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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
nce. Vous savez quelle est ma famille, et que je n’ai jamais eu qu’un frère , et que nous n’avons jamais été bons amis ; cela
a fortune ne s’en est pas trouvée plus établie, et cela parce que mon frère , qui avait été pourvu pendant sa vie, avait empor
père de me retirer du logis, à quoi contribua encore l’arrivée de mon frère qui arriva [à] Paris. Il fut reçu de ma mère en e
re à me donner. Justement comme j’étais au coin de sa rue, je vis mon frère entrer dans un lieu où je savais qu’il ne demeura
’eus que faire d’entrer dans la chambre, je distinguai la voix de mon frère , et je le reconnus par le trou de la serrure. Je
quelquefois chez la Martinière, qui était l’accoupleuse chez qui mon frère était. Elle avait fait tout ce qu’elle avait pu p
’il avait porté. Un moment après ma mère rentra toute bouffie, et mon frère qui la suivait était dans une telle confusion que
qu’elle n’osait ouvrir la bouche, ni pour manger, ni pour parler. Mon frère la copiait, et moi je ne pouvais pas m’empêcher d
ncontré que le savetier son espion s’est mépris ; elle y a trouvé mon frère . Il n’y avait pas moyen de dire que non : les laq
e mit à rire aussi. Je ne sais ce qu’il put dire en particulier à mon frère , mais pour le moment il lui dit simplement que ce
t que j’avais fait faire cette demande, et le sut justement comme mon frère était à Paris. Nous logions tous deux chez elle ;
e jusqu’au point de ne pouvoir me souffrir dans la même maison où mon frère demeurait avec elle, elle pouvait s’en expliquer 
s insensiblement accoutumé à ne la plus traiter en mère. Que pour mon frère , bien loin de lui vouloir du mal, je souhaiterais
de part et d’autre, et n’opéra rien pour ma fortune, et nous mit mon frère et moi aux épées et aux couteaux. Tous mes parent
aravant, elle ne changeait pas de manière ; et je voyais Monsieur mon frère sur un pied tellement au-dessus de moi, que je me
es celles qu’on m’avait faites ; mais je fus assommé de celle que mon frère fit mal à propos. Comme il ne regardait Célénie q
a dans sa chambre assez éloignée de la salle où nous avions dîné. Mon frère s’était jeté sur un lit de repos, et moi j’avais
e, je courus fermer le verrouil de la porte, et je m’avançai vers mon frère  : allons, Monsieur, lui dis-je, en mettant l’épée
pointe dans un nœud de rubans qui pendait à la garde de celle de mon frère  ; l’espace n’était point assez grand pour me jete
galité de tendresse. Au revoir, Monsieur, poursuivis-je parlant à mon frère , je vous demanderai mon reste une autre fois, ou
ais le plus maltraité, quoique les blessures que j’avais faites à mon frère fussent dans des endroits bien plus dangereux ; m
mblant de m’apercevoir que ma mère avait toujours resté auprès de mon frère , sans songer à moi, qu’après l’avoir vu en sûreté
couru hasard. Elle me remercia de tout, et pleura de bonne grâce. Mon frère qui ne garda le lit que quinze jours, la vit en s
naître que dans l’occasion le bon sang ne se dément point, et que les frères sont toujours frères. Pour revenir à Célénie, qui
asion le bon sang ne se dément point, et que les frères sont toujours frères . Pour revenir à Célénie, qui, comme je vous ai di
rait dans un autre temps. Que de plus, ce qui s’était passé entre mon frère et moi, serait sans aucun fruit à mon égard, si j
Il en faut bien moins que cela pour obliger les meilleurs amis et les frères même, à se couper la gorge ensemble. Je n’ai poin
moi. Je dis à la Delorme que le gentilhomme qui était avec moi, était frère de la demoiselle que j’allais épouser, avec qui p
qui m’a tout à fait rendu honnête homme. Une lettre de change que mon frère m’avait envoyée, m’avait obligé d’aller chez un g
ais cette dernière parole, l’homme dont il s’agissait entra. Il était frère du défunt mari de la veuve, établi en province, o
