rès mal, et si sa mère ne l’avait point violentée, elle serait encore
fille
, et vous auriez eu beaucoup de part à son célibat
le monde ; et cela parce que sa mère ne voulait pas qu’on lui vît une
fille
si grande. Cette femme se piquait de beauté et de
riche. Il était homme d’esprit, franc, sincère, n’ayant fourbé que sa
fille
et moi, se moquant de la bagatelle. Il avait touj
rien ne lui avait réussi ; et c’est ce qui est cause, que, quoique sa
fille
soit unique, elle n’est pas si riche, à beaucoup
, après lequel il devait y avoir bal, et la fête était faite pour une
fille
de très grande qualité, qu’il épousa quatre jours
nduite de son épouse, autorise les autres à en croire du mal. Pour sa
fille
, il ne pouvait pas la nier. C’était son portrait
t point sortir du couvent ; Dupuis ne voulait point être chargé d’une
fille
de dix-sept à dix-huit ans. Il ne la retira auprè
it pas été tout à fait vertueuse, n’aurait pas pu mettre au monde une
fille
si accomplie. Je m’abandonnai à ma passion, mes s
ant. Quoique cette déclaration si peu attendue, fût épineuse pour une
fille
, et qu’elle ne pût pas dire plus, il est certain
les apparences, Dupuis ne devait pas être fâché que je songeasse à sa
fille
. Ma famille égalait la sienne, mon bien était plu
n jouir tranquillement le reste de ses jours. Qu’il n’avait retiré sa
fille
auprès de lui que pour en être soigné et soulagé
her femme, d’avoir pour lui les égards et l’attachement qu’elle avait
fille
. Que si elle ne se conformait pas à sa volonté, i
t rester de ses amis. Une réponse si précise fut un arrêt décisif. Sa
fille
en pleura ; j’en fus au désespoir ; mais il n’y a
fut de lui faire parler par son confesseur, qui lui représenta que sa
fille
ne trouverait pas toujours un parti aussi avantag
un gendre, il se faisait un double appui au lieu qu’il n’avait que sa
fille
. Que la conscience même l’obligeait à prévoir mil
science même l’obligeait à prévoir mille fâcheuses extrémités, où une
fille
violentée, et remplie de passion, peut se porter.
ui se présentaient tous les jours, devaient lui faire craindre que sa
fille
ne les suivît. Qu’il était de son intérêt et de s
y aurait plus d’un côté que d’autre ; et que peut-être à sa mort, sa
fille
paraîtrait un parti aussi avantageux pour moi, qu
r moi, que je paraissais l’être alors pour elle. Que pour l’âge de sa
fille
, il n’était pas assez avancé pour l’obliger à rie
l se serait privé du droit de disposer de son bien à sa fantaisie, sa
fille
et son gendre croiraient que cet usufruit serait
out tiré ; qu’il ne voulait pas leur ressembler. Qu’il voulait que sa
fille
dépendît toujours de lui, sans se mettre lui au h
re faisait tout oublier. Que pour lui il répondait devant Dieu que sa
fille
ne lui manquerait jamais de parole de ce côté-là,
commun, il ne comprenait pas que son salut dépendît du mariage de sa
fille
. Qu’il semblait qu’on voulût lui faire appréhende
urir à la bourse d’autrui. Qu’il n’en était pas ainsi à son égard, sa
fille
ayant avec lui non seulement le nécessaire, mais
son égard comme Mademoiselle de l’Épine en avait usé à l’égard de sa
fille
, que cet exemple était tout récent. Quelle était
, interrompit Des Frans ? C’est, reprit Des Ronais, une femme dont la
fille
contracta à son insu un mariage qui n’était pas t
qui la sacrifia à Monsieur Des Prez, père de son amant ; et la pauvre
fille
fut conduite à l’Hôtel-Dieu, où elle mourut le mê
c son confesseur. Il entendit quelque bruit, et ne doutant pas que sa
fille
et moi ne fussions aux écoutes, comme en effet no
me dépouiller du reste d’une fortune fort ample ; et qui encore ? une
fille
qui me doit tout, et à qui ma seule bonté y donne
n homme qui peut-être ne m’en aura jamais d’obligation : car enfin ma
fille
n’est pas faite tout exprès pour trouver un mari
llité, parce qu’il y fallait vivre : mais sans la considération de ma
fille
, que j’ai toujours aimée et que j’aime encore, sa
qu’il était de mon honneur de cacher et qui auraient rejailli sur sa
fille
, et outre cela, elle a toujours fort bien sauvé l
à sa tête, ou enfin sur mes vieux jours par mes maladies, et par une
fille
qui m’ayant toutes sortes d’obligations, veut me
bonheur de mourir avec tranquillité. Je ne sais s’il poursuivit ; sa
fille
qui se retira bien mortifiée de sa curiosité et d
onnu son esprit dans nos conversations ; et il est certain que jamais
fille
n’en a eu de plus aisé. Elle ne rêve point à ce q
hement que j’ai pour vous. Je voudrais que pour vous voir, toutes les
filles
empruntassent mes yeux ; mais je voudrais que vou
e félicitait sur mon choix ; on m’animait même à être fidèle pour une
fille
qui paraissait si bien le mériter. J’avais un riv
l’épouser. Dupuis avait vu quelqu’une des lettres que j’écrivais à sa
fille
sur cet article, et avait pris ses précautions, c
ce dessein j’allai dès le lendemain matin voir Dupuis, pendant que sa
fille
était allée à la messe, je choisis ce temps-là ex
oisis ce temps-là exprès. Je me jetai à ses pieds, et lui demandai sa
fille
toute nue, c’est-à-dire, que je m’offrais à la pr
ma longue absence lui avait fait croire que je ne songeais plus à sa
fille
, et que les choses avaient changé de face depuis
gagé, poursuivit-il, avec un de mes intimes amis dont le fils aime ma
fille
aussi bien que vous, et qui je crois ne lui dépla
ais gardez-vous de vous tromper vous-même. Vous ne connaissez pas les
filles
, elles sont plus fines que vous ne pensez, et se
. Je n’en pus tirer autre chose ; mais en me remettant au choix de sa
fille
, c’était me donner gain de cause. Il m’avait voul
sie, j’en pris en effet, mais qui fut bientôt dissipée. J’attendis sa
fille
dans une salle en bas, elle revint peu après, et
enti dans l’instant même ; car il ne voulait absolument pas marier sa
fille
. Ainsi il chercha les moyens de rompre l’engageme
même se donner à moi ; mais il ne voulait pas que je pusse accuser sa
fille
de notre rupture, parce qu’il ne voulait pas que
avec le père de Du Pont, quoique en effet il ne voulût pas donner sa
fille
à un homme d’un mérite si mince et si peu aisé ;
misse bientôt dans la nécessité de conclure, en faisant expliquer sa
fille
devant lui et moi, il résolut de nous prévenir. V
s prévenir. Voici ce qu’il fit. Il avait entendu le rendez-vous de sa
fille
et de moi : à peine fut-elle sortie qu’il envoya
Sitôt que Dupuis le vit, il se résolut de les jouer aussi bien que sa
fille
et moi. Après les premières civilités, il dit à D
té une chose conclue, et dont Dupuis n’aurait pas pu se dédire, si sa
fille
avait voulu y consentir : mais c’était ce qu’il s
us, Monsieur, lui dis-je, de vous donner parole pour le mariage de sa
fille
et de vous ? Oui, Monsieur, me dit-il. Eh bien, M
der les Du Pont, et je lui entendis dire en ma faveur, tout ce qu’une
fille
sage, honnête, spirituelle, et passionnée peut di
gement où ils venaient d’entrer, si les sentiments de Mademoiselle sa
fille
, et les miens lui avaient été connus ; qu’il ne p
t ; mais comme il avait pris sa résolution, il dit sans façon, que sa
fille
était une insolente de parler de la sorte devant
a longtemps, Monsieur, lui dis-je, que je songe à Mademoiselle votre
fille
, vous savez que je ne lui suis pas indifférent. V
motif qui vous fasse agir, je suivrai l’exemple de Mademoiselle votre
fille
, et ne vous dirai rien, de crainte que la passion
je suis animé, ne me fît sortir du respect que je dois au père d’une
fille
que j’aime jusqu’à la fureur et à l’idolâtrie. Je
chagrin de voir vivre quelqu’un. Ce quelqu’un ne parla non plus à sa
fille
des Du Pont ni de moi, que si nous n’eussions jam
it pas plus. Je vous ai dit qu’il avait voulu tout rompre sans que sa
fille
me donnât le moindre sujet de me plaindre d’elle.
e ne sais pas où Dupuis l’apprit, puisque je n’en avais rien dit à sa
fille
, et qu’elle ne le sut que lorsqu’il l’envoya chez
parle aussi. N’est-il pas vrai, dit-il, que si je vous avais donné ma
fille
avec mon bien, je ne vous aurais pas rendu servic
pas eu besoin ? N’est-il pas vrai encore, que si vous aviez épousé ma
fille
toute nue, comme vous me la demandiez, vous croir
i me confiait volontiers son bien, et qui ne voulait pas me donner sa
fille
par une ferme résolution de ne se point dégarnir
’honneur ne devaient point exiger entre eux ces sortes de précautions
filles
de la défiance. Si cette occasion m’avait donné à
rgent à dépenser, et je mangeais avec cette dame. On disait que cette
fille
était de bonne famille, effectivement elle n’avai
it point de part, et je ne demandais pas mieux qu’un amusement. Cette
fille
était gaillarde et de bonne humeur, j’étais porté
ut découvert. Dupuis avait des amis partout, il fut informé que cette
fille
était prête d’accoucher, qu’elle me faisait un pr
vie. Il est vrai pourtant qu’il n’avait pas voulu me parler devant sa
fille
, mais elle écoutait tout, lequel vaut le mieux ;
ngtemps qu’il ne se servait plus du carrosse qui n’était plus qu’à sa
fille
; et malgré tout ce qu’elle et moi lui pûmes dire
ercher un sergent, qu’il connaissait pour être des bons amis de cette
fille
. Il lui mit le décret en main, mais il ne lui don
la capture. Ce sergent fit ce qu’il en avait espéré. Il avertit cette
fille
, qui se trouva fort embarrassée, voyant bien qu’o
ours après sa naissance, me délivra du soin de l’élever. Dupuis et sa
fille
firent encore plus pour se mettre l’esprit en rep
ent encore plus pour se mettre l’esprit en repos. Ils ont marié cette
fille
à un homme de province, et Dupuis qui lui fit un
fit la mine pendant quelque temps, et n’eut point de repos que cette
fille
ne fût partie avec celui qui l’avait épousée. Pou
. Cela donna matière à d’aussi plaisantes conversations entre lui, sa
fille
et moi, qu’on puisse jamais en avoir. Il n’était
que la première chasse qui coûte. Au commencement d’une aventure une
fille
est honteuse. Quelque plaisir qu’elle sente, un r
n ton de voix et d’un air railleur, qui valait mieux que le reste. Sa
fille
sortait lorsqu’elle voyait qu’il commençait, mais
i dit-elle un jour, si vous êtes si fort persuadé de la fragilité des
filles
, pourquoi souffrez-vous que moi qui suis la vôtre
ticulière je me gouverne bien, vous qui ne croyez pas qu’il y ait une
fille
qui soit sage ? Car enfin si j’avais été d’humeur
gais, ni italien, ni turc ; je ne me fie point de la continence d’une
fille
sur des grilles ni sur des verroüils. La sagesse
ce d’une fille sur des grilles ni sur des verroüils. La sagesse d’une
fille
n’est rien à moins qu’elle ne vienne de sa propre
ont que très rarement les premières avances. La véritable vertu d’une
fille
consiste à être tentée et à ne pas succomber à la
