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1 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
qui vous dira adieu de ma part. Du lundi 27. [février] J’allai hier à Lorient ; je ne parlai point à Monsieur Céberet
ui les terres de Madère. Du jeudi 9e [mars] Nous ne vîmes point hier la terre de Madère comme nous l’espérions, mais n
si je me contentai de voir et d’assister à la procession, car c’était hier le dimanche des Rameaux. Les palmes qu’ils avaien
nt du Messie, lorsqu’il entra dans Jérusalem, dont l’Eglise célébrait hier la commémoration. Vous saurez de plus que si le r
petite muraille dont je parlerai dans la suite. Je ne vis point cela hier au soir, ne voyant que peu, quoique la lune fût b
atelot à qui j’ai parlé il n’y a pas une heure. Le pauvre garçon vint hier au gouvernail. Le chaud est si étouffant qu’on ne
se fait sous la Ligne et que les matelots nomment baptême. On demanda hier à Monsieur le Commandeur la permission de la fair
ue du Capricorne est passé, le vent est bon et s’est rafraîchi depuis hier . Vous écrirai-je toujours quelque chose de funest
[mai] Même vent, nous reculons au lieu d’avancer. Ce vent commença hier qui était le premier de la lune, il pourrait bien
e la Trinité 21 [mai] Le vent est toujours Nord et s’est rafraîchi hier au soir d’une telle force que personne n’a pu clo
ons quatre coups de chaque main pour hausser le temps. Nous fourrâmes hier le vent de Sud dans nos bouteilles, il en est ven
ien faible. Du mardi 13 [juin] Le vent est mort. Il a calmé dès hier au soir, point de vent ni cette nuit ni toute la
lui. Du jeudi 22. [juin] Il est venu aujourd’hui aussi bien qu’ hier des Noirs à bord, qui ont apporté des cabris et d
as bon. Juillet 1690 Du samedi premier. juillet Je revins hier au soir de terre où j’ai resté depuis jeudi 22e d
r. Du dimanche 2e. ou du lundi 3e, [juillet] Je n’écrivis point hier , et quand vous aurez lu ce qui suit, vous voirez
voirez bien que mon empêchement était légitime. Nous [nous] partîmes hier matin de Moali où nous avions remouillé. Le vent
vent et nous n’allons pas mal. L’agitation du combat, et le travail d’ hier , m’ont fait si bien dormir cette nuit que ma fièv
mière pointe du jour, nous avons aperçu le même navire que nous vîmes hier au soir il ne se méfiait point de nous, car il au
s notre faute car nous sommes fort bien intentionnés. Nous mouillâmes hier au soir afin de ne pas aller plus loin que de bes
grand Roi qui en est l’âme. Du vendredi 25e. [août] On nous dit hier que nous tirerions du canon, on ne nous a pas tro
ngale que nous allons chercher. Il est certain que les ennemis furent hier battus. Ce qui nous le persuade c’est qu’ils ont
sans branler que nous ayons pris à leur vue le navire que je vous dis hier que nous voyions, et lequel était sur notre route
vent nous allons bien grâce à Dieu. Le navire anglais que nous prîmes hier aurait été métamorphosé en brûlot si il avait été
ne sommes point heureux de n’avoir pas pris le navire que nous vîmes hier et que nous voyons encore. On a envoyé les chalou
’eau. Du samedi 2e. [septembre] Nous avons remis à la voile dès hier au soir, et avons remouillé aujourd’hui parce que
te terre de Balassor. Du mardi 19e. [septembre] Nous mouillâmes hier au soir parce qu’il n’y avait point de vent. La l
e a commencé, et trois heures lorsqu’elle a fini de la même journée d’ hier , y ayant entre vous et nous environ six heures de
contraire et que nous sommes proche de terre. Nous étions six navires hier de compagnie ; nous ne sommes plus que deux, le F
