nce. Vous savez quelle est ma famille, et que je n’ai jamais eu qu’un
frère
, et que nous n’avons jamais été bons amis ; cela
a fortune ne s’en est pas trouvée plus établie, et cela parce que mon
frère
, qui avait été pourvu pendant sa vie, avait empor
père de me retirer du logis, à quoi contribua encore l’arrivée de mon
frère
qui arriva [à] Paris. Il fut reçu de ma mère en e
re à me donner. Justement comme j’étais au coin de sa rue, je vis mon
frère
entrer dans un lieu où je savais qu’il ne demeura
’eus que faire d’entrer dans la chambre, je distinguai la voix de mon
frère
, et je le reconnus par le trou de la serrure. Je
quelquefois chez la Martinière, qui était l’accoupleuse chez qui mon
frère
était. Elle avait fait tout ce qu’elle avait pu p
’il avait porté. Un moment après ma mère rentra toute bouffie, et mon
frère
qui la suivait était dans une telle confusion que
qu’elle n’osait ouvrir la bouche, ni pour manger, ni pour parler. Mon
frère
la copiait, et moi je ne pouvais pas m’empêcher d
ncontré que le savetier son espion s’est mépris ; elle y a trouvé mon
frère
. Il n’y avait pas moyen de dire que non : les laq
e mit à rire aussi. Je ne sais ce qu’il put dire en particulier à mon
frère
, mais pour le moment il lui dit simplement que ce
t que j’avais fait faire cette demande, et le sut justement comme mon
frère
était à Paris. Nous logions tous deux chez elle ;
e jusqu’au point de ne pouvoir me souffrir dans la même maison où mon
frère
demeurait avec elle, elle pouvait s’en expliquer
s insensiblement accoutumé à ne la plus traiter en mère. Que pour mon
frère
, bien loin de lui vouloir du mal, je souhaiterais
de part et d’autre, et n’opéra rien pour ma fortune, et nous mit mon
frère
et moi aux épées et aux couteaux. Tous mes parent
aravant, elle ne changeait pas de manière ; et je voyais Monsieur mon
frère
sur un pied tellement au-dessus de moi, que je me
es celles qu’on m’avait faites ; mais je fus assommé de celle que mon
frère
fit mal à propos. Comme il ne regardait Célénie q
a dans sa chambre assez éloignée de la salle où nous avions dîné. Mon
frère
s’était jeté sur un lit de repos, et moi j’avais
e, je courus fermer le verrouil de la porte, et je m’avançai vers mon
frère
: allons, Monsieur, lui dis-je, en mettant l’épée
pointe dans un nœud de rubans qui pendait à la garde de celle de mon
frère
; l’espace n’était point assez grand pour me jete
galité de tendresse. Au revoir, Monsieur, poursuivis-je parlant à mon
frère
, je vous demanderai mon reste une autre fois, ou
ais le plus maltraité, quoique les blessures que j’avais faites à mon
frère
fussent dans des endroits bien plus dangereux ; m
mblant de m’apercevoir que ma mère avait toujours resté auprès de mon
frère
, sans songer à moi, qu’après l’avoir vu en sûreté
couru hasard. Elle me remercia de tout, et pleura de bonne grâce. Mon
frère
qui ne garda le lit que quinze jours, la vit en s
naître que dans l’occasion le bon sang ne se dément point, et que les
frères
sont toujours frères. Pour revenir à Célénie, qui
asion le bon sang ne se dément point, et que les frères sont toujours
frères
. Pour revenir à Célénie, qui, comme je vous ai di
rait dans un autre temps. Que de plus, ce qui s’était passé entre mon
frère
et moi, serait sans aucun fruit à mon égard, si j
Il en faut bien moins que cela pour obliger les meilleurs amis et les
frères
même, à se couper la gorge ensemble. Je n’ai poin
moi. Je dis à la Delorme que le gentilhomme qui était avec moi, était
frère
de la demoiselle que j’allais épouser, avec qui p
qui m’a tout à fait rendu honnête homme. Une lettre de change que mon
frère
m’avait envoyée, m’avait obligé d’aller chez un g
ais cette dernière parole, l’homme dont il s’agissait entra. Il était
frère
