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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
et agréable. Ses manières étaient toutes charmantes, et semblaient ne demander que de la tendresse, et ne respirer que l’amour.
retrouvai à leur sortie comme si le hasard m’y avait conduit. Je leur demandai si elles avaient satisfaction. Oui, Monsieur, rép
me dit-elle, j’ai besoin d’appui. Je m’offris à son service. Elle me demanda si je ne connaissais pas un homme qu’elle me nomm
qui n’était que de la veille, avait empêché son paiement. Qu’elle ne demandait pas qu’il fît tort à ses droits en lui donnant ma
. Je la menai chez mon ami, qui à ma prière lui donna tout ce qu’elle demandait , elle m’en remercia, reçut son argent, et [je] la
à mon ordinaire. Sa fille parut fort mélancolique et rêveuse. On lui demanda si elle se trouvait mal. Elle dit que non, et ajo
arder la montre qu’elle avait voulu me rendre. C’était tout ce que je demandais . Je lui donnai une autre lettre, où je déclarais
it voir l’heure. Je la priais de m’avertir de celle du berger. Je lui demandais un rendez-vous, et je ne l’obtins pas. Les Rois é
. Vous me pardonnerez Monsieur, lui dit-elle, j’avais dessein de vous demander en quoi… Et moi aussi, interrompit-il, j’avais en
aler, mais je crus qu’il était plus à propos de ne rien témoigner. Je demandai au portier qui était cet homme, il ne le connaiss
de vingt écus par mois pendant fort longtemps ; et si dans ce que je demande , vous n’offenserez ni Dieu ni les hommes ; il n’e
en serait informé. De quelle manière voulez-vous donc vous y prendre, demanda-t -elle ? Il nous faudrait, répondis-je, un prêtre q
, répondis-je, un prêtre qui voulût nous marier en secret ; on ne lui demande pas même de certificat : mais, dit cette femme, c
e mariage serait cassé. Que vous êtes pressante, lui dis-je ; nous ne demandons pas que notre mariage puisse paraître aux yeux de
e voulons pas même de certificat. La demoiselle dont je vous parle ne demande autre chose que de mettre sa conscience en repos
. Je fis savoir à Mademoiselle de l’Épine ce que j’avais fait, et lui demandai un rendez-vous pour lui dire la réponse que cette
nquerai aucun, sitôt que vous paraîtrez le désirer. Espérez-vous, lui demandai -je, que votre mère vous laissera tout à fait sur
i qui nous donnera la bénédiction, soit effectivement prêtre. Je n’en demande pas plus pour moi ; mais pour ma mère, c’est autr
e quelque chose dans l’esprit qui vous chagrine, ma chère enfant, lui demandai -je ? Au nom de Dieu prenez part à ma joie : je ne
u féminin. Nous nous jurâmes un secret inviolable ; après quoi je lui demandai quand il voudrait nous donner la bénédiction. Il
ien que je perdrais mon temps, je ne la pressai pas davantage. Je lui demandai comment elle ferait pour se trouver aux rendez-vo
ne terrible colère contre moi, et qu’il avait déjà deux ou trois fois demandé si je n’étais pas revenu, et n’avait pas voulu so
la peste. Tout aussitôt que j’avais été sorti de ce couvent, il avait demandé au portier si j’y allais quelquefois. Celui-ci lu
ailler les paveurs et les plombiers, il vint une manière d’ermite lui demander l’aumône. Pour toute réponse il lui montra les ou
e peine je la vins embrasser, et notre paix fut bientôt faite. Je lui demandai si elle voulait que nous allassions nous promener
vêtue de noir, qui passait par le même endroit : je la sacrifiai. Je demandai à ces laquais si ils avaient vu passer une femme
peine. Mon père le sut dès le soir même. Il avait eu la curiosité de demander à ces laquais si ils avaient vu la demoiselle : i
nformer des nouvelles de la société. J’avais même eu la précaution de demander à mon père si je le choquerais en rendant à cette
est une chose dont je ne me repens point ; vous en repentez-vous, lui demandai -je ? Non, dit-elle, je ne m’en repens pas ; je le
ux pas vous exposer à rien de fâcheux. Pour les démarches que vous me demandez , assurez-vous que pourvu que je les puisse faire
i. BILLET. Une affaire qui vient de m’arriver, ma chère mère, et qui demande votre présence, me fait mettre la main à la plume
e fille n’a fait que me prêter son billet. Où est-elle, Monsieur , me demanda-t -elle ? Elle est à la messe, lui répondis-je, elle
clef, sans qu’elle s’en aperçût. Elle trouva les meubles fort beaux, demanda à qui était la chambre. Je brisai bien vite sur s
pouvait être, mais elle ne pouvait pas apercevoir le cabinet. Elle me demanda encore où sa fille était pour l’étrangler ; c’éta
dis sans façon qu’il était vrai que j’avais épousé sa fille sans lui demander son consentement, parce que je ne m’en étais pas
ue je ne pourrais pas me dispenser de donner le consentement qu’on me demanderait pour faire casser notre mariage ; mais, poursuivi
usque me tirerait mieux d’affaire que toutes les soumissions. Elle me demanda où était sa fille mais d’une manière à me faire c
longtemps, pouvait bien l’être encore. Elle en convint en partie, et demanda encore à voir sa fille. Je lui dis que cela ne pr
s engagé avec qui que ce fût : il en dit tant qu’elle se rendit. Elle demanda encore à voir sa fille, je crus pour lors qu’il n
fuser à une femme dans l’état où était la mienne, la grâce qu’elle me demandait à mains jointes ; ainsi quoique malgré moi, j’y c
. Il ne me dit pas un mot qui pût me donner le moindre soupçon. Il me demanda si j’avais affaire le lendemain matin, et me dit
a un autre des miens, qui était plus magnifique, et tout neuf. Je lui demandai à quel dessein me mettre plus propre pour me cond
l’aventure ; enfin elle ouvrit la bouche. Son premier soin fut de me demander  ; on lui dit que je n’y étais pas. Elle demanda u
emier soin fut de me demander ; on lui dit que je n’y étais pas. Elle demanda une plume et du papier. On voulut l’empêcher d’éc
i dit, elle ne put achever : la connaissance lui revint un peu ; elle demanda l’absolution qui lui fut donnée. Elle mit au mond
arrivé, j’ai été à l’Hôtel-Dieu, où j’ai pleuré ma pauvre femme. J’ai demandé l’endroit où reposait son corps : elle et son enf
malgré les soumissions qu’elle m’a faites, et les pardons qu’elle m’a demandés , et les regrets qu’elle témoigne de la mort de sa
té, et qui m’a si cruellement refusé la triste consolation que je lui demandais , d’écrire un mot à ma pauvre femme, et de le fair
ez-vous, vous aurez bientôt satisfaction, les parties sont d’accord ; demandez à Monsieur Des Ronais, que voilà, ce qu’il en pen
ble chez le premier. Sitôt que Des Ronais fut seul avec Des Frans, il demanda à son ami, sur quoi roulait la conversation qu’il
moiselle Dupuis avant le souper. Cela vous met-il martel en tête, lui demanda Des Frans en riant ? Nullement, répondit-il, en r
ont dit tous les biens du monde de cette dame. Et vous ont-elles dit, demanda Des Ronais, qu’elle vous a toujours parfaitement
s mes assiduités auprès d’elle.Hé pourquoi donc le lui avez-vous dit, demanda Des Ronais ? Elle l’a cru de bonne foi ; et s’est
y qu’ils trouvèrent encore couché. Des Frans lui dit qu’il venait lui demander à déjeuner avec deux de ses amis. Très volontiers
s civilités qui se peuvent faire entre d’honnêtes gens, Des Frans lui demanda des nouvelles de son épouse. Il répondit qu’elle
e qui vous ait déplu ? Tu es une sotte, dit-il en riant, ce que tu me demandes là, me déplaît, laisse-moi poursuivre. Je ne croi
e union-là qui me fatigue quelquefois. Aimeriez-vous le désordre, lui demanda Madame de Londé ? Voici l’autre, reprit Contamine
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
ment une des bonnes amies de la défunte qui connaissait Angélique, la demanda à Monsieur Dupuis pour être auprès de sa fille qu
es gens, qui n’ayant pas eu l’honnêteté de l’accorder dès la première demande qu’on leur en a faite, ne l’accorderont assurémen
ntérêt caché qui oblige de vous refuser, afin de vous obliger à venir demander  ? Je dirais, répondit-elle, que le motif serait t
asse vous voir ? Non très assurément, répondit-elle. Et pourquoi, lui demanda-t -il ? Parce que, répliqua-t-elle, des visites d’un
e tours. Apportez, Monsieur, le papier que Mademoiselle de Vougy vous demande , donnez-le lui à l’hôtel, elle vous tiendra compt
compte de votre civilité, et ne refusera pas vos visites, si vous lui demandez la permission de lui en rendre. Il est vrai, repr
me à m’ôter les moyens de vous voir ; et quand vous aurez ce que vous demandez , vous vous moquerez de moi. Non, reprit-elle ; ma
promettez pas tant, et me tenez ce que vous me promettez. Eh ! que me demanderez -vous, dit-elle en riant ? Je vous demande, répond
e promettez. Eh ! que me demanderez-vous, dit-elle en riant ? Je vous demande , répondit-il, d’un grand sérieux, que vous croyie
s aime. Je le croirai, dit-elle. Quelle certitude m’en donnerez-vous, demanda-t -il ? Celle qu’il vous plaira, répondit-elle, pour
le lendemain ; mais comme ce n’était pas Mademoiselle de Vougy qu’il demandait , il prit le temps qu’elle était sortie avec Madam
uivit-il en lui montrant un papier, nous accordons plus qu’on ne nous demande  : quels remerciements m’en ferez-vous ? Je ne vou
rtie ; et un moment avant son retour, vous verrez venir un laquais me demander , afin que sous le même prétexte, je puisse encore
érieux que j’aie jamais eu et je vais vous répondre ainsi que vous le demandez . Je crois que vous m’aimez puisque vous me le dit
, le sujet qui vous a amené. Si c’est pour lui donner ce qu’elle vous demande , ou si c’est pour autre chose. Elle sait seulemen
faire, et lui faisant voir que son parent obtenait plus qu’il n’avait demandé . Cette demoiselle le remercia fort honnêtement en
point que je vous aime, je me flatte que vous n’en doutez pas. Je ne demande point que vous vous confiiez à mes paroles, n’en
ces, je m’offre à faire le reste, consultez-en votre mère. Je ne vous demande aucune faveur qui puisse faire tort à votre vertu
demande aucune faveur qui puisse faire tort à votre vertu. Je ne vous demande pour toute reconnaissance des présents que je vou
vous que je vous en aie une, en m’accordant une grâce que j’ai à vous demander , et qui regarde encore votre mère. Vous n’êtes po
; et quoiqu’elle parût ne consentir qu’avec répugnance à ce qu’il lui demandait , elle y consentit pourtant avec plaisir. Il lui e
si grande continuation d’honnêtetés la rendit plus familière. Il lui demanda la permission de venir la voir tous les jours, el
oie que si elle avait été la sienne. Angélique lui en sut bon gré. Il demanda à cette femme si elle pouvait manger. La garde ré
mettre ; mais elle savait bien qu’il n’y consentirait pas, et elle ne demandait le plus, que pour obtenir le moins. En effet il f
oulez me dire, répondit Angélique en riant, très volontiers : je vous demande le secret, et ce que je viens de vous faire voir
int la voir le soir même ; mais elle ne lui donna pas le temps de lui demander pourquoi il ne l’avait point trouvée à la Foire.
