/ 17
1 (1721) Mémoires
ce épuisée, il a été obligé de consentir par un traité de paix que le fils infortuné de ce malhureux roi aille traîner son m
t été comprise si Mons[ieu] r Colbert ou Mons[ieu] r de Seignelay son fils avait vécu, et cela parce qu’ils connaissaient le
qui est de la maison de Noailles, avait un neveu nommé comte d’Ayen, fils du maréchal de Noailles, et qui depuis la mort de
à la tête des affaires lorsque Louis XIII mourut et que Louis XIV son fils vint à la couronne. Beaucoup de gens ont prétendu
oi son époux pendant sa vie, et que Louis XIV était véritablement son fils . Ce que j’en rapporterai dans la suite en formera
la comtesse de Soissons mère du comte, et l’engagea à en parler à son fils . Elle le fit et pour toute réponse le comte lui d
e que tout le monde lui était présent. 113. Monsieur de Seignelay son fils , qui lui succéda dans la place de secrétaire d’Et
uccédé, ne les a certainement jamais lus, ni Monsieur de Maurepas son fils , et encore moins ceux qui ont au nom du roi conse
es blanches qui étaient si charitables à leur choix pour la marier au fils de leur sarno ou pour la renvoyer quand ils voudr
acard portant ces mots : Au public. Il y a promesse de mariage entre… fils … et entre Marie N. , fille de N. Ceux qui ont le
ortions en même temps tous les deux de chez Mons[ieu] r de Seignelai, fils de M. Colbert, il me fit monter dans son carrosse
rs étant morts, je ne crois pas devoir le garder. 155. Louis dauphin, fils de Louis XIV, avait une amourette sur laquelle le
M.Colbert de son côté alla trouver Louis auquel il dit la demande du fils , et le refus qu’il lui avait fait. Le Roi l’en bl
e de fût, si bien qu’il s’en retourna très mortifié d’avoir refusé le fils sans avoir fait sa cour au père. 159. Parmi les g
gentilshommes servants de Monseigneur il y en avait un nommé Hubert, fils du receveur général des finances de Soissons. Il
es, et que tout serait acquitté avant midi. Partez vite, dit-il à son fils , vous êtes en état de faire votre cour et votre f
ura de plus d’un million de livres en espèces, et le fit savoir à son fils par un exprès. 164. Celui-ci était retourné à Ver
J’ai dit qu’Hubert était une créature de M. Fouquet. J’ai dit que le fils avait du service et de la bravoure, et avec cela
re dus. Il faut ajouter encore que Monseigneur avait dit à Hubert son fils qu’il voulait voir son père, et le remercier d’un
e remercier d’un service si prompt et si généreusement rendu ; que le fils ayant dit à son père la volonté de Monseigneur, e
me à Versailles, et voir le prince incognito. Il fut présenté par son fils , et après tous les préliminaires ils entrèrent to
le père ne cacha point celle qu’il avait de venger M. Fouquet, et le fils les assura l’un et l’autre que son épée ne leur m
c la princesse de Bavière serait consommé, et confia son secret à son fils qui devait être du voyage et y accompagner le pri
la première complaisance qu’elle devait à son époux, auquel Hubert le fils avait fait entendre que le seul moyen de perdre M
le craindre. M[onsieu] r le chancelier Le Tellier, M. de Louvois son fils l’appréhendaient, et il semble que la maison de T
infinité d’ennemis, dont le dauphin et M[onsieu] r le duc d’Orléans, fils et frère du Roi, étaient du nombre. Sa dureté pou
généraux. Un jugement pareil mériterait bien que le régent de France, fils de M[onsieu] r d’Orléans dont je viens de parler,