du défunt mari de la veuve, établi en province, o
. Je l’ai laissée, dit-elle, chez ma tante avec Monsieur Gallouin son
frère
, qui tous deux comptent que vous vous donnerez la
toute sa famille, c’est-à-dire, Madame sa mère, ses deux sœurs, et un
frère
fort jeune qu’on destinait à l’Église, qui n’avai
à de la tapisserie ; j’entrai dans ce moment. Elle me demanda si son
frère
avait encore envie de quitter le monde. Je lui ré
la vérité de ce que ce bon religieux nous avait dit à Monsieur votre
frère
et à moi. Il nous avait fait voir qu’après une re
non. *J’étais en ces termes avec Mademoiselle Gallouin, lorsque son
frère
me fit confidence de l’amour qu’il avait pour Sil
à présent, je vous aurais blâmé au contraire, si vous aviez manqué au
frère
de votre maîtresse ; l’amitié n’a jamais tenu con
ir à Madame de Londé sa sœur, que j’aimais sincèrement, la maladie du
frère
, auprès de qui je restai presque toujours, me don
lle-même. Je crus néanmoins entrevoir qu’elle ne me haïssait pas. Son
frère
qui se jeta dans un convent, m’ôta par sa retrait
isais ; et n’ayant plus de prétexte pour aller chez elle, parce qu’un
frère
qu’elle avait n’y demeurait plus ; j’ai cru que j
’est encore celle qui la sert à présent. J’y allai sous le nom de son
frère
: comme nous en étions convenus. Elle me dit qu’e
bstina si fort sur la négative, que tout le monde en fut surpris. Son
frère
et son époux lui demandèrent quel si grand mal ce
que chose, à celles de Monsieur votre époux et du révérend père votre
frère
, qui pourtant devraient être suffisantes dans une
ns, sans compter la dépense. Que ne lui en faites-vous parler par ses
frères
et par son confesseur, lui dis-je encore ? Je n’a
r, aucun homme, tel soit-il, n’est entré dans son appartement que ses
frères
et moi, et ceux que j’ai bien voulu y mener ; c’e
chacun en liberté, et comme bons amis seulement, ou bien plutôt comme
frère
et sœur, puisque nous mangeons ensemble ; mais c’
reur. Je regrettai de n’avoir pas voulu apprendre les secrets que son
frère
avait voulu me montrer. Cependant, comme vous sav
ariage, lorsque nous le vîmes encore reculé par la mort de son pauvre
frère
, que je vais vous dire, et dans laquelle sa malhe
conduit. Il se retirait dans son couvent à deux lieues de là avec un
frère
qui l’accompagnait, lorsqu’il lui arriva le plus
de revenir l’après-midi quérir une lettre qu’elle allait écrire à son
frère
. Je vis sortir une soeur d’un coin qui avait ente
our la tirer de prison. Je l’instruisais en peu de mots de ce que son
frère
et moi avions dit. Elle me donna la lettre qu’ell
s dit. Elle me donna la lettre qu’elle avait écrite, qui fut pour son
frère
un galimatias. Elle le priait de ne souffrir plus
olent. Je n’avais jamais vu d’homme capable de se faire aimer que mon
frère
. La nature et le devoir m’avaient défendue contre
rains plus les embarras du monde. Entretenez toujours l’amitié de mon
frère
; elle ne nous sera pas inutile. Engagez-le à vou
l’un à l’autre, que depuis ce moment nous nous sommes regardés comme
frères
. Il était attaché à Paris par une amourette, et m
e voulus pas faire la campagne sans voir Clémence. J’y allai avec son
frère
, il la vit et lui parla ; mais on me refusa la po
pris le chemin du couvent, et je demandai Clémence de la part de son
frère
. Il y avait une lettre de lui et une autre de moi
a passion m’accable et triomphe de ma raison. Adieu, ayez soin de mon
frère
, soyez toujours bons amis ; instruisez-moi de tou
formé. Cela n’avait point empêché que Clémence ne m’aimât, et que son
frère
n’eût été mon intime ami ; ce n’était point une d
vent, se rendit et lui promit toute sorte d’assistance. Elle avait un
frère
artisan à Paris, elle alla le quérir, et lui prom
s d’une assez bonne famille dans la bourgeoisie ; mais la quantité de
