrent à leur tour des
histoires
d’Espagnols qui avaient été inconstants. Les Espa
aient été inconstants. Les Espagnols leur repartirent par une foule d’
histoires
de Français qui avaient été infidèles, et les Fra
tesse, avaient assurément quelque chose de curieux aussi bien que les
histoires
qui furent récitées pour et contre ; mais pour to
être arrivée de notre temps en France même, afin de ne point mêler d’
histoires
étrangères dans nos entretiens ; et pour cet effe
u Henriquez de la Torre, avait confié ce qu’il avait pu ramasser de l’
histoire
admirable de Don Quichotte, et qu’il avait prié d
us grand mépris du monde. Mais un valet, qui avait lu une partie de l’
histoire
, les ramassa ; et de celui-ci ils sont passés à u
jurèrent l’affirmative, et le maître de celui qui avait la suite de l’
histoire
, dit au Français, que tout ce qu’on en avait écri
de même du chevalier Sancho Pança. Nous l’avons laissé qui écoutait l’
histoire
de Sainville, et il n’y a pas un lecteur qui ne s
interrompu par une demoiselle qui était la même qui avait commencé l’
histoire
de Sainville, laquelle ayant appris la qualité du
uvaient, ne permettait pas qu’on cachât rien. Ainsi elle recommença l’
histoire
de Silvie et de Sainville comme elle l’avait déjà
Histoire
de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil.
ommence, Madame, reprit Des Frans; mais avant que de vous rapporter l’
histoire
de Monsieur de Jussy, comme il me la rapporta lui
s l’exécution. Elle est savante plus qu’une fille ne doit l’être. Les
histoires
sacrées et profanes lui sont familières. Tous les
e dame en riant, nous aurons du temps pour parler de tout ; achevez l’
histoire
de Monsieur de Jussy, toute la compagnie vous en
ain le sujet que j’en ai ; pour aujourd’hui, laissez-moi poursuivre l’
histoire
de Jussy. Votre maîtresse, lui dis-je, me fait co
ge que vous, la médisance est bien mordicante ! Quand vous saurez mon
histoire
, peut-être ne me blâmerez-vous pas tant. Pour Mon
Histoire
de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épi
vions lu chez le libraire où sa mère nous avait trouvés le matin, une
histoire
de deux amants, à qui leur amour avait coûté la v
la vie. Elle avoua que cela lui laissait une idée très cruelle. Cette
histoire
inventée, ou son application ne me plut pas, je l
. Il me cita assez mal à propos ce qu’il savait de l’Écriture et de l’
Histoire
, le tout comme des malédictions de Dieu ; et enfi
Mesdames, poursuivit Dupuis, de quelle manière Des Prez me conta son
histoire
, et je ne sais point lire dans les yeux d’un homm
. Allons nous coucher, reprit Des Frans, quand vous saurez demain mon
histoire
, vous verrez si vous me conseillerez encore de me
nstance. Cette dame rougit, et témoigna avoir envie d’apprendre cette
histoire
. Des Ronais la raconta encore au mari et à la fem
s assure qu’elle et les autres à qui Monsieur Des Frans a conté votre
histoire
, meurent d’envie de vous voir aussi ; et toute la
er de vous dire pour la justification de Silvie, qu’il y a dans votre
histoire
des endroits que vous n’entendez pas vous-même. J
comment je sais ce que je sais, lorsque je raconterai à mon tour mon
histoire
, comme Madame de Contamine m’y engagea hier. Tout
agea hier. Toute la compagnie avait en effet impatience de savoir une
histoire
dont le peu de lumière qu’on en avait, paraissait
sse, poursuivit-il, lisait tout haut l’autre jour auprès de mon lit l’
histoire
du bonhomme Job, il dit que Dieu avait donné le p
ans les livres, et que peut-être le sage enchanteur qui écrivait leur
histoire
, et qui n’en oubliait pas une circonstance, serai
n de San-cho, à qui son maître fit signe de se taire, et continua son
histoire
, qui ne fait rien à celle-ci, puisqu’elle est écr
it à faire. Le duc d’Albuquerque lui dit qu’il y avait pourvu ; que l’
histoire
que la Française leur avait racontée le soir, lui