e la qualité de tuteur ; et ce Jean-Jacques de Mesmes étant mort, son fils , père du premier président d’aujourd’hui, avait c
nda à qui appartenait un si beau château. Il devrait appartenir à mon fils que voilà, dit-elle en montrant de sa main l’eccl
tant pour la vie que pour les vêtements ; mais que depuis sa mort son fils qui lui avait succédé les laissait manquer de tou
rre, du fromage et des œufs, et que la rétribution des messes que son fils allait dire à un bourg à une lieue subvenait à le
ppression, et qu’il se faisait fort de la faire présenter elle et son fils par des gens si considérables qu’elle en aurait u
lui mit le feu si vivement sous le ventre qu’il résolut la mère et le fils à partir incessamment. 203. Il est à propos de di
lesquelles il l’instruisait de tout et lui recommandait la mère et le fils  ; lesquels il fit à l’instant monter dans un carr
ngy une lettre infiniment plus pressante que celle dont la mère et le fils étaient porteurs ; par laquelle il le conjurait d
ttre ce placet au net, et lorsqu’il fut en état il mena la mère et le fils à Versailles, et s’adressa à M[onsieu] r de La Fe
ment dans la vengeance de son ami, et allait introduire la mère et le fils dans la chambre du roi, lorsqu’il s’aperçut que l
le fils dans la chambre du roi, lorsqu’il s’aperçut que la mère et le fils étaient très proprement vêtus. Sont-ce là, demand
voilà comme je les veux. Allez, poursuivit-il parlant à la mère et au fils , requérir vos guenilles. J’ai mes raisons pour fa
Roi, et je serai votre introducteur. 206. Le lendemain la mère et le fils ne manquèrent pas de retourner à Versailles, ni M
t-il bien vrai ? — Oui, Sire, répondirent en même temps la mère et le fils . — Ce sont vos affaires, leur dit le Roi avec une
. A peine le Roi fut assis que M. de Brissac fit entrer la mère et le fils . M.de Mesmes, qui les reconnut, devint tout d’un
bligé de demander au Roi pour toute récompense de ses services que le fils du défunt lui succédât dans sa charge de présiden
dent à mortier ; ce que Louis eut bien de la peine à accorder ; et ce fils s’est depuis montré si honnête homme et si bon ju
pes manquer de tout, tant sur terre que sur mer, parce que lui et son fils étaient intéressés dans les vivres, les fourrages
uis de Cœuvres ou le comte d’Estrées. Ils ont été seuls le père et le fils qui ont été maréchaux de France en même temps. Le
ritait cette dignité tant par sa bravoure que par sa naissance, et le fils aujourd’hui vivant n’a jamais eu d’autre mérite q
sais que c’était le bruit public de Paris. 250. Louis dauphin, propre fils de Louis XIV, voulut aussi remontrer à son père l
ustice à tous suivant la vérité la plus exacte. 255. Tévenin, dont le fils est à présent m[aîtr] e des requêtes, était fils
55. Tévenin, dont le fils est à présent m[aîtr] e des requêtes, était fils d’un très petit notaire à Xaintes ; sa fortune a
n couvent ; elle s’y mit d’elle-même. Il avait gardé auprès de lui un fils qu’il avait eu d’elle. C’est M. de Courson, aujou
nt logés, nourris et défrayés aux dépens de la bourse de Thévenin. La fils n’osait rien dire parce que son père était homme
loger ailleurs. Thévenin vit bien d’où venait le coup et congédia son fils aussi, si bien qu’il resta seul chez lui. Mais ce
dit même que Madame d’Aguesseau fut cause qu’il ne déshérita pas son fils , parce que sa fille à elle s’en serait ressentie.