frères
et de sœurs que nous étions, nous laissa après la
l’ambition ordinaire des jeunes gens. Mon père était de barreau, mes
frères
et moi embrassâmes le même train de vie, les uns
ain tout ce qui en était. Je lui envoyai le paquet qui était pour mon
frère
, afin qu’elle en usât comme elle le jugerait à pr
t à propos de s’en servir. Du Val reprit ce paquet qui était pour mon
frère
; il alla retrouver ce marchand qui le lui avait
mis pour le lui donner moi-même. Cet homme le prit, et le porta à mon
frère
, qui le questionna sur tout ce qui me regardait ;
qu’il était mort depuis peu un nommé Monsieur de Jussy, parisien. Mon
frère
prit le deuil, et fit prier Dieu pour mon âme. Ma
ouvèrent bonne compagnie parce que Jussy avait envoyé quérir ses deux
frères
et deux de ses amis, et que sa femme avait envoyé
aurait eu mauvaise grâce de dire en la présence de cette dame, que le
frère
se serait servi des secrets de la magie la plus n
n’aurait pas eu besoin de taire la vérité, aurait rendu justice à son
frère
. J’en tombe d’accord ; mais pourquoi bannir cette
s à défigurer tellement les noms, qu’on ne sait à présent quel est le
frère
d’une fille, lorsqu’on parle d’elle. Ce mauvais u
pour ne point le chagriner en lui racontant la mauvaise action de son
frère
, ce qui aurait encore nui à sa santé, et c’était
ccasion de parler des bandits, et Valerio qui ignorait la vie que ses
frères
avaient menée, regrettait sa santé qui ne lui per
qualité fort spirituelle et bien élevée. Elle ignorait la part que le
frère
du comte avait dans ce qui était arrivé : c’est c
u’il avait été sur ses brisées en écrivant au marquis de Pecaire, son
frère
à elle, en faveur du marquis, et avait ajouté qu’
e qu’il pourrait faire pour le marquis, puisque outre la tendresse de
frère
, il était de son intérêt de ménager une sœur qui
ettres qu’elle reçut de lui, et d’autres que la duchesse reçut de son
frère
, qui leur apprit que le marquis était libre sur s
rti de l’épée, où l’on ne s’enrichit pas, et qu’au contraire ses deux
frères
cadets, ont pris celui des finances et des partis
nes de ma naissance et au-dessus de ma fortune : et ne parlant de ses
frères
qu’avec mépris, à cause du train de vie qu’ils av
Parisien de mon âge, et de beaucoup d’esprit : ce fut Monsieur votre
frère
, Madame, dit-il à Madame de Mongey. Lorsque je me
a fille : et à propos ma bonne Madame, dis-je à la Morin, ce charmant
frère
ne s’est pas trouvé aujourd’hui aux Tuileries, vo
e, mais que n’étant pas en état d’en avoir soin, étant cadet de trois
frères
et fort jeune, et outre cela destiné à l’ordre de
u’il avait de ne l’avoir pas retirée lui-même, lorsque la mort de ses
frères
l’avait rendu l’aîné de sa maison ; et s’en excus
clarer hautement l’ordre de défunt Monsieur le marquis de Buringe son
frère
. Elle fit voir seulement cette lettre à Messieurs
ient pas un sol de dettes, ayant depuis son veuvage et la mort de ses
frères
tout à fait acquitté les dettes des maisons de Cr
e Monsieur l’évêque de... qui m’avait donné la lettre de Monsieur son
frère
, lui rendrait compte de mon retardement ou de ma
hez l’Evêque de… à qui je demandai s’il voulait écrire à Monsieur son
frère
, et que j’allais prendre la poste : comme il avai
reprit le commandeur. Madame Des Frans et moi sommes enfants des deux
frères
. Ah coquin, dit-elle en parlant à moi et en me do
ésabusée de tout ce que je croyais d’elle, mais en désabuserai-je les
frères
de son père à qui j’en ai parlé ? Je m’en suis ex
ller à vingt lieues de Paris chez Monsieur le comte de Villeblain son
frère
. Madame Morin était heureusement morte quelque te
Mademoiselle a raison. Il a paru que vous voulez faire croire que mon
frère
s’était servi auprès d’elle de quelque artifice d