t cassé à coups de canon nos fouesnes et nos arpons. Il ne plut point hier , mais le ciel vient de nous payer pour hier et po
arpons. Il ne plut point hier, mais le ciel vient de nous payer pour hier et pour aujourd’hui. Cette pluie nous fait plaisi
r à Paris. Du mercredi 27. [septembre] J’avais clos l’article d’ hier , mais je n’avais pas songé que l’heure de la plui
bre Toujours même vent. Nous n’avons point revu les deux navires d’ hier . Du lundi 2 [octobre] Le vent continuant to
haleur excessive. Du mercredi 11e. [octobre] Le ciel se couvrit hier au soir ; il a plu toute la nuit, et aujourd’hui
ons la route de Merguy. Du samedi 14e. [octobre] Nous fîmes mal hier de ne point mouiller : nous aurions été à l’abri
Toujours vent contraire et il pleut de temps en temps. Je vous promis hier de vous dire ce que c’est que la justice des navi
. On n’a point fait d’autre cérémonie que de les amarrer ou lier l’un hier et l’autre aujourd’hui, le ventre sur un canon, l
un matelot qui sait mieux et plus vigoureusement frapper que celui d’ hier , et qui. outre cela, avait fait la plus grande pe
’avenir que par le passé. Du mercredi 15. [novembre] Nous mîmes hier à la voile par un assez bon vent, mais qui s’est
aient allées. Du vendredi 24e. [novembre] Nous poursuivîmes dès hier au soir notre route pour Balassor. Il tombe tous
e mission. Il est encore mort cette nuit un de nos matelots qui reçut hier l’extrême-onction. Le cangé est bon, il a emporté
té toute cette nuit à la cape à cause des écueils dont je vous parlai hier . Monsieur de Quemener est retourné à bord du Lion
tout. Décembre 1690 Du vendredi 1er [décembre] Nous mîmes hier soir à l’ancre et y avons resté toute la journée
u jusant ou reflux. Du dimanche 3e. [décembre] Même manœuvre qu’ hier  : à la voile ce matin et à l’ancre à midi. Nous a
sent mouillés en rade, ayant fait encore aujourd’hui la même chose qu’ hier et avant-hier, et nous attendons des rafraîchisse
e d’aujourd’hui me paraît fort étouffante ; si ce n’était pas de même hier c’est qu’il y avait du vent et qu’il n’en a point
Mars 1691 Du jeudi premier [mars] Je ne sais si l’éclipse d’ hier a fait renforcer le vent, mais c’est un vent de d
lui damer le pion. Du dimanche 4e. [mars] Je n’écrivis point ni hier ni avant-hier parce que je ne l’ai pas pu. Nous a
calmé cette nuit et le temps s’est éclairci dès le matin. Nous vîmes hier un mât d’hune à l’eau : Dieu veuille qu’il ne soi
rcé mais toujours contraire à la route. Le temps embrumé qu’il a fait hier et l’obscurité de cette nuit, nous ont fait perdr
derais à vos prières. Du dimanche onze [mars] Le vent calma dès hier au soir, et ce matin il est revenu assez bon ou d
uitte, il a raison. Du vendredi 16e. [mars] Calme tout plat dès hier au soir et toute la journée, il a fait fort beau
e, il a fait fort beau temps. Du samedi 17. [mars] Le vent vint hier au soir bien petit et variable, nous avançons un
assurés de notre retour en France. Du jeudi 29e [mars] C’était hier le premier de la lune, le vent a rafraîchi, c’éta
de nous rallier aux autres parce que les deux navires que nous vîmes hier qui sont l’Oiseau et le Florissant paraissaient e
il a calmé tout à fait. Nous avons encore vu les deux mêmes navires d’ hier Les courants nous en ont éloignés durant le calme
aire de M. Hurtain notre défunt capitaine, que la solennité du jour d’ hier dimanche de Quasimodo ne permit pas de faire. Le
de matelots attaqués à ce qu’on dit du même mal dont il en mourut un hier . On ne dit pas cela publiquement de crainte que p
elle force que le grélin du Gaillard, qui touait la barque qui démâta hier , a cassé et cette barque est restée derrière, et
