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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
hez sa mère. Elle retourna deux jours après dans cette maison, elle y dîna et y passa une partie de l’après-midi ; et comme
inaire, lui promit de s’employer pour lui rendre service. Elle la fit dîner à l’hôtel ; le carrosse fut renvoyé à Contamine,
esse lui promit de la remener chez elle. Elles eurent encore après le dîner une fort longue conversation, où elle apprit qu’A
s effets plus tôt qu’il ne pense. Cette princesse les retint toutes à dîner , où votre commère qui arrivait, se trouva ; et de
ures du repas, et y restait toute la journée, lorsque la princesse ne dînait point à l’hôtel. Elle en usa fort bien avec Madam
ui elle était, me l’a enlevée. Elle m’a pourtant prié d’être demain à dîner au logis, elles m’ont assuré que vous en seriez,
ure après midi, que Des Ronais les fit souvenir qu’ils devaient aller dîner chez Mademoiselle Dupuis. J’aime ce soin de votre
Venez, continua-t-elle, en le prenant par le bras, mettez-vous là et dînons , après cela on vous parlera. Ce sera moi, Monsieu
Monsieur de Terny et moi, nous en remettrons le discours après avoir dîné , s’il vous plaît. On se mit donc à table, les deu
ntamine, une autre fois vous vous éclaircirez ensemble ; présentement dînons , et sachons les aventures de Monsieur de Terny ;
et de Madame de Mongey auront leur temps. On suivit ce conseil et on dîna fort bien. Ils parlèrent pendant le dîner des omb
. On suivit ce conseil et on dîna fort bien. Ils parlèrent pendant le dîner des ombrages que les amants prenaient assez souve
vous, Monsieur Des Frans, pour me venger de vous, qui pendant tout le dîner n’avez pas eu la civilité de me dire deux mots, e
2 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
voir profiter de l’aventure. Je leur dis que je voulais leur donner à dîner  : ils répondirent que c’était eux qui me le voula
un mot qui ne lui donnait qu’un simple rendez-vous au Pavillon pour y dîner avec les capitaines Chaviteau et Des Herbiers, et
e ne vous ai pas envoyé quérir pour être grondé moi-même : c’est pour dîner avec vos amis et les miens. Eh bien ! dînons donc
ndé moi-même : c’est pour dîner avec vos amis et les miens. Eh bien ! dînons donc, dit-il : et nous nous mîmes tous quatre à t
il : et nous nous mîmes tous quatre à table. J’avais fait apprêter un dîner le plus propre que j’avais pu, bien certain que j
é de la côte ou tribu d’Albus). Ils donnèrent des arrhes, payèrent le dîner et allèrent chercher des sacs. M. Hurtain et moi
pas de même de M. de Combes, que nous trouvâmes chez lui, où il avait dîné , et où il jouait. Nous lui dîmes ce que nous avio
s acheteurs au Pavillon, où le marché s’était fait, et où nous avions dîné la veille. Je les trouvai tous assemblés, et les
seau, faites-lui excuse et satisfaction, et engagez-le d’aller demain dîner chez vous, et d’y mener MM. de Combes et de Fervi
nous mîmes dans les canots de l’Écueil et du Sans-Pareil, et allâmes dîner chez lui. Nous y fûmes régalés magnifiquement en
celui-ci se fit un plaisir de le chagriner. Ils avaient tous ensemble dîné chez M. l’intendant. Le lendemain, j’y allai avec
l, vaut mieux que mille parasites qui piquent ta table, je veux qu’il dîne avec nous : sinon, je m’en vas avec lui ; et nous
autre que nous aurions été ravis de nous égratigner. Il nous convia à dîner MM. Hurtain, de La Chassée, et moi. Nous y allâme
oici ce que c’est. Comme j’écrivais hier dans ma chambre à l’issue du dîner , les écrivains du roi du Gaillard et du Florissan
rs les lieutenants et sous-lieutenants chopine par repas, à déjeuner, dîner et souper ; à l’égard de tous les autres chacun d
la nature à découvert. Notre conversation se faisait à table après le dîner . Bouchetière et les autres nous écoutaient et ne
, chapitre XVII de ses Méditations. Je me souviens qu’étant un jour à dîner avec M. Pirot, docteur de Sorbonne, il prouva, pa
notre départ de Croix jusqu’ici, et n’a changé qu’à l’issue de notre dîner  ; en sorte que depuis notre départ de Croix et de
mpagnie cet après-midi, à M. de La Chassée et à moi ; il n’a pas même dîné  : il se trouve dans un de ces états qui ne sont n
