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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
et du discernement. Il n’y a que ces seules vertus-là qui fassent les héros . Regarde la vie et les actions du chevalier Rolan
r eut à peine achevé qu’il disparut, et ne donna pas le temps à notre héros de se jeter à ses pieds, parce qu’il lui défendit
r, et de le suivre. Pour lui, il se perdit entre les arbres, et notre héros tout honteux alla ponctuellement exécuter les ord
tuellement exécuter les ordres de son sage enchanteur. Pendant que le héros de la Manche, qui avait coutume de prêcher les au
es paroles atroces contre l’incivil chevalier aux armes noires. Notre héros avala doux comme miel les injures qui lui furent
dit Sancho. —  Qu’y a-t-il de nouveau, ami Sancho ? lui demanda notre héros . —  Il y a, répondit l’écuyer, bien d’autres nouv
, je ne les crains ni l’un ni l’autre. Pendant ce beau dialogue notre héros qu’on avait fait mettre à table entre la comtesse
rocha d’un air à dévorer tous les assistants, et portant la parole au héros de la Manche : Ne saurais-tu, lui dit-il, m’ensei
à mesure qu’il parlait, et quoique cet objet fût épouvantable, notre héros n’en fut point épouvanté ; il eut même besoin de
 ! où sont tes armes ? —  Ne t’en mets point en peine, répondit notre héros , tel que je suis je vais te donner satisfaction.
contre lui. Sancho aurait assurément répondu et accepté le défi si le héros de la Manche lui en eût donné le temps ; mais cel
satyre avait pour la troisième fois changé l’épée de Sancho, et notre héros qui était presque remis par l’assurance qu’Eugéni
r parlé à son bon ami Parafaragaramus. —  Je voudrais bien, dit notre héros en parlant au duc, que Monsieur le bachelier que
ment terrible pour ceux qui n’y étaient pas préparés. Sitôt que notre héros fut rentré dans le château, son premier soin fut
fit mettre à la place du premier, pour toujours faire trouver à notre héros du merveilleux dans tout ce qui lui arrivait. Il
se retirèrent dans leur chambre occupés de leurs visions, surtout le héros de la Manche, qui aurait voulu être déjà aux main
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
n était Ginès de Passamont, à qui on avait ordonné de combattre notre héros , avec défense de le blesser sur peine de vie. Cel
emps après plus belle et plus vive qu’auparavant, et fit voir à notre héros son ennemi terrassé et rendant le sang de tous cô
liqueur rouge comme du sang, et on les avait percées de sorte que le héros de la Manche crut avoir tué le neveu de Freston,
é l’honneur de la victoire. Ces paroles arrêtèrent la fougue de notre héros , qui resta en pied où il était. Quelques éclairs
mps avec lui parmi les feux et les flammes presque aux pieds de notre héros et à ses yeux. Toutes ces visions avaient achevé
roisie, acheva de lui rendre ses esprits ; il en fit prendre aussi au héros de la Manche, qui lui fit bien du bien, parce qu’
dont il ne remporterait que de la honte. — Si cela est, reprit notre héros , je lui apprendrai avec joie que je suis Don Quic
, et s’ouvrant aussitôt, en fit voir une autre fort magnifique. Notre héros y entra et y entendit une musique douce et agréab
valier, exaltant sa bravoure et son intrépidité au-dessus de tous les héros vrais et fabuleux, et surtout sa fidélité pour Du
de son amant et lui remit le cœur dans le ventre en présence de notre héros . Durandar se leva tout d’un coup et sauta en plac
e cœur si saisi en apparence qu’il ne put pas ouvrir la bouche. Notre héros le releva fort honnêtement, et Parafaragaramus le
refermé, et rien ne paraissait qu’un plancher ordinaire. Comme notre héros ne savait que dire ni que faire, Parafaragaramus
parole : Puissant Dieu des enfers, lui dit-il, tu vois devant toi un héros qui à l’exemple de Thésée, qu’il a pris pour modè
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
le genre humain la beauté d’Eugénie. Aussitôt qu’il fut parti, notre héros avait été se promener, et du parc de Valerio étai
plus grands efforts. Son cheval s’abattit de ses blessures, et notre héros , à qui le péril n’était rien, de son sang froid s
