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1 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
de balle. On descend à terre sur le dos d’un matelot, qui vous porte environ douze ou quinze pas, depuis la chaloupe jusques s
fort fin à peu près comme celui d’Etampes. Vous marchez sur ce sablon environ 80 pas du côté du soleil levant, ayant à main dro
it jusques au pied d’une montagne fort escarpée, haute de cent pas ou environ , sur laquelle est bâti le village et une église d
, vous passez devant un des deux puits où l’on fait de l’eau, qui est environ à six-vingt pas de la rive. Ce premier puits-là n
enthèse ces navires-là sont bien heureux d’avoir échappé nos griffes. Environ à 200 pas de là on trouve le second puits qui est
evé de la ville et le plus beau. Le château du Gouverneur est en haut environ à cent pas dans le nord de la porte par laquelle
de saint François, et cordelier, du moins son habit le dit ainsi, âgé environ de quarante ans, parlant fort bon latin, bien fai
moyen de vivre content. Ce poisson est gros pour sa longueur, il pèse environ dix livres plus ou moins ; on le pêche de dessus
ris d’autre, ainsi je vais vous dire ce que c’est. C’est un poisson d’ environ huit pieds de longueur, dont la peau sans écaille
ligion catholique apostolique et romaine qu’il avait embrassée depuis environ quatre ans, ayant abjuré les erreurs de Calvin. I
uit heures un phénomène dans la moyenne région de l’air. Il a éclairé environ deux pater, ensuite a fondu dans une nuée qu’il a
le Sud-Sud-Ouest jusques à l’Ouest. Sa dernière illumination a été d’ environ cinq pater, et ensuite a disparu tout à fait.
habiles gens : nous avons passé cette nuit le Cap de Bonne-Espérance environ à dix lieues au large. Nous n’avons pourtant poin
ainsi nous sommes sûrs d’être sur les accores du banc des Aiguilles, environ vingt lieues du Cap de Bonne-Espérance dans l’Est
nous paraît dans le Nord jusques au Nord-Est, à dix lieues de nous ou environ . Le banc est dépassé et la mer n’est pas si gross
Il croit que ces peuples sont venus des anciens Juifs, et que depuis environ trois cents ans il y est aussi abordé des Mahomét
a coquille : tout cela ne les distrait point. Après une demi-heure ou environ de pareille cérémonie, ils s’en vont et un d’eux
ainte et d’une sincérité apparente. C’était un drôle de trente ans ou environ , bien fait, et qui me paraissait fort propre à tr
mais faute de vent nous sommes obligés de mouiller à trois lieues ou environ d’où nous sommes partis, crainte que les courants
e combattre tantôt contre le Gaillard et tantôt contre nous, qui dura environ deux heures, avec une bonne heure et demie que no
ment les deux heures de repos qu’on lui donna, comme vous allez voir. Environ sur les deux heures après minuit il s’éleva un pe
est justement l’endroit où nous l’avons pris à une lieue de terre ou environ . Il venait chercher du riz et du bois et était ch
nois y ont plus de cent pièces de canon et plus de huit cents hommes. Environ sur les cinq heures du soir nous avons découvert
sent. Elles vont quérir cette eau à deux puits qui sont à cent pas ou environ de la mer, et l’apportent sur leur tête dans des
e de la terre soutenue par des branches d’arbres. Les Français y sont environ deux cents personnes officiers et soldats. On y f
itement à un escargot dont on aurait cassé la coque. Il pouvait avoir environ trois pieds et demi ou quatre pieds de longueur.