urs amants. Mais d’abord qu’il y a de la contrainte, bien loin qu’une
fille
trouve des charmes dans sa vertu, elle s’en dégoû
n’ai pas voulu vous marier ensemble, je t’avais défendu, dit-il à sa
fille
, de voir Monsieur Des Ronais, mets la main à la c
conscience, n’est-il pas vrai que tu ne m’aurais pas obéi. Lorsqu’une
fille
donne des rendez-vous à un amant, qu’elle voit ma
sant connaître. J’ai été jeune autrefois, poursuivit-il, j’aimais une
fille
que je recherchais pour le sacrement. J’en étais
s. Ainsi je sais par moi-même, qu’on agit toujours autrement avec une
fille
qu’on veut épouser, qu’avec une autre, quoique d’
j’aurais appréhendé qu’elle n’eût suivi vos conseils ; car quand une
fille
a de la confiance aux gens, elle s’abandonne à le
t le gendre de la maison, il ne me restait qu’à partager le lit de la
fille
. Ce fut à quoi je tâchai de la faire consentir ;
vait comme son fils, et me faisait rire. Je voyais tous les jours une
fille
que j’aimais jusqu’à la fureur, et dont j’étais a
il eut reçu tous ses sacrements, il nous fit venir dans sa chambre sa
fille
et moi. Il en fit sortir tout le monde ; il la fi
cé de se précautionner contre tout. Qu’il n’avait jamais douté que sa
fille
et moi n’en eussions fort bien usé à son égard, s
te du futur. Je ne vous donne rien, poursuivit-il, en vous donnant ma
fille
, elle est à vous par toutes sortes de raisons. Je
bénédictions. Je vous donne la mienne, poursuivit-il, en parlant à sa
fille
; mais c’est à la charge que vous vous en rendrez
ut à fait content, si je pouvais vous voir l’un à l’autre, et voir ma
fille
avant ma mort dans une alliance assurée, que mill
ne douleur très véritable de l’état où je le voyais. Les pleurs de sa
fille
qui étaient sincères, me pénétraient. J’admirais
’arracha des larmes, et je secondai très sincèrement la douleur de sa
fille
, qui était excessive. La permission de nous marie
ivée chez Madame de Ricoux avec qui j’étais brouillé à cause de cette
fille
qu’elle disait que j’avais débauché chez elle ; e
père ne lui avait pas laissé un sou de dettes, et qu’elle était seule
fille
et héritière, il n’y eut pas un mot de contestati
r. Et comme sa tante lui dit encore, qu’il n’était pas honnête qu’une
fille
seule tînt sa maison avec tant de domestiques, je
une de celles que j’avais, afin de l’embarrasser pour en rire. Cette
fille
me le permit, et j’allai chez moi me débotter ; c
hasard du sien, ou bien elle est la plus fourbe, et la plus scélérate
fille
qui soit au monde, puisque Silvie est morte. Je n
attre avec un rival, refuse de faire un pas pour s’expliquer avec une
fille
qu’il aime ? Car quelque mine qu’il fasse de me h
fort avantageusement ; mais je ne puis songer qu’à lui, et je mourrai
fille
, ou je l’épouserai. Je le regarde toujours comme
udra. Ainsi je passe par-dessus tous les égards que je me dois, comme
fille
. Mais si il abuse encore cette fois-ci de ma bont
s êtes à présent Madame, reprit-il, mais vos traits me rappellent une
fille
qui demeurait dans une maison où je fréquentais s
rande disproportion de l’état où je vous vois, à celui où était cette
fille
. Vous ne vous trompez pourtant pas, reprit cette
vous Madame, qui mérite tant de reconnaissance, reprit cette aimable
fille
, vous ne devez votre rang qu’à votre mérite ; vou
our satisfaire. Comment se peut-il qu’une lettre qui est écrite à une
fille
, qui cadre si bien à son sujet, qui lui est adres
ort envie de savoir l’histoire de Madame de Contamine, et comment une
fille
que j’ai vu servir à la chambre de la mère de vot
t de son côté, il lui en vint encore d’autre, par son mariage avec la
fille
d’un partisan puissamment riche, duquel elle est
ne seconda pas ses desseins, il les refusa, et jeta les yeux sur une
fille
qui paraissait infiniment au-dessous de lui. Ce f
mort laissa sa veuve privée de tout secours, et chargée d’une petite
fille
, qui est Angélique dont nous parlons ; et encore
e, n’ayant pas de quoi subsister ; bien loin d’en pouvoir donner à sa
fille
. Monsieur Dupuis obligea sa femme de prendre cet
lui rendît compte ; quoiqu’il n’ait jamais rien exigé de pareil de sa
fille
. Angélique y resta six à sept ans ; et Mademoisel
issait Angélique, la demanda à Monsieur Dupuis pour être auprès de sa
fille
qu’elle allait mettre fille d’honneur auprès de M
à Monsieur Dupuis pour être auprès de sa fille qu’elle allait mettre
fille
d’honneur auprès de Madame la princesse de Cologn
ougy, à peu près de son âge, laquelle Mademoiselle de Vougy fut reçue
fille
d’honneur de la princesse de Cologny deux ou troi
: car tout paraît en elle fort naturel et sans fard. Elle était donc
fille
de chambre de Mademoiselle de Vougy, sa maîtresse
nait à danser, à chanter, et d’autres choses qu’on fait apprendre aux
filles
de qualité. Angélique, qui était toujours auprès
? Parce que, répliqua-t-elle, des visites d’un homme comme vous à une
fille
comme moi, n’en feraient rien juger que de crimin
n’allez pas plus loin. Un homme comme vous, croit faire honneur à une
fille
telle que je suis, quand il lui parle, et je vous
e je ne puis me passer de vous voir, et que vous êtes la plus aimable
fille
que j’ai jamais vue. Je ne sais point, Monsieur,
raillerie. Oui, ajouta-t-il, je vous le répète, vous me paraissez la
fille
du monde la plus aimable ; et vous êtes aussi la
e paraissez la fille du monde la plus aimable ; et vous êtes aussi la
fille
du monde que j’aime le plus. Trouvez un moyen qui
iendrait sans doute pas. L’amour qu’un homme de votre rang a pour une
fille
du mien, la déshonore quand il est su, ou le désh
égard de vous épouser, toute la terre me blâmerait, si j’épousais une
fille
telle… Je sais bien, interrompit-elle brusquement
é n’était point un vice, et que devant Dieu et devant les hommes, une
fille
pauvre et sage, est plus estimable et mieux reçue
insi elle résolut de paraître avec toute la vertu et la fierté qu’une
fille
peut avoir, sans pourtant le dégoûter par aucune
ut avoir, sans pourtant le dégoûter par aucune incivilité ; et jamais
fille
ne s’est mieux tirée d’un pas si difficile. Elle
et sans répondre à ce qu’il lui disait, elle alla chercher une autre
fille
qui vint avec elle. Elle lui parla pour lors, et
sta toute l’après-midi, mais il ne put lui parler seul à seul ; cette
fille
ne la quitta point. Il sortit enfin, et la salua
vait, qu’assez bien dans l’esprit de la maîtresse, il lui préfère une
fille
qui la sert ? Je n’y viendrai plus puisque vous m
uveriez pas vous-même que je me déclarasse publiquement l’amant d’une
fille
de chambre. Je serai pourtant bientôt réduit à le
pour innocentes ? Vous conviendrez avec moi qu’il ne suffit pas à une
fille
d’être sage et vertueuse ; c’est en effet l’essen
le fut bien davantage de voir l’extrême pauvreté de la mère et de la
fille
. Il les jugea dignes de ses charités, et elles l’
ù elle est, et de vous voir vous-même dans un lieu si peu digne d’une
fille
que j’adore. Je sors, prenez garde que personne n
était étonnée de voir dans un homme de son rang, tant d’amour pour sa
fille
, et de voir avec quelle joie il avait saisi de lu
te femme fut en état de se lever, il s’adressa à elle pour obliger sa
fille
d’accepter ce qu’il lui avait destiné. Il envoya
qu’il n’y a pas d’apparence que je lui propose un mariage avec votre
fille
, et moins encore qu’elle y consente. Je sais qu’e
e côté vous jugerez qu’il me serait extrêmement fâcheux d’épouser une
fille
que tout le monde aurait vu servir. Ce qui est fa
ous d’elle, jusques à ce que vous ayez une servante, et Angélique une
fille
de chambre et un petit laquais. J’aurai soin de v
, de dentelles, et enfin de tout ce qu’un homme peut acheter pour une
fille
; et le tout étant très beau, cela lui donna un n
quait, ni pour la propreté, ni pour la commodité. Angélique avait une
fille
de chambre et un petit laquais, sa mère avait une
re et une antichambre proprement meublées ; une autre chambre pour la
fille
de chambre et la cuisinière, et une cuisine fort
ressentir des bassesses de sa fortune, prit toutes les manières d’une
fille
de qualité bien élevée. Il la pria d’achever d’ap
ait, comme je vous ai dit, toutes les manières nobles, et l’air d’une
fille
de qualité ; il est vrai qu’elle avait été élevée
qu’elle, qui passait dans son jardin une partie de la soirée avec les
filles
du logis, et d’autres du voisinage. Ce qui rendai
n’était pas le moyen de réussir que de n’avoir point de compagnie. Sa
fille
de chambre n’était pas pour tenir contre les prés
t à côté de la sienne, et qui avait été occupée par sa mère, aux deux
filles
du logis chez le père desquelles elle mangeait, e
çon son fils aîné, qui avocassait et travaillait à son étude, et deux
filles
à peu près de l’âge d’Angélique, assez belles, bi
élique, assez belles, bien faites et fort sages. Ce fut avec ces deux
filles
qu’Angélique avait sa plus particulière connaissa
ticulière connaissance ; elles ne se quittaient point. L’aînée de ces
filles
avait été pensionnaire dans le convent où Mademoi
urg Saint-Germain. Elle lui offrit une place dans son carrosse. Cette
fille
l’accepta, et lui fit en allant un portrait si av
le secret si vous me jugez digne de votre confidence. Je suis encore
fille
, reprit Angélique, aussi sage et aussi entière qu
t que rarement. Qu’elle vivait fort sagement et fort retirée ; que sa
fille
de chambre couchait avec elle, et les deux sœurs
pendant ; car il est certain qu’elle est trop sage. Elle vécut encore
fille
près de deux ans après la mort de sa mère ; et vr
l’avait priée d’y venir sous les armes. Son laquais la suivait, et sa
fille
de chambre était derrière elle. Le marchand qui n
la jetèrent dans un désordre qui ne se peut exprimer. Je suis encore
fille
, Madame, poursuivit-elle, d’un air fort embarrass
, Madame, poursuivit-elle, d’un air fort embarrassé. Vous êtes encore
fille
, reprit cette princesse d’un air dédaigneux ? Vou
la regardant avec le dernier mépris ; car elle crut qu’elle était une
fille
perdue, à qui la débauche fournissait le moyen de
en carrosse, et dans le chemin elle chercha son excuse auprès de ces
filles
. Elle leur dit qu’elle avait été demoiselle d’hon
lance, et que cela cadrait avec les paroles de Madame de Cologny, ces
filles
la crurent de bonne foi, et ne s’en mirent pas pl
vait acheté : elle en fut remerciée : tout ce qui lui venait de cette
fille
lui était cher. Il lui demanda si elle se trouvai
ma réputation. J’y sacrifierai tout, je ne veux point passer pour une
fille
de joie ; je veux justifier ma conduite dans l’es
durerait tout le temps de ma vie. Il est même de votre honneur qu’une
fille
que vous destinez à votre lit, soit d’une vertu q