erciée : tout ce qui lui venait de cette fille lui était cher. Il lui demanda si elle se trouvait mal, qu’il voyait beaucoup d’
te et votre amie ; au nom de Dieu sachez ce qu’on pense de moi. Je ne demande pas que vous me justifiiez, si vous ne le pouvez
refuser à ses empressements et à sa douleur, l’entremise qu’elle m’a demandée , et pour se justifier dans l’esprit de la princes
our se justifier dans l’esprit de la princesse et le vôtre, elle vous demande en grâce la permission de venir se jeter à vos pi
commère, quand il vous plaira de l’entendre ; cependant puis-je vous demander ce que la princesse en dit ? La princesse, reprit
Sauvez-lui sa réputation, elle mérite d’être conservée, et ce qu’elle demande de la princesse et de vous, doit par avance vous
dois tout ? Et pouvais-je lui refuser la simple complaisance qu’il me demandait de me mettre en état de paraître plus digne de lu
à vous rendre tous les services dont vous me jugerez capable. Je vous demande votre amitié à tous deux, vous pouvez compter sur
Elle écrivit à Mademoiselle Dupuis le billet que Contamine lui avait demandé . Il le porta lui-même, et votre commère qui lui d
un air si passionné, qu’il acheva de gagner cette princesse. Elle lui demanda pourquoi il n’épousait point Angélique, puisqu’il
. Je n’espère pas l’épouser du consentement de ma mère, que je ne lui demanderai jamais, et je l’aime trop pour former quelques vœ
isagea que c’était une violence qu’il faisait à sa mère, de lui faire demander son consentement par une personne à qui il savait
si changé par ces cruelles réflexions, qu’elle s’en aperçut. Elle lui demanda s’il était incommodé ; et elle prit tant de part
e fut éveillée par sa femme de chambre, qui lui dit qu’un gentilhomme demandait à lui parler de la part de Madame la princesse de
, en la présentant à Madame de Contamine, la demoiselle que vous avez demandée . Voyez si Monsieur votre fils pouvait faire un pl
ue, lui dit-elle en riant, allons à genoux devant votre maîtresse, et demandez -lui pardon de toutes vos folies. Ah ! Madame repr
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
c’était mon inclination. On fut très surpris de mon retour ; on m’en demanda la raison, je dis à mes oncles, que je ne pouvais
chose, afin d’en tirer quelque aumône : je ne la refusai pas. Elle me demanda une marraine ; je lui montrai une fille fort prop
. Comme cette libéralité me donnait une espèce de petit privilège, je demandai à cette sœur si elle ne pouvait pas nous faire dé
on compliment, et me dit, que si elle avait été persuadée que j’eusse demandé à déjeuner pour l’amour d’elle, elle ne serait po
étais n’était point assez tranquille pour entretenir personne, je lui demandai seulement la grâce de recevoir mes visites, elle
llumée ; je marchais à tâtons. J’entendis quelqu’un auprès de moi, je demandai qui c’était : un homme me demanda si je n’étais p
tendis quelqu’un auprès de moi, je demandai qui c’était : un homme me demanda si je n’étais pas Monsieur Des Frans. Oui c’est m
Madame la duchesse de Cranves, qui n’avait jamais eu d’enfants, de la demander à cet hôpital : qu’elle avait été élevée chez ell
ais pas, et la peinture qu’on m’en fait m’en donne du mépris. Je vous demande en grâce de ne point redoubler la honte que j’en
étant sorti, il fallut l’attendre. Tout conspirait à mon dessein. Je demandai à Rouvière s’il voulait que nous allassions déjeu
seulement demi-heure à l’attendre, il reviendrait sur ses pas. Je ne demandais qu’à rester seul avec mon homme ; ainsi je promis
cela s’accordait avec ce qu’on avait écrit à ma mère, et j’allais lui demander s’il ne connaissait pas Silvie et sa tante, lorsq
d’ignorer cette aventure, et sans paraître y prendre intérêt, je lui demandai ce que cela voulait dire. Il me conta l’histoire
que sa mère qui s’était mise dans la dévotion. Que ce jeune homme ne demandait pas mieux que de l’épouser. Qu’il était vrai qu’i
pour en craindre l’issue. Qu’est-ce qui vous embarrasserait donc lui demandai -je ? Le remords, répondit-il, de tromper un enfan
urtant je passerai par-dessus tout, si Silvie m’accorde ce que je lui demande . Que lui demandez-vous donc encore, repris-je en
i par-dessus tout, si Silvie m’accorde ce que je lui demande. Que lui demandez -vous donc encore, repris-je en riant ? Ne fait-el
merce avec vous. Il ne faut absolument point songer à ce que vous lui demandez  ; elle n’y consentira jamais, tout dût-il rester
ercher de pareilles femelles pour les amener à son but. Pourquoi, lui demandai -je, vous donner des rendez-vous ? Ne pouvez-vous
de la connaissance de Querville, ils lièrent conversation, et il leur demanda s’ils voulaient lui donner sa revanche ; ils lui
ls lui répondirent que oui, et se firent apporter des cartes : ils me demandèrent si je voulais faire le quatrième. Je ne suis poin
n homme, il me semble que je vaux bien un homme âgé : au lieu de vous demander cent louis, je vous donnerais du mien, et outre c
er d’elle, vous ne sortirez point que vous ne m’ayez écoutée, je vous demande cette grâce au nom de tout ce que vous avez de pl
que j’étais le vivant portrait du pauvre marquis de Buringe. Elle me demanda aux directeurs ; elle fit à l’hôpital un présent
de ce satyre. J’allai dans l’instant même, et toute nue en chemise en demander justice à Madame de Cranves, dont l’appartement é
a recevoir à votre table, et dans votre lit, et c’est de quoi je vous demande justice. Il était plus mort que vif pendant mon d
ez-moi, soyez discret sur ce qui la regarde. C’est tout ce que je lui demande Monsieur, interrompis-je. Dites-lui Mademoiselle,
s pierreries, je suis bien aise de vous le dire, afin que vous ne les demandiez pas, et afin qu’on ne les lui dispute pas, je veu
allai en même temps trouver Monsieur le marquis d’Annemasse, à qui je demandai s’il avait commandé à Valeran de dégarnir ma cham
ui est la même que j’avais et que j’ai encore, ne se trouva point. On demanda à Garreau ce qu’elle était devenue ; il dit que l
ce qui en est. Pour les pierreries Monsieur d’Annemasse n’en a point demandé , parce qu’il savait bien ce que sa tante en avait
rs, et ma vertu dans ma retraite. Je n’ai plus que deux choses à vous demander  : ma bague vous a paru belle, je vous supplie de
été mon malheur seul, et non pas ma faute qui nous a séparés. Je vous demande encore de ne conserver aucun ressentiment contre
nne un sang qui lui a été toujours précieux. Je n’ai plus rien à vous demander , accordez-moi ces deux grâces, je sortirai conten
e presque dégarnie, et une partie de ses meubles en ballots : elle me demanda ce que je venais faire chez elle ; je lui répondi
ommandeur de Villeblain pour l’instruire généralement de tout, et lui demander justice de ce misérable. Les bontés qu’il a toujo
dire qu’elle était seule. Que voulez-vous faire de cet homme-là, lui demandai -je ? Je veux qu’il m’explique, dit-elle, ce qui l
ngager, puis-je l’obtenir ? Oui, dit-il, Mademoiselle, si ce que vous demandez peut dépendre de moi, assurez-vous qu’elle ne vou
ments horribles. Je vous crois présentement, dit-elle. Ce que je vous demande c’est que vous me répondiez sans déguisement et a
s déguisement et avec vérité. Vous doutez-vous de ce que je veux vous demander  ? Il parut embarrassé. Où est cette sincérité que
rrassé. Où est cette sincérité que vous me juriez tout à l’heure, lui demanda-t -elle promptement ; oui Mademoiselle, dit-il, je m
ous fis tenir sa lettre, et je lui fis jurer de ne pas démordre de sa demande . J’écrivis ensuite à Madame Des Frans et à Monsie
eux m’empêche de vous jurer qu’il sera éternel : mais si j’osais vous demander pourquoi vous, qui vous faites de si bonne famill
ère, et pourquoi vous tiendriez à honneur d’être sa fille, je vous le demanderais  ? Il est vrai qu’il est né gentilhomme ; mais ses
e. Ce ne sont ni des lamentations, ni de pareils conseils que je vous demande , repris-je. Mon cœur se révolterait si je voulais
lui donner un moment de particulier. Je fis sortir mon laquais et lui demandai de quoi il s’agissait. J’agis, me dit-il, avec vo
e qui vive à Paris ; je vous prends pour mon confident, et vous viens demander du secours. Après cela il m’ouvrit son cœur, et j
le consoler en partie de ce que Valeran lui avait fait perdre. Il me demanda tout aussitôt ce que c’était. Je lui contai sous
e j’avais si bien réussi avec Rouvière sans qu’elle y parût. Il ne me demanda seulement pas si j’étais raccommodé avec elle, ta
e fut ainsi que périt Valeran et qu’il fut payé des avis qu’on ne lui demandait pas. Rouvière lui fit plaisir pourtant ; car il l
re, nous prîmes là des mesures pour la sûreté de nos lettres. Elle me demanda si je voulais lui permettre de garder Madame Mori
vous ne vouliez pas lui accorder ce qu’il avait l’effronterie de vous demander , j’ai entrevu qu’elle avait eu l’insolence de vou
. Je n’eus pourtant pas la force de lui refuser en face ce qu’elle me demandait  : je lui rendis les clefs de ses coffres qu’elle
endre ; je sortis de chez elle, et j’allai chez l’Evêque de… à qui je demandai s’il voulait écrire à Monsieur son frère, et que
is le jour de mon départ, qui était celui de la date de sa lettre. Je demandai promptement congé, et je l’obtins par le moyen de
’argent chez elle pour m’envoyer dans le moment tout celui que je lui demandais et qui m’était absolument nécessaire, je l’écrivi
rendue. Elle en avait porté à la poste beaucoup plus que je ne lui en demandais , et au retour du courrier j’eus cette réponse :
se coucher. Elle voulait que je prisse son lit : je lui dis que je ne demandais pas mieux, pourvu qu’elle ne découchât pas. Nous
ranves ; c’était où je l’attendais. Vous souvenez-vous, Monsieur, lui demandai -je, d’avoir vu chez elle une fille nommée Silvie,
plume à la main, toujours en riant, et sans lui donner le temps de me demander raison de ce que je faisais ; écris ce que je te
e vous rapporte les amitiés et les civilités qu’ils se firent. Il lui demanda d’où elle avait pu sitôt apprendre une conversati
sa chambre pour faire ordonner le souper. Elle me fit appeler, et me demanda si je trouverais bon qu’elle offrît sa table à Mo
offris d’en payer le prix comptant. Cela vint jusqu’à ma mère, qui me demanda où je pouvais trouver une somme si forte. Je lui
’avait laissé chez Silvie où nous avions dîné. Il ne laissa pas de me demander , ma mère lui ayant dit que je n’y étais pas, lui
a pas de me demander, ma mère lui ayant dit que je n’y étais pas, lui demanda ce qu’il me voulait. Je venais, lui répondit-il d
e ; et comme j’étais fort souvent avec vous tous et Gallouin, elle me demanda qui vous étiez. Je lui dis de vous tout le bien q
ue ce n’était pas le plaisir des sens qu’elle recherchait. Qu’elle ne demandait de moi que cet épanchement de cœur qui l’avait ta
mis, pour qui j’avais ordinairement beaucoup de complaisance. Elle me demanda la cause de ce combat, et me le demanda avec tant
coup de complaisance. Elle me demanda la cause de ce combat, et me le demanda avec tant d’instance, qu’après mille impostures q
tre de ma colère, pour ne les avoir pas poignardés tous deux. Elle me demanda ce que j’allais devenir. Je lui dis des suppositi
le carrosse de Paris à Bordeaux dans le Poitou. Il y alla le soir et demanda une dame nommée Madame de Buringe. Elle répondit.