le récit qu’un Français, qui en a été spectateur, m’en a fait. Il y a environ quatre mois au plus, m’a-t-il dit, que quatre Fra
émonie, et voici comme elle se fit. L’on porta le corps dans un champ environ à cent pas de la maison où il était mort. Il étai
on lui fit faire trois tours autour d’un amas ou foyer de bois élevé environ de deux pieds de terre, on l’y coucha de son long
pas du fort, il y a un morceau de bois élevé de deux pieds et demi ou environ , qui représente au naturel la racine du genre hum
vé du tout. Nous avons resté ainsi entre le Florissant et les ennemis environ deux horloges ou une heure, et nous en avons bien
ouvert qu’ils n’étaient, sous le feu de leur fort. Nous avons mouillé environ à un quart de lieue d’eux, chacun sous notre pavi
is son levé jusques à ce qu’elle ait attrapé le Sud-Est, c’est-à-dire environ trois heures. Cela ne peut point avoir paru chez
putation que j’en ai faite par les degrés de longitude, il n’était qu’ environ midi lorsqu’elle a commencé, et trois heures lors
squ’elle a fini de la même journée d’hier, y ayant entre vous et nous environ six heures de différence au méridien. Je ne sais
matelots et la découverte du sergent, ils furent mis aux fers il y a environ quinze jours. Comme ils avaient joué cet argent e
vaient joué cet argent et qu’ils en avaient perdu, ils n’en ont rendu environ que la cinquième partie, ainsi le reste a été per
ol et de Remraja il faut la prendre de plus haut, et savoir qu’il y a environ vingt ans que le gouverneur des royaumes de Marsi
n peine de s’opposer aux conquêtes du Mogol. Il est mort enfin il y a environ dix-huit mois. Son jeune frère nommé Remraja a pr
faire tête à son ennemi et se montre digne fils de Sauvagy. Il a levé environ trente mille chevaux et s’est allé opposer à l’ar
et plus de trois mille bestiaux tant bœufs que cochons. Les noirs des environs se vinrent plaindre à Monsieur Martin, qui leur a
t voici ce que j’ai vu. C’est le brûlement d’un noir. Il était expiré environ sur les six heures du soir précédent. Pendant tou
s figures de sculpture que pour des hommes vivants. Ils restent ainsi environ un quart d’heure après lequel temps ils se lèvent
apparemment un bramène qui semble marmotter quelque chose. Cela dure environ un quart d’heure, après quoi on marche. Premièrem
hent ainsi, le corps ayant le visage tourné vers le chemin, jusques à environ vingt ou trente pas du foyer, où ils s’arrêtent.
oujours le bal. Le soleil a paru éclipsé ce matin sur les sept heures environ de la moitié de son disque, mais comme le temps é
paru à Paris parce que le soleil n’y était point encore levé, y ayant environ 73 degrés de longitude de différence, qui sont pr
brasses d’eau. Ainsi nous ne sommes qu’à quatorze lieues de terre et environ à trente du cap de Bonne-Espérance. J’admire l’ha
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
mme j’y étais, Mademoiselle Dupuis y entra avec sa mère. Elle n’avait environ que quinze à seize ans ; vous l’avez vue dans cet
six ans, que pour venir voir son père. Elle y rentra, après avoir été environ trois mois dans le monde ; et cela parce que sa m
je vous aurai dit ce qu’il fit le propre jour qu’elle mourut, il y a environ quatre ans et demi. Dupuis, comme vous savez, éta
demoiselle Dupuis (car il ne l’a jamais fait appeler Madame) accoucha environ six mois après la blessure de son mari ; et préte
’a jamais attaqué sa vertu. Elle mourut, comme je vous ai dit, il y a environ quatre ans et demi, aux jours gras ; le propre jo
lui que lorsqu’il ne put plus agir. Elle parut dans le monde, il y a environ trois ans, et prit le soin d’un bien qui devait l
e soin d’un bien qui devait lui appartenir un jour. Elle était âgée d’ environ vingt ans, je l’avais vue, comme je vous ai dit,
parfait amour en fidèle héros de roman jusques à sa mort, qui arriva environ dix-huit mois après. J’avais tous les sujets du m
mes serments d’une fidélité éternelle. Les deux Du Pont descendirent environ demi-heure après. Je croyais aller avoir une quer
était vrai cependant, et il me le marqua d’une manière fort généreuse environ un mois après. Il faut que vous sachiez que j’ava
e à vendre par la mort du titulaire ; il s’agissait de payer. J’avais environ les deux tiers de l’argent qu’il me fallait, mais
n Angoumois où il était à propos que j’allasse. Ce voyage devait être environ d’un mois sur le lieu, et le temps d’aller et de
nviron d’un mois sur le lieu, et le temps d’aller et de venir faisait environ celui qu’elle voulait retarder. Et comme sa tante
me crut, alla chez sa tante, et y est encore. Quinze jours après, ou environ , j’allai la voir pour la dernière fois, étant la
a fallu me faire recevoir, m’ont forcé de revenir à Paris, il y en a environ trois plus animé contre elle que jamais. Elle vin
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
e lui parler de ma vie. Cette résolution rétablit ma santé. Je sortis environ un mois après leur mariage, et par cas fortuit, j
de mille différentes pensées. Depuis ce temps-là, c’est-à-dire depuis environ trois mois que Deshayes était allé à la campagne,
tion pourtant et sans incivilité. Enfin au retour de son mari, depuis environ un mois, elle s’est séparée d’avec lui, et leur d
pour sa plus mortelle ennemie, que cette malheureuse sortit de prison environ six semaines après y être entrée. Elle ne porta p
ntrée. Elle ne porta pourtant pas loin l’impunité de ses crimes ; car environ quinze jours après être sortie de prison, elle fu
in il l’a su, puisqu’il l’a suivie et trouvée. Il arriva hier au soir environ une heure après nous dans l’hôtellerie où nous ét
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
e sortir ; ce qui arriva dès qu’il put ouvrir les yeux ; c’est-à-dire environ huit jours après que son accident lui fut arrivé.