rais pas tant de soin de votre honneur, qui est attaché à celui d’une
fille
que vous aimez assez pour vouloir épouser, et je
peu sensible sur ce point-là, pour vouloir faire votre compagne d’une
fille
perdue de réputation devant le monde, quelque inn
ns un état digne de compassion. Que voulez-vous que je fasse pour une
fille
perdue, répondit-elle ? Lui rendre votre estime,
e, interrompit Mademoiselle de Vougy, comment accordez-vous l’état de
fille
aussi pauvre qu’elle, avec la magnificence dont e
t, elle aurait assurément du regret d’avoir terni la réputation d’une
fille
dont l’honneur ne lui doit pas être indifférent,
it qui n’était pas à son avantage, parce que je la reconnais pour une
fille
très sage, et d’une conduite sans reproche ; ains
ait cru mariée ; mais qu’elle ne lui avait pas semblé excusable étant
fille
. Que pourtant elle avait donné son libertinage, n
nné son libertinage, non pas à l’inclination, l’ayant connue pour une
fille
très sage ; mais à la nécessité qui l’avait contr
ta sans façon le parti, Mademoiselle de Vougy en fit autant. Les deux
filles
et la mère du logis qui étaient montées peu de te
la prière qu’il lui faisait de ne me point quitter ; la compagnie des
filles
avec qui je mange, qui ne m’ont point quittée dep
elle examina tout. Elle les y laissa, questionna la maîtresse et les
filles
du logis, et vint reprendre le soir Mesdemoiselle
nous regardâmes cette visite comme la décision de la fortune de cette
fille
, et j’eus impatience qu’elle en fût de retour pou
vues. Vous avouez vous-même avoir fait plusieurs propositions à cette
fille
qui me paraissent fort gaillardes. Il faut que vo
ir en même temps l’amour le plus tendre et le plus passionné pour une
fille
, et le plus profond respect pour une mère. Cette
t condamnable, il a du moins une belle excuse. Je ne connais guère de
filles
à Paris plus belles, ni mieux faites. Ce n’est po
partie avec d’autant plus de plaisir qu’il aimait l’aînée de ces deux
filles
que nous allions voir, parce qu’il en parlait ave
nay, vous m’avez parlé en venant ici de vos deux sœurs, comme de deux
filles
qui n’étaient propres que dans un couvent ; et vo
s et les contrefaites qu’il faut séquestrer, poursuivis-je ; mais une
fille
belle, bien faite, et aussi spirituelle que Madem
i montrant Bernay et Madame d’Ornex, et si vous étiez née l’aînée des
filles
ou d’un autre sexe, le couvent ne vous serait jam
s avez encore à combattre, reprit-il, l’esprit de ma sœur, qui est la
fille
du monde la plus fière, et la plus résolue ; rien
eligieuse. Il ne l’y laissait que parce qu’il ne voulait pas avoir de
filles
chez lui. Madame d’Ornex n’en est sortie que pour
eptai ses offres et j’allai voir Clémence. Elle me répondit comme une
fille
mise dans le couvent de son bon gré aurait pu fai
urs, ayant pris son parti, mais qu’il n’en était pas de même de cette
fille
. Elle le priait de l’aller voir, comme il le lui
sœur n’avait pas été secrète ; car lorsque j’allai la demander, cette
fille
vint au parloir, qui m’ayant reconnu, me dit sans
avance bien plus ses affaires d’amour avec une cloîtrée, qu’avec une
fille
du monde. La raison en est, que tous les hommes s
e du monde ; ce que je dis me paraît trop fort et trop hardi pour une
fille
: il me paraît en même temps trop faible et trop
, et je revins à Paris dans cette pensée qui me trompa. Je trouvai sa
fille
chez lui, il était très malade, non pas du chagri
e enrager d’Ornex, pour retirer de lui la dot qu’il avait donnée à sa
fille
. Comme ces deux hommes sont de même pâte, leur un
n avocat l’avait cité de son caractère, et pour lui faire plaindre sa
fille
avec plus d’emphase, il le revêtait de toute la t
fut cité. Il déclamait contre lui, sur tout ce qu’il avait fait à sa
fille
, qu’il avait même frappée depuis son mariage. Enf
l avait été instruit que ç’avait été moi qui avais si bien dégoûté sa
fille
du couvent. Je n’ai jamais su que ce seul endroit
endroit qui ait pu m’attirer sa haine, et je suis persuadé que si sa
fille
et moi ne nous fussions point aimés l’un l’autre,
eçut assez mal, je crus que c’était un effet de sa maladie. Je vis sa
fille
qui voulant se bien remettre dans son esprit, s’a
son esprit, s’abaissait à des services indignes, non seulement d’une
fille
de naissance, mais même d’un domestique, à moins
trop pour la faire longue. Je sortis de sa chambre, et j’attendis sa
fille
à côté. Elle vint, nous descendîmes dans une sall
is, elle me dit que je ne voyais pas tout ; et qu’il n’y avait pas de
fille
plus malheureuse qu’elle. Nous prîmes des mesures
que plainte qu’elle m’en fît, elle ne sortit jamais du respect qu’une
fille
doit à son père, tel soit-il. Elle me témoigna qu
faire faite, elle ni moi ne le crurent pas. Il savait que j’aimais sa
fille
, et qu’elle ne me haïssait pas, c’en fut assez po
e haïssait pas, c’en fut assez pour me la refuser. Il répondit que sa
fille
n’était point pour moi, et que je ne lui plaisais
aucune raison de son ridicule refus, qu’il consentirait plutôt que sa
fille
épousât le diable que moi. Nous nous étions atten
s mandé plus d’un an auparavant, que mon dessein était d’empêcher une
fille
d’être religieuse malgré elle. Elle m’avait répon
s ce sentiment, et pour l’engager à tout faire, je lui mandais que la
fille
en question, qui était la même dont je lui avais
étonnant qu’il m’ait regardée plutôt comme une servante que comme sa
fille
. Il ne pouvait souffrir que personne le servît qu
ui elles seront destinées : elle y mettra une enveloppe d’écriture de
fille
, et me les fera tenir. Je n’attends que vous, sit
i descendre à mon auberge ordinaire. Bernay qui ne savait où était sa
fille
, et qui se douta que j’en serais informé, avait m
satisfaire. Il sut, en me faisant suivre, dans quel couvent était sa
fille
. Il y vint le lendemain matin, et la recommanda d
ouvent où elle avait toujours été ; et parce qu’on la regardait comme
fille
unique, et que c’était en effet son dessein qu’el
rément et est fort bien faite ; mais du reste le plus mauvais cœur de
fille
qu’on puisse voir, et l’esprit tourné comme celui
u au couvent de Clémence à qui il avait fait mille amitiés. La pauvre
fille
le croyait sincère. Il avait promis à la communau
bre particulière. Clémence croyait, comme beaucoup d’autres que cette
fille
était sortie du couvent pour aller dans un autre,
aissait pas à Clémence avoir plus de vocation qu’elle. Ce fut à cette
fille
qu’elle se découvrit. Elle se jeta à ses pieds, l
is, et de l’espérance d’un mari, qui sont deux grands points pour une
fille
que la seule nécessité retient dans un couvent, s
ue nous pûmes nous dire. Bernay a été assez scélérat pour dire que sa
fille
était devenue ma femme dès ce soir-là, et que nou
que nous avions profané le couvent. La tourière qui est à présent sa
fille
de chambre, ne la quitta pas. Clémence était émue
cée pour la rompre : outre cela j’étais en état de faire expliquer sa
fille
devant toute l’assemblée, et nous avions pris de[
emment l’ordre, nous entourèrent et écartèrent la presse. Le père, la
fille
, le prétendu gendre et toute l’honorable assemblé
vôtre, et à faire pénitence de votre mauvaise intention. Voilà votre
fille
que j’accepte pour ma femme en présence de Dieu m
ous voyez, Monsieur, lui dis-je, que la volonté de Mademoiselle votre
fille
n’est ni forcée, ni contrainte, votre opposition
rêt d’aller rendre compte à Dieu de vos actions, vous rendrez à votre
fille
la part qui lui reviendra de votre héritage, si v
i je restai seul fils unique assez jeune, sous la tutelle de ma mère,
fille
de grande qualité, dont mon père avait eu peu de
riomphant et le faste de ses deux belles-sœurs, qui n’étaient que des
filles
de marchand, qui le portaient incomparablement pl
ne la refusai pas. Elle me demanda une marraine ; je lui montrai une
fille
fort propre en petit deuil qui était avec une aut
montrai une fille fort propre en petit deuil qui était avec une autre
fille
qui paraissait la servir. Cette sœur alla lui par
vilement, et me parla si juste que je ne doutai pas que ce ne fût une
fille
hors du commun : j’envoyai un laquais que j’avais
indre aux Enfants-Trouvés. Je donnai la main à ma commère : outre une
fille
qui la suivait, elle avait un petit laquais ; tou
naires, beaucoup de civilités pour le nom, et enfin comme c’était une
fille
, elle nomma. Les enfants vinrent quêter ; et comm
mençais d’avoir, et elle de son côté en usa fort honnêtement pour une
fille
. Comme cette libéralité me donnait une espèce de
avait amené un carrosse. Je la pris par la main, elle y monta avec sa
fille
de chambre, qui ne l’avait point quittée. Elle ne
ntait sur une table, et sa tante dont je vous parlerai bientôt, et sa
fille
de chambre y étaient occupées. Elle avait le fron
oir même je passai devant sa porte, elle y était assise avec d’autres
filles
du voisinage, mais sans aucun homme avec elles ;
retirèrent, le lendemain j’en fis autant, et je la vis avec plusieurs
filles
prendre le chemin des boulevards : elles s’assire
mme j’étais vêtu d’un air à faire honneur aux bourgeoises, et que les
filles
qui étaient avec elle n’étaient autre chose, on m
de moi, et je ne pus me rien dire, sinon que je n’avais jamais vu de
fille
si accomplie. Quelques jours après je les engagea
ssasse pour l’obtenir. Elle ne fit point ces sortes de façons que les
filles
font ordinairement en pareil sujet ; au contraire
m’en souvenir. On m’y disait que je croyais aimer une vestale et une
fille
de bonne famille, que l’engagement où je me préci
nteux de toutes manières : qu’on avait pitié de me voir la dupe d’une
fille
qui le méritait si peu : qu’elle n’avait jamais c
u’elle s’y était tout à fait formée, et y avait appris tout ce qu’une
fille
pouvait savoir : que quoiqu’elle n’eût vu là que
et d’une famille distinguée : on plaignait mon aveuglement pour cette
fille
. On m’avertissait qu’on avait envoyé à ma mère co
à un gentilhomme gueux comme un rat, pour faire passer Silvie pour sa
fille
, parce qu’il le pouvait, en ayant eu une à peu pr
inais et contre l’honneur et contre la vertu, à vouloir épouser cette
fille
, elle devait pour m’en empêcher, user des remèdes
ns. Je me déterminai pourtant : la peinture qu’on me faisait de cette
fille
, et ce qu’on m’en écrivait m’en dégoûtèrent. Je m
part : il invectiva contre son malheur. Il me dit qu’il avait eu une
fille
qu’il avait eu dessein de placer auprès de quelqu
rce qu’elle lui aurait rendu service, et tout au moins aurait pris sa
fille
auprès d’elle, qui en valait bien une autre que c
être utile, interrompis-je ? À signer au contrat de mariage de cette
fille
, reprit-il, en la faisant passer pour la mienne.
