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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
l’ambition de sa femme eût été modérée, il était en état de la rendre heureuse  ; ainsi il ne chercha pas tant le bien que la ver
ertu et de sagesse ; en un mot c’était une femme capable de le rendre heureux lui-même, s’il avait su jouir de son bonheur. Il
lle lui était tellement chère qu’il ne connaissait point d’homme plus heureux que lui, et que l’état où elle le voyait ne prove
it que de la peur de la perdre, ou de la partager avec un autre aussi heureux et peut-être plus heureux que lui. Sa femme, bien
rdre, ou de la partager avec un autre aussi heureux et peut-être plus heureux que lui. Sa femme, bien loin de lui reprocher le
e, le prit sur un ton fier, et après lui avoir dit qu’elle était trop heureuse d’avoir pour mari un aussi honnête homme que le s
utiles, et vous mettre l’esprit en repos. Pouvez-vous espérer un jour heureux avec un homme comme lui ? et ne devriez-vous pas
plus trembler pour votre vie ; en un mot, si vous ne voulez pas être heureuse entre les bras d’un homme qui vous adore, ne vous
e, interrompit-elle les larmes aux yeux, je ne suis pas née pour être heureuse  ; mais du moins je ne mériterai jamais mon malheu
la possession d’une femme si belle et si vertueuse, et elle est aussi heureuse avec lui qu’elle était infortunée avec son jaloux
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
ument me déterminer à ne vous plus voir ; car enfin je ne vois aucune heureuse issue ni pour vous ni pour moi. Pour vous, parce
était prise. Qu’il était vrai que nous ne devions point espérer qu’un heureux mariage nous unît du vivant de mon père, mais que
avoir pas d’impatience, et je ne perdrai aucun temps pour nous rendre heureux . Mais de quelle manière, ajoutai-je, vous faire r
ntôt l’un à l’autre ; vous êtes à présent dans la chambre qui verra l’ heureuse conclusion de nos amours. Oui, continuai-je, en m
tant à ses pieds, c’est ici que j’espère me dire que je serai le plus heureux de tous les hommes, en possédant ce que toute la
e ne prends aucun soin de ce qui me regarde, et pourvu que vous soyez heureux , s’il est vrai, comme vous le dites, que vous att
irai jamais de tout ce que j’aurai fait pour vous. Je ne serai jamais heureux , repris-je, que vous ne soyez heureuse aussi, soy
t pour vous. Je ne serai jamais heureux, repris-je, que vous ne soyez heureuse aussi, soyez-en certaine, et quoique tout mon bon
ntribuerez pas ; mais je ne puis me figurer que je sois née pour être heureuse . Quelque malheur néanmoins qui m’arrive, je ne vo
s. Des Prez recommença ici ses soupirs, et ses doléances. Ces moments heureux sont passés pour moi, s’écria-t-il, je ne la verr
ps, l’été et l’hiver dans des plaisirs inconcevables. J’étais le plus heureux de tous les hommes ; ma femme me paraissait plus
rtes de mariages faits à l’insu ou malgré les parents, ne sont jamais heureux . Monsieur Des Prez en est une preuve vivante par
e Mongey. Madame de Contamine se tue de nous dire qu’elle est la plus heureuse de toutes les femmes, qu’elle aime tous les jours
aire. Il est vrai, ajouta Contamine, c’est un mal nécessaire, et bien heureux qui tombe en bonne main, plus heureux encore qui
’est un mal nécessaire, et bien heureux qui tombe en bonne main, plus heureux encore qui peut s’en passer tout à fait. Comme ce
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
eux. Dupuis, comme je vous l’ai dit, avait fait des pertes terribles. Heureux pourtant d’avoir reconnu avant la mort, qu’il n’é
ue absence vous êtes content, et vous vous portez bien. Que vous êtes heureux d’avoir un esprit et un cœur à l’épreuve de l’abs
t a fait aujourd’hui ses vœux, la voilà enfin religieuse. Qu’elle est heureuse si son cœur est libre ! Mais qu’elle sera malheur
e part et d’autre. Je fus donc délivré de mon rival sans en être plus heureux . Votre commère et moi connaissions bien la fourbe
de où il avait été depuis très longtemps de n’être point né pour être heureux , était ce qui l’avait forcé de se précautionner c
r goûter auprès de vous tous les plaisirs que peut promettre un amour heureux vainqueur de tant de traverses, et d’un rival fav
uisque vous voulez bien vous donner à moi, rien ne m’empêchera d’être heureux , ni de vous prouver qu’on n’a jamais été plus fid
