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1 (1721) Mémoires
és et auxquels j’ai refusé mon nom, quoiqu’ils aient eu l’approbation générale , font foi de cette vérité. Mais comme je suis cer
mer que par terre contre tels ennemis qui se seraient présentés. Ses généraux étaient expérimentés et les soldats bien discipli
e déclarer, tant il est vrai que l’intérêt personnel l’emporte sur le général . L’intérêt de ces rentes qu’il a fallu payer sans
sse de leur naissance ont rongé leur mère jusqu’aux os. Les receveurs généraux des finances, les receveurs des tailles, les ferm
11 fut assez mal conseillé pour se défaire de sa charge de procureur général , et suivant les conseils du cardinal le Roi le fi
a à l’emploi de surintendant des finances sous le titre de contrôleur général , parce que cette charge qui véritablement donnait
te, puisque lui-même était reliquataire. Il fixa le gain des fermiers généraux et de ceux qui entraient dans de nouveaux traités
re mille friponneries. C’est M. Des Marez qui depuis a été contrôleur général des Finances, et que son propre oncle, de la conf
s, et en un mot lorsque le Roi était obligé de faire un gros paiement général  ; et au contraire, pour augmenter la valeur, on p
acabie si bien altérée que Mons[ieu] r de Harlay, pour lors procureur général et depuis président, dont j’ai déjà parlé, s’en p
olent jusques à la brutalité. 136. Il envoya quérir ceux des fermiers généraux qui avaient soin de la fabrique de ce papier, ent
en furent quittes pour aller demander pardon à Monsieur le procureur général , qui les reçut d’une manière digne de lui et d’eu
avec tant d’instance. — Ce sont, Monseigneur, Messieurs les fermiers généraux . — Il était bien nécessaire, répliqua-t-il, de me
ne vaut rien par la même raison d’intérêt pécuniaire que les fermiers généraux en tirent ; mais outre cette raison, il y en a en
uelque acte qui par la suite du temps peut faire honneur à un fermier général , ce même fermier général fournit lui-même le papi
ite du temps peut faire honneur à un fermier général, ce même fermier général fournit lui-même le papier, semblable à l’autre p
a chaleur que l’âge leur dénie, etc… » 154. J’avais un oncle receveur général des finances du Bourbonnais, ami de M. Picon, qui
rvants de Monseigneur il y en avait un nommé Hubert, fils du receveur général des finances de Soissons. Il aimait Monseigneur,
et voulut rester dans sa chambre quoique le prince eût donné un ordre général à tout le monde d’en sortir. Monseigneur lui dit
ministre d’Etat ; il fut simplement secrétaire d’Etat, et contrôleur général des Finances. Il était parfaitement honnête homme
rtrain, ce ne fut pas sans peine qu’il parvint au poste de contrôleur général . Son humeur dure et intraitable, la hauteur dont
la connaissance d’une contestation qui s’était mue entre les fermiers généraux des fermes du Roi et les fermiers particuliers de
qu’il en tira, et depuis de temps-là ce droit est resté aux fermiers généraux . Un jugement pareil mériterait bien que le régent
’augmentation par année pendant neuf ans du produit actuel des fermes générales sur le pied que le roi les avait affermées au der
ntation qu’il offrait ; qu’il n’y avait autrefois que quatre fermiers généraux , et que les fermes générales n’en avaient pas été
l n’y avait autrefois que quatre fermiers généraux, et que les fermes générales n’en avaient pas été plus mal régies ; mais que q
’en avaient pas été plus mal régies ; mais que quarante-huit fermiers généraux étaient autant de vautours qui rongeaient le cœur
hiens qu’il ne serait jamais maréchal de France, c’est-à-dire fermier général , ce qui est le nec plus ultra des gens d’affaires
it encore d’eux. Je lui ai ouï dire à un nommé M. Lemée, mort fermier général , que quoiqu’il fût un des plus fins et des plus r
t. 227. Sa terreur panique lui fit donc perdre la place de contrôleur général des finances, dont il était aussi digne que M. de
us aurions pu nous vanter d’avoir battu les ennemis si la division du général avait pu tenir sur ses ancres au ras Blanchard. M
it longtemps. Il m’ordonna de les porter à M. d’Herbault, commissaire général , qui était sur le vaisseau le Souverain commandé
Pontchartrain disposait du gros ; elle vendait les places de fermiers généraux cinquante mille francs, et outre quatre cents cin
