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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
une guerre de cette nature, que dans une guerre réglée, parce que les ennemis qu’on combat dans celle-ci, ne sont pas des ennem
ée, parce que les ennemis qu’on combat dans celle-ci, ne sont pas des ennemis particuliers ni domestiques, puisqu’on peut s’en
eut s’en défaire par un traité de paix ; mais que les autres sont des ennemis d’autant plus cruels, qu’ils ne sont retenus par
plus que la guerre avait ses lois inconnues aux scélérats, et que les ennemis qu’on combattait dans une guerre de prince à prin
tait dans une guerre de prince à prince, étaient presque toujours des ennemis contraints par la volonté et par l’ambition de le
ens qui ne se défiaient nullement d’eux ; et qu’en un mot c’était des ennemis d’autant plus dangereux qu’ils empêchaient le com
2 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
que je ne suis pas tout à fait mal : je ne m’aperçois point d’avoir d’ ennemis , et je tâche à me faire aimer de tout le monde l’
térité exterminée non seulement pour avoir épargné les dépouilles des ennemis et deux de leurs rois vaincus, mais aussi pour av
assez juste, c’est que j’ai quelque idée d’avoir lu autrefois que ces ennemis du peuple de Dieu immolaient à leurs idoles des v
l’autre fort vigoureusement et tandis que nous tâchions à rejoindre l’ ennemi , nous entendîmes crier du côté de terre A moi. Fr
s autres et chauffé à bouche que veux-tu. Nous tâchions à rejoindre l’ ennemi et allions le plus vite qu’il nous était possible
llait remettre la partie à la pointe du jour, et cependant observer l’ ennemi . On ne tira donc plus et on se contenta de le gar
nd avantage pour nous non seulement de nous être défaits d’un si rude ennemi qui dans les Indes nous aurait pu faire bien du m
quatre cent quatre-vingts coups de canon et avons été attachés avec l’ ennemi seul à seul plus de trois heures et demie, à deux
que nous ne pourrions que très difficilement manœuvrer parce que les ennemis qui nous verraient dans l’embarras ne manqueraien
sans leur faire plus au long décliner leur nom. Peut-être ce sont des ennemis . Quoi qu’il en soit, il n’y a guière d’apparence
ne et l’autre nation est incapable ; outre que nous avons ici assez d’ ennemis sur les bras sans en aller encore chercher d’autr
. Il est seulement bâti pour mettre à couvert des entreprises que les ennemis pourraient faire du côté de terre. Mais ils n’ont
allons à Madras, à dix lieues d’ici. On dit que nous y trouverons des ennemis , et que comme c’est demain la Saint-Louis, nous t
ait été suivi il est constant que ces navires étaient perdus pour les ennemis . Mais la bravoure des Français et leur impatience
el, le coup ne pouvait pas porter juste. Ils n’ont point tiré sur les ennemis qu’après avoir été mouillés fort proche d’eux. No
éfendre aux canonniers de tirer que nous ne fussions tout proches des ennemis , et de ne tirer qu’à coup sûr. C’est une maxime c
rit tout à fait par le travers et nous mit justement entre lui et les ennemis  ; ainsi nous lui faisions plastron de notre corps
quoiqu’il fût par notre travers, il ne laissait pas de tirer sur les ennemis par nos entre-mâts et ainsi à coup perdu. Il nous
nt observé du tout. Nous avons resté ainsi entre le Florissant et les ennemis environ deux horloges ou une heure, et nous en av
avons bien encore resté deux autres à toujours nous canonner avec les ennemis , dont il y avait sept gros vaisseaux et un autre
nus ensuite, et l’Oiseau a été le dernier qui a quitté la partie. Les ennemis nous ont reconduits tant qu’ils ont pu, et sitôt
de Monsieur Du Quesne avait été suivi. Nous avons pourtant battu les ennemis , et la marque de cela, c’est la retraite qu’ils o
sommes les plus incommodés et qui avons essuyé le plus grand feu des ennemis parce qu’excepté le Lion et le Dragon, nous en ét