ire, qu’étant arrivé comme étranger dans sa patrie, il avait été fort heureux de rencontrer Monsieur Des Ronais, qui par ses ho
elle venait d’avoir avec Des Frans, qui continua. Des Ronais est trop heureux , Madame, dit-il, d’avoir une si bonne protectrice
art de Madame de Contamine que j’ai laissée chez elle. Vous êtes trop heureux en bonne amie et en maîtresse ; on vous aime touj
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
par sa personne, et par son esprit, en état de rendre une femme très heureuse , soit pour l’abondance, ou pour la tranquillité d
rendrais, répliqua-t-il, tel parti que vous voudriez pour vous rendre heureuse . Ce parti que je voudrais, répliqua-t-elle, ne vo
je vous écris, belle Angélique, sans savoir si elle aura un sort plus heureux que les autres. Je ne vous dirai point que je vou
donne peut vous faire trouver un bon parti : pourvu que je vous sache heureuse et contente, il me semble que je le serai aussi ;
donnais le moindre chagrin. J’aimerais mieux me priver d’être jamais heureux , que de n’y pas répondre. Je lui sacrifie ma sati
is ce serait un consentement forcé, et je ne serais qu’imparfaitement heureux , si ma mère consentait à mon bonheur avec la moin
x amants s’étaient quittés tout remplis d’espérance de voir enfin une heureuse conclusion à leur aventure ; mais sitôt qu’ils ne
hez elle. Tout ce que je puis vous en dire, c’est qu’elle est la plus heureuse de toutes les femmes, qu’elle a le secret de se f
oir. Ah ! Madame s’écria-t-il, en l’embrassant tout d’un coup, quelle heureuse aventure vous conduit ici ? Cette dame surprise,
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
e, ce que vous cherchez ici ? J’y cherchais, répondis-je, deux amants heureux et contents ; je les ai trouvés et je les y laiss
uadai de ne pas user sa jeunesse avec un homme incapable de la rendre heureuse  ; je la poussai à se faire démarier, et lui promi
es bras, qu’il faudra attendre que votre sœur soit contente pour être heureux . Je m’étais bien attendue à cette réponse, dit-el
nt, elle ne m’en avait rien témoigné, et je ne croyais pas être aussi heureux que je le suis. Ma sœur peut se méprendre, Monsie
n souhait inutile. Il ne dépend que de vous de me rendre parfaitement heureux , et si je le puis dire, vous vous rendrez en même
ement heureux, et si je le puis dire, vous vous rendrez en même temps heureuse . Je ne vous demande que ce que je vous ai demandé
garnies ; il y en a quantité dans Paris, qui ne servent qu’aux amants heureux  ; nous en avions une. C’était dans la plus grande
t qu’elle a pris le bon parti. Elle n’aurait assurément pas été aussi heureuse avec moi qu’elle l’est avec lui. Je vous avoue me
dire qu’elle m’aimait sincèrement et tendrement, qu’elle s’estimerait heureuse de pouvoir passer sa vie entre mes bras ; qu’elle
pousant. Toute la famille a cru que j’étais la femme du monde la plus heureuse , et lui l’époux de Paris le plus fidèle ; et en e
ns nos bras qui nous voudrions ; et nous vivrions sans contredit plus heureuses , n’ayant que l’amour et la fantaisie pour guides,
que l’on pense. Non, elles ne le sont point ; et je les trouve fort heureuses de n’être point assujetties à un honneur que la f
cette bonne dame, qu’une pareille envie le prît, je l’estimerais bien heureux . Il n’est pas encore temps que cela arrive, Madam
vous y a amené ? Non, lui dis-je, vous vous trompez ; je ne suis pas heureux en maîtresse. J’en avais une qui m’a cruellement
us, j’ai un déplaisir sincère de savoir qu’elle n’est pas tout à fait heureuse . Mon Dieu, ajoutai-je en levant les yeux au ciel,
lus infortunée de toutes les femmes, et qui ne vous rendront pas plus heureux . Il n’importe, repris-je, j’aurai toujours le pla
me faire ; et s’humanisa enfin jusqu’à me faire croire que je serais heureux , sitôt que ma santé pourrait me permettre de l’êt
me, Madame, poursuivis-je, il ne tient qu’à vous de me rendre le plus heureux de tous les hommes, et de suivre avec innocence l
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
st aisé, ses expressions sont vives et naturelles ; elle a la mémoire heureuse  ; elle écrit juste et bien ; elle fait même quelq
