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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
ure qu’on m’en faisait, et dans le caractère qu’on lui donnait, je le crus coupable. Il n’était point à Paris lorsque j’y ar
urs été bons amis, j’allai le voir. Je le trouvai pâle et défait ; je crus qu’il relevait de maladie. Lorsque j’entrai dans
ette lettre qui cause ma douleur, elle ne fait que l’entretenir. J’en crois connaître le caractère, repris-je, et qu’elle est
fférente, ajouta-t-il ; mais vous, qui me connaissez, avez-vous pu le croire , et n’avez-vous pas dû prendre mon parti ! Toutes
fille que je vous présente. Il y a longtemps qu’elles attendent, j’ai cru devoir les distinguer, elles ont trop bonne mine
que je sens pour vous. Je n’ai pu faire parler que mes yeux ; mais je crois qu’ils se sont expliqués. La présence de tant de
ien de bon de tout ce qui peut réussir de vos poursuites ; et si j’en croyais mes pressentiments, je vous ôterais toute espéran
ns de me voir. Qu’elle m’avouait ce qu’elle m’avouait, afin que je ne crusse pas que sa tendresse pour moi, fût un effet de sa
ui fis de mon amour le portrait le plus vif qu’il me fut possible. Je crois , me dit-elle, qu’il est comme vous me le dites et
out le temps de me repentir. Vous m’aimez, vous me le dites, et je le crois  ; je vous aime, et je vous le dis, à quoi tout ce
, ne soyez aussi sages dans le particulier, que dans le public. Je ne crois pas que vous ni vos filles preniez, en sortant de
fils va chez vous tous les jours malgré mes défenses. Je ne veux pas croire que ce soit vous qui les lui fassiez mépriser ; m
honneur. Prévenez-le en bannissant Des Prez de chez vous ; car je ne crois pas que vous soyez assez simple pour croire que s
z de chez vous ; car je ne crois pas que vous soyez assez simple pour croire que ses empressements aient des vues légitimes ;
des vues légitimes ; et si une de vos filles est assez sotte pour le croire , et se rendre à ses protestations, je vous promet
elle serait la première trompée, et à se repentir de sa bonne foi. Je crois , comme je vous l’ai dit, que le commerce est inno
pays où le seul intérêt règle les alliances ; mais je vous supplie de croire que je les ai trop bien élevées pour craindre qu’
’ai connu par ce qu’il m’a dit, qu’il en appréhende les suites, et je crois , Monsieur, que vous ne trouverez pas mauvais que
tes me fassent beaucoup d’honneur, et plus que Monsieur votre père ne croit que j’en mérite, je vous supplie de vous les épar
vice ; mais je veux que vous me promettiez de ne me point haïr. Je ne crois pas vous en avoir donné sujet par moi-même ; et i
-elle, pourvu que ma vertu puisse être à couvert, et que je puisse me croire innocente moi-même, je hasarde tout le reste. C’e
j’avais vu aux Jésuites le matin. Je fus tenté de le régaler, mais je crus qu’il était plus à propos de ne rien témoigner. J
vit la visite toute extraordinaire de mon père, qui apparemment avait cru que nous étions ensemble. Elle me recommandait le
e vous nous aurez prêté la main. Je l’espère bien aussi, dit-elle. Je crois , ajouta-t-elle, avoir trouvé dans ma tête un prêt
expliquent pas fort bien, je vous prie de m’en informer vous-même. Je crus que la meilleure explication était de parler d’ar
let, et j’allai à l’heure précise dans la même église du faubourg. Je crus avoir pris une peine inutile, parce que je la tro
ent ; et tout au moins si je suis criminelle devant les hommes, je me croirai innocente devant Dieu. La maîtresse du logis revi
t : je suis même bien sûre, ajouta-t-elle languissamment, du moins je crois devoir l’être, que mes malheurs ne viendront jama
reconnaissance fort longue, qui est assurément bien faite, et qui, je crois , se serait soutenue en justice. C’était même chos
cclésiastique lui paraissait de bon sens et honnête homme, et qu’elle croyait que sa mère n’aurait rien à dire contre ce que no
si je n’étais pas revenu, et n’avait pas voulu souper sans moi. Je me crus perdu, et qu’il avait entendu quelque chose de mo
u de n’en pas gagner, que vous voulez jurer d’en gueuser ? Si je vous croyais , ajouta-t-il avec une fureur terrible, l’âme asse
es besaciers, c’est ainsi qu’il les nommait, que tous les domestiques crurent qu’il était instruit à fond de mes intentions, et
i fût secrète pour les raisons qui y étaient expliquées. Ces notaires crurent que c’était un testament que je déposais entre le
les habiles gens de justice, et surtout de probité et de vos amis. Je crois qu’après cela il n’y avait plus rien à dire et qu
lade, j’en fus en peine. J’allai l’après-midi dans notre chambre sans croire la trouver : elle y était, et dormait. Notre hôte
sur la table un billet qu’elle avait laissé. Le voici. BILLET. Je ne croyais pas qu’un mari dût respecter le sommeil de sa fem
moi. Le voici. RÉPONSE. J’ai respecté votre sommeil, parce que j’ai cru que vous en aviez besoin, et que votre maladie n’
avait fait l’un ou l’autre : et quand, par un bon espace de temps, je crus que Madame Des Prez pouvait être assez éloignée p
. Viens avec moi, lui dis-je, je veux te payer ton seigle. Il n’avait cru trouver, à ce qu’il me dit, que de la canaille ;
din proche de là, l’étrillèrent en chien renfermé, et lui ôtèrent, je crois , l’envie d’aller jamais troubler personne en pare
i ; mais qu’elle était bien loin, parce qu’elle allait bien vite. Ils crurent que c’était avec elle que j’étais ; c’était mon d
u’à cause des suites qu’elles pouvaient avoir. Il était impossible de croire que deux personnes qui vivaient publiquement comm
her davantage : il fallut songer à se découvrir à sa mère. Elle avait cru pouvoir le faire avec facilité, mais sur le point
à Mademoiselle de l’Épine que vous êtes dans un couvent : qu’elle le croie ou ne le croie pas, vous n’en serez pas pis. En t
de l’Épine que vous êtes dans un couvent : qu’elle le croie ou ne le croie pas, vous n’en serez pas pis. En tout cas, quand
le croie pas, vous n’en serez pas pis. En tout cas, quand elle ne le croirait pas, il sera de son honneur de le faire croire au
as, quand elle ne le croirait pas, il sera de son honneur de le faire croire aux autres. Cependant je vous verrai tous les jou
ermes où nous en sommes ; encore n’en saurait-elle rien si j’en étais cru . Eh bien, dit-elle en m’embrassant, voudrez-vous
ouvent. Je crains les suites de cette démarche, et si à mon tour j’en croyais mes pressentiments, je suivrais mon conseil. Mett
place, me dit-elle, elle est ma mère une fois ; et quand elle ferait croire aux autres que je suis dans un couvent, de quels
ademoiselle de l’Épine. Elle fut surprise de me trouver où elle ne me croyait pas. Montez, Mademoiselle, lui dis-je en lui donn
lé ; mais elle n’a choqué que le respect qu’elle vous doit, et elle a cru que vous me considériez assez pour lui accorder s
me considériez assez pour lui accorder son pardon à ma prière. Elle a cru poursuivis-je, pouvoir se marier sans votre conse
me. Elle chercha dessus le lit, derrière, dessous, et partout où elle crut que sa fille pouvait être, mais elle ne pouvait p
ferais la même chose si elle était encore à faire. Que je n’avais pas cru lui faire injure en me mettant dans sa famille, n
s préparer des remords plus longs que votre vie. J’avais eu raison de croire qu’une manière un peu brusque me tirerait mieux d
n dit tant qu’elle se rendit. Elle demanda encore à voir sa fille, je crus pour lors qu’il n’y avait plus rien à craindre. J
vît de tout le pouvoir qu’elle avait sur moi pour me faire rendre. Je crus qu’il y aurait de la dureté de refuser à une femm
dieux fort tendres. Hélas ! dit-il avec un torrent de larmes, nous ne croyions pas qu’ils devaient être éternels, et que nous ne
ns un endroit où il y avait longtemps qu’il aurait dû me conduire. Je crus que c’était pour voir le père d’une fille dont il
de Flandres, et me fit monter dans une chambre. Comme le père que je croyais aller voir, était de campagne, je crus qu’il étai
ambre. Comme le père que je croyais aller voir, était de campagne, je crus qu’il était arrivé depuis peu, et qu’il logeait l
prison. C’est Monsieur votre père qui le veut, me dit-il, afin qu’on croie que vous êtes allé à la campagne. Je vis bien que
pense. Hé en effet, reprit Monsieur de Contamine, c’est lui-même ? Je croyais m’être mépris. Eh bien notre ami, lui dit-il, ête
aisonnable, qu’en pensez-vous ? J’en pense, dit-il, que si j’en étais cru , je tiendrais la cérémonie pour faite. Elle la se
’elle vous a toujours parfaitement aimé ? Elles ont voulu me le faire croire , répondit Des Frans. Eh bien, je vous le certifie
.Hé pourquoi donc le lui avez-vous dit, demanda Des Ronais ? Elle l’a cru de bonne foi ; et s’est livrée toute entière. Il
u lieu de trouver sa femme au lit, ils la virent à sa toilette. Je te croyais encore endormie, lui dit Jussy. J’ai entendu parl
t, ce que tu me demandes là, me déplaît, laisse-moi poursuivre. Je ne crois pas, ajouta-t-il, qu’il y ait au monde un mariage
j’aime ma femme plus que lorsque je l’ai épousée ; je suis sûr, ou je crois pouvoir l’être, qu’elle m’aime bien aussi… Oh[ !]
e rentre assez souvent au logis chargé d’affaires, j’y rêve, ma femme croit que je suis de mauvaise humeur, et vient, par des
pre aventure, que je suis en droit de pester contre les femmes, et de croire de la dissimulation dans toutes, ou du moins, si
ue vous n’entendez pas vous-même. Je vous ai dit que Gallouin n’a pas cru que Silvie fût votre épouse, qu’ainsi il n’a pas
Gallouin n’a pas cru que Silvie fût votre épouse, qu’ainsi il n’a pas cru vous faire aucune insulte ; et pour Silvie, elle
de Londé sait ce que je lui en ai dit, en lui parlant de vous ; et je crois que toute la compagnie est dans l’impatience de v
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
e votre mère même était plus réservée que les autres ; ce qui faisait croire qu’elle avait beaucoup de part à votre éloignemen
s et de leur tristesse, surtout de celle de Mademoiselle Grandet, qui croyait avoir de grands droits sur votre cœur, fit différ
m’en a parlé dans ces termes ; et je ne fais aucune difficulté de le croire , parce qu’elles sont inséparables, et n’ont point
été triste, et par là j’aurais fait ma cour aux femmes, qui auraient cru que j’aurais regretté la mienne ; mais à présent
mari qui doute de la conduite de son épouse, autorise les autres à en croire du mal. Pour sa fille, il ne pouvait pas la nier.