le si barbare et si touchant. Quel changement ! Je me suis mille fois demandé à moi-même où j’avais pu trouver tant de cruauté
eines et à ses malheurs. Elle se jeta cent fois à mes pieds ; elle ne demandait point de pardon, elle confessait qu’elle en était
elle était en liberté, que je ne l’avais point encore vue. Je lui fis demander si elle voulait que j’allasse dîner avec elle. El
e revins à moi, après une faiblesse qui avait succédé à cet accès. Je demandai pourquoi on m’avait lié. Le père carme qui ne m’a
’avais dit ; j’en eus de la confusion. J’achevai ma confession, et je demandai l’absolution. Je n’ai jamais rien entendu de plus
cun mal. Dieu qui connaît l’intérieur de mon cœur, sait que je ne lui demande pour vous que des bénédictions et des faveurs. Hé
, pillé par tout le monde, se mit à genoux les mains jointes, et leur demanda quartier, et pardon à sa maîtresse. On le lui acc
4 (1721) Mémoires
e. et ab alienis parce servo tuo Mais que répondra-t-il, si Dieu lui demande pourquoi il a ignoré ce qu’ils ont fait de mal, p
lui ont représentées [sic] ? Et que répondra-t-il encore si Dieu lui demande s’il lui avait donné et confié le royaume pour y
u’il venait de lire un livre dont il était charmé. — Quel est-il, lui demanda M. de Grammont. — C’est, lui répondit le Roi, Cal
fait pour le Roi, il resta muet. Le, curé surpris de, ce procédé lui demanda pourquoi il ne chantait pas. Chapelle lui répondi
s, archevêques et autres qui composent le haut clergé que le Roi leur demande de l’argent ou qu’il ne leur en demande pas. Comm
e haut clergé que le Roi leur demande de l’argent ou qu’il ne leur en demande pas. Comme ce sont eux qui en font la répartition
ela, elle triompha si bien de leur haine qu’ils furent obligés de lui demander la paix ; et la France la leur accorda à telles c
’autorisa, contre les coutumes et les droits de l’Eglise gallicane, à demander le dixième des revenus des biens ecclésiastiques,
et d’autres denrées. Ils connaissaient les gens cotisés ; ils ne leur demandaient rien du tout pendant un certain temps ; et tout d
vomissant mille imprécations contre les auteurs de sa mort, dont elle demandait à Dieu la vengeance ; et pour achever cette histo
e ce qu’il lui fallait, et qu’elle avait coutume d’en prendre, et lui demanda si elle en avait pris d’une autre. Non, répondit
essente de la dureté du temps, et s’il meurt de faim, il ira lui-même demander dans le ciel justice de ses bourreaux. 55. Je n’a
qu’il leur eut livré tout ce qu’il s’était obligé de leur fournir, il demanda le restant du paiement qui lui était dû. Il n’y a
s’agissait d’une restitution de quatre mille francs que Marteau leur demandait , ce qui est une somme très considérable pour un a
e pauvre femme qui, ne la connaissant point, s’approcha d’elle et lui demanda l’aumône. Elle lui donna un louis d’or et se reco
, qui peut-être ne s’était jamais vu si riche, prit la liberté de lui demander qui elle était et pourquoi elle allait à pied aya
ce médecin, et la Reine elle-même lui donna de son urine. Le médecin demanda un réchaud avec du charbon ou de la braise ardent
ans qui travaillait l’eau jusques à la moitié de la jambe nue. Il lui demanda pourquoi il n’avait point de bottes, et s’il les
de charité, envoya dans le moment même quérir Monsieur Colbert et lui demanda avec cet air d’autorité qui convient si bien à un
lui fut accordé. Il revint un moment après avec un rôle à la main. Il demande à cet homme son nom ; il le trouva avec une augme
de galères, parce qu’au lieu d’y mettre tant de forçats, comme on ne demande point le sang du coupable, et que le même juge qu
se soustraire à sa puissance. A cela il répondait que les fréquentes demandes de secours qu’ils avaient fait, et auxquelles les
accrocha un pourparler de paix. Les Iroquois y consentirent, mais ils demandèrent qu’on leur donnât une de ces grandes filles blanc
le plus ; et lorsqu’il les vit dans l’état qu’il souhaitait, il leur demanda s’ils voulaient troquer contre lui cette grande f
aient point consentir que les Jésuites rentrassent dans leur pays, et demandaient des jaquettes grises ; ce sont des Récollets. Le
, nommé M. Denisi, servait de truchement. Le père Bêchefer le pria de demander pourquoi les Iroquois insistaient tant sur leur e
e pays, puisque nous n’allons point dans le tien ?… Que viens-tu nous demander puisque nous ne te devons rien ?… Tu dis que ton
de poursuivre cette guerre, ou d’entretenir la paix....Nous ne te la demandons point, parce que nous ne te craignons pas....Écou
, et s’étant fait de nouveau annoncer, il ouvrit la porte lui-même et demanda en l’ouvrant qui c’était qui le demandait avec ta
l ouvrit la porte lui-même et demanda en l’ouvrant qui c’était qui le demandait avec tant d’instance. — Ce sont, Monseigneur, Mes
mpagnés de leurs parents mutuels, et en présence de tout le monde lui demanda la bénédiction nuptiale qui lui fut refusée sous
vança tenant sa femme par la main. — Est ce toi qui se nomme tel, lui demanda M. d’Argenson. — Oui, Monsieur, répondit-il résol
sans dire un mot. Enfin M. d’Argenson, ennuyé de sa taciturnité, lui demanda s’il était muet. — Non, Monseigneur, répondit-il
e qu’il avait eue pour lui et qu’il avait perdue par sa faute. Le roi demanda même à M. Colbert pourquoi il lui avait envoyé un
ent faire pour honorer ses noces. Il s’adressa à M. Colbert auquel il demanda cent mille écus. Celui-ci fut assez malhabile hom
eut l’honnê[te] té de lui dire qu’il en était persuadé ; qu’aussi ne demandait il pas ces cent mille écus de l’argent du Roi, et
ndait il pas ces cent mille écus de l’argent du Roi, et qu’il les lui demandait comme un service purement personnel dont il aurai
ans souper. M.Colbert de son côté alla trouver Louis auquel il dit la demande du fils, et le refus qu’il lui avait fait. Le Roi
frir non seulement cent mille écus mais tout ce qu’il lui plairait de demander . Il n’était plus temps ; le dauphin était au lit,
int ingrat. Gardez-moi seulement le secret, c’est tout ce que je vous demande , et du reste reposez-vous en sur moi. Après cela,
pourrait pas refuser cette grâce à Madame la Dauphine si elle la lui demandait , et que cette audience seule perdrait M. Colbert,
n de son époux. Comme les choses étaient concertées, il arriva et lui demanda en riant ce qu’elle faisait en si bonne compagnie
dit de quoi il s’agissait quoiqu’il le sût mieux qu’elle, et elle lui demanda s’il jugeait à propos qu’elle s’en mêlât. Il répo
ue le Roi n’aimait pas qu’on l’importunât. — Je ne lui ai jamais rien demandé , reprit-elle, et je ne lui demanderai rien de ma
rtunât. — Je ne lui ai jamais rien demandé, reprit-elle, et je ne lui demanderai rien de ma vie s’il me refuse cette grâce. — Dema
et je ne lui demanderai rien de ma vie s’il me refuse cette grâce. —  Demandez -la donc, lui dit Monseigneur, et de ma part j’ajo
urtant que vous réussirez, puisque ce sera la première grâce que vous demanderez au Roi. 169. La Dauphine, persuadée qu’elle ferai
phine, persuadée qu’elle ferait plaisir à son époux, ne hésita plus à demander cette grâce. Il n’y eut que le moyen de la demand
ne hésita plus à demander cette grâce. Il n’y eut que le moyen de la demander qui lui fit peine. Elle parut le soir à souper as
arut le soir à souper assez mélancolique. Le Roi, qui l’étudiait, lui demanda le sujet de sa rêverie. Elle lui dit que la crain
crainte qu’elle avait de ne pas obtenir une grâce qu’elle avait à lui demander faisait son inquiétude. Le Roi lui dit que hors q
e cas elle pouvait être sûre de tout. — Et quels sont ces quatre cas, demanda-t -elle ? — C’est répondit le Roi, le crime de lèse-
inels, dit-elle ; il n’y a rien de tout cela dans ce que je veux vous demander . — Dites donc ce que c’est, lui dit le Roi. — Apr
t. Qui que ce soit ne savait quelle était cette grâce que la Dauphine demandait avec tant de mystère, et chacun, à l’ordinaire, s
t qu’on apprit que cette grâce était sa liberté que la Dauphine avait demandée . 170. L’ordre de le mettre en liberté et de le fa
hommes. Les Français plaignirent la France et c’est tout. Elle avait demandé un roi ; j’ai dit ce qui avait été fait pour l’ob
à une infinité de menu peuple, et la pêche en était volontaire. Je ne demande pas qu’on m’en croie à ma parole ; que ceux qui e
agement des gens qui servaient le Roi, lui accorda avec joie ce qu’il demandait . Comme cette fontaine lui était due, l’architecte
justice de connaître qu’il n’était pas propre à remplir un poste qui demande un homme dur, sans quartier, sans miséricorde, et
, et il pria Louis de souffrir qu’il lui remît son emploi. Le Roi lui demanda qui il jugeait capable de le remplir, et pour le
e prendre dix mille écus comptant et son billet du restant, et ne lui demanda rien autre chose que sa procuration au nom d’un n
uiétât pas de son procès, qu’il en aurait soin ; mais aussi qu’il lui demandait une grâce, qui était celle de son secrétaire. M.d
ui lui furent envoyés pour être enregistrés achevèrent son dégoût. Il demanda son rappel plusieurs fois et ne l’obtint pas ; en
ût souhaité. M[onsieu] r de Beuvron la remercia de ses offres, et lui demanda à qui appartenait un si beau château. Il devrait
r le président de Mesmes son cousin en jouit. Monsieur de Beuvron lui demanda à quel titre il en jouissait. Pour toute réponse
çut que la mère et le fils étaient très proprement vêtus. Sont-ce là, demanda-t -il brusquement, les habits que vous aviez en Norm
temps employé pour Dieu. Le Roi le fit, et en sortant de la messe il demanda où étaient les gens qui lui avaient présenté ce p
oi. Après les avoir fait relever : Ce qui est dans ce placet-là, leur demanda-t -il, est-il bien vrai ? — Oui, Sire, répondirent e
i ayant repris le placet : Ce que ce papier contient est-il vrai, lui demanda-t -il ? Voilà des gens, poursuivit-il, qui sont en é
ux son frère, qui avait été plénipotentiaire à Nimègue, fut obligé de demander au Roi pour toute récompense de ses services que
Mons[ieur] de Pontchartrain avait toute la fermeté qu’un poste pareil demandait , mais qu’il n’entendait point les finances, n’y a
e ne comprenait rien, elle entra dans une mélancolie épouvantable, et demanda une infinité de fois à Madame Deschiens la raison
ourut tout aussitôt dans l’appartement de Madame Deschiens à qui elle demanda justice d’une pareille insolence. Celle-ci blâma
d’être dépossédé ; et pour soutenir des offres si avantageuses, il ne demandait qu’une seule chose au Roi, qui était que, comme i
grâce tous les gens de qualité, et même les princes de son sang, qui demanderaient des emplois pour leurs créatures, ou qui sollicit
offres. Mais il échoua parce que Madame celle-ci et Monsieur celui-là demandaient des emplois aux ministres, aux fermiers et autres
s commis ou à d’autres ce qu’il leur devait, et qui n’avaient osé lui demander des billets, et qui se servaient du moment de sa
répondit le marquis. — Eh ! que diable vas-tu faire de ton bâton, lui demanda M. Pannetier ? — Ce que j’en vas faire, dit le ma
s ; et comme je le cherchais aussi, je trouvai M. de Tourville qui me demanda si je n’étais pas écrivain du Roi. Je lui dis que
re incognito chez M. de Tour-ville, et que le lendemain celui-ci alla demander à dîner sur son vaisseau. Si cela est, j’appelle
appétit au clair de la lune. Pendant ce petit repas nocturne, Bonamy demanda à M. de Bagneux s’il ne voulait pas enterrer la s
sir. — Et depuis quand, Bontemps, vous mettez-vous si magnifique, lui demanda-t -il. — C’est, répondit-il, que ma sœur se marie au
saire d’en venir à une preuve complète. Je rentrai dans le cabaret et demandai quels étaient ces deux hommes. On me demanda à mo
trai dans le cabaret et demandai quels étaient ces deux hommes. On me demanda à moi de quel pays j’étais pour ne pas connaître
s dire que j’étais fort propre lorsque j’allai chez Bourvalais. Je le demandai à son portier, qui me dit que je n’avais qu’à sui
ssez rudement par un homme qui descendait ces mêmes dégrés, et qui me demanda brutalement : A qui en veux-tu ? Je me jetai à cô
œur est d’airain et le front incapable de rougir). — Est-il vrai, lui demanda Monsieur de La Proutière, que cet espiègle-là all