t qui on ne voulait engager aucune conversation qui eût rapport à son
frère
. La compagnie se sépara fort tard, et promit de s
nvenait que le comte étant honnête homme, l’infâme personnage que ses
frères
y avaient joué lui ferait beaucoup de peine ; mai
e Deshayes, et qu’on le fît enterrer honorablement comme celui de son
frère
tué par des voleurs, ce qui fut fait le matin mêm
hâtelet où les registres furent montrés. M.Le Camus lieutenant civil,
frère
de M. l’évêque de Grenoble dont j’ai déjà parlé,
ttre sa nièce sur le trône. Il avait fait dire à Gaston duc d’Orléans
frère
de Louis XIII que s’il voulait consentir à la dis
vec la fille du duc de Lorraine qu’il avait épousée malgré le Roi son
frère
, et accepter une épouse de sa main, la couronne l
Elles couchent dans la même cabane que leurs pères et mères, et leurs
frères
et sœurs. Celui qui a envie d’en embrasser une en
vie de ce qui ne lui coûtait rien, et par le moyen de M. Colbert, son
frère
, elle obtint un arrêt du Conseil par lequel il lu
Le conseil du Roi n’avait pas jugé à propos de décider entre les deux
frères
, dont l’un avait la force de l’autorité de son cô
our toute réponse : De quoi vous embarrassez-vous ? Etes-vous pas mon
frère
, avez-vous peur de manquer de rien ? Ce fut tout
à lui, Jean-Jacques de Mesmes, président à mortier, n’avait eu qu’un
frère
qui s’était jeté dans les armes, et qui fut tué à
nfin le président fit si bien son compte pour anéantir la race de son
frère
qu’il en fit un prêtre. 201. Lorsqu’il n’y eut pl
s mains en dehors mangées à belles dents ; et M. le comte d’Avaux son
frère
, qui avait été plénipotentiaire à Nimègue, fut ob
nnaie. Louis le regarda, et changea de discours. 249. M.d’Orléans son
frère
entreprit de lui représenter la misère du peuple,
de le demander par un tiers, et qu’elle n’avait qu’à lui envoyer son
frère
. Il y alla par l’ordre de sa sœur et de la demois
de la rue de Cléry, et qui ne vivait que de raccommoder des bas. Son
frère
et lui sont devenus, de commis, des messieurs de
me j’ai dit, une simple revaudeuse, mais honnête femme. Elle avait un
frère
, nommé Faitout, connu de tout Paris, qui après av
je veux parler du chevalier de Canges, qui de concert avec l’abbé son
frère
poignarda et empoisonna la belle Madame de Canges
rendre à Madrid suivant les ordres de la Cour. La duchesse à qui son
frère
avait écrit avait trouvé dans son paquet une lett
hesse de Médoc des bons traitements qu’il avait reçus du vice-roi son
frère
, depuis qu’elle avait eu la bonté de lui écrire e
issionnaires & des jésuites, qui y passent très souvent, & un
frère
cordelier, qui demeure avec les capucins ; en un
ue nous, puisqu’il est boiteux. C’est M. de Saint-Paul de la Héronne,
frère
de M. de Saint-Paul, contrôleur général de la Mon
notre vaisseau, entre les mains du maître canonnier & de ses deux
frères
; & que toute cette manœuvre s’est faite à pl
emps de faire aucun testament, ni de lui faire aucun bien ; & son
frère
de père, seul enfant légitime de l’épicier, ayant
mpensé son bon cœur, sa probité 61 son bon naturel. Au contraire, son
frère
dénaturé a vu son ample succession mangée & d
r passera volontiers que les Japonais disent que ce Jésus-Christ a un
frère
. On leur passera même, s’ils le veulent, que ce q
le veulent, que ce que ces Japonais croient & disent de ces deux
frères
, les aliène du christianisme. On avouera même que
uites n’ont pris aucune part aux tourments des autres chrétiens leurs
frères
. Il est très vrai qu’au lieu d’être persécutés ni
endre le bonnet. Je me donne au diable s’il tire aucun secours de ses
frères
; j’entends les religieux de son ordre. Il fait b
amp; la jalousie de votre prieur ; j’y mêlerai la surveillance de vos
frères
sur celle du portier ; j’y parlerai de la fouace.