rut à elle, et tous ses gens le suivirent. Cette retraite sauva notre héros , et lui donna le temps de voir le péril où était
it si généreusement prêté. Il y vint et s’attacha à Don Pedre ; notre héros qui vit ce scélérat assez occupé, le laissa dans
r à elle. Les questions qu’ils leur firent donnèrent le temps à notre héros de les joindre ; il était trop colère pour songer
ant encore notre chevalier à leurs trousses, s’enfuirent ; mais notre héros n’était pas pour en rester là. Il mit pied à terr
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. Le héros de la Manche n’avait garde de demeurer muet dans
armé, n’a le temps ni le moyen de se défendre ? Oui, poursuivit notre héros en colère, les Français ont à mon sens un fond de
nce dans une plus longue vie. Je ne puis m’empêcher, poursuivit notre héros , de reprendre dans nos Espagnols cette inclinatio
la dame de son cœur, et sans doute on en sortira à son honneur. Notre héros dit cela avec un visage si content et si rempli d
comme une galanterie dont on se fait honneur. On avait craint que le héros de la Manche par la citation de ses romans ne se
de la vermine. Cette malice de Sancho interrompit et déconcerta notre héros  ; qui devint en un moment rouge comme du feu, et
déployée. Sancho, qui vit que sa malice n’avait nullement plu à notre héros , se retira auprès de la duchesse de Médoc, qui po
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
ivais le penchant que j’ai pour les aventures. Il y a dans la vie des héros un terme de bonheur et de gloire où ils doivent s
r contre les ordres de Parafaragaramus, on consentit à son départ. Le héros de la Manche et son écuyer après avoir pris congé
etenir de la tranquillité qu’ils venaient de se procurer. Sur quoi le héros de la Manche fit un long discours moral, que Cid
sent plus gai qu’un pinson. A mesure que la pleurésie se formait, nos héros se sentaient accablés de la violence du mal, et i
our l’emploi qu’il voulait obtenir. On fit de superbes funérailles au héros de la Manche, et son écuyer reprit son premier mé
6 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
réface. J’avertis les curieux qui voudront déterrer les noms de mes héros , et de mes héroïnes, qu’ils prendront une peine f
is les curieux qui voudront déterrer les noms de mes héros, et de mes héroïnes , qu’ils prendront une peine fort inutile, et que
nemis, en supposant néanmoins, comme eux, que la résistance que leurs héros ou leurs héroïnes apportent à la volonté de leurs
sant néanmoins, comme eux, que la résistance que leurs héros ou leurs héroïnes apportent à la volonté de leurs parents, en faveu
e, au sujet des noms dérivés de ceux de baptême que j’ai donnés à mes héroïnes , tels que Manon, Babet et d’autres. J’ai suivi en
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. Notre héros allait continuer son chemin et sa morale s’il n’a
promit d’aller le remercier sur terre partout où il serait, et notre héros lui promit de la conduire dans tel endroit qu’ell
ué plus abondamment, sous prétexte de reconnaître les services que le héros de la Manche leur avait rendus, surtout le comte
sselle étendue, et d’en admirer la fabrique et l’art, demanda à notre héros si c’était à lui, et qui la lui avait apportée. D
ar les officiers du duc qui leur en avait donné ordre, sans que notre héros s’y opposât, parce qu’espérant que Dulcinée viend
urier en vaut deux, dit-il. Le duc qui ne voulait plus donner à notre héros aucun sujet de se fâcher, ne fit pas semblant de
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
e faire paraître la leur dans toute son étendue, et de renvoyer notre héros chez lui dans un état à ne lui rien laisser à sou
ait été une chose digne de pitié, qu’un aussi honnête homme que notre héros fût mort dans ses imaginations ; mais avec ces fa
laisse à penser au lecteur quels étaient pour lors les sentiments du héros de la Manche et ceux de son écuyer. Chacun s’étan
uetis de dents extraordinaire, il lui conta toute son aventure. Notre héros qui était la continence même, ne le plaignit que