couru de sa mère après sa mort, le peu de bien qu’elle avait ; et je crus que quoiqu’elle fût la plus belle personne que j’
onse à son compliment, je lui promis d’être chez lui l’après-midi. Je croyais qu’elle serait ma commère, le père et la mère le
rès-midi. Je croyais qu’elle serait ma commère, le père et la mère le croyaient aussi, et nous nous trompions. Ce que cet ecclési
e voulut point être ma commère ; je fus choqué de son procédé, que je crus injurieux, je lui en parlai le jour même. Elle se
état de prétendre à un parti plus avantageux. Tout cela nous faisait croire que ce serait une affaire aussitôt faite que prop
droit de disposer de son bien à sa fantaisie, sa fille et son gendre croiraient que cet usufruit serait un vol qu’il leur ferait
en elle plus d’intérêt qu’à la plus indifférente des créatures. Qu’il croyait pourtant qu’elle était sage et trop bien élevée p
alheureux ? J’ai fatigué et travaillé toute ma vie plus qu’on ne peut croire  ; jamais rien ne m’a réussi. J’ai perdu presque t
re, que je l’aurais aimée éternellement. Elle fut assez sotte pour le croire , et pour me laisser faire tout ce que je voulus :
tout moment que j’allais mourir ; et à force de l’entendre dire je le crus , la peur de la mort m’avait démonté. Quand on est
int de vue qu’en santé. Ma femme était sage, à ce qu’on disait, je le croyais ainsi, et on attachait mon salut éternel à sa mai
’est point mon caractère. Je ne vous ai jamais rien dit là-dessus, je crois que vous avez toujours été sage, j’espère que vou
riva environ dix-huit mois après. J’avais tous les sujets du monde de croire qu’on m’aimait. Toutes les faveurs qui n’étaient
pour quelques affaires de famille où j’avais le principal intérêt. Je crus n’être que six semaines au plus à mon voyage, mai
eurs lettres, il en ouvrit une, et lut ces paroles. LETTRE. Si je me croyais , je ne vous écrirais pas, je suis tout de bon en
’instruire ? Vous m’avez dit mille fois que vous m’aimiez, je vous ai cru  : vous m’aviez promis d’être de retour dans un mo
eussent un vrai mérite, afin que leur sacrifice relevât le mien. N’en croyez rien, l’amour-propre me fait parler, je ne veux d
contre vous, que je puisse m’aveugler moi-même, jusqu’au point de me croire toujours aimée ? C’est avec une espèce de certitu
roire toujours aimée ? C’est avec une espèce de certitude que je vous crois infidèle. Les belles de province m’ont supplantée
vez-vous oubliée ? Si vous m’aimez autant que vous voulez me le faire croire , ne préféreriez-vous pas l’amour à toutes choses 
y était préparé, il me répondit, que ma longue absence lui avait fait croire que je ne songeais plus à sa fille, et que les ch
ntimes amis dont le fils aime ma fille aussi bien que vous, et qui je crois ne lui déplaît pas. Je la lui ai promise, et tous
i ailleurs. Je le veux bien, lui dis-je, il ne sera pas difficile, je crois de la faire expliquer, et je me tiens sûr de son
ces que le plus fin de tous les hommes ne pourrait pas prévoir. Je ne crois pas, répliquai-je, que Mademoiselle Dupuis en ait
aimer, la manière dont je vous en ai écrit me persuade que vous ne le croyez pas : mon père même ne le regarde que comme un en
erre s’il est besoin ; et dès aujourd’hui même, si vous voulez. Je ne crois pas qu’on puisse parler plus juste : voyez ce que
te : voyez ce que vous voulez que je fasse, je le ferai sans hésiter. Croyez -moi, hâtez-vous de le faire expliquer, puisqu’il
que Monsieur votre père m’assure en vous donnant à moi ; car je vous crois trop sage pour l’en dédire. Il allait continuer s
moins ; je la remets pourtant à son choix : et vous, Monsieur, qui la croyez trop sage pour dédire celui de Monsieur son père,
i la croyez trop sage pour dédire celui de Monsieur son père, je vous crois trop sage, trop bien né, et trop honnête homme vo
our mettre en ma faveur toute la différence qui est entre nous, et je crois que Monsieur ne me le disputerait pas, pour peu q
éternelle. Les deux Du Pont descendirent environ demi-heure après. Je croyais aller avoir une querelle sur les bras, je fus tro
t, lui voyant si promptement tant emprunter et tant vendre, (car elle croyait la vaisselle vendue) qu’il ne lui jouât quelque t
ous aviez épousé ma fille toute nue, comme vous me la demandiez, vous croiriez que ce serait son bien que je vous aurais donné,
plus vous faire arrêter, et vous pouvez la faire arrêter elle. Je ne crois pas, poursuivit-il, que vous soyez assez scélérat
concevables ; elle fut si mal que l’on désespéra de sa vie, elle-même crut en mourir ; elle jurait son Dieu et son âme, que
nez-vous pas que je fasse quelque sottise aussi bien que les autres ? Croyez -vous que par une règle particulière je me gouvern
-vous que par une règle particulière je me gouverne bien, vous qui ne croyez pas qu’il y ait une fille qui soit sage ? Car enf
passés chez moi ? Je ne sais ce qui en eût été, répondis-je, mais je crois que j’aurais toujours eu le même respect, et que
, et que Mademoiselle eût toujours été également sage. Et moi je n’en crois rien, dit-il, du moins suis-je certain que vous n
goûter ceux du cœur. Hé mon Dieu ! disait-elle, la différence est, je crois , bien imaginaire. Je n’en pus jamais tirer autre
ille que j’aimais jusqu’à la fureur, et dont j’étais aimé à ce que je croyais , et cependant je ne ressentais aucun de ces mouve
le voyant dans une si bonne disposition, j’en voulus profiter. Je ne croyais pas qu’il fût si bas qu’il le disait ; car je lui
la présence de son père qui aurait blâmé son inconstance, en fut, je crois , fort aise. Cependant je fus assez dupe pour croi
stance, en fut, je crois, fort aise. Cependant je fus assez dupe pour croire qu’elle agissait de bonne foi, quand faisant trêv
usin, la retireraient insensiblement du fond de sa tristesse. Elle me crut , alla chez sa tante, et y est encore. Quinze jour
t la vertu avec laquelle vous supportiez ses mauvaises humeurs. Je ne croyais pas que la piété filiale pût s’étendre jusqu’à re
Je n’ai pas cherché ce Gauthier avec beaucoup de soin, parce que j’ai cru que la meilleure vengeance que j’en pouvais tirer
vous dire, mais je sais bien que je n’ai pas imposé d’un mot ; et je crois que vous ne feriez pas autre chose que ce que je
rminer à me jeter dans un convent avant la fin de la semaine. Mais je crois que nous renouerons, car je suis sûre qu’il m’aim
lui ai mille fois entendu parler de vous avec éloge, et cela me fait croire que Des Ronais ne la désobligera pas. Je ne serai
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ses régents. Elle me disait encore que si je n’étudiais pas bien, on croirait que ce serait à cause que je perdrais trop de tem
où je savais qu’il ne demeurait que des filles d’une vertu facile. Je crus d’abord m’être trompé, et pour m’en assurer, j’en
création du monde, où Dieu ne créa qu’une seule Eve pour Adam, il ne croyait pas s’y devoir assujettir avec tant de rigueur. D
quait pas un sermon non plus qu’elle ; en un mot, qui en aurait voulu croire la facile mère, on aurait travaillé au procès-ver
ui nous servaient à table, et qui ne pouvaient s’empêcher de rire. Je croyais que mon père allait prendre feu, il ne le fit pas
attendu la nuit, si le savatier ne fût venu détourner sa boutique. Il crut que le diable en avait pris possession, et fit un
qui m’avaient vu la nuit me reconnurent, et la peur cessa partout. Je croyais en être quitte pour me faire reconduire au logis,
terrement, et la chute du corps, dont la bière s’était rompue, firent croire aux parents et à la digne assemblée, que c’était
e à qui je m’adressai fut Sophie, qui depuis a épousé d’Épinai. Je ne croyais pas qu’elle eût un amant déclaré et favorisé. Si
e croyais pas qu’elle eût un amant déclaré et favorisé. Si je l’avais cru , je n’y aurais pas perdu ma peine ; car naturelle
incommode ; mais cette fille cachait si bien ses affaires, que je lui crus le cœur libre, et sur cette croyance je m’attacha
pas tant de raffinement. Elle me reçut assez bien au commencement. Je crus avancer mes affaires, mais je me trompais, et je
de me persuader que j’étais en droit d’entreprendre davantage. Je ne croyais pas que d’Épinai butât au mariage : ainsi je ne c
antage. Je ne croyais pas que d’Épinai butât au mariage : ainsi je ne crus pas lui faire une grande offense de faire enrager
us pas lui faire une grande offense de faire enrager sa maîtresse. Je crus qu’il se passait entre eux quelque chose de crimi
eux quelque chose de criminel ; il n’en était rien, mais je voulus le croire . Je sus un jour qu’il était chez elle ; elle ne m
es y laisse, et je sortis. D’Épinai courut après moi au plus vite, je crus qu’il voulait faire le méchant ; au contraire, il
ient raccommodés. ) Pour votre mariage, ajoutai-je, bagatelle : je le croirai quand je le verrai ; mais pour vous servir de com
de vous garder le secret. Il faut parbleu, poursuivis-je, que vous me croyiez bien bon, ou bien peu sensible ! Ces sortes de pr
es friponnes que vous, si je ne me vengeais pas de votre perfidie. Je crois , tout bien compté, que vous n’avez pas gagné au c
e vis que c’était tout de bon, et que le sacrement s’en mêlait, je me crus en droit de les traverser, et me fis un plaisir d
t jusqu’au moindre mot de ce qui se disait entre eux. Le pauvre homme croyait être ensorcelé ; et le plaisir fut que ni lui ni
t je ne m’en souciai pas. Je ne lui ai point du tout parlé depuis. Je crois que dans le fond du cœur elle ne m’aime guère, qu
quel la nature n’en produit point de cruelles, ou bien peu, me firent croire que je ne perdrais pas mon temps auprès d’elle :
vie de l’être aussi. Je m’offris de la demander, et lui dis que je ne croyais pas qu’on me refusât. J’en tombe d’accord, dit-el
iez avec sincérité. Et par quel endroit, lui demandai-je, pouvez-vous croire que je ne vous aime pas avec toute l’ardeur possi
ais de me le permettre. Elle y consentit, mais elle ajouta qu’elle ne croyait pas que je réussisse. Comme je l’aimais de bonne
ter jusqu’à ce temps-là, qui peut-être arriverait plus tôt qu’elle ne croyait elle-même. Qu’elle était obligée d’en user comme
ue voulez-vous y faire, me dit Célénie en riant ? Si vous voulez m’en croire , poursuivis-je, nous serons mariés avant elle, et
avoue que jusqu’à présent, elle ne m’en avait rien témoigné, et je ne croyais pas être aussi heureux que je le suis. Ma sœur pe
t se méprendre, Monsieur, reprit Célénie ; il ne faut pas tout à fait croire ce qu’elle en dit. Hé quoi, belle Célénie, lui di
 ?  Elle ne peut souffrir, dit-elle en riant, que vous m’aimiez. Elle croit que votre cœur est un vol que je lui fais. Attach
ec moi, ne seraient-ils pas pleinement justifiés ? Il est ridicule de croire que je vous en estimerais moins ; au contraire, j
le : en me la témoignant vous oubliez que vous m’avez dit que vous me croyez honnête homme. Cette bonne opinion cadre-t-elle a
e-t-elle avec une crainte qui m’est si injurieuse ? Mais si vous n’en croyez ni mes serments ni mes paroles, croyez-en tout ce
injurieuse ? Mais si vous n’en croyez ni mes serments ni mes paroles, croyez -en tout ce qu’il vous plaira de me faire écrire.