Toujours calme. J’ai été au Florissant parler à M. Blondel. J’y ai dîné  : il me paraît de la discorde dans ce navire ; ce
sé, mais aussi sans craindre d’être dédit, j’ai convié notre amiral à dîner lundi à bord, avec M. d’Auberville, son lieutenan
vingt-quinze lieues de la Ligne. M. du Quesne n’a pas manqué de venir dîner à bord, avec quatre de ses officiers, et le père
, qui, comme j’ai dit, ne but, ni mangea lundi dernier, et le prier à dîner dimanche prochain. Il l’a vu, l’a trouvé très cha
. Il l’a vu, l’a trouvé très changé, et d’une santé fort faible. Il a dîné avec nous, et a été régalé sans apprêt : il a cep
en bonne compagnie nos méprisantes et véritables intentions. Ils ont dîné à bord, où ils ont eu la fortune du pot, et rien
a bu qu’un coup sur la dunette, et est retourné. M.Joyeux est resté à dîner  : il a été traité proprement, mais avec fort peu
ui a été hautement célébrée, et n’a fini qu’à onze heures. Nous avons dîné ensuite avec une simple grillade de lard et de la
issant, m’a dit que tous les capitaines et les commissaires étaient à dîner chez M. du Quesne, où on allait les prendre pour
Nous avons tenu tous quatre un petit Conseil ; et leur ayant parlé du dîner à l’Amiral, notre opinion à tous est que c’est un
chambre achever de faire ranger ses hardes : il y est resté jusqu’au dîner . Il a paru surpris du service : une bonne soupe a
que nous lui dirions quand nous ne serions que nous trois. Ensuite du dîner , il a été visiter le vaisseau d’un bout à l’autre
t qu’il pouvait m’ordonner de faire donner par homme chopine de vin à dîner et autant à souper, outre la ration d’eau-de-vie 
et ne se refuse pas : il la leur avait accordée ; et sitôt qu’on a eu dîné , voici comme ils s’y sont pris. Premièrement, le
ut le monde a le cœur en joie, et les soldats et les matelots, à leur dîner , se sont presque égosillés à crier Vive le roi et
sa vie. Nos pilotes parlaient ensemble sur la navigation à l’issue du dîner . J’y étais, et m’informais sur la carte des route
e que j’écris. Le commandeur, les autres capitaines et le général ont dîné au Florissant. Le commissaire est sur ce vaisseau
dernier. Dimanche prochain, jour de la Pentecôte, ils viendront tous dîner ici : C’est là que l’affaire de Bouchetière sera
Chassée en est dans une impatience terrible. Nous avons, lui et moi, dîné tête à tête dans ma chambre, et y avons fait, com
e vingt-cinq degrés trente minutes Sud. Tous ces messieurs sont venus dîner ici : M. du Quesne est venu avant les autres. Lui
mmandeur se sont amusés à jaser seul à seul, en faisant le prélude du dîner . Ils ont assurément parlé de moi ; car, en montan
tivement cela ne me plaisait pas. Non, m’a-t-il répondu. Hérault, qui dîne avec moi, m’a pourtant fait trois fois la même qu
mps couvert. Du jeudi 18 mai 1690 Ce n’est pas le moyen d’aller dîner chez le général qu’un vent de Sud-Est contraire e
ur attraper les îles d’Amzuam. Du mardi 13 juin 1690 Nous avons dîné aujourd’hui à l’Amiral, le commandeur, M. de La C
ent un plaisir de me montrer du gibier ; ce qui me servit fort bien à dîner et à souper le vendredi, n’ayant point de poisson
t, il n’est point en état de sortir de son lit. M.du Quesne a donné à dîner à tous les capitaines de l’escadre, qui sont reto
l avait un taot [thon] et l’ont mangé. M. de La Chassée et moi, avons dîné dans la chambre du chevalier ; et nous sommes ser
s mains vides, car je viens d’apprendre à bord du Florissant, où j’ai dîné , que M. du Quesne est fort résolu de rester ici p
qui aurait bien voulu manger sec. M.de La Chassée en a été échaudé à dîner . Il lui est tombé plus de soupe et de bouillon da
irurgien de lui défendre l’usage du vin et de l’empêcher d’en boire à dîner  : il a pensé le battre, et nous a donné une nouve
4 juillet 1690 Toujours en joie, point de chagrin : nous avons été dîner chez M. du Quesne, qui m’a donné deux ou trois ta
quelque mauvaise affaire avec M. du Quesne, qui est venu à l’issue du dîner avec le commissaire. Il n’en est rien : son neveu
à rendre, dit le proverbe. MM. de Porrières et de La Chassée ont été dîner chez M. du Quesne. Ils y ont appris qu’il a ôté à