Foufre de l’élévation ! pendant que j’étais la femme d’un contrôleur général , je roulais sur l’or et l’argent ; et à présent q
vée dans l’histoire du comte de Souches [sic], et ce fut celle que ce général fit à Monsieur de Créqui à Trèves. 261. En sortan
n était perpétuellement obligé d’accorder des indemnités aux fermiers généraux et aux sous-fermiers sur le prix de leurs baux, c
terrogatoire, il donna, sur les remontrances de Monsieur le procureur général , arrêt par lequel il ordonna que Miotte serait re
ur lui être son procès fait et parfait à la requête du même procureur général , et que quatre de Messieurs se transporteraient d
dix mille livres d’amende et à quelques grains au profit de l’Hôpital général . Tout Paris fut surpris d’un pareil arrêt, parce
ormant a commencé par être laquais de Montmarqué, aujourd’hui fermier général . Il eut une petite commission en Flandre dont il
et adroit. Il a possédé de très beaux emplois, et n’a été mis fermier général que pour servir d’espion à ses confrères, et rend
ous le nom de qui M. de Pontchartrain était intéressé dans les fermes générales et plusieurs sous-fermes. Il était intéressé dans
il s’associa avec eux. Il gagna beaucoup de bien là, mais le contrôle général des Finances étant tombé comme je l’ai dit à Mons
rd, fils de celui qui avait autrefois fait les fonctions de procureur général dans la chambre des comissaires qui jugea M. Fouq
se de Monaco. 294. Ce fut ainsi que M. Chamillart fut fait contrôleur général des Finances ; poste dont il se serait sans doute
es-uns de ma connaissance : 295. A Monsieur de Chamillart Contrôleur général des Finances de France, Est présentée, à tout has
re autres Cléopâtre, qui est un très bon poème. Il avait été receveur général des finances à La Rochelle, et intéressé dans les
ux. Je sais celui-ci de la bouche de M. Camus de Beaulieu, contrôleur général des troupes et de l’artillerie de France, très fa
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
u et de vivacité. Les Espagnols répliquaient, que par le consentement général de tout le monde, l’amour qui n’était point accom
n’y avait point de pays qui ne produisît des gens contraires au génie général , mais que généralement parlant les Espagnols étai
e l’indifférence des Français se remarquait jusque dans leur conduite générale , par l’abandon qu’ils faisaient de leurs maîtress
3 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
t. J’ai vu des bœufs, mais je n’y en ai point mangé, pas même chez le général des Français. Je ne crois pas qu’on en abatte ; o
telages sont communs dans les Indes : & quand le directeur, ou le général des Français (M. Martin est à présent l’un & 
artenait autrefois au Mogol, & a été usurpé sur lui par un de ses généraux , nommé Sombagi, ou Sévahi, dont le fils règne à p
urnée : il n’a pas fait un souffle de vent. J’ai été souper à bord du Général  : j’y ai appris que nous irons à Mergui. Avant qu
ire est revenu sur nous. On croit avec toute sorte d’apparence que le général des Hollandais à Batavia est instruit de notre ar
contre nature s’abolit. Cette prohibition de mariage, & l’utilité générale qui en provient, me font souvenir de ce que dit C
Que le scorbut de terre provient du mauvais pain que le munitionnaire général donne aux soldats ; si vrai que tant qu’ils ont m
e se souvient plus du procès qu’il eut à soutenir contre les fermiers généraux , j’en retracerai l’idée avec d’autant plus de pla
mmé Martinon, très ardent fripon, y était directeur pour les fermiers généraux . Il vit les diamants de Rupli, & les garda :
’en avoir pas le démenti, & sachant, de l’autre, que les fermiers généraux appuieraient ses friponneries à cause du gain, fi
père, qui de sa part était, vraisemblablement, payé par les fermiers généraux , pour ne rien faire en faveur de Rupli & le l
-ci avait été au bureau des Fermes, & avait instruit les fermiers généraux que cet avocat au Conseil entreprenait pour Rupli
e Sa Majesté partageait la gloire de ses exploits militaires avec ses généraux & ses soldats, mais qu’elle jouirait seule de
t rendu ce mémoire trop long : il n’oublia pas la visite des fermiers généraux , & la tourna d’une manière si bouffonne que l
p; expédié le même jour, & dès le lendemain signifié aux fermiers généraux & au greffier de la Cour des Aides. M. Colber
’Arménien, fut bientôt mise en état d’être jugée ; mais, les fermiers généraux , qui avaient fait instance sur instance à la Cour