es ; à peine vis-je assez clair pour écrire ce qu’elle me dicta. Elle crut bien prendre ses précautions, et ne fit pourtant
sur le Pont-Neuf, et tombai côte à côte sur mon coquin de soldat qui croyait en être quitte. Je le pris par les cheveux, je lu
oudrais. J’en vins à bout, et cela parce que je la mis sur le pied de croire que l’amour que j’avais pour elle était trop fort
n qu’elle ne m’aimait pas, et qu’elle ne m’avait jamais aimé, j’avais cru lui faire plaisir de me retirer de sa table. Que
ut de quinze jours j’y remenai Célénie. Je vous ai déjà dit que je ne croirais pas moi-même ce que je vais vous dire, si je n’en
ppliquai mes soins qu’à m’en sauver par quelque dehors honnête, et je crus qu’une absence me ferait réussir. J’en cherchai l
is, fut que Célénie allait épouser Alaix que vous connaissez. Je n’en crus rien au commencement ; mais la certitude des bans
et vous m’avez paru l’avoir si bien oublié vous-même, que je n’ai pas cru devoir m’en souvenir seule, contre l’inclination
rit la mère, vous pouvez lui parler quand il vous plaira ; mais je ne crois pas que vous avanciez beaucoup, ni que vous puiss
lée. Son négligé me plut plus que tous les ajustements que les femmes croient qui relèvent leur beauté. Il est donc vrai, belle
cusé de fausseté tout ce qu’on m’avait écrit de votre engagement ; je croyais être en droit de me reposer de votre fidélité sur
n, poursuivit-il, je n’entendis plus de bruit du tout ; ce qui me fit croire que la belle s’était couchée en attendant son épo
j’ai su depuis. À peine Alaix eut les yeux ouverts, qu’un laquais qui croyait se rendre recommandable par sa diligence, lui don
avait pensé m’arriver avec elle, à l’occasion de sa chienne. Il n’en crut rien, ou n’en voulut rien croire ; et suivant tou
e, à l’occasion de sa chienne. Il n’en crut rien, ou n’en voulut rien croire  ; et suivant toutes les apparences, elle serait à
a porte ; j’étais seul, je vis sortir de chez elle la sage Récard. Je crus me tromper ; mais l’ayant approchée de plus près
cela j’avais un habit que je n’avais pris que ce jour-là. La Delorme crut que Grandpré et cette femme qu’elle avait amenée,
e. Elle me laissa faire, et me rendit fort honnêtement mon baiser. Je crois , dit la Delorme, que vous voulez vous autres fair
port à l’amour qu’il avait pour moi en m’épousant. Toute la famille a cru que j’étais la femme du monde la plus heureuse, e
je ne la serais pas longtemps, si je ne suivais que mes sens ; et je crois qu’il y a très peu de femmes qui ne soient comme
en ai beaucoup omis, parce que je l’ai oublié. Je conviens qu’elle ne croyait point être entendue ; qu’elle parlait à une autre
it-elle ; je les accuse toutes deux ensemble, et je vous avoue que je croirais une déclaration beaucoup plus croyable quelque te
oup plus croyable quelque temps après m’avoir pratiquée, parce que je croirais qu’on connaîtrait que j’en vaudrais bien la peine
nsemble ? Pour la beauté, dit-elle en riant, je sais ce que j’en dois croire , mon miroir me dit ce qui en est. Pour l’esprit j
nd ; mais il ne serait point si scandaleux, si mille coquins qu’elles croient honnêtes gens, l’étaient assez pour du moins leur
s intérêts à ménager ici, Monsieur, me dit-il : je vois bien que vous croyez avancer vos affaires, en prenant le parti que vou
s-je, j’avoue que l’affaire peut être autrement regardée ; mais je ne crois pas qu’il y en ait, l’indiscrétion de l’amant ne
affaire, si son étoile voulait qu’elle y fût prise. J’avais raison de croire que ce n’était que la seule crainte des suites qu
longtemps qu’elle me préparait l’heure du berger. Je fis semblant de croire qu’elle dormait, je fermai la porte de son cabine
ion, ne me parut ni trop forte ni trop modérée. Je fis semblant de la croire naturelle ; mais en effet je fus charmé de l’air
nous écrivons fort souvent, et c’est assurément la seule femme que je croie dans le monde sincère et franche. J’ai pour elle
y avait pourtant des endroits assez gaillards ; leur silence me fait croire que je ne les ai point ennuyées. Voilà une belle
’aurais assurément pas, si Madame de Londé m’entendait, ou si je vous croyais gens à lui rapporter ce que vous allez entendre.
qui ne soit à son avantage, mais non pas au mien ; car franchement je croyais autrefois que mon attachement pour elle n’irait p
etien sur le général, on voulait faire une vive réprimande ; et je le crus d’autant plus, qu’il se déchaîna terriblement con
res, ce sont les vices où tous les jeunes gens sont sujets : et je ne crois pas mon fils plus réformé qu’un autre. C’est donc
, mettez-vous l’esprit en repos et me rendez plus de justice. Vous me croyez un débauché, et Monsieur, qui à ce que je vois, l
ce. Vous me croyez un débauché, et Monsieur, qui à ce que je vois, le croit sur votre bonne foi, se trompe aussi bien que vou
instruire si bon vous semble. Fort bien, reprit la mère, je n’ai qu’à croire sur la foi de vos paroles, que vous passez votre
sez votre temps à l’église. Vous ne vous tromperiez pas tant que vous croyez , Madame, repris-je d’un grand sérieux, Monsieur v
re que vous connaissez. Mais puisque l’occasion vient d’en parler, je crois vous devoir avertir, Madame, que Monsieur votre f
nastique, dans la première ferveur d’une illusion de dévotion, qu’ils croyaient devoir être éternelle, parce qu’elle leur paraiss
te dame, vous m’en donneriez bien à garder si j’étais d’humeur à vous croire  ? Je ne vous impose pas d’une syllabe, Madame, ré
oi : et cela à force de me désespérer et de me faire enrager. Si j’en crois ce que son défunt mari m’en a dit, elle n’est fem
orps en dehors, sans en avoir les faiblesses en dedans : mais si j’en crois ce que je lui ai vu faire moi-même, elle est femm
que j’avais encore actuellement envie de me rendre capucin : elle le croyait de bonne foi, et m’en avait parlé devant sa mère.
entement pardon ; mais ignorant pour lors le sujet que vous aviez, je crois que vous ne me voudrez point de mal de ma sincéri
morts, je n’en vois aucun inconvénient à craindre ; et outre cela, je crois devoir rendre justice à une femme qui fut toujour
ant votre séjour à Paris, crainte d’être mal reçu d’une fille dont il croyait tout le cœur rempli. Que tout ce qu’il avait pu f
lendemain après-midi, dans l’état qu’il l’avait mis. Vous ne sauriez croire , poursuivit-il, l’effet qu’il produisit. Quelque
, elle ne m’a jamais voulu faire ouvrir sa porte, ni me voir. J’avais cru que ce collier s’était dénoué dans l’agitation de
sur le fait. Je me perds là-dedans, et si j’étais assez crédule pour croire que le diable pût emporter quelque chose, je croi
ssez crédule pour croire que le diable pût emporter quelque chose, je croirais presque que ce serait lui qui l’aurait pris. Quoi
épargné l’innocente Silvie. Il me fit part de ses conjectures. Je les crus justes. Vous avez vu aussi que je n’ai point été
affligeant avec lui. Madame de Contamine alla jusqu’à dire qu’elle ne croyait pas que le monde eût des supplices capables d’exp
encore mis sur le pied de me faire aimer d’elle malgré elle-même. Je crus néanmoins entrevoir qu’elle ne me haïssait pas. S
ademoiselle Gallouin avait été mariée à Monsieur de Londé. Si je vous croyais capable de lui rien dire, poursuivit Dupuis en s’
ais jamais aimé, sans en excepter la veuve, et plus même que je ne me croyais capable d’aimer. Il y avait donc plus de trois an
eux toujours fixés sur moi. Je ne suis pas naturellement honteux ; je crus que c’était tout autre chose que ce n’était. Je l
e aventure d’amour qui m’y attire, et c’en est une aussi, à ce que je crois , qui vous y a amené ? Non, lui dis-je, vous vous
t longtemps qu’il m’a été permis d’y aller tous les jours, m’ont fait croire que je lui déplaisais ; et n’ayant plus de prétex
chez elle, parce qu’un frère qu’elle avait n’y demeurait plus ; j’ai cru que je lui ferais plaisir de ne plus présenter à
me sacrifier après m’avoir vue ; mais je ne puis souffrir que vous me croyiez laide, et avant que de vous quitter, vous verrez
us-même m’avez dit que j’étais belle, et que depuis ce temps-là je ne crois point avoir changé. Je puis vous l’avoir dit, rep
Madame, lui dis-je en la retenant, que vous ne voulez pas me laisser croire que vous êtes laide. J’aime à vous voir m’en fair
utrefois que j’étais belle, et si je me suis trompée moi-même de vous croire  ? Je savais fort bien, comme je vous l’ai dit, qu
ue dans ce jardin, que pour le surprendre dans un rendez-vous qu’elle croyait qu’il y avait avec une fort jolie bourgeoise. J’a
lumé dans mon cœur l’inclination que j’ai eue autrefois pour vous. Je croyais vous avoir oublié, je me trompais ; je n’ai pu ré
e voir, bien sûre que c’était de moi que vous parliez à moi-même : je croyais n’en faire qu’une simple plaisanterie ; mais je v
. Madame a beau se déguiser, poursuivit cette femme, et vouloir faire croire que les amourettes de Monsieur ne la choquent pas
e proposition, et j’acceptai le parti sur-le-champ, comme vous pouvez croire . Cette femme me conduisit jusque dans la chambre
ns si quelqu’un d’eux n’aurait pas trouvé une petite tabatière que je crois avoir laissé tomber ici ? Elle me vient d’une mai
encore, si les grands feux de ma part étant assoupis, je n’avais pas cru m’apercevoir qu’elle ne me recevait dans ses bras
sir de m’éloigner d’elle, et de la laisser vivre à sa fantaisie. J’ai cru qu’un peu de jalousie de son côté, et un peu d’in
vit-il, auriez-vous voulu que j’eusse fait ? Je la laissai là ; et je crois que tout autre en ma place en aurait fait autant,
épondit-il, et de fort près, sans qu’elle en ait jamais rien su. J’ai cru au commencement qu’elle avait quelque commerce se
qui sont dans son appartement, broderie, campanes, et le reste. Je ne croyais pas qu’elle en verrait le bout en cent ans ; elle
Elle ne fit que rire de ma réponse, et me fit remarquer qu’elle ne la croyait pas vraie, ni sincère. Les femmes sont toujours c
repris-je, qu’il est tout à fait singulier, et que je n’aurais jamais cru qu’une femme pût être si détachée du commerce des
re qu’un mari, lui dis-je, me contait une pareille histoire, je ne la croirais assurément pas. Elle est cependant vraie, me dit-
re répugnance. Tout ce que cet homme me disait de sa femme me faisait croire que l’amour qu’elle avait pour moi était ce qui l