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
avais reçu à midi trois grandes lettres en même temps. Je les lus, je dînai , je les relus ; et je cherchai dans ma tête d’aut
rager, mais bien plus, lorsque j’envoyai devant lui mon valet prier à dîner avec moi deux hommes que je savais être ses ennem
en rirent à gorge déployée et m’applaudirent de tout leur cœur. Nous dînâmes , et je descendis à deux heures juste. L’élu était
véritable chemin était celui de la porte. Les deux hommes qui avaient dîné avec moi le désespérèrent sans lui rien dire, par
e ordinaire, et nous allâmes nous promener hors de Paris. Il y fallut dîner  ; je les régalai le mieux que je pus. Elles m’en
tous ces papiers-là, je n’en ai que faire. Je vais voir vos oncles à dîner , je commence à être bien lasse de faire tant de d
t bientôt conclu, et je les envoyai au logis. Je voulais le retenir à dîner pour le vin du marché, il y consentit : mais midi
erdu, ce que j’avais appris ne pouvait pas moins valoir. Nous allâmes dîner ailleurs dans un endroit plus honnête. Rouvière n
crétaire, tout en était exclu. Monsieur de Villeblain y était resté à dîner , et nous n’étions que nous trois à table. Valeran
e nous étions nés l’un pour l’autre. Je fis remeubler sa chambre ; je dînai avec elle toujours occupé[s] de nos protestations
à une heure si indue. Je connais le faible de cet homme, je le menai dîner , et j’appris ce qui en était. Cela me mit dans l’
ce que Monsieur et Madame d’Annemasse m’auront répondu, j’irai demain dîner chez eux. En achevant ces mots, elle le mit dehor
i court sur son compliment, et la priai d’aller nous faire apporter à dîner , et cependant nous restâmes seuls Silvie et moi.
tout l’esprit qu’une femme peut avoir ; et comme il était tard, nous dînâmes . Sur les six heures du soir les gens qui devaient
comme je vous ai dit, très proche parent de ma mère, vint la voir et dîner au logis. Je lui fis toutes les civilités dont j’
pas chez ma mère, puisqu’il m’avait laissé chez Silvie où nous avions dîné . Il ne laissa pas de me demander, ma mère lui aya
s point encore vue. Je lui fis demander si elle voulait que j’allasse dîner avec elle. Elle me fit répondre que j’en étais le
promit de se trouver le lendemain chez Des Ronais qui les pria tous à dîner . Madame de Londé qui savait que Dupuis qu’elle al
ointe de joie qui fait tout le plaisir de la table. On s’y mit, et on dîna splendidement. Comme on commençait à manger, Mons
été chez Mademoiselle Dupuis pour la voir, et y ayant appris qu’elle dînait chez Des Ronais, ils n’avaient fait aucune diffic
venir. Ils furent fort bien reçus, et la compagnie étant complète, on dîna avec toutes sortes de plaisirs ; l’humeur agréabl
irent fort galamment qu’elles avaient cru être de ses amies, et venir dîner chez lui sans façon : mais qu’elles voyaient bien
mpées, puisqu’il les traitait avec tant de magnificence. En effet, le dîner était tout à fait somptueux. Des Ronais dit en ri
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
ue je ne cherchais. Il me dit qu’il avait une partie faite pour aller dîner à Meudon, et qu’il ne tiendrait qu’à moi d’être d
s lois humaines. Enfin il parla fort juste, et ne fit aucune façon de dîner avec nous, il était trop tard pour déjeuner. Notr
hôtesse, dont le mari était à la ville, nous servit à table. Après le dîner , il nous fit écrire à tous deux une promesse de m
payer sa part : elle l’appela, et lui fit nettoyer ce qui restait du dîner . Je suis fort contente, lui dit-elle ensuite, des
ifficulté. Je vois bien, poursuivit Mademoiselle de l’Épine, que nous dînerons ici lundi ; c’est moi qui veux donner à dîner. Te
de l’Épine, que nous dînerons ici lundi ; c’est moi qui veux donner à dîner . Tenez, voilà de l’argent, traitez-nous bien, ce
vint, et ma femme lui fit aussi un présent fort honnête. Avant que de dîner ou déjeuner, il prit nos promesses de mariage, qu
rt beau fil de perles : enfin elle était dans un état à charmer. Nous dînâmes fort bien, avec nos témoins ; mais quoique le dîn
à charmer. Nous dînâmes fort bien, avec nos témoins ; mais quoique le dîner fût propre et bon, il ne laissa pas de m’ennuyer.