’est [jeté] enfin rejeté au Ouest-Sud-Ouest, bon frais et meilleur qu’ hier , nous allons fort bien et j’espère gagner la gage
ent sortir de leurs havres. Du dimanche 12 [août] Le vent calma hier au soir et est revenu bon ce matin, mais j’augure
u samedi 18. [août] Nous ne voyons plus les navires que nous vîmes hier . Le Provençal nous a rejoints, les ayant perdus d
2 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
mettons à la voile pour les Indes. J’en ai bien du chagrin, parce qu’ hier dimanche il s’est passé à bord une chose dont je
ce matin. Je vas à l’Amiral avec M. Hurtain, au sujet de ce qui s’est hier passé ici. Mon paquet pour Paris est prêt à votre
Du mardi 28 et dernier février 1690 en rade à Groix Nous soupâmes hier à l’Amiral, où M. du Quesne nous a reçus le mieux
nt de ce qui va se passer devant M. Céberet que de ce qui s’est passé hier matin sur l’Écueil notre vaisseau. et hier au soi
que de ce qui s’est passé hier matin sur l’Écueil notre vaisseau. et hier au soir sur notre Amiral. Mais, puisqu’il revient
Du mercredi 1er mars 1690 À mon retour de l’Orient au Port-Louis, hier au soir, je mis à la poste un paquet pour vous, d
Du jeudi 2 mars 1690 Je dirai ce qui m’est arrivé au Port-Louis, hier au soir et ce matin, après avoir achevé ce qui re
e nuit. Pour la journée, je la sacrifie à Bouchetière, qui fit encore hier au soir une autre sottise : je dirai tout. Jamais
st dès la nuit du mardi au mercredi, et ayant continué tout le jour d’ hier , a donné lieu à ce qui m’arriva hier au soir avec
et ayant continué tout le jour d’hier, a donné lieu à ce qui m’arriva hier au soir avec le même Bouchetière. Voici ce que c’
u soir avec le même Bouchetière. Voici ce que c’est. Comme j’écrivais hier dans ma chambre à l’issue du dîner, les écrivains
é reçu. Du samedi 4 mars 1690 Avant que de dire ce qui se passa hier au soir à table, il faut dire que jusqu’aujourd’h
t tant, et dont les dames françaises font de si bonnes rôties. Je fis hier au soir mon compliment à M. Hurtain ; nous étions
endredi 10 mars 1690 Avant que d’entrer en matière dont je laissai hier le canevas tout propre à être brodé, je dirai que
gens à manquer au rendez-vous. Du samedi 11 mars 1690 Je donnai hier au soir parole, je vas la tenir ; mais je dirai a
; mais je dirai auparavant que mes convives m’ont tenu la leur, et qu’ hier au soir au lieu de trois bouteilles nous en vidâm
faitement convaincu. Du dimanche 12 mars 1690 Je n’écrivis pas hier en entier tout ce que l’on vient de lire ; je ne
sse à bord, je ne laissai pourtant pas d’assister à l’office. C’était hier le dimanche des Rameaux. Les palmes que tous ces
c’est-à-dire les Juifs, lors de son triomphe, dont l’église célébrait hier la commémoration. Au reste, si le respect que j’a
petite muraille dont je parlerai dans la suite. Je n’aperçus pas cela hier au soir, quoique la lune fût belle ; mais ce mati
m’en a paru à Lisbonne, à l’Atto da Fe que j’ai vu, à la procession d’ hier , et à la ville aujourd’hui, je puis conjecturer q
monde, n’a pas paru dans sa gaieté ordinaire : la perte du matelot d’ hier lui tient au cœur. La latitude était aujourd’hui
tobre 1684 était un dimanche. Nous avons tous jeûné aujourd’hui comme hier  ; et dès le matin M. de La Chassée m’a rapporté l
, La Chassée et moi, nous sommes félicités dans ma chambre du régal d’ hier  : le premier n’a bu que deux coups ; il ne nous p
s dans le Nord de la Ligne. M. Hurtain, qui paraissait se bien porter hier , ou du moins fort peu incommodé, a été pris sur l
