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1 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
mblement qu’elle ne passe pas outre, et ne devienne point publique. J’ espère que vous me répondrez du succès puisque je ne la
traité, et dont il conserve du ressentiment ; ainsi nous avons lieu d’ espérer que s’il en tombe quelqu’un sous sa main ou sous
s frères et ma mère, outre ce que vous trouverez dans la vôtre, que j’ espère que vous ferez tenir à son adresse. Du dimanch
s le savez. Vous connaissez Monsieur Gouault : je le regrettais, je n’ espérais pas trouver en Monsieur Céberet ce que j’avais pe
9e [mars] Nous ne vîmes point hier la terre de Madère comme nous l’ espérions , mais nous avons vu aujourd’hui à midi deux îles
s dans l’Est des îles du Cap Vert ; nous allons à l’Ouest, ainsi nous espérons les trouver bientôt. Nous croyions être beaucoup
par la hauteur des îles du Cap Vert, nous les cherchons toujours. On espérait arriver à Saint-Iago aujourd’hui, et nous en veri
de montagnes et de roches. Si je mets demain pied à terre comme je l’ espère , je vous dirai ce qui en est. Je trouve notre pil
erait inouï. On dit pourtant qu’il n’a pas eu de l’Evêque ce qu’il en espérait . Mais on n’a pas tout ce qu’on demande dans le mo
u chemin, altérés par la chaleur et affamés comme des chasseurs, nous espérions bien faire un bon repas pour nous remettre mais n
que ce ne sera rien ; Dieu veuille que cela soit ! Pour moi, je n’en espère rien de bon. C’est peut-être l’amitié particulièr
t outre cela son âge de plus de soixante ans ne me donne guère lieu d’ espérer rien que de funeste. Messieurs du Quesne et Joyeu
que chose au moins à qui trouve la mort Dans une guerrière aventure D’ espérer une sépulture. On parle à ses amis, on parle à se
n’a sujet de mélancolie. Nous nous divertissons plus que jamais, et j’ espère que cela sera toujours de même, car je compte sur
qu’il était très content de ses officiers ; j’en suis très aise et j’ espère qu’il le sera toujours. La conversation avait été
ille. Je me console de la mauvaise chère que nous faisons parce que j’ espère manger bientôt de la salade, du gibier, de bon bœ
fièvre avec un si grand mal de côté qu’à peine puis-je me soutenir, j’ espère que ce ne sera rien. Cette île est marquée sur le
é celle de ce navire. Tous les Hollandais étaient fuis à terre où ils espéraient mettre en sûreté l’argent qu’ils emportaient, mai
ous avons vu sept navires à l’ancre. Nous avons donné dessus, et nous espérions bien en prendre quelqu’un, nous nous trompions. E
r ce pied-là Dieu lui donne un bon et heureux règne on peut justement espérer que la Religion et les Français y auront le même
s à l’ancre, nous y sommes encore et y serons jusques à minuit, qu’on espère que le vent calmera. Il a fait tout le jour tourm
ons mis à la voile à minuit que le vent avait un peu calmé comme on l’ espérait . Nous avons été toute la journée la sonde à la ma
l’Ile Fortunée, si nous y trouvons les rafraîchissements que nous en espérons , car en vérité nous sommes fort mal. Notre navire
auvres diables mâchent à vide, cela les fait enrager et moi aussi qui espérais bien me récompenser ici de la flûte. Nous avons m
int hier au soir bien petit et variable, nous avançons un peu et nous espérons avec la grâce de Dieu passer le Cap avant la fin
it un peu plus fort ce serait du chemin pour jusques à minuit, mais j’ espère que demain matin nous chanterons le Te Deum à l’i
[avril] Le vent s’est rafraîchi et s’il continue tel qu’il est on espère que nous serons mercredi à l’Ascension. Du sam
île. Notre équipage est au désespoir n’ayant aucun rafraîchissement à espérer de ce côté-là. Les officiers sont dans un chagrin
plaisirs fatigants. Nous n’y avons trouvé aucune lettre, comme nous l’ espérions , mais seulement une seule bouteille entière, entr
ers Paris. Du mercredi 16e. [mai] Toujours bon petit vent, nous espérons être aux Iles dans quinze jours. Il fait extrêmem