esses qu’elle pouvait me faire ; et s’humanisa enfin jusqu’à me faire croire que je serais heureux, sitôt que ma santé pourrai
e savait pas votre mariage, poursuivit Dupuis parlant à Des Frans, je crois que vous êtes trop honnête homme pour ne lui pas
t poursuivez votre histoire. Elle est au bout, reprit Dupuis ; car je crois qu’il est inutile de vous dire les pleurs que ce
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
durant. On m’en parla ; je convins de tout, et dis que je n’avais pas cru devoir défendre une mauvaise cause, et que je ne
mains, il n’y avait qu’à signer, c’était une affaire d’un moment ; il croyait que j’allais continuer. La familiarité dont je lu
ovince, y étant sans emploi. Mes parents m’y retinrent plus qu’ils ne croyaient , n’en ayant point à me donner tel qu’ils le voula
par une certaine puissance que je ne comprends point, et qui me fait croire , que si nos actions sont tout à fait volontaires,
t je ne l’ai jamais eu ferme. Je ne sais si cette sœur voulut bien en croire ma parole, ou si, comme elle le dit, j’avais quel
s fort éloignée de mon quartier : elle demeurait avec une femme qu’on croyait sa tante, et qui en effet ne lui était rien : ell
êtes point à jeun, ni dans un hôpital, me dit-elle en riant, et je ne crois pas que le cœur vous fasse mal. Il ne se porte pa
de beauté ni assez de mérite pour avoir inspiré une passion si forte. Croyez -moi, ajouta-t-elle, adressez-vous en lieu plus av
oyez-moi, ajouta-t-elle, adressez-vous en lieu plus avantageux : vous croyez m’aimer, vous vous trompez : et je me tromperais
ez m’aimer, vous vous trompez : et je me tromperais moi-même si je le croyais . Vous ne savez ni qui je suis, ni qui je puis êtr
qualités : vos yeux mieux ouverts, ne les y verraient pas longtemps. Croyez -moi, ne vous obstinez point à m’être fidèle, je n
ennemis, et m’y perdrais de réputation sans m’y enrichir : que je n’y croyais pas ma conscience en repos : qu’il était juste qu
point, elle est trop longue pour m’en souvenir. On m’y disait que je croyais aimer une vestale et une fille de bonne famille,
issait par dire qu’on ne me donnait point de conseils, parce qu’on me croyait trop sage et trop généreux, pour rien faire d’ind
sser à moi-même au logis lorsque je n’y serais pas, crainte que je ne crusse qu’elle venait de mes parents qui en étaient fort
’avais de l’honneur et assez d’esprit pour faire un bon choix : qu’on croyait que le vrai moyen de me révolter était de me pres
i moyen de me révolter était de me prescrire des lois, et qu’on avait cru mieux réussir en me laissant tout à fait sur ma b
femme qui avait demeuré avec elle chez Madame de Cranves, et qu’elle croyait de ses amies, que Silvie allait épouser un jeune
suis fort aise, me dit-elle, de vous voir revenu de vos sottises. Je crois que vous me dites sans fard ce que vous pensez. J
l’avouez, redoubler votre confusion ; le sujet parle de soi-même. Je crois même que cela vous rendra sage pour l’avenir. L’a
pris-je, elle l’a été. La vertu qu’elle affectait avec moi, et que je croyais sincère, n’a pas peu contribué à l’amour que j’av
ce qu’un homme véritablement repentant de ses folies pouvait dire. Je croyais que c’était ma pensée, je l’aurais juré : mais je
i d’en faire autant sous prétexte de maladie dont je relevais : il le crut d’autant plus, que j’étais en effet abattu. Le ma
ofondir un pareil secret ? Ce ne sera ni elle ni la Morin, le mari le croirait de bonne foi, et n’irait pas chercher plus avant.
Palais Royal proche la Bastille, et j’étais si occupé du régal que je croyais m’aller donner, que je ne songeai pas de dire à c
e plus cher. Hé que me direz-vous, lui dis-je ? Prétendez-vous que je croie encore vos impostures ? Espérez-vous justifier la
La fièvre me prit, et je restai malade du corps et de l’esprit. Je ne croyais pas que la nature résisterait ; je n’avais aucune
s ce que je craignais aussi bien qu’elle. Je me déterminai enfin : je crus avoir gagné sur moi que j’abandonnerais Silvie, e
e que voilà, ne va à pas moins qu’à vous déshonorer ; et si l’on l’en croit , vous faites l’honneur à une fille perdue de la r
êché que Silvie ne fût autrement vengée. Vous ne savez qui elle est ; croyez -moi, soyez discret sur ce qui la regarde. C’est t
comme je fais le mien ; et souvenez-vous que ma bonté est épuisée. Je crois Monsieur, poursuivit Silvie en parlant à moi, qu’
ais d’un sang illustre, et non pas inconnu, comme il l’avait toujours cru jusque-là, aussi bien que les autres et moi-même,
t l’un et l’autre, et m’assurèrent de leur amitié d’un air qui me fit croire qu’ils étaient instruits de ma naissance. Ils son
que Monsieur d’Annemasse avait chargé du soin de ses affaires, qui le crut , on fit l’inventaire. Cette somme, qui est la mêm
lle, tout ce que je sais pour ma justification sur ma conduite, où je crois mon innocence est très claire. Vous pouvez en pén
t contre Madame Morin. Elle n’a rien fait que par mes ordres ; elle a cru bien faire, et seulement pour me faire paraître p
le ne fit point les honneurs de sa bonté par mille difficultés que je croyais qu’elle m’allait faire ; elle me promit d’oublier
lait faire ; elle me promit d’oublier tout : mais poursuivit-elle, ne croyez pas que ce soit à ma seule bonté que vous ayez l’
rs pour aller aux Eaux de Barbotans, dans le fond des Pyrénées, et on croit qu’il ne reviendra qu’à la fin de l’été. J’ai son
à m’en plaindre à Monsieur et à Madame d’Annemasse ; mais je n’ai pas cru le devoir faire, parce qu’outre que ce coquin est
l est insensible à la honte, je suis certaine qu’il viendra, et qu’il croira encore que je lui serai fort obligée. Je la laiss
eur Des Frans le peut, je le supplie de nous achever son histoire, je crois que tout le monde y prend part. Je me cachai, pou
. J’ai toute la joie possible de vous voir, lui dit-elle, vous pouvez croire que c’est quelque chose de conséquence qui m’a ob
urée de l’obtenir. Il l’en assura par des serments horribles. Je vous crois présentement, dit-elle. Ce que je vous demande c’
 ; mais ne vous regardant que pour ce que vous paraissiez être, je ne croyais pas vous faire beaucoup d’insulte. Fort bien, rep
érez-vous de mander présentement les mêmes choses à un homme que vous croyez qui me recherche, et qui les ignore ? Est-ce pour
se jetant à ses pieds, vous ne vous connaissez pas vous-même, si vous croyez que l’amour qu’on a une fois conçu pour vous puis
ême, il ne me venge enfin de vos impertinences et de vos injures ? Je crois que vous n’en sortiriez pas à votre honneur, s’il
tiriez pas à votre honneur, s’il l’entreprenait : du moins je ne vous crois pas plus brave qu’autrefois, et il l’est lui bien
là-dessus. S’il était à Paris, je vous aurais fait payer de vos avis, croyez -moi, ne vous mêlez plus de ce qui me regarde, ni
lle-même, on en fera une affaire à nous perdre d’honneur vous et moi. Croyez -moi, poursuivit-elle, abandonnons-les à leur dest
ous certifier que je me conserverai toujours pour vous. En un mot, je crois que nous pouvons être assurés du cœur l’un de l’a
convertir. Tant de changements coup sur coup de votre part, leur font croire que c’est une hérésie que la croyance que j’ai qu
de plus tendre que notre rencontre, j’aimais jusqu’à la folie, et je croyais être aimé de même. Je lui dis que j’avais résolu
nt et plus de bien que vous n’en devez prétendre ; mais parce qu’elle croirait que ce bien viendrait, comme Valeran lui a mandé,
ue Silvie était tombée évanouie à la lecture de la mienne, qu’elle se croyait abandonnée de moi, et qu’il y avait tout à craind
nal de Maldachini avec beaucoup de peine, parce que notre ambassadeur croyait avoir besoin auprès de lui de tous les Français q
qui que ce soit ne le sût, et surtout ma mère, qui n’aurait garde de croire que je me marierais à Paris, elle qui me croirait
qui n’aurait garde de croire que je me marierais à Paris, elle qui me croirait toujours à Grenoble. Que même je ne serais pas fâ
e, aussi fîmes-nous une dispute assez longue sans nous ennuyer. Je ne crois pas qu’on puisse jamais plus rire ; je l’emportai
avais point quitté Silvie : j’avais même couché chez elle, et ma mère croyait que je ne faisais que de revenir de Versailles, o
voir des preuves convaincantes ; les ouï-dire n’en doivent point être crus . Je vous avoue, poursuivit-il, que je prends beau
que je prends beaucoup d’intérêt dans ce qui la regarde, et que je ne croirai pas sans preuve, qu’elle ait démenti le sang dont
ais autant qu’elle en a. Je sais par moi-même ce qui en est, et je le crois  ; mais je ne crois point du tout la méchante cond
en a. Je sais par moi-même ce qui en est, et je le crois ; mais je ne crois point du tout la méchante conduite qu’on lui donn
ujours ignoré et ignorait encore qui était sa véritable mère. Qu’elle croyait que ce fût une demoiselle nommée de Monglas, qui
dont vous avez tant parlé, et en effet c’était lui-même. Ma mère les croit comme articles de foi, et je n’ai pas jugé à prop
ce que j’ai caché avec tant de soin, ou faire des menteries que j’ai cru devoir prévenir, en vous faisant prier par ma fem
en me donnant un petit coup sur la joue, tu ne me l’avais pas dit. Tu croyais que je ne t’avais dit que des menteries. Et vous,
quis de Buringe ; mais que cela ne lui étant pas possible, elle avait cru pouvoir jouer d’artifice pour se faire des parent
ous étions garants de nos actions. Elle en convint, comme vous pouvez croire . Monsieur de Villeblain soupa au logis, et nous p
t de Silvie ; afin qu’il lui rende sa première estime, et qu’il ne la croie point telle qu’on la peint ici. J’en ai découvert
ut également innocente. Je ne m’étais point trompé, n’ayant pas voulu croire qu’elle eût rien fait d’indigne d’elle. C’est l’a
travaillerons pas en vain, voyez ce qu’il vous plaît que je fasse. Je crois , Monsieur, lui répondit ma mère, que nous ne trav
vous, Monsieur, toute la confiance que j’ai, je vous avoue que je ne croirais pas un mot de ce que vous venez de me dire ; mais
doute plus que ce ne soit la pure vérité que vous m’avez dite. Je le crois , et le crois uniquement parce que c’est vous qui
ue ce ne soit la pure vérité que vous m’avez dite. Je le crois, et le crois uniquement parce que c’est vous qui m’en assurez.