rcher plus avant. S’il s’en informait, il apprendrait que j’avais une
fille
de son âge, seulement connue en province, et fort
ilvie aura dansé, je retournerai au pays. On déclarera qu’elle est ma
fille
; on engagera l’amant à m’écrire, et à mettre lui
e au-devant de moi. Je saluerai l’un comme gendre, et Silvie comme ma
fille
. Je logerai chez elle, où je paraîtrai pour lors,
n ligne de compte ? Il est vrai que je ne dirais pas que vous êtes ma
fille
: et à propos ma bonne Madame, dis-je à la Morin,
ment l’affaire ; le temps presse. Si Rouvière veut toujours baiser sa
fille
, il en faudra chercher un autre plus continent, e
j’avais de ma propre faiblesse que je venais d’éprouver devant cette
fille
; le retour de mon cœur contre toute apparence ;
u’il avait eue avec une demoiselle de sa mère, de qui il avait eu une
fille
, mais que n’étant pas en état d’en avoir soin, ét
faisait aucun legs, et remettait en ses mains, comme en dépôt pour sa
fille
tous ceux qu’elle aurait été obligée de payer, s’
e faire. On me montra à Madame Morin. Madame de Cranves vint voir les
filles
à qui on commençait à montrer à travailler. Monsi
à jouer des instruments, et enfin tout ce qui peut perfectionner une
fille
de naissance. La dépense que je faisais était dis
donneur d’avis le prétend, une gouvernante qui est Madame Morin, une
fille
de chambre et un laquais ; ce sont les mêmes que
el par une voie si oblique, j’étais traitée comme l’aurait pu être la
fille
de Madame de Cranves si elle en avait eu une, quo
t. Je ne sais comment il s’y prit pour ouvrir ma chambre, sans que la
fille
qui couchait auprès de la porte ni moi l’entendis
vous déshonorer ; et si l’on l’en croit, vous faites l’honneur à une
fille
perdue de la recevoir à votre table, et dans votr
Silvie en parlant à moi, qu’on ne peut pas prendre les intérêts d’une
fille
avec plus de hauteur. Je ne savais pourtant point
érifications qui auraient attiré des procès et des dépenses, dont une
fille
privée de tout secours aurait eu lieu de craindre
fiais mon innocence ! J’aimais mieux passer dans votre esprit pour la
fille
d’un simple gentilhomme ruiné, que de dire que je
er : mais Rouvière a dû vous dire à quel prix j’achetais le nom de sa
fille
. C’était un éloignement éternel que j’en exigeais
rait pu se soutenir : comment accorder mon bien avec la qualité de sa
fille
? Ne pouviez-vous pas voir mon nom sur le registr
à mes yeux et à mon esprit non plus comme une fourbe, mais comme une
fille
toute divine, à plaindre dans sa naissance, innoc
-moi pourquoi vous me faites passer pour une larronnesse, et pour une
fille
débauchée par Garreau ? Je vous pardonne ce que v
er le nom de Rouvière, et pourquoi vous tiendriez à honneur d’être sa
fille
, je vous le demanderais ? Il est vrai qu’il est n
truite de ma naissance, elle ne voudrait pas que vous épousassiez une
fille
qu’elle ne connaîtrait que pour avoir été exposée
fîmes un contrat de mariage où elle prit le nom de Silvie de Buringe,
fille
naturelle de défunt Monsieur le marquis de Buring
our un voyage de près de trois cents lieues. De laisser Silvie encore
fille
, et dans l’état où nous en étions, c’était à quoi
us souvenez-vous, Monsieur, lui demandai-je, d’avoir vu chez elle une
fille
nommée Silvie, pour qui cette dame a eu une chari
vous est bien obligée, Monsieur, repris-je. Il est assez rare qu’une
fille
comme celle-là, s’attire la considération d’un ho
onde et des plus accomplies. Il est vrai, Monsieur, repris-je, qu’une
fille
ne peut pas avoir de plus belles qualités personn
lle a pu. Si Madame de Cranves, reprit-il, a eu tant de soin de cette
fille
, ce n’a pas été la seule charité qui en a été cau
ame, reprit le commandeur, quand vous me parlez de Silvie comme d’une
fille
qui se gouverne mal ! Je n’ai jamais entendu dire
ut à fait conforme à ce que la plus austère vertu puisse exiger d’une
fille
qui veut la pratiquer dans toute son étendue. Ell
que vous ne l’avez vue, reprit ma mère ? Pour attaquer la vertu d’une
fille
comme celle-là, dit tranquillement le commandeur,
e c’est un grand coquin s’il écrit uniquement pour faire tort à cette
fille
sur des apparences qui sont très fausses. Le conn
, il faut vous en dire ce que je sais de certain. La réputation d’une
fille
comme Silvie mérite bien que je trahisse un secre
mon indiscrétion lorsqu’ils sauront qu’il y va de la réputation d’une
fille
de leur sang, et pour cela voyez si vous voulez m
la mère de Silvie n’était morte que longtemps après. Que c’était une
fille
de grande qualité qui s’était laissé aller au che
résence de Madame Des Frans, je n’aurais pas abandonné le parti de la
fille
d’un homme qui m’a été extrêmement cher pendant s
maginable de vous voir unis ensemble, car vous êtes tous deux fils et
fille
, vous Monsieur, ajouta-t-il parlant à moi, du mei
ses caresses, et l’assura de ses services, en me disant qu’elle était
fille
de l’homme du monde à qui il avait le plus d’obli
e n’en serait jamais venue là, si elle avait pu prouver qu’elle était
fille
de Monsieur le marquis de Buringe ; mais que cela
il l’attendait. Il plaida pour Silvie comme s’il avait plaidé pour sa
fille
propre, et s’offrit pour caution de ce qu’il disa
ça à lui parler de moi, il lui fit comprendre les avantages que cette
fille
voulait me faire et qu’elle m’avait effectivement
s sottises et les faussetés qu’un scélérat lui avait écrites de cette
fille
, avaient fait une telle impression sur son esprit
e coup est déjà très sensible pour une mère. Bien plus, il épouse une
fille
qu’il avoue lui-même que je regarde comme une mal
rbe qu’elle a voulu faire ; elle ne pouvait pas prouver qu’elle était
fille
de Monsieur de Buringe ! Voilà une belle raison !
ur. C’est à mon sens en savoir trop, et en entreprendre trop pour une
fille
qui n’a pas vingt ans. Je ne puis lui pardonner c
aient fins et beaux, et qu’enfin tout présentait dans sa personne une
fille
de très bonne maison et fort riche, les galants à
ait fait à la rue Saint-Antoine ; c’est-à-dire qu’elle ne vît que des
filles
et des femmes, et point d’hommes. Je ne le voulus
la suivît. Je la priais de laisser pour cette nuit son laquais et sa
fille
dans l’auberge, que je les envoierais quérir le l
evins que le lendemain assez tard. J’envoyai quérir son laquais et sa
fille
de chambre par le même valet qui me l’avait amené
ses bras, sans autre condition que celle de mieux vivre. J’envoyai sa
fille
de chambre et son laquais à deux lieues sous diff
supposer au contraire qu’elle revenait du voyage. Je lui rendis cette
fille
et son laquais à qui je dis, lorsqu’ils revinrent
à respectés. Je considérai comme un bonheur d’avoir gardé chez moi sa
fille
de chambre et son laquais, parce qu’ils la connai
ure ; mais enfin la grosse pension que je leur offris pour elle et sa
fille
de chambre, les fit résoudre. Elle n’en a point a
t. Elle voulut le redoubler, ou peut-être en triompher. Elle dit à sa
fille
de chambre qu’elle voulait me parler sans témoins
voir un pareil tête à tête, je n’osai m’y exposer : je rappelai cette
fille
, et je sortis moi-même, et elle me suivit les lar
lgré elle. Je la fis ensuite monter dans une chaise roulante, avec sa
fille
de chambre qui ne voulut point la quitter, et je
ui fis faire un tombeau, et fondai tout ce que mon zèle m’inspira. Sa
fille
de chambre y était encore, qui la pleurait toujou
ais là-dedans le style de Silvie, dit Des Frans, elle écrit comme une
fille
repentante pourrait écrire. Elle ne dit point qu’
usse particulièrement, mais parce que ç’avait été une des plus belles
filles
du voisinage. Tout le monde parlait mal de Des Pr
uit. Mais, poursuivis-je dans ce sentiment, pourquoi la mort de cette
fille
vous est-elle si sensible, puisque vous l’avez ab
eleine de l’Épine, que vous avez connue, était l’aînée de deux autres
filles
et d’un garçon que son père avait laissés en mour
ais si j’avais été juge, la plus puissante eût été celle de l’aimable
fille
qui l’accompagnait. Vous l’avez vue, elle était e
nai dans le cabinet. Voilà Monsieur, dis-je à mon père, la mère et la
fille
que je vous présente. Il y a longtemps qu’elles a
s aujourd’hui. Elle me remercia et s’en allèrent. Je m’aperçus que la
fille
m’avait toujours regardé en rougissant, et qu’ell
leur porte, non pas la mère que je ne cherchais pas, mais son aimable
fille
, avec ses sœurs. J’y allai fort souvent ; et quel
ener sur les boulevards, ou dans les marais ; mais je n’y eus avec sa
fille
, ni entretien particulier, ni tête à tête. J’étai
urait gagné. Cette condition y fut arrêtée avec peine, la mère et les
filles
s’y opposèrent, mais elle passa. Les demoiselles
vues qui ne nous permettaient pas de fausser compagnie. L’amende des
filles
fut de nous baiser tous ; et Mademoiselle de l’Ép
et [je] la conduisis chez elle. J’y allai le soir à mon ordinaire. Sa
fille
parut fort mélancolique et rêveuse. On lui demand
ne lui obéis pas, et ne parlai de cette défense ni à la mère ni à la
fille
. Il se mit en tête que c’était cette femme qui me
r de lui faire avoir audience. Elle ignorait ce qu’on lui voulait. Sa
fille
et moi avions vécu ensemble avec tant de réserve,
s le particulier, que dans le public. Je ne crois pas que vous ni vos
filles
preniez, en sortant de chez vous cet air de vertu
ire que ses empressements aient des vues légitimes ; et si une de vos
filles
est assez sotte pour le croire, et se rendre à se
point d’autre sujet qui le fasse venir chez moi. Je sais bien que mes
filles
ne sont pas pour lui, dans un pays où le seul int
it. Je n’y retournai que le lendemain, je préparai une lettre pour la
fille
, je la lui donnai sans qu’on le vît. Voici ce qu’
une cause à vos visites qui peuvent faire tort à la réputation de mes
filles
, que j’ai encore autant d’intérêt et plus à ménag
e Mademoiselle de l’Épine, mais si je ne voyais pas tous les jours sa
fille
, mes affaires n’en avancèrent que plus. Elle ne m
alla voir Mademoiselle de l’Épine. Heureusement il la trouva avec ses
filles
, qui travaillaient à la tapisserie. Cela me rendi
moi qu’il s’agissait de rendre service. Que j’aimais avec passion une
fille
que mon père ne consentirait jamais que j’épousas
ce qu’elle n’était pas riche, quoique de fort bonne maison. Que cette
fille
m’aimait aussi ; mais qu’elle avait trop de vertu
rpris. Mais comment boucher les yeux de la mère sur la conduite de sa
fille
? Pourra-t-elle avoir le temps de venir à vos ren
perdues. Bien loin de la persuader, je m’en ferais une ennemie : une
fille
amoureuse ne consulte que son cœur et son amant.