e que c’était que ce Français et lui en avait succinctement raconté l’
histoire
. Il alla le voir aussi bien que les autres, et fu
tume de donner des soufflets à la vérité, ils donneront en Europe une
histoire
de la révolution de Siam, où ils chanteront les l
est pleine de pareilles sottises & ils donnent à leurs idoles des
histoires
toutes différentes. Rendons-leur pourtant justice
del, où nous sommes : & comme c’est le même qui m’a instruit de l’
histoire
de Mado & de Coinda, des bramènes, de leurs v
an pour de Visé, digne auteur du Mercure galant, & de la ridicule
histoire
de Cara Mustapha. Ce gouverneur de Bengale est to
’un ni l’autre de mes journaux s’ils avaient été chargés de sa propre
histoire
, que je donne ici pour très vraie. Le long temps
ais, voyant que c’était une chose impossible, il a lui-même écrit son
histoire
à la Compagnie, & demandé l’alternative : ou
ai encore appris que M. Godeau dit vrai dans son troisième tome de l’
Histoire
de l’Église, quand il dit au sujet de la dispute
’ombre du sens commun, cette ridicule infaillibilité. J’ai assez lu l’
Histoire
de l’Église pour savoir, de certitude, que l’Égli
c’est un fait certain que j’avance, & qui sera prouvé par la même
histoire
que j’ai déjà promise, & que je rapporterai d
contre la nature & contre le souverain ? Pourquoi écrivent-ils l’
histoire
de cette révolte comme un effet de leur zèle pour
le sujet du mariage, je n’en sortirai point qu’après avoir raconté l’
histoire
d’un Parisien que j’ai trouvé à Pondichéry à ma s
un Hollandais pour un pucelage peut-être déjà vendu et revendu. Cette
histoire
est rapportée à la page 40. Et qu’à l’égard de le
finesse, ni malice, je ne vous le révélerais peut-être pas, quoique l’
histoire
en soit toute risible. J’étais à Surate lorsqu’el
mais ils l’exercent eux-mêmes lorsqu’ils ont la force à la main. Nos
histoires
, tant anciennes que modernes, en sont des garants
es, & que nous voulons forcer les autres d’entendre. Là-dessus, l’
Histoire
de la révocation de l’édit de Nantes est citée av
moi inconnu, excepté un nommé M. Auvrai, directeur des Aides. (Cette
histoire
est celle que j’avais promise, & qui m’a conv
lement par le zèle de la propagation de l’Évangile. ) Je contai cette
histoire
à M. de Seignelay, poursuivis-je en continuant de
e des jésuites : &, donnant carrière à la raillerie, je ramenai l’
histoire
de ceux du Canada, & ajoutai brusquement que
si bien que La Rancune du Roman comique de Scarron, des mémoires de l’
histoire
scandaleuse de tout le genre humain. Pendant que
valeur de ce qu’il m’avait pris, m’accabla d’offres ; & voici son
histoire
telle qu’il me l’a contée. Qu’il était confesseur
de vous & de vos amis. Voilà, messieurs, a continué La Chassée, l’
histoire
de mon cordelier & de sa femme, fort belle, f
les liqueurs de tout pays. C’est là que j’ai été à fond instruit de l’
histoire
des couvents, des cruautés qui s’y pratiquent, &a
a Gens est optima flens, sed pessima ridens Que le lecteur compare l’
histoire
de Henri VIII, de Marie et d’Elizabeth ses filles
fenouillette. Notre père La Chassée lui garde pour une autre fois son
histoire
avec la chanteuse de Morlaix, qui nous a déjà val
u trois flacons, et dont il l’a menacé ci-devant ; et c’est sur cette
histoire
que nous hypothéquons notre droit sur le reste de
s m’ont donné sujet de parler de Fanchon, il faut que je rapporte son
histoire
, telle qu’elle me l’a dite elle-même ; quand ce n
te & comptant d’être le lendemain à La Rochelle, elle lui fit une
histoire
de roman qui n’avait rien du tout de commun avec
Farges, qui faisaient, comme on voit, un bel emploi de leur argent. L’
histoire
que je viens d’en rapporter n’en est qu’un échant
ecevait toujours table ouverte, peut-être crainte que je ne disse son
histoire
. Cependant, je ne crois pas que ce fût ce motif q
endroit, que M. de La Chassée & moi avons appris une partie de l’