our elle qu’un simple dehors de bienséance, sans amour. Que je serais heureux , Mademoiselle, répliquai-je ! de vous voir expliq
tes les qualités qu’une honnête femme peut avoir pour rendre un homme heureux  ; cependant ayant dessein de rompre, je n’en lais
nsemble, ce qui arrivait assez souvent ; et ce sont les seuls moments heureux que j’ai passés dans la vie, et qui furent aussi
ut avec Madame votre mère, a tant fait, qu’il a persuadé. Que je suis heureux , Madame, lui dit-il, de recevoir une si bonne nou
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
pauvre écuyer sur sa croupe, et de là à terre. Il fut pourtant assez heureux pour n’être point blessé de sa chute. Don Quichot
n effet sujet de leur faire. Notre héros lui dit, qu’il était le plus heureux de tous les chevaliers, de ce que la fortune lui
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
ait derrière lui triste et pensif, ne croyant jamais voir assez tôt l’ heureux moment qui lui rendrait sa bourse. Ils furent ret
t en possession, jusqu’à ce qu’il se rencontre quelque chevalier plus heureux que toi. Don Quichotte lui ayant dit et assuré qu
que de vous exposer à l’inutile repentir de l’avoir tentée. Le succès heureux n’en est réservé qu’au plus fidèle et au plus bra
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
mesures justes pour faire en sorte que sa mère consentît à me rendre heureux  ; et pour cela je la priai de me permettre de ven
sensiblement touché de son infortune, et que je voudrais la voir plus heureuse . —  Elle sait vivre, reprit la marquise, et je ne
a jeunesse ; on m’a inspiré une fierté hors de saison ; et de la plus heureuse de toutes les femmes que je serais à présent, si
ille ; vous lui avez abandonné votre cœur tout entier. Il serait trop heureux s’il en connaissait le prix, et c’est un bonheur
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
ts, ou qu’ils eussent vos sentiments, nous en serions mille fois plus heureuses . — Ils en seraient plus heureux aussi devant Dieu
ts, nous en serions mille fois plus heureuses. — Ils en seraient plus heureux aussi devant Dieu et devant les hommes, reprit Do
11 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
i en lui écrivant. Les commis qui lui ont apporté ce billet sont bien heureux de ce que je n’étais pas à bord lorsqu’ils y sont
it de sa personne, très bel homme, et d’une physionomie prévenante et heureuse . Il a été ambassadeur à Siam : c’est lui qui y a
r recours à une occasion plus favorable pour vous souhaiter un bon et heureux voyage, et une santé parfaite. Comment diable ! r
n ait fait un jugement plus digne de sa gravité. Mais, vous êtes bien heureux , a-t-il ajouté d’un air sévère s’adressant à Bouc
tte dame était ennemie du désordre et des violences. Qu’il était bien heureux que le conseil de guerre eût décidé du châtiment,
et de parcs. Si ces animaux ne se consommaient pas, nous serions trop heureux  ; mais douze personnes à table et tous de bon app
te, s’assoupit, se réveille, et s’endort. Les plus vils animaux, plus heureux dans leur sort, Vivent tranquillement sans craint
ience ; et outre cela, je ne me flatte d’aucune science : je me tiens heureux de recevoir avec humilité les dogmes de la foi ;
e tiens heureux de recevoir avec humilité les dogmes de la foi ; plus heureux encore de les croire et de m’y soumettre. Mais to
ce qui lui faisait intérieurement connaître ses iniquités, sera assez heureux pour être frappé à la mort d’un coup impératif de
rie, messieurs, de me permettre une réflexion, qui est que l’éternité heureuse nous est accordée à trop bon prix, si nous l’obte
ue nous ayons paru. (Par parenthèse, ces navires hollandais sont bien heureux d’avoir échappé nos griffes : ils y seraient assu
uffait. Je restai très longtemps ébloui sans pouvoir rien distinguer. Heureux d’avoir compagnie ! Mon cheval, sur le côté, eut
ssi bien que son ami il avait abjuré entre ses mains ; que depuis cet heureux temps il n’avait plus été agité d’aucun trouble d
ois. Si elles ont été autrement à son voyage, c’est qu’il a été assez heureux pour que la nature se soit dérangée ; ce que je n
nsi, ils ont tout à souhait, et mènent suivant la nature une vie tout heureuse . Après avoir dit ce qu’il y a de bon sur cette îl
