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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
hoix qu’elles ont une fois fait. Je suis né à Paris d’une assez bonne famille dans la bourgeoisie ; mais la quantité de frères
i était fort de ma connaissance. Il était puissamment riche, et d’une famille fort au-dessus de la mienne. Il avait chez lui un
mais un mariage qu’on me proposa, fit plus que je n’avais attendu. Ma famille m’avait trouvé un fort bon parti : c’était une fi
ce désespoir, dit-elle ? Sur tout, Mademoiselle, lui répondis-je. Ma famille n’est point assez considérable pour m’élever jusq
moi, mais le moyen d’en profiter ? Vous êtes extrêmement jeune, votre famille s’opposera toujours à mes vœux et aux vôtres ; vo
it-elle, le temps et les occasions vous fourniront des moyens pour ma famille , et pour moi il ne tiendra qu’à vous, ajouta-t-el
rait sa grossesse, et du ressentiment de son oncle, et du reste de sa famille . Il n’y avait que cela, en effet, mais c’était be
êts envers la mère. Elle se fit émanciper, et renonça malgré toute sa famille à toutes les prétentions que cette sentence lui d
uite de Monsieur l’ambassadeur, ni marchand. Je le questionnai sur sa famille , je ne m’aperçus pas que nous fussions parents. J
ommerce qu’on peut avoir avec leurs femmes, ou avec une autre de leur famille . Il ne profita pas de mes avis : il soutenait sa
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
ntendu parler de ses deux autres sœurs, et voulant connaître toute la famille de mon ami, je me mis volontiers de la partie ave
utai-je, vous vous ferez religieuse, mais ce seront les vœux de votre famille que vous offrirez à Dieu, et non pas les vôtres.
fus satisfait de sa réponse, où il me déclara tous les secrets de sa famille . Je ne suis point surpris, me dit-il, en m’embras
’être pas sacrifié comme nos cadettes, emporterons tout le bien de la famille . Ce n’est pas, poursuivit-il, que je ne me dépoui
me dégoûter de la clôture ? Je comptais sur tous les chagrins que ma famille m’a donnés, ils me faisaient regarder le convent
ssément défendu de la laisser voir à qui que ce fût, qui ne fût de sa famille . Mon ami m’en témoigna son chagrin, j’en fus au d
om de mon valet de chambre qui est du pays où j’allais, où son nom de famille est connu, et nullement son nom de guerre, qui n’
é aucun relâche ; j’ai donné tout à leur importunité et à celle de ma famille . Je me suis engagée à tout ce qu’ils ont voulu ex
monde, à la barbe de son père, de sa sœur, de son amant, de toute sa famille et des religieuses. Si j’avais voulu la croire, j
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
sites qu’elle recevait et qu’elle rendait. On ne connaissait point sa famille  : on me dit seulement, qu’il y avait environ dix-
état d’avoir une charge assez belle pour ne point faire de honte à ma famille . Elle goûta mes raisons, ou plutôt fit semblant d
On m’y disait que je croyais aimer une vestale et une fille de bonne famille , que l’engagement où je me précipitais faisait ho
op généreux, pour rien faire d’indigne d’un homme d’honneur, et d’une famille distinguée : on plaignait mon aveuglement pour ce
ne m’en laisserait point abuser : qu’elles s’étaient informées de ma famille , pour voir si j’étais leur fait. Qu’elles n’en av
mies, que Silvie allait épouser un jeune homme fort riche et de bonne famille , qui faisait sa fortune pour sa beauté : on nomma
is, tant à ma mère, qu’à moi ; mais uniquement la considération d’une famille considérable, et la compassion qu’on avait d’un j
l’attendrions. Etant tous deux tête à tête, je le questionnai sur sa famille , sa demeure en province, ses biens, sa fortune, s
nc lui demandai-je ? Le remords, répondit-il, de tromper un enfant de famille , qui, à ce qu’on dit, est un fort honnête homme ;
eau qui était un jeune homme d’esprit, fort bien fait, et d’une bonne famille de plume. Les louanges que je lui donnerais, dit-
dame Morin et moi nous fussions informés de Monsieur Des Frans, de sa famille , et de tout ce que vous écrivez ? Je l’ai écrit,
s si j’osais vous demander pourquoi vous, qui vous faites de si bonne famille devant moi, voulez emprunter le nom de Rouvière,
ivit-elle, de donner des avis qui peuvent mettre la discorde dans une famille considérable ? De quelle autorité en venez-vous j
les raisons qui m’ont obligé au secret. C’en est fait, de toute votre famille je ne veux épouser que vous. Vous avez l’âge qu’i
es amis, un fort brave homme et un fort honnête homme. Il parla de sa famille , et nomma Madame la duchesse de Cranves ; c’était
est, repris-je ; et non seulement ma mère, mais qui que ce soit de ma famille n’en sait rien. Vous avez connu les raisons que j