s près. Il a été tiré aujourd’hui tant de notre côté que de celui des ennemis plus de sept mille coups de canon, à ne mettre le
t la côte de Bengale que nous allons chercher. Il est certain que les ennemis furent hier battus. Ce qui nous le persuade c’est
ain que nous nous fussions battus en braves gens si c’eussent été des ennemis , et que nous étions prêts de leur répondre en mêm
deux navires eussent été des nôtres ; mais croyant que c’étaient des ennemis , et outre cela ne voulant pas qu’on puisse donner
on croit ici avec toute sorte d’apparence que c’est un espion que les ennemis ont envoyé pour découvrir notre route, et savoir
notre combat ; c’est un Portugais. Nous avons appris par lui que les ennemis ont perdu beaucoup de monde dont ils ne veulent p
nquille, aimé de ses sujets, craint et redouté du Mogol qui était son ennemi seul, et a changé le nom des terres de son obéiss
iers plaisirs de la royauté, il s’est mis en état de faire tête à son ennemi et se montre digne fils de Sauvagy. Il a levé env
de ce qui lui reste vers les confins de ce Royaume pour empêcher son ennemi d’entrer plus avant dans ses terres ; il a couver
tant pour être instruit de la contenance et des mouvements de l’armée ennemie que pour faire tête aux partis que le général du
bligé de se retirer après être venu plusieurs fois aux mains avec les ennemis sans perte considérable, la fortune étant tantôt
es dehors et a toujours tenu avec trente mille chevaux l’armée de son ennemi en suspens de ses desseins et l’a perpétuellement
riz, et enfin tout ce qui pouvait servir à la nourriture afin que son ennemi fût obligé de quitter le pays faute d’y pouvoir s
bsister. Il a défendu Gingy si vigoureusement, quoique l’armée de son ennemi soit formidable en comparaison de la sienne et qu
coûte plus de temps Que n’en coûte à son bras l’Empire des Persans ; Ennemis du repos qui perdit ces infâmes, L’or qui naît so
trangères et les R. P. jésuites. Les conquêtes que les uns font sur l’ ennemi du genre humain en convertissant des idolâtres, d
qui n’est que douceur et qui ordonne non seulement de pardonner à ses ennemis mais aussi de les aller chercher quand même on n’
Dieu nous le donne beau et bon. Nous n’avons pas besoin de trouver d’ ennemis , car nous ne sommes guère en état de nous battre
ulement par le travers du Cap que nous devons craindre de trouver des ennemis , c’est bien plus que tout cela à notre atterrage
ommes assez malheureux pour tomber entre les mains de quelque escadre ennemie , nous tâcherons de nous vendre tout ce que nous p
ires qui viennent de Guinée et qui vont aux Iles, ou bien une escadre ennemie qui croise, ou peut-être des nôtres. Quoi qu’il e
des coups, mais que la discorde qui était entre eux a donné moyen aux ennemis de s’en rendre les maîtres, parce que les sucrier
: les autres prétendent que ce soit une prise justement faite sur les ennemis , et ces mêmes maîtres sont obligés d’acheter des
ement. Ainsi on peut dire que leur malheur enrichit non seulement les ennemis de l’Etat, mais aussi des gens qui loin d’en prof
se faire plutôt hacher en pièces que de tomber vifs entre les mains d’ ennemis si cruels. Il semble même que leur crainte ait un
eur crainte ait un fondement légitime parce qu’ils ont trois sortes d’ ennemis domestiques, qui sont les noirs des sucriers qui
sont trop sales par-dessous pour aller à la voile aussi bien que les ennemis , et qu’ils sont trop chargés pour se servir libre
Ils ont une joie inexprimable de ce que nous avons guerre avec leurs ennemis . Ces gens n’ont pour armes que la zaguaye ou flèc
mes sous le vent des îles, et comme il n’y a plus rien à craindre des ennemis , nous nous sommes séparés des autres vaisseaux, c
tre armée navale, composée de cent quarante voiles, donne à celle des ennemis qui n’osent sortir de leurs havres. Du dimanch
3 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