errompu que pour faire collation, où nous mangeâmes du reste de notre dîner , avec plus d’appétit que lorsqu’on l’avait servi
dé dans le moment même. Je retins ma belle-mère et l’ecclésiastique à dîner , et nous n’avions pas lieu de nous en cacher, et
rait nous trahir. Ayant tout résolu je sortis, ayant promis d’y venir dîner le lendemain avec sa mère. Elles exécutèrent ce q
nt ce qui avait été résolu, je les trouvai toutes deux ensemble. Nous dînâmes de compagnie, et je défendis absolument à ma femm
urna chez soi après avoir pris heure pour se retrouver le lendemain à dîner chez Madame de Contamine, qui voulut régaler tout
s’aperçut que cette aimable veuve avait rougi. On se mit à table pour dîner . Madame de Contamine fit mettre Des Frans entre e
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
nt découvert. Il revenait un jour avec un de ses amis où il avait été dîner , et d’où il sortait avec lui dans son carrosse ;
chez lui qu’il ne reviendrait que le soir, qu’on ne l’attendît pas à dîner . Il s’était déguisé comme la veille, et avait ren
uitter son beau-père, et écrivit chez lui qu’on ne l’attendît point à dîner , ni même à souper, ayant des affaires qui le reti
qui le retiendraient chez Cléon toute la journée. Sitôt qu’ils eurent dîné ils allèrent ensemble dans cette chambre ; où ils
6 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
n vient de prendre un thon, nous saurons demain s’il est bon car nous dînerons ensemble. Du vendredi saint 24e [mars] Il a
pétit : le thon frais est un pauvre manger, mais nous étions à jeun à dîner , il n’a pas tenu contre nos dents. Il fait calme
fort affligés de sa maladie. Monsr. Blondel, commissaire, est resté à dîner  ; on a fait ce qu’on a pu pour le régaler. Il en
sont venus le voir : le premier s’en est retourné aussitôt, l’autre a dîné ici. Nos rafraîchissements s’en vont bien vite, l
la maladie de Monsieur Hurtain. Monsr. Joyeux est venu à bord et y a dîné . Il s’en est retourné bien affligé du péril manif
ermission de la faire. Il l’a accordée pour aujourd’hui, à l’issue du dîner , et on l’a faite ainsi. Premièrement les matelots
ux antagonistes, et le champ de bataille est ordinairement la table à dîner et à souper. Nous faisons rire les autres, et nou
vé à table avec Monsieur le Commandeur faisant ensemble le prélude du dîner . D’abord que Monsieur Du Quesne m’a aperçu, il m’
a jeté la viande et le bouillon à tous les diables, ainsi très pauvre dîner . Ce n’est pas que la mer fût extrêmement grosse,
ontinue. Messieurs Du Quesne, de Quistilly et de Chamoreau sont venus dîner ici et y ont amené plusieurs officiers et de mes
Nous avons parlé à Messieurs du Gaillard qui disent qu’ils viendront dîner d’aujourd’hui en huit jours avec nous : le terme
’est pas mauvais. Nous étions embarrassés de ce que nous donnerions à dîner à Monsieur Du Quesne s’il venait dîner ici comme
és de ce que nous donnerions à dîner à Monsieur Du Quesne s’il venait dîner ici comme il nous le dit il y a huit jours, Dieu
ous allons toujours un peu. Monsieur le commandeur de Porrières a été dîner chez Monsieur Du Quesne qui régale aujourd’hui, e
point de vent, ces calmes-ci chagrinent tout le monde. Nous avons été dîner à bord du Gaillard, au sortir de là nous avons ét
lard, au sortir de là nous avons été à 1’Oiseau où nos capitaines ont dîné , Monsieur le chevalier d’Aire les ayant régalés a
ient un plaisir de me montrer du gibier, ce qui me servit fort bien à dîner et souper le vendredi, n’ayant point de poisson p
Du vendredi 7 [juillet] Monsieur Du Quesne a donné aujourd’hui à dîner , on en est retourné de bonne heure parce que le v
undi 24e. [juillet] Toujours en joie, point de chagrin. Nous avons dîné chez Monsieur Du Quesne, dont la vue seule est un
de Dieu. Et là-dessus, il a été résolu qu’on irait à eux à l’issue du dîner et que le Lion et le Dragon iraient les premiers