autre. On a pris hauteur, et depuis cinq jours de calme, et le vent d’ hier , nous sommes considérablement reculés, puisque no
vent a beaucoup calmé, et nous avons très peu avancé, puisque depuis hier nous n’avons fait qu’environ trois lieues : nous
a faiblesse augmente ; et l’assoupissement s’en mêle. Le temps tel qu’ hier , quelques grains, et depuis midi de la pluie qui
porté sur la dunette et remis au même endroit où il avait été mis dès hier après-midi, posé sur deux chaises mises exprès :
rcier, qui était venu avec le commissaire, comme il me l’avait promis hier , n’eût tenu la plume pour lui. Tout a été fait do
de La Chassée a instruit le commissaire des airs ridicules du jour d’ hier . Ce M. Blondel est fils du défunt payeur des rent
la chambre du Conseille premier, après avoir signé, et s’était comme hier placé à table à la place d’honneur. On avait serv
ai instruit, monsieur, lui a-t-il dit, de la belle scène qui se passa hier ici en ma présence ; et présentement, je vous en
ime ; car, certainement, ils n’y entendent aucun mal. Ils avaient dès hier au soir demandé au commandeur la permission de le
du temps un peu couvert. Du mercredi 3 mai 1690 Le vent tel qu’ hier  : beau temps jusqu’à quatre heures ; après cela d
gens à lui en offrir. Du jeudi 4 mai 1690 J’avais fait réserver hier au soir sur la dunette deux grandes bailles de ce
qu’en la montant. Du samedi 6 mai 1690 J’avais clos l’article d’ hier  ; mais je n’avais pas pris garde que l’heure de l
régalement. Du vendredi 12 mai 1690 Nous passâmes effectivement hier au soir le tropique du Capricorne sur les huit he
y en avait trois barils, dont il y en avait un à moitié. Vendredi et hier en ont consommé, et je doute qu’il y en ait assez
t-être qu’il reviendra bon. Du samedi 20 mai 1690 Même temps qu’ hier . Il s’est éclairci ce soir. On voit un pied de ve
montre. Du mardi 30 mai 1690 M. de Chamoreau a vainement sondé hier et ce matin. Nous avons forcé de voiles, dès la p
reçoit le bonnet carré ce matin : en est-il plus savant qu’il n’était hier  ? Non : il est seulement mis en place de faire éc
nces, de chagrins, de mortifications et de peur. Nous ne primes point hier hauteur, parce que nous savions où nous étions ;
 ; point de hauteur. Du jeudi 15 juin 1690 Le vent calma un peu hier au soir, et nous a donné une petite pluie qui a d
a pluie, et chaleur. Du dimanche 18 juin 1690 Il a plu beaucoup hier et aujourd’hui jusque vers les neuf heures du mat
utenir ; outre cela, nous avons reculé au lieu d’avancer. Nous étions hier à dix-huit degrés, cinq minutes latitude Sud. Je
qui voudrait l’entendre ! Du lundi 3 juillet 1690 Nous remîmes hier à la voile sur les deux heures après midi ; c’est
er ce matin le premier l’aubade, comme il lui avait donné la sérénade hier , a fait aventer ; et, comme l’Écueil va parfaitem
Dès la pointe du jour, nous avons aperçu le même navire que l’on vit hier au soir. Il ne se méfiait point de nous ; car il
baptistaire est du lundi 18, et dit que j’étais né le jour précédent ( hier ). Ainsi, ma mère, contre l’ordinaire des mères, s
3 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
litatem quoque nostram. Du vendredi 25 août 1690 L’on nous dit hier que nous tirerions du canon aujourd’hui : on ne m
prise, qu’il faudrait que nous approchassions encore de plus près qu’ hier , que le fort nous donnerait trop d’embarras, &
t avoir bordé la rive de canon. Il est certain que les ennemis furent hier bien battus : ce qui nous le prouve, c est qu’ils
que nous ayons pris à leur vue le navire que j’ai dit que nous vîmes hier , & qui était encore sur notre route ce matin.