tterait à terre. Voilà des gens bien capables de faire résistance aux ennemis  ! Ils sont tels pourtant ; & je n’impose pas
l’avait suivi, il est certain que ces navires étaient perdus pour les ennemis  : mais la bravoure des Français, jointe à leur im
moins que bons canonniers. Ces deux navires n’ont point tiré sur les ennemis qu’ils n’en aient été fort proche, & mouillés
mandeur a été de défendre à nos canonniers de faire aucun feu sur les ennemis que nous n’en fussions tout proche, & à demi-
avons filé de notre grélin afin qu’il ne servît point de plastron aux ennemis & qu’il n’empêchât pas notre feu ; &, dan
fait par notre travers & nous a mis justement entre lui & les ennemis  ; ainsi, nous le couvrions : & malgré cela, t
nnemis ; ainsi, nous le couvrions : & malgré cela, tirant sur les ennemis à coup perdu, & par nos entre-mâts, il nous a
t du tout observé. Nous avons été ainsi entre le Florissant & les ennemis environ une heure, & en sommes encore bien re
ur lui de tous les côtés. Mais, cela ne l’a point empêché d’aborder l’ ennemi  ; & le brûlot aurait assurément brûlé le holl
sont venus ensuite, & l’Oiseau a quitté la partie le dernier. Les ennemis nous ont reconduits tant qu’ils ont pu ; &, s
ntion de M. du Quesne avait été suivie. Nous avons pourtant battu les ennemis  : preuve de cela, c’est la retraite qu’ils ont fa
se qui tirât sur nous, parce que nous étions encore trop éloignés des ennemis pour que les canons des vaisseaux pussent porter
p; tous conviennent que l’Écueil a été en proie au plus grand feu des ennemis  : parce qu’excepté le Lion & le Dragon, nous
ul le plus proche pendant plus de trois quarts d’heure, & que les ennemis ne faisaient pas feu sur eux, mais oui bien sur u
tenir. Il a été tiré aujourd’hui, tant de notre côté que de celui des ennemis , plus de sept mille coups de canon, à ne mettre t
nuit il pouvait avoir bordé la rive de canon. Il est certain que les ennemis furent hier bien battus : ce qui nous le prouve,
certain que nous nous serions battus en braves gens si ç’eût été des ennemis , & que l’Ecueil était prêt à leur répondre en
ait su que ces deux navires eussent été des nôtres ; mais les croyant ennemis , & outre cela ne voulant pas qu’on puisse don
omme lui ma condescendance hors-d’œuvre m’en aurait fait plus tard un ennemi  ; au lieu qu’en ne lui cédant rien j’en avais fai
lume ceux qui vous chagrinent : ils la craindront plus que l’épée des ennemis . Il est bien fâcheux pour un homme de bon sens d’
ui n’en est parti que douze jours après. Nous avons su de lui que les ennemis ont perdu bien du monde, dont ils ne veulent pas
que moi, ont été fort heureux de savoir nager pour gagner terre. Les ennemis domestiques qui sont répandus sur l’escadre, qui
six pieds de haut. Il me parut qu’ils voulaient tous deux prendre son ennemi par l’extrémité de la tête, entre le corps, ou pa
ils : Il semble que ces princes n’ont travaillé qu’à lui préparer des ennemis . La Maison de Bragance & les Etats Généraux l
nt fait des souverains & n’en ont fait que des ingrats, & des ennemis d’autant plus nécessaires qu’ils connaissent parf
t, aimant la joie ; mais, vraiment chrétien, droit, de probité, & ennemi mortel des fourbes : en un mot, un génie gaulois
modération d’avoir mieux aimé accorder & prescrire la paix à ses ennemis que d’achever de les assujettir (la paix de Nimèg
e à ce sujet. Signe évident qu’il ne se fait ici aucune prise sur les ennemis , puisqu’ils sont tous également ignorants sur la
t-ce qu’une plus grande explication aurait opéré, sinon m’en faire un ennemi  ? Je n’en ai pas plus d’estime pour lui ; & c
p;, enfin, a fait gâter & ruiner tout ce qui pouvait servir à son ennemi , & a fait couvrir la campagne d’un très grand
de Visapour. Remraja, quoique le plus faible, a passé à la vue de son ennemi , & les deux armées en sont enfin venues aux m
défendue & la défend encore avec vigueur, quoique l’armée de son ennemi soit formidable, en comparaison de la sienne qui