a duchesse les retint malgré eux. Ah, Seigneur chevalier, dit-elle au héros de la Manche, nous avons besoin de vous pour la p
pas plus d’Altisidore que si elle n’avait jamais été au monde. Notre héros , qui profondément enseveli dans ses rêveries ne d
ner les ordres pour l’accomplissement d’un hyménée si illustre. Notre héros ne se sentait pas d’aise, et Sancho qui avait tou
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
tant plus mort que vif, il n’osait branler ni ouvrir la bouche. Notre héros coupa chemin à un des fuyards, et ayant appris de
sez ses sens, pour s’apercevoir qu’on était venu à son secours. Notre héros reprit sa fureur, en même temps qu’il reprit conn
un coup d’épée à cette dame, et l’aurait assurément percée, si notre héros n’eût fait gauchir le coup, en lui poussant son c
u’elle leur fit, et qu’elle avait en effet sujet de leur faire. Notre héros lui dit, qu’il était le plus heureux de tous les
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
tions de valeur inouïes. A peine le point du jour paraissait que le héros de la Manche se leva, et fit lever Sancho. Ils s’
e ressouvenir que ces bandits étaient les diables forgerons que notre héros avait mis en fuite, et qui s’étaient joints aux c
, et des gens du lieutenant étant venus aux coups de pistolets, notre héros leur abandonna les deux autres, et les pria de le
de Médoc, sur le corps de ceux qui étaient venus au secours de notre héros qui les avait attaqués le premier dans leur caver
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
dans la reconnaissance qu’elle lui devait. Cela avait attiré à notre héros des louanges excessives, dont sa modestie s’accom
ichotte et lui la trouvèrent qui allait à pied en se promenant. Notre héros était armé, et Sancho désarmé voulait passer sans
duc. Nous ne voyons rien. —  Je l’anime, Monseigneur, répondit notre héros , contre un enchanteur qui est au pied de cet arbr
lus joliment du monde. Les ducs et tous les assistants prièrent notre héros d’aller délivrer le chevalier Sancho des mains de
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
ice de dire à son amant comme en secret, mais pourtant si haut que le héros de la Manche l’avait entendu : Le seigneur Sancho
rmes ? —  Hé ! ne le vois-tu pas bien, mon enfant, lui répondit notre héros en se radoucissant, ne sais-tu pas bien que la va
ormir parce qu’il était tard. Sancho se tut, et en peu de temps notre héros l’entendit ronfler comme une pédale d’orgue. Il s
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
ait effectivement enchantée. Il s’endormit sur cette pensée, et notre héros passa toute la nuit à songer à son bonheur. Le le
lendemain. Il connaissait assez la bravoure et l’intrépidité de notre héros , pour savoir jusques où son courage le porterait
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
i. —  Comment donc, ajouta Eugénie en riant et en s’adressant à notre héros , vous m’avez promis de ne nous point abandonner q
nsole aussi, reprit Sancho ; mais… —  Quoi, mais… ? lui demanda notre héros , voyant qu’il n’achevait pas. —  Laissez-moi, Mon
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
ver, et ne trouvèrent rien d’extraordinaire dans la personne de notre héros qu’un grand fond de tristesse, dont on se promit
diligence. Dans la bonne volonté où ils se trouvaient tous pour notre héros , ils s’étaient préparés d’éloigner Sancho de lui,
pouvait s’empêcher de rire. Il emmena Sancho dans la chambre de notre héros , à qui le bon écuyer fit le récit de ce qui venai
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
prince, se trouva dans un festin avec des Espagnols ; on y parla des héros des deux nations. Le Français nomma Don Quichotte
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
d’un roi ; que c’était par là qu’Hercule, Thésée et plusieurs autres héros s’étaient rendus fameux ; que c’était le premier
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
s le lendemain, et de commencer à la pointe du jour, ce qui mit notre héros dans la plus grande joie qu’il eût eu de sa vie.