oujours bon vent, nous allons bien. Le navire anglais que nous prîmes hier , & qui était de quelque trois cents tonneaux,
ne sommes point heureux de n’avoir pas pris le navire que nous vîmes hier , & que nous voyons encore. On a envoyé les ch
ontenta. Du samedi 2 septembre 1690 Nous remîmes à la voile dès hier au soir, & avons remouillé aujourd’hui parce
e terre de Balassor. Du mardi 19 septembre 1690 Nous mouillâmes hier au soir, parce qu’il n’y avait point de vent. La
it être que onze heures & demie ou midi, au plus, de la journée d’ hier . Je ne sais si elle est cause du mauvais temps qu
rétend bien que ce ne sera pas demain la même chose. Il ne plut point hier  : le ciel vient de doubler les intérêts depuis se
andelle. Du mercredi 21 septembre 1690 J’avais clos l’article d’ hier  ; mais, je n’avais pas songé que l’heure de la pl
re nos mains. Nous n’avons point revu les deux navires que nous vîmes hier & avant-hier : nous en sommes d’autant plus f
l’aventure. Du mercredi 11 octobre 1690 Le ciel s’est recouvert hier au soir : il a plu toute la nuit & la journée
renons la route de Mergui. Du samedi 14 octobre 1690 Nous fîmes hier très mal de ne mouiller pas, nous serions à l’abr
qui sait mieux frapper & qui est bien plus vigoureux que celui d’ hier  ; & qui, outre cela, a fait une bien plus gra
ur un pays inhabité. Du mercredi 15 novembre 1690 Nous sortîmes hier au soir de Négrades par un assez bon vent, qui s’
une raison suffisante. Du vendredi 24 novembre 1690 Il se leva hier au soir un petit vent bon pour aller à Bengale :
pensé le battre. Il ne s’est pas rebuté & est revenu à la charge hier matin, comme nous déjeunions. Il a été traité de
re des rats voleurs ne nous a pas laissés manquer de conversation, ni hier , ni aujourd’hui. Le passager messin, que M. de La
soit aperçu ici, j’ai porté au commissaire ce que je lui avais promis hier au soir, & que je n’ai pas cru devoir lui ref
ois qu’ils se jetteraient à la mer s’il le leur ordonnait. Nous mîmes hier au soir à l’ancre, & y avons été toute la jou
jusant ou reflux. Du dimanche 3 décembre 1690 Même manœuvre qu’ hier  : à la voile le matin & à l’ancre à midi. Un
résentement mouillés en rade, ayant fait aujourd’hui la même chose qu’ hier  : c’est-à-dire en nous laissant dériver, ou entra
mauvais voilier de l’escadre. Il était encore tellement derrière nous hier au soir qu’à peine pouvions-nous l’apercevoir.
versation que nous eûmes ensemble, seul à seul, mardi dernier, jour d’ hier , à l’issue de laquelle il me les a rendus tous tr
d la colère l’anime. M.de Chalonge, ou Chalendra, garde-magasin, vint hier matin à bord pour me faire signer la facture des
lle d’aujourd’hui m’a paru fort étouffante. Si ce n’était pas de même hier , c’est qu’il y avait du vent & qu’il n’en a p
les climats qui en sont au sud. Du mardi 6 février 1691 Je dis hier que tous les lieux de la terre qui sont au nord d
raison de ce qu’il voit. Du samedi 17 février 1691 Nous étions hier au soir à quarante lieues du soleil ; nous l’avon
La fièvre commence à me tenir à mon tour. J’en ai été accablé depuis hier à midi : j’ai un si grand mal de tête que je ne v
ssompierre, et me suis servi de son remède allemand ; c’est-à-dire qu’ hier au soir, sans en rien dire à qui que ce soit, je
aine a été emportée. Du dimanche 4 mars 1691 Je n’écrivis point hier ni avant-hier parce que je ne l’ai pas pu. Nous a
parce que je ne l’ai pas pu. Nous avons essuyé jeudi, vendredi, &  hier samedi, ce qu’on appelle à la mer un ouragan, c’e
garde le bon, ou plutôt le surprenant, pour dernier article. Samedi, hier , sur les deux heures après midi, un matelot trava
ire. Le temps est toujours couvert & embrumé : celui qu’il a fait hier , joint à l’obscurité de cette nuit, nous ont fait
’Oiseau & le Dragon. Du samedi 10 mars 1691 On acheva enfin hier au soir fort tard d’accommoder notre gouvernail,
uis las d’écrire. Du jeudi 15 mars 1691 On a vu ce qui se passa hier après-midi à bord de l’Oiseau. Le soir, en soupan
ue davantage. Du vendredi 16 mars 1691 Il a calmé tout plat dès hier au soir, & il n’a pas fait un souffle de vent
 ? C’est vous qui êtes cordelier. L’officier avec qui vous avez soupé hier est parti ce matin à porte ouvrante : &, ma f