amais, car, quand bien même on leur rendrait leurs terres comme ils l’ espèrent à la paix, la guerre ne pouvant pas être immortel
eux un nouvel établissement à faire. Les habitants de La Martinique n’ espèrent pas un plus heureux sort qu’eux, mais ils ont un
st que cette île-ci est toute couverte de bois et de montagnes où ils espèrent se retirer en cas qu’ils ne se puissent pas défen
. Chacun voulait être du détachement qui devait venir avec nous ; ils espéraient se venger des Anglais et les ruiner de fond en co
n faits, et qui paraissent bien résolus et bons soldats. Tant qu’on a espéré que nous irions voir les Anglais tout le monde no
guer mon esprit d’une ridicule appréhension aux dépens de ma santé, j’ espère m’en bien tirer par mon remède ordinaire, ayant b
mps, nous ne sommes pas à plus de quatre cents lieues de France, et j’ espère si bien y arriver dans le quinze du courant que j
-Sud-Ouest, bon frais et meilleur qu’hier, nous allons fort bien et j’ espère gagner la gageure. Du mardi 7e. [août] Le v
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
e volontiers en votre faveur ; mais je ne vois pas qu’il y ait rien à espérer du vivant de mon père qui est l’homme du monde le
ent que je regarde mon couvent comme mon asile ! Quel plaisir ai-je à espérer dans le monde ? C’est assez pour vous de m’avoir
tai cette dame, parce qu’elle m’avait toujours paru fort vertueuse. J’ espérai que Monsieur de Bernay frappé d’un exemple si réc
Clémence, ni sa sœur, qui étaient devenues deux riches héritières. J’ espérai qu’il les laisserait maîtresses d’elles-mêmes, ou
savoir que Clémence n’était plus renfermée. Je crus avoir tout lieu d’ espérer qu’elle serait à moi du consentement même de son
ivre, qu’il en était tombé malade, autant de l’esprit que du corps. J’ espérais qu’il en mourrait, je demandais tous les jours à
n Angleterre, en celui d’aller à Avignon sur les terres du pape, où j’ espérais faire des connaissances, puisque j’allais m’en ap
ce s’était retirée, j’y allai. Je la trouvai plus résolue que je ne l’ espérais  ; et le jour fut pris pour en sortir, et partir l
plus m’ôter celui de ma mère. Jusqu’à ce temps-là, je ne vois rien à espérer , et ce bienheureux temps n’arrivera pas sitôt ; c
à ce qui lui appartient du côté de sa mère ; du reste, Monsieur, nous espérons que quand vous serez prêt d’aller rendre compte à
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
t bien que ma vertu, je ne la vendrai point. Ainsi vous ne devez rien espérer de moi qui puisse faire tort à mon honneur, et je
e que je m’étais attendu à une partie de votre réponse ; mais je ne l’ espérais pas si décisive. À l’égard de vous épouser, toute
vait pu refuser à vos instances un accord plus avantageux que je ne l’ espérais . Que même vous l’aviez obligée de céder une pièce
re impatience. Adieu. Cette lettre était d’un style à lui faire tout espérer , pourvu qu’elle sût se bien ménager ; elle ne s’o
vous dessein de me mettre au désespoir ? Ne suis-je pas assez rendu ? Espérez -vous voir augmenter mon amour ? Il est impossible
croira sur ce pied-là, que vos visites seront d’un bon parent ; et j’ espère que vous vivrez avec moi aussi sagement que si j’
même l’occasion de manger avec elle ; honneur qu’elle n’aurait jamais espéré . Elle savait ses présents et sa charité pour elle
us pourriez croire que mes libéralités seraient intéressées, et que j’ espérerais de vous quelque faveur contraire à votre vertu, e
r, si en vous épousant, je ne faisais pas tout votre bonheur, comme j’ espère que vous ferez tout le mien. Angélique qui ne s’a
ons à cette fille qui me paraissent fort gaillardes. Il faut que vous espériez qu’à la fin elle y succombera. Ce n’est point là
aime avec toute l’ardeur imaginable, mais j’aime sans espérance. Je n’ espère pas l’épouser du consentement de ma mère, que je
à la soumission et au respect que mon fils a toujours eus pour moi. J’ espère que vous en aurez autant, et que je ne me repenti