r Rupli, ce ministre rejetant tous ses ressentiments sur les fermiers généraux . Ceux-ci firent parler d’accommodement à l’Armén
a Feuillade, il y eut arrêt, qui ne donnait que huitaine aux fermiers généraux pour tout délai pour achever leurs écritures, leq
usqu’à ce qu’il y fût, voulant être présent au jugement. Les fermiers généraux redoublèrent vainement leurs instances d’accommod
ts, cent vingt mille livres de dommages & intérêts ; les fermiers généraux condamnés aux dépens, & Martinon à une prison
se sont de rien l’un à l’autre, j’ai tâché de savoir si ce M. Martin, général des Français aux Indes, touche à quelqu’un d’eux.
ntente de ses services, l’a élevé par degrés ; &, enfin, le voilà général des Français dans les Indes. M.du Quesne lui en a
la mousqueterie le jeudi 17 août de l’année passée. Cette qualité de général n’a point augmenté son autorité, y ayant longtemp
des harengères. On l’appelle ici Madame tout court, ou on y joint la générale  ; & la fille est très avantageusement mariée
Martin, trésorier de l’Ordinaire des Guerres, monsieur R***, receveur général des Finances, & M. de Quirckpatrik, premier c
orce de présents ont fait en sorte que ce prince a envoyé ordre à son général de les prendre sous sa protection contre nous, si
évolter, il a fait faire à plus de trente lieues de chez lui un dégât général dans les pays restés fidèles au Mogol, depuis la
es mouvements de l’année du Mogol que pour résister aux partis que le général de cette armée envoie de tous côtés. Les deux arm
amp; qu’il la commandait en personne. Cela est faux : c’est un de ses généraux qui la commande, & qui n’y gagnera pas beauco
u Mogol en faveur des Anglais & des Hollandais, & a obtenu du général de ce prince que les banians & les noirs qui
ts de leurs loges ou comptoirs ; par la somptuosité du palais de leur général à Batavia, où vont leurs ambassadeurs ; par leur
amp; viennent d’Europe, sont comme les directeurs & les receveurs généraux ambulants de la banque et du trafic. Cependant, i
p; avoir un habit du monde. Qu’il avait postulé, auprès du provincial général , la chaire de théologie à Bruxelles ; qu’il l’ava
’est mû en dînant, entre MM. de Bouchetière, de La Chassée, procureur général , & moi, demandeurs & accusateurs, d’une p
du dessert commun, sauf à la cour & à M. de La Chassée, procureur général en icelle, à prendre pour la vengeance publique t
mais il faut remplir ses devoirs. J’ai fait cet après-midi une vente générale de tout ce qui a été laissé par le canonnier &
llé au Fort Saint-Pierre, puisque c’est là que nous aurions trouvé le général & l’intendant. M.de Porrières vient d’aller a
chargé ; &, si j’ose le dire, je parlai si pathétiquement à M. le général , & à M. l’intendant, que j’en obtins tout ce
e roi l’avait choisi il y a deux ans pour aller à Siam, en qualité de général des Français ; poste qui, dans la conjoncture des
i-ci, comme témoin oculaire, de visu & auditu : le sieur Joubert, général des vivres au Fort Saint-Pierre, me l’a certifié 
oire en paix. J’ai dit que M. le marquis d’Éragny devait venir à Siam général des Français ; endroit où il fallait un homme cho
, quand on leur rendrait leurs terres, comme ils l’espèrent à la paix générale , leur rendra-t-on leurs maisons garnies, leurs su
4 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
de vaisseau. Il est neveu du grand et fameux M. du Quesne, lieutenant général , qui a mieux aimé renoncer au service et aux honn
entre les mains des Anglais qui ne voulurent pas attacher une action générale . Ce marquis était allé les reconnaître ; mais la
er le sieur Albus, directeur des vivres pour M. du Pile, entrepreneur général . Je le priai, suivant les ordres que j’avais, de
sévère ; qu’il eût à s’embarquer dans le moment, pour venir à bord du Général  ; et que pendant le chemin il aurait le temps de
ient lieu de se plaindre, puisque cela était ainsi pratiqué à bord du Général , et que d’un autre côté notre vin en durerait plu
n. Vent devant, et six coups pour un mandarin ! Que ferait-on pour un général  ? Deux coups de canon suffiraient ; et on croit q
aisseau de Ruyter en fil une, qui fit connaître à M. du Quesne que ce général était mort, ou du moins bien blessé, puisque, s’i
point de sa faute, ayant fait tout ce qu’on pouvait attendre d’un bon général , d’un bon soldat, et d’un très habile matelot.