le même empêchement. Les gens qui les suivaient firent la même chose environ quinze pas des armes, et le firent si naturelleme
dans la lice, que tout le monde, maîtres et domestiques, entouraient environ à quinze pas en rond. Il était armé d’un gros bât
5 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
uistillic, gentilhomme breton, capitaine de frégate. C’est un homme d’ environ trente-trois à trente-quatre ans, parfaitement bi
vale mit à la voile deux jours après ; et vers la fin de la campagne, environ un mois avant notre retour, M. Céberet arriva à B
l’autre était fulminante ; et M. Céberet me laissa pour gratification environ vingt-cinq pistoles, que j’avais encore appartena
es plus qu’à trente-huit degrés quatorze minutes de latitude Nord, et environ six degrés de longitude, à la hauteur de Lisbonne
est à cause qu’il est isolé : quoi qu’il en soit, nous en avons passé environ à dix lieues dans l’Ouest, lorsque j’en ai pris l
ontagne. Ces nuées, brouillard ou vapeurs, n’occupent tout au plus qu’ environ trente toises de hauteur, le tout suivant mes ins
e pour être rapportée, et qui je crois n’ennuiera pas quoiqu’il y ait environ seize ans qu’elle se soit passée. J’ai dit que M.
e fort fin, à peu près comme celui d’Étampes. On marche sur ce sablon environ quatre-vingts ou cent pas du côté du soleil levan
usqu’au pied d’une montagne fort escarpée, mais peu haute, n’ayant qu’ environ cent pas, sur laquelle sont bâtis l’église et le
t, on laisse à gauche un des deux puits où l’on fait de l’eau, il est environ à six vingts pas de la rive. Ce premier puits ne
roi qu’après la mort de son frère. Le château du gouverneur est bâti environ à cent pas de la porte par laquelle on entre et s
chard et le commissaire y ont été commodément logés. Le gouverneur, d’ environ cinquante ans, est fort bien fait, et porte une b
, qui me paraissent des morceaux achevés. Le crucifix est d’argent, d’ environ trois pieds de hauteur ; quatre fort beaux chande
int-François, et cordelier ; du moins son habit le dit : il est âgé d’ environ quarante ans, d’un abord très affable, bien fait
e soir un marsouin : voici comme il est fait. C’est un poisson long d’ environ cinq pieds : il vient tout proche du vaisseau, d’
e à corroyer, tant elle est dure. Il a, entre cette peau et sa chair, environ l’épaisseur du petit doigt, une espèce de lard du
seur est de trois à quatre doigts, et sa largeur du dos au ventre est environ de dix : son écaille est rude comme celle d’une p
soutenu cette queue, avec une corde. On y a attaché un baril vide, d’ environ seize à dix-huit pintes, bien bouché et bien lié.