ieur et à Madame d’Annemasse quand elle voudrait, qui en faveur de la famille dans laquelle elle était entrée, ne refuseraient
traiter comme ma bru, et de la voir passer partout ailleurs, dans sa famille à lui, comme une malheureuse ? Encore, Monsieur,
in de voir une bru que j’aurais reconnue, méprisée par le reste de la famille . Il est de l’intérêt de Des Frans que cela soit a
Monsieur de Villeblain, je n’ai prétendu épouser que toi de toute ta famille  : ainsi je ne me soucie pas que tes oncles sachen
failliblement, parce que le pied sur lequel on me regarderait dans ta famille , m’y faisant mépriser, je verrais ton amour s’éva
4 (1721) Mémoires
plus élevé et plus désintéressé que ceux qui ne sont nés que dans des familles de marchands ou de financiers qui se ressentent t
rit, il était arrivé au royaume ce qui arrive tous les jours dans les familles particulières, où il n’y a plus de repos à espére
t tout le monde. C’était une bourgeoise de Paris dont le mari et leur famille auraient aisément vécu si les billets de monnaie
iers ; et pour qu’il ne fût point accablé par les supplications de la famille de Berthelot, qui était puissante, il le supplia
ous gouverner malgré nous, il se tromperait encore… Qu’il gouverne sa famille et toi la tienne, ce sera assez d’embarras et d’o
sont que les notaires et autres qui sont dépositaires des titres des familles se servaient de si mauvais papier qu’au bout de v
e fortune ; et assurez Monseigneur que ni vous ni moi, ni toute notre famille ne possédons rien dont il ne soit absolument le m
comme aisé à une somme si forte, que sans l’aide de ses amis et de sa famille , il n’aurait jamais pu la payer ; et son plan de
je ne perdrai jamais la mémoire, lui dit Monseigneur ; vous et votre famille pouvez compter absolument sur ma protection, et c
onc, lui dit Monseigneur, et de ma part j’ajouterai aux prières de la famille de M. Fouquet que vous me ferez à moi-même un sen
u’à contre-cœur ; mais le soin de sa grandeur et l’envie d’établir sa famille l’ont engagé à n’avoir pour unique règle que l’am
loi qui n’a été faite que pour maintenir la paix et l’union dans les familles , mais non pour autoriser l’usurpation du bien d’a
es des gens de qualité qui se sont avilis jusques à entrer dans leurs familles . J’en nommerais une infinité d’autres si je [me]
’a jamais été plus odieux que les gens de probité, et de maison ou de famille , quoique lui-même fût de cette dernière espèce ;
on était de ma connaissance, parce qu’il avait été domestique dans ma famille  ; et comme il me donnait toujours de bon vin, j’a
e). Il lui dicta plusieurs choses qui concernaient ses affaires et sa famille , et rien du tout qui concernât ni Dieu ni les pau
nant de police, y vint, et voyant que c’était une femme de très bonne famille dont la réputation était à conserver, il en fit a
zat, gendre de Le Gendre dont je viens de parler, est d’une meilleure famille que son beau-père, et est fils d’un capitoul de T
s que les vaisseaux n’en pourraient porter ; que quantité de chefs de famille y passeraient avec leurs femmes et leurs enfants,
e j’eus vers la fin de la même année m’obligeant de quitter Paris, ma famille m’en chercha un prétexte honnête. Il se forma dan
tune de sa fille établie par un gros bien, et prête d’entrer dans une famille très considérable et puissamment riche, la lui ac
pre. Je ne savais donc point que j’avais été sacrifié aux intérêts de famille de M. de Chevry. Ce fut La Boulaye qui m’éclairci
épousé Monsieur le duc de Noirmoutier) ; qu’ainsi tout le bien de la famille passerait dans des familles étrangères, et que le
Noirmoutier) ; qu’ainsi tout le bien de la famille passerait dans des familles étrangères, et que le nom périrait ; que ce nom é
e Villefranche n’avait rien donné à ses intérêts particuliers et à sa famille , Chedabouctou se serait défendu et peut-être que
bezieux, qu’on [n’] en aurait pas pendu quatre de suite, malgré leurs familles ou plutôt leurs alliances, que les autres se rend
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
sérieuses, du moins de plus de conséquence. Vous savez quelle est ma famille , et que je n’ai jamais eu qu’un frère, et que nou
t je n’avais plus aucune envie de l’épouser. Je m’étais aperçu que ma famille , mon bien, la figure que je pouvais lui faire fai
union mettait le poignard dans le cœur de ma mère, et jetait toute la famille dans le trouble. Je lui dis que ma mère ne devait
er de cette malheureuse affaire, qui fut assoupie par les soins de la famille , il faut vous dire qu’elle ne passa pas outre, et
qu’ils le soient. Un de mes amis de débauche nommé Grandpré, de bonne famille dans la bourgeoisie, recherchait en mariage une f
onne famille dans la bourgeoisie, recherchait en mariage une fille de famille égale à la sienne, et m’en donna la connaissance.