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
en fîmes une, qui bien loin de nous servir, comme nous nous l’avions espéré , pensa nous perdre sans retour. Ce fut de lui fai
int été grosse, ou que je n’eusse point été assez malade pour ne plus espérer en revenir, je ne l’aurais jamais épousée, malgré
amais rien dit là-dessus, je crois que vous avez toujours été sage, j’ espère que vous la serez toujours. Je ne vous en parlera
le maître des articles, et que sans avoir un sou d’elle, et sans même espérer en avoir jamais rien, je m’offrais à l’avantager
ous avait joués. Il n’y avait plus d’apparence de rien tenter. Nous n’ espérions plus rien de favorable que du temps ; et cependan
lement de le payer après la capture. Ce sergent fit ce qu’il en avait espéré . Il avertit cette fille, qui se trouva fort embar
aimé et estimé pendant sa vie. Donnez-vous la main l’un à l’autre, j’ espère qu’elle vous sera aussi chère après votre mariage
i chère après votre mariage, qu’elle vous l’a jamais été, parce que j’ espère qu’elle sera toujours la même, et qu’elle ne vous
s, je lui conseillai d’aller passer ce temps-là chez elle parce que j’ espérais que la compagnie qu’elle y verrait, et surtout l’
très peu de temps à rester ici, et dans quinze jours au plus tard, j’ espère aller goûter auprès de vous tous les plaisirs que
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
ent louis ? Oui, dit-il, pour l’argent j’en suis assez content, car j’ espère encore arracher quelque plume à mon prétendu gend
ous, lui dis-je ? Prétendez-vous que je croie encore vos impostures ? Espérez -vous justifier la plus noire et la plus lâche tra
pas que la nature résisterait ; je n’avais aucune attache à la vie. J’ espérais que la mort me délivrerait du malheur qui m’avait
voir innocente ; et malgré la certitude que j’avais de sa trahison, j’ espérai qu’après l’avoir entendue, elle ne me paraîtrait
à retirer les papiers de ses mains, et à lui dire un dernier adieu. J’ espérais avoir assez de constance pour exécuter ce que j’a
et tout à fait incapable de prêter la main à une imposture ; ainsi j’ espérai que j’en découvrirais la vérité ou le mensonge. J
entretenir des gens comme vous, incapables d’y mettre ordre ? J’avais espéré que ma bonté vous aurait rendu sage, et vous vous
heureuse entre vos bras, continua-t-elle les larmes aux yeux, je ne l’ espère plus ; mais personne n’occupera dans mon cœur la
l était bien Monsieur pour un homme comme vous, reprit-elle ; mais qu’ espériez -vous par là ? Il était garçon, et vous marié ; il
n. Je sais bien que la chute de lui à moi serait trop lourde ; mais j’ espérais qu’abandonnée de lui, après quelque éclat sur vot
vient de laisser vacante. Si bien donc, reprit Silvie, que vous avez espéré que le dépit me jetterait entre vos bras ? Et tou
hemin de Paris. J’allai moi à Fontainebleau où la Cour était, et où j’ espérai trouver quelques amis qui ne manqueraient pas de
premier lieu pour votre satisfaction, et après comme Silvie et moi l’ espérons de votre bonté, pour tâcher de faire entendre à d
restai chez ma mère, et n’allai point la voir chez elle comme elle l’ espérait . Dès le matin j’eus un billet de sa part, qui n’é
c Gallouin s’était accommodée bien plus promptement que je ne l’avais espéré . Je m’étais promis de retourner à Paris. Je n’en
solution. Je suis prêt à vous rendre tout ce que j’ai à vous : mais n’ espérez pas avoir jamais aucune intelligence avec moi. Vo
ous m’avez rendu trop malheureux, et je vous ai trop maltraitée, pour espérer jamais entre nous de réconciliation sincère. Je l
soit ailleurs, mener une vie tranquille, et moi n’ayant aucun repos à espérer que dans la mort que je vais chercher, et qui ne
et il est certain que mon déshonneur n’étant su de personne, j’aurais espéré ne m’en point repentir, puisqu’avec une femme, j’
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