. Je l’ai laissée, dit-elle, chez ma tante avec Monsieur Gallouin son frère , qui tous deux comptent que vous vous donnerez la
toute sa famille, c’est-à-dire, Madame sa mère, ses deux sœurs, et un frère fort jeune qu’on destinait à l’Église, qui n’avai
à de la tapisserie ; j’entrai dans ce moment. Elle me demanda si son frère avait encore envie de quitter le monde. Je lui ré
la vérité de ce que ce bon religieux nous avait dit à Monsieur votre frère et à moi. Il nous avait fait voir qu’après une re
non. *J’étais en ces termes avec Mademoiselle Gallouin, lorsque son frère me fit confidence de l’amour qu’il avait pour Sil
à présent, je vous aurais blâmé au contraire, si vous aviez manqué au frère de votre maîtresse ; l’amitié n’a jamais tenu con
ir à Madame de Londé sa sœur, que j’aimais sincèrement, la maladie du frère , auprès de qui je restai presque toujours, me don
lle-même. Je crus néanmoins entrevoir qu’elle ne me haïssait pas. Son frère qui se jeta dans un convent, m’ôta par sa retrait
isais ; et n’ayant plus de prétexte pour aller chez elle, parce qu’un frère qu’elle avait n’y demeurait plus ; j’ai cru que j
’est encore celle qui la sert à présent. J’y allai sous le nom de son frère  : comme nous en étions convenus. Elle me dit qu’e
bstina si fort sur la négative, que tout le monde en fut surpris. Son frère et son époux lui demandèrent quel si grand mal ce
que chose, à celles de Monsieur votre époux et du révérend père votre frère , qui pourtant devraient être suffisantes dans une
ns, sans compter la dépense. Que ne lui en faites-vous parler par ses frères et par son confesseur, lui dis-je encore ? Je n’a
r, aucun homme, tel soit-il, n’est entré dans son appartement que ses frères et moi, et ceux que j’ai bien voulu y mener ; c’e
chacun en liberté, et comme bons amis seulement, ou bien plutôt comme frère et sœur, puisque nous mangeons ensemble ; mais c’
reur. Je regrettai de n’avoir pas voulu apprendre les secrets que son frère avait voulu me montrer. Cependant, comme vous sav
ariage, lorsque nous le vîmes encore reculé par la mort de son pauvre frère , que je vais vous dire, et dans laquelle sa malhe
conduit. Il se retirait dans son couvent à deux lieues de là avec un frère qui l’accompagnait, lorsqu’il lui arriva le plus
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
de revenir l’après-midi quérir une lettre qu’elle allait écrire à son frère . Je vis sortir une soeur d’un coin qui avait ente
our la tirer de prison. Je l’instruisais en peu de mots de ce que son frère et moi avions dit. Elle me donna la lettre qu’ell
s dit. Elle me donna la lettre qu’elle avait écrite, qui fut pour son frère un galimatias. Elle le priait de ne souffrir plus
olent. Je n’avais jamais vu d’homme capable de se faire aimer que mon frère . La nature et le devoir m’avaient défendue contre
rains plus les embarras du monde. Entretenez toujours l’amitié de mon frère  ; elle ne nous sera pas inutile. Engagez-le à vou
l’un à l’autre, que depuis ce moment nous nous sommes regardés comme frères . Il était attaché à Paris par une amourette, et m
e voulus pas faire la campagne sans voir Clémence. J’y allai avec son frère , il la vit et lui parla ; mais on me refusa la po
pris le chemin du couvent, et je demandai Clémence de la part de son frère . Il y avait une lettre de lui et une autre de moi
a passion m’accable et triomphe de ma raison. Adieu, ayez soin de mon frère , soyez toujours bons amis ; instruisez-moi de tou
formé. Cela n’avait point empêché que Clémence ne m’aimât, et que son frère n’eût été mon intime ami ; ce n’était point une d
vent, se rendit et lui promit toute sorte d’assistance. Elle avait un frère artisan à Paris, elle alla le quérir, et lui prom
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
s d’une assez bonne famille dans la bourgeoisie ; mais la quantité de frères et de sœurs que nous étions, nous laissa après la