canne et le bâton ; mais si c’est une femme mariée, une veuve, ou une
fille
dont la réputation soit à ménager, vous avez tort
elle avait besoin de moi. Je lui offris ma bourse, et ne parlai à sa
fille
devant elle, que pour m’informer des nouvelles de
nce des gens avec qui je suis : c’est de la part de votre très humble
fille
et servante, Marie-Madeleine de l’Epine Elle env
ant la main, c’est moi qui vous ai envoyé quérir ; Mademoiselle votre
fille
n’a fait que me prêter son billet. Où est-elle, M
me mettant auprès d’elle, ce qui peut avoir obligé Mademoiselle votre
fille
de vous envoyer quérir et de ne vous pas attendre
rcha dessus le lit, derrière, dessous, et partout où elle crut que sa
fille
pouvait être, mais elle ne pouvait pas apercevoir
le ne pouvait pas apercevoir le cabinet. Elle me demanda encore où sa
fille
était pour l’étrangler ; c’était, disait-elle, un
n. Ainsi je lui dis sans façon qu’il était vrai que j’avais épousé sa
fille
sans lui demander son consentement, parce que je
ais pas cru lui faire injure en me mettant dans sa famille, ni que sa
fille
pût être blâmée de m’avoir donné la main. Que j’é
e me remettrais dans les bonnes grâces de mon père, en abandonnant sa
fille
; mais qu’elle, à qui je parlais, serait absolume
dans l’esprit de tous les honnêtes gens, pour avoir été cause que sa
fille
, de femme légitime qu’elle était, ne serait plus
montraient, elle ne tomberait dans aucun de ces inconvénients. Que sa
fille
et moi avions bien été mariés plus de dix mois, s
ait qu’elle fît seulement semblant de la mener dans un couvent, où sa
fille
la prierait publiquement de la mettre ; et qu’ell
si elle entreprenait rien contre ma femme et contre moi. Que pour sa
fille
je saurais fort bien la sauver de la colère de mo
eux d’affaire que toutes les soumissions. Elle me demanda où était sa
fille
mais d’une manière à me faire connaître qu’elle c
ne manière à me faire connaître qu’elle commençait à s’apaiser. Votre
fille
est ici proche, lui dis-je, elle vous entend, et
l’être encore. Elle en convint en partie, et demanda encore à voir sa
fille
. Je lui dis que cela ne pressait pas, et que je n
fût : il en dit tant qu’elle se rendit. Elle demanda encore à voir sa
fille
, je crus pour lors qu’il n’y avait plus rien à cr
éparer pour jamais en s’assurant de moi, et en poussant la mère et la
fille
par toutes les voies imaginables. Il alla au Pala
il aurait dû me conduire. Je crus que c’était pour voir le père d’une
fille
dont il m’avait parlé. Dans cette pensée, je lui
qu’elle était innocente de notre mariage ; que même si elle tenait sa
fille
elle en ferait justice. Il ne goûta pas ses excus
e ne fut point avertie que mon père y était, parce qu’à son bruit, la
fille
de chambre, la cuisinière, et le laquais du logis
rs qui lui étaient nécessaires, elle refusa de la reconnaître pour sa
fille
. Voyez, Monsieur, dit-elle, parlant à mon père, s
le-même. Il lui envoya dire qu’il ne l’empêchait point de rendre à sa
fille
les services dont elle avait besoin dans l’état o
re dans sa chambre. Elle alla donc dans cet hôpital, elle y trouva sa
fille
, dans quel état, grand Dieu ! Elle vit une jeune
u’elle m’a demandés, et les regrets qu’elle témoigne de la mort de sa
fille
. Pour me venger encore du coquin d’exempt qui m’a
temps avant la mort de Monsieur Dupuis, qu’elle s’est découverte à sa
fille
, à cause d’un parti très avantageux qu’elle a ref
ageux qu’elle a refusé, et que Monsieur Dupuis, qui l’aimait comme sa
fille
, voulait qu’elle prît. C’est le dernier qu’elle a
urait pas pu trouver dans toute la France, cinq plus belles femmes et
filles
que celles qui étaient là. Elles firent fort spir
temps, d’une sagesse et d’une prudence consommée. Il avait épousé une
fille
fort riche qui mourut trois ans après son mariage
ui mourut trois ans après son mariage, et ne lui laissa qu’une petite
fille
que je nommerai Silvie. Pénétré du regret de la m
rna son plaisir à élever l’enfant qu’il avait eu d’elle. Cette petite
fille
se vit croître, et en même temps les honneurs de
rès belle. Son esprit cultivé par tout ce qui peut former celui d’une
fille
de naissance, éclatait à se faire admirer et ench
er et enchantait tous ceux qui l’écoutaient ; en un mot c’eût été une
fille
parfaite si elle eût été plus maîtresse de son cœ
es nœuds de l’hyménée, quoique l’amour les unît. Cléon trouva pour sa
fille
un parti qu’il crut mieux son fait. Il ne l’aurai
n, qui bien loin de donner dans le sens de son gendre, lui dit que sa
fille
était sage, qu’il la certifiait telle, qu’elle av
trouver Cléon, lui fit un rapport sincère de toute la conduite de sa
fille
, de ce qu’il en avait vu lui-même, et de tout ce
lieu que s’il voulait en être convaincu seul, et servir de juge à sa
fille
, cet odieux secret ne passerait pas sa famille, e
syllabe à la vérité ; cependant tout certain par là du désordre de sa
fille
, il ne laissa pas de lui dire qu’il voulait tout
que vous ne croiriez jamais rien au désavantage de la vertu de votre
fille
que vous ne le vissiez de vos propres yeux ; il a
e n’ai pu me dispenser de le faire. Le bonheur qu’elle a d’être votre
fille
lui a sauvé la vie, que je pouvais me sacrifier s
obile sur un siège les larmes aux yeux, tant l’état où il avait vu sa
fille
lui avait été sensible. Monsieur, lui dit-il en l
s, et n’ayant pour tous enfants que cette misérable indigne d’être ma
fille
, et que je destine à une prison éternelle, vous p
émotion ; il secourut Cléon, et le voyant remis il le laissa avec sa
fille
qu’il renvoya chez elle, en lui défendant de rien
es voir, que pour être toujours à portée d’examiner les actions de sa
fille
. Comme elle était véritablement changée, elle fut
ption que Sancho ferait à sa femme, qu’on avait envoyé quérir avec sa
fille
. Le duc d’Albuquerque et Dorothée son épouse en p
se contenta de l’obliger d’écrire à sa femme de venir et d’amener sa
fille
. Il le fit, et encore quelque chose qu’on n’atten
apporta que ceux qu’il était allé quérir allaient arriver, excepté la
fille
et la femme de Sancho qui ne viendraient que deux
son oncle le curé, lequel connaissant la vertu et le mérite de cette
fille
ne s’y était point opposé. Ce bon prêtre s’était
rta à persévérer. — Je n’aurai pas grande peine, lui répliqua Sancho,
filles
et femmes qui s’offrent perdent tout leur prix ;
, Monsieur, c’est une diable d’affaire que l’amour dans le cœur d’une
fille
, il n’est qu’en dira-t-on qui tienne. Voyez la be
par la vallée d’entonne, mais moi je prétends m’en servir à marier ma
fille
et à vivre paix et aise, et à ne rien faire, comm
celle-ci en entrant dans la salle fit une révérence à la paysanne. Sa
fille
voulut lui remontrer qu’elle ne s’y prenait pas b
répondit la duchesse. Cependant j’ai à vous dire qu’il veut marier sa
fille
. — Ah, ma mère ! reprit aussitôt la fille, me voi
s dire qu’il veut marier sa fille. — Ah, ma mère ! reprit aussitôt la
fille
, me voilà comtesse ; n’allez rien dire du moins q
uchesse sans faire semblant d’avoir pris garde à ce que la mère et la
fille
s’étaient dit ; mais on dit que votre fille a une
de à ce que la mère et la fille s’étaient dit ; mais on dit que votre
fille
a une amourette et qu’un certain homme ou garçon
voyez, dit la duchesse d’Albuquerque. — Oh bien, Madame, répondit la
fille
en colère, qu’on le sache ou qu’on ne le sache pa
e te tordrais le col si je te voyais de même. — Eh ma mère, reprit la
fille
, laissez-la parler ; ne savez-vous pas bien que l
t avertir lui qu’elle était arrivée. Elle courut au plus vite avec sa
fille
du côté de la forêt, où on lui avait dit qu’il ét
femme, il n’en faut plus qu’un. Bien loin de se taire, la mère et la
fille
commencèrent à lui chanter goguette, et à lui rep
spérance du bonheur de ma vie, n’est fondée que sur la fidélité d’une
fille
, ou plutôt d’une femme. Comme dans toutes les con
que la mort de père et mère avait laissée sous sa tutelle. Elle était
fille
unique et très riche. D’Ivonne gouvernait son bie
prenante : mais fidèle dans l’exécution. Elle est savante plus qu’une
fille
ne doit l’être. Les histoires sacrées et profanes
je dis que c’était moi, et que j’avais fait l’un et l’autre pour une
fille
que j’avais fort aimée. Je regardai Mademoiselle
is attendu. Ma famille m’avait trouvé un fort bon parti : c’était une
fille
de l’âge de Mademoiselle Fenouil, fort belle, bie
chagrins que mes parents en auront, je prévois le ressentiment d’une
fille
méprisée sans sujet légitime ; je m’exposerai à t
plus scélérat que le tour que je lui jouais. Il est certain que cette
fille
était d’une douceur et d’une honnêteté achevée, c
a conversation que nous avions eue elle et moi. On crut que la pauvre
fille
m’avait dit quelque parole mal à propos ; on voul
parents, qui me la donnaient malgré elle. Après cela je sortis. Cette
fille
fut questionnée par tout le monde ; elle dit ingé
es bienfaits à lui. Elle n’a jamais eu d’enfants, et est encore comme
fille
. Quoiqu’il y ait sept ans et plus que je suis hor
rtain qu’elle me blâma du prétexte que j’avais pris, qui exposait une
fille
fort aimable, et fort innocente à la colère de se
rsqu’il y avait à présumer que par le grand bien et la jeunesse de la
fille
, et l’âge du garçon, il avait agi par intérêt ; c
it qu’elle m’avait indiqué. Elle n’avait pour tout train que sa seule
fille
de chambre, à qui elle s’était confiée. N’ayant r
rait juste à quinze jours près au temps que les lois permettent à une
fille
de disposer d’elle. Je fus condamné à tous les dé
xième partie, n’ayant pour tout train qu’un petit laquais, et la même
fille
de chambre, qu’elle a reprise malgré son oncle, e
ment elle s’y est prise. Elle a fait semblant d’être mécontente de sa
fille
de chambre. Elle l’a congédiée en apparence. Cett
ntente de sa fille de chambre. Elle l’a congédiée en apparence. Cette
fille
, de concert avec Du Val, a loué une maison dans u
un homme, un enfant, et une femme magnifiquement vêtue, suivie d’une
fille
assez propre. Je ne doutai plus que ce ne fût Mad
ue nous fûmes seuls, c’est-à-dire l’amant et la maîtresse, Du Val, sa
fille
de chambre et moi, on tint conseil où chacun donn
nc en carrosse, c’est-à-dire Jussy et sa maîtresse, leur enfant et la
fille
de chambre. Du Val et moi montâmes à cheval. Nous
ne et sa femme entrèrent avec deux de leurs enfants, un garçon et une
fille
. Leur surprise redoubla en voyant tant de gens as
rtirait pas le plus fort, ni à son honneur. Il sortit, sa femme et sa
fille
le suivirent, quelque chose qu’on pût leur dire p
déjà la grâce, poursuivit cette aimable veuve, de me traiter comme sa
fille
, c’est-à-dire sans façon, et me fait plaisir : ou
r but à but ; qu’il y en avait de jaunes pour ceux qui épousaient des
filles
qui avaient déjà eu quelque intrigue ; de blanche
aient cacher leur infidélité ; de vertes pour ceux qui épousaient des
filles
élevées dans un couvent ou dans une grande retenu
ice, et protestait en cas de déni de laisser toutes les femmes et les
filles
en garde à leur propre vertu, sans les tenter dor
oir l’aventure qui lui est arrivée il n’y a pas si longtemps avec une
fille
nommée Altisidore. — Je la sais aussi bien que vo
de réussir quand des esprits d’en haut gardiens de l’honneur de cette
fille
vinrent mal à propos les séparer tous deux et les
ie aussi bien que l’action, et que Sancho en voulant déshonorer cette
fille
, l’a déshonorée en effet autant qu’il a pu et est
compte. Ce qui me choque, c’est qu’il me rompt en visière témoin une
fille
de son village qui allait se laisser aller à son
les chiens par sa présence, et qu’il leur dit quelque chose que cette
fille
a toujours contre lui sur le cœur, ce qui fait qu
ies coupables, et le mensonge qui lui était reproché étant fait à une
fille
, la Cour ordonnait que la bouche de Sancho serait
ce de leur arrêt, et à sa prière l’exécution en fut commise aux douze
filles
de Balerme, qui voulurent aussi s’en défendre, ma
é, parce que la nièce et la gouvernante, qui étaient au nombre de ces
filles
, y déployèrent toute la vigueur de leurs bras. Le
corps, sa barbe et ses joues n’en avaient porté des marques. Six des
filles
de Balerme lui demandèrent congé, et elle l’accor
rt aise que ma cousine n’y soit pas : non seulement parce qu’elle est
fille
, et par conséquent babillarde ; mais aussi parce
n effet, et je n’étais pas seul à le trouver de même. Elle n’était ni
fille
ni femme, et elle était toutes les deux. C’était
e brouillerie qui était survenue entre ma mère et moi, au sujet d’une
fille
de chambre fort jolie qu’elle avait mise dehors à
mon frère entrer dans un lieu où je savais qu’il ne demeurait que des
filles
d’une vertu facile. Je crus d’abord m’être trompé
ait marié en province depuis fort peu de temps, et y avait épousé une
fille
parfaitement belle et bien faite, jeune, de fort
plaisirs des plus ordinaires, était de faire enivrer trois ou quatre
filles
de Vénus, de semer la discorde entres elles, et d
ne ; car naturellement je ne suis pas d’humeur incommode ; mais cette
fille
cachait si bien ses affaires, que je lui crus le
quatre mois du jour du mariage. On la priait de faire en sorte que sa
fille
différât jusqu’à ce temps-là la rupture, et qu’el
s vous dire. Ce fut avec Célénie que vous connaissez tous. Elle était
fille
, jeune, parfaitement bien faite et assez belle. S
e avait un petit panier avec deux œufs et un petit fromage, comme une
fille
des champs, mais d’un leste et d’un propre à char
ractère. Je préférerai toujours la tranquillité et les intérêts d’une
fille
ou femme que j’aimerai, aux miens propres. La mêm
’acquitta parfaitement bien de son rôle. Il lui parla devant ses deux
filles
. Il lui dit qu’il venait lui proposer un parti qu
et [m] on agent. Elle répondit que je faisais honneur à elle et à sa
fille
, mais qu’elle ne pouvait s’engager que Toinon n’e
aient insensiblement à mon point : la maxime étant très certaine, que
fille
qui écoute est à demi persuadée ; et je ne me tro
avais pour elle était trop fort pour m’en pouvoir jamais dégager. Une
fille
qui s’aime, et qui est charmée de sa propre beaut
je me résolus de venger le mépris qu’il faisait en ma présence, d’une
fille
qu’il était persuadé que j’aimais. Je me détermin
étaient soutenues par des marques de tendresse qui auraient trompé la
fille
du monde la plus incrédule. Elle me promit donc d
e pied de me regarder comme son gendre, et lui ayant donné comme à sa
fille
les raisons que j’avais de différer, par rapport
pour moi, celle de Célénie me laissait tout le temps d’entretenir sa
fille
dans son lit. Je me plaignais devant elle de cett
r que j’avais fait tenir prête. Cela m’a tout à fait convaincu qu’une
fille
, quelque délicate qu’elle soit, est capable de to
fois qu’elle avait hasardé de devenir grosse, mit au monde une petite
fille
sans faire d’autre bruit qu’un grand soupir, malg
loison, d’une autre chambre où cette femme travaillait à soulager une
fille
qui rendait avec douleur le fruit de ce qu’elle a
z des sages-femmes, et celle-ci fut risible pour tout le monde. Cette
fille
était toute jeune, et souffrait fort impatiemment
nt de fois répétée, je courus à la porte de la chambre où était cette
fille
, je l’entrouvris : n’usez pas tout le beurre, dis
le y veut bien consentir. Vous ne pouvez pas trouver, lui dis-je, une
fille
de plus de mérite, de quelque côté que vous la to
résolution ; j’entreprendrais vainement de fixer l’inconstance d’une
fille
, mais je suis fort aise de m’éclaircir avec elle
pré, de bonne famille dans la bourgeoisie, recherchait en mariage une
fille
de famille égale à la sienne, et m’en donna la co
ue j’étais méchant physionomiste, et que Mademoiselle Récard était la
fille
de Paris la plus sage et la plus retenue. Vouloir
suadai de se rendre traitable comme elle. On n’a jamais demandé à une
fille
les dernières faveurs, comme on peut demander aut
e l’autre parti où ma mère m’engageait. Une promesse de mariage à une
fille
comme elle, ne m’épouvantait pas ; j’en aurais fa
ua avec moi, et me demanda si je songeais sincèrement à épouser cette
fille
. Je lui dis que non, et qu’il savait bien lui-mêm
ersuadé que j’entreprendrais vainement de vous disputer le cœur d’une
fille
à qui vous voudriez plaire ; mais puisque le sacr
Je l’interrompis pour lui demander si elle n’avait pas quelque jolie
fille
qui s’en mêlât depuis peu ? Vous auriez trouvé vo
nce d’une de mes amies, et tout ce que j’en sais, c’est que c’est une
fille
de famille qui ne veut pas être connue, et qui pr
Écoute, ajoutai-je, il ne faut te rien cacher, je fais l’amour à une
fille
d’ici proche que je dois épouser bientôt, et à ca
que j’y viendrai ; et surtout ne me joue pas d’un tour ; car si cette
fille
n’est pas nette tu t’en repentirais la première.
