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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
quoiqu’il y mêlât beaucoup de ses visions romanesques. Ce discours de guerre les fit tomber sur les armes qui étaient alors en
ue des canons, des mousquets, de la poudre et d’autres instruments de guerre , et prièrent Don Quichotte de le leur expliquer.
les n’étaient point épuisés pour fournir à la subsistance des gens de guerre , et à la fabrique de mille inventions que les dém
nventées pour la destruction du genre humain. On n’y faisait point la guerre par le vide de l’air, les armes étaient simples e
avec discipline et modération, et à ne pas souffrir qu’ils fissent la guerre aux amis aussi bien qu’aux ennemis. On prenait un
ses forces ; on combattait corps à corps, et la victoire finissant la guerre , était suivie de la paix. Les villes étaient mieu
isait son travail, et personne ne restait armé comme dans un temps de guerre  ; les mêmes mains qui venaient de manier une lanc
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
t qu’il ne croyait pas qu’il fût plus indigne d’un prince de faire la guerre à des voleurs et à des bandits qui désolaient tou
que c’était plus utilement servir sa conscience et le public dans une guerre de cette nature, que dans une guerre réglée, parc
conscience et le public dans une guerre de cette nature, que dans une guerre réglée, parce que les ennemis qu’on combat dans c
plus cruels, qu’ils ne sont retenus par aucune digue ; de plus que la guerre avait ses lois inconnues aux scélérats, et que le
inconnues aux scélérats, et que les ennemis qu’on combattait dans une guerre de prince à prince, étaient presque toujours des
issance avaient plus à craindre que des étrangers ; qu’enfin dans une guerre ouverte on était en état d’attaquer et de se défe
3 (1721) Mémoires
e sur un bon pied ; en un mot le royaume était en état de soutenir la guerre tant par mer que par terre contre tels ennemis qu
es étaient déchargés de taille, de subsistance, de passage de gens de guerre , de sel et d’autres impositions que toutes les co
s. Il en est de même pour le franc-salé, pour le logement des gens de guerre , la subsistance, etc. , que pour la taille. 26. L
rer que du Grand Banc, encore en temps de paix ; car pour le temps de guerre les Anglais y mettront bon ordre. Et ce sera bien
svik [Utrecht], qui très certainement sera cause un jour de plusieurs guerres bien sanglantes, et dans lequel cette cession n’a
s depuis longtemps les Turcs et les Allemands, et d’autres nations en guerre , ont bien fait leurs paix ensemble sans que la Fr
l’Allemagne, l’Italie et surtout le Palatinat, où les rigueurs de la guerre ont été poussées à des extrémités incroyables, et
n scélérat effectif. Il faut voir le Mercure Français, l’Histoire des guerres civiles, le Journal du Palais, les Mémoires de Mo
a soit vrai ou faux, et que la mort de ce prince fût un coup de bonne guerre , ou un coup prémédité, comme on le disait, elle v
s, et si le premier avait été sanguinaire, peu intéressé et aimant la guerre , on peut dire au contraire que l’autre n’en voula
a paix sur la terre ; S’il eût été de Richelieu, Il aurait apporté la guerre . 80. Il n’y a point de mal qu’on n’ait dit de ce
u’un très mauvais riche. 82. Je n’entreprendrai point de décrire les guerres civiles dont il fut cause, le mécontentement de l
che propre du cardinal de Retz qui fait une si grande figure dans les guerres civiles sous le nom de coadjuteur chef des fronde
par le Roi, et outre cela, Monsieur de Louvois, ministre d’Etat de la guerre , était un [sic] espèce d’Argus qui ne cherchait q
lieues de là ; et le pays pouvait fournir plus de dix mille hommes de guerre , et mettre dix vaisseaux à la mer tant pour attaq
uérants du Mexique et du Chili ; c’est-à-dire qu’ils étaient dans une guerre perpétuelle parce qu’ils n’avaient point d’autori
’impatiemment l’établissement des étrangers et qui leur faisaient une guerre éternelle et cruelle. Ils résolurent de se mettre
seuls ennemis que le Canada ait à craindre par terre, ne font pas la guerre en corps d’armée ; qu’ils s’attroupent peu de gen
le défendre parce qu’il semblait que ces animaux avaient déclaré une guerre mortelle à tous les sauvages. 111. Qu’ainsi peu d
monté à Montréal à quatre-vingts lieues par delà Québec pour aller en guerre contre les Iroquois qui vinrent au devant de lui.