histoire
galante de la Martinique. J’en rapporterai quelqu
faudrait qu’un fort petit chanteau. J’ai promis de rapporter quelques
histoires
de celles que Fanchon nous a racontées, & je
jamais fait si je me mettais sur le pied d’écrire ce que je sais de l’
histoire
scandaleuse de plusieurs nymphes de la Martinique
Histoire
de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis
me jour. Je m’en souviens, reprit Des Frans, j’en ai entendu conter l’
histoire
par un Parisien à Lisbonne. Il n’en savait peut-ê
eprit l’aimable Dupuis, retournez chez Monsieur Des Ronais, il sait l’
histoire
de Madame, elle a bien voulu la lui dire elle-mêm
endre ni vos si ni vos mais, je veux seulement que vous m’appreniez l’
histoire
de Madame de Contamine. Vous la savez d’elle-même
n de plus. Demain vous saurez le reste et j’ai fort envie de savoir l’
histoire
de Madame de Contamine, et comment une fille que
pense à présent, et si vous voulez m’entendre, vous allez apprendre l’
histoire
que vous avez envie de savoir. Vous saurez cepend
ès belle personne, et qui m’a donné beaucoup d’envie d’apprendre leur
histoire
. Vous la saurez une autre fois, reprit Des Frans
Histoire
de Monsieur Des Frans et de Silvie. Je suis l’a
quis de Querville, beau-frère de Monsieur Des Prez, dont vous savez l’
histoire
, arriva. Comme il avait envie de vendre ses cheva
ndre intérêt, je lui demandai ce que cela voulait dire. Il me conta l’
histoire
de Silvie mot pour mot. Il la déchira sur sa cond
er : il faut être plus héros de roman que je ne suis, pour conter une
histoire
si longue d’un seul trait ; faisons une pause. Ch
savoir que j’y prisse intérêt, conta à ma mère en ma présence toute l’
histoire
de Silvie, telle que je viens de vous la dire. Ce
sent si Monsieur Des Frans le peut, je le supplie de nous achever son
histoire
, je crois que tout le monde y prend part. Je me c
rat. Nous pourrons en rire un de ces jours, à présent continuez votre
histoire
. Pour moi, reprit Des Frans, suivant que nous en
in digne de la corde. Ma mère curieuse comme une femme… Achevez votre
histoire
Monsieur, lui dit Madame de Contamine en l’interr
contraire il semblait que j’étais attaché ailleurs. Poursuivez votre
histoire
, lui dit Des Ronais, pour sauver un peu de confus
ne l’avertis point de mon retour. C’est ici le funeste endroit de mon
histoire
; préparez-vous à entendre le comble de ma honte,
t. Il n’y avait personne de ceux à qui Des Frans venait de conter son
histoire
qui n’eût les yeux baignés de larmes : et lui se
Frans à son ami, sitôt qu’ils furent seuls, vous savez à présent mon
histoire
, me conseillez-vous encore de me remarier ? Oui,
cours en ces termes. Lully, Proserpine Aréthuse… *. La suite de l’
Histoire
de Silvie est plus bas vers la fin de celle de Mr
Chapitre LI. Le jaloux trompé
Histoire
Pour ne point causer de scandale, vous me perme
qui se fussent si bien et si longtemps soutenues. Il n’importe, cette
histoire
prouve toujours deux vérités ; l’une qu’une femme
oyens d’être infidèle sitôt qu’elle aura envie de l’être. Je dois une
histoire
, poursuivit-elle, je vais m’en acquitter et vous
ils me viendront à la bouche. Ensuite elle commença dans ces termes l’
histoire
qu’elle voulait conter.
Histoire
de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Berna
assa, ce n’est point une relation que vous attendez de moi, c’est mon
histoire
particulière et celle de ma femme. Je fus blessé
belle maîtresse, et ce n’était point tant le dessein d’entendre votre
histoire
, et sa justification, qu’un véritable repentir qu
arences, et pour me faire croire mieux que je ne suis en effet. Cette
histoire
donna matière à la compagnie d’une assez longue,
us chercher. Vous nous avez promis, poursuivit-il, de nous conter son
histoire
à Monsieur Dupuis et à moi. Vous avez même souhai
Les Illustres Françaises.