il est habité par des diables. Ce pays est sans contredit un des plus heureux que le soleil éclaire ; mais, les habitants sont
point mahométane. Seraient-ils venus du sein persique, ou de l’Arabie heureuse  ? Ils se seraient éloignés de La Mecque. Seraient
nts dépend de leur ignorance ou de leur caprice. Si cet horoscope est heureux , la mère garde son enfant ; s’il est sinistre, el
je connais quantité de femmes, même de qualité, qui ne sont point si heureuses qu’elle. Il était avec moi, et me servait de truc
: chacun y aura part. Du jeudi 13 juillet 1690 Nous sommes très heureux d’avoir toujours bon vent ; car, outre qu’il nous
prisons étaient pleines. Si, sur ce pied, Dieu lui accorde un long et heureux règne, on peut probablement espérer que la religi
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
-je en la relevant, que cette peur est obligeante, et qu’un homme est heureux , lorsqu’il peut l’inspirer à une personne comme v
vous demande pardon pour lui. Monsieur Valeran, lui dit-il, vous êtes heureux de ce que Mademoiselle ne s’est point plainte à d
onduite plus de malheur que de malice. Je vous quitte, Monsieur, trop heureuse de vous avoir désabusé des fausses impressions qu
mais, puisque je n’en ai point eu pour vous. Je me flattais d’une vie heureuse entre vos bras, continua-t-elle les larmes aux ye
ntrant, je viens de recevoir un billet de votre part, serais-je assez heureux pour pouvoir vous rendre quelque service ? J’en a
qu’à mon retour je me remettais au lit. Quelle vie ! Un homme serait heureux , si elle pouvait durer longtemps ! Quoiqu’elle me
tement, nous rendrait les gens du monde les plus contents et les plus heureux . Que la vertu de Silvie lui était connue, qu’elle
e voyais bien qu’en la rendant malheureuse, je ne me rendais pas plus heureux . J’étais déchiré par mille mouvements différents.
et d’avoir troublé le cours d’une vie, qui sans vous aurait été toute heureuse et toute paisible, je ne vous souhaite aucun mal.
xaucée ! Je souhaite que mon châtiment ne vous soit pas commun. Vivez heureux dans le monde, si vous y pouvez vivre : mais song
13 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
e tous leurs aïeux. Le cours de la vie de ces gentils est aisé &  heureux , ne faisant rien que commander ; & c’est avec
tôt cette séparation faite, notre âme prend possession d’une éternité heureuse , ou est précipitée dans les enfers. Pourquoi ne p
mbre 1690 Du vendredi 1er septembre 1690 Nous ne sommes point heureux de n’avoir pas pris le navire que nous vîmes hier
Notre chirurgien passe pour tel : mais, en voilà une vilaine preuve. Heureux les animaux de n’avoir ni médecins, ni chirurgien
, ayant seul connaissance des affaires de son bon maître, a été assez heureux pour épouser sa veuve, jeune, belle & riche,
belle & riche, & elle de sa part a été & est encore fort heureuse d’avoir fait la fortune d’un parfaitement honnête
conséquent chaleur excessive. Le chevalier de Bouchetière n’est point heureux . Il était de quart ce matin, & était à genoux
plus grand que deux autres, dans le même poste que moi, ont été fort heureux de savoir nager pour gagner terre. Les ennemis do
t également furieux & curieux. Quoique le terroir de Bengale soit heureux & fertile, & que les gouverneurs que le M
nt encore entendu parler de sa justice, parce qu’il n’y avait que ses heureux sujets qui en ressentissent les effets. Qu’un mal
érale ; & la fille est très avantageusement mariée & est très heureuse . C’est ainsi que M. Martin est parvenu, & que
ngeance, en ce que Aureng-Zeb, au lieu de le récompenser d’une guerre heureuse qu’il avait faite pour lui, avait violé sa sœur &
nda-t-il. De ce que, répondis-je, les pères jésuites ne sont pas plus heureux ici en capucins, qu’ils l’ont été en Europe il y
s pendant une tempête. Le mien n’était pas dans cette situation toute heureuse  : il était trop agité, aussi bien que celui de qu
st, c’est-à-dire du bon côté : s’il rafraîchissait, nous serions très heureux . Du samedi 17 mars 1691 Nous avançons toujo
e divertir de leur mort & que l’horreur les en frappât davantage. Heureux , dans ce cruel temps, celui qui était promptement
la vertu & la sagesse d’une fille ne lui font pas une étoile plus heureuse que celle d’une belle & spirituelle libertine