en méchants la nuit puisqu’ils faisaient fuir le Florissant. J’ai été dîner aujourd’hui à bord de ce navire ; on m’a dit que
it et toute la journée, nous allons bien. Monsieur de Porrières a été dîner à bord du Lion ; je n’y ai point été, n’y connais
connaissant personne. Leur aumônier qui est un missionnaire est venu dîner ici et voir Monsieur Charmot. Il me paraît fort p
son lieutenant à bord pour prier Monsieur de Porrières d’aller demain dîner chez lui. Mais comme Messieurs de Quistilly et de
[septembre] Calme presque tout plat. Tous ces messieurs sont venus dîner ici aujourd’hui, et j’ai été au Florissant où ils
ent et toujours temps couvert. Monsieur de Porrières à l’issue de son dîner a été à bord de l’Oiseau et m’y a mené avec les p
7 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
du riz à l’eau ; ils en avalent le cangé, ou le bouillon : voilà leur dîner , & à leur souper ils mangent ce riz qui s’est
pagnies anglaise & hollandaise : que ce prince leur avait donné à dîner à sa table, où lui-même fut convié : qu’à la fin
le. Et, là-dessus, il a été résolu que nous irions à eux à l’issue du dîner , & que le Lion & le Dragon iraient les pr
n méchants la nuit, puisqu’ils faisaient fuir le Florissant. J’ai été dîner à ce navire, où on m’a dit que l’air résolu &
vent, toute la nuit & toute la journée. Le commandeur a été seul dîner au Lion. L’aumônier de ce vaisseau est venu dîner
mmandeur a été seul dîner au Lion. L’aumônier de ce vaisseau est venu dîner ici : il a amené avec lui un missionnaire, nommé
soir son lieutenant à bord pour convier le commandeur d’aller demain dîner chez lui ; mais M. de Quistillic, chez qui nous a
er demain dîner chez lui ; mais M. de Quistillic, chez qui nous avons dîné aujourd’hui, & M. de Chamoreau devant venir d
ous avons dîné aujourd’hui, & M. de Chamoreau devant venir demain dîner ici, il l’a remercié, & lui a fait dire que,
i 28 septembre 1690 Calme tout plat. Tous ces messieurs sont venus dîner ici, où tout a bien été. Ils doivent aller dîner
messieurs sont venus dîner ici, où tout a bien été. Ils doivent aller dîner dimanche au Florissant. J’y ai été dîner. Il faut
bien été. Ils doivent aller dîner dimanche au Florissant. J’y ai été dîner . Il faut que la discorde ait soufflé de son venin
hez lui de plus magnifique ; on s’y est pourtant assez bien diverti à dîner . Le démon protège les idoles de Siam & ne veu
’avais fait une espèce d’amitié. Nous nous embrassâmes, & j’allai dîner chez lui. Il en convia fort honnêtement ces messi
un coup à lui dire quelque chose qui ne voulait point de témoin. Nous dînâmes donc ensemble ; &, quoiqu’il n’attendît qui q
bien vilain & que les quatre lieues qu’il y a du Port-de-Pile, où dîne le messager, jusqu’au Mantelan, où il couche, ne
l’être, prit les papiers, & sortit. Il emmena son nouveau client dîner chez lui, & ayant examiné les papiers, il vit
Il prit la poste, & laissa ordre à sa femme d’aller l’attendre à dîner à trois lieues par-delà ; ce quelle fit. Pour lui
dessein de rentrer dans Paris ; comme en effet il n’y rentra pas. Il dîna avec elle, & lui dit qu’il avait changé de pe
chez le banian, il nous dit de prendre tout ce qui nous avait servi à dîner . Ces gens croiraient être impurs s’ils se servaie
cun converti par leurs soins : & que le banian qui vous a donné à dîner m’a personnellement assuré que la religion était
us allons, grâce à Dieu, parfaitement bien. J’ai entendu à l’issue du dîner une chose qui m’a fait rire, & qui je crois d
en mangeraient le soir dans leur chaudière, recuit avec la graisse du dîner , & assaisonné de vinaigre. Le chirurgien a ét
rand Cerf, un cordelier nommé le père Germain : c’est mon homme. Nous dînâmes ensemble, & j’appris qu’il allait à Mons. Com
ortifiante, & la première toute risible. Ils me firent lever pour dîner  ; &, faute d’autre habit, il me fut force de
é que fort longtemps depuis qu’il a quitté le service de France. Nous dînâmes tous chez le gouverneur, qui nous régala fort bie