l’ambition ordinaire des jeunes gens. Mon père était de barreau, mes frères et moi embrassâmes le même train de vie, les uns
ain tout ce qui en était. Je lui envoyai le paquet qui était pour mon frère , afin qu’elle en usât comme elle le jugerait à pr
t à propos de s’en servir. Du Val reprit ce paquet qui était pour mon frère  ; il alla retrouver ce marchand qui le lui avait
mis pour le lui donner moi-même. Cet homme le prit, et le porta à mon frère , qui le questionna sur tout ce qui me regardait ;
qu’il était mort depuis peu un nommé Monsieur de Jussy, parisien. Mon frère prit le deuil, et fit prier Dieu pour mon âme. Ma
ouvèrent bonne compagnie parce que Jussy avait envoyé quérir ses deux frères et deux de ses amis, et que sa femme avait envoyé
4 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
aurait eu mauvaise grâce de dire en la présence de cette dame, que le frère se serait servi des secrets de la magie la plus n
n’aurait pas eu besoin de taire la vérité, aurait rendu justice à son frère . J’en tombe d’accord ; mais pourquoi bannir cette
s à défigurer tellement les noms, qu’on ne sait à présent quel est le frère d’une fille, lorsqu’on parle d’elle. Ce mauvais u
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
pour ne point le chagriner en lui racontant la mauvaise action de son frère , ce qui aurait encore nui à sa santé, et c’était
ccasion de parler des bandits, et Valerio qui ignorait la vie que ses frères avaient menée, regrettait sa santé qui ne lui per
qualité fort spirituelle et bien élevée. Elle ignorait la part que le frère du comte avait dans ce qui était arrivé : c’est c
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
u’il avait été sur ses brisées en écrivant au marquis de Pecaire, son frère à elle, en faveur du marquis, et avait ajouté qu’
e qu’il pourrait faire pour le marquis, puisque outre la tendresse de frère , il était de son intérêt de ménager une sœur qui
ettres qu’elle reçut de lui, et d’autres que la duchesse reçut de son frère , qui leur apprit que le marquis était libre sur s
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
rti de l’épée, où l’on ne s’enrichit pas, et qu’au contraire ses deux frères cadets, ont pris celui des finances et des partis
nes de ma naissance et au-dessus de ma fortune : et ne parlant de ses frères qu’avec mépris, à cause du train de vie qu’ils av
Parisien de mon âge, et de beaucoup d’esprit : ce fut Monsieur votre frère , Madame, dit-il à Madame de Mongey. Lorsque je me
a fille : et à propos ma bonne Madame, dis-je à la Morin, ce charmant frère ne s’est pas trouvé aujourd’hui aux Tuileries, vo
e, mais que n’étant pas en état d’en avoir soin, étant cadet de trois frères et fort jeune, et outre cela destiné à l’ordre de
u’il avait de ne l’avoir pas retirée lui-même, lorsque la mort de ses frères l’avait rendu l’aîné de sa maison ; et s’en excus
clarer hautement l’ordre de défunt Monsieur le marquis de Buringe son frère . Elle fit voir seulement cette lettre à Messieurs
ient pas un sol de dettes, ayant depuis son veuvage et la mort de ses frères tout à fait acquitté les dettes des maisons de Cr
e Monsieur l’évêque de... qui m’avait donné la lettre de Monsieur son frère , lui rendrait compte de mon retardement ou de ma
hez l’Evêque de… à qui je demandai s’il voulait écrire à Monsieur son frère , et que j’allais prendre la poste : comme il avai
reprit le commandeur. Madame Des Frans et moi sommes enfants des deux frères . Ah coquin, dit-elle en parlant à moi et en me do
ésabusée de tout ce que je croyais d’elle, mais en désabuserai-je les frères de son père à qui j’en ai parlé ? Je m’en suis ex
ller à vingt lieues de Paris chez Monsieur le comte de Villeblain son frère . Madame Morin était heureusement morte quelque te
Mademoiselle a raison. Il a paru que vous voulez faire croire que mon frère s’était servi auprès d’elle de quelque artifice d