Histoires
Véritables. Paris n’avait point encore l’obliga
sa maîtresse la belle Babet Fenouil : il m’a conté une partie de son
histoire
, et j’ai vu le reste. Cela doit être curieux, rep
les chagrins dont j’ai été accablé par ma faute. 5. Ceux qui aiment l’
Histoire
pourront trouver ici beaucoup d’endroits secrets,
riginal, qui pourraient tant en bien qu’en mal servir d’anecdotes à l’
Histoire
de Louis XIV ; et je puis dire que ce que j’en di
s, ils poursuivent par lui dire : Consulte, si tu veux, la primitive
Histoire
: Ce tyran dont l’Eglise abhorre la mémoire, Juli
urront me convaincre de faux ont assurément plus de connaissance de l’
histoire
que moi, et y auront fait des méditations et des
de Constance. Frère Paul ou Fra Paolo, religieux servite qui a fait l’
histoire
du concile de Trente, a pillé Jean Gerson en tout
mort, dont elle demandait à Dieu la vengeance ; et pour achever cette
histoire
, les coquins d’archers ou sergents, craignant d’ê
qui forment un scélérat effectif. Il faut voir le Mercure Français, l’
Histoire
des guerres civiles, le Journal du Palais, les Mé
t donné[s] au secrétaire furent encore perdus pour eux. Je sais cette
histoire
de M. Mabire qui me la raconta comme un de ces co
el titre il en jouissait. Pour toute réponse cette dame lui conta son
histoire
et ajouta que pendant que le président de Mesmes,
rissac lui-même qui revint le même jour de Versailles qui conta cette
histoire
en ma présence à Madame la maréchale de Castelnau
de la nourrice, et lui avoua qu’elle lui avait dit vrai ; lui conta l’
histoire
de sa naissance, et ajouta que c’était ce qui ava
onse est vraie, Bourvalais a de la lecture, car il l’a trouvée dans l’
histoire
du comte de Souches [sic], et ce fut celle que ce
père Marcel Le Blanc, seul Jésuite de bonne foi, a donné au public L’
Histoire
de la révolution de Siam, et fut assez heureux po
otifs de notre expulsion et du reste. Jurieu dit plaisamment dans son
Histoire
des croisades contre Maimbourg que tous les chefs
Pourquoi venir par un faste nouveau Réveiller à nos yeux la sacrilège
histoire
D’un scélérat indigne de mémoire, Puisque même il
claration de guerre. J’avais résolu de ne parler de ceci que dans mon
histoire
particulière, mais ce fait ici trouve si naturell
e d’entrer en explication. Il parla à ce procureur, lui dit toute son
histoire
, et lui demanda sa fille en mariage. Ce procureur
mort à Rambouillet. Varillas le dit en une infinité d’endroits de son
histoire
; mais j’étais très aise de flatter la vanité de
arda et empoisonna la belle Madame de Canges, leur belle-sœur, dont l’
histoire
a fait tant de bruit dans le monde. J’y ai vu ce
Chapitre XXXVI. Suite de l’
histoire
de Silvie et de Sainville. J’en suis resté sur
ville la lui avait sacrifiée. Cette femme était la baronne de… dont l’
histoire
a depuis peu fait trop de bruit dans le monde pou
ait été dit contre elles dans les tribunaux, à quoi elle ajouta mille
histoires
scandaleuses qui n’ont aucun fondement, mais dont
Histoire
de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. Pour
a mise dans l’état où vous me voyez. Ensuite elle lui conta toute son
histoire
qui la surprit étrangement, comme vous pouvez cro
lui demanda pardon de s’être cachée d’elle, et lui raconta toute son
histoire
devant Contamine même, qui en certifia la vérité.