eux qui y ont été sur lequel on pût faire fond : par cette raison, le Général nous avait fait signal de tenir la tête. C’était
s consulter sur la maladie. Il l’a promis et a demandé avec un air de général pourquoi cela n’avait point été fait. Notre chiru
lui. Tout a été fait double, sur l’un desquels il m’a donné son reçu général  ; et le tout a été signé par les officiers. L’org
rs, c’était dédire son choix que d’en déplacer un. Qu’à tout cela, le général avait répondu que le défunt n’était point officie
, je vous en demande justice à tous deux : à vous, monsieur, comme au général , et à monsieur, comme au capitaine. Nous sommes,
capitaine. Ils se sont mis à rire. On me l’a bien dit, m’a dit notre général , que tu ne vaux pas grand-chose : donne-moi seule
essieurs, un peu de réflexion, s’il vous plaît, ai-je continué. Notre général a eu l’honnêteté de vous en demander : cela mérit
l j’ai répondu, il en a fait porter douze bouteilles dans le canot du général , qui nous en a fort aimablement remerciés. Après
n personnage de sa compagnie. Celui-ci, s’entendant exclure du rachat général , a compris que son capitaine avait la malice de v
ssé à l’heure que j’écris. Le commandeur, les autres capitaines et le général ont dîné au Florissant. Le commissaire est sur ce
nt dans ma chambre pour prendre quelque chose dont j’avais besoin, le général m’a appelé. Écoutez, monsieur C..., m’a-t-il dit,
l’agrément. Il y a eu trois tables à bord aujourd’hui. La première du général et capitaines : MM. Blondel, de La Chassée et Le
Du jeudi 18 mai 1690 Ce n’est pas le moyen d’aller dîner chez le général qu’un vent de Sud-Est contraire et bien fort : ai
est français, parisien, et se nomme M. Martin, nom pareil à celui du général des Français à Pondichéry, où nous allons ; et to
année passée, à la descente que M. du Quesne, qui est à présent notre général , lit en Irlande sous le commandement de M. le mar
ne se sentait pas de joie et voulait se lever pour aller remercier le général  ; mais on l’en a empêché ; et effectivement, il n
ons appris, par le retour de M. Porrières, qu’il était mort à bord du Général deux hommes blessés à Amzuam, et qu’il garde le m
’est nous qui l’avons recueilli et à qui il doit la vie ; mais, notre général a perdu trop d’hommes pour lui disputer celui-là 
qui tombe à terre, sèche et aride. Je crois celui-là, parce que notre général l’assure. Il ajoute que ces serpents, fort longs,
l’a congédiée : et son monde étant rembarqué, il a pris le chemin du Général . Cela s’appelle-t-il des moineaux ? Vartigué ! y
g avoir été l’objet d’un pareil remeré. J’en suis à couvert ; mais le général dit que si je ne pille pas, je fais autre chose q
as avoir part à la restitution. Je l’ai eue, pourtant ; puisque notre général m’a fait présent de cent piastres, et le commande
qui est dans l’Écueil est aussi content que moi de la visite de notre général . Je ne le crois pas, ayant ce soir vu à table un
tte fille, qui n’a qu’environ dix-sept ans, est nièce de M. Speelman, général à Batavia, et qu’elle venait trouver le gouverneu
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
cause que je t’ai pris en amitié, tu t’offenses sur une simple parole générale , lâchée sans aucun dessein de t’offenser ? Crois-
vin. Le sage enchanteur fit semblant de s’apercevoir de la perplexité générale , et mit la main sur la table, en jurant qu’il all
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
s étaient plus braves ; on ne faisait point consister l’habileté d’un général d’armée dans la surprise qu’il peut faire à son e
7 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