pour ne point regretter le peu de bien que mes vœux ont laissé à mes
frères
. Après ce que je viens de vous dire, monsieur, il
er avec l’aumônier du Florissant & le maître canonnier d’ici, ses
frères
, en mangeant des perdrix que celui-ci avait tuées
& je lui en donnai trois autres bouteilles pour déjeuner avec ses
frères
, duquel déjeuner je devais être si je n’avais pas
en soit tout ce qu’il voudra, on tient ici pour constant que les deux
frères
ont dépensé ici plus de cinquante mille écus chac
nt donner à leurs plaisirs sitôt après la mort de leur père, les deux
frères
, comme concertés, lui répondirent unanimement qu’
résolut de venir aux îles de l’Amérique y chercher son père & ses
frères
, le passage en Angleterre étant interdit. S’il es
avait été forcée d’obéir à la nécessité ; que son père & ses deux
frères
étaient passés en Angleterre ; que sa mère était
it le moyen de passer en Angleterre pour y joindre son père & ses
frères
; ou du moins celui d’aller à l’île de Saint-Chri
re second pilote, André Chaviteau, de La Rochelle, est mort. Il était
frère
de celui à qui je vendis le pain de la Compagnie
upé. Il n’y a eu d’eux tous que M. Le Vasseur, notre sous-lieutenant,
frère
de M. Le Vasseur, avocat au Conseil, qui a connu
ville. On m’a dit que c’est où est mort Alphonse VI, roi de Portugal,
frère
aîné de dom Pierre, aujourd’hui roi, qui l’avait
vrai que dom Pedro n’a pris la qualité de roi qu’après la mort de son
frère
. Le château du gouverneur est bâti environ à cent
res notre aumônier, qui certainement a bien fait d’envoyer quérir son
frère
pour faire l’office : il était trop plongé dans l
i. Il est provençal, de la maison de Glandêves de Porrières ; il a un
frère
capitaine de galère ; il est neveu de M. de Gland
sont blâmables. Dès le commencement du monde, ils n’étaient que deux
frères
, peut-être l’un teigneux et l’autre galeux : je n
s enfants de sept à huit ans se joindre ensemble, sans distinction de
frère
à frère, ou de frère à sœur ; pas plus qu’ils en
s de sept à huit ans se joindre ensemble, sans distinction de frère à
frère
, ou de frère à sœur ; pas plus qu’ils en font de
uit ans se joindre ensemble, sans distinction de frère à frère, ou de
frère
à sœur ; pas plus qu’ils en font de père à fille,
uière : cela ne peut être, puisqu’il est plus vieux que lui. Pour son
frère
, passe ; car, M. de Lédiguière, mort en 1682, a é
précieux pour le cacher : c’est le sieur Le Vasseur, natif de Dieppe,
frère
de M. Le Vasseur, avocat au Conseil. Nous n’avons
es sont prêtes dès cette après-midi, tant pour vous que messieurs vos
frères
et ma mère, outre ce que vous trouverez dans la v
monde en a été fort content. Après cela l’aumônier du Florissant son
frère
, qui était venu à bord avec le commissaire et qui
u’il l’eût eu dès le berceau, étant à peu près de même âge ; pour son
frère
naturel, cela se peut, car défunt Monsieur le duc
s du Mogol. Il est mort enfin il y a environ dix-huit mois. Son jeune
frère
nommé Remraja a pris tout le contre-pied et sans
ieuse du Mogol, qui ravageait le royaume de Visapour, que Sombagy son
frère
avait laissé prendre sans tirer l’épée. Le Mogol
a cru qu’il aurait aussi bon marché de Remraja qu’il avait eu de son
frère
, et pour le ruiner tout à fait il a envoyé dans c
es ici, il a soutenu sans perte les efforts des troupes du Mogol. Son
frère
avait laissé prendre le Royaume de Visapour : il
plus proches, c’est-à-dire son père et sa mère, et une sœur ( car ses
frères
étaient dans le service et aux études), son mari
t bien qu’elle n’en aurait pas pour huit jours : que ses sœurs et son
frère
sachant qu’elle était mariée sans savoir à qui, b
, que des bienfaits de son défunt mari, et par les successions de ses
frères
et sœurs, et d’un oncle et d’une tante, et de plu
t unique, elle n’est pas si riche, à beaucoup près, que Dupuis et son
frère
, quoique les pères des uns et des autres aient ég
tisan puissamment riche, duquel elle est restée seule héritière ; ses
frères
et sœurs étant morts avant père et mère, et après
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