le passe pour très sage. Son mari en est idolâtre, & elle la plus heureuse de toutes les femmes. Il est actuellement à Borde
avons trouvée la nuit du 28 au 29 mai, & que nous avons été très heureux d’éviter : sept contre un, la partie n’eût pas ét
uillaume ? Les habitants de la Martinique n’espèrent pas un sort plus heureux  ; mais ils ont un refuge, qui a manqué à ceux de
. Je vas à terre désaltérer le diable de La Chassée qui me persécute. Heureux de me débarrasser de lui ; mais infiniment plus h
me persécute. Heureux de me débarrasser de lui ; mais infiniment plus heureux d’être de retour d’un si long voyage, en bonne sa
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
tranquillité que je t’ai recommandée, et le reste de ta vie tu seras heureux  ; mais si tu en agis autrement, prépare-toi à mou
uoi je l’ai fait, et avec tous vos beaux discours les hommes seraient heureux s’ils ressemblaient aux linottes, dont il n’y a q
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
les gens par leurs actions, et non pas par leur qualité. Qu’on serait heureux dans le monde si on s’y gouvernait sur ce pied-là
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
us le repos de ma vie, et mes jours ne seront composés que de moments heureux . Oui, j’en veux boire, continua-t-il en élevant l
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
les économes et les dispensateurs, et non pas les propriétaires. O l’ heureux temps, continua Don Quichotte, où les veuves et l
18 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
plus grosse que la Seine l’est en été. Jamais voyage ne m’a semblé si heureux . Nous allons mieux que qui que ce soit de l’escad
s jours avant notre arrivée ; par parenthèse ces navires-là sont bien heureux d’avoir échappé nos griffes. Environ à 200 pas de
is de Saint-Iago trois jours avant que nous y arrivassions, sont bien heureux de n’être point tombés entre nos mains. Si les au
t un autre opéra. Notre pain gâté me désole ; encore sommes-nous bien heureux de passer ces mers-ci vent arrière. Juin 1690
e] opposée. Nous avons chanté le Te Deum pour remercier Dieu de notre heureuse navigation et Le prier de vouloir bénir le reste
sez sot pour m’oublier. Du jeudi 13e. [juillet] Que nous sommes heureux d’avoir toujours bon vent, car outre qu’il nous a
n avènement à la couronne. Si sur ce pied-là Dieu lui donne un bon et heureux règne on peut justement espérer que la Religion e
mbre 1690 Du vendredi Premier septembre. Nous ne sommes point heureux de n’avoir pas pris le navire que nous vîmes hier
sement à faire. Les habitants de La Martinique n’espèrent pas un plus heureux sort qu’eux, mais ils ont un refuge que n’ont pas
19 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
à ma patrie, dont mes malheurs m’ont si longtemps banni ; et c’est un heureux augure pour moi, d’avoir trouvé en arrivant, le p
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
i lui avait abandonné ses armes, et lui insinua que cet endroit était heureux , et qu’après y avoir vaincu un démon, il n’y avai
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
anda la marquise. —  Non, non, Madame, répondit Sancho, ils sont trop heureux pour avoir des femmes, et ont trop d’esprit pour
22 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
z-vous point notre malheur, mon cher amant ? Vous auriez toujours été heureux si vous ne vous étiez point attaché à moi. Mes ma
i sincèrement, que je ne crois pas qu’il y ait un homme au monde plus heureux que moi dans son mariage. Sa tendresse à elle, ne
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
bligée à l’accepter, si elle lui eût déclaré qu’elle ne pouvait vivre heureuse qu’avec Verville ; mais outre la pudeur qui s’opp
24 (1721) Mémoires
’Israël : Ce peuple que jadis Dieu gouverna lui-même, Lassé de vivre heureux voulut avoir un roi. Oui, tu seras content, peupl
aut pas s’étonner si sa fortune a été si rapide. Il est pourtant plus heureux que Le Blanc, autre chef des agioteurs, qui a vu
, a donné au public L’Histoire de la révolution de Siam, et fut assez heureux pour ne pas passer sur L’Oriflamme chargé de l’ex
fit que les étrangers aient inventé les moyens de se rendre riches et heureux pour que ces mêmes moyens nous paraissent indigne
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