rientales A Monsieur Raymond Conseiller Secrétaire du Roy Receveur général des finances du Bourbonnois Monsieur, Après t
sont le Gaillard, commandé par Monsieur du Quesne-Guitton qui est le général de la flotte. Il est neveu du grand Monsieur du Q
aime ses petits. On a raison pour le premier, mais la règle n’est pas générale pour le dernier. Une truie que nous avons ici et
olta contre lui. Le Mogol pour le remettre dans le devoir y envoya un général avec une fort belle armée. Ce général nommé Sauva
ttre dans le devoir y envoya un général avec une fort belle armée. Ce général nommé Sauvagy battit le rebelle, reprit sur lui t
e-même tant sur sa marche que dans le siège, il a fait faire un dégât général de plus de trente lieues le long de la côte et de
e en personne commandait son armée. Il n’en est rien, c’est un de ses généraux qui la commande. Un de ses partis était venu jusq
’ici où sont Monsieur le Général et Monsieur l’Intendant. Monsieur le général est Monsieur le marquis d’Eragny, le même que le
ait destiné pour capitaine des Gardes du Corps du roi de Siam et pour général des troupes françaises dans ce royaume. Je l’ai v
rivées dans ce royaume l’ayant rappelé à Paris, le Roi l’a envoyé ici général des Iles à la place de Monsieur le comte de Bléna
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
ue parce qu’il y en aura une qui donne sujet de plainte, on accuse le général  ? Nous vous rendons plus de justice, poursuivit-e
nous blâmons ceux qui sont à blâmer ; mais nous n’attaquons point le général . Avez-vous fini, Madame, interrompit Dupuis, les
9 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
e garde à ne point offenser ces chevaux. Des Frans entendit cet ordre général , et remercia ces messieurs d’un air qui leur fit
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
de trouver une mauvaise tête, cela ne mérite pas d’en faire une thèse générale . — Ce n’est pas à vous à parler des femmes. Monsi
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
où je m’étais retiré, elle ne le crut pas ; et cela joint à l’abandon général de tout le monde la fit douter de tout ; d’autant
, m’[a] réveillée de ma léthargie, en me faisant voir un déchaînement général , j’ai résolu de les jouer à mon tour. Ils ont vou
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
rir. Tous les sacrements lui furent administrés, après une confession générale , dont il n’eut l’absolution, qu’en promettant de
de ne lui pas justifier par votre exemple, les sentiments qu’il a du général . Il n’est pas question de cela, interrompit Dupui
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. Puisque suivant la règle générale des romans, je dois en véritable héros vous racon
ornait à celle de m’avoir mis au monde. Que cette obligation était si générale et si commune, qu’elle ne méritait pas d’être com
ouin, à qui sous des noms empruntés et par manière d’entretien sur le général , on voulait faire une vive réprimande ; et je le
t me parla d’une manière toute charmante, en me faisant sa confession générale . Qu’elle m’avait aimé dès le temps qu’elle m’avai
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
croire de la dissimulation dans toutes, ou du moins, si cela est trop général , que je puis dire que j’en ai été trop maltraité
uver mauvais que je m’en prenne au plus grand nombre pour regarder le général , les autres en petit nombre passant dans mon espr
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
tait, il nomma Monsieur le marquis de Buringe, comme un des officiers généraux et de ses intimes amis, un fort brave homme et un
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