r le Grand Esprit ils entendent Dieu. ) Pourquoi nous intentes-tu une guerre puisque nous ne cherchons qu’à vivre en paix avec
entées étaient inconnues à nos pères, qui n’en faisaient pas moins la guerre , et qui la faisaient plus bravement, parce qu’ils
aire, et nous ne les accusons point de t’avoir obligé à nous faire la guerre ....Tu as encore le choix de poursuivre cette guer
é à nous faire la guerre....Tu as encore le choix de poursuivre cette guerre , ou d’entretenir la paix....Nous ne te la demando
arbre reverdir et s’agrandir, et répandre ses rameaux si loin, que la guerre qu’il couvrait resterait éternellement en terre..
ien bon sens à ceux qui y font réflexion. Lorsque ces peuples font la guerre , celui qui les commande porte une hache à son côt
rimés à la paix ; c’était en 1674 pendant la plus grande fureur de la guerre de Hollande. Mais malgré la paix faite on n’a jam
re cela il fallait entretenir la maison du Roi, payer l’ordinaire des guerres , les gages et les appointements des officiers, le
lle hommes en temps de paix, et plus de quatre cent mille en temps de guerre , et toujours prêts à tomber sur le corps de quico
ns les rues, et il fallut pour le porter en terre envoyer des gens de guerre , et même de la maison du Roi, pour empêcher la ca
ité d’y rétablir l’ordre sans y perdre de temps, d’autant plus que la guerre avec l’Angleterre au sujet du roi Jacques allait
x, intendant ; elle le mit en fureur. C’était de l’avis du conseil de guerre qu’il avait retardé son entrée dans la Manche. Il
mander à dîner sur son vaisseau. Si cela est, j’appelle cela faire la guerre en honnêtes gens qui, indépendamment de l’intérêt
a prêtées au duc de Savoie, et dont il s’est servi pour nous faire la guerre . Il y a encore quelque chose de plus criant. C’es
our en prévenir les suites, d’envoyer des commissaires et des gens de guerre à tous les marchés. Cela augmenta le mécontenteme
je rapporte ici un fruit de sa charité. La femme d’un commissaire des guerres , née à Paris dans sa paroisse, alla le trouver, e
t étant seul à seul, elle lui dit que son époux était commissaire des guerres , et qu’il l’avait envoyée à Paris pour solliciter
la quantité de billets de monnaie, d’ustensile, d’extraordinaire des guerres et d’autres qu’il a négociés ou escomptés, c’est-
parmi eux en vivant à leur manière. C’était lui qui les commandait en guerre , et je puis assurer que lui et le sieur Robineau
rs notre lieutenant de Roi, avait enlevées sans aucune déclaration de guerre . J’avais résolu de ne parler de ceci que dans mon
Bellinzani, Jossier de la Jonchère, trésorier de l’extraordinaire des guerres , de Franciers et de Charny. On m’associa dans la
cinquante et tantôt cent louis, ce qui est beaucoup pour un homme de guerre qui ne connaît point son bien, ni à quoi il peut
disposer à repartir bientôt. J’avoue que cela me fit plaisir, mais la guerre du roi Jacques et ce qui s’en est ensuivi a empêc
des avis Que jamais on n’aurait suivi Sans les temps malheureux d’une guerre cruelle. Mais le Conseil, contraint de subir notr
tait promis De ravager toute la France. C’est à force d’argent que la guerre se fait. Le Roi voulait paraître en avoir. En eff
our en jour. La mort de Monsieur de Barbezieux, ministre d’Etat de la guerre , arriva sur ces entrefaites. Il avait succédé à M
4 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
e différente, mais aussi ceux de même espèce ? Telle est la morue. La guerre est-elle pas aussi grande entre les animaux de te
e de bête et le mette en parallèle avec un âne parce qu’il se fait la guerre  ! Il faut le lui pardonner, il n’avait encore rie
fort qu’on appelait le Fort Dauphin. Ils l’ont abandonné à cause des guerres continuelles qu’on avait contre ces insulaires, d