s prévoir tout cela, il se marie. Je suis désabusée de tout ce que je croyais d’elle, mais en désabuserai-je les frères de son
avoir parlé ? Supposé qu’ils s’en désabusent eux-mêmes, ce que je ne crois pas : car pour lui rendre justice, ils sont si bi
faire pour lui, que si je leur parle de son mariage, bien loin de me croire , ils s’imagineront que ma seule bonté pour lui m’
ils le regarderont comme le dernier des hommes et le plus infâme. Ils croiront toujours que sa Silvie est un enfant trouvé : que
es Frans est en état de se passer d’eux, et que ce qu’ils en pourront croire lui est indifférent. J’en tombe d’accord avec vou
eut pas que notre mariage éclate, j’en approuve les raisons : elle me croit en son particulier innocente, cela me suffit ; je
soit haine contre lui, cela m’est revenu dans l’esprit depuis, et je crois que cela est vrai. Comme elle vivait d’une manièr
urvu que je la voie. Le temps est passé, Madame, lui dis-je, si je ne croyais que l’amour que j’ai eu pour vous, et que peut-êt
t que peut-être j’ai encore, je me rendrais à vos raisons ; mais j’en crois mon honneur. Comment me seriez-vous fidèle ; comm
t que je venais de faire avança l’accès, et redoubla le transport. Je crus tenir Silvie dans mes bras dans des épanchements
ndamnée elle-même à une mort civile. Je reçus tous les sacrements, on crut que j’allais expirer ; mais une crise qui me prit
r elle, je tombai en faiblesse. Le père carme qui ne me quittait pas, crut que c’était un reste de maladie. Mon laquais, qui
el pour pouvoir durer. Dieu en était plus offensé que vous ne pouviez croire , parce que je vous ai caché les engagements où j’
enez garde qu’il ne vous traite à présent comme lui étant inutile. Ne croyez pas que ma défaite soit un effet de votre mérite
us craindre le combat. Quelle confiance ! Qu’elle est criminelle ! Je croyais toujours maîtresse de moi-même, rire des efforts
dame de Londé. Mademoiselle a raison. Il a paru que vous voulez faire croire que mon frère s’était servi auprès d’elle de quel
es s’en scandalisèrent, et lui dirent fort galamment qu’elles avaient cru être de ses amies, et venir dîner chez lui sans f
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
nous y amène, et ne sont point assez considérables dans le monde pour croire faire tort à leur dignité en venant jusqu’à l’hôt
onsieur, poursuivit-elle, n’allez pas plus loin. Un homme comme vous, croit faire honneur à une fille telle que je suis, quan
rtune a mis au-dessous de lui, et surtout au sexe. Ce n’est point, je crois , vous insulter, dit-il, que de vous dire que je n
onner là-dedans ; mais n’importe, il faut que je fasse semblant de le croire , puisque vous me promettez que nous ne serons plu
en riant ? Je vous demande, répondit-il, d’un grand sérieux, que vous croyiez que je vous aime. Je le croirai, dit-elle. Quelle
ndit-il, d’un grand sérieux, que vous croyiez que je vous aime. Je le croirai , dit-elle. Quelle certitude m’en donnerez-vous, d
dit-elle, que je vous dise de sérieux sur un sujet tout bouffon ? Me croyez -vous assez simple pour croire qu’à ma seule consi
sérieux sur un sujet tout bouffon ? Me croyez-vous assez simple pour croire qu’à ma seule considération vous accordez ce que
elle de Vougy ? Il faudrait que je fusse tout à fait ridicule pour le croire et mon sérieux là-dessus serait une des plus gran
aie jamais eu et je vais vous répondre ainsi que vous le demandez. Je crois que vous m’aimez puisque vous me le dites ; mais
aîtresse. Vous m’avez priée de vous répondre sérieusement ; voilà, je crois , l’avoir fait. Oui, dit-il, vous l’avez fait. J’a
ition, la dernière fois que je lui parlai de cette affaire, que je la croyais échouée ; mais elle m’a dit hier qu’elle n’avait
s visites pendant plus d’un mois, sans faire autre chose que de faire croire qu’il était amoureux de cette demoiselle. Chacun
z pas. Je ne demande point que vous vous confiiez à mes paroles, n’en croyez que mes actions. Je ne vous dirai point que je su
en ménager ; elle ne s’oublia pas. Contamine revint le lendemain ; il croyait tout au moins qu’elle allait lui parler, ou lui d
r tout d’un coup dans une autre figure ? Je serais reconnue, que n’en croirait -on pas à mon désavantage ? Vos visites passeraien
îtrais-je dans cet état que vous voulez que je prenne ? Tout le monde croirait -il que vous feriez tant pour moi par un pur motif
l’étaient en effet. Il sortit presque aussitôt qu’il fut entré. Elle crut dans le moment qu’elle ne le reverrait de sa vie,
nt pas de vous pendant la journée, vous venez quand vous pouvez. Elle croira sur ce pied-là, que vos visites seront d’un bon p
je n’aurais point soupé avec vous. Je m’en suis prié moi-même, et je crois avoir bien fait. On ne pouvait rien de plus honn
belle Angélique, continua-t-il, en s’adressant à elle, vous pourriez croire que mes libéralités seraient intéressées, et que
. Je recevrai vos présents pour paraître moins indigne de vous, et je crois que ma mère y voudra bien consentir. Vous me prom
tien particulier, et c’était ce qui empêchait qu’on en dît du mal. Je crois qu’il n’y en avait point, du moins il ne me paraî
yait bien qu’il n’était pas tout à fait si peu à craindre qu’il avait cru , puisqu’il lui donnait sujet de craindre le tête-
; mais n’en fit aucun semblant devant les autres. Mademoiselle Dupuis crut se méprendre ; mais le nom de la Bustelière, dont
onta toute son histoire qui la surprit étrangement, comme vous pouvez croire . Il est certain qu’elle ne crut pas d’abord qu’el
prit étrangement, comme vous pouvez croire. Il est certain qu’elle ne crut pas d’abord qu’elle fût aussi sage qu’elle se dis
mée, se fermant d’elle-même de chute. Votre commère me conta cela, je crus que c’était un beau dehors, et que l’intérieur en
tournant le dos et en la regardant avec le dernier mépris ; car elle crut qu’elle était une fille perdue, à qui la débauche
et obéi à sa vanité ; que sa confusion venait de ce que cette dame la croyait mariée, et qu’elle ne l’était pas, ce qui lui fai
que cela cadrait avec les paroles de Madame de Cologny, ces filles la crurent de bonne foi, et ne s’en mirent pas plus en peine
pourra s’en assoupir sans me faire du tort. Mais, lui dit Contamine, croyez -vous qu’elle vous en croira à votre parole ? Je v
e faire du tort. Mais, lui dit Contamine, croyez-vous qu’elle vous en croira à votre parole ? Je vous nommerai, répliqua-t-ell
t, et vous êtes trop honnête homme pour me dédire. Eh ! si on ne nous croit ni vous ni moi, que ferez-vous, ajouta-t-il ? Ah 
n redoublant ses larmes, voilà mon désespoir. Si nous ne sommes point crus , et que vous vouliez bien me donner le peu qu’il
Il n’en put jamais tirer d’autre raison, et cette obstination me fait croire qu’elle avait véritablement vécu sage avec lui ;
it par avance vous assurer que sa conduite est sage. Tout le monde la croira criminelle sur la foi de la princesse, et bonne e
dire, reprit Mademoiselle de Vougy, sur votre seule assurance, je la crois présentement tout autre que je ne la croyais enco
tre seule assurance, je la crois présentement tout autre que je ne la croyais encore ce matin. Je vais parler à la princesse, i
s parler à la princesse, il n’est pas encore jour pour elle ; mais je crois qu’elle me pardonnera mon indiscrétion dans un pa
de Cologny pour un exemple de toutes les vertus chrétiennes, et je ne crois pas qu’on puisse voir une plus belle action que c
t été surprise de l’état où Angélique lui avait paru, qu’elle l’avait cru mariée ; mais qu’elle ne lui avait pas semblé exc
s’étonnait point que Madame de Cologny l’eût soupçonnée, mais qu’elle croirait mériter ses soupçons, si elle n’avait pas pris so
d’Angélique, et qu’elle voulait le faire expliquer. Votre commère le crut comme moi ; ainsi nous regardâmes cette visite co
avantageux, je les ai refusés sous divers prétextes. Cela lui a fait croire que j’avais le cœur occupé, je lui ai avoué ; mai
C’en est fait, dit-il tout haut, je n’y veux plus songer. Cette dame crut que la fièvre avait attaqué tout d’un coup le cer
uérir Angélique, qui pendant ce temps-là avait été, comme vous pouvez croire , sur des épines. On l’avait, presque malgré elle,
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
rait point appelée. Celui de religieuse veut de la vocation, et je ne crois pas que qui que ce soit voulût la violenter. Si M
iquai-je, elle sera religieuse comme vous, du moins si elle veut m’en croire . J’en croirai là-dessus la raison, dit-elle. J’av
e sera religieuse comme vous, du moins si elle veut m’en croire. J’en croirai là-dessus la raison, dit-elle. J’avoue que j’ai e
e. Cette conversation fut poussée fort loin, et de telle sorte que je crus n’avoir pas fait ma cour à cette dame, et que j’a
ntier et le plus emporté. Vous me connaissez mal, lui dis-je, si vous croyez que la considération du bien m’empêche de recherc
ait fait ne pouvait pas se rétablir. Malheureuse pour malheureuse, je crois que Madame d’Ornex voudrait être encore dans le c
occupe faute de dissipation. Et comme elles ne m’ont point ennuyé, je crois qu’elles ne vous ennuieront pas non plus. Tenez,
ugement. Vous m’avez dit, et vous m’avez écrit que vous m’aimiez : je crois que vous dites aussi vrai que moi, quand je dis q
Notre commerce est contre ses intérêts, peut-être suis-je folle pour croire qu’il y voudra prêter les mains ; cependant il es
tre. Vous riez, poursuivit de Terny, en s’interrompant soi-même, vous croyez que ce déguisement est un incident de roman purem
ure dans un bal que dans un couvent. Elle n’y a pas été longtemps, je croyais ne travailler que pour en faire sortir Clémence,
vous quelle sûreté me donnez-vous de ne me point oublier ? Dois-je en croire vos lettres et vos serments ? Votre départ ne les
ue vous m’aimez encore. Votre éloignement m’en veut désabuser, lequel croirai -je ? Je me rends à vos raisons. Je crois que vous
’en veut désabuser, lequel croirai-je ? Je me rends à vos raisons. Je crois que vous m’aimez ; mais est-ce bien me le prouver
Nous repoussâmes les Allemands, nous les poursuivîmes, et lorsque je crus aller me rejoindre à Bernay, j’appris qu’il avait
andonnai au plaisir de savoir que Clémence n’était plus renfermée. Je crus avoir tout lieu d’espérer qu’elle serait à moi du
ant point cette défense, j’allai chez lui ; il me reçut assez mal, je crus que c’était un effet de sa maladie. Je vis sa fil
e pouvait pas mieux trouver que moi. Tous les gens à qui j’en parlai, crurent l’affaire faite, elle ni moi ne le crurent pas. I
es gens à qui j’en parlai, crurent l’affaire faite, elle ni moi ne le crurent pas. Il savait que j’aimais sa fille, et qu’elle
mi ; ce n’était point une des raisons du refus de son père, car il me croyait catholique comme lui. Quoi qu’il en soit, nous fî
n de nos amours, si elle le veut bien ; car pour celle des vôtres, je crois les voir à votre retour. Ce ne fut que près de si