les canots des quatre autres vaisseaux aller à son bord, et retourner environ demi-heure après. Dès qu’ils ont été retournés ch
nous avons très peu avancé, puisque depuis hier nous n’avons fait qu’ environ trois lieues : nous sommes à un degré trente minu
avers de doigt. On passe cette eau et le linge les retient. Cela dure environ huit jours. Ces vers meurent dans l’eau, qui devi
remplit le reste d’eau selon leur contenance. Celles de bord tiennent environ cent vingt pots, et on en vide une pendant que l’
pluie paraît si bonne qu’on en a ce soir rempli trois bottes ; c’est environ six muids de Bourgogne : nos bestiaux s’en trouve
igne, et qui sert M. de La Chassée, venait de faire son lit. Il était environ trois heures, et c’était la bande de bâbord qui é
pied, rez-terre : le canon fut mis sur les vaisseaux ; et, un mois ou environ après, je les vis arriver à Baston, où j’étais, a
ée de celle-ci de dix à douze lieues dans le Sud. Elle a dans l’Est à environ sept ou huit lieues une autre île, nommée Gommore
alement saines et fertiles. Moali, qui est celle dont nous sortons, a environ neuf à dix lieues de tour, et contient beaucoup d
st ce que je ne sais point. Elles volent toute la nuit ; et le matin, environ un quart d’heure avant que le soleil se lève, ell
la chasse pendant tout le temps que ses gens furent à revenir. Après environ une heure et demie de chasse, nous retournâmes à
s. Cette ville n’est qu’à deux lieues du camp dans les terres. Je fis environ la moitié du chemin par un sentier battu et étroi
combattre, tantôt contre le Gaillard et tantôt contre nous, qui dura environ deux heures, avec un peu plus d’une heure et demi
, en étant accouchée à bord depuis leur départ de la Tamise ; femme d’ environ dix-neuf à vingt ans, qui a eu assez de résolutio
et l’avidité d’un Normand bien lâche et bon voleur. Cette flûte est d’ environ six cents tonneaux, et est armée de douze petites
justement l’endroit où nous l’avons pris, à deux lieues de terre, ou environ . Il venait chercher du riz et du bois, et est cha
2. Ryckwart nous a dit, longtemps après, que cette fille, qui n’a qu’ environ dix-sept ans, est nièce de M. Speelman, général à
6 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
nt. Elles vont quérir cette eau à deux puits, qui sont à cent pas, ou environ , du bord de la mer, & l’apportent sur leurs t
s morceaux de branches d’arbres qui y sont mêlés. Les Français y sont environ deux cents personnes, compris les officiers &
été spectateurs, aussi bien que ceux qui étaient à leur suite. Il y a environ quatre mois, m’ont-ils dit, que quatre officiers
re trois fois le tour d’un foyer ou amas de bois dressé en lit, élevé environ de deux pieds de terre & d’un pied de profond
me, assis comme les tailleurs sont en France, sur un piédestal, qui a environ deux toises en carré. Le corps de l’idole en a en
édestal, qui a environ deux toises en carré. Le corps de l’idole en a environ quatre de haut. Elle a deux bras & deux mains
t observé. Nous avons été ainsi entre le Florissant & les ennemis environ une heure, & en sommes encore bien restés deu
èce. Ils ont tous deux le corps couvert d’écailles, larges d’un pouce environ en carré, relevées comme un diamant à facettes :
urer & on entendit dans son estomac comme des espèces de soupirs. Environ une heure après, M. de Porrières lui fit ôter son
euse qu’à peine pouvais-je en porter une à chaque main. J’en ramassai environ une douzaine, que je mis dans le pré, & le le
eur, parce que le monde n’en produit pas de plus exquis. J’en emporte environ deux cents pintes mesure de Paris. Il est dans de
s ; & les intérêts courant toujours, elle doit à présent à Surate environ six millions de livres, & y est tellement per
, pour notre retour en France. Le bon Dieu nous l’accorde bon. Il est environ huit heures du matin, le vent est bon, mais bien
époux. J’ai vu la mère, qui est à Pondichéry avec M. Martin, femme d’ environ cinquante ans, qui a des restes d’une fort belle
soit formidable, en comparaison de la sienne qui n’est composée que d’ environ vingt mille hommes. Le général du Mogol a plus de
aura tout ce que je sais moi-même du pays dont je sors. Il était mort environ sur les huit heures du soir précédent. Pendant to
estèrent dans cet état lugubre, qui m’inspirait une espèce d horreur, environ un gros quart d’heure. Après cet espace de temps,
se tout bas, avec assez de recueillement & de modestie. Cela dura environ un bon gros quart d’heure ; après quoi chacun se