s. J’ai instruit Monsieur votre père des chicanes qu’on me fait, et j’ espère qu’il m’en rendra bientôt justice. Je voudrais qu
t que tout au moins, s’il ne m’en coûte pas mon innocence, comme je l’ espère , je paierai de ma réputation le plaisir que j’aur
ma résolution était prise. Qu’il était vrai que nous ne devions point espérer qu’un heureux mariage nous unît du vivant de mon
de mon père ; il me parut mon fait. Sa physionomie me plaisait, et j’ espérai qu’il me rendrait service. Je donnai ordre qu’on
i que ce soit ne saura jamais que vous nous aurez prêté la main. Je l’ espère bien aussi, dit-elle. Je crois, ajouta-t-elle, av
amours. Oui, continuai-je, en me jetant à ses pieds, c’est ici que j’ espère me dire que je serai le plus heureux de tous les
ffaire. Je n’en manquerai aucun, sitôt que vous paraîtrez le désirer. Espérez -vous, lui demandai-je, que votre mère vous laisse
votre mère vous laissera tout à fait sur votre bonne foi ? Oui, je l’ espère , reprit-elle ; et puisque vous voulez savoir comm
devant les hommes, la seule mort nous arrachera l’un à l’autre. Je l’ espère ainsi, dit-elle ; j’ai trop bonne opinion de vous
e d’eux, lorsqu’ils ne sont pas aussi contents dans leur union qu’ils espéraient l’être. Ils peuvent leur dire, c’est vous qui m’a
rouva mille difficultés qu’elle n’avait pas prévues, ou qu’elle avait espéré pouvoir surmonter facilement. Elle craignit que s
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
lle n’était pas si bien montée que sa maîtresse ; elle ajouta qu’elle espérait que cette dame aurait soin d’elle, parce que son
oi les rendre inutiles, et vous mettre l’esprit en repos. Pouvez-vous espérer un jour heureux avec un homme comme lui ? et ne d
issance. Pour ce que j’ai à craindre de lui, Dieu en est le maître, j’ espère qu’il ne m’abandonnera pas ; il faut attendre un
faut attendre un de ces revers qu’il sait faire naître lorsqu’on les espère le moins. —  Je ne vous promets rien, Madame, rép
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
lait lui présenter dans un pays où vraisemblablement il ne devait pas espérer d’en trouver. Sainville attendait donc la guériso
i lui était proposé, ne demandant qu’à s’approcher de Silvie, dont il espérait de se faire reconnaître, et s’expliquer avec elle
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
tisfaite, je me satisfis. Soit que je ne trouvasse pas ce que j’avais espéré , soit par inconstance, sitôt qu’elle se fut donné
ser sortir de sa chambre. J’eus pitié de la maladie de cette bête ; j’ espérai même profiter de l’exemple, et vous allez voir si
ur pleurer ; c’est l’envie de nous divertir qui nous y a amenés, et j’ espère bien ne m’y point ennuyer. Point de façon, Mademo
sans faim ni soif. Grandpré sortit mieux d’affaire que je ne l’avais espéré  ; il se remit peu à peu et but et mangea avec ass
ns où son penchant la porte. Je suis veuve, j’ai toujours été sage, j’ espère l’être toujours ; mais je ne la serais pas longte
reste. Il s’en acquitta parfaitement bien, et mieux que je ne l’avais espéré . Il avait dit qu’il avait trouvé ma belle veuve e
j’aurai tous les jours découvert quelque nouveau charme en vous, et j’ espère que vous me tiendrez compte de mes déclarations q
ort honnête : en sorte que tout alla beaucoup mieux que je ne l’avais espéré moi-même. La veuve en fut surprise. Elle n’en dit
de Gironne. Je suis trop honnête homme pour déguiser ma pensée ; je n’ espère rien de sa reconnaissance, puisque je ne la conna
tes, qui ne se résolût volontiers d’en faire autant qu’elle, si elles espéraient en sortir de même. Mais le secret est rare dans l
Je sortis d’auprès d’elle fort content au moins de m’être déclaré. J’ espérai en avoir bientôt une réponse favorable, mais je m
rmai mille espérances chimériques sur le sujet de Madame de Londé ; j’ espérai d’en établir un pareil avec elle. J’en faisais dé
suis. Je viens chercher la mort en votre présence, puisque je ne puis espérer de vous adoucir. Je lis mon arrêt dans vos yeux.