nt-Roch sa paroisse pour en faire achever le bâtiment, conserva à son fils les droits à lui acquis par la nature, et ne dit
croyait tels ; que c’était de Madame son épouse et de M[onsieu] r son fils qu’il voulait parler ; qu’il devait faire ôter de
lter les sens, surtout dans un jeune homme de l’âge de M[onsieur] son fils  ; qu’au surplus s’il avait encore quelque chose s
ui plairait, dont il ne se mettait pas en peine ; qu’à l’égard de son fils , il était assez âgé et assez instruit pour savoir
e du pénitent, et je crois surtout de ses dernières paroles. 258. Son fils attendait ce vicaire, et ayant appris de lui que
e laquais sera parti. Après le départ de ce laquais, le père parla au fils de quelques affaires domestiques, et le notaire e
ivres qu’il avait données au bâtiment de Saint-Roch, et ordonna à son fils de le faire porter à Courson après sa mort. Il mo
e de son testament, et à peine eut-il rendu le dernier soupir, que le fils envoya requérir sa mère ; et peu de temps après,
protecteur a pris à ferme la terre de Meudon appartenante au dauphin, fils de Louis XIV. Il trouva par là le moyen de se fou
st entré dans tous les partis et les traités les plus criants. Il est fils d’un facteur de lettres ou d’un des valets de la
métier que sa maison est encore un temple de Vénus. 274. Hénault est fils d’un simple sergent de Paris. Il a de l’esprit, e
uira, et je ne suis pas sorcier pour le prédire. 276. Le Gendre était fils d’un apothicaire de Montpellier, n’ayant pas plus
souverain avait procuré une petite pension au père, et de l’appui au fils , qui était déjà dans l’emploi à Paris ; et comme
, il le congédia pour qu’il allât se faire panser. Le Gendre, quoique fils d’un apothicaire, ne se connaissait point à l’ana
iens de parler, est d’une meilleure famille que son beau-père, et est fils d’un capitoul de Toulouse. Mais il a épousé la fi
porté les premières paroles, elle fut la première à en turlupiner son fils et à jeter le divorce entre les mariés. La belle-
e de la mariée. La duchesse de Bouillon demanda au comte d’Evreux son fils s’il avait été rendre visite aux parents de sa fu
, et que vous n’avez pas été voir Faitout. — Eh ! Madame, lui dit son fils , c’est vous qui avez fait mon mariage, ne m’en dé
de M. de Pontchartrain, et après lui en celles de M. de Monrepas son fils . Je les prends à témoin[s] si je n’y dis pas que
e cette demande imprévue, alla trouver le marquis de Villefranche son fils et lui en fit voir les conséquences, qu’il n’eut
le résolus lui-même à retourner en Europe pour plaider le père et le fils  ; et quoique je n’eusse jamais vu sa maîtresse et
excessivement riche, ayant donné mille écus de pension par mois à son fils pendant tout le temps qu’il avait servi en Portug
ignité ; et son poste dans les Finances fut rempli par M. Chamillard, fils de celui qui avait autrefois fait les fonctions d
ns des âmes vindicatives qui voient leur vengeance échouée [sic]. Son fils , celui dont je parle, est d’un génie timide et tr
ter de taxe. Une maison bâtie, une perte sur mer, une banqueroute, un fils établi, une fille mariée, en un mot aucun prétext
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
nt que le sacrement les eût égalés. Il faut commencer par lui. Il est fils d’un homme de robe extrêmement riche de lui-même,
té, qui à juste titre, portaient la couronne sur leurs armoiries. Son fils et Angélique sa bru demeurent avec elle, et celle
terait pour la sauver ou le partager avec elle, et que si c’était son fils , elle se contenterait d’appeler du secours, et de
qui ont fait depuis le bonheur de ceux qui les ont épousés, mais son fils ne seconda pas ses desseins, il les refusa, et je
le-ci ne lui parla point de la conversation qu’elle avait eue avec le fils de la maison, elle lui tenait au cœur , et dès ce
ès honnête femme. Il n’avait pour tous enfants qu’un grand garçon son fils aîné, qui avocassait et travaillait à son étude,
re consentait à mon bonheur avec la moindre répugnance. Vous êtes bon fils et bon amant, lui dit la princesse, et outre cela
ne, ambitieuse comme elle était, consentît jamais qu’elle épousât son fils . Elle ne voyait plus pour elle, après ce refus, q
la vie, et eut horreur de payer si mal tant de tendresse. Tout le bon fils fit taire l’amant, et sans renoncer à son amour,
ame crut que la fièvre avait attaqué tout d’un coup le cerveau de son fils , et qu’il était extrêmement mal : elle se mit en
onduire à l’hôtel. Il y avait longtemps qu’elle aurait voulu voir son fils marié, et la personne dont il s’agissait étant de
résolu de passer sur le bien. Elle était pénétrée de l’amour que son fils lui avait découvert, et très satisfaite de son re
tamine, la demoiselle que vous avez demandée. Voyez si Monsieur votre fils pouvait faire un plus beau choix : vous l’aimerez
J’avoue, dit Madame de Contamine, en embrassant Angélique, que si mon fils est condamnable, il a du moins une belle excuse.