prières, étant aux pieds du corps, & tourné vers lui : cela dura environ deux Miserere. Après cela, on releva le corps de
ous les Français qui sont retournés en France sur l’Oriflamme, il y a environ un an, m’ont assuré ce que je viens de vous dire 
bon, & nous allons fort bien. J’ai remarqué une chose cette nuit, environ sur les onze heures & demie. La lune dans son
pt heures & demie, & a fini vers les neuf heures un quart, ou environ . Le soleil a paru couvert de la moitié de son dis
urs amis du monde. Il m’en a payé l’intérêt avec usure ; & il y a environ quatre ans que, pour marque de réconciliation ent
. Je vis une maison très propre & fort bien meublée ; une femme d’ environ trente ans, belle, bien faite, & d’un air trè
ssée à Paris n’avait plus ni père ni mère, & peut en avoir hérité environ deux cent mille francs de bien. Elle était âgée d
de lui faire perdre sa mauvaise odeur. Voici comment. Nous avons pris environ deux pintes d’huile dans un flacon & avons ét
: je suis persuadé que le lecteur ne pourrait s’empêcher d’en rire. ) Environ six semaines après, il partit en bonne compagnie,
a sa femme, seule & endormie. Le garde-magasin du Fort-Royal vint environ huit jours après au Fort Saint-Pierre, mandé par
iastres. C’est une grande veuve, bien faite & assez belle, âgée d’ environ trente ans. Un contremaître de notre escadre avai
isson, qu’ils nomment spadon, assez curieux pour en dire un mot. Il a environ quatre pieds de long entre tête & queue, il a
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
istoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. Il y a environ deux ans qu’au retour d’un voyage que j’avais été
pable. Il n’était point à Paris lorsque j’y arrivai, et n’y revint qu’ environ trois mois après. Comme nous avions toujours été
desservi, la compagnie se retira, et nous restâmes seuls elle et moi, environ vers les deux heures. Des Prez recommença ici ses
t pas suivi. Cette femme me dit que mon épouse était venue il y avait environ une heure. Qu’elle lui avait dit, qu’elle avait u
le : ils lui avaient dit que c’était une femme en deuil fort jolie, d’ environ vingt-huit ans, mais qu’ils ne la connaissaient p
s présents, à mes offres et à mes menaces. Je fus mené à Saint-Lazare environ sur les huit heures, justement dans le temps que
consoler ; le coup était trop rude pour n’être pas mortel. Elle resta environ une heure sans donner aucun signe de vie, que par
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
s moins. Je revenais un soir au logis ; il faisait extrêmement chaud. Environ vers le milieu de la rue, je trouvai un éventail
naire ; je la trouvai en robe de chambre. Nous allâmes chez la Cadret environ sur les sept heures du soir au mois de novembre ;
donnée pour argent comptant ; et cette mort n’est arrivée que depuis environ deux ans. Je reconduisis Célénie chez elle ; elle
ais chercher, et l’autre qui la consolait était sa sœur, veuve depuis environ six mois. Cette dernière tâchait de faire entendr
d’elle-même : la suite vous fera connaître son caractère. Il y avait environ dix mois qu’elle était veuve, et trois à quatre q
toujours le père. Elle eut deux filles tout d’un coup, un an après ou environ  ; et quinze mois encore après, elle eut une autre
lui avais répondu ni oui ni non, ni rien sur quoi on pût faire fonds. Environ un mois après cette conversation, je la trouvai s
que je vous ai vus autrefois, et qui vous faisaient regarder, il y a environ cinq ans, comme un petit saint, ou du moins comme
é assidu, ni qui ait donné lieu au moindre soupçon de ma part, depuis environ cinq ans et demi que je me suis déclaré à la pers
amourettes, et bien loin de s’en chagriner, je sois damné, si depuis environ huit mois que je n’ai plus du tout de particulier
a fantaisie, je n’ai qu’à vous raconter le tour qu’elle me fit il y a environ trois mois, dans la même maison où nous sommes. J
x rendez-vous, la petite paysanne me plaisait. Ce petit commerce dura environ quatre mois, sans que Madame de Londé y prît gard
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
i en état de rendre compte, et je voulais sortir de l’emploi. Il vint environ quinze jours après avec un assez gros paquet de p
ne connaissait point sa famille : on me dit seulement, qu’il y avait environ dix-huit mois que sa tante et elle demeuraient da
ois de la connaissance de Madame la duchesse de Cranves, morte depuis environ deux ans ; et qu’il la regrettait, parce qu’elle