i coûte plus de temps Que n’en coûte à son bras l’empire des Persans. Ennemis du repos qui perdit ces infâmes, L’or qui naît so
les hommes, les femmes, les enfants & les bestiaux, sans que les ennemis osassent leur tenir tête, ni défendre leur proie,
sait ses troupes, s’en faisait aimer, & n’était à charge qu’à son ennemi à à ses sujets, aux dépens desquels il subsistait
onnaissance de la vie de Georges Castriol, dit Scanderberg, ce fameux ennemi des Turcs, et dernier bouclier de la chrétienté,
s étrangères & les jésuites. Les conquêtes que les uns font sur l’ ennemi du genre humain, en convertissant des idolâtres,
’est que douceur, & qui ordonne, non seulement de pardonner à scs ennemis , mais encore d’aller les rechercher, quand même o
it une imposture qui n’existait que dans l’imagination des quelque[s] ennemi [s] de la Société, & n’ai pas voulu y ajouter
espirons plus que la France. Nous n’avons aucun besoin de trouver les ennemis , n’étant point en état de nous battre, chargés de
ants de la mer, seuls capables d’abîmer & de faire noyer ceux des ennemis qui seraient assez téméraires pour s’exposer à ga
le fort, pour les mirer & les choisir à leur descente. Que si les ennemis se contentaient de faire feu de leurs vaisseaux a
représenté que ce n’était que du côté de terre qu’il appréhendait les ennemis , auquel cas il était certain que, quelque vigoure
auraient pas le temps de la retirer dans le tort ; & qu’ainsi les ennemis trouveraient une batterie toute dressée, dont ils
, qui a voulu jouer de son reste sans rien risquer, en surprenant ses ennemis  ; ce qui est si vrai, que les six navires, qui so
es tristes victimes de sa confiance en elle & de la vengeance des ennemis . C’est ainsi que je prévois que les choses tourne
pouvant s’y retirer en tout temps, les prises qu’ils feraient sur les ennemis les enrichiraient, par la part qu’ils y auraient,
r commerce, & en même temps leur criminelle intelligence avec les ennemis de la France ? J’avoue pourtant que ces deux jésu
que très assurément on peut les compter au nombre de nos plus mortels ennemis , ou du moins de nos plus dangereux espions & 
ntité prodigieuse d’argent dont les Anglais & les Hollandais, nos ennemis , profitent. J’en écris dans ce sens, à lui & 
pont est une véritable basse-cour. Dieu nous préserve de trouver des ennemis , n’étant point en état d’attaquer, & assez ma
ulement par le travers du Cap que nous devons craindre de trouver des ennemis  ; c’est, bien plus que tout cela, à notre abordag
la vérité. M.de Porrières ajouta que, pour ce qui était des vaisseaux ennemis venant d’Europe, il ne voyait aucune apparence d’
us les vaisseaux qui sont à la mer. Dieu nous préserve de trouver des ennemis plus forts que nous : la résolution de se faire s
i à qui j’écris, les paroles que voici : « Je me suis fait beaucoup d’ ennemis cachés & découverts, en exprimant que mon des
les dix deniers, & ce sont ceux-ci… « Je me suis fait beaucoup d’ ennemis , & cachés & découverts » Il cherche ensui
i vice-roi. Il y est aimé & estimé des Français, & craint des ennemis  ; c’est tout ce que peut souhaiter un homme dans
ient. Ainsi, on peut dire que leur malheur enrichit non seulement les ennemis de l’État, mais aussi des gens, qui, loin d’en pr
se faire hacher en pièces plutôt que de tomber vifs entre les mains d’ ennemis si cruels. C’est ici le lieu de rapporter quelque
la Martinique ont une crainte fondée, parce qu’ils ont trois sortes d’ ennemis domestiques, les trente-six mois & les nègres
s & trop maltraités pour aller à la voile aussi bien que ceux des ennemis  ; qu’ils sont trop chargés pour se servir de leur
résolus, & soldats. Tant qu’on a espéré que nous irions voir les ennemis , tout le monde nous caressait. Mais sitôt qu’on a
Ils ont une joie inexprimable de ce que nous avons guerre avec leurs ennemis  ; & quatorze canots, chacun de douze guerrier