onnage ne me fait point de honte. J’ai demain un rendez-vous avec une
fille
, belle et bien faite ; je veux vous en faire part
s sûr du secret ; et qu’il fallait qu’elle envoyât chercher une autre
fille
qui fût nette, parce que nous voulions avoir chac
mon goût, et je la consolai d’une étrange manière. Je lui dis que les
filles
du métier devaient être aguerries et ne pas prend
la main ; elle était douce comme un agneau, rien n’est si sot qu’une
fille
prise en pareil endroit. Il la fit mettre sur un
ut ce qu’il rencontre, et c’est ce que je ne puis lui pardonner. Deux
filles
de chambre que j’ai eues depuis peu de temps ont
mblerait ? Certes on ne verrait aucun mariage dans le monde, si étant
filles
et conservant notre liberté, nous pouvions impuné
’esprit infiniment, et un très grand bien. Elle n’avait qu’une petite
fille
d’un an et demi de son défunt mari. Elle était de
et devant Dieu et devant les hommes même, que si on avait abusé d’une
fille
: et ce n’est pas, à mon sens, être fort honnête
nd, que je suis sûr qu’elle en aimera toujours le père. Elle eut deux
filles
tout d’un coup, un an après ou environ ; et quinz
an après ou environ ; et quinze mois encore après, elle eut une autre
fille
. Ces trois derniers enfants sont morts au berceau
vices de la jeunesse, discours qui ne convenait ni à la mère, ni aux
filles
, ni à l’abbé. Gallouin me dit l’après-midi, que j
t plus sans doute que je n’en méritais. Je parlais assez souvent à sa
fille
en sa présence, et le peu de paroles qu’elle disa
ur la première fois, la mère ayant la maxime de ne jamais quitter ses
filles
de vue. Cette fois-là, la cadette qui était malad
nous avait fait voir qu’après une retraite précipitée, l’aspect d’une
fille
toute belle, à qui on aurait pu prétendre dans le
déclarer pendant votre séjour à Paris, crainte d’être mal reçu d’une
fille
dont il croyait tout le cœur rempli. Que tout ce
Monsieur Des Frans m’a voulu tuer. Mais au fond, prétend-il que cette
fille
soit à lui malgré elle ? Je l’aime jusqu’à la rag
avait congédié tout son train, et qu’elle était partie avec sa seule
fille
de chambre et son petit laquais, sans qu’on sût o
fis inutilement tous mes efforts pour découvrir la retraite de cette
fille
; je perdis mon temps ; elle avait changé de nom
u d’en douter, lui dis-je, vous-même qui me connaissez, citez-moi une
fille
ou une femme près de qui j’aie été assidu, ni qui
t je vous parle. Certes, repris-je, je n’ai eu aucune liaison ni avec
fille
ni avec femme ; je n’en ai même cherché aucune. L
Elle me vient d’une main qui m’est extrêmement chère. Elle envoya une
fille
s’en informer. Me voyant seul avec elle et Mousso
voulait m’obliger de reprendre cette lettre ; mais l’arrivée de cette
fille
qui me rapportait ma tabatière, empêcha mon desse
uerelle s’en mêle avant la nuit. Elle passe encore son temps avec des
filles
qu’elle fait travailler avec elle depuis le matin
ut en moins de deux ans. Il est vrai qu’elle faisait travailler douze
filles
d’une si grande force, et dans une si grande retr
e et du grand air sont souvent plus mal venus auprès de ces sortes de
filles
que des paltoquets de leur volée. Je l’avais épro
t et de devenir une demoiselle. Ils n’entendaient rien de ce que leur
fille
et moi nous disions ; mais ils auraient vu ce que
de me rien dire de leur conversation. Elle avait appris comment cette
fille
entrait, et à quelle heure elle sortait, et jeta
ur la surprendre, comme elle fit. Elle vint une heure avant que cette
fille
dût sortir de ma chambre. Elle mit pied à terre à
nimal de ne faire aucun bruit. Elle attendit tranquillement que cette
fille
sortît, si bien qu’elle la surprit à ma porte. Ju
ient à l’égard de leurs enfants, comme Dupuis en agit à l’égard de sa
fille
, ils en seraient toujours honorés et respectés, e
e sont dépouillés en leur faveur. Celle de Contamine fait voir qu’une
fille
sage et vertueuse peut prétendre à toutes sortes
ts d’un génie hardi et entreprenant. Celle de Jussy fait voir, qu’une
fille
qui a eu de la faiblesse pour un amant, doit, pou
pourrait leur donner. Les vers de Dupuis mourant ; les lettres de sa
fille
; celles de Madame de Terny, et celles de Silvie,
lorsque les choses que je raconte se sont passées, où l’on voyait des
filles
de distinction et de qualité nommées comme je les
r tellement les noms, qu’on ne sait à présent quel est le frère d’une
fille
, lorsqu’on parle d’elle. Ce mauvais usage est ven
ifférents noms qu’il y a d’enfants dans une famille, tant garçons que
filles
. Cela est commode pour les mères qui s’aiment, et
Cette marchande ne veut-elle pas cacher que Mademoiselle telle est sa
fille
? Les gens dont je parle vivaient dans un temps,
romise à la princesse Dulcinée. Elles plaignirent toutes cette pauvre
fille
, et blâmèrent la cruauté du chevalier. Pardi, dit
peau, et lui dit quelques douceurs. Sancho crut tout de bon que cette
fille
ne pouvant rien avancer auprès de son maître, se
assion si mal reconnue, la duchesse de Médoc ajouta, que cette pauvre
fille
s’était séparée de toute compagnie, et l’avait pr
u as vu avec quelle froideur j’ai rebuté les marques d’amour de cette
fille
. Ne sais-tu pas qu’un chevalier errant doit être
bre plus morte que vive. Est-il possible que vous ne vengerez pas une
fille
qui vous aime tant ? — Madame, répondit Don Quich
r tenté Altisidore, qu’il savait bien qu’il suffisait pour perdre une
fille
de lui dire une fois qu’on l’aime, parce qu’après
ui répète sans cesse ; et ma foi, Monsieur, poursuivit-il, toutes les
filles
et les femmes en sont là logées ; elles font tout
e pas tout à fait ; en un mot une étincelle fait un grand brasier, et
fille
qui jase avec un amant enfile la mère Gaudichon,
tir des châtaignes en enfer si j’ai jamais rien de commun avec aucune
fille
ni femme que la mienne, et je recevrai Altisidore
vec aucune fille ni femme que la mienne, et je recevrai Altisidore en
fille
de bonne maison, si elle me vient davantage rompr
gea à congédier les serviteurs, et à ne retenir à son service que des
filles
et des femmes ; et comme elle allait quelquefois
inua-t-il, que je regarde à présent comme une folle indigne d’être ma
fille
. Je ne remettrai jamais le pied chez vous, mais v
. La mère qui n’avait rien dit, et qui connaissait le caractère de sa
fille
incapable d’une pareille action, y soupçonna quel
cteurs, et aperçut de la contrainte et quelque chose de forcé dans sa
fille
, et une maligne joie dans les yeux de son gendre,
e elle lui avait toujours témoigné qu’elle ne voulait jamais voir une
fille
qui avait traité son père avec tant d’indignité,
s, sachant bien qu’ils seraient toute la journée dehors, alla voir sa
fille
qu’elle trouva dans une mélancolie profonde, et d
nie voulait encore lui donner des défaites en paiement : Non, non, ma
fille
, lui dit-elle, je vois plus clair que vous ne pen
u’assurément je ne vous regarderai de ma vie. Après cela elle prit sa
fille
entre ses bras, et à force de caresses, elle lui
lle eut des sentiments d’un tel gendre, qui soupçonnait le père et la
fille
d’un crime si exécrable. Elle la consola néanmoin
de le souffrir. Comme il y avait longtemps que la mère n’avait vu sa
fille
, elle ne s’ennuya point avec elle, et elle y étai
ts et dit de cette dame tout ce que sa fureur lui mit à la bouche. La
fille
qui avait supporté sans murmurer tous les mauvais
entra brusquement dans la chambre, et prit à son tour le parti de sa
fille
. Sa vue redoubla la colère de Sotain, qui voulut
beau-père, et sa présence ayant tout calmé, il emmena sa femme et sa
fille
avec lui, quoique celle-ci voulût rester ; mais l
au son de toutes sortes d’instruments, comme aussi Montésinos et les
filles
de Balerme, qui obligèrent Don Quichotte d’en fai
ait être une belle figure qu’un homme armé de toutes pièces parmi des
filles
proprement mises, quoique à l’ancienne mode. Il v
le saurait que trop tôt pour l’un et pour l’autre. Dans ce moment les
filles
de Balerme vinrent le désarmer, ce qu’il ne souff
entre nos deux aventuriers, et donner la droite à son chevalier. Les
filles
de Balerme et les deux de Dulcinée, qui étaient v
taient venues avec Merlin la rejoindre, et qui étaient toutes six des
filles
fort jeunes et fort aimables, les servaient au bu
les autres, et qu’on peut appliquer au pour et au contre ; elles sont
filles
de la corruption des mœurs, qui paraissant la vou
lbuquerque, la comtesse Eugénie et les deux chevaliers. Thérèse et sa
fille
y demeurèrent aussi, parce que les dames les voul
elui de les faire jaser. Elle dit à Thérèse qu’elle voulait marier sa
fille
avec le fils de son défunt fermier. — Est-il rich
. La duchesse, après l’avoir assurée que le mari qu’on destinait à sa
fille
était tel qu’il le fallait, le lui fit voir, et e
hette le fût aussi, puisque c’était pour elle. On fit venir la petite
fille
. Ecoute, Sanchette, lui dit sa mère en présence d
t de mariage était signé. Vous avouerai-je tout mon faible pour cette
fille
? j’en fus au désespoir ; je me figurai qu’on l’a
rendez-vous, et où vous lui aviez paru la plus emportée de toutes les
filles
. Là-dessus, Madame, cette fourbe me rapporta mot
en fit un prétexte pour le mystère de la sortie par la chambre de la
fille
qui me sert. J’étais, Madame, dans un désordre et
ait le seul dépit qui me ferait prendre ce parti, qu’outre cela étant
fille
unique, ma mère ne consentirait pas à me voir rel
ia de souffrir qu’il se jetât une heure ou deux sur son lit, et cette
fille
qui n’y entendait aucune finesse lui ouvrit libre
à double tour, afin qu’il pût sortir quand il voudrait. Lorsque cette
fille
fut sortie, il entra dans votre cabinet par la po
la cloison, et y fit un trou par où il pouvait de la chambre de cette
fille
voir tout ce que vous feriez et entendre tout ce
ur m’éclaircir avec Sainville. J’ai une parfaite confiance dans cette
fille
, et m’étant impossible de ne pas répandre mes dou
roit où elle allait, n’emmenant avec elle pour toute compagnie qu’une
fille
pour la servir, et Madame sa tante, que sa mère a
ge par tout l’Orient ; & de tout temps aussi les femmes & les
filles
ont eu le soin d’y aller puiser, & d’apporter
r à leurs maisons l’eau qui leur était nécessaire. Jacob défendit les
filles
de Laban, qui y étaient occupées. Le Sauveur y co
il leur soit défendu de revenir dans leur patrie, mais, c’est que les
filles
suivantes de Vénus les ont si bien salés & po
éit. Je retourne à Pondichéry. Il y a plusieurs Français mariés à des
filles
portugaises, qui ne sont pas noires, mais métisse
un de leur côté les prétendus mariés, qui ne se sont jamais vus ; les
filles