exécuté qu’il n’y manque rien de ce qui se pratique dans une place de guerre . Monsieur Martin directeur qui est lui-même gouve
ions à bord de l’Ecueil, et sommes à présent en véritable vaisseau de guerre . Dieu nous envoie quelque Anglais qui nous charge
rde ait soufflé de son venin dans ce navire, car ils sont toujours en guerre intestine. Je ne veux pas dire que ce soit par la
t mal. Notre navire ressemble plutôt à un hôpital qu’à un vaisseau de guerre  : lieutenant, sous-lieutenant, aumônier, missionn
elle commence à tomber en ruine faute d’être entretenue à cause de la guerre dont je vous parlerai dans la suite. Les habitant
ges ou comptoirs ; il y a même des Portugais qui y sont habitués*. La guerre d’Europe empêche la Compagnie française de faire
ouvelles de Pondichéry par terre qui disent que le Grand Mogol est en guerre avec Remraja et que son armée est de plus de quat
nous retournons à Pondichéry je ne vous dirai rien à présent de cette guerre , me remettant à vous dire tout ce que j’en appren
e j’ai vu ou appris à Pondichéry pendant que j’y ai resté, tant de la guerre du Mogol et de Remraja que d’autres choses. Pour
rre du Mogol et de Remraja que d’autres choses. Pour ce qui est de la guerre du Mogol et de Remraja il faut la prendre de plus
uvagy qui était soldat et expérimenté et qui en même temps faisait la guerre en lion et en regnard, a toujours ruiné les armée
ire tête aux partis que le général du Mogol envoie de tous côtés à la guerre . Il a défendu longtemps l’entrée de son pays, mai
Comme Pondichéry est des dépendances de Remraja, mais que les gens de guerre du Mogol venaient jusques à ses portes et massacr
ne bassesse servile qui semble leur être naturelle. Pour revenir à la guerre du Mogol et de Remraja, on disait que le Mogol lu
nde fois au monde pour l’amour d’eux. Voilà tout ce que je sais de la guerre du Mogol et de Remraja, et que Gingy qui est la v
ser au trajet, ne les voyant pas en état de résister à six navires de guerre français qu’on fait passer là pour six diables. I
terreur et l’épouvante et que si nous restions deux ans aux Indes en guerre , nous ruinerions absolument le commerce des Angla
que dans la sainte-barbe. Ainsi notre fortune est faite du côté de la guerre pour cette année et votre neveu n’en reviendra pa
arlerai point du tout si ce n’est de ce qui leur est arrivé depuis la guerre . Les Anglais ont fait ici des ravages inouïs. La
et Marie-Galante, dans la dernière desquelles, contre le droit de la guerre , ils ont pendu beaucoup de Français. Ils ont assi
par huit vaisseaux, savoir quatre du Roi et quatre marchands armés en guerre par les habitants de La Martinique, ils ont levé
inique, ils ont levé le siège, quoiqu’ils fussent quatorze navires de guerre . C’est dommage de la perte de Saint-Christophle,
même on leur rendrait leurs terres comme ils l’espèrent à la paix, la guerre ne pouvant pas être immortelle, leur rendra-t-on
olu dans le conseil que les six navires des Indes et trois navires de guerre qui sont ici iraient trouver les Anglais où ils s
autres sont retirés à la Dominique et autres îles inhabitées. Ils ont guerre perpétuelle avec les Anglais et les mangent. Il n
ce qu’ils disent. Ils ont une joie inexprimable de ce que nous avons guerre avec leurs ennemis. Ces gens n’ont pour armes que
uver de leurs mains quand ils sont piqués au jeu parce qu’ils font la guerre comme les sauvages du Canada, c’est-à-dire qu’ils
-trois bâtiments de compagnie tant gros que petits. Il y en a huit de guerre , qui sont les six des Indes, Monsieur le chevalie
5 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
de leur faire aucune insulte. Je parlerai de ces princes, & de la guerre qui est entre eux. Ce fort paraît neuf, & l’e
& le trafic du père, le second se met parmi les neyres ou gens de guerre , & un autre se rend bramène, ou prêtre des id