que vous devez le consentement que je donne à votre mariage avec mon fils . C’est premièrement à la recommandation de Madame
possibles. Je l’accorde encore à la soumission et au respect que mon fils a toujours eus pour moi. J’espère que vous en aur
leurs et une profonde révérence. Madame de Contamine conta ce que son fils lui avait dit le soir, et ce qu’il avait fait. Ce
avait dit le soir, et ce qu’il avait fait. Cette vénération d’un bon fils pour sa mère fut admirée. La princesse entra un m
nté, et l’assura d’une vénération et d’un respect égal à celui de son fils . Cette dame avait fait et faisait encore tout ce
lique, avec Mesdemoiselles Dupuis et de Vougy, dans la chambre de son fils . Il était encore au lit très mal, et ce fut ce qu
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
i paraissait si bien le mériter. J’avais un rival à Paris, c’était le fils d’un officier de la Maison du Roi, qui s’était mi
t. Je suis engagé, poursuivit-il, avec un de mes intimes amis dont le fils aime ma fille aussi bien que vous, et qui je croi
ssée. Il vint aussitôt, et le hasard fit, que dans le même moment son fils venait voir Mademoiselle Dupuis, et qu’ils entrèr
arla des articles du contrat. Du Pont se dépouillait en faveur de son fils de sa charge chez le Roi, dont il avait la surviv
t : mais je ne fus pas longtemps sans les connaître, le compliment du fils m’instruisit. Mademoiselle, dit-il en s’adressant
ible d’en tirer davantage. Du Pont le père ne savait qu’en penser, le fils était au désespoir de voir ses espérances évanoui
la manière dont je l’avais pris, ni du mépris que j’avais fait de son fils en sa présence, qu’il donnait cela à la passion,
elle avait été de s’expliquer, elle ajouta, en adressant la parole au fils  : vous savez bien, Monsieur, qu’on ne dispose pas
iselle, interrompit le père, car tout cela était de l’algèbre pour le fils , je vous engage ma parole qu’il ne vous importune
ous un congé éternel. Il ne faut jamais, poursuivit-il, parlant à son fils , qu’un honnête homme soit de trop quelque part qu
ïr ; car outre ce qu’il avait fait pour moi, il me recevait comme son fils , et me faisait rire. Je voyais tous les jours une
je perdis ma rhétorique aussi bien que Madame Dupuis et notre ami son fils , qui comme moi, firent leur possible. L’infidèle
ie, et je retournai chez elle, où j’avais laissé Madame Dupuis et son fils , belle-sœur et neveu du mort, et plusieurs autres
, qui est la femme de France la plus ambitieuse, et qui destinait son fils à un des plus riches partis du royaume. Il est en
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
é peu après à la suite de Monsieur de Grammont : ainsi je restai seul fils unique assez jeune, sous la tutelle de ma mère, f
s maîtres : qu’en un mot je voyais bien que j’étais véritablement son fils , et que je n’étais pas né non plus que lui pour d
respect pour sa mémoire, et ne le pas violer, en voulant obliger son fils unique à suivre des maximes qu’il avait toujours
e n’étais pas hors de l’emploi. Il me semblait qu’il m’était honteux, fils d’un homme brave, mort au service de son prince,
Il avait pour titre : Avis à Madame Des Frans sur la conduite de son fils . On lui écrivait par là, qu’on m’avait fait savo
lles n’en avaient point douté lorsqu’elles avaient appris que j’étais fils unique, ne dépendant que de moi : que j’avais du
Madame, lui dis-je en riant ? Je me tiendrais indigne du nom de votre fils , si je regardais ceci autrement que comme du temp
e à Illiers. Qu’il avait poursuivi son chemin pour postuler auprès du fils de celui à qui il s’était autrefois donné, une pe
dit qu’il était fort aise d’avoir retiré son argent, que c’était deux fils de financiers qui lui avaient vidé sa bourse il n
t un ancien domestique qui était dans la maison de Cranves de père en fils , et qu’il lui promit de mieux vivre. J’intercédai
te, c’est apparemment au sujet de Madame Des Frans et de Monsieur son fils . Il est vrai, dit-elle, dites-moi pourquoi vous m
de sa demande. J’écrivis ensuite à Madame Des Frans et à Monsieur son fils . Je comptais qu’il ne vous verrait jamais ; que m
pris mon parti tout à l’heure même chez Madame Des Frans, contre son fils qui est un brutal achevé. Je suis fort aise de vo
a joie imaginable de vous voir unis ensemble, car vous êtes tous deux fils et fille, vous Monsieur, ajouta-t-il parlant à mo
lace, et dites-moi sans déguisement ce que vous feriez. Je n’ai qu’un fils unique qui se marie sans que j’en sache rien : le
ai jamais chez moi. Je lui sais bon gré de l’amour qu’elle a pour mon fils . Elle l’aime, c’est son mari, elle ne fait à prés