m’avez pris apparemment pour quelque malhureux commis qui allait vous demander de l’emploi, détrompez-vous. Lorsqu’il vit que je
descendant eut la bonté de dire à cette cuisinière que le peu qu’elle demandait ne valait pas la peine de le demander par un tier
cuisinière que le peu qu’elle demandait ne valait pas la peine de le demander par un tiers, et qu’elle n’avait qu’à lui envoyer
passa. Lorsqu’elle fut en mouvement, Cordier alla chez Bourvalais lui demander le droit d’avis que celui-ci lui avait promis. Bo
ir une révolte. Monsieur et Madame d’Orléans, père et mère du Régent, demandèrent sa grâce à Louis, mais ils furent barrés par Mons
t de se promener, et qu’ils s’étaient fort bien divertis. Le Roi leur demanda où ils avaient été, et ces jeunes princes qui n’y
des pauvres augmentât tous les jours. Ainsi il leur était défendu de demander l’aumône et d’approcher de la Cour, et on mettait
ercher un confesseur, et ne s’enquit point si ce confesseur avait été demandé par le défunt, ou si c’était autrui qui l’avait e
ête, et en sortant lui reprocha sa dureté, ne prétendant pas lui rien demander par aumône. Comme elle n’était point harengère, e
is ; ainsi il était grand-oncle de la mariée. La duchesse de Bouillon demanda au comte d’Evreux son fils s’il avait été rendre
 ; en un mot de faire prendre parmi ceux qui sont à présent réduits à demander leur vie, dont le nombre est infini, ceux qui son
oir leur nécessaire et le superflu avec abondance en faisant vœu d’en demander . Sont-ce là de véritables pauvres ? Je ne les reg
e des Turcs qui n’admet point les peintures, ne put s’empêcher de lui demander à quel dessein il gardait celle-là. — Comme le po
gé de l’exécration du genre humain. Lorsque ce père fut en Europe, il demanda au Provincial la permission de faire imprimer son
de tout son bien. La Boulaye lui en avait plusieurs fois inutilement demandé compte. Le président l’avait toujours éludé, et a
s assiduités des officiers auprès de leurs filles ni de leurs femmes, demanda à la sienne qui était le Monsieur si bien galonné
de la curiosité du père, et qui n’avait que des intentions pures, ne demanda pas mieux que d’entrer en explication. Il parla à
lication. Il parla à ce procureur, lui dit toute son histoire, et lui demanda sa fille en mariage. Ce procureur, altéré comme u
ion de compte de tutelle. Celui-ci, surpris au dernier point de cette demande imprévue, alla trouver le marquis de Villefranche
s le spécieux prétexte d’un honneur chimérique que pour l’empêcher de demander son bien, et de remettre ses intérêts entre les m
Conseil, comme je l’ai ci-devant rapporté. Il vint chez M. Chamillart demander au moins une modération de la taxe de cinquante m
i promptement exécuter à la vue des autres que qui que ce soit ne pût demander sa grâce. Qu’il fallait rapporter le cadavre dans
en pourrait arriver dans les vingt-quatre heures ; et pour lors leur demander cent-et-un millions, sans y comprendre la part qu
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ce que je cherchais, pour me rebuter ; ou bien que j’aie eu ce que je demandais pour me dégoûter, et pour me faire devenir incons
être entendu que par des femmes. Cela posé, et le secret que je vous demande , j’entre en matière après un mot de moralité, qui
i pas le temps. Je le repoussai, et j’éveillai la belle dormeuse, qui demanda qui était là ? C’est moi, Madame, répondis-je, qu
tait. Je passai chez mon père pour lui dire ce que je faisais, et lui demander s’il n’avait point d’autre ordre à me donner. Jus
s-je, il faut que j’aille tout présentement à Versailles, je viens de demander de l’argent à ma mère, elle m’en a refusé. Je lui
à Amiens, où je n’appris que l’exercice. Je m’y ennuyai, et j’allais demander mon congé pour m’en revenir, ou pour aller joindr
Paris qui m’apprenaient que mon père était à l’extrémité, et qu’il me demandait avec beaucoup d’empressement. J’eus facilement mo
a porte sur moi, si j’avais été en votre place. Je voudrais bien vous demander , dit-elle, ce que vous cherchez ici ? J’y chercha
t qui rendait un homme inutile aux dames pendant fort longtemps. J’en demandai à Gallouin, il m’en donna. Il semblait que ce fût
voir, elle me reçut fort bien, et je la trouvai toute changée. Je lui demandai quelle maladie elle avait eue. Je la tournai de t
e marchand, et je remporte mon étalage. Voulez-vous me le vendre, lui demandai -je ? Très volontiers, répondit-elle, je vous en f
a sœur ; elle me parut avoir envie de l’être aussi. Je m’offris de la demander , et lui dis que je ne croyais pas qu’on me refusâ
doute même que vous m’aimiez avec sincérité. Et par quel endroit, lui demandai -je, pouvez-vous croire que je ne vous aime pas av
, et lui dis que le meilleur moyen de la convaincre était de la faire demander à sa mère ; que je ne l’oublierais pas, et que je
m’aimât ; mais qu’elle serait en colère de ce que je vous aurais fait demander avant qu’elle fût hors d’état de vous porter envi
je le puis dire, vous vous rendrez en même temps heureuse. Je ne vous demande que ce que je vous ai demandé ; et je suis sûr qu
drez en même temps heureuse. Je ne vous demande que ce que je vous ai demandé  ; et je suis sûr que votre cœur s’est mis de mon
e put s’empêcher de rire à ce ressouvenir. Quelle est cette aventure, demanda Madame de Contamine ? Est-ce encore quelque coup
int dit que je voulais l’épouser ; je ne l’avais point informée de la demande que j’en avais fait faire ; je n’étais pourtant p
is pas en peine de mieux faire. Elle sut que j’avais fait faire cette demande , et le sut justement comme mon frère était à Pari
faisais honte à moi-même. On avait parlé à table de Célénie, et de la demande que j’en avais faite. Je n’eus garde de dire ce q
il faut voir si vous avez aussi bonne épée que bonne langue. Je vous demande raison, et des distinctions de ma mère, et de vos
esse. Au revoir, Monsieur, poursuivis-je parlant à mon frère, je vous demanderai mon reste une autre fois, ou je vous donnerai le
e mon frère, sans songer à moi, qu’après l’avoir vu en sûreté. Je lui demandai fort doucement comment il se portait. Elle me dit
nt de ma mère, et que je ne me marierais plutôt jamais, que de lui en demander aucun. La réponse était fort peu civile, comme vo
tre ans qu’il était à moi. Il me dit à son retour, qu’il l’avait fait demander , et qu’elle était venue ; mais que l’ayant reconn
plus tard, et qu’elle était avec Alaix seul à seul lorsqu’il l’avait demandée . Il me dit qu’après avoir eu tout le temps de lir
que mon maître m’attend. Je vous supplie de le porter ; et si on vous demande de quelle part il vient, dites que Monsieur Alaix
t plus de promesses de vivre honnête femme que peut-être il ne lui en demandait  ; et surtout elle lui jura de ne me voir de sa vi
se, et lui persuadai de se rendre traitable comme elle. On n’a jamais demandé à une fille les dernières faveurs, comme on peut
n n’a jamais demandé à une fille les dernières faveurs, comme on peut demander autre chose : cela vient, comme dit le proverbe,
’elle ne doutait pas que je l’aimasse ; et que si je voulais la faire demander à sa mère, elle appuierait si bien ma demande de
si je voulais la faire demander à sa mère, elle appuierait si bien ma demande de sa part, que nous serions mariés ensemble. Cet
t elle me sacrifia pour le regagner. Il s’en expliqua avec moi, et me demanda si je songeais sincèrement à épouser cette fille.
Delorme qui me reçut comme une de ses anciennes connaissances. Je lui demandai des nouvelles du gibier et du négoce. Toujours de
bon ordre qu’ils établissaient dans Paris. Je l’interrompis pour lui demander si elle n’avait pas quelque jolie fille qui s’en
autions pour s’empêcher de l’être. Es-tu sûre qu’elle viendra demain, demandai -je à cette femme ? Assurément j’en suis sûre, rép
parler meilleur français ? Ce que vous dites là est-il bien possible, demanda-t -il d’un air fort embarrassé ? Je ne sais, lui rép
ble. La perfide Récard alla se jeter aux pieds de Grandpré à qui elle demanda mille pardons, il ne lui répondit que d’un coup d
la vérité est que je fus seul à faire bonne figure. Après le repas je demandai à Grandpré s’il voulait laisser partir la belle R
rtifiai et l’humiliai autant que je pus, et tant qu’enfin Grandpré me demanda quartier pour elle, et me pria de la laisser là.
mmes afin de les sauver d’un crime exécrable. Allez, poursuivit-elle, demander à ces femmes, si elles voudraient changer leur ma
le que sa sœur n’avait pas : je sortis de ce jardin charmé d’elle. Je demandai à un laquais, qui étaient ces deux dames que je v
mes que je venais de voir, il me le dit, et me nomma la veuve. Je lui demandai sa demeure sans faire semblant d’y prendre d’autr
ux mains avec elle, par un moyen honnête. Comment t’y es-tu pris, lui demandai -je ? Je viens, me dit-il, de voir sortir de chez
, pour amener les choses jusque-là. Je promis à cet homme ce qu’il me demandait , et lui demandai en même temps le nom de la perso
choses jusque-là. Je promis à cet homme ce qu’il me demandait, et lui demandai en même temps le nom de la personne qu’il me dest
il me destinait pour commère : il me nomma ma charmante veuve. Je lui demandai s’il avait parole d’elle, il me dit que non : mai
’il avait parole d’elle, il me dit que non : mais qu’il allait la lui demander , et qu’il ne doutait pas de l’avoir. Il y alla av
mpagner. Cette dame, après que cet homme lui eut fait son compliment, demanda qui était son compère. Poitiers répondit pour lui
gée, dit-elle : mais lui, vaut-il la peine que j’y aille ? Je vous le demande à vous qui avez de si bons yeux ? Si mon maître,
oujours la sienne. Vous a-t-il chargé de toutes ces civilités-là, lui demanda-t -elle ? Oui, Madame, répondit-il, il m’en a chargé
où je restai assez longtemps, et avant que d’en prendre congé, je lui demandai permission d’aller la voir : elle me l’accorda, j
. Cette action m’étonna, j’entrai chez elle dans le dessein de lui en demander la cause. Un homme moins aguerri que moi, aurait
’en suis point fâché, ma chère veuve, lui dis-je ; épousez-moi, je ne demande pas mieux : pouvez-vous, dans l’état où vous êtes
en était là, la belle Dupuis sa cousine rentra seule. Son cousin lui demanda ce qu’elle avait fait de Madame de Londé. Je l’ai
qui travaillait à de la tapisserie ; j’entrai dans ce moment. Elle me demanda si son frère avait encore envie de quitter le mon
doute j’aurais pris le sien et aurais tâché de le venger. Je vous en demande présentement pardon ; mais ignorant pour lors le
s fait pour triompher de sa vertu, ni la mort de Madame Morin. Je lui demandai un pardon sincère, je lui remontrai que l’éclat n
position, et me dit qu’elle me regardait comme un monstre. Qu’elle me demandait le secret, et ne voulait de moi rien autre chose.
lle a craint qu’on n’en découvrît le motif et la cause. Elle m’a fait demander son collier : j’ai été chez elle pour lui demande
use. Elle m’a fait demander son collier : j’ai été chez elle pour lui demander si elle avait bien fait chercher dans son lit et
aison me le dit, et la peur m’y pousse. Eh quelle est cette peur, lui demandai -je ? Il faut, me dit-il, vous dire sur quoi elle
ue le reste du monde ? Ce que vous venez de me dire est-il bien vrai, demanda-t -elle ? Plût à Dieu qu’il le fût moins, repris-je
ez donc de volonté, reprit-elle. Oui, j’en change, répondis-je, et je demande présentement pardon dans mon cœur à ma belle maît
répondait à l’appartement de son mari sur le grand escalier. Ils lui demandèrent ce qu’elle avait à crier : Mousson qui rentra dan
ensemble à parler de choses indifférentes, on vint l’avertir qu’on le demandait à la porte. Nous y allâmes ensemble. C’était Mous
s rien à faire pour moi. Quelle est cette femme mon révérend Père lui demandai -je, elle me paraît fort affectionnée ? C’est, me
ous nous mîmes à table tous quatre. Ce fut là que le bon père capucin demanda la grâce de la Mousson : Madame de Londé perdit c
égative, que tout le monde en fut surpris. Son frère et son époux lui demandèrent quel si grand mal cette femme avait fait pour êtr
it et entra dans la chambre avec moi. Je pris l’occasion de lui aller demander ma tabatière, et j’entrai sans la faire avertir.