igné. Nous ne souhaitons elle et moi que d’être l’un à l’autre ; et j’ espère que nous terminerons tout aussitôt que Monsieur D
10 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
, si les choses ne changent de face. M.Charmot revient avec nous : il espère passer à Siam, ou au Tonkin. Il est certain que l
nseignent aux autres : pour moi, j’avoue que je n’y comprends rien. J’ espère cependant que le lecteur me rendra la justice d’a
ns mis à la voile à minuit, que le vent avait un peu calmé comme on l’ espérait , & nous avons été toute la journée la sonde à
nous l’île fortunée si nous y trouvons les rafraîchissements que nous espérons y trouver ; car, en vérité, nous sommes très mal.
vain scrupule : j’aurais pris sur moi le hasard du blâme & aurais espéré m’en bien tirer ; l’état pitoyable où sont tous l
ats éloignés, était sûr de la faire éclater par lui-même, parce qu’il espérait que Sa Majesté voudrait bien être elle-même son j
re pour ses enfants, l’ont forcé d’en venir à cet éclaircissement. Il espérait revenir dans sa patrie & dans le sein de sa f
era pas ? Que qui que ce soit ne s’informera de la vérité des faits ? Espèrent -ils que tout le monde les en croira sur leur seul
avoir une bonne place tant du côté de la terre que de la mer. Qu’il n’ espérait pas non plus un grand secours des dix-huit canons
ites se sont moqués de ce qu’eux & les parents de la défunte, qui espéraient être ses héritiers, en ont pu dire. Us avaient si
ement avec vous, afin qu’en cas que l’occasion s’en présente, comme j’ espère que vous voudrez bien la rechercher, ainsi que je
tiers préparent tout, & cependant nous gouvernons à la voile. Ils espèrent que demain tout sera raccommodé, pourvu que la me
soulager d’autant un des côtés de son navire. Nous le croyons & l’ espérons ainsi ; d’autant plus que ce mât de hune n’entraî
urs un peu, quoique le petit vent qu’il fait soit très variable. Nous espérons pourtant, qu’avec la grâce de Dieu, nous passeron
amais ils n’eussent eu de querelle ensemble ; que le commandeur avait espéré s’embarquer pour les Indes comme capitaine en che
de nous. Si le vent renforçait, ce serait du chemin jusqu’à minuit. J’ espère cependant qu’à l’issue de la messe nous chanteron
’aumônier a pourtant pris les choses de meilleure grâce que nous ne l’ espérions  ; & cela est cause qu’on lui a renvoyé un pot
ir. Notre équipage est au désespoir, n’ayant aucun rafraîchissement à espérer de ce côté-là. M.de Porrières paraît être dans un
urs entretiens qu’il était de la même religion qu’elle, & qu’elle espérait qu’il lui produirait le moyen de passer en Anglet
de leur perte ; car, quand on leur rendrait leurs terres, comme ils l’ espèrent à la paix générale, leur rendra-t-on leurs maison
leterre soit Jacques, ou Guillaume ? Les habitants de la Martinique n’ espèrent pas un sort plus heureux ; mais ils ont un refuge
espirent que vengeance : chacun voulait être de la partie, & tous espéraient ruiner de fond en comble les Anglais aux îles ; m
ons voulu, tous gens bien faits, résolus, & soldats. Tant qu’on a espéré que nous irions voir les ennemis, tout le monde n
691 Du mercredi 1er août 1691 Le vent avait calmé, & nous espérions qu’il reviendrait bon ; mais il est revenu Est-Su
de quatre cents lieues de France ; & M. de Bouchetière & moi espérons si bien y arriver dans le quinze que nous avons t
p; meilleur que Nord-Ouest, qui soufflait hier. Bouchetière & moi espérons gagner notre journée, & la passer sur la bour
11 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
nada. C’est un très honnête homme, bien de mes amis, et avec lequel j’ espère bien vivre. Il y a, sur notre même vaisseau, un n