Voilà, Monsieur, ma résolution, dont rien ne me fera changer. Si mon fils veut tenir son mariage secret, nous serons bons a
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
us en veut, si ce n’est à cause que vous devez vous battre contre son fils . Est-ce que les enchanteurs sont mariés ? demanda
emmes, et ont trop d’esprit pour en prendre ; celui dont je parle est fils d’une maîtresse, et ces femmes-là sont commodes,
u’il y a eu de chevaliers errants dans le monde ; mais que lui et son fils viennent quand ils voudront, je ne les crains ni
6 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
rpé sur lui par un de ses généraux, nommé Sombagi, ou Sévahi, dont le fils règne à présent, mais dont l’autorité est chancel
hose me paraît trop singulière. Ces peuples ne souffrent point que le fils succède au père à moins que ce père ne l’ait eu d
à moins que ce père ne l’ait eu du sang de leur reine, auquel cas le fils règne pendant sa vie ; mais ce ne sont point ses
ce ne sont point ses enfants qui lui succèdent, c’est sa sœur, ou le fils ou la fille de sa sœur, en un mot, c’est le sang
vec lui par le mariage de sa fille, parfaitement belle, avec Remraja, fils de Sévagi. Beau sujet de roman pour de Visé, dign
de la providence. L’abattement où Henri le Grand & Louis XIII son fils ont précipité la Maison d’Autriche (effet de la p
qu’on ait jamais vue, & qui fait toute la gloire du père & du fils ), se tourne contre Louis XIV, leur fils & pet
te la gloire du père & du fils), se tourne contre Louis XIV, leur fils & petit-fils : Il semble que ces princes n’on
dans les capitulaires de Charlemagne & de Louis le Débonnaire son fils , en ce qu’elles prononcent contre les banquerouti
avait pour procureur un très affamé fripon : c’était Arouard, dont le fils était dans la dépendance & aux appointements
is ce que je voulais savoir, & que voici. M. Martin est parisien, fils naturel d’un gros marchand épicier de la Halle. S
n compte, & l’on disait publiquement à la Halle qu’on chassait le fils du père pour faire hériter le bâtard de la mère.
vagi, les Français ont été obligés de suivre le parti de Remraja, son fils , & d’obtenir la neutralité de l un & de l
ninsule des Indes. Ce sont encore celles qui accompagnent Remraja son fils . Ces troupes sont formidables à celles du Mogol ;
ité d’autres questions de pareille nature, après quoi elle sortit. Le fils aîné lui fit sa harangue à son tour ; &, aprè
a métempsycose de Pythagore. Après quantité de ridicules demandes, ce fils se laissa tomber, & resta avec les parents, q
Après cet espace de temps, un des vieux parents, portant la parole au fils , lui dit : Ton père ne répond point ni à toi, ni
sujets du Mogol ; que c’était eux encore qui soutenaient Remraja, son fils , contre toutes les forces du Mogol, en lui envoya
remière protectrice de leur sainte Société auprès de Jésus-Christ son fils  ; & enfin, lui demandèrent les clefs de cette
uffrir son évasion de la prison où elle était retenue, d’emporter son fils avec elle, & de se retirer à Bangkok. Vous sa
avez comme elle y fut reçue, & avec quelle lâcheté elle & son fils furent rendus à l’opra Pitrachard. Il est certain
s Français, à laquelle l’abandonne-ment de Mme Constance & de son fils , la reddition infâme & lâche de Bangkok, la s
n croit que la fortune de sa famille est solidement établie quand son fils aîné est procureur & le second prêtre : qu’ai
fus-je hors de Paris qu’il sollicita un passeport pour lui & son fils . Il l’obtint. Il acheta une chaise de poste à deu
meurtrier de son père, & moins encore à se donner à lui, ou à son fils  : à quoi Pitrachard prétend la réduire par les to
pu & dû défendre contre toutes les forces de Pitrachard. Ses deux fils , aussi braves que le père l’était peu, s’étaient
ges en l’épousant ; richesses, cause de la perte de la femme & du fils unique de M. Constance, rendus à Pitrachard avec
eté qui se soit jamais faite : uniquement parce que, si la mère ou le fils fussent passés en France, il aurait fallu que les
mme en fassent plus mauvais ménage ensemble. Peut-être que de père en fils ils sont accoutumés d’être vulcanisés. En tout ca
a tiré les vers du nez. Cet amant est un nommé M. Bernard, parisien, fils ou neveu du libraire. Il est à la Martinique, sou
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
a cause innocente de sa mort. Vous savez que je suis pour mon malheur fils unique d’un homme extrêmement puissant dans la ro
r de votre domestique est aussi réglé que l’extérieur : cependant mon fils va chez vous tous les jours malgré mes défenses.