tir. Je viens vous avertir, Madame, lui dis-je, de vouloir bien faire demander à vos gens si quelqu’un d’eux n’aurait pas trouvé
a violenter tous les jours, comme il faudrait que je fisse. Mais, lui demandai -je, est-ce qu’il n’y a point d’amour réciproque e
aussi quelquefois bien enrager, et puis ils en sont quittes pour lui demander des pardons, et recommencent deux jours après. Il
le désordre absolument banni, comme il est d’entre elle et moi. Vous demandez l’impossible, lui dis-je. Je le sais bien, me rép
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
le rendre heureux lui-même, s’il avait su jouir de son bonheur. Il la demanda en mariage, et l’obtint. Il eut même le secret de
de son amour, le remercia de l’avoir tirée de son inquiétude, et lui demanda le plus honnêtement du monde, si elle avait eu le
même que fort rarement son père et sa mère, qui plusieurs fois lui en demandèrent la raison, sans en pouvoir tirer d’autre que cell
une mélancolie profonde, et dans un abattement terrible. Elle lui en demanda le sujet, et comme Célénie voulait encore lui don
e chez Célénie, et qui en la plaignant en disait tant de bien. Il lui demanda si effectivement cette dame était aussi belle qu’
ci lui répondit que sa beauté était au-dessus des expressions. Il lui demanda s’il était impossible de la voir, et elle lui rép
devait y aller, et sitôt qu’il le vit paraître il alla à lui, et lui demanda l’aumône, lui disant qu’il était un pauvre ecclés
qui revenait de Rome solliciter inutilement des bulles. Ce prêtre lui demanda s’il voulait venir servir sa messe qu’il allait d
nne, mais pauvrement. Il se mit à la porte de la paroisse de Sotain à demander l’aumône en italien le propre jour de Noël, ne do
jour. Aussi n’y manqua-t-il pas. Sotain, à qui cette fausse Italienne demanda l’aumône en italien, lui demanda d’où elle venait
Sotain, à qui cette fausse Italienne demanda l’aumône en italien, lui demanda d’où elle venait. Elle lui répondit qu’elle venai
e Français en avait voulu prendre de pareilles ; dans ce sentiment il demanda à cette fausse veuve avec un ris forcé, si son ma
ait présent d’une ceinture de chasteté. Elle ne répondit rien à cette demande , et se contenta de baisser les yeux, avec une hon
jardin tout au bout, afin de n’être entendu de personne, où lui ayant demandé si elle voulait rester chez lui, il lui répondit
igneur si charitable, et qui la retirait du malheur et de la honte de demander sa vie dans un pays où on ne l’entendait pas. Apr
se retirèrent dans un endroit extrêmement obscur, où l’Italienne lui demanda une lime ; et comme elle ne put pas venir à bout
ordres qu’il voudrait, et celle-ci lui répondre sur tout ce qu’il lui demanderait sans que sa femme y pût rien comprendre. Le seul
sa convaincue de son amour, et outrée contre Sotain. Le cavalier n’en demanda pas davantage pour cette fois-là, espérant que le
u moins laissez-moi le croire, c’est la seule consolation que je vous demande  ; mais ne vous avisez pas de rien entreprendre co
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
l que lui, et s’en saisit promptement, et s’adressant à Pluton il lui demanda audience. Sancho se jeta à corps perdu sur le dém
Lucinde. L’as-tu fait, et as-tu même eu aucune envie de le faire ? Je demande présentement la restitution de cet argent, puisqu
ères et en charpie avec mes griffes. Sancho fut bien étonné qu’on lui demandât la restitution d’un argent à quoi il ne songeait
idoyer, et voulut y ajouter quelque chose du sien ; mais Plutus ayant demandé , comme les avocats font au barreau, un mot de rép
stifier une intention antérieurement criminelle, et c’est sur quoi je demande justice. Les juges imposèrent silence à Parafarag
les hommes sur le pied de rebuter les femmes ; que c’était de quoi il demandait justice, et protestait en cas de déni de laisser
son haut à ce plaidoyer. Qu’as-tu à répondre à cette accusation ? lui demanda Pluton. — Il n’y répliquera rien, dit Parafaragar
uges, continua-t-il en s’adressant à Pluton et aux autres, je vous en demande justice suivant votre équité et votre prudence or
demande justice suivant votre équité et votre prudence ordinaire. On demanda à Sancho s’il avait quelque chose à dire, et son
rte qu’il crachait du sang en très grande quantité. Après cela Pluton demanda s’il y avait encore quelqu’un qui eût quelque cho
s joues n’en avaient porté des marques. Six des filles de Balerme lui demandèrent congé, et elle l’accorda à toutes celles qui le v
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
surais que je viendrais dans trois jours quérir la réponse que je lui demandais , et la priais de m’indiquer les moyens qu’elle ju
après, mais la sœur n’avait pas été secrète ; car lorsque j’allai la demander , cette fille vint au parloir, qui m’ayant reconnu
re de votre père, comme du vent qui soufflait il y a mille ans. Je ne demande qu’à l’épouser ; et pour cela je vous demande de
il y a mille ans. Je ne demande qu’à l’épouser ; et pour cela je vous demande de ne nous être pas contraire. Écoutez, je m’enga
s à celle de me déguiser si bien, qu’on ne pût pas me reconnaître. Je demandai à Bernay s’il n’irait plus voir sa sœur, il me di
t que non, mais qu’il devait lui envoyer des livres qu’elle lui avait demandés . Je les pris avec un habit de ses livrées. Mon va
reconnut pas ; mais comme il connaissait tous mes domestiques, il me demanda depuis quand j’étais au service de Monsieur de Te
gnant donc plus d’être découvert, je pris le chemin du couvent, et je demandai Clémence de la part de son frère. Il y avait une
de, autant de l’esprit que du corps. J’espérais qu’il en mourrait, je demandais tous les jours à Dieu la fin de sa vie. Je ne fus
er enlever ; mais afin de donner prétexte à cette démarche, je la fis demander en mariage avec le consentement de mes parents, q
désespoir peut me faire faire. Sa cruauté pour moi me dispense de lui demander , ni d’attendre aucun consentement de sa part. Je
même voie de Mademoiselle Dupuis, pour vous faire tenir mes lettres, demandez -lui la continuation de ses bontés. Je suis au dés
à me considérer, mais aussi afin que je ne sois point obligée de rien demander à Monsieur de Bernay, que je ne regarde plus comm
re son dessein ; mais d’un air à faire peur aux petits enfants. Il me demanda si je voulais que nous allassions nous promener q
e compagnie, ainsi je lui dis sans façon que j’avais des affaires qui demandaient ma présence en France, et que je ne voulais pas m
re qu’il en perdit le sang-froid ; il me brutalisa, c’était ce que je demandais , afin de mettre les témoins de mon côté. Lorsque
unté, et qu’elle voulait le payer avant que de se donner à Dieu. Elle demanda trois cents louis d’or. On lui dit qu’elle ne se
igner cette requête, à condition de me donner l’argent que je leur ai demandé . Quelle peine pour l’avoir ! Je l’ai enfin, et je
point mon désespoir, conservez-vous, c’est la seule grâce que je vous demande . Cette lettre et le récit qu’on m’avait fait, m’
it. Je ne songeais et je ne regardais que Clémence, qui lorsqu’on lui demanda ce qu’elle voulait, répondit fort résolument, com
voulait, répondit fort résolument, comme nous en étions convenus, je demande Monsieur le comte de Terny pour mon époux, s’il v
aisir, je ne me soucie pas qu’elle ne vous en fasse point. Je ne vous demande rien pour sa dot, je serais en droit pourtant de
ne vous demande rien pour sa dot, je serais en droit pourtant de vous demander tout au moins ce que vous vouliez donner au couve
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
un bien égal à celui de Silvie, on ne lui conseilla pas d’en faire la demande de crainte d’être refusé, comme le fut un autre d
le, et ne fit aucune difficulté de lui accorder l’entretien qu’il lui demandait  ; et sans prévoir quelle en serait la réussite, e
çon devant les domestiques ; mais après qu’ils furent retirés, il lui demanda où elle avait passé l’après-midi. Elle ne lui rép
pour prendre part par la suite à ses actions ; que tout ce qu’il lui demandait était de faire l’amour sans conséquence, et de sa
qu’il n’en croirait point d’autres témoins. C’était ce que son gendre demandait , et ne le remit pas plus tard qu’au jour même, de
une part. Pour son amant, je lui pardonne de tout mon cœur, et ne lui demande pour toute reconnaissance de la vie que je lui la
ue par la fenêtre avec cent coups de poignard dans le cœur. Il vous a demandé le secret, et moi je vous ordonne de plus de sort
ulons-le du moins jusqu’à demain ; vous pourrez d’un esprit rassis me demander en présence de mes domestiques la permission pour
table tous trois avec encore d’autres gens de leur connaissance, elle demanda elle-même à Justin la permission d’aller passer q
ui rendre Silvie. Le pauvre vieillard ne put cacher la joie que cette demande lui donnait. Eh bien, Monsieur, lui dit-il en l’e
a tous les sujets du monde de vous louer d’elle. Je suis charmé de la demande que vous m’en faites. Je ne vous cache pas que c’
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
du prodigieux éclat que cela allait faire dans le monde, et elle leur demanda conseil sur ce qu’elle avait à faire. Le duc d’Al
erneur de la province ; qu’il ne doutait pas qu’il ne lui accordât sa demande , et que quand il y serait, on prendrait avec lui
contre elle ; en un mot, lui faire une réparation entière. Il l’avait demandée avec tant d’instance, qu’elle n’avait pu se dispe
age de ses dernières volontés, et surtout les gens de distinction. Il demanda au maître d’hôtel de Valerio, qui parlait bon fra
Il dit qu’il mourrait content s’il pouvait embrasser Sainville, et le demanda avec tant d’empressement, qu’on fut obligé de le
ère qu’on vint leur faire de remonter dans la chambre de Deshayes qui demandait à voir Silvie pour la dernière fois. Mademoiselle
voir aussi bien que les autres, et fut aussi témoin des pardons qu’il demanda derechef à Sainville et à son épouse, de l’ordre
11 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
rtain à boire le petit coup : et je ne le hais pas ; tout cela me fit demander dès l’année passée d’être mis sur l’Écueil. Je ne
par lequel je leur mandai sur quel pied étaient les choses ; et leur demandai leurs ordres précis par le même courrier, n’y aya
re pour y recevoir un quatrième que je voulais envoyer quérir. Ils me demandèrent qui c’était : je leur nommai M. Hurtain. Ils ne s
nada. Écoute, Chaviteau, lui dit M. Hurtain, va toi-même sur la rive, demande le canot ou la chaloupe de l’Écueil, et dis à un
déjeuné, il avait été chez M. Des Clouzeaux, intendant, et lui avait demandé du pain pour son équipage en rade. Albus employai
arine qui n’est pas propre à faire du biscuit. Ainsi, il insista à en demander , tant pour la consommation journalière que pour l
lière que pour le remplacement de celui qui avait été consommé, et en demanda à prendre sur l’Écueil, où le commandeur de Combe
s firent plus, puisqu’ils montrèrent à l’intendant de ce pain, et lui demandèrent à lui pourquoi celui qu’il fournissait n’était pa
aient apporté des sacs, des poids, et le reste. Je commençai par leur demander quels ils étaient, et de quelle part ils venaient
lle, Hurtain et moi ; ainsi, ils savaient ce qui devait réussir de la demande d’Albus. Ils se promenaient tous quatre ensemble,
our Albus, je me serais trop abaissé, si j’avais pris son conseil. Il demande présentement le même pain, qu’il voulait qu’on je
de lui, et fis tomber la conversation sur M. Champi son oncle. Il me demanda si je le connaissais. J’avais sur moi le dernier
la lut toute entière, me félicita d’une si puissante protection et me demanda d’où je le connaissais. Je lui répondis que nous
nce de M. de Combes, qui voulait, comme j’ai dit, chagriner Albus. Il demanda à M. l’intendant deux quintaux de fromage de Griè
notre retour. Je lui dis ce qui s’était passé sur les rations. Il me demanda si j’avais encore le projet du commis d’Albus ; e
ettre en sûreté ces tierçons cerclés : sa chambre est trop petite. Il demanda au maître valet les clefs de fond de cale. Celui-
ni à retrousser sa moustache. Il fit des excuses à M. Hurtain et lui demanda même pardon. Non, non, monsieur, lui dit notre ca
à M. de Bouchetière ce qui en réussirait. A-t-on enlevé des vivres ? demanda M. du Quesne. Non, répondit M. de La Chassée, on
u de six à sept barriques de consommation effective par semaine, j’en demandai comme les autres douze à quinze. Cela me lut acco
ue de la neige dont cette montagne est toujours couverte. Mais, ai-je demandé à M. Charmot, l’un de nos missionnaires, d’où vie
cela ne serait-il pas ici ? Ce ne sont point des comparaisons que je demande , lui ai-je brusquement répondu : ce sont les effe
i ai-je brusquement répondu : ce sont les effets de la nature dont je demande l’explication, parce que je n’en comprends pas la
cela m’écarterait trop. J’opposerais les membres aux organes, et leur demanderais si un chirurgien retranche d’un corps une partie
on âme lorsqu’il fait l’amputation d’une jambe ou d’un bras ? Je leur demanderais si un enfant qui vient au monde sourd ou aveugle
laissé une partie de son âme dans les entrailles de sa mère ? Je leur demanderais si l’âme est divisible, ou si elle est une ? Je l
mme, et même comme docteur ; et l’autre infaillible, comme pape. J’en demanderais volontiers autant que le paysan de Cologne. Si le
us loin, parce qu’on se défie davantage de l’atterrage. La navigation demande pour le moins autant de prudence que de science.