le se fit conter par elle-même jusqu’à la moindre circonstance de son
histoire
, qu’Angélique poursuivit par lui faire comprendre
se faire aimer de tout le monde, et que qui que ce soit qui sait son
histoire
, ne porte envie à sa fortune, parce qu’il est con
ChapitreLII. Le mari prudent
Histoire
Cléon fut un des premiers d’une des plus riches
etirée dans son domestique. Voilà, Messieurs, continua la marquise, l’
histoire
que je vous avais promise, et à laquelle je n’ai
Histoire
de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. Puis
gle générale des romans, je dois en véritable héros vous raconter mon
histoire
après avoir appris toutes les vôtres, je vais le
e avait été quérir, que je connaissais, comme on dit, comme pain. Son
histoire
ne fait rien à celle-ci. Vous saurez seulement qu
veuve, elles ont beau faire les réservées. À cela près achevez votre
histoire
, et dorez toujours la pilule. Il n’y a plus rien
vez, je vous supplie ; je m’intéresse beaucoup dans la suite de votre
histoire
. Vous allez entendre aussi, poursuivit Dupuis, ce
on époux ne lui eût imposé silence, en priant Dupuis de continuer son
histoire
, tant pour faire diversion à la douleur de Des Fr
ompagnie. Si un autre qu’un mari, lui dis-je, me contait une pareille
histoire
, je ne la croirais assurément pas. Elle est cepen
é. Nous en parlerons une autre fois, pour le présent poursuivez votre
histoire
. Elle est au bout, reprit Dupuis ; car je crois q
ongey et de Des Frans qui se fit peu de temps après. *. Suite de l’
Histoire
de Silvie.
retira donc : la marquise coucha avec sa parente qui avait raconté l’
histoire
de Silvie, et que nous nommerons désormais Mademo
uelle manière fut interrompue la demoiselle française qui racontait l’
histoire
de Sainville et de Silvie. L’hôte faisait un brui
arrivé sur terre depuis leur enchantement. Don Quichotte qui savait l’
histoire
, le leur dit assez succinctement et assez juste,
r sur le pied qu’elle méritait de l’être, que depuis qu’il savait son
histoire
; qu’ainsi son amour n’était pas extrêmement viol
c tranquillité, c’est lui qui m’a emporté mon cabinet, où étaient les
histoires
de tout ce qu’il y a eu de chevaliers errants dan
r divers sujets, tantôt de théologie, tantôt de philosophie, tantôt d’
histoire
, et même assez souvent de galanterie et de chroni
les ennemis le prirent en même temps que le Coche. J’en rapporterai l’
histoire
lorsque nous serons au Cap : elle sera mieux qu’i
nête homme, et Albus un faquin, à qui je promets d’écrire toute cette
histoire
-ci à M. de Seignelay si le pain qui m’est nécessa
nde autant d’enfants qu’il y a de jours dans l’année ; et cela, dit l’
histoire
de Flandres, par l’imprécation d’une femme mendia
je ne laisserai pas de dire qu’il me semble que frère Paul, dans son
Histoire
du concile de Trente, veut faire entendre qu’il n
II, qui se dédit comme pape de ce qu’il avait avancé comme docteur. L’
histoire
dit pourtant qu’il était pape lorsqu’il proposa s
achiavel, Mézeray, Maimbourg, Varillas et les autres, qui ont écrit l’
histoire
du temps de ces papes. Les vaisseaux qui vont aux
était au mois de janvier 1689, le surlendemain des Rois. Qu’on lise l’
histoire
de Hollande, on verra que Philippe duc de Bourgog
favorite, et nos historiens n’ont pas jugé indigne de la gravité de l’
Histoire
de remarquer que les paysans de Provence avaient
ours été celui de la Société, lorsqu’elle a eu la force en main : nos
histoires
en font foi ; semblable à Brontin [en fait, le «
fait l’inventaire de sa bibliothèque. J’y ai volé les cinq tomes de l’
Histoire
des Juifs de la traduction de M. Arnaud d’Andilli
pleine de pareilles sottises, et ils donnent à tous leurs idoles des
histoires
différentes. Rendons-leur pourtant justice : il e
et c’est sans doute saint Thomas, comme dit Monsieur Godeau dans son
Histoire
de l’Eglise, qui est venu dans ce pays-ci, qui le
si appris que Monsieur Godeau dit vrai dans son troisième siècle de l’
Histoire
de l’Eglise, quand il dit au sujet du différend q
▲