donnée sans hésiter. Je lui fis valoir l’autorité de ma mère et de ma famille  ; la crainte que j’avais d’en être déshérité, d’a
de mes amies, et tout ce que j’en sais, c’est que c’est une fille de famille qui ne veut pas être connue, et qui prend toutes
ce par rapport à l’amour qu’il avait pour moi en m’épousant. Toute la famille a cru que j’étais la femme du monde la plus heure
accommodé, mais avant que d’en parler à ma mère, ni à personne de ma famille , je voulais avoir son consentement. Elle était je
petite fille d’un an et demi de son défunt mari. Elle était de bonne famille , veuve d’un financier de bonne famille aussi, don
funt mari. Elle était de bonne famille, veuve d’un financier de bonne famille aussi, dont le père et lui s’étaient damnés peut-
nt faite, et dans ce cas-là les lois n’ont aucun égard au rapport des familles , de l’âge, ni du bien. Cela est cause qu’on peut
me mena un jour dîner avec lui chez Madame sa mère, et avec toute sa famille , c’est-à-dire, Madame sa mère, ses deux sœurs, et
it pas plus de douze à treize ans, et qui est à présent le chef de la famille , le même qui viendra souper ici avec Madame de Lo
rtir, Madame, que Monsieur votre fils, tout l’aîné qu’il est de votre famille , a eu envie, et peut-être l’a-t-il encore, de se
cours au religieux, à qui je me découvris. Il fit agir le reste de sa famille , à qui seule Madame de Londé fit semblant d’accor
st inutile de vous dire les pleurs que ce malheur a coûtés à toute la famille , particulièrement à sa sœur et à moi ; ils ne son
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
aire la demande de crainte d’être refusé, comme le fut un autre de sa famille et de son nom, quoiqu’il fût plus riche et plus é
, et servir de juge à sa fille, cet odieux secret ne passerait pas sa famille , et n’en serait point diffamée. Ce parti était tr
té que vous avez eue de l’épargner et de sauver l’honneur de toute ma famille , et le mien en particulier. Vous avez raison de c
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
, parfaitement bien faite, d’un esprit et d’une douceur d’ange, d’une famille égale à la sienne, et qui avait toujours été élev
e. Il eut d’elle tous les soins imaginables, et devant le monde et sa famille il la traitait comme il l’avait toujours traitée,
ersuada d’y mener avec lui son gendre, puisque c’était une affaire de famille qui lui était commune avec eux. Cet homme qui ne
n seulement du monde, mais encore de la faire brouiller avec toute sa famille , la retenir dans une prison éternelle, et la mett
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
, et de Mademoiselle Dupuis. Je ne vous dirai point quelle était ma famille , vous la connaissez, puisque nous sommes nés vois
nces, Dupuis ne devait pas être fâché que je songeasse à sa fille. Ma famille égalait la sienne, mon bien était plus considérab
e monde. Je fus obligé d’aller en Angoumois pour quelques affaires de famille où j’avais le principal intérêt. Je crus n’être q
je mangeais avec cette dame. On disait que cette fille était de bonne famille , effectivement elle n’avait pas les manières d’un
tice comme mineure émancipée, et Dupuis comme son curateur ; toute la famille lui ayant déféré cet honneur sans charge. Elle se
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
avoir écrit pour Sancho. On fit partir un exprès le soir même pour la famille de Sancho, car pour les autres ils étaient à Médo
t’y ennuies, et pour lors retire-toi dans ton domestique auprès de ta famille et de tes amis sans changer dorénavant ton train
10 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
alés pendant trois jours. Ces parents & amis sont tous de la même famille , qu’ils appellent castes ; ne leur étant pas perm
lier dans une autre ; &, ainsi, ils sont distingués entre eux par familles , comme les Juifs le sont encore par tribus. Il ne
ité en Europe ait plusieurs enfants, l’aîné soutient la dignité de la famille , le second est destiné à l’épée, c’est un chevali
son compliment & son étui, en lui disant que j’avais promis à ma famille , à mes amis & à moi-même de retourner en Euro
ers moments de l’année, je donne les seconds à mes bienfaiteurs, à ma famille . Je voudrais que tous se portassent aussi bien qu
ls sont parents ; mais j’ai trouvé des Martins partout ; et, comme ma famille est alliée à plusieurs MM. Martin, qui ne se sont
it rien ; qu’il n’y avait qu’elle qui tirât la charrue ; & que la famille augmentait tous les jours. Enfin, réduit au déses
issement. Il espérait revenir dans sa patrie & dans le sein de sa famille jouir du fruit de ses travaux dans les Indes ; ma
ndait que de lui, qu’il était le plus riche & comme le chef de sa famille , ils se crurent obligés de l’en féliciter. Elle v