omis de me faire, au retour de notre hiverne-ment, une relation de la guerre qui dure encore entre le Mogol & Remraja : ce
ui nous restait à bord, & nous sommes présentement en vaisseau de guerre . Nous resterons à la mer deux mois plus que messi
rde ait soufflé de son venin dans ce navire, car ils sont toujours en guerre intestine. Je ne veux pas dire que ce soit par la
omme le perroquet ; & si ces deux animaux ne se faisaient pas une guerre perpétuelle, on les prendrait pour être de la mêm
tagne, dans laquelle il a le premier porté les lois romaines & la guerre  ; &, sans remonter si haut dans l’Antiquité,
rvice. Notre navire ressemble plutôt à un hôpital qu’à un vaisseau de guerre . Lieutenant, sous-lieutenant, aumônier, missionna
sommes. Nous n’avons plus l’air de vaisseau du roi, ni de vaisseau de guerre , mais seulement d’hôpital. Je ne sais sur quoi en
us page 89 que si le crocodile & le caïman ne se faisaient pas la guerre , on les prendrait pour animaux de même espèce. L’
reuse défense de la part des Anglais, qui sont encore actuellement en guerre avec lui au sujet de ce fort. Ils demandent la pa
l commence à tomber en ruine faute d’être entretenu, à cause de cette guerre . Il est fort bien placé sur une hauteur, qui n’es
 par conséquent des damnés. Innocent XI n’était pas si scrupuleux. La guerre d’Europe préjudicie bien fort au commerce des Fra
e fort du Mogol. Comme nous y retournons, je ne dirai rien ici sur la guerre de ce prince contre Remraja, on m’en a promis la
cle tout ce que j’aurai pu en apprendre. Je dirai cependant que cette guerre du Mogol ne me paraît pas faire l’unique motif de
de leur père commun acheté une charge de trésorier de l’Ordinaire des Guerres , le mit à la porte, ne se trouvant pas dans la vo
parler savamment, puisque ce M. Martin, trésorier de l’Ordinaire des Guerres , monsieur R***, receveur général des Finances, &a
amp; dont par conséquent je n’oublierai pas un article. Je viens à la guerre du Mogol.   Il a voulu rentrer dans ses droits, &
grosses pièces de canon & tout l’attirail & les munitions de guerre nécessaires pour une expédition considérable. Il
rce que les Indiens sont moins que des poules. Je reviens aux gens de guerre du Mogol. Un de ses partis était venu tout proche
 quelques-uns de mousquets ou fusils. Voilà tout ce que je sais de la guerre du Mogol & du jeune Remraja. Sévagi son père,
nté, mais il y a beaucoup de conformité dans leur manière de faire la guerre . Après ces pillages, Sévagi se retirait & rev
n de vengeance, en ce que Aureng-Zeb, au lieu de le récompenser d’une guerre heureuse qu’il avait faite pour lui, avait violé
ment morts : on me l’avait lait craindre, & je n’en doute pas. La guerre du Mogol & de Remraja a, comme je l’ai dit, a
ants qui sont arrachés des bras de leurs pères & mères pendant la guerre , ou par les Arabes : les juifs les achètent, et l
ces ne pouvaient faire aucun traité de paix, ni aucune déclaration de guerre qu’autant qu’il plaisait aux Hollandais, qui, com
de secouer le joug qu’ils leur imposaient, en les plongeant dans des guerres intestines les uns contre les autres et en suscit
lbert, à M. de Seignelay, & à la Compagnie ; que dans un temps de guerre six vaisseaux armes, & rôdant en armateurs &a
lais dans leur commerce, en moins de quatre ans, que trente années de guerre en Europe, & soixante vaisseaux dans les mers
st vrai & indubitable, j’ose assurer qu’en quatre ans de pareille guerre , cette République ne serait plus en état d achete
vre en repos avec qui que ce soit, & qui aiment mieux se faire la guerre les uns aux autres que de rester en paix. Ils nou
s trouver, ou bien nous l’y attendrons, ce qui dépendra du conseil de guerre . En tout cas, monsieur, je compte sur vous, comme