choses que je n’avais point encore vues. Je ne sais si Monsieur votre fils a quelque attachement chez moi ; mais je vous jur
us clair que moi dans mon domestique. Je n’ai souffert Monsieur votre fils , que parce qu’il est votre fils, et qu’il pouvait
ique. Je n’ai souffert Monsieur votre fils, que parce qu’il est votre fils , et qu’il pouvait comme il a déjà fait, me procur
de les faire cesser, et que dès aujourd’hui je prierai Monsieur votre fils de ne nous plus honorer de ses visites, et je le
our elle tout ce qu’elle pouvait attendre d’un bon gendre et d’un bon fils  ; mais qu’au contraire je remuerais ciel et terre
ne la mère, qu’il n’a jamais pu la regarder depuis sa dureté : et son fils a tant fait auprès de lui, qu’il s’est volontaire
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
e mande qu’il en a fort bien usé, et qu’il a eu autant de soin de mon fils , que s’il avait été à lui ; ce sont des obligatio
rester ; car on ne permit pas que Madame de Jussy allât après eux. Le fils seul qui n’entrait point tant dans le ressentimen
t de la salle, et prit le chemin de la chambre de la bonne femme. Son fils donna la main à Madame de Londé, Des Frans à Mada
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
qu’elle ne m’eût fait un sermon qui tombait toujours sur Monsieur son fils qu’elle me proposait pour modèle. Elle savait que
main, et un verre de l’autre. Quelle surprise pour la mère et pour le fils  ! Je n’en eus pas la comédie, mais j’eus celle du
nue par d’autres, qui me fissent connaître que j’étais aussi bien son fils par le cœur que par le sang. Que c’était ce qu’el
tivement pour elle : mais que ne m’étant jamais vu traité par elle en fils , je m’étais insensiblement accoutumé à ne la plus
es vices où tous les jeunes gens sont sujets : et je ne crois pas mon fils plus réformé qu’un autre. C’est donc pour mon com
que vous croyez, Madame, repris-je d’un grand sérieux, Monsieur votre fils vit fort exemplairement. Il y a un religieux dans
d’en parler, je crois vous devoir avertir, Madame, que Monsieur votre fils , tout l’aîné qu’il est de votre famille, a eu env
. Il n’est rien plus certain que ce que je vous dis de Monsieur votre fils  ; il a voulu être religieux, et le sera sans dout
rai qu’il n’était pas fort savant. La bonne mère entendant parler son fils comme un anachorète, avait les larmes de joie aux
t une joie très grande de la part de Madame Gallouin, qu’elle vit son fils aîné capucin. Il consulta la lettre de Silvie ave
10 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
uelques-uns qui ont des vestes des Indes, mais peu. Je n’ai vu que le fils du Roi couvert d’un turban, tous les autres vont
fils du Roi couvert d’un turban, tous les autres vont nu[e] -tête. Ce fils du Roi écrivit devant moi à ses gens pour me fair
qu’à la nécessité qu’il avait de remèdes. Le petit Monsieur Le Mayer, fils de Monsieur Le Mayer directeur des affaires de Me
du Grand Mogol, et a été usurpé sur lui par un nommé Sauvagy dont le fils nommé Rem-raja règne à présent, mais dont l’autor
nsieur de La Ville-aux-Clercs, son lieutenant. On dit ici qu’il était fils naturel d’un prince français qu’on m’a nommé, mai
Achem dont nous sommes proches. Les peuples ne souffrent point que le fils succède au père, à moins que ce ne soit d’une rei
ce qu’on n’appelait plus que les terres de Sauvagy. Après sa mort son fils aîné, nommé Sombagy, est monté sur le trône, prin