restant toujours renfermées dans le derrière des
entement abolir sans aucun risque. Pour ce qui est de leurs femmes ou
filles
, à tous, il est impossible d’en parler avec assur
frir lui fît aucune horreur. Elle était environnée de femmes & de
filles
, & de plusieurs bramènes, qui tous l’exhortai
baisa & embrassa le cadavre, se releva, jeta aux femmes & aux
filles
qui l’avaient accompagnée ses vêtements, ses coll
plus grave & incroyable, qui regarde encore les veuves & les
filles
de ces bramènes. Je citerai mon auteur, ou plutôt
gentils & Mores ; & c’est dans leur ordre que se prennent les
filles
de mauvaise vie. Par toute l’Europe, ce sont ordi
dinairement des femmes qui sont marchandes en gros & en détail de
filles
faciles. Ici, ce sont les hommes qui font cet inf
; & il n’y en a aucun qui. pour une roupie, ne vende sa sœur, sa
fille
ou sa femme, qui de leur côté s’abandonnent volon
oton, qui couvre simplement ce que la pudeur veut qu’on cache. Et les
filles
que les Européens vont voir n’ont rien du tout su
: non par la vertu ni par la chasteté de leurs femmes & de leurs
filles
, mais par l’étroite clôture où ils ont très grand
, lui étant absolument défendue. Ordinairement, on la met au rang des
filles
des bramènes, qui ne sont pas mariées à l’âge de
dont le mariage n’était point consommé étaient mises au rang de leurs
filles
, qui à l’âge de dix-huit ans n’étaient point mari
e douce à la friction, comme on dit que sont ceux dont se servent les
filles
& veuves chastes à contrecœur, & surtout
da, des bramènes, de leurs veuves, tant femmes que pucelles, de leurs
filles
non mariées, & du reste, je ne fais aucune di
ui qui y mettrait le plus d’argent. Sur quoi il avait fait entrer une
fille
, fort jeune, blanche, & parfaitement belle ;
t pourtant point de difficulté de nous louer leurs femmes & leurs
filles
. Ne s’en servent-ils plus ? Quid non mortalia pe
u. Je trouvai des moules plus belles que celles de Charron, abbaye de
filles
proche de La Rochelle : la moindre était plus bel
marier, & de renfermer leurs femmes & de faire boucler leurs
filles
, comme on boucle une cavale. Ainsi, les autres fi
e boucler leurs filles, comme on boucle une cavale. Ainsi, les autres
filles
ou femmes y sont publiques ; ce sont de véritable
l’Antiquité, les Irlandais ne prêtent-ils pas encore à présent leurs
filles
, & quelquefois leurs femmes, aux passants ? T
point ses enfants qui lui succèdent, c’est sa sœur, ou le fils ou la
fille
de sa sœur, en un mot, c’est le sang féminin qu’i
même sang, qui, sans doute, se perpétue & se continue de mère en
fille
, tel qu’ait été le père, dont la tige & la ra
u avec Sévagi, & de vouloir se lier avec lui par le mariage de sa
fille
, parfaitement belle, avec Remraja, fils de Sévagi
aria, douze ans après la mort de son père. Il s’était amouraché de la
fille
d’une maîtresse harengère, autrement marchande de
mère à elle, le mariage fait, ne voulut plus entendre parler ni de sa
fille
ni de son gendre, & les mit tous deux à la po
her ses enfants. Autres pleurs : elle dit qu’il ne lui restait qu’une
fille
, & que ses deux autres enfants étaient morts
u’une fille, & que ses deux autres enfants étaient morts ; que sa
fille
travaillait à nettoyer de la morue & à aller
lui donnèrent mille francs pour se faire habiller, elle & Mlle sa
fille
, afin de pouvoir se présenter avec décence à la C
lui indiquèrent. Elle ne manqua ni à l’un ni à l’autre, & mena sa
fille
avec elle. Elle y reçut tout ce qu’on la força de
illes n’en avaient sur les carpes qu’elle revendait. La mère & la
fille
partirent par les premiers vaisseaux, avec un tra
l’appelle ici Madame tout court, ou on y joint la générale ; & la
fille
est très avantageusement mariée & est très he
ommodes. C’est que le père ni la mère ne donnent point de dot à leurs
filles
: au contraire, ils les vendent à qui il leur pla
endent à qui il leur plaît, pour un prix dont on convient ; & ces
filles
, autorisées de la volonté de leurs parents, se ti
e l’argent qu’ils en auraient reçu, ou de lui donner encore une autre
fille
pour être sa femme : & un homme ainsi marié p
ntants, lors de la séparation, les garçons restent au père, & les
filles
à la mère, qui ne manque pas de leur donner une é
ucation conforme à leur naissance. Mère facile Ne fit jamais cruelle
fille
. C’est La Fontaine qui le dit, en quoi il a gran
e qui le dit, en quoi il a grandement raison. Je connais pourtant des
filles
& des femmes très sages, dont les mères ne l’
e simple peuple qui fait de ces sortes de mariages & qui vend ses
filles
; ce sont aussi les plus considérables du royaume
ait pas cependant ce qui faisait le plus souhaiter son alliance ; les
filles
qu’on lui proposait en avaient autant que lui à p
d’aller en Normandie, où il avait une très belle terre. Il y vit une
fille
de très vile extraction, mais véritablement parfa
i tôt ? J’ai dit qu’il y a plusieurs Français ici, qui ont épousé des
filles
de Portugais. Il y en a de très jolies, & peu
leur métier dans la péninsule. Au milieu de ce dessert parurent huit
filles
fort blanches, belles bien faites, couvertes de p
qu’il planta le genre humain. Jusqu’à ce qu’on se soit déterminé, ces
filles
dansent d’une manière à n’inspirer que..., ayant
uite je me suis fort bien trouvé : non par rapport au corps ; car ces
filles
, toutes persanes de naissance, sont saines &
e. Belle et chrétienne morale ! Au reste, pour ne plus parler de ces
filles
, ce sont des enfants qui sont arrachés des bras d
ns espérance de les revoir jamais. M.de Porrières a acheté une petite
fille
de sept ans. Il l a fait baptiser : elle a été no
femme, qui nous instruisit que ce saint religieux avait débauché une
fille
nommée Marie Coignet qui lui promettait de le sui
Qu’il l’avait entretenue de mystères plus hauts que la capacité d’une
fille
ne doit monter : qu’il lui avait inspiré des scru
lecteur compare l’histoire de Henri VIII, de Marie et d’Elizabeth ses
filles
, & de Cromwell, qui y ont tous quatre fait co
t en Bourbonnais. Il y avait eu une amourette, dont il était venu une
fille
, qu’il a mariée à un nommé M. de La Pommeraie, ge
; richesses, cause que la princesse de Siam a été abandonnée, quoique
fille
unique & héritière du royaume, qu’elle destin
amp; malheur dans le monde, & que la vertu & la sagesse d’une
fille
ne lui font pas une étoile plus heureuse que cell
i, qui se serait donné à tous les diables qu’il avait à ses pieds une
fille
aussi sage que belle, & une sainte à illustre
aient arrivés à sa maison, où il la présenterait à sa femme comme une
fille
de grande qualité qui lui avait été recommandée ;
qu’elle se ferait habiller suivant sa qualité, qu’elle prendrait une
fille
de chambre, & qu’incognito il lui fournirait
mps examiné & fait examiner ses actions, lui ayant même donné une
fille
de chambre de sa main, & ne voyant rien dans
e, en ayant trouvé la porte fermée & la clé en dedans, lorsque la
fille
qui la servait n’y était pas, ce qui l’avait obli
u’une heure de repos ferait le reste ; qu’elle la priait d’emmener sa
fille
de chambre avec son habit & son linge, qu’ell
nna jamais d’y entendre finesse. Elle monta dans sa charrette avec la
fille
de chambre qui emportait les habits, & le res
amp; massacrer les hommes, après avoir violé leurs femmes & leurs
filles
à leurs yeux, n’est qu’une bagatelle. Les enterre
canots avait été à l’île de Monsarrat, & en avait ravi une petite
fille
anglaise de sept à huit ans, & la destinaient
s moururent avant lui, deux de rage d’être cocus, un autre fou, et la
fille
putain. 44. Voilà, je crois, avoir prouvé ce que
II que s’il voulait consentir à la dissolution de son mariage avec la
fille
du duc de Lorraine qu’il avait épousée malgré le
d’avoir un héritier de la couronne, parce que Gaston n’avait que des
filles
. Il n’y avait aucun saint en paradis qu’elle et t
nsentirent, mais ils demandèrent qu’on leur donnât une de ces grandes
filles
blanches qui étaient si charitables à leur choix
de se faire manger tous plutôt que de sacrifier à leur brutalité une
fille
qui avait le créateur du ciel pour son époux. Sur
tait, il leur demanda s’ils voulaient troquer contre lui cette grande
fille
blanche pour de pareille liqueur. C’est leur Dieu
avoir nourri pendant cinq ans cinquante-huit enfants tant garçons que
filles
. 120. Ne pourrait-on pas faire là-dessus une réfl
e c’est que courir l’allumette, il est juste de les en instruire. Les
filles
sauvages sont maîtresses de leurs corps et de leu
sont maîtresses de leurs corps et de leurs actions tant qu’elles sont
filles
. Mais sitôt qu’elles sont mariées, elles sont fid
rs au centre de la cabane, le fait flammer et le porte aux yeux de la
fille
à laquelle il en veut. Il la réveille même si ell
ses espèces dont ils ont inondé le royaume. J’ai vu pendre à Lyon une
fille
qui en recevait deGenève ; c’était vers le mois d
-Barthélemi proche le Palais avait présenté des bans entre lui et une
fille
à présent sa femme pour être publiés au prône sui
u public. Il y a promesse de mariage entre… fils… et entre Marie N. ,
fille
de N. Ceux qui ont le droit de s’y opposer peuven
menuisier parisien, marié depuis quelques [sic] cinq à six mois à une
fille
de Paris d’environ 18 à 19 ans, et lui âgé de 26
mer qu’elle ne paraîtrait plus dans le monde. Le dauphin aimait cette
fille
, qui n’était que simple fille d’un cabaret de Mai
dans le monde. Le dauphin aimait cette fille, qui n’était que simple
fille
d’un cabaret de Maisons. Elle était grosse de cin
ment conformé fut baptisé et nourri sous un nom emprunté. C’était une
fille
qui devint fort jolie et bien faite, et qui appri
plois, il y eut un commis qui crut faire sa fortune en épousant cette
fille
. Il était bien fait de sa personne, et tous deux
morts dont les noms cadrassent à son extrait baptistaire. Comme cette
fille
aimait son amant, et qu’elle aurait voulu que la
e avait généreusement commencé et ne lui en dit point le sujet. Cette
fille
outrée crut que sa nourrice la jouait de concert
furieuse, et dans son emportement lui reprocha qu’elle n’était que la
fille
d’une chienne. Cette fille courut tout aussitôt d
tement lui reprocha qu’elle n’était que la fille d’une chienne. Cette
fille
courut tout aussitôt dans l’appartement de Madame
m[aîtr] e des requêtes et qu’il eut épousé Mademoiselle d’Aguesseau,
fille
de celle que son père entretenait. Il se consulta
e d’Aguesseau fut cause qu’il ne déshérita pas son fils, parce que sa
fille
à elle s’en serait ressentie. Il tomba malade de
nantissement de si peu qu’il voudrait lui prêter, pour subsister, une
fille