était chargé ; ce qui est une bien grosse perte, surtout en temps de guerre  : &, par leur propre confession, ils ont fait
n n’était pas de son ordre, mais de celui de saint François. Avant la guerre de Hollande, c’est-à-dire vers la lin de l’année
absence du roi elle donne un commandement absolu sur tous les gens de guerre , & que Pitrachard en avait augmenté le lustre
u tout s’il ne leur était rien arrivé depuis le commencement de cette guerre . Les Anglais y ont fait des cruautés plutôt digne
che, Saint-Martin, & Marie-Galante ; &, contre le droit de la guerre , ont dans cette dernière île pendu quantité de Fr
, les Anglais se sont retirés, quoiqu’ils fussent quatorze navires de guerre . C’est dommage de la perte de Saint-Christophle :
pt lieues d’une île à l’autre. Il avait été résolu dans un conseil de guerre que nous irions avec trois navires & deux arm
t le reste perdu. Quel est le souverain qui voudrait entreprendre une guerre , s’il était bien persuadé qu’il doit rendre compt
res s’étant retirés à la Dominique ou autres îles inhabitées. Ils ont guerre perpétuelle avec les Anglais & les mangent. I
qui sommes salés. Ils ont une joie inexprimable de ce que nous avons guerre avec leurs ennemis ; & quatorze canots, chacu
du matin, vingt-trois vaisseaux de compagnie, dont il y en a huit de guerre , qui sont nous six, le Mignon, qui doit nous quit
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
du cor que chaque troupe aurait. Pendant cette manière de conseil de guerre , Sancho avait plié bagage, et avait mis le pâté e
J’en ai de la joie, lui dit Don Quichotte, cela t’appartient de bonne guerre . —  Non pas à moi seul, Monsieur, lui dit le fidè
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
recueillis pour un couvent, et qui me paraissaient aller à la petite guerre , un air fin et éveillé, des manières dissipées, t
ordre de partir dès la fin de janvier, temps mal propre pour faire la guerre  ; mais le Roi qui ne se ménageait pas plus que le
où j’allais, où son nom de famille est connu, et nullement son nom de guerre , qui n’est connu qu’ici. Je voudrais, poursuivit-
a pas. Le gendre qu’il s’était choisi était effectivement un homme de guerre , qui avait acquis quelque réputation. Les biens d
8 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
n sortir. Nous sommes six vaisseaux de compagnie, tous équipés moitié guerre et moitié marchandise, bien fournis de munitions
sée, qui commande une compagnie franche, et qui a été dans toutes les guerres de Hollande : il a de l’esprit infiniment, beauco
par jour les procès-verbaux, les inventaires, et les consommations de guerre et de bouche. M.Des Clouzeaux ajouta qu’il faudra
point de ne l’avoir pas fait, parce qu’il espérait que le conseil de guerre lui en rendrait une justice plus sévère ; qu’il e
e touche de près, et est de sa compétence, et nullement du conseil de guerre quant à présent. Pour quoi l’assignation est remi
désordre et des violences. Qu’il était bien heureux que le conseil de guerre eût décidé du châtiment, parce que sans doute lui
que tout mon bien y fut employé, et que j’ai tout perdu depuis par la guerre où nous sommes encore engagés ; les Anglais ayant
perdrait : prenez garde même que je ne demande justice au conseil de guerre de votre impertinente entreprise. Vous le prenez
le mieux. Il est serré, bien sec, et d’une bonne odeur. J’ai fait la guerre aux dépens de Bouchetière, étant de son eau-de-vi
ger Rollet ? et qu’il plaigne la condition des hommes de se faire la guerre  ! Ses vers sont très beaux et très harmonieux, ma
du moins dont le croupion ne soit mangé par ses voisines de cage. La guerre a été de tout temps : c’est un malheur attaché à