t qui on ne voulait engager aucune conversation qui eût rapport à son frère . La compagnie se sépara fort tard, et promit de s
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
nvenait que le comte étant honnête homme, l’infâme personnage que ses frères y avaient joué lui ferait beaucoup de peine ; mai
e Deshayes, et qu’on le fît enterrer honorablement comme celui de son frère tué par des voleurs, ce qui fut fait le matin mêm
9 (1721) Mémoires
hâtelet où les registres furent montrés. M.Le Camus lieutenant civil, frère de M. l’évêque de Grenoble dont j’ai déjà parlé,
ttre sa nièce sur le trône. Il avait fait dire à Gaston duc d’Orléans frère de Louis XIII que s’il voulait consentir à la dis
vec la fille du duc de Lorraine qu’il avait épousée malgré le Roi son frère , et accepter une épouse de sa main, la couronne l
Elles couchent dans la même cabane que leurs pères et mères, et leurs frères et sœurs. Celui qui a envie d’en embrasser une en
vie de ce qui ne lui coûtait rien, et par le moyen de M. Colbert, son frère , elle obtint un arrêt du Conseil par lequel il lu
Le conseil du Roi n’avait pas jugé à propos de décider entre les deux frères , dont l’un avait la force de l’autorité de son cô
our toute réponse : De quoi vous embarrassez-vous ? Etes-vous pas mon frère , avez-vous peur de manquer de rien ? Ce fut tout
à lui, Jean-Jacques de Mesmes, président à mortier, n’avait eu qu’un frère qui s’était jeté dans les armes, et qui fut tué à
nfin le président fit si bien son compte pour anéantir la race de son frère qu’il en fit un prêtre. 201. Lorsqu’il n’y eut pl
s mains en dehors mangées à belles dents ; et M. le comte d’Avaux son frère , qui avait été plénipotentiaire à Nimègue, fut ob
nnaie. Louis le regarda, et changea de discours. 249. M.d’Orléans son frère entreprit de lui représenter la misère du peuple,
de le demander par un tiers, et qu’elle n’avait qu’à lui envoyer son frère . Il y alla par l’ordre de sa sœur et de la demois
de la rue de Cléry, et qui ne vivait que de raccommoder des bas. Son frère et lui sont devenus, de commis, des messieurs de
me j’ai dit, une simple revaudeuse, mais honnête femme. Elle avait un frère , nommé Faitout, connu de tout Paris, qui après av
je veux parler du chevalier de Canges, qui de concert avec l’abbé son frère poignarda et empoisonna la belle Madame de Canges
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
rendre à Madrid suivant les ordres de la Cour. La duchesse à qui son frère avait écrit avait trouvé dans son paquet une lett
hesse de Médoc des bons traitements qu’il avait reçus du vice-roi son frère , depuis qu’elle avait eu la bonté de lui écrire e
11 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
issionnaires & des jésuites, qui y passent très souvent, & un frère cordelier, qui demeure avec les capucins ; en un
ue nous, puisqu’il est boiteux. C’est M. de Saint-Paul de la Héronne, frère de M. de Saint-Paul, contrôleur général de la Mon
notre vaisseau, entre les mains du maître canonnier & de ses deux frères  ; & que toute cette manœuvre s’est faite à pl
emps de faire aucun testament, ni de lui faire aucun bien ; & son frère de père, seul enfant légitime de l’épicier, ayant
mpensé son bon cœur, sa probité 61 son bon naturel. Au contraire, son frère dénaturé a vu son ample succession mangée & d
r passera volontiers que les Japonais disent que ce Jésus-Christ a un frère . On leur passera même, s’ils le veulent, que ce q
le veulent, que ce que ces Japonais croient & disent de ces deux frères , les aliène du christianisme. On avouera même que
uites n’ont pris aucune part aux tourments des autres chrétiens leurs frères . Il est très vrai qu’au lieu d’être persécutés ni
endre le bonnet. Je me donne au diable s’il tire aucun secours de ses frères  ; j’entends les religieux de son ordre. Il fait b
amp; la jalousie de votre prieur ; j’y mêlerai la surveillance de vos frères sur celle du portier ; j’y parlerai de la fouace.