nt pas obtenu de l’évêque ce qu’il en espérait. Mais, outre qu’il lui demandait une chose que l’évêque ne lui devait point accord
evait point accorder, c’est qu’on n’a pas dans le monde tout ce qu’on demande . D’ailleurs, ce ne sont point mes affaires : je s
hard, puisqu’il lui a prouvé par un sec refus que ce que celui-ci lui demandait était contraire aux préceptes de Jésus-Christ et
rist et aux saints canons. Il m’a donné sa bénédiction, que je lui ai demandée en particulier. Le curé et le vicaire sont blancs
assurément plaisamment élevés et instruits : on peut en juger par la demande que me fit le sacristain, quel homme était Cicéro
nt flatteurs, en demandant, Ils disparaissent quand ils ont ce qu’ils demandaient . J’ai eu un nègre à moi pendant près de deux jour
ivi comme un barbet. Si je lui avais donné son argent lorsqu’il me le demanda , je serais revenu à pied, du moins on me l’avait
fet ne sont que très peu plus basanés que les Portugais d’Europe), ne demandaient point à boire ni à manger, leur orgueil naturel n
ure avant moi, et M. Joyeux et les jésuites affamés ont tablé par lui demander quels rafraîchissements il avait achetés. Il a ré
rtain, qui avait voulu se donner la comédie. M.Joyeux a commencé à me demander où était ce que j’avais acheté. Je lui ai sècheme
é. Je lui ai sèchement répondu que je n’avais rien acheté ; et lui ai demandé , à mon tour, depuis quand il me prenait pour son
gardait en rien. M’aviez-vous ordonné d’acheter quelque chose ? ai-je demandé à M. Hurtain. Non, m’a-t-il répondu : le vaisseau
rédit aux chrétiens. Que diable as-tu donc été faire à la ville ? m’a demandé M. Hurtain. Ne le voyez-vous pas bien, lui ai-je
um ? Qu’un homme fasse sur lui-même une sérieuse réflexion ; qu’il se demande ce qu’il est venu faire au monde ? Je parle de to
s. Ce poisson est très bon à quelque sauce qu’on le mette. Je leur ai demandé pourquoi ils n’en salaient pas, puisqu’ils n’en a
arrive très souvent sous la Ligne, c’est-à-dire, sous le soleil. J’ai demandé la raison de ce phénomène ; car je ne puis le nom
e nuit cette illumination, et qu’ainsi il m’avait été impossible d’en demander la cause. Celle-ci me paraît vraisemblable ; bien
r les ordres du Conseil. En quoi y ai-je manqué, monsieur ? lui ai-je demandé . Faisons-lui son procès, puisqu’il est mutin, a r
N’allons pas si vite, messieurs, a repris M. le chevalier d’Aire ; je demande grâce pour lui : contentons-nous de le condamner
’il est, il ne s’en est pas bien trouvé, puisqu’il a été le premier à demander quartier. M.Hurtain ne s’en mêla point, et ne but
res chirurgiens pour les consulter sur la maladie. Il l’a promis et a demandé avec un air de général pourquoi cela n’avait poin
, en s’excusant, qu’il n’était pas le maître du canot ; qu’il l’avait demandé à M. de Bouchetière, lieutenant, et que c’était t
seulement le canot, mais la chaloupe au chirurgien, quand il les lui demanderait  : et nous a ordonné, à M. de La Chassée et à moi,
tir qu’il avait cacheté la porte de la chambre du défunt, et qu’il en demandait la clef. J’étais à travailler au procès-verbal d’
otre eau-de-vie ; l’autre vous perdrait : prenez garde même que je ne demande justice au conseil de guerre de votre impertinent
ir les changer c’était bouleverser l’ordre. On peut dire ici, à sotte demande , sotte réponse ; puisque la bande des matelots, q
ui a tourné le dos. Il me gardait apparemment pour le dernier. Il m’a demandé mon régître, et mon état de consommation. C’est i
ne qui se passa hier ici en ma présence ; et présentement, je vous en demande justice à tous deux : à vous, monsieur, comme au
répondu ; et la fête a fini par là. M. du Quesne, en s’en allant, m’a demandé une douzaine de tranches de bonite. Ce que je dev
en riant que je n’en étais plus le maître, et qu’il fallait qu’il les demandât à notre nouveau capitaine. Ils se sont mis à rire
vous plaît, ai-je continué. Notre général a eu l’honnêteté de vous en demander  : cela mérite déjà ce qu’il demande ; bien certai
éral a eu l’honnêteté de vous en demander : cela mérite déjà ce qu’il demande  ; bien certain que vous êtes trop généreux pour l
tes trop généreux pour le refuser. Mais son humiliation de m’en avoir demandé , son abaissement, qui flatte si agréablement ma v
reçu du magasin de l’Orient ce que je venais de leur lire, je leur ai demandé leur consommation. Ceci vous regarde, monsieur, l
et tels officiers et passagers ont-ils été arrivés à bord que l’un a demandé de la toile pour doubler son matelas ; un autre a
ures et les clefs. Tout cela se doit faire aux dépens de ceux qui les demandent , qui doivent les apporter de terre ; et ces conso
in, les officiers mariniers ni moi, n’avons plus eu la tête rompue de demandes inutiles. Vous avez eu, et vous avez encore raiso
nous a-t-il dit en riant, faites comme vous l’entendrez ; je ne vous demanderai jamais de compte. Nous ne sommes point des fripon
Quesne que nous sommes si bien, parce qu’il ne manquerait pas de nous demander l’aumône, ayant plus de trente malades qui consom
era du vin de retour. Pour qui prenez-vous un équipage breton ? lui a demandé M. de La Chassée. Pourvu qu’il boive, il ne s’emb
rtainement, ils n’y entendent aucun mal. Ils avaient dès hier au soir demandé au commandeur la permission de le faire aujourd’h
ns que mon père est mort ; perte toujours nouvelle pour moi : je vous demande un De Profundis pour lui. Le vent s’est calmé par
es matins depuis un mois. Il en enrage, et ne veut pas par orgueil en demander  ; et nous ne sommes pas gens à lui en offrir.
crâne qui est découvert n’est que peu offensé. Le commandeur a envoyé demander à Bouchetière son épée, celle de feu M. Hurtain,
le joindre. Combien avez-vous encore de barils de bonites ? m’a-t-il demandé . Ho ! vous avez parlé ! ai-je dit d’un air chagri
du Gaillard ne sont pas honteux, et se mettraient sur le pied de nous demander tous les jours l’aumône. Souvenez-vous seulement
le valet de chambre du commandeur m’est venu dire que M. du Quesne me demandait . J’étais préparé. Je suis monté. Tu nous plantes
e un coup avec nous. J’en ai bu quatre bien pleins, et ensuite lui ai demandé de quoi il s’agissait pour son service. Il m’a di
commandeur y sont entrés. Combien avons-nous encore de bonites ? m’a demandé celui-ci. Vous le savez bien, monsieur, lui ai-je
et quitte à quitte et bons amis. Combien veux-tu de figues ? m’a-t-il demandé . Je ne vous ressemble pas, lui ai-je répondu : je
m’a-t-il demandé. Je ne vous ressemble pas, lui ai-je répondu : je ne demande pas un partage égal par moitié ; je me fie sur vo
. de La Chassée le procès-verbal qu’il m’avait vingt fois inutilement demandé . Je le lui ai donné, et ai été retrouver mes conv
qu’il ne répondait pourtant pas de sa vie ; et que s’il empirait, il demanderait le secours de ses confrères, par un pavillon en b
celle du roi et de Mme de Maintenon, s’il leur refusait ce qu’ils lui demandaient . Il eut beau leur apporter de bonnes raisons ; en
urent pris en 1688 ; et tout ce que les officiers purent faire fut de demander que le misérable qui avait tué son capitaine leur
s a sauté, et il l’a remporté vide. Il nous a à tous fort amiablement demandé notre amitié, et nous l’en avons tous assuré, et
e prêter leur ministère à de semblables sacrifices, quand Dieu ne les demandait pas par la bouche de ses prophètes. Je n’en trouv
is rien, à moins qu’on ne me donne la même preuve convaincante que je demande sur San-Porandon des îles des Canaries, page 161.
g, et nous y retint avec honnêteté jusqu’à ce que ce que je lui avais demandé fût arrivé, et nous accompagna à la chasse pendan
na nos fusils, notre poudre, notre plomb, et tout ce que je lui avais demandé étant arrivé, nous le conduisîmes au camp, où il
Il m’a fait dire qu’il voulait venir en France avec nous, et qu’il me demandait passage. Il a poussé son effronterie jusques à me
er que les autres Noirs lui fissent insulte. C’était ce que le coquin demandait  : il s’y accorda. Le sieur Le Vasseur arriva un m
ns rencontrer personne. Enfin, je trouvai une troupe de Noirs, qui me demandèrent où j’allais. Mon nègre leur répondit que j’allais
mal à propos engagé. Je leur fis répondre que c’était tout ce que je demandais  ; qu’ils ne pouvaient pas me faire un plus grand
c’étaient des Anglais qui étaient à cette île, parce que je l’ai fait demander par mon nègre ; mais, je ne sais ni quand, ni com
nous parut grand pour lors. Nous mouillâmes sur sa bouée d’ancre, et demandâmes d’où était le navire. Il nous répondit de Londres
nt le Nord-Est quart-d’Est. M.du Quesne, en passant proche de nous, a demandé des nouvelles de M. le chevalier de Bouchetière,
s appelaient à leur secours. As-tu de quoi leur donner à manger ? lui demanda froidement M. d’Aire. Ils vivront avec l’équipage
u essuyer mille railleries et autant de grossières turlupinades. L’un demandait à quel dessein nous avions apporté des armes, pui
e m’eût mis personnellement en jeu, en venant avec un air empressé me demander une plume, de l’encre, du papier, de la cire et u
de pièces. Autre matière à risée. Enfin, on lui en a tant dit qu’il a demandé quartier. Nous allions nous mettre à table pour s
mment cela serait pris en France, mais qu’il n’avait que faire de lui demander de certificat de bravoure, n’étant pas d’humeur à
açon que s’il avait cru que je l’eusse eu encore, il me l’aurait déjà demandé  ; mais qu’il avait cru que j’avais fait comme lui
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
ir le secret de mes amis qu’autant qu’ils le souhaitent, je ne lui en demandai point la raison, et ce ne fut que le jour même qu
le moindre chagrin les rendait languissants, pour lors ils semblaient demander le cœur de tous ceux qu’elle regardait. Le front
auvais, et cadre assez aux paroles. La pensée parut plaisante ; on me demanda le nom de l’auteur de l’air et des vers ; je dis
e, et quel est cet autre parti qui m’est offert ? Elle rougit à cette demande . Avant que de vous le déclarer, Monsieur, me dit-
obstacle. M’aimez-vous autant que vous voulez me le faire croire, me demanda-t -elle en me regardant fixement. Oui, lui répondis-
é, campagnard et très riche, qui commença par la voir, l’aimer, et la demander . Il était sans contredit un des plus désagréables
plaira. Je vous laisse maîtresse de votre sort et du mien, je ne vous demande pour toute grâce que de me remettre entre les mai
criminels. Ce fut en vain qu’elle cria que j’étais son mari ; qu’elle demanda par quelle autorité on nous séparait, et pourquoi
qu’elle avait fait. Il s’est présenté plusieurs partis qui n’ont pas demandé mieux que de l’épouser. Un entre autres, d’une ma
l qui est mon correspondant, à qui je l’adressais. Celui-ci, à qui je demandais tout, et que vous allez voir venir avec elle, le
eur, poursuivit Jussy, ce que vous avez désiré de moi. Ce que je vous demande à présent, c’est de vouloir bien attendre ici ma
témoin, si comme vous me l’avez dit, vous n’avez point d’affaires qui demandent si promptement votre présence. À mon égard, je se
. Il l’emporta, et une heure après il revint avec la permission qu’on demandait pour célébrer le mariage dans telle église du dio
ue, elle qui l’avait toujours porté chez lui comme une dévote. Il lui demanda d’où elle venait, et où elle était restée depuis
13 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
, je m’aperçois qu’elle est bonne ; mais vous voulez bien que je vous demande des nouvelles de ma famille. Madame votre mère es
is revenu son ami autant et plus que je n’étais parti. Des Ronais lui demanda quand il reviendrait ; il répondit que ce serait
ue le troisième jour. D’où revenez-vous donc depuis si longtemps, lui demanda Des Ronais, en l’embrassant sitôt qu’il le vit ?