é, il s’est mis en état de faire tête à son ennemi et se montre digne fils de Sauvagy. Il a levé environ trente mille chevau
mille autres demandes de pareille nature, après quoi elle sortit. Le fils aîné lui fit sa harangue à son tour, et après pre
mort va animer celui d’un enfant naissant. Mais retournons trouver le fils qui questionne son père mort. Après quantité de d
e sont trois petits bâtons qui brûlent comme des chandelles. C’est le fils qui les met au bûcher ; après lui y porte du feu
que cependant il faudra qu’elle prenne le parti de l’épouser lui, son fils , ou la mort, car ce n’est pas la coutume des Orie
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
ire jaser. Elle dit à Thérèse qu’elle voulait marier sa fille avec le fils de son défunt fermier. — Est-il riche, Madame ? d
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
s plus pressants quand il aurait été question de la vie de son propre fils  ; et enfin il acheva de mettre en repos l’esprit
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
, tu ne connais point la propriété de cette eau. Nous sommes ici, mon fils , dans la forêt des Ardennes, et la fontaine que t
14 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
rante-huit canons. L’Oiseau est commandé par M. le chevalier d’Aire, fils de M. d’Aire, qui a été intendant à Rouen. Il est
ient à propos de parler de M. Céberet, je crois devoir dire qu’il est fils de feu M. Céberet secrétaire du Roi, l’un des pre
èrement à son âge, de plus de soixante ans ; au cruel chagrin que son fils lui a donné, dont j’ai parlé ci-dessus ; à la mor
nfants ; qui de nous ne le regardait pas avec la vénération qu’un bon fils doit à son père ? Et qui enfin de nous ne le regr
t le commissaire des airs ridicules du jour d’hier. Ce M. Blondel est fils du défunt payeur des rentes de l’Hôtel de Ville,
à conséquence l’exemple de Saül, qui voulut faire mourir Jonathas son fils pour avoir mangé un rayon de miel ; ou celui de J
epthé n’étant pas roi, comme ils le regardèrent depuis dans Jonathas, fils de leur roi. Ils le laissèrent sacrifier, et rega
, ou de frère à sœur ; pas plus qu’ils en font de père à fille, et de fils à mère ; et, pour douter de ceci, il faudrait don
enseigne de M. du Quesne, nommé M. de La Ville-aux-Clercs. On le fait fils naturel de M. le duc de Lédiguière : cela ne peut
I y en a quelques-uns qui ont des vestes des Indes. Je n’ai vu que le fils de leur roi qui eût un turban d’une mousseline bl
rs ils vont tête découverte malgré la chaleur excessive du soleil. Ce fils du roi n’a rien de barbare : au contraire, il m’a
et je n’ai trouvé ni l’un ni l’autre de difficile usage. Au reste, ce fils du roi, pour n’y plus revenir, a les traits du vi
rriver, et du moyen qu’il ouvrait pour l’empêcher. Le jeune Le Mayer, fils de M. Le Mayer, directeur pour messieurs de la Co
ral, lit en Irlande sous le commandement de M. le marquis de Cœuvres, fils de M. le maréchal d’Estrées ; mais, en vérité, to
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
verrait point parmi eux ces harpies invétérées qui passent de père en fils , et qui semblent être éternelles, contre les expr
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
point ingrat de votre discrétion. Je vous regarde toujours comme mon fils , et n’ayant pour tous enfants que cette misérable
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
amitié qui n’a fini qu’avec sa vie. Il s’appelait de Bernay, et était fils d’un homme puissamment riche, voilà sa sœur, pour
/ 17