ins. Vous seriez bien surpris, me dit ce commis, si je vous offrais à dîner chez M. Germain & qu’il vous rendît avec usur
crois inutile que j’ajoute que c’est avec ma femme que vous venez de dîner . Elle est présente & peut vous dire ce qu’ell
e l’enfer. Nous en parlerons un de ces jours. Pour aujourd’hui allons dîner , a-t-il dit en se levant : nous l’avons suivi. Il
vangile ; Medice, cura te ipsum. Celui du Florissant, qui est venu, a dîné avec nous : il est latin ; & nous avons eu en
comptant d’être à terre vers les deux heures après midi. Nous allons dîner . Je ne puis m’empêcher d’ajouter que ces courants
Nos matelots en ont ramassé plus de quatre milliers ; &, outre le dîné et le soupé que ces petits animaux leur ont fourn
de la dorade : on en a pris quatre aujourd’hui, qui nous ont donné à dîner & à souper. Du dimanche 13 mai 1691 Tou
retourner sans bruit. Il avait une maison de campagne où ils allaient dîner tous les dimanches, & dont ils revenaient le
e chambre & une mante ; qu’elle y serait avant qu’il fût temps de dîner , en partant tout aussitôt que l’âne serait arrivé
lus les navires d’hier : le Provençal nous a rejoints, & est venu dîner à bord. Il est ami de M. de La Chassée ; & ce
ous avons faits : il verra que ces remarques sont justes. Nous allons dîner au Port-Louis. J’aurai le plaisir de voir de quel
8 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ne trouvez pas mauvais que je ne sois point aujourd’hui des vôtres à dîner , ni peut-être encore à souper. Je suis engagé ail
d’envoyer chercher votre tailleur. Quoi ! dit le conseiller, vous ne dînerez point avec moi ? Non, répondit Des Frans, je vous
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
arde à ce que Sancho disait, et l’ayant pris par la main, il l’emmena dîner où tout le reste de la compagnie les attendait, e
erait déjà venue vous voir pour vous remercier. Ils allèrent après le dîner faire un tour dans les jardins du château, où apr
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
me charmer. J’avais trop d’impatience pour y manquer. A peine eus-je dîné le lendemain, que j’allai à mon rendez-vous. Je t
ire ; sa mère ni elle n’étaient point au logis ; elles étaient allées dîner et passer l’après-midi chez cette dame dont je vo
ure avant notre départ de Saint-Germain, par un commis du Conseil qui dînait avec nous, et qui nous le dit comme une nouvelle
11 (1721) Mémoires
les sont des bains et des pavillons. Il convia le comte de Soissons à dîner . Celui-ci y alla sans prévoir le piège qu’on lui
souhaitée. Il en fit l’expérience en son particulier et à l’issue du dîner il pria mon père de l’accompagner chez Madame de
mps des remèdes qui passent la connaissance des médecins d’Europe. Je dînai avec lui et y soupai deux fois en bonne et nombre
herbe ma femme avait marché mardi dernier, mais quand je revins pour dîner , je ne trouvai rien que du pain, et elle grondait
îner, je ne trouvai rien que du pain, et elle grondait. — Donne-moi à dîner , femme, lui dis-je. — Prends-en, me dit-elle en f
rendrait compte quand il voudrait, qu’elle lui tiendrait toujours son dîner et son souper prêt, ou bien qu’il recevrait son a
changé, Monseigneur, vous n’êtes plus le même que vous étiez à votre dîner . Quelque chose trouble la tranquillité ordinaire
Monsieur de Villeroy vint un moment après l’en féliciter, et l’emmena dîner à l’archevêché. Il ne parut ni se hausser ni se b
une, et méprisait la bonne. Cela donna lieu à un chanoine de Lyon qui dînait avec eux de dire au maire auprès de qui il était,
son : Poterit etiam suspensus ferre medelam. Lorsque la compagnie eut dîné , on vint revoir ce modèle, tout le monde fut éton
ité. 233. Il reçut cette réponse le lundi 25 mai au sortir de table à dîner chez M. Desclouzeaux, intendant ; elle le mit en
o chez M. de Tour-ville, et que le lendemain celui-ci alla demander à dîner sur son vaisseau. Si cela est, j’appelle cela fai