ler devant lui de ma rupture avec sa cousine. Est-ce ma belle commère demanda Des Frans ? Oui, c’est elle, reprit-il, Dupuis n’
ance plus forte que la nature. Je ne m’étonne pas de ne vous voir pas demander de ses nouvelles, vous en savez de plus certaines
onsieur de Jussy, dont vous avez tant entendu parler. Est-il à Paris,  demandèrent à la fois Des Ronais et Dupuis ? Oui, répondit De
s il faut que j’aille trouver Madame de Londé. Quelle est cette dame, demanda Des Frans ? C’est, répondit Des Ronais, la sœur d
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
et défendit à ses gens d’en parler, protestant devant Dieu, qu’il ne demandait dans sa femme qu’autant de vertu qu’il en avait t
endemain à la messe ; un regard qu’elle jeta sur moi, qui semblait me demander mon cœur, détruisit toutes mes résolutions. J’exc
ssent. Qu’à présent on n’en faisait aucun scrupule ; que même on n’en demandait point de dispense, que cependant cette alliance s
ordinaire ; nous nous expliquâmes, et nous résolûmes que je la ferais demander à son père. Pour moi j’étais en pouvoir de dispos
t bien que ce qu’il avait de bien était à lui. Qu’elle ne pouvait lui demander que celui de sa mère, qui comme elle savait elle-
r ses besoins, en lui garnissant sa bourse, sans attendre qu’elle lui demandât rien [ce qui était vrai, car il en agissait fort
son portrait ; après quelques petites façons elle me le promit et me demanda le mien. Je le lui promis, et le lui donnai le pr
eux de vous aucun sacrifice, je ne veux que de l’amour, et je ne vous demande seulement que de ne me point sacrifier. Si vous l
messe, je choisis ce temps-là exprès. Je me jetai à ses pieds, et lui demandai sa fille toute nue, c’est-à-dire, que je m’offrai
agement de sa part, et même sans aucune espérance de son côté. Je lui demandai seulement qu’il voulût bien me la donner, que je
t il avait la survivance. Ils accordèrent à Dupuis tout ce qu’il leur demanda  ; et enfin l’affaire fut traitée si sérieusement,
nait cela à la passion, et qu’il faudrait n’être pas raisonnable pour demander de la raison dans un amour au désespoir. Un disco
fatigués et rebutés, c’en était autant qu’il lui en fallait, il n’en demandait pas plus. Je vous ai dit qu’il avait voulu tout r
encore, que si vous aviez épousé ma fille toute nue, comme vous me la demandiez , vous croiriez que ce serait son bien que je vous
sûretés par écrit pour le reste, il les prit effectivement ; mais me demanda si j’avais envie de mourir avant lui, et ajouta q
omme les anges, le corps malgré moi n’y avait point de part, et je ne demandais pas mieux qu’un amusement. Cette fille était gail
essant à moi, dites à mon confesseur ce que je viens de vous dire, et demandez -lui s’il n’y a pas moyen de vous épouser dans ma
nde. Comme je ne me souvenais pas d’avoir jamais vu ces vers, je lui demandai si c’était lui qui en était l’auteur. Il me dit q
uriosité. Les termes où nous en étions, pouvaient me permettre de lui demander à qui elle écrivait. Je ne le fis pourtant pas. J
 ; car outre son Gauthier que je n’ai jamais pu découvrir, elle a été demandée par deux personnes qui valent mieux qu’elle, et q
étaient de retour, et qui le reçurent fort bien, parce qu’il ne leur demanda rien. Il leur témoigna qu’il voulait se fixer à P
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
ttaché par enchantement, car je n’en ai rien senti. —  Et où est-il ? demanda l’officier. —  Il faut, répliqua Sancho, qu’il so
ure qu’il faisait en Espagne, le vint aborder fort civilement, et lui demanda sa protection pour deux dames françaises, et pour
et elle était d’autant mieux fondée que ces assassins n’avaient point demandé la bourse, et avaient tout d’un coup attaqué la v
r une place dans son carrosse à la demoiselle française qui lui avait demandé sa protection, comme la civilité semblait le dema
se qui lui avait demandé sa protection, comme la civilité semblait le demander  ; ainsi étant prêts à répondre, ils lui dirent qu
ne vint avec la comtesse, que la même demoiselle française qui avait demandé au duc d’Albuquerque sa protection. Comme les dif
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
rquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. La maî
l serait en état de se rendre à ses devoirs auprès de Sainville. Elle demanda conseil à l’aimable Provençale sur ce qu’elle ava
mieux fait qu’elle eût jamais vu, et qu’elle n’avait pu s’empêcher de demander qui il était, et qu’ainsi n’ayant jamais vu autre
mitié qu’ils avaient contractée ensemble la dernière campagne, il lui demanda par quelle aventure il était ainsi venu en Espagn
la France sitôt que ses forces seraient revenues. Ensuite Valerio lui demanda pourquoi il s’était caché de lui. Du Chirou lui r
faire obtenir cette grâce. La marquise qui vit bien que sa parente ne demandait pas mieux, y consentit de la meilleure grâce du m
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
e l’oncle qu’il n’était pas difficile d’obtenir, et qu’on remit à lui demander lorsque sa santé serait un peu rétablie. En effet
ent qui empêchèrent Sancho de la rosser ; les dames parurent aussi et demandèrent d’où venait un si grand bruit. Altisidore voulut
— Qu’est-ce que c’est donc que vous avez eu à démêler ensemble ? lui demanda la duchesse. — Pardi, Madame, ne le voyez-vous pa
nez-le et ne le lui donnez que quand il en sera temps ; je ne vous en demanderai que pour boire de temps en temps chopinette avec
beaucoup de peine, car on ne gagne guère ; nous n’avons pourtant pas demandé l’aumône, mais vingt-quatre heures font un jour,
aussi bien comme une épingle en a une. — N’est-il pas un peu ivrogne, demanda la duchesse, et vous, ne buvez-vous pas un peu ?
je vous la donne, puisque le diable n’en veut point, et si je ne vous demande rien de retour. Pour moi je m’en vais ; on cuit d
agage et de l’argent. Il rencontra Don Quichotte, et le curé, qui lui demandèrent où il allait. — Pardi, leur dit-il, je m’en vais
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
Monsieur, lui dit Sancho. —  Qu’y a-t-il de nouveau, ami Sancho ? lui demanda notre héros. —  Il y a, répondit l’écuyer, bien d
vous battre contre son fils. Est-ce que les enchanteurs sont mariés ? demanda la marquise. —  Non, non, Madame, répondit Sancho
as toujours les siennes sur le dos ; et laissant là Don Quichotte, il demanda à Sancho s’il voulait en attendant que le chevali
t quoiqu’on se doutât bien de son dessein, on ne laissa pas de le lui demander , comme si on l’eût ignoré, et il l’avoua ; et sup
l l’attendait pour le lui expliquer ; mais qu’elle ne lui avait point demandé par où il était entré, quoique les portes et les
à Parafaragaramus, et de faire ses efforts pour qu’il lui accordât sa demande , et lui ordonna de sa part de se désarmer jusqu’à
hevalier, ajouta-t-elle, parlant à Don Quichotte, qui avait écouté la demande de Sancho, c’est encore une raison qui vous doit
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
pur, une conscience nette, rien à autrui et n’avoir jamais menti, il demande l’impossible ; cela était bon pour les gens de l’
tu toi, qui oses venir où jamais homme vivant n’a mis les pieds ? lui demanda l’horrible figure. — Tu auras mon nom après ma vi
conduit, et non pas un amour criminel. Plus amoureux qu’Orphée il te demande son Eurydice ; le sage Merlin lui a cédé la victo
fidèle chevalier des Lions, Don Quichotte, l’honneur de la Manche, te demande justice par ma voix, comme il va te la demander l
nneur de la Manche, te demande justice par ma voix, comme il va te la demander lui-même. Qu’il se lève et qu’il parle, répondit
niveau ceux que la naissance ou la fortune avaient distingués. Pluton demanda à Merlin pourquoi la princesse Dulcinée du Toboso
amorphose de ses habits dans les haillons qui la couvraient ; elle en demanda réparation, et parut toute réjouie lorsqu’elle su
20 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
on que sur le papier. Quoi qu’il en soit, le RP Tachard ne veut point demander à Pitrachard la confirmation du caractère d’ambas
côté de terre, & si incommode pour la vie. Je l’ai plusieurs fois demandé  : on ne me l’a point dit, parce qu’on ne la sait
is fois le tour du foyer, sur lequel le cadavre était étendu ; on lui demanda autant de fois si elle voulait effectivement être
elle n’a pas une pagne neuve à la fin du mois, il est en droit de lui demander ce qu’elle a fait de son argent. En un mot, ces n
t ces adustions qu’avec peine. On a mis les bramènes sur le pied d’en demander la permission : les Hollandais n’ont jamais voulu
e que j’interrogeais, & le Portugais mon truchement, rirent de la demande que je fis, si cette nouvelle mariée restait seul
ne demi-heure de prières, de supplications ou d’imprécations pour lui demander de la pluie, ils la prièrent de leur faire signe
ent vêtus que ceux de Pondichéry ; & la première chose qu’ils ont demandée en portugais, & que M. de Pressac, lieutenant
s minuit le Florissant a viré de bord pour nous joindre, & nous a demandé si nous voyions deux vaisseaux sous le vent ; on
mps bâbord & stribord ; mais, en ayant approché de la voix, &  demandé d’où est le navire. Le Dragon a répondu : de Roue
etière, car nous sommes à présent les meilleurs amis du monde. Il m’a demandé si j’avais préparé un bouquet. Pour qui, lui ai-j
de. Il m’a demandé si j’avais préparé un bouquet. Pour qui, lui ai-je demandé . Pour l’aumônier, m’a-t-il répondu. Il s’appelle
fferebat, etc. Je suis ressorti tout aussitôt de ma chambre. Il m’a demandé si j’avais déjà fait. Je lui ai répondu que, de l
n bouquet : il l’a lu en riant & m’a remercié. M.Charmot le lui a demandé  : il le lui a donné, & celui-ci m’a fait jure
sa main un endroit au-dessous de sa tétine gauche, & semblait lui demander un nouveau secours. Il la sonda de nouveau ; &
rdu beaucoup de vin, n’a pas voulu faire le troc sans y gagner : il a demandé une barrique de vin de retour, & elle lui a é
mardi gras, & sont depuis longtemps, au mercredi des Cendres. La demande que m’a faite M. Blondel m’en fait très mal augur
jours été extrêmement occupé, tant à terre qu ’à bord : à terre, pour demander ce qui nous était nécessaire, & à bord pour r
es salaisons dont le corps est nourri, ce qui fait que la guérison ne demande que des viandes rafraîchissantes & des légume
sont encore actuellement en guerre avec lui au sujet de ce fort. Ils demandent la paix avec instance & offrent d’achever de
autres écrivains auraient bien voulu que j’en eusse pris & m’ont demandé pourquoi je n’en prenais pas. M.de La Chassée, qu
peine entendait-il le français, bien loin de le parler. Monicault lui demanda ses papiers. Ce fut ici qu’il fut instruit de la
e se payer & de lui donner quittance. Arouard eut le front de lui demander où il avait pris cet argent. Monicault, qui n’ent
avait pris cet argent. Monicault, qui n’entendait pas raillerie, lui demanda de quoi il se mêlait, le traita comme il méritait
vent exactement entre eux la paix & la tranquillité que le négoce demande , sans se faire entre eux aucun tort, ni violence.
plus de raison, que nous n’avons pas pris les vivres qui avaient été demandés pour deux mois d’augmentation de campagne. La sui
eu d’événements que le nôtre. Il a voulu voir ce journal & me l’a demandé avec tant d’honnêteté & d’instance que je n’a
vait retenu le marquis d’Éragny en France. M. Martin a plusieurs fois demandé à messieurs de la Compagnie un successeur & s
se impossible, il a lui-même écrit son histoire à la Compagnie, &  demandé l’alternative : ou de lui permettre de retourner
leine rue ; mais, dans le cabaret où elle les avait suivis, lui ayant demandé le nom de son mari, où il était & ce qu’il fa
s fréquenté de l’île. Ils font cette cérémonie ; & lorsqu’on leur demande de quelle religion ils sont, ils répondent qu’ils
ais qui sont venus à Négrades l’ont certifié, l’ayant prié de le leur demander . Et c’est enfin Rickwart, qui revient en Europe a
rer, en être charmé, l’aimer, se déclarer, avoir son consentement, la demander , l’obtenir, passer un contrat & l’épouser sur
ire qu’elle avait fait assez de mauvaises actions dans sa vie pour en demander éternellement pardon à Dieu, & à lui. La perf
; si bien, qu’à notre retour de Balassor, il vint me joindre & me demanda si mes deux petits oiseaux étaient à vendre. Le P
du Florissant. Il me dit que lui & moi y étions conviés, & me demanda ma parole pour le lendemain midi, qui était l’heu
aîné lui fit sa harangue à son tour ; &, après presque les mêmes demandes , il le pria de lui dire dans quel corps son âme é
les croient la métempsycose de Pythagore. Après quantité de ridicules demandes , ce fils se laissa tomber, & resta avec les p
tiques, qui sont tellement avares & avides de présents qu’ils les demandent . sans honte ni pudeur : étant chez eux un complim
ux qu’ils avaient pu ; qu’ils avaient instamment & plusieurs fois demande un ingénieur entendu & versé dans les fortifi
vent réitérés, d’accorder et d’avancer à ces pères tout ce qu’ils lui demanderaient . Ce qu’ils avaient porté à un tel excès que le se
me, ou ceux qui ordonnent les achats des marchandises indiquées &  demandées par les jésuites déguisés, qui disposent des marc
talons sont aussi de telle hauteur, grosseur & largeur qu’on les demande à l’ouvrier. Cette sorte de chaussure est commune
passait est peu fréquenté, étant fort éloigné. Il alla au cri, &  demanda au More ce qu’il avait à crier. Celui-ci lui cont
eur sainte Société auprès de Jésus-Christ son fils ; & enfin, lui demandèrent les clefs de cette chapelle pour y célébrer une n
interrompant. Hé parbleu ! oui, je ris, lui dis-je. Eh ! de quoi ? me demanda-t -il. De ce que, répondis-je, les pères jésuites ne
a Compagnie nous avaient donnée. Nous nous concertâmes en Conseil. La demande avait été faite devant trop de monde & était
ais bien que, dans le IVe chapitre des Actes des Apôtres, les apôtres demandèrent à Dieu la grâce de pouvoir annoncer sa parole ave
e tous les sauvages ne voulaient plus de jésuites chez eux. On lui en demanda la raison ; & il répondit, aussi brutalement