ue. Comme il n’y a plus rien à craindre des corsaires & armateurs ennemis qui croisent par le travers de ces îles, chaque v
tre armée navale, composée de cent quarante voiles, donne à celle des ennemis , qui n’osent s’en approcher. Du dimanche 12 ao
me fois, trente armateurs français feront mille fois plus de tort aux ennemis que toutes les armées navales. Du vendredi 17
4 (1721) Mémoires
en état de soutenir la guerre tant par mer que par terre contre tels ennemis qui se seraient présentés. Ses généraux étaient e
e pour le Roi qu’aucun de ceux que la France eût jamais fait avec ses ennemis . 28. Depuis ce traité qu’on peut à bon titre nomm
mmer la période de la grandeur de la France, Louis XIV, craint de ses ennemis et adoré de ses peuples, et plus que tout cela go
hé[el à l’Espagne pour diminuer sa puissance, ont été ses plus grands ennemis et ceux qui ont le plus contribué à son humiliati
Si elle ne l’avait pas été, aurait-elle soutenu les efforts de tant d’ ennemis conjurés contre elle ? Aurait-elle entassé conquê
regardait son secret comme une pure vision, d’autant plus qu’il était ennemi mortel des médecins. Mais il fut étonné de ce que
ils étaient lorsqu’ils s’étaient mis en état de se défendre de leurs ennemis  ; qu’ils étaient absolument abandonnés de l’ancie
es propres dépens uniquement sous prétexte de les défendre contre les ennemis qui pourraient les attaquer par mer ; et laisser
raison en était sensible, en ce que les Iroquois, qui sont les seuls ennemis que le Canada ait à craindre par terre, ne font p
t font des deux cents lieues à travers les bois pour surprendre leurs ennemis , les tuer, leur enlever la chevelure et s’enfuir.
hardis et bons soldats, se joindraient pour la défense commune si les ennemis entreprenaient de faire une descente, et que ce p
la côté sur mer pour en rendre l’abord inaccessible à toutes sortes d’ ennemis de quelque côté qu’ils fussent venus, soit par te
r livrerait, les Anglais, les Hollandais et les autres religionnaires ennemis des vœux monastiques soutiendraient toujours que
la faisaient plus bravement, parce qu’ils ne pouvaient pas tuer leur ennemi par le vide de l’air4 et sans en être aperçus… Si
il voulait que tout le monde fléchît, ce qui lui a fait de puissants ennemis et lui a attiré des reparties bien vives et bien
eur] Hubert le père était créature de M. Fouquet, et par conséquent l’ ennemi de M. Colbert. On va voir de quelle manière il tâ
é placé, En forme de serpent finement s’est glissé Le démon cauteleux ennemi de Justice. Adam sentit l’effet de sa noire malic
il sacrifiait tout sans distinction, lui avait attiré une infinité d’ ennemis , dont le dauphin et M[onsieu] r le duc d’Orléans,
er à Versailles donner un placet au Roi ; qu’il était un prince juste ennemi de l’oppression, et qu’il se faisait fort de la f
de M. de Pontchartrain qui, comme j’ai dit, s’était fait de puissants ennemis . On savait que le Roi le destinait à remplir la p
sous-fermes et les partis, et par conséquent persécuteur du peuple et ennemi de la noblesse. Mais que par la suite des temps c
tant d’instance, qu’on n’osait les refuser crainte de s’en faire des ennemis . Deschiens remontrait qu’il était absolument néce
la valeur, les officiers dégoûtés du service devenir les plus cruels ennemis de leur patrie, la France brouillée avec le pape 
t de la conduite, je sais bien qu’il se conduit juste pour échapper l’ ennemi [sic], et que ceux qui sont sur son vaisseau n’on
e soixante vaisseaux de ligne, il serait en état d’aller chercher les ennemis et même de les battre partout où il les trouverai
mettait à la bouche, semblait l’accuser de lâcheté. Il prévit que les ennemis l’accuseraient eux-mêmes de témérité. Mais enfin
atin, et le jeudi à la pointe du jour nous découvrîmes les armées des ennemis , que M. de Tour-ville alla attaquer jusque dans l
hardiesse ou plutôt une témérité qui ne se peut exprimer, et dont les ennemis étaient surpris. Le combat commença à dix heures