fable de tout le monde & surtout donner sujet de rire à sa propre famille  ; mais, un des amants de sa femme n’ayant pas gar
e dans quel corps son âme était passée, & si elle avait quitté sa famille ou sa caste. Ceci est une preuve convaincante &am
revenu de ces bagatelles, dit qu’un paysan croit que la fortune de sa famille est solidement établie quand son fils aîné est pr
i l’on pouvait m’entendre d’Europe, je prierais la Compagnie & ma famille de faire prier Dieu pour nous Du dimanche 11 m
t celte intention, de quoi je ne réponds pas, ce qu’elle disait de sa famille n’était pas tout à fait faux. Elle prit le chemin
à Paris pour demander pour elle la confiscation de tout le bien de la famille . Qu’elle s’y était retirée par le moyen des conna
ec la fille de chambre qui emportait les habits, & le reste de sa famille  ; &, sitôt qu’elle fut arrivée, elle envoya u
t pas noirs, mais rouges & charnus. Il n’y en a plus qu’une seule famille à la Martinique ; les autres s’étant retirés à la
ils sont accoutumés d’être vulcanisés. En tout cas, excepté quelques familles de marchands, qui s’y sont établis & y ont me
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
ville, qui n’avait jamais parlé qu’avec vénération de Silvie et de sa famille  ; il avoua son commerce criminel avec cette femme
12 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
notre siècle, autant de différents noms qu’il y a d’enfants dans une famille , tant garçons que filles. Cela est commode pour l
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
son but était le mariage, mais qu’il avait trop d’horreur pour votre famille pour s’y allier, et pour vous trop de mépris, pou
esprit et le leur, et de vous attirer à vous la colère de toute votre famille , si vous ne vous rendiez pas de vous-même, et que
14 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
bonne ; mais vous voulez bien que je vous demande des nouvelles de ma famille . Madame votre mère est morte, dit le conseiller.
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
ar depuis ce temps-là elle s’est fourrée partout, et surtout dans les familles et les ménages ; cependant elle n’a pas si bien o
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
ne femme qui reçoit entre ses bras un autre que son mari, met dans sa famille des héritiers qui ne lui sont de rien, et qu’ains
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
France jusqu’à sa mort qui laissa sa veuve chargée des affaires de sa famille , entre autres d’un procès maudit qui est la cause
ttirerait sa perte à elle, et encore celle de sa mère, et de toute sa famille . Voilà, lui dis-je, de quoi il s’agit, voyez prés
faire. Que je n’avais pas cru lui faire injure en me mettant dans sa famille , ni que sa fille pût être blâmée de m’avoir donné
18 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
me Monsieur Martin, Parisien à ce qu’on m’a dit, je ne sais de quelle famille . Il peut avoir quelque cinquante-six ou cinquante
rs. Il faut savoir que par parents et amis j’entends les gens de même famille qu’ils appellent castes* ne leur étant pas permis
s’allier dans une autre ; et ainsi ils sont distingués entre eux par familles de même que les Juifs par tribus. Le cours de la
l’année, je vous donne les seconds à vous, Monsieur, et à toute votre famille et à la mienne. Je souhaite que tout le monde s’y
i dire dans quel corps son âme allait passer ; et si elle quittait sa famille . Notez, s’il vous plaît, qu’ils croient la métemp
omme eux, mais rouges, bien faits et charnus. Il n’y en a plus qu’une famille à La Martinique, les autres sont retirés à la Dom
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
autant, et que je ne me repentirai jamais de vous avoir reçue dans ma famille . Angélique ne répondit devant la princesse que pa
x enfants, et est encore grosse, et suivant toutes les apparences, sa famille sera très nombreuse ; car elle n’attend pas l’ann
20 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
imes amis de l’auteur ne s’en était adroitement emparé à l’insu de sa famille , et n’avait pris soin d’en procurer l’impression.
au jour ? et tous deux essuyer les embarras que traîne après soi une famille , qui très souvent est à charge à l’un et à l’autr
e et plus peuplée dans le Sud ; elle peut contenir deux à trois cents familles . Les hommes y sont assez bien faits, remplis d’un
d’être su. Il s’appelait Louis-François Duret de La Boulaye, de bonne famille . Il avait du service, et avait fort bien défendu
vœu indiscret d’un père particulier, qui n’intéressait que lui et sa famille , et nullement la religion et la conscience de la
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