instruits de ma naissance. Ils sont à présent mariés ensemble, il y a environ un an, et des gens de cette qualité font trop de
demeura pas là. Il savait que cette dame avait reçu beaucoup d’argent environ dix jours avant sa mort. Il le dit à un homme de
i malice. Tout était effectivement vrai, reprit Des Frans. Je retirai environ deux mois après l’avoir épousée la promesse de ma
sortir le soir même : je vous laisse à penser où j’allai. Il y avait environ six semaines que j’étais marié et de retour, que
rtit peu de temps après pour retourner à Malte, où il est mort il y a environ trois ans, bien touché de la mort de Silvie que j
enoncé au monde, sitôt qu’elle m’eut perdu de vue. Pour moi je partis environ un mois après, sans aller du tout à son couvent,
certain. Voici, poursuivit-il, la lettre qu’elle écrivit à Gallouin, environ six mois après sa sortie de Paris ; voulez-vous q
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
u’une simple demoiselle, n’y vient jamais qu’il n’y soit, et ils sont environ une heure ou deux ensemble. Pour les autres, ce s
un coup et se mit auprès du feu un livre à la main. Une demi-heure ou environ après, Silvie entra enveloppée dans une cape tell
11 (1721) Mémoires
qu’une femme dont le mari était mort il n’y avait que quinze jours ou environ , et qui était grosse de plus de huit mois, ayant
té. 74. Il mit une partie de l’urine de la Reine dans cette bouteille environ les deux tiers de sa contenance, et la mit sur ce
u dôme en dedans Christo nascenti à qui elle est dédiée. Elle y resta environ six semaines, et le médecin qui ne la quittait po
bientôt un moyen facile d’en avoir. La mort de Louis XIII qui arriva environ un an après celle du cardinal de Richelieu acheva
e son devoir, puisqu’il était son mari ; en effet elle l’avait épousé environ un an après la mort de Louis XIII. Bien des gens
uis. En effet il mourut en 1683, et l’édit ne fut supprimé qu’en 1685 environ deux ans après sa mort. 99. A l’égard du commerce
ropres, je les menai déjeuner aux torches au cimetière Saint-Jean, et environ deux ans après je tins leur second enfant, si bie
ut avant que d’en sortir que je rapporte une scène qui s’y est passée environ trois mois après celle dont je viens de parler. C
n, marié depuis quelques [sic] cinq à six mois à une fille de Paris d’ environ 18 à 19 ans, et lui âgé de 26 à 27. Tous deux bie
urner après l’avoir vu. Il est même certain qu’elle fut assez hardie, environ quinze jours après ses couches et deux mois après
onsieur de La Faluère, qui se retira dans une communauté où il mourut environ deux ans après. 198. Pour revenir à M. de Pontcha
e où il y avait du feu. Il y fut reçu fort civilement par une femme d’ environ cinquante-cinq ans et par un ecclésiastique. C’ét
62. Je n’avais jamais vu Bourvalais de ma vie que cette fois-là, mais environ un mois après j’eus lieu de le connaître personne
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
à charmer. Elle était telle que je viens de vous la dépeindre âgée d’ environ dix-sept ans, lorsque je la vis. Cela vint par le
nt de mal, que pour se délivrer de leur persécution, elle fut obligée environ un an après d’épouser un nommé Monsieur de Mongey
13 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
nos conjectures jusqu’à la vérité, par une lettre qu’elle lui écrivit environ six mois après son départ et le vôtre. Silvie a é
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
ise l’esprit. On suivit le satyre, qui toujours en gambadant les mena environ quinze pas dans le bois, où ils virent un déjeune
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
qui de sa part ne fut pas fâché d’aller seul entretenir ses rêveries environ une heure, après quoi les deux ducs, le comte Val
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
t prêts de le suivre partout où il voudrait les mener, ils marchèrent environ deux cents pas dans un chemin étroit et parmi les
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
ervice. Il renouvela ses anciennes connaissances avec la noblesse des environs , et comme il parut résolu de se fixer en province
18 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
ée aux yeux des autres, reprit-il, tu l’es aux miens ; surtout depuis environ deux mois que nous sommes mariés. Quoique ma femm
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
cesse de Cologny deux ou trois jours après. Elle n’avait pour lors qu’ environ quinze à seize ans. Je n’ai que faire de vous en
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