vances il était en état de faire. Bourvalais, qui n’avait pas de quoi dîner , bien loin d’être en état d’avancer un liard, se
nation. Il était honnête homme, et je le connaissais dès Paris. Nous dînions chez Monsieur le cardinal de Maldachiny. Cet Ital
fit même acteur dans la comédie ; et pour cela, un jour que j’étais à dîner chez M. de Villefranche, où M. de La Jonchère se
Louis l’accepta, et la partie fut liée pour l’après-midi à l’issue du dîner . M.Chamillart en fut averti et se trouva à l’assi
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
n pension que l’hiver, et en demi-pension l’été ; c’est-à-dire que je dînais chez mon régent et revenais le soir chez mon père
Je ne parlai qu’à mon père : il me donna de l’argent, et me retint à dîner  ; il fit même servir plus tôt qu’à l’ordinaire. N
cause, dit-il, que Cadet, il ne m’appelait point autrement, est ici à dîner , que vous êtes de mauvaise humeur ? Est-il pas du
de peine. Il savait le contrepoison, et sans que j’y parusse, il mena dîner d’Épinai avec lui, et dans une poitrine de veau e
mon frère et moi aux épées et aux couteaux. Tous mes parents avaient dîné au logis. Je m’y étais trouvé malgré moi, car j’e
lle, rentra dans sa chambre assez éloignée de la salle où nous avions dîné . Mon frère s’était jeté sur un lit de repos, et m
icateur n’aurait pu faire. Tout cela nous occupa du temps, l’heure du dîner commençait à se passer ; je fis servir, et j’obli
opre sœur en aurait constamment ressenti la force. Il me mena un jour dîner avec lui chez Madame sa mère, et avec toute sa fa
rt, ou pour faire taire cet homme par ma présence, qu’il m’avait mené dîner chez sa mère, et qu’on lui gardait ce sermon-là i
e serai fort aise de la saluer. Je le veux bien, dit-il, nous irons y dîner ensemble, aussi bien c’est maigre, et ils n’en me
na sans attendre ma réponse. Je fus surpris de son procédé. Je revins dîner à Paris, où il fallut essuyer ses plaisanteries,
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
au du duc de Médoc, et avant que de monter en carrosse et à cheval on dîna . Le curé en fut, et comme cette fois-là il était
ut rire, disait-il, toutes vos consolations sont de la moutarde après dîner  ; les messes ne servent de rien aux damnés, quand
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
es, et ne les accepta que pour le lendemain qu’il sortit à l’issue du dîner . Il vit ses oncles qui étaient de retour, et qui
e m’était adressée. J’enverrai demain quérir le mari et la femme pour dîner ici. Je suis certaine qu’ils y viendront, venez-y
me de Cologny seront demain tout le jour à Saint-Germain, je viendrai dîner ici, je m’en prie moi-même, et je me fais fort qu
ue vous lui avez écrite. On vous fera connaître le quiproquo demain à dîner  ; le rendez-vous est pris. Le prétendu Gauthier q
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
riche, Madame ? demanda Thérèse, car quand une femme apporte de quoi dîner , il est juste que le mari apporte de quoi souper.
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
ur précédent. La duchesse et Eugénie emmenèrent la marquise et Silvie dîner avec le reste de la compagnie auprès du lit de Va
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
teau à celui du comte ; ainsi elle résolut d’y venir à l’issue de son dîner . Elle se mit donc en chemin, et croyant le pouvoi
18 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
iselle une telle ? Allez lui dire Toinette, que nous l’attendons pour dîner . Cette marchande ne veut-elle pas cacher que Made
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
u’il en exigeait. Elle prit pour cet effet le temps que son père vint dîner chez elle, et en présence de sa mère et de son ma
20 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
e heure, reprit Dupuis, j’y ai donné ordre. Ma cousine vous a donné à dîner à l’occasion de Monsieur Des Ronais, et je vous d
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