entrer un âne dans une bouteille. Du jeudi 29 mars 1691 C’était hier le premier jour de la lune : le vent avait rafraî
de meilleur cœur. Du mardi 10 avril 1691 Calme tout plat depuis hier au soir. Du mercredi 11 avril 1691 Nous avo
en été en bonne route. Notre aumônier a dit, en dînant, qu’il n’avait hier entamé un pot de gingembre que pour le goûter, &a
dimanche 23 avril 1690, que M. Hurtain mourut. Nous aurions dû faire hier son anniversaire, mais la célébrité de la Quasimo
esque tout à fait calmé dès le point du jour ; ce qui fait que depuis hier midi nous n’avons fait que trente lieues : &,
. Du dimanche 3 juin 1691 Toujours bon vent, & cargué comme hier , par la même raison. Du lundi 4 juin 1691 L
impi, intendant. On m’a lu ces lettres, qui avaient été préparées dès hier . On me les a fortement recommandées, & on m’a
Tant pis. Du vendredi 20 juillet 1691 Le vent est très bon dès hier au soir, & nous allons bien. Nous sommes d’ai
, plusieurs matelots attaqués du même mal dont Jacques Le Roux mourut hier . Cela ne se dit pas tout haut, ni publiquement, c
-Ouest, bon petit frais, & meilleur que Nord-Ouest, qui soufflait hier . Bouchetière & moi espérons gagner notre jour
approcher. Du dimanche 12 août 1691 Le vent calma tout plat dès hier au soir, nous n’avons point été du tout, & le
essus. Du samedi 18 août 1691 Nous ne voyons plus les navires d’ hier  : le Provençal nous a rejoints, & est venu dî
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
arlai de cette affaire, que je la croyais échouée ; mais elle m’a dit hier qu’elle n’avait pu refuser à vos instances un acc
écrivit ce billet à votre commère. BILLET. Une aventure qui m’arriva hier , et que je ne prévoyais pas, m’oblige d’avoir rec
ur rende un compte exact de ma vie. L’accueil que la princesse me fit hier , est un coup qui me perce le cœur, je n’y puis su
e m’intéresser pour elle. L’air méprisant dont la princesse la traita hier , l’a si vivement pénétrée, qu’elle en est au lit
t de fille aussi pauvre qu’elle, avec la magnificence dont elle était hier  ? Le bien ne vient point si promptement par des v
et lorsqu’ils furent assemblés, écoutez, leur dit-elle, je parlai mal hier au soir d’Angélique que plusieurs de vous autres
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
plus devant vous dans la même résolution que j’avais prise dès avant hier au soir, et qui m’a amenée : je ne voulais pas ro
arce qu’il m’est impossible de vivre sans vous voir. Je souffris trop hier , je me livre à toute l’horreur de ma destinée. L’
s troubles s’élèvent dans mon esprit ! Pourquoi ne vous parlai-je pas hier  ? Je vous aurais priée de cacher vos sentiments,
nterai à mon tour mon histoire, comme Madame de Contamine m’y engagea hier . Toute la compagnie avait en effet impatience de
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
dis-je, tâcher de vous faire changer la résolution où vous me parûtes hier de sortir de France ; je n’en prévois que des mal
ant comme j’ai reçu d’elle quantité de lettres, et que j’en ai eu une hier au soir extrêmement longue, où elle me fait le dé
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
use, mais enfin il l’a su, puisqu’il l’a suivie et trouvée. Il arriva hier au soir environ une heure après nous dans l’hôtel
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
figure. J’envoyai deux fois pendant ce temps-là, comme je fis encore hier , savoir, du beau-père, s’il voudrait souffrir que
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
usse sa confidente ; Mademoiselle Dupuis, poursuivit-elle, me dit dès hier que vous viendriez la voir aujourd’hui, c’est ce
10 (1721) Mémoires
arler, mais Monseigneur lui ferma la bouche tout d’un coup. — J’allai hier inutilement chez vous, j’y retournerai quand je v
demanda Monsieur de La Proutière, que cet espiègle-là alla chez vous hier après-midi ? — Et vous a-t-il dit, reprit Bourval
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
pour déclarer au monsieur la naissance de la belle. J’ai encore reçu hier au soir un billet de la Morin : le voilà, poursui
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ter dans l’instant même ; parce que dit-il, il devrait être rendu dès hier au soir ; et m’étant amusé à boire, je n’ai pas p
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