humain descend d’eux, et se ressent de son origine. Ce n’est point la guerre qu’il faut blâmer, c’est la manière de la faire,
, natif de Saint-Malo. Il revenait des Indes, et ne savait pas que la guerre , par l’invasion du prince d’Orange en Angleterre,
nes raisons ; entre autres, qu’on ne savait si on était en paix ou en guerre  : son malheur voulut qu’il se rendît. La Maligne
à couvert d’insulte. La Compagnie hollandaise se servit d’un temps de guerre entre l’Angleterre et les États Généraux, du temp
te canons bien montés, avec toutes les munitions nécessaires, tant de guerre que de bouche. Il fut pourtant, grâce à la vigila
t bien long, et qui pourrait faire de très curieuses anecdotes sur la guerre de 1672 contre la Hollande. Il m’en a plusieurs f
en lui disant que les Français sont trop honnêtes gens pour faire la guerre aux femmes et aux filles, surtout aux belles, pou
e furent détruits que par leurs divisions, leurs partialités et leurs guerres civiles, qui engendrèrent la monarchie. La Républ
sur les intérêts du beau-père et du gendre. Mais, du moins, si cette guerre est funeste à la chrétienté, elle doit lui ouvrir
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
emeurer, outre que d’ailleurs il n’était point véritablement homme de guerre , joint à cela que le duc de Médoc lui-même l’en a
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
des chaînes où Pluton le retenait depuis trois ans, qui t’a juré une guerre éternelle, à cause qu’étant son ennemi, il voit q
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
descendit aussitôt et trouva Dorothée et Eugénie.Celle-ci lui fit la guerre d’être dans un cabaret au lieu de signaler sa val
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
criait que cette bourse était à lui, et qu’il l’avait gagnée de bonne guerre . Tais-toi, lui dit Pluton d’une voix épouvantable
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
Je lui parlai des intrigues de la ville, des nouvelles de Cour et de guerre  ; et enfin pour consumer le temps, j’empruntai le
eur invincible pour la robe et pour la plume, qui ne respirais que la guerre et l’épée, je me remis dans les études, et peu s’
moi prétexte de quitter Paris, soit pour une commission, soit pour la guerre , soit pour aller à la suite d’un ambassadeur, com
r pour quelque chose que ce fût. Le discours des voyages tomba sur la guerre , et insensiblement sur celle de Picardie [Candie]
aix de l’Empereur et du Turc étant faite, je passai en Portugal où la guerre était allumée contre l’Espagne. La paix fut faite
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
da à quel dessein ils s’étaient armés, puisqu’ils n’allaient faire la guerre qu’à des perdrix et à des lapins. Don Quichotte r
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
de le mettre tout de bon en colère, il se jeta sur sa femme de bonne guerre , et la rossa tant qu’il put, et qu’on lui en donn
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
t qu’âme qui vive ne soupçonnait notre intelligence, ils me firent la guerre de mon peu de soin. Je lus ce billet et le déchir
sienne. Ils furent réveillés le lendemain par Dupuis qui leur fit la guerre d’être encore à neuf heures au lit. Ils montèrent
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
e. Des Ronais en parut inquiété, et Madame de Contamine lui en fit la guerre fort spirituellement lorsqu’on fut à table. On so
18 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
ai plus dans l’esprit et le corps Contraint de soutenir une éternelle guerre . Un trépas désiré vient me fermer les yeux Je ne
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
croire qu’il était amoureux de cette demoiselle. Chacun lui en fit la guerre  ; Madame la princesse de Cologny elle-même lui di
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