possible de se tenir en ligne ; et, pour le malheur de la France, les ennemis emportés comme nous par les courants étaient mêlé
ince. A la troisième charge nous nous trouvâmes entre trois vaisseaux ennemis dont le moindre était plus fort que le nôtre, qui
rmée qui se soit battu, nous aurions pu nous vanter d’avoir battu les ennemis si la division du général avait pu tenir sur ses
bles si bien qu’il fallut se laisser driver [sic] au courant ; et les ennemis ne quittant point M. de Tourville l’obligèrent de
ement ils n’étaient point en état de soutenir le feu de toute l’armée ennemie qui les environnait ; et ce fut là où se fit la p
re sur l’Admirable commandé par M. de B[e] aujeu ; et tout le feu des ennemis ne l’empêcha point de revenir trois fois à son bo
sauva même plusieurs d’autres vaisseaux qu’il ramassait à la mer. Les ennemis eux-mêmes admirèrent cette charité et la respectè
c virtus et victa placet. 237. On m’a assuré que le lendemain que les ennemis eurent brûlé quatorze de nos vaisseaux qui sans d
épendamment de l’intérêt de leurs souverains, rendent justice à leurs ennemis , les estiment et les aiment. 238. Ce combat de me
trente vaisseaux hollandais qui composaient l’avant-garde de l’armée ennemie . Tout le monde croit que les Hollandais voulurent
son âme, et lui remontra la nécessité où il était de pardonner à ses ennemis , du moins à ceux que mal à propos il croyait tels
courant de ce fleuve ; et que ce ne sont pas pour à présent les seuls ennemis qu’il ait à combattre ou à craindre, et que ce so
déjà certain. Défrichez-la, elle est à vous. Défendez-vous contre vos ennemis , vous vivrez après en repos. Faites ce qu’ont fai
. Ce sont eux qu’on doit au contraire regarder comme les plus mortels ennemis de la colonie ; et sans s’embarrasser ni d’excomm
t vaut sa terre. Si Bergier ne nous avait pas attiré les Anglais pour ennemis , Chedabouctou aurait pu se soutenir. Si M. de Vil
abrées. Mais les pertes que le France avait faites et les progrès des ennemis , qui n’avaient été arrêtés que peu auparavant par
il fît voir une riche opulence Pour être toujours craint de ses fiers ennemis . Dont la haine s’était promis De ravager toute la
jours leur train, c’est-à-dire que les victoires et les conquêtes des ennemis , les pertes de la France, la pauvreté du peuple,
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
pportait tendait faiblement les bras à Silvie : Je ne suis plus votre ennemi , Madame, lui dit-il d’une voix mourante, et en mê
té, et voyant que son cheval ne pouvait pas tenir tête à celui de son ennemi qui était un fort andalour, il avait commencé ava
. Le Français mit aussitôt pied à terre dans le dessein d’égorger son ennemi  ; mais l’Espagnol se releva, et ils continuèrent
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
plus belle et plus vive qu’auparavant, et fit voir à notre héros son ennemi terrassé et rendant le sang de tous côtés, ou plu
ir tué le neveu de Freston, et avoir déjà commencé à se venger de son ennemi . Il allait à ce prétendu corps pour lui lever le
ui il tient que je ne délivre cette pauvre princesse ? Montre-moi son ennemi et le mien, et tu verras beau jeu. — Il ne tient
haut. Merlin convaincu de ta valeur et de ta probité, n’est point ton ennemi  ; mais il a fallu accomplir les décrets du destin
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
valeur, à son bras et à son épée ? qu’il faut pour cela avoir vu son ennemi seul à seul, s’être battu contre lui corps à corp
rps, et avoir partagé le péril avec lui ? c’est par là que plus notre ennemi est couvert de gloire, pour en avoir vaincu plusi
s, et ceux qui se servent de ces maudits bâtons à feu dont on tue son ennemi de loin, et souvent sans être vu, sont indignes d
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
fournirent tous deux leur carrière, parce qu’aucun n’avait arrêté son ennemi . Ils revinrent tous deux l’un sur l’autre en port