ecevoir. Je traitai d’une, mais je n’eus pas le temps de conclure. Je crois vous avoir dit que Bernay ne se plaisait que dans
ay lui parla de moi comme d’un enfant à donner le fouet ; celui-ci le crut . Il eut envie de me faire querelle. Il me chercha
asard de quitter le royaume, ou de porter ma tête sur un échafaud. Il crut alors que ce que Bernay lui avait dit était vrai 
ent de Clémence à qui il avait fait mille amitiés. La pauvre fille le croyait sincère. Il avait promis à la communauté de la fa
tre commerce, on l’avait mise dans une chambre particulière. Clémence croyait , comme beaucoup d’autres que cette fille était so
dit que j’étais marié en Angleterre où je m’étais retiré, elle ne le crut pas ; et cela joint à l’abandon général de tout l
e voulait envoyer cet argent par son confesseur, ou tel autre qu’elle croirait secret ; et que même, afin d’être maîtresse de ce
trois semaines jusques au jour de l’échéance de ses vœux, et qu’on ne croyait pas qu’en si peu de temps je pusse recevoir de se
fait prendre soin de ma vie, je ne l’ai considérée que parce que j’ai cru que vous y preniez intérêt. Vous n’y en prenez pl
n, je me trompe, on a voulu m’abuser, on en a trop fait pour me faire croire qu’on agissait sans passion. L’ardeur dont on a e
on amant, de toute sa famille et des religieuses. Si j’avais voulu la croire , je l’aurais emmenée dès le moment même, mais la
’oreille en riant, qu’elle n’avait pas été toujours de même, et qu’il croyait qu’elle m’avait déjà accusé plus d’une fois entre
ans faire semblant de rien je l’eusse cherché partout sur elle, où je croyais qu’elle pouvait l’avoir mis. Nous restâmes à Lutr
uisqu’elle ne m’entend point, je vous avouerai sincèrement, que je ne crois pas qu’il y ait un homme au monde plus heureux qu
e que j’en dis n’est que pour sauver les apparences, et pour me faire croire mieux que je ne suis en effet. Cette histoire don
Des Frans, son mariage avec Madame de Londé en est une preuve. Je ne croyais pas, Monsieur, lui dit-elle, que vous prêtassiez
7 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
ur Société qui y étaient, & les inscriront dans leur martyrologe. Croyez -moi, ne leur offrez point de bougies : la cire &a
elle, la chair & les yeux sont noirs tout à fait, lorsqu’ils sont crus , & dont la chair redevient assez belle lorsqu
e n’y en ai point mangé, pas même chez le général des Français. Je ne crois pas qu’on en abatte ; ou, du moins, c’est bien ra
. Ils sont aussi fins que les plus beaux chevaux d’Espagne. Je ne les crois pas propres à la fatigue : leurs jambes & leu
à la fatigue : leurs jambes & leurs gaulis trop menus me le font croire . J’ai vu des bœufs qui servent à traîner le char
en font l’attelage : ils sont de Surate. Leur hauteur est difficile à croire . Ils ont neuf pieds & demi du rez-de-chaussée
blé ; ne le comptent point, & se contentent de le peser. Qu’on ne croie pas que ceci soit une exagération : c’est une vér
qui d’ailleurs ne sont point altérés par la bonne chère, parce qu’ils croient tous la métempsycose de Pythagore, et croiraient
nne chère, parce qu’ils croient tous la métempsycose de Pythagore, et croiraient manger l’âme, ou le vêtement de l’âme de leurs pa
les gens de qualité cette cérémonie de l’ancien paganisme des Gaules. Croyons -nous, comme nos ancêtres païens le croyaient, que
cien paganisme des Gaules. Croyons-nous, comme nos ancêtres païens le croyaient , que l’âme séparée de nos corps soit quarante jou
es seraient brûlées dans le même feu ; & cela fondé sur ce qu’ils croyaient que ces hommes avaient été empoisonnés. Cela est
lent-elles pas toutes : il n’y a que celles qui sont assez bêtes pour croire qu’elles vont jouir, avec un saint, d’un bonheur
ose dans toutes sortes d’animaux, que les bramènes font profession de croire , & qu’ils enseignent aux autres : pour moi, j
& la simplicité en seront les fondements & les ornements. Il croit que ces Mores sont une de ces races vagabondes de
sés par toute la terre après la destruction de Jérusalem par Tite. Il croit que leur religion a été insensiblement confondue
, & servent ainsi au divertissement de l’idole, que ces idolâtres croient trouver dans l’attouchement de ces femmes un plai
le avec l’idole. Voilà en partie ce que j’ai appris, & qu’on peut croire , étant vrai, comme on le verra par la suite ; &am
s filles non mariées, & du reste, je ne fais aucune difficulté de croire son rapport en ses réponses, parce qu’étant idolâ
ffre il y avait seize jours. Je sortis bien vite de sa cabane : je ne crois pas que le diable d’enfer soit plus hideux. Qu’es
été hors de la portée de leur canon, ils ont tous mis à la voile. Je croyais qu’à leur tour ils venaient nous trouver : je me
& la manière dont j’écris, & mon style, ne témoignent pas, je crois , que la passion m’ait beaucoup préoccupé. Il n’y
t trois autres bâtiments échoués aussi ; mais, étant sur la grave, je crois que ce sont des bâtiments mores, & non des an
je n’en pourrais dire, supposé qu’ils disent la vérité ; ce que je ne crois pas : elle ne leur ferait aucun honneur, & po
e faire entrer leurs mâchoires dans un plus ample détail. Je l’ai, je crois , déjà dit : le diable bouilli, roussi, rôti, gril
seau. Tout le monde est très scandalisé du procédé du Florissant. On croyait que la fausse manœuvre qu’il avait faite à Madras
hier & avant-hier : nous en sommes d’autant plus fâchés que nous croyons , avec grande apparence de raison, que ce sont le
s nous sommes remis en route. Ce petit navire est revenu sur nous. On croit avec toute sorte d’apparence que le général des H
eaucoup ce soir, & le vent est venu bon ; mais, comme nos pilotes croient être proches des îles qui avoisinent Mergui, nous
le, nommée Priparis, qui est sur les côtes de Siam, de laquelle on se croyait fort éloigné dans l’Est, tous les pilotes se fais
est à présent libre : à demain l’autre. Ce sont deux soldats, qui ont cru que tout devait être commun dans ce monde, & 
fantaisie, moi qui aime les voleurs de tout mon cœur, que je me suis cru obligé de lui donner un grand coup d’eau-de-vie p
rs cadavres, que la mer y a jetés. Je ne fais aucune difficulté de le croire  ; mais je crois aussi que ce sont les gens de ce
la mer y a jetés. Je ne fais aucune difficulté de le croire ; mais je crois aussi que ce sont les gens de ce bâtiment anglais
mèche allumée d’un baril plein de poudre : j en ai parlé page 51. Je crois , dis-je, que l’équipage de ce bâtiment, ayant vou
ions astronomiques & d’hydrographie : tous les navigateurs les en croiront , parce que leur habileté sur ces sciences est con
le du jusant, ils sont obligés de nommer courants ce qui, à ce que je crois , n’est en effet que l’arrivée ou le retour de la
ardeur du soleil. J’avoue que, sans être nullement naturaliste, je ne crois point celui-là, étant persuadé que tous les anima
pas averti le commandeur, qui vint promptement & le fit jeter. Je crois que toute la mateloterie a le diable dans les den
s plus que quinze pommes cuites endommageraient un bloc de marbre. Je crois qu’un boulet de canon de quatre livres n’entamera
ntir ; peut-être aussi que la chaleur qu’il fait ici en est cause. Je crois que tout cela y contribue : cependant, j’ai remar
 : il n’en entrera jamais dans mon corps, ou du moins rarement. Je la crois bonne & saine pour une fois en six mois, mais
il lui plaira, je l’en laisse le maître ; mais, à mon égard, je n’en croirai ni plus ni moins que ce que j’en crois ; & je
; mais, à mon égard, je n’en croirai ni plus ni moins que ce que j’en crois  ; & je me contente de lui donner cet article
e du navire, où il y avait bien plus de travail à faire qu’on n’avait cru . Grâce à Dieu, nous en sommes dehors, & chaqu
voir aucun feu, ni lumière, & au vin qui s’était dissipé, me fit croire que je m’étais égaré. Je fus confirmé dans cette
sont proches. Il est mort encore ce matin un de nos charpentiers. Je crois que la mortalité est tombée sur eux. Il vaudrait
de que m’a faite M. Blondel m’en fait très mal augurer, & me fait croire qu’ils manquent de tout. Je lui ai donné rendez-v
ssaire ce que je lui avais promis hier au soir, & que je n’ai pas cru devoir lui refuser dans le besoin qu’il en a, éta
appe, il n’en ait jamais menacé aucun, il en est si bien obéi, que je crois qu’ils se jetteraient à la mer s’il le leur ordon
mme que son caractère devait retenir dans la droiture ; & qui, je crois , n’a pas tout à fait rempli la confiance que le d
é à Pondichéry, pour lui acheter des marchandises. C’est ce que je ne crois point, lui-même m’ayant dit que tout est à meille
ort. On me l’a dit en riant. J’ai répondu sur le même ton que je n’en croyais rien & qu’au contraire j’étais persuadé que s
n dit ; du moins, il a fini sa vie par une bonne action, mais qui, je crois , sera oubliée par son exécuteur testamentaire ; c
ble plutôt à un palais qu’à un comptoir de compagnie marchande. Je ne crois pas me tromper de dire que, pour en bâtir la face
lui des Anglais ne pouvait porter, qu’enfin le fort a été détruit. On croit même que les Anglais n’obtiendront pas la paix, à
ont pas la paix, à moins qu’ils ne l’achètent bien cher ; parce qu’on croit que les Hollandais ne la souhaitent pas, quoiqu’i
istribue pour de l’argent à son troupeau, presque tout bengalais, qui croit encore que l’âme est nettoyée de tout péché quand
re, sans doute plus criminel, en est quitte pour le pilori : & on croit le châtier assez en infligeant une honte publique
me fera connaître si je me suis trompé ou si je suis juste ; mais je crois ne me pas tromper. Nous sommes à la voile dès le
nt des ordres qui ne sont connus qu’aux seuls capitaines, & qu’il croit inconnus & secrets à tout le reste, n’a point
ncres, non. Autant que nos matelots étaient joyeux d’une prise qu’ils croyaient certaine, autant sont-ils étonnés de ne l’avoir p
établi sous les auspices de feu Jean-Baptiste Colbert, qui, comme je crois l’avoir déjà dit, était l’homme de France qui con
u’on la força de prendre, & qu’elle refusait, parce qu’elle ne se croyait pas si grande dame. Aujourd’hui. ce n’est plus ce
; sa mauvaise conduite au jeu, & celle de sa femme. J’en puis, je crois , parler savamment, puisque ce M. Martin, trésorie
aquilae columbam Je me suis un peu écarté de mon chemin ; & j’ai cru devoir le faire parce que les Indiens sont moins
ber sur les troupes du Mogol, qu’il surprenait toujours, & qui le croyaient bien éloigné. Il les a toujours battues : son nom
re dans son ancienne possession, & ruine Remraja, si, comme on le croit , il est encore appuyé par-dessous main d’une nati
temps de s’équiper & de nous attendre au passage ; mais on ne le croit pas : on ne doute point qu’ils n’en fassent couri
on Excellence a été saluée de cinq coups de canon. Je veux pieusement croire que son humilité ne s’attendait point à cet honne
glise a donné seize démentis au pape ; à j’en conclus avec raison, je crois , que l’Église n’a jamais cru le pape infaillible.