pour ne point regretter le peu de bien que mes vœux ont laissé à mes frères . Après ce que je viens de vous dire, monsieur, il
er avec l’aumônier du Florissant & le maître canonnier d’ici, ses frères , en mangeant des perdrix que celui-ci avait tuées
& je lui en donnai trois autres bouteilles pour déjeuner avec ses frères , duquel déjeuner je devais être si je n’avais pas
en soit tout ce qu’il voudra, on tient ici pour constant que les deux frères ont dépensé ici plus de cinquante mille écus chac
nt donner à leurs plaisirs sitôt après la mort de leur père, les deux frères , comme concertés, lui répondirent unanimement qu’
résolut de venir aux îles de l’Amérique y chercher son père & ses frères , le passage en Angleterre étant interdit. S’il es
avait été forcée d’obéir à la nécessité ; que son père & ses deux frères étaient passés en Angleterre ; que sa mère était
it le moyen de passer en Angleterre pour y joindre son père & ses frères  ; ou du moins celui d’aller à l’île de Saint-Chri
re second pilote, André Chaviteau, de La Rochelle, est mort. Il était frère de celui à qui je vendis le pain de la Compagnie
12 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
upé. Il n’y a eu d’eux tous que M. Le Vasseur, notre sous-lieutenant, frère de M. Le Vasseur, avocat au Conseil, qui a connu
ville. On m’a dit que c’est où est mort Alphonse VI, roi de Portugal, frère aîné de dom Pierre, aujourd’hui roi, qui l’avait
vrai que dom Pedro n’a pris la qualité de roi qu’après la mort de son frère . Le château du gouverneur est bâti environ à cent
res notre aumônier, qui certainement a bien fait d’envoyer quérir son frère pour faire l’office : il était trop plongé dans l
i. Il est provençal, de la maison de Glandêves de Porrières ; il a un frère capitaine de galère ; il est neveu de M. de Gland
sont blâmables. Dès le commencement du monde, ils n’étaient que deux frères , peut-être l’un teigneux et l’autre galeux : je n
s enfants de sept à huit ans se joindre ensemble, sans distinction de frère à frère, ou de frère à sœur ; pas plus qu’ils en
s de sept à huit ans se joindre ensemble, sans distinction de frère à frère , ou de frère à sœur ; pas plus qu’ils en font de
uit ans se joindre ensemble, sans distinction de frère à frère, ou de frère à sœur ; pas plus qu’ils en font de père à fille,
uière : cela ne peut être, puisqu’il est plus vieux que lui. Pour son frère , passe ; car, M. de Lédiguière, mort en 1682, a é
précieux pour le cacher : c’est le sieur Le Vasseur, natif de Dieppe, frère de M. Le Vasseur, avocat au Conseil. Nous n’avons
13 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
es sont prêtes dès cette après-midi, tant pour vous que messieurs vos frères et ma mère, outre ce que vous trouverez dans la v
monde en a été fort content. Après cela l’aumônier du Florissant son frère , qui était venu à bord avec le commissaire et qui
u’il l’eût eu dès le berceau, étant à peu près de même âge ; pour son frère naturel, cela se peut, car défunt Monsieur le duc
s du Mogol. Il est mort enfin il y a environ dix-huit mois. Son jeune frère nommé Remraja a pris tout le contre-pied et sans
ieuse du Mogol, qui ravageait le royaume de Visapour, que Sombagy son frère avait laissé prendre sans tirer l’épée. Le Mogol
a cru qu’il aurait aussi bon marché de Remraja qu’il avait eu de son frère , et pour le ruiner tout à fait il a envoyé dans c
es ici, il a soutenu sans perte les efforts des troupes du Mogol. Son frère avait laissé prendre le Royaume de Visapour : il
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
plus proches, c’est-à-dire son père et sa mère, et une sœur ( car ses frères étaient dans le service et aux études), son mari
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
t bien qu’elle n’en aurait pas pour huit jours : que ses sœurs et son frère sachant qu’elle était mariée sans savoir à qui, b
, que des bienfaits de son défunt mari, et par les successions de ses frères et sœurs, et d’un oncle et d’une tante, et de plu
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
t unique, elle n’est pas si riche, à beaucoup près, que Dupuis et son frère , quoique les pères des uns et des autres aient ég
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
tisan puissamment riche, duquel elle est restée seule héritière ; ses frères et sœurs étant morts avant père et mère, et après
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