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
plusieurs fois, qu’excepté les visions sur les chevaliers errants, le héros de la Manche n’avait rien que de raisonnable, ain
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
dire bien des choses en présence de Durandar et de Montésinos. Notre héros s’enquit de la bataille de Roncevaux, et ils lui
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
on pouvait en prendre sans s’en railler ouvertement, surtout de notre héros , dont le comte du Chirou admirait la valeur, et à
22 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
Puisque suivant la règle générale des romans, je dois en véritable héros vous raconter mon histoire après avoir appris tou
t de scélérat ; mais je sais bien qu’il y a du risible. Vous êtes des héros de constance et de bonne foi, vous autres, poursu
question, repris-je en hochant la tête, de jouer ici le personnage d’ héroïne de théâtre ; il faut parler juste : voulez-vous m
Il n’a néanmoins pensé aboutir qu’à une tragédie dont j’aurais été le héros , et suivant toutes les apparences il finira par u
ose que ce n’était. Je la pris pour une aventurière qui attendait son héros sur le pré ; je me trompais, elle n’y était venue
23 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
e résoudre à quitter la partie, ou à filer le parfait amour en fidèle héros de roman jusques à sa mort, qui arriva environ di
ère, qui est fort innocente de la lettre dont vous l’accusez d’être l’ héroïne , et de la part de Madame de Contamine que j’ai la
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
vince où elle s’est passée, il suffit que ce soit en France et que le héros soit français. Je le nommerai Sotain. C’était un
25 (1721) Mémoires
, quoiqu’il l’ait gâté en bien des endroits, surtout à la mort de son héros , qu’il fait mourir dans ses visions à la fontaine
’avais dit, que c’eût été dommage qu’un aussi honnête homme que notre héros fût mort dans ses imaginations. 2. Messieurs du J
té par des flatteurs, il aurait été un prince parfait et un véritable héros . 88. Après la mort du cardinal on grava son portr
es contre Maimbourg que tous les chefs français et autres étaient des héros en Palestine, et qu’en retournant chez eux, ils y
qui cachez tout dans vos demeures sombres, Et par qui les plus grands héros , Dans l’attente d’un plein repos, Demeurent obscu
26 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
is dans la nécessité de m’expliquer. La résolution est d’un véritable héros de roman, reprit-elle, vous m’aimez et vous conse
27 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
la catastrophe devant l’Hôtel de Ville. Je ne crains pas d’en être le héros , reprit-il, car sitôt qu’ils seront mariés, après
à m’écouter ; mais moi je m’altère à tant parler : il faut être plus héros de roman que je ne suis, pour conter une histoire
28 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
t morts avant père et mère, et après le mariage avec le père de notre héros , c’est à présent la belle-mère d’Angélique. Quoiq
29 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
nc marié ? reprit Jussy. Oui, répondit Des Frans, et sa femme est une héroïne de vertu, comme Madame en est une de constance. C
30 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
ière : cependant, contre fortune bon cœur. Cet écrivain du roi, nommé Héros , n’a pas eu l’honnêteté de m’offrir rien du tout
assée ont été dîner chez M. du Quesne. Ils y ont appris qu’il a ôté à Héros une partie de son pillage à la flûte. J’en suis r
ns été sur le fer. J’ai dit ci-dessus qu’il avait fait rendre gorge à Héros , son écrivain ; mais je ne comptais pas avoir par
31 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
prude. Quoique cette aventure soit publique, je n’en nommerai point l’ héroïne  : c’est autant qu’elle doit exiger de ma discréti
ue je suis en train, j’en vas encore rapporter une autre ; mais d’une héroïne bien moins effrontée, & plus subtile, quoique
sortait aussi, il se présenta une jeune femme fort aimable, c’est mon héroïne , âgée au plus de vingt-deux ans, qui se plaignit
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