pape ; à j’en conclus avec raison, je crois, que l’Église n’a jamais cru le pape infaillible. J’ajoute même qu’elle ne cro
l’Église n’a jamais cru le pape infaillible. J’ajoute même qu’elle ne croit point encore qu’il le soit, & qu’il n’y a qu’
plus dévots catholiques, des railleries piquantes qui donnent lieu de croire que l’intérêt temporel a tout au moins autant de
mais ils ne peuvent leur donner pour des vérités de foi ce qu’ils ne croient pas eux-mêmes. Ils leur donnent ce qu’ils ont : i
a-t-il quelque maxime, Qui tende à dépouiller l’héritier légitime ? Croient -ils qu’il suffit pour eux de donner en France un
vernier pour que dans les Indes on donne un démenti à ce qu on sait ? Croient -ils que leurs relations ne repassent pas la Ligne
ormera de la vérité des faits ? Espèrent-ils que tout le monde les en croira sur leur seule parole ? Et qu’il ne se trouvera p
rère. On leur passera même, s’ils le veulent, que ce que ces Japonais croient & disent de ces deux frères, les aliène du ch
n chrétienne a été absolument bannie, & si bien anéantie qu’on ne croit pas, humainement parlant, qu’elle s’en relève jam
une nation dont le commerce est en effet l’unique divinité ; mais je crois que cela n’est pas supportable dans les jésuites,
 la maudite restriction mentale avaient passé dans la Chine ; mais je croyais quelles y avaient borné leurs courses, & je l
a pas trouver archi-damnable, aussi bien que digne du tonnerre ! J’ai cru que ceci était une imposture qui n’existait que d
y ajouter foi sans avoir des témoins ; &, comme les jésuites n’en croiront rien non plus, ou plutôt feront semblant de ne le
s n’en croiront rien non plus, ou plutôt feront semblant de ne le pas croire , pour empêcher tout le monde d’y ajouter foi. il
ndemain de mon arrivée, & dès le jour même si je pouvais ; car je crois qu’une femme est un meuble qui ressemble au poiss
, qu’il était le plus riche & comme le chef de sa famille, ils se crurent obligés de l’en féliciter. Elle véquit assez bien
jour que je n’aie été la voir ; et, si je suis content d’elle, je ne crois pas qu’elle se plaigne de moi : en tout cas, je c
t d’elle, je ne crois pas qu’elle se plaigne de moi : en tout cas, je crois que mon départ lui coûte quelques larmes à présen
il nous dit de prendre tout ce qui nous avait servi à dîner. Ces gens croiraient être impurs s’ils se servaient de ce qui nous a s
aste. Ceci est une preuve convaincante & certaine que ces peuples croient la métempsycose de Pythagore. Après quantité de r
rre, sans pieds, du reste faits comme nos marmites, l’un plein de riz cru & l’autre d’eau ; ces deux pots sont posés à
portée proche d’un cadavre mort, ne convient point chez des gens qui croient la métempsychose, parce qu’il faut qu’ils croient
t chez des gens qui croient la métempsychose, parce qu’il faut qu’ils croient que l’âme soit matérielle et qu’il lui faille des
’en faire signer la facture telle qu’il l’avait dressée : je n’ai pas cru devoir étendre ma complaisance pour lui jusque-là
ait que ces princes étaient abandonnés de ceux de leurs sujets qu’ils croyaient les plus fidèles & les plus attachés à leurs
les affaiblir et de s’établir sur leurs débris et leurs ruines. Qu’on croyait avec beaucoup de vraisemblance qu’ils avaient fom
et nourri la révolte de Sévagi. Que du moins les banians ou marchands croyaient que c’était eux qui l’avertissaient du temps prop
assez pour faire aucun effet ; et que c’était ce qui donnait lieu de croire que le Mogol ne ruinerait jamais Remraja. Que les
ils ne sont point avares dans les occasions, achèveront de les faire croire , & persuaderont : ils auront un désistement d
ls l’emportent sur nous en tout & par tout dans ces climats : ils croient avec facilité que les Hollandais sont en effet au
nsuite ensemble ; & comme je les ai étudiés avec attention, je ne crois pas m’y être trompé. Il est constant qu’après les
la connaissance de ce commerce de diamants, un secret, sur lequel je crois que le diable lui-même, tout subtil qu’il est, au
tenait. Vanos sollicitis incitat umbra metus. La peur le prit : il crut avoir fait un grand crime, & que le diable al
nt point. Aussi, s’il y avait eu des jésuites du temps de Juvénal, je croirais qu’il aurait voulu parler d’eux dans ces deux ver
x, parfaitement honnête homme, n’avait ni sujet ni raison de me faire croire une fausseté ; & que je crois en mon particul
ait ni sujet ni raison de me faire croire une fausseté ; & que je crois en mon particulier ce qu’il m’a dit, d’autant plu
chat du fonds sur lequel la chapelle est construite. Les jésuites ont cru que cette chapelle pouvait leur être utile, &
pour y construire une maison pour eux & y faire deux jardins, ils crurent pouvoir en chasser le capucin & s’en emparer.
lqu’un d’eux y serait assommé, dont je ne répondais pas, cela faisait croire que ce qu’on disait du Japon, de la Chine & d
al : qu’ils n’écrivent plus que pour leurs dévots, s’ils veulent être crus , ou bien qu’ils empêchent qu’on leur réponde. A l
amp; caché la honte et la turpitude de la Société. Je veux pieusement croire qu’ils agissent dans cette vue, qui est certainem
vrissent le leur, & ne leur rendissent la pareille ? Pour moi, je crois que c’est l’unique cause de leur silence sur ce c
uité qui ne se ressent point de la charité que l’Évangile ordonne. Je crois que la manière des jésuites s’accommode trop au g
s’en lavent les mains, & qu’ils les laissent. Qui que ce soit, je crois , ne les a établis leurs contrôleurs ni leurs péda
amp;, en effet, lorsqu’ils ont été subjugués, ils ont tous mieux aimé croire , ou faire semblant de croire, des impostures, que
t été subjugués, ils ont tous mieux aimé croire, ou faire semblant de croire , des impostures, que de s’exposer à une dispute q
iter, me donne une pensée qu’il faut que je vous dise. Il n’est pas à croire qu’il y ait personne au monde qui volontairement
s reconnaître Jésus-Christ, notre premier législateur. C’est à nous à croire ce qu’ils nous enseignent, & à régler nos mœu
nt innocentes, & notre foi vive, Dieu, sans doute, du moins je le crois ainsi, jugera de notre croyance sur notre intenti
dais aura fait fuir les navires de France. Sur ce pied, les mandarins croiront avoir obligation aux Hollandais de leur retour da
ui. Comme il était encore assez bonne heure lorsque je le quittai, je crus devoir aller voir pour la dernière fois le banian
entendu à l’issue du dîner une chose qui m’a fait rire, & qui je crois divertira le lecteur. Il y avait une baille ou un
emin ; &, ne prenant pas garde au baquet qui portait dessus, il a cru l’enlever tout d’un coup : il a tiré de toute sa
usé son camarade de peu d’esprit, & de moins de force. Ho ! je le crois bien, lui a dit celui-ci, tu ressembles à notre c
e, qui l’est, mais qui est revenu de ces bagatelles, dit qu’un paysan croit que la fortune de sa famille est solidement établ
raisons de tout : son amour-propre & son orgueil l’y clouent. Je crois l’avoir déjà dit, je pardonnerais à l’homme de ne
y clouent. Je crois l’avoir déjà dit, je pardonnerais à l’homme de ne croire point ce qu’il ne voit pas s’il pouvait rendre ra
ur nous, parce que nous avons avancé beaucoup plus que les pilotes ne croyaient  : le plus de l’avant ne se faisait qu’à quatorze
retenu, donnant de si furieux coups dans notre arcasse que nous avons cru cent fois que le derrière de notre navire allait
é à la mer pour soulager d’autant un des côtés de son navire. Nous le croyons & l’espérons ainsi ; d’autant plus que ce mât
qu’on avait promis. Qu’on ajoute à cela la dévotion bretonne & on croira , tout aussi bien que moi, que sainte Anne d’Auraz
& les veines des quatre membres toutes vides. Je n’aurais jamais cru , si je ne l’avais vu, que la peur pût faire une i
nquez avant moi, je vous en donnerai autant que je le pourrai ; je ne crois pourtant pas en avoir plus que vous, mais il n’es
esne y aura laissée en cas qu’il y ait passé avant nous, ce que je ne crois pas ; puisque au contraire je crois, avec beaucou
it passé avant nous, ce que je ne crois pas ; puisque au contraire je crois , avec beaucoup d’apparence de raison, qu’il est d
confession, ils ont fait comme nous un vœu à sainte Anne d’Auraz, je crois en avoir déjà parlé. Nous sommes revenus à bord a
llation assez frugale. Quelque mot, lâché à table en soupant, me fait croire que cette visite sera sans fruit ; ne m’apercevan
ouver ceux-ci que ceux-là. Il ne s’est pas plus expliqué : mais je ne crois pas qu’il faille être prophète ni sorcier pour ti
cons de sa cave, que de laisser achever notre vieux reître, qui a, je crois , aussi bien que La Rancune du Roman comique de Sc
u’il commandait l’escadre en chef en l’absence de M. du Quesne. Qu’il croyait que M. de Porrières, sur ce pied, aimerait mieux
erait obligé de suivre les siens, comme venant d’un commandeur. Qu’il croyait que c’était cette jalousie du commandement qui le
cordelier ? lui demandai-je. Etes-vous encore saoul ? me répondit-il. Croyez -vous avoir changé d’état ? C’est vous qui êtes co
patience. Il m’a avoué depuis que ni les autres, ni moi, qui l’avions cru ainsi, ne nous étions pas trompés, & que cett
ne m’étant aperçu qu’à Rotterdam de la perte de cette lettre, que je croyais avoir mise avec mes billets de change, je craigni
à mes frères. Après ce que je viens de vous dire, monsieur, il est je crois inutile que j’ajoute que c’est avec ma femme que
Elle est présente & peut vous dire ce qu’elle pense ; mais, je ne crois pas qu’elle regrette, non plus que moi, ce qu’ell
; de sa femme, fort belle, fort aimable, &l pourtant, à ce que je crois , fort sage, quoique fort éveillée & fort libr
it trembler & les force à persévérer dans leur apostasie. Je veux croire que, pour leur honneur, & se rendre excusable