nnée passée d’être mis sur l’Écueil. Je ne m’y suis point ennuyé et j’ espère bien ne m’y point ennuyer encore. On dit que nous
ire tous les soirs ce qui sera arrivé dans la journée, on ne doit pas espérer de trouver un de ces styles fleuris qui rendent r
es prières de M. Hurtain et les miennes, parce qu’il n’y avait rien à espérer de la dureté d’Albus, auquel lui-même et M. Champ
. Albus arriva dans le moment et fit plus de satisfactions qu’on n’en espérait . Les deux commis furent renvoyés à leurs fonction
tin ; qu’il ne se repentait point de ne l’avoir pas fait, parce qu’il espérait que le conseil de guerre lui en rendrait une just
n’était point par la résurrection que ces druides et leurs sectateurs espéraient le retour à la vie ; et ce ne pouvait être que pa
t malade, il ne se fie nullement sur la théorie de son art, puisqu’il espère trouver dans l’expérience de ses confrères, qu’il
cela serait inouï. Il n’a pourtant pas obtenu de l’évêque ce qu’il en espérait . Mais, outre qu’il lui demandait une chose que l’
ue chose au moins à qui trouve la mort Dans une guerrière aventure, D’ espérer une sépulture ! On parle à ses amis, on parle à s
p vomi cette nuit, et a reposé tranquillement toute la journée : nous espérons que sa maladie ne sera rien. Je me suis baigné ce
ne chaleur qui étouffe. Le pauvre M. Hurtain pâtit de tout cela. Nous espérions tous que sa maladie ne serait rien ; mais le malh
de ce que j’ai dit ci-dessus. Cependant, si ce vent-ci continue, nous espérons encore passer la Ligne dans demain. Tous les vais
eure. Ce vent de Sud-Ouest ne peut pas nous être plus contraire. Nous espérons qu’il changera : le ciel est couvert depuis les d
mier à me rendre à mes devoirs. Jusque-là, monsieur, lui ai-je dit, n’ espérez de moi ni obéissance, ni complaisance. Nos foncti
. Je l’ai fait, et tous deux m’ont fait plus d’honnêtetés que je n’en espérais , et ont bu bien gracieusement à ma santé. M.de La
our attraper le cap de Bonne-Espérance, et le vent étant largue, nous espérons avoir bientôt doublé ce cap et être dans les mers
et inspirent à leurs inférieurs une noble émulation, parce que chacun espère par ses services parvenir comme eux à des postes
temps. Un petit vent de Sud, qui se leva sur les deux heures, lui fit espérer de sauver son vaisseau : il mit, comme j’ai dit,
é chaloupe et canot. Tous les Hollandais étaient fuis à terre, où ils espéraient mettre à couvert ce qu’ils emportaient ; mais, ét
ver du soleil, nous avons vu sept navires. Nous avons donné dessus et espérions bien en prendre quelqu’un ; mais non. En voici la
pied, Dieu lui accorde un long et heureux règne, on peut probablement espérer que la religion et les Français y auront le même
12 (1721) Mémoires
leur servir de pédagogue, moi qui n’en ai jamais pu souffrir, mais j’ espère que mon exemple les portera à suivre un train de
es jours dans les familles particulières, où il n’y a plus de repos à espérer pour les enfants ni pour les domestiques sitôt qu
rsonnes par la pêche de la morue. Et en effet la France n’a plus à en espérer que du Grand Banc, encore en temps de paix ; car
se jeta dans un des pavillons. Le cardinal son oncle et elle avaient espéré que ce prince jeune, vif et ardent à l’aspect d’u
trouvé de leur goût. 126. Je laisse là ces bons et chastes pères ; j’ espère pourtant les retrouver encore à Paris, dans un va
A-t-il envie de nous assujettir ? Il se tromperait et toi aussi de l’ espérer  ; des gens comme nous à qui toute la terre est ég
, je n’ai que faire d’avocat. 145. J’y allai par curiosité, mais je n’ espérais pas tant rire. Il y vint avec sa femme, tous deux