is trois ans, qui t’a juré une guerre éternelle, à cause qu’étant son ennemi , il voit que je te protège ; mais j’empêcherai qu
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
habileté d’un général d’armée dans la surprise qu’il peut faire à son ennemi  ; elle consistait à bien ranger ses troupes dans
à ne pas souffrir qu’ils fissent la guerre aux amis aussi bien qu’aux ennemis . On prenait une journée, chacun y amenait ses for
10 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
la vertu est toujours persécutée, mais qu’enfin elle triomphe de ses ennemis , en supposant néanmoins, comme eux, que la résist
cond mariage avec Dupuis remit dans son naturel ; qu’il n’était point ennemi de la joie. Il ne me reste qu’un mot à dire, au s
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
e plus aimable : c’est une âme toute belle, un esprit ferme, sincère, ennemi de la contrainte et de la flatterie : elle est gé
plus qu’il me fut possible, mais je fus accablé par le nombre de mes ennemis . Je fus maltraité, et fus moins sensible à tout c
cela les voix n’étaient point en ma faveur : et vraisemblablement mes ennemis l’auraient emporté sur moi, si elle-même n’avait
ma sortie de France ; j’en ai pris un autre en rentrant, afin que mes ennemis ne puissent point me chagriner faute d’avoir acco
12 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
tes les occasions où il s’est trouvé. Il est normand : par conséquent ennemi mortel des Anglais ; et malheur à ceux de cette n
de Bonne-Espérance : il était sur la Maligne, qu’il commandait ; les ennemis le prirent en même temps que le Coche. J’en rappo
dont nous avons deux sur notre bord, qui sont MM. Charmot et Guisain, ennemis mortels de Confucius et des cérémonies chinoises.
à écrire quelques vérités dont quelques-unes pourraient m’attirer des ennemis que je ne cherche point, et même scandaliser des
it sa protectrice ; mais qu’il savait bien aussi que cette dame était ennemie du désordre et des violences. Qu’il était bien he
nte lorsqu’il dit Vae soli. En effet, l’homme n’a point de plus grand ennemi que lui-même lorsqu’il se livre aux divagations d
moi de moi-même. Je le répète : l’homme est à lui-même son plus cruel ennemi dans une solitude. L’exemple des chartreux me le
r que lui-même. Qu’il avait été plusieurs fois pris et blessé par les ennemis de l’État, son bon cœur et sa sagesse l’ayant tou
tes, chez lesquels ces sacrifices étaient fréquents, surtout de leurs ennemis et de leurs propres enfants. Ces Amalécites pouva
envoyait, et aussi pour être à portée de sortir, si quelque vaisseau ennemi avait paru. L’endroit pour faire de l’eau est ext
sement l’un sur l’autre ; et, tandis que nous tâchions de rejoindre l’ ennemi , nous entendîmes crier du côté de terre, à moi, F
tait si grande que nous ne pouvions distinguer le Florissant d’avec l’ ennemi , qui avait eu la prudente malice de mettre comme
és, les courants les séparèrent comme ils nous avaient séparés ; et l’ ennemi tomba sous le feu du Lion, qui se battit fort bie
le canon ne fut plus promptement servi. Nous tâchions de rejoindre l’ ennemi , et allions le plus vite qu’il nous était possibl
llait remettre la partie à la pointe du jour, et cependant observer l’ ennemi . On ne tira donc plus ; et on se contenta de le g
grand profit pour nous de nous être défait d’un si féroce et si rude ennemi , qui dans les Indes aurait pu nous faire bien du
un moment dans sa chambre, et cela pendant le temps du relâche que l’ ennemi a eu. Monsieur, lui a-t-il dit, le matelot qui s’
égèrement blessé au bras. Ces vaisseaux n’ont pourtant pas approché l’ ennemi si proche que nous ; puisque les vergues de notre
C’est beaucoup de consommation : mais, nous avons été attachés avec l’ ennemi plus de trois heures et demie à deux reprises ; e