vaient des vaisseaux qui menaçaient descente, & M. de La Barre ne crut pas la devoir laisser prendre sans coup férir, &a
de six-vingts hommes. Les Anglais rebutés se retiraient ; mais il ne crut pas devoir les laisser partir sans les attaquer à
eu. Comme le lecteur peut ne pas savoir ce que c’est qu’une orgue, je crois devoir l’en instruire. C’est un assemblage de qua
etaient les Anglais, sais-tu bien ce qu’il faut faire ? Tout le monde croyait qu’il allait lui donner la vie ; &, dans ce s
affée que je tiens ouvert sur le naufrage d’Eléonor. Ce que j’en peux croire , c’est qu’ils ont eu le malheur de s’y trouver à
font du feu, ou d’autres signaux, lorsqu’il paraît quelque navire. Je crois qu’ils voudraient bien nous couper chemin, surtou
e considérable n’y fait maigre). Le salut éternel, à ce que le peuple croit , y est attaché ; mais, pour se bien porter, il es
écrivain du roi, qui m’en offrit autant que j’en voudrais, a toujours cru que j’en avais aidé un malade. L’aumônier me prom
n malade. L’aumônier me promit de les employer au gingembre ; mais je crois qu’il les employa à déjeuner avec l’aumônier du F
partie des crimes dont Votre Révérence est prévenue & convaincue. Croyez -vous que la cour vous les pardonnera, & ne je
; la cave du pater. Il a ouvert l’un & l’autre, & prenait, je crois , les choses un peu à contrecœur, quoiqu’il fît bo
Du vendredi 21 avril 1691 Le vent toujours bon a rafraîchi : on croit que nous serons mercredi à l’Ascension. Ce que Di
eur habileté pour les soupçonner de méprise. Ces sortes d’erreurs, je crois l’avoir déjà dit, ne sont-elles pas plus que suff
er l’indication d’un autre pour nous rassembler ; en cas, comme on le croit , ou plutôt comme plusieurs, dont je suis du nombr
u plutôt comme plusieurs, dont je suis du nombre, font semblant de le croire par complaisance, que M. du Quesne y ait passé. C
sorte que M. de Porrières, quoique provençal, y a été trompé, & a cru que c’était un nouveau baril qui avait été percé,
s exquis. En disant que ce poisson est fait comme une carpe, c’est je crois dire assez que c’est le véritable rouget, qui n’a
ec celles de Négrades, & de se conserver en vie. Du reste, je les crois différentes en espèces. La chair de la tortue de
passé ; &, en effet, ceux qui par flatterie faisaient semblant de croire que nous y en trouverions, étaient eux-mêmes pers
ctionnaire de Pajot que j’ai, m’ont fourni l’idée d’un chiffre que je crois que le diable ne comprendrait pas, à moins que d’
n doit tirer, il aura l’intelligence de ce que je veux lui mander. Je crois m’être assez expliqué. Le dictionnaire de Pajot e
mps les dépêches dignes d’un secret impénétrable. Il est, à ce que je crois , certain qu’il serait impossible de déchiffrer ce
pas faire mariner au retour. J’en ai fait accommoder deux barils : je crois que c’en sera assez. Il nous est mort ce matin un
p; le genre de la maladie dont ils meurent. J’ai dit ci-dessus que je crois que toute la mateloterie a le diable dans les den
page 93 au sujet de la tortue de Négrades, le lecteur est en droit de croire , aussi bien que moi, que celle de l’île de l’Asce
s jugé à propos d’aller interrompre ses pieuses méditations, & ne crut pas non plus devoir le suivre ; &, quelques c
ait pas qu’il lui rendît le change. Le mari était bien fait, & je crois qu’il l’est encore ; car c’est au plus qu’il ait
usqu’au retour de son mari, qui l’avait laissée grosse à Paris. Il ne croyait pas que j’eusse jamais vu la belle, bien loin que
uvelles, & en tirer les secours dont elle aurait besoin ; qu’elle croyait avoir assez d’argent pour payer son passage à cet
amour, & en était toujours reçu avec des airs si glacés, qu’il la croyait en effet telle qu’elle voulait qu’il la crût. Enf
ien sûr qu’il n’y avait plus personne qui pût entendre le bruit qu’il croyait aller faire. Il se nantit d’une hache, qui lui fu
ns l’Archipel & à Alger, qui puissent le leur disputer. C’est, je crois , ce que je puis dire de plus avantageux pour les
& engendrés ; d’où venaient leurs ancêtres & leurs auteurs ? Croirai -je que, pendant le Déluge, la terre a été brisée,
rte, peut-être crainte que je ne disse son histoire. Cependant, je ne crois pas que ce fût ce motif qui la fit agir ; car, si
nocents, que nous aurions plus mal passés ailleurs. Que le lecteur ne croie pas que je mente quand je dis que c’était des mom
ejette la cause de ces morts si promptes sur deux causes, & je ne crois pas me tromper. La première est la limonade, qui
n’y avait en effet que ces mots : « Si tu es autant mon ami que je le crois , empêche le porteur de revenir de deux jours au m
ui dit qu’il allait au Fort-Royal. N’y allez pas, si vous m’en voulez croire , & faites semblant d’être parti, lui répondit
ur sauver Bernard de tout soupçon, elle ajouta qu’elle ne pouvait pas croire que ce fût lui, puisqu’elle allait le voir très s
que M. Ranché le demandait. Il sortit aussitôt ; & Vallière, qui crut que la fortune était de concert avec lui en le dé
ée du galant. Vallière arriva enfin, & frappa à la porte comme il croyait que Bernard y frappait. La belle demanda qui c’ét
st fait distinguer par un bel endroit, & vous par un fort vilain. Croyez -moi l’un & l’autre. Ne tentez plus les femmes
propos de faire une copie, non que je craigne aucune dispute, mais je crois devoir garder des copies de tout. Du mardi 17
ême temps avec vigueur, elle lui perce le ventre, & la tue. Je ne crois pas que jamais personne ait vu celui-ci ; mais c’
8 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
squels on ne s’expose pas d’ordinaire impunément, il y a tout lieu de croire qu’il n’aurait jamais vu le jour si un des intime
vait écrit son ouvrage pour le donner au public ; mais l’on n’a point cru que la même chose fût permise à d’autres. On s’es
t usage, comme il a fait de ceux du Canada que je lui ai donnés, j’ai cru que vous ne seriez pas fâché de les savoir. Ce qu
coupe. Il n’est nullement pitoyable, ou je suis fort trompé, et je ne crois pas l’être ; du moins je lui ai ouï dire à lui-mê
ne le peut pas ramener où il l’a pris. Ce qui me donne encore lieu de croire qu’il le ferait comme il le dit, c’est qu’il étai
rlerai dans la suite, qui tous se faisaient un honneur ridicule de ne croire que faiblement les vérités évangéliques, de donne
Pudori, Et propter vitam vivendi perdere causas. Ce qui, à ce qu’on croit , n’a pas servi à l’avancement de leur fortune ; p
rfaitement bien fait. Il passe pour bon officier et très brave. Je le crois d’autant plus que ce que je lui ai vu faire au Po
suis naturellement sincère, et incapable d’imposer : ainsi, on pourra croire avec assurance ce qu’on lira dans la suite ; étan
espèce de dévotion scrupuleuse, pour ne pas dire superstitieuse, qui croient qu’on attaque les vérités de la religion lorsqu’o
ourrais faire aux paysans d’une partie de ce pain. Je veux pieusement croire qu’il ne me donnait ce conseil qu’en plaisantant 
ervi s’il avait été en ma place. Je dirai plus : c’est que M. du Pile croyait , peut-être, n’employer que d’honnêtes gens ; et q
s matelots en colère peuvent dire contre un homme qui les ruinait. Je crus devoir profiter de l’aventure. Je leur dis que je
à lui, vous voyez le ridicule où vous vous êtes précipité vous-même. Croyez -moi ; que M. de Ferville ait demain satisfaction,
ublier tout ce qui s’est passé. Je tâcherai d’être des vôtres ; et je crois que tous ces messieurs voudront bien s’y trouver
 : sinon, je m’en vas avec lui ; et nous emmènerons M. Hurtain. Je ne croyais pas, dit l’intendant, qu’il fallût la croix et et
ui ne savait point ce qu’était devenu le pain de la Compagnie, et qui croyait que M. Hurtain et moi en avions fait notre profit
la de nous deux comme de deux fripons qui s’entendaient. M.Céberet le crut , d’autant plus que, n’ayant pas passé à l’Orient,
orer comment on en dressait les états. Lui, dans l’intention de faire croire que les employés de la Compagnie étaient d’aussi
ue bon droit qu’un innocent se fonde, Dès qu’il est accusé, l’on n’en croit point de bien. Je prenais très volontiers pour m
là le sujet et la fin de la dispute que j’ai eue avec lui, et dont je crois qu’il était de mon honneur de vous faire le détai
Amiral. Mais, puisqu’il revient à propos de parler de M. Céberet, je crois devoir dire qu’il est fils de feu M. Céberet secr
me, et est fort touché de sa mort, et de celle du roi notre allié. Je croyais avoir tout perdu par le retour de M. Gouault à Pa
nd toujours beaucoup mieux par la pratique que par la théorie : et je crois qu’il en est ainsi de tous les autres arts où il
rocès-verbal, et que ce sujet peut influer sur le reste du voyage, je crois devoir en rendre raison, à pour cela rappeler ce
tilles avec des clous, qu’il obligea le charpentier de lui donner. Il croyait en être quitte ; mais M. Hurtain et moi étant rev
été instruits de tout par M. de La Chassée et par tout l’équipage ne crûmes pas devoir laisser les choses dans un état si tra
déjeuner, où les parties ont dès à présent ordre de se trouver. Je ne crois pas, poursuivit M. du Quesne, que jamais Arlequin
ortuna... Ibimus ô socii comitesque. Nunc vino pellite curas. Ils me croient , et nous buvons le petit coup, en attendant la bo
sous ses yeux, et sur son certificat. Qu à l’égard de notre pain, je croyais pouvoir assurer qu’il ne nous manquerait pas, par
voudrais bien n’en point courir les risques ; et sur ce fondement. je crois qu’il serait nécessaire de se conformer à l’exemp
chacun demi-chopine à déjeuner, et chopine aux deux autres repas. Je crois que c’en est assez, puisqu’on n’en donne pas plus
Tant de morale m’entraînerait trop loin : je reviens au sonnet que je crois qu’on ne sera pas fâché de voir. Le voici. Sