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1 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
moi-même quels ils étaient, ou quels ils sont ; ceci n’étant que des histoires différentes que j’ai entendu raconter en différen
uis, et non pas des étrangers. Quoique je pose la scène de toutes les histoires à Paris, elles ne s’y sont pas toutes passées, le
de leurs amants, soit en effet une action de vertu. Mon roman et mes histoires , comme on voudra les appeler, tendent à une moral
faits certains, on y voit établie une partie du commerce de la vie. L’ histoire de Des Ronais fait voir que si tous les pères et
e détourner d’autant plus les curieux des idées que la lecture de ces histoires pourrait leur donner. Les vers de Dupuis mourant 
e ici qui leur feront condamner tout l’ouvrage ; mais la naïveté de l’ histoire a voulu cela pour la plus grande partie, aussi bi
la veuve dit à sa sœur, dont Dupuis rapporte la conversation dans son histoire . J’en ai vu d’autres qui ont trouvé que cet endro
un autre, où on verra quelque chose qui ne déplaira peut-être pas. L’ histoire de Rouvière, celle de Querville, et celles qui so
este qu’un mot à dire, qui est que le commencement ou l’entrée de mon histoire est un peu embrouillé pendant quatre ou cinq feui
atre ou cinq feuillets : c’est que j’ai suivi, pour la liaison de mes histoires , la première idée qui m’est venue dans l’esprit,
peut en provenir n’est pas essentielle, et ne se répand point sur les histoires qui n’ont rien d’obscur, ni d’embrouillé ; parce
ses aventures. Il faut remarquer là-dessus, que Des Frans raconte son histoire en présence de Madame de Londé, et que Dupuis aur
de payer souvent cet excès bien cher. 1. Ce paragraphe annonce une histoire apocryphe que nous ne reproduisons pas ici mais q
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
fidèles. Chacun pour appuyer ses sentiments par des faits raconta une histoire  ; les Espagnols en contèrent d’Espagnols, qui ava
us les Espagnols ne se ressemblaient pas, racontèrent à leur tour des histoires d’Espagnols qui avaient été inconstants. Les Espa
aient été inconstants. Les Espagnols leur repartirent par une foule d’ histoires de Français qui avaient été infidèles, et les Fra
tesse, avaient assurément quelque chose de curieux aussi bien que les histoires qui furent récitées pour et contre ; mais pour to
être arrivée de notre temps en France même, afin de ne point mêler d’ histoires étrangères dans nos entretiens ; et pour cet effe
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
u Henriquez de la Torre, avait confié ce qu’il avait pu ramasser de l’ histoire admirable de Don Quichotte, et qu’il avait prié d
us grand mépris du monde. Mais un valet, qui avait lu une partie de l’ histoire , les ramassa ; et de celui-ci ils sont passés à u
jurèrent l’affirmative, et le maître de celui qui avait la suite de l’ histoire , dit au Français, que tout ce qu’on en avait écri
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
de même du chevalier Sancho Pança. Nous l’avons laissé qui écoutait l’ histoire de Sainville, et il n’y a pas un lecteur qui ne s
interrompu par une demoiselle qui était la même qui avait commencé l’ histoire de Sainville, laquelle ayant appris la qualité du
uvaient, ne permettait pas qu’on cachât rien. Ainsi elle recommença l’ histoire de Silvie et de Sainville comme elle l’avait déjà
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil.
ommence, Madame, reprit Des Frans; mais avant que de vous rapporter l’ histoire de Monsieur de Jussy, comme il me la rapporta lui
s l’exécution. Elle est savante plus qu’une fille ne doit l’être. Les histoires sacrées et profanes lui sont familières. Tous les
e dame en riant, nous aurons du temps pour parler de tout ; achevez l’ histoire de Monsieur de Jussy, toute la compagnie vous en
ain le sujet que j’en ai ; pour aujourd’hui, laissez-moi poursuivre l’ histoire de Jussy. Votre maîtresse, lui dis-je, me fait co
ge que vous, la médisance est bien mordicante ! Quand vous saurez mon histoire , peut-être ne me blâmerez-vous pas tant. Pour Mon
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épi
vions lu chez le libraire où sa mère nous avait trouvés le matin, une histoire de deux amants, à qui leur amour avait coûté la v
la vie. Elle avoua que cela lui laissait une idée très cruelle. Cette histoire inventée, ou son application ne me plut pas, je l
. Il me cita assez mal à propos ce qu’il savait de l’Écriture et de l’ Histoire , le tout comme des malédictions de Dieu ; et enfi
Mesdames, poursuivit Dupuis, de quelle manière Des Prez me conta son histoire , et je ne sais point lire dans les yeux d’un homm
. Allons nous coucher, reprit Des Frans, quand vous saurez demain mon histoire , vous verrez si vous me conseillerez encore de me
nstance. Cette dame rougit, et témoigna avoir envie d’apprendre cette histoire . Des Ronais la raconta encore au mari et à la fem
s assure qu’elle et les autres à qui Monsieur Des Frans a conté votre histoire , meurent d’envie de vous voir aussi ; et toute la
er de vous dire pour la justification de Silvie, qu’il y a dans votre histoire des endroits que vous n’entendez pas vous-même. J
comment je sais ce que je sais, lorsque je raconterai à mon tour mon histoire , comme Madame de Contamine m’y engagea hier. Tout
agea hier. Toute la compagnie avait en effet impatience de savoir une histoire dont le peu de lumière qu’on en avait, paraissait
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
sse, poursuivit-il, lisait tout haut l’autre jour auprès de mon lit l’ histoire du bonhomme Job, il dit que Dieu avait donné le p
ans les livres, et que peut-être le sage enchanteur qui écrivait leur histoire , et qui n’en oubliait pas une circonstance, serai
n de San-cho, à qui son maître fit signe de se taire, et continua son histoire , qui ne fait rien à celle-ci, puisqu’elle est écr
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
it à faire. Le duc d’Albuquerque lui dit qu’il y avait pourvu ; que l’ histoire que la Française leur avait racontée le soir, lui
e que c’était que ce Français et lui en avait succinctement raconté l’ histoire . Il alla le voir aussi bien que les autres, et fu
9 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
tume de donner des soufflets à la vérité, ils donneront en Europe une histoire de la révolution de Siam, où ils chanteront les l
est pleine de pareilles sottises & ils donnent à leurs idoles des histoires toutes différentes. Rendons-leur pourtant justice
del, où nous sommes : & comme c’est le même qui m’a instruit de l’ histoire de Mado & de Coinda, des bramènes, de leurs v
an pour de Visé, digne auteur du Mercure galant, & de la ridicule histoire de Cara Mustapha. Ce gouverneur de Bengale est to
’un ni l’autre de mes journaux s’ils avaient été chargés de sa propre histoire , que je donne ici pour très vraie. Le long temps
ais, voyant que c’était une chose impossible, il a lui-même écrit son histoire à la Compagnie, & demandé l’alternative : ou
ai encore appris que M. Godeau dit vrai dans son troisième tome de l’ Histoire de l’Église, quand il dit au sujet de la dispute
’ombre du sens commun, cette ridicule infaillibilité. J’ai assez lu l’ Histoire de l’Église pour savoir, de certitude, que l’Égli
c’est un fait certain que j’avance, & qui sera prouvé par la même histoire que j’ai déjà promise, & que je rapporterai d
contre la nature & contre le souverain ? Pourquoi écrivent-ils l’ histoire de cette révolte comme un effet de leur zèle pour
le sujet du mariage, je n’en sortirai point qu’après avoir raconté l’ histoire d’un Parisien que j’ai trouvé à Pondichéry à ma s
un Hollandais pour un pucelage peut-être déjà vendu et revendu. Cette histoire est rapportée à la page 40. Et qu’à l’égard de le
finesse, ni malice, je ne vous le révélerais peut-être pas, quoique l’ histoire en soit toute risible. J’étais à Surate lorsqu’el
mais ils l’exercent eux-mêmes lorsqu’ils ont la force à la main. Nos histoires , tant anciennes que modernes, en sont des garants
es, & que nous voulons forcer les autres d’entendre. Là-dessus, l’ Histoire de la révocation de l’édit de Nantes est citée av
moi inconnu, excepté un nommé M. Auvrai, directeur des Aides. (Cette histoire est celle que j’avais promise, & qui m’a conv
lement par le zèle de la propagation de l’Évangile. ) Je contai cette histoire à M. de Seignelay, poursuivis-je en continuant de
e des jésuites : &, donnant carrière à la raillerie, je ramenai l’ histoire de ceux du Canada, & ajoutai brusquement que
si bien que La Rancune du Roman comique de Scarron, des mémoires de l’ histoire scandaleuse de tout le genre humain. Pendant que
valeur de ce qu’il m’avait pris, m’accabla d’offres ; & voici son histoire telle qu’il me l’a contée. Qu’il était confesseur
de vous & de vos amis. Voilà, messieurs, a continué La Chassée, l’ histoire de mon cordelier & de sa femme, fort belle, f
les liqueurs de tout pays. C’est là que j’ai été à fond instruit de l’ histoire des couvents, des cruautés qui s’y pratiquent, &a
a Gens est optima flens, sed pessima ridens Que le lecteur compare l’ histoire de Henri VIII, de Marie et d’Elizabeth ses filles
fenouillette. Notre père La Chassée lui garde pour une autre fois son histoire avec la chanteuse de Morlaix, qui nous a déjà val
u trois flacons, et dont il l’a menacé ci-devant ; et c’est sur cette histoire que nous hypothéquons notre droit sur le reste de
s m’ont donné sujet de parler de Fanchon, il faut que je rapporte son histoire , telle qu’elle me l’a dite elle-même ; quand ce n
te & comptant d’être le lendemain à La Rochelle, elle lui fit une histoire de roman qui n’avait rien du tout de commun avec
Farges, qui faisaient, comme on voit, un bel emploi de leur argent. L’ histoire que je viens d’en rapporter n’en est qu’un échant
ecevait toujours table ouverte, peut-être crainte que je ne disse son histoire . Cependant, je ne crois pas que ce fût ce motif q
endroit, que M. de La Chassée & moi avons appris une partie de l’ histoire galante de la Martinique. J’en rapporterai quelqu
faudrait qu’un fort petit chanteau. J’ai promis de rapporter quelques histoires de celles que Fanchon nous a racontées, & je
jamais fait si je me mettais sur le pied d’écrire ce que je sais de l’ histoire scandaleuse de plusieurs nymphes de la Martinique
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis
me jour. Je m’en souviens, reprit Des Frans, j’en ai entendu conter l’ histoire par un Parisien à Lisbonne. Il n’en savait peut-ê
eprit l’aimable Dupuis, retournez chez Monsieur Des Ronais, il sait l’ histoire de Madame, elle a bien voulu la lui dire elle-mêm
endre ni vos si ni vos mais, je veux seulement que vous m’appreniez l’ histoire de Madame de Contamine. Vous la savez d’elle-même
n de plus. Demain vous saurez le reste et j’ai fort envie de savoir l’ histoire de Madame de Contamine, et comment une fille que
pense à présent, et si vous voulez m’entendre, vous allez apprendre l’ histoire que vous avez envie de savoir. Vous saurez cepend
ès belle personne, et qui m’a donné beaucoup d’envie d’apprendre leur histoire . Vous la saurez une autre fois, reprit Des Frans 
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. Je suis l’a
quis de Querville, beau-frère de Monsieur Des Prez, dont vous savez l’ histoire , arriva. Comme il avait envie de vendre ses cheva
ndre intérêt, je lui demandai ce que cela voulait dire. Il me conta l’ histoire de Silvie mot pour mot. Il la déchira sur sa cond
er : il faut être plus héros de roman que je ne suis, pour conter une histoire si longue d’un seul trait ; faisons une pause. Ch
savoir que j’y prisse intérêt, conta à ma mère en ma présence toute l’ histoire de Silvie, telle que je viens de vous la dire. Ce
sent si Monsieur Des Frans le peut, je le supplie de nous achever son histoire , je crois que tout le monde y prend part. Je me c
rat. Nous pourrons en rire un de ces jours, à présent continuez votre histoire . Pour moi, reprit Des Frans, suivant que nous en
in digne de la corde. Ma mère curieuse comme une femme… Achevez votre histoire Monsieur, lui dit Madame de Contamine en l’interr
contraire il semblait que j’étais attaché ailleurs. Poursuivez votre histoire , lui dit Des Ronais, pour sauver un peu de confus
ne l’avertis point de mon retour. C’est ici le funeste endroit de mon histoire  ; préparez-vous à entendre le comble de ma honte,
t. Il n’y avait personne de ceux à qui Des Frans venait de conter son histoire qui n’eût les yeux baignés de larmes : et lui se
Frans à son ami, sitôt qu’ils furent seuls, vous savez à présent mon histoire , me conseillez-vous encore de me remarier ? Oui,
cours en ces termes. Lully, Proserpine Aréthuse… *. La suite de l’ Histoire de Silvie est plus bas vers la fin de celle de Mr
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
Chapitre LI. Le jaloux trompé Histoire Pour ne point causer de scandale, vous me perme
qui se fussent si bien et si longtemps soutenues. Il n’importe, cette histoire prouve toujours deux vérités ; l’une qu’une femme
oyens d’être infidèle sitôt qu’elle aura envie de l’être. Je dois une histoire , poursuivit-elle, je vais m’en acquitter et vous
ils me viendront à la bouche. Ensuite elle commença dans ces termes l’ histoire qu’elle voulait conter.
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Berna
assa, ce n’est point une relation que vous attendez de moi, c’est mon histoire particulière et celle de ma femme. Je fus blessé
belle maîtresse, et ce n’était point tant le dessein d’entendre votre histoire , et sa justification, qu’un véritable repentir qu
arences, et pour me faire croire mieux que je ne suis en effet. Cette histoire donna matière à la compagnie d’une assez longue,
us chercher. Vous nous avez promis, poursuivit-il, de nous conter son histoire à Monsieur Dupuis et à moi. Vous avez même souhai
14 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. Paris n’avait point encore l’obliga
sa maîtresse la belle Babet Fenouil : il m’a conté une partie de son histoire , et j’ai vu le reste. Cela doit être curieux, rep
15 (1721) Mémoires
les chagrins dont j’ai été accablé par ma faute. 5. Ceux qui aiment l’ Histoire pourront trouver ici beaucoup d’endroits secrets,
riginal, qui pourraient tant en bien qu’en mal servir d’anecdotes à l’ Histoire de Louis XIV ; et je puis dire que ce que j’en di
s, ils poursuivent par lui dire : Consulte, si tu veux, la primitive Histoire  : Ce tyran dont l’Eglise abhorre la mémoire, Juli
urront me convaincre de faux ont assurément plus de connaissance de l’ histoire que moi, et y auront fait des méditations et des
de Constance. Frère Paul ou Fra Paolo, religieux servite qui a fait l’ histoire du concile de Trente, a pillé Jean Gerson en tout
mort, dont elle demandait à Dieu la vengeance ; et pour achever cette histoire , les coquins d’archers ou sergents, craignant d’ê
qui forment un scélérat effectif. Il faut voir le Mercure Français, l’ Histoire des guerres civiles, le Journal du Palais, les Mé
t donné[s] au secrétaire furent encore perdus pour eux. Je sais cette histoire de M. Mabire qui me la raconta comme un de ces co
el titre il en jouissait. Pour toute réponse cette dame lui conta son histoire et ajouta que pendant que le président de Mesmes,
rissac lui-même qui revint le même jour de Versailles qui conta cette histoire en ma présence à Madame la maréchale de Castelnau
de la nourrice, et lui avoua qu’elle lui avait dit vrai ; lui conta l’ histoire de sa naissance, et ajouta que c’était ce qui ava
onse est vraie, Bourvalais a de la lecture, car il l’a trouvée dans l’ histoire du comte de Souches [sic], et ce fut celle que ce
père Marcel Le Blanc, seul Jésuite de bonne foi, a donné au public L’ Histoire de la révolution de Siam, et fut assez heureux po
otifs de notre expulsion et du reste. Jurieu dit plaisamment dans son Histoire des croisades contre Maimbourg que tous les chefs
Pourquoi venir par un faste nouveau Réveiller à nos yeux la sacrilège histoire D’un scélérat indigne de mémoire, Puisque même il
claration de guerre. J’avais résolu de ne parler de ceci que dans mon histoire particulière, mais ce fait ici trouve si naturell
e d’entrer en explication. Il parla à ce procureur, lui dit toute son histoire , et lui demanda sa fille en mariage. Ce procureur
mort à Rambouillet. Varillas le dit en une infinité d’endroits de son histoire  ; mais j’étais très aise de flatter la vanité de
arda et empoisonna la belle Madame de Canges, leur belle-sœur, dont l’ histoire a fait tant de bruit dans le monde. J’y ai vu ce
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
Chapitre XXXVI. Suite de l’ histoire de Silvie et de Sainville. J’en suis resté sur
ville la lui avait sacrifiée. Cette femme était la baronne de… dont l’ histoire a depuis peu fait trop de bruit dans le monde pou
ait été dit contre elles dans les tribunaux, à quoi elle ajouta mille histoires scandaleuses qui n’ont aucun fondement, mais dont
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. Pour
a mise dans l’état où vous me voyez. Ensuite elle lui conta toute son histoire qui la surprit étrangement, comme vous pouvez cro
lui demanda pardon de s’être cachée d’elle, et lui raconta toute son histoire devant Contamine même, qui en certifia la vérité.
le se fit conter par elle-même jusqu’à la moindre circonstance de son histoire , qu’Angélique poursuivit par lui faire comprendre
se faire aimer de tout le monde, et que qui que ce soit qui sait son histoire , ne porte envie à sa fortune, parce qu’il est con
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ChapitreLII. Le mari prudent Histoire Cléon fut un des premiers d’une des plus riches
etirée dans son domestique. Voilà, Messieurs, continua la marquise, l’ histoire que je vous avais promise, et à laquelle je n’ai
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. Puis
gle générale des romans, je dois en véritable héros vous raconter mon histoire après avoir appris toutes les vôtres, je vais le
e avait été quérir, que je connaissais, comme on dit, comme pain. Son histoire ne fait rien à celle-ci. Vous saurez seulement qu
veuve, elles ont beau faire les réservées. À cela près achevez votre histoire , et dorez toujours la pilule. Il n’y a plus rien
vez, je vous supplie ; je m’intéresse beaucoup dans la suite de votre histoire . Vous allez entendre aussi, poursuivit Dupuis, ce
on époux ne lui eût imposé silence, en priant Dupuis de continuer son histoire , tant pour faire diversion à la douleur de Des Fr
ompagnie. Si un autre qu’un mari, lui dis-je, me contait une pareille histoire , je ne la croirais assurément pas. Elle est cepen
é. Nous en parlerons une autre fois, pour le présent poursuivez votre histoire . Elle est au bout, reprit Dupuis ; car je crois q
ongey et de Des Frans qui se fit peu de temps après. *. Suite de l’ Histoire de Silvie.
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
retira donc : la marquise coucha avec sa parente qui avait raconté l’ histoire de Silvie, et que nous nommerons désormais Mademo
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
uelle manière fut interrompue la demoiselle française qui racontait l’ histoire de Sainville et de Silvie. L’hôte faisait un brui
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
arrivé sur terre depuis leur enchantement. Don Quichotte qui savait l’ histoire , le leur dit assez succinctement et assez juste,
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
r sur le pied qu’elle méritait de l’être, que depuis qu’il savait son histoire  ; qu’ainsi son amour n’était pas extrêmement viol
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
c tranquillité, c’est lui qui m’a emporté mon cabinet, où étaient les histoires de tout ce qu’il y a eu de chevaliers errants dan
25 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
r divers sujets, tantôt de théologie, tantôt de philosophie, tantôt d’ histoire , et même assez souvent de galanterie et de chroni
les ennemis le prirent en même temps que le Coche. J’en rapporterai l’ histoire lorsque nous serons au Cap : elle sera mieux qu’i
nête homme, et Albus un faquin, à qui je promets d’écrire toute cette histoire -ci à M. de Seignelay si le pain qui m’est nécessa
nde autant d’enfants qu’il y a de jours dans l’année ; et cela, dit l’ histoire de Flandres, par l’imprécation d’une femme mendia
je ne laisserai pas de dire qu’il me semble que frère Paul, dans son Histoire du concile de Trente, veut faire entendre qu’il n
II, qui se dédit comme pape de ce qu’il avait avancé comme docteur. L’ histoire dit pourtant qu’il était pape lorsqu’il proposa s
achiavel, Mézeray, Maimbourg, Varillas et les autres, qui ont écrit l’ histoire du temps de ces papes. Les vaisseaux qui vont aux
était au mois de janvier 1689, le surlendemain des Rois. Qu’on lise l’ histoire de Hollande, on verra que Philippe duc de Bourgog
favorite, et nos historiens n’ont pas jugé indigne de la gravité de l’ Histoire de remarquer que les paysans de Provence avaient
ours été celui de la Société, lorsqu’elle a eu la force en main : nos histoires en font foi ; semblable à Brontin [en fait, le « 
fait l’inventaire de sa bibliothèque. J’y ai volé les cinq tomes de l’ Histoire des Juifs de la traduction de M. Arnaud d’Andilli
26 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
pleine de pareilles sottises, et ils donnent à tous leurs idoles des histoires différentes. Rendons-leur pourtant justice : il e
et c’est sans doute saint Thomas, comme dit Monsieur Godeau dans son Histoire de l’Eglise, qui est venu dans ce pays-ci, qui le
si appris que Monsieur Godeau dit vrai dans son troisième siècle de l’ Histoire de l’Eglise, quand il dit au sujet du différend q
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