r que vous trouverez de très grandes difficultés dans votre chemin. J’ espère pourtant que vous réussirez, puisque ce sera la p
minution pour mon ami ; qui était dix mille francs plus qu’il n’avait espéré lui-même, sa lettre portant qu’il aurait voulu en
e, puisqu’ils l’ont interrogé plus de cinquante fois. Toute la France espérait qu’il ferait même fin que Cordier ; on ne sait ce
néral. Tout Paris fut surpris d’un pareil arrêt, parce que tout Paris espérait que Miotte serait pendu. Mais tout Paris ne savai
l résolut de regagner le principal avec l’intérêt du gain qu’il avait espéré faire avec elles, et se servir de la connaissance
Monsieur de Pontchartrain par la démission de M. Pelletier, Legendre espéra nager en grande eau et ne se trompa pas. Il était
plus avancé. Cependant je fus vengé, mais tout autrement que je ne l’ espérais  : Je comptais que ma vengeance ne me coûterait ri
us que nommera le sort, N’importe qui ce soit, méritera la mort. Nous espérons pourtant que la troupe grondeuse Malgré tous ses
ient traitables, lorsqu’ils verraient qu’il n’y aurait aucune grâce à espérer d’abord que le sort se serait déclaré. Et pour ce
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ut être le maître. Verville prévit tout d’un coup ce qu’il en pouvait espérer , et ne se crut pas malheureux. Il lui indiqua une
t, vous êtes-vous bien consulté ? Je suis prêt à vous la rendre, et j’ espère que dans la suite elle vous donnera tous les suje
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
venu à l’excès, et ma raison me fait voir que n’ayant aucun bonheur à espérer de ce côté-là, je dois tâcher de l’oublier par to
rsqu’ils vont me voir en bonne santé ? Ce bruit fit ce que j’en avais espéré , d’Ivonne laissa sa nièce en repos. Mes parents c
ant attaqué par autant de partis qu’il s’en est présenté pour elle. J’ espère enfin qu’elle et moi serons contents pour le rest
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
commerce et la sûreté, et qu’il n’y avait avec eux ni paix ni trêve à espérer que par leur mort ; enfin des gens universellemen
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
pour un homme aussi nécessaire au public qu’il croyait être, et qu’il espérait que la campagne lui étant ouverte, il trouverait
17 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
é à mes amis dans un style purement naturel et familier ; néanmoins j’ espère qu’il n’écorchera pas les oreilles délicates, et
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
nne dans le corps. L’autre voyant qu’il n’y avait point de quartier à espérer , aima mieux se faire tuer que de se rendre, et se
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
hères armes, dit-il, unique fondement de ma bravoure, vous, par qui j’ espérais me faire roi, vous m’êtes enlevées, je vas donc d
20 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
eriez injure, si vous preniez un logement ailleurs que chez moi, où j’ espère que vous serez logé avec assez de commodité, parc
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
a chez Valerio. Ces sortes de gens cherchent leur profit, et il avait espéré en trouver à la Ribeyra, où il avait appris qu’il
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
ne laissa pas d’en être bien aise, en ce qu’ils lui donnèrent lieu d’ espérer que cela lui ferait trouver un bon parti, ou plut
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
ai parlé, où elles allaient très souvent. Au lieu d’une lettre que j’ espérais , je ne trouvai qu’un billet de deux lignes, qu’el
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