obligé de développer des mystères d’iniquité qui lui attireraient des ennemis si puissants qu’il s’en trouverai accablé : et si
utre que nous ne pourrions que difficilement manœuvrer, parce que les ennemis , nous voyant dans l’embarras, ne manqueraient pas
vue des Portugais, se dire Danois. Outre cela, nous avons ici assez d’ ennemis sans en faire d’autres de gaîté de cœur ; étant u
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
vous seul plus de cent Amadis, que vous avez mis en fuite l’armée des ennemis , et que vous avez sauvé Madame la comtesse. —  Ce
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
en fut empêché par Don Quichotte, qui lui dit, que ce n’était pas un ennemi , et que par conséquent, ce qu’il avait n’était pa
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
i mon valet prier à dîner avec moi deux hommes que je savais être ses ennemis mortels, il me quitta, et pour adieu, Monsieur l’
ue de l’humeur dont j’étais, je m’y ferais tous les jours de nouveaux ennemis , et m’y perdrais de réputation sans m’y enrichir 
ui lui donna des coups de canne en plein hôtel, et par là s’en fit un ennemi irréconciliable. Valeran n’osa s’en ressentir pen
mais souvenez-vous que je ne connais que vous dans le monde pour mon ennemi , et que je vous rendrai garant de tout le mal qui
barras, et à la même heure que je parlais de lui à Silvie, il tua son ennemi d’un seul coup d’épée qu’il lui donna au travers
disais-je, de poignarder une femme ? Quelle gloire de se défaire d’un ennemi endormi, hors d’état de faire partager le péril d
algré son inclination. Il me fit voir la nécessité de pardonner à ses ennemis . Il me fit voir que le commandement de Dieu sur l
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
ait rien, de son sang froid se trouva sur ses pieds. Cependant tant d’ ennemis en seraient bientôt venus à bout, si Deshayes et
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
e serais au désespoir qu’un autre allât plus avant que moi contre les ennemis , et si vous voulez vous en reposer sur moi seul,
18 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
qu’outre le temps que vous perdrez auprès de moi, vous vous ferez des ennemis , des gens de qui vous dépendez. Pour moi, parce q
s mauvais que j’aille au-devant de tout ce qui pourrait m’en faire un ennemi  ; ainsi, quoique vos visites me fassent beaucoup
ant de paroles perdues. Bien loin de la persuader, je m’en ferais une ennemie  : une fille amoureuse ne consulte que son cœur et
Que tout le monde la prendrait en horreur, et qu’elle aurait autant d’ ennemis , qu’il y aurait de gens d’honneur qui apprendraie
19 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
u pauvre religieux. Elle me touche, dit Des Frans, je n’étais pas son ennemi jusques au point de lui souhaiter un pareil malhe
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
Dulcinée du Toboso ? Ne l’ai-je retrouvée que pour la perdre ! Astres ennemis , s’écria-t-il, fallait-il me montrer cette mervei
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
e à n’en plus faire dorénavant. Ton écuyer te dira le nom d’un nouvel ennemi qui s’est déclaré contre toi, et que tu auras à c
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
vé dans moi un père trop bon et trop facile, vous n’y trouverez qu’un ennemi irréconciliable et un juge sévère, si vous donnez
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
e lui-même, qui ne savait pas qu’il travaillait pour sa plus mortelle ennemie , que cette malheureuse sortit de prison environ s
24 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
es, je me conformerai à la nécessité où je suis de ne me plus faire d’ ennemis . Je tâcherai de regagner la confiance de mon père
25 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
demoiselle l’est, mais même de ne point tromper le plus mortel de ses ennemis . L’honnêteté d’un homme, poursuivis-je, gît dans
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