ndre congé de lui. Je vis des jésuites sortir de son cabinet : je lui demandai s’il en passait aux Indes. Il me dit qu’il en ven
; qui est cause qu’il leur accorde tout ce qu’ils ont le front de lui demander , quelque injuste qu’il soit ; parce qu’il ne veut
c’était pour tous les hommes une leçon de se purifier ; & lui ai demandé si la succession de Le Vasseur ne lui tenait pas
u vœu comme de Jean de Wert, puisqu’ils l’ont si tôt oublié qu’ils se demandaient en dînant ce qu’on avait promis. Qu’on ajoute à c
e crainte d’en donner aux autres que de peur d’être obligé de leur en demander . Il parla du gouvernail. Je lui dis que celui de
el saint se vouer pour se tirer de nos brocards. M. de La Chassée lui demandait s’il craignait que les Anglais ou les Hollandais
après être sorti de l’île sonnante ! Qu’entendez-vous par là ? lui a demandé Bouchetière. Je veux dire, a repris La Chassée, q
n ; mais quand j’aurai une fois commencé, il ne sera plus temps de me demander quartier. Je parie, m’a-t-il dit, que tout subtil
de tout le genre humain. Pendant que notre aumônier a été sorti, j’ai demandé à La Chassée ce qu’il avait voulu dire sur la man
ation est insensiblement retombée sur les moines, & Bouchetière a demandé à La Chassée par quel endroit les moines lui étai
ant être déjà à Mons. Je me mis à crier À moi ! L’hôte monta & me demanda , avec un froid de Flamand, si j’avais bien dormi 
n froid de Flamand, si j’avais bien dormi ? Où est le cordelier ? lui demandai -je. Etes-vous encore saoul ? me répondit-il. Croy
vais vu qu’en moine, & jamais en habit décent, ou du monde. Il me demanda mille pardons, m’obligea de prendre deux fois plu
conclusions prises par l’écrivain du roi, a repris Bouchetière, &  demande à la cour d’être reçu partie intervenante. Je ne
léger péché qu’il m’en donnerait l’absolution sans confession, si je demandais à l’écrivain du roi deux pots de bon vin vieux, s
que votre indiscrétion a attiré. J’aurais tout dit, si on me l’avait demandé  ; & à présent, quand le diable s’en mêlerait,
 ; &, quoique j’aie toujours été malheureux dans la mienne, je ne demande qu’à la revoir. Nescio quâ natale solum dulcedin
charmé de ses manières, & plus encore de sa conversation. Il lui demanda plusieurs fois quelle elle était ; pourquoi elle
a mère était morte de chagrin, & qu’elle était venue à Paris pour demander pour elle la confiscation de tout le bien de la f
te-six mois & les nègres des sucreries, qui, n’étant pas bien, ne demandent qu’à changer de maîtres ; les nouveaux convertis,
gens, même assez considérables, qui peut-être en étaient férus, m’ont demandé d’où je la connaissais. Je leur ai fait à tous la
la souper & coucher avec sa maîtresse. Le lendemain, Vallière lui demanda où il avait passé la nuit. Bernard ne voulut pas
emblant d’être parti, lui répondit la rusée femelle. D’où vient ? lui demanda-t -il. C’est, lui répliqua-t-elle, qu’il se brasse a
mpi, à qui Bernard avait donné le mot, vint lui dire que M. Ranché le demandait . Il sortit aussitôt ; & Vallière, qui crut qu
; frappa à la porte comme il croyait que Bernard y frappait. La belle demanda qui c’était, par la fenêtre. Ouvrez-moi, répondit
officier d’épée, de l’affront qu’il avait voulu lui faire, & d’en demander réparation ; &, pour cela, il lui indiqua une
la malice de M. d’Éragny, qui, malgré les pardons que Vallière avait demandés à cette femme en sa présence, & le sucre qu’i
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
par les deux duchesses ; et comme la comtesse et les Françaises leur demandèrent ce que c’était que cet accident, la duchesse de M
er auprès de son maître, se rabattait sur lui. Il eut le front de lui demander la permission d’aller la trouver seule dans sa ch
transi de froid. Il le reconnut, le délia, lui ôta le bâillon et lui demanda qui l’avait mis là, et lui avait si bien moucheté
du château qui firent les étonnés. Ils voulurent passer outre sans en demander la cause ; mais la duchesse les retint malgré eux
ses bourreaux ; elle n’a que ce qu’elle mérite, et elle a tort de me demander vengeance d’eux, puisque j’aurais fait moi-même c
ndemain ils sortirent avec les autres pour aller à la chasse. On leur demanda à quel dessein ils s’étaient armés, puisqu’ils n’
tait là autour, qui ne cherchait qu’à leur faire pièce. On ne leur en demanda pas davantage, et toute la compagnie, c’est-à-dir
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
d’une petite ville à une lieue de là, il rencontra un enterrement. Il demanda ce que c’était, et on lui répondit que c’était un
l vous a faite, et qu’il ne fait pas à mille honnêtes gens qui la lui demandent tous les jours ; vous devez l’en remercier, plutô
ffaire lui permirent l’usage du vin pour hâter son rétablissement, il demandait incessamment à boire, et trompant sa garde, qui n
sa fille avec le fils de son défunt fermier. — Est-il riche, Madame ? demanda Thérèse, car quand une femme apporte de quoi dîne
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
ressouvenir d’eux, et de troquer le reste contre le premier qui te le demandera , tu ne perdras rien au change ; assure-moi donc q
t le secret de son mari que pour le trahir ; ce sont des importunes à demander et des diables à rendre. Thérèse n’en croquera qu
toute cette vaisselle étendue, et d’en admirer la fabrique et l’art, demanda à notre héros si c’était à lui, et qui la lui ava
ui dire de quelle manière cela lui avait été donné lorsque le duc lui demanda s’il voulait troquer sa vaisselle contre son pesa
, mais elle a promis qu’on le saurait en votre présence, et elle vous demande avec beaucoup d’impatience. Je l’ai conduite dans
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
s avions quitté le jeu en même temps que les autres, et en sortant je demandai à Silvie un moment d’entretien particulier, afin
Sainville a pour vous, m’est un garant certain du secret que je vous demande pour tout autre que pour lui, et vous ne lui dire
n ni lire ses lettres, il s’adressa vainement à Phénice pour me faire demander en quoi il était coupable, je crus que c’était l’
ue vous pourrez ; ne vous informez point où je suis, et si on vous le demande , dites que je suis à une de mes terres en provinc
qu’elle put, et lui voyant l’esprit un peu plus tranquille, elle lui demanda quel couvent elle avait choisi. Silvie lui répond
la faire rendre, ou pour la reprendre partout où il la trouverait. Il demanda pour cet effet une lettre de cachet, et les amis
nt toujours au duc d’Albuquerque, que j’ai été assez hardie pour vous demander votre protection contre les bandits dont nous pou
e très grande qualité, et en un mot digne de vos soins. Elle vous les demande , Monsieur, et l’honneur de votre appui à la Cour
25 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
justement trouvé Monsieur Du Quesne que je ne cherchais pas, qui m’a demandé si je n’embarquais pas, que le vent était bon, qu
essus, mais non pas sur la congélation perpétuelle de ces vapeurs, et demande pourquoi ce sommet de montagne qui est beaucoup p
as eu de l’Evêque ce qu’il en espérait. Mais on n’a pas tout ce qu’on demande dans le monde, et outre cela ce ne sont point mes
able. Il m’a fait la grâce de me donner sa bénédiction, que je lui ai demandée en particulier. Les autres ecclésiastiques sont t
z juger de leur latin puisque le sacristain à qui je citai Cicéron me demanda quel homme c’était. Pour ce qui est du gouverneme
. Quand ils ont affaire de vous ils vous flattent ; ont-ils ce qu’ils demandaient ils disparaissent. J’ai eu pendant près de deux j
ivi comme un barbet. Si je lui avais donné son argent lorsqu’il me le demanda , j’aurais couru risque de revenir à pied ; du moi
us nous voir, je ne dis pas nègres seulement, mais même Européens, ne demandaient point à boire ni à manger, leur orgueil naturel n
tant ce qui leur en reste, religieux observateurs de la coutume. J’ai demandé à un matelot pourquoi il n’en gardait pas pour le
nie qui se fait sous la Ligne et que les matelots nomment baptême. On demanda hier à Monsieur le Commandeur la permission de la
8 à 19 ans, et se nommait François Nicole. Cela m’a donné occasion de demander au valet de chambre de Monsieur le Commandeur, qu
sent aussi bien vivre et avec tant de concorde que nous ; que nous ne demandions tous qu’amour, joie et simplesse, et dit enfin à
Il m’a fait dire qu’il voulait venir en France avec nous et qu’il me demandait passage ; et m’a dit même que l’heure étant indue
que les autres Noirs ne lui fissent insulte. C’était ce que le coquin demandait  : il s’y accorda. Un moment après, Monsr. de Bouc
s rencontrer personne, enfin je rencontrai une troupe de Noirs qui me demandèrent où j’allais ; le nègre leur dit que j’allais à la
s du Roi écrivit devant moi à ses gens pour me faire amener ce que je demandais . Ils estiment fort le papier et ne le prodiguent
us parut grand pour lors. Nous mouillâmes sur sa bouée d’ancre et lui demandâmes d’où était le navire. Il nous répondit de Londres
sur le papier. Quoi qu’il en soit le R. P.Tachard ne veut point aller demander au roi régnant la confirmation du caractère d’amb
autour de ce lit funeste où le corps de son mari était étendu. On lui demanda autant de fois si elle voulait effectivement se b
lus d’un gros quart d’heure de heurlements et d’imprécations pour lui demander de la pluie, ils la prièrent de leur faire signe
de Pondichéry, c’est-à-dire tout nus, et la première chose qu’ils ont demandée en portugais qu’ils parlent fort bien et que Mons
près minuit, le Florissant a viré de bord pour venir à nous et nous a demandé si nous voyions ces deux navires, on lui a répond
temps bâbord et stribord. Mais en ayant approché de la voix et ayant demandé d’où est le navire ? le Dragon a répondu De Rouen
nq. Nos matelots savaient et connaissaient les voleurs ; ils leur ont demandé plusieurs fois leur argent, offrant même d’y perd
de vin, il n’a pas voulu faire le troc sans y gagner, et pour cela a demandé une barrique de vin de retour, ce que Monsieur Jo
rs malades, mais il ne me paraît pas qu’ils soient bien ; du moins la demande que le commissaire m’a faite m’en fait très mal a
toujours été extrêmement occupé tant à terre qu’à bord, à terre pour demander ce qui nous était nécessaire, et à bord pour rece
ce, ils observent exactement entre eux la paix et la tranquillité que demande le négoce sans se faire aucun tort les uns aux au
l pas bien ? N’avais-tu pas assez de riz pour vivre ? Et mille autres demandes de pareille nature, après quoi elle sortit. Le fi
rnons trouver le fils qui questionne son père mort. Après quantité de demandes impertinentes, il se laisse tomber à terre et dem
e de Monsieur le comte de Blénac qui y a été fort longtemps, et qui a demandé au Roi son congé pour passer dans le repos le res
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
our éviter d’en venir aux mains. —  Eh ! qui sont-elles ces raisons ? demanda le duc avec beaucoup de douceur. —  Bouche close,
sa lâcheté, d’avoir abandonné sa maîtresse, et il se contenta de lui demander ce qu’il faisait là. Il répondit, qu’après avoir
on, qu’ils avaient envoyé un des leurs vers le fameux Roque, pour lui demander sa jonction, et lui offrir de partager le butin a
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
u absolument avoir l’honneur de le servir, n’attendaient pas qu’il en demandât . Il ne buvait jamais qu’il ne s’échauffât, et n’é
squ’il se taisait en public ; ainsi lorsqu’ils furent retirés, il lui demanda ce qu’il pensait du combat qu’il avait soutenu le
s un chapitre de moines où elle présidait. —  Eh ! l’en retira-t-il ? demanda Sancho. —  Vraiment oui, lui répondit Don Quichot
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
parla des héros des deux nations. Le Français nomma Don Quichotte, et demanda avec une simplicité de badaud, s’il avait véritab
les en comparaison du reste. Cela piqua la curiosité du Français, qui demanda avec empressement à voir la suite. Pour la lui fa
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
de avant AdaM. — Votre femme est donc méchante, Chevalier Sancho, lui demanda la duchesse, puisque vous vous en plaignez ? — Pa
avait une il parlerait autrement. — Et comment en parlerait-il ? lui demanda le duc. — Ma foi, Monseigneur, lui répondit Sanch
qu’il l’avait fait exprès, et en demanda pardon à son maître. On lui demanda à quel dessein, et il répondit avec plus d’esprit
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
à, laisse-t’y choir ; à bon entendeur salut. —  Que veux-tu dire, lui demanda Don Quichotte, avec tes proverbes entassés l’un s
—  Je m’en console aussi, reprit Sancho ; mais… —  Quoi, mais… ? lui demanda notre héros, voyant qu’il n’achevait pas. —  Lais
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
Manche à ces paroles sortit de la profonde rêverie où il était, pour demander ce que c’était que cette aventure. — Pardi, Monsi
e à l’extrémité. A l’égard de Sancho, son instinct le porta d’abord à demander du vin, et il ne voulut jamais souffrir qu’on le
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
rapper à sa porte. Il ouvrit, et vit l’écuyer de la comtesse, qui lui demanda fort froidement, s’il avait déjà pris son cheval
armé voulait passer sans rien dire ; mais la duchesse l’arrêta et lui demanda où il allait si vite. Il lui répondit en grondant
33 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
ugénie se donner la peine et se charger de tout. Don Quichotte qui ne demandait qu’à se signaler, dit qu’il fallait aller dès le
34 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
qu’ils ne connaissaient point, tâchèrent de lui donner du secours et demandèrent vainement à Gabrielle de Monsalve qui elle était.
35 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
oi aussi, dit Sancho. —  Comment donc terminerons-nous notre combat ? demanda le chevalier aux armes noires. —  Vous n’avez qu’
36 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
et parut toujours extrêmement triste, surtout en le regardant. Il lui demanda le sujet de sa tristesse, et elle lui dit d’un ai
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