de quatre ans et elle, jusques à ce qu’elle eût d
été trouvé qui a tout découvert. ) Après l’avoir écrit, elle prit sa
fille
et la conduisit chez une fruitière qu’elle connai
our, et lui emprunta trois sols. La fruitière lui promit de garder sa
fille
et lui prêta ces trois sols. Cette femme, que le
beau-père, et est fils d’un capitoul de Toulouse. Mais il a épousé la
fille
d’une malhureuse ravaudeuse qui tenait sa petite
le présent je retourne à parler de Crozat l’aîné qui avait épousé la
fille
de Le Gendre, et qui serait plus hureux qu’il n’e
serait plus hureux qu’il n’est dans son domestique s’il avait mis sa
fille
avec un homme proportionné à sa naissance ; et el
ance, la moindre friponnerie, et la moindre attache aux femmes et aux
filles
du pays, à moins que ce ne soit après leur établi
aciliter ces sortes d’alliance, et avoir de la considération pour les
filles
et veuves du pays qui épouseraient des Français,
à côté de laquelle demeurait un procureur au Parlement qui avait une
fille
dont La Boulaye devint amoureux. Il m’a dit qu’el
métier, qui n’aiment pas les assiduités des officiers auprès de leurs
filles
ni de leurs femmes, demanda à la sienne qui était
le Monsieur si bien galonné qui était si assidu auprès d’elle. Cette
fille
lui dit ce qu’elle en savait, et lui résolut de f
l parla à ce procureur, lui dit toute son histoire, et lui demanda sa
fille
en mariage. Ce procureur, altéré comme un procure
age. Ce procureur, altéré comme un procureur, voyant la fortune de sa
fille
établie par un gros bien, et prête d’entrer dans
is que le procureur, père d’elle, que je connaissais aussi peu que sa
fille
, m’avait dit à moi-même que la restitution qu’il
t hors d’âge de se remarier, et que M. de Villefranche n’avait qu’une
fille
(elle a épousé Monsieur le duc de Noirmoutier) ;
e les mains d’un homme entendu, qui pour l’honneur et l’utilité de sa
fille
propre les porterait à tout ce qu’ils pourraient
ques au point de nous prier Avec eux de nous allier, Leur donnant nos
filles
pour femmes. Plusieurs vendirent par contrat Tout
maison bâtie, une perte sur mer, une banqueroute, un fils établi, une
fille
mariée, en un mot aucun prétexte ne fut oublié po
gées par le cruel Freston dont la fureur me poursuit. Je suis une des
filles
d’honneur de l’infortunée Balerme qui songe à ple
comblait de bénédictions. Après cela parut Balerme suivi[e] de douze
filles
, qui vinrent deux à deux se prosterner aux pieds
antée, et qui ne vous reconnaît pas. Don Quichotte voulut aller à ces
filles
; mais elles se jetèrent promptement dans un cabi
, de Don Quichotte, de Mon-tésinos, de Durandar, de Balerme et de ses
filles
; le tonnerre gronda ; ils sentirent la terre tre
ères n’ont rien de barbare. Il a quatre enfants, deux garçons et deux
filles
de six à dix ans : j’en ai vu deux beaux en perfe
eurs enfants pour cacher leur déshonneur, parce que c’en est un à une
fille
d’avoir eu des enfants avant son mariage. L’infid
qui est publiquement avouée, tolérée et suivie. Car bien loin qu’une
fille
y ait honte d’avoir eu des enfants avant son mari
andonnée est la plus estimée. Bien plus, ce ne sont pas seulement les
filles
qui en viennent à ces excès, ce sont les femmes m
la même raison qu’afin de multiplier promptement il a été permis aux
filles
de s’abandonner, coutume qu’elles gardent encore
me étant certaine : Que la mère qui fut facile Ne fit jamais cruelle
fille
Et ce que je vous dis du libertinage de ces fill
fit jamais cruelle fille Et ce que je vous dis du libertinage de ces
filles
est tellement certain qu’il faudrait donner un dé
faute de les avoir fait bien lier. Pour ce qui est des femmes et des
filles
il est impossible d’en parler parce qu’ils ne sou
cela j’avais une grosse fièvre. C’est la jalousie qu’ils ont de leurs
filles
et de leurs femmes qui ne leur permet pas de souf
ous dire ce qui reste. Il y a des Français qui y sont mariés avec des
filles
portugaises qui ne sont pas tout à fait noires, m
nent chacun de son côté les accordés qui ne se connaissent point, les
filles
ne sortant jamais de la case. On les fait toucher
, de peur sans doute d’empêcher le défunt de venir souper. Pour leurs
filles
ou femmes on ne les voit point. Les femmes du com
lui fit aucune horreur. Elle était accompagnée de plusieurs femmes et
filles
et suivie de plusieurs bramènes qui tous l’exhort
ûcher, baisa et embrassa le cadavre de son mari, se releva, donna aux
filles
et aux femmes qui l’avaient accompagnée ses vêtem
utres Gentils ou Maures, et c’est dans leur ordre que se prennent les
filles
de mauvaise vie dès l’âge de douze ans. Par toute
Par toute l’Europe, ce sont les femmes qui sont marchandes en gros de
filles
faciles ; ici ce sont les hommes qui font cet inf
commerce, et il n’y a aucun d’eux qui pour une roupie ne prostitue sa
fille
, sa femme ou sa sœur, qui de leur côté se donnent
ui qui y mettrait le plus d’argent. Sur quoi il avait fait entrer une
fille
fort jeune et parfaitement belle, et leur avait d
u’il pouvait valoir, et qu’il était en droit d’en disposer, il mit la
fille
entre les mains d’un commis qu’il avait avec lui
nspire. Cela se pratique encore aujourd’hui ; ainsi les femmes et les
filles
y sont communes, et ressemblent à des troncs publ
’une reine d’Achem ayant du mari qu’elle aura épousé un garçon et une
fille
, ce garçon lui succède, mais non pas ses enfants
aisés : c’est que le père et la mère ne donnent point de dot à leurs
filles
, au contraire ils les vendent à qui leur plaît po
ls les vendent à qui leur plaît pour un prix dont on convient, et les
filles
autorisées de la volonté de leurs parents se tien
mme à ses parents qui la reprennent sans difficulté, et avec elle les
filles
qu’elle aurait pu avoir, les garçons restant au p
e leur corps l’idole étant immobile. Il y a bien plus : c’est que les
filles
des bramènes qui passent dix-huit ans sans être m
toute l’occupation de leur vie. Il y a présentement plus de cinquante
filles
renfermées dans la pagode de Villenove et autant
ique une chose assez particulière, c’est que toutes les femmes et les
filles
qui sont revenues de Saint-Christophe et qui en s
u-de-vie et d’autres denrées, et ainsi lui sauva la vie. Cette petite
fille
est à La Martinique et je l’ai vue. Ils font bien
rosse qui les avait amenés, et la damoiselle qui avait parlé, et deux
filles
de chambre étant montées en croupe derrière des c
y fit regarder non seulement comme une belle personne, mais comme une
fille
de qualité fort spirituelle et bien élevée. Elle
sance avec l’hôtesse, était curieuse, comme le sont ordinairement les
filles
, de savoir quel était le sujet de ces visites si
ale sur ce qu’elle avait à faire en cette occasion. Cette spirituelle
fille
lui répondit qu’avant de la conseiller il fallait
ur le distinguer des autres MM. du Quesne, et parce que sa mère était
fille
du fameux Guiton, maire de La Rochelle, qui défen
’ont rien que de très poli. Il a quatre enfants, deux garçons et deux
filles
, de six à dix ans. J’en ai vu deux, les garçons,
du fort de Chedabouctou. Il fut pris dans son lit, dormant entre des
filles
ou femmes sauvages, sans sentinelle, et sans tire
es singes du Cap sont fort grands, et fort amoureux des femmes et des
filles
. Cela est facile à croire : on en a vu à Paris de
ndre qu’elle a voulu le tuer : il en est cru, et elle est pendue. Les
filles
sont envoyées on ne sait où : apparemment dans de
ur avoir mangé un rayon de miel ; ou celui de Jephté, qui sacrifia sa
fille
. Les Juifs ne voulurent point consentir au sacrif
gion. A l’égard de Jephté, ils ne l’empêchèrent point de sacrifier sa
fille
; non par un principe de religion, mais parce qu’
incipe de religion, mais parce qu’ils ne regardaient point dans cette
fille
l’héritier présomptif de la couronne, Jepthé n’ét
orte au mal que pour l’utilité ou pour le plaisir qu’il y trouve. Les
filles
de Madagascar n’y trouvent ni l’un ni l’autre. Un
’autre. Un amant ne leur fait point de honte : au contraire, plus une
fille
a eu à faire à d’hommes différents, plus elle est
mahométans, jaloux au suprême degré). Le nombre d’amants auxquels ces
filles
se sont prostituées se connaît par celui des houp
ire suâ. Ovide a raison : j’en dis autant. Ce ne sont pas les seules
filles
, qui se défont de leurs enfants : les femmes mari
frère à frère, ou de frère à sœur ; pas plus qu’ils en font de père à
fille
, et de fils à mère ; et, pour douter de ceci, il
ne main ; tout de même que dans les tapisseries sont représentées les
filles
de Laban, que Jacob défendit contre les bergers q
dont il reste toujours quelqu’une avec elle. Aucun homme, garçon, ni
fille
, n’y entre. Si elle a eu une fille, elle la garde
avec elle. Aucun homme, garçon, ni fille, n’y entre. Si elle a eu une
fille
, elle la garde, Ai est encore réputée impure pend
mme une nouvelle épouse. Cela ne se pratique point à la naissance des
filles
, à laquelle on ne fait aucune cérémonie, la mère
que de conduire le marié et la mariée, qui ne se sont jamais vus (les
filles
ne sortant point que le visage bien couvert) à un
usses ; et, comme c’est un égrillard qui va bien du pied et que cette
fille
chargée ne pouvait pas suivre les autres, qui fuy
ses pendants d’oreilles et ses bracelets de diamants, sans que cette
fille
plus morte que vive ait dit un mot. Si, après cel
a voulu la satisfaire. Cela se passait à l’entrée du bois ; et cette
fille
, qui n’avait pas soufflé pendant le vol, s’est dé
hollandais mieux que moi le français, y a couru : il a délivré cette
fille
de toute violence ; et le galant à sa seule vue a
néreux par une libéralité qui ne lui coûterait rien. Il a amené cette
fille
sur la rive. Il a retiré du matelot les bijoux :
la rive. Il a retiré du matelot les bijoux : il les a rendus à cette
fille
, en lui disant que les Français sont trop honnête
ançais sont trop honnêtes gens pour faire la guerre aux femmes et aux
filles
, surtout aux belles, pour lesquelles ils ont un f
mment un ouragan. 2. Ryckwart nous a dit, longtemps après, que cette
fille
, qui n’a qu’environ dix-sept ans, est nièce de M.
e ce peu de confiance, ou plutôt cette jalousie, était nécessairement
fille
de l’amour, et qu’il n’y avait qu’elle seule qui
elle, reprit-il, Dupuis n’en a point d’autre : c’est la plus infidèle
fille
qui soit au monde. Vous me surprenez, dit Des Fra
parler à ta femme ; il est homme d’honneur, et aura soin de marier ta
fille
, et de t’empêcher de jamais tomber en nécessité.
user. — Eh oui, oui, lui dit Sancho, t’y voilà laisse-t’y choir ; une
fille
qui a envie d’être mariée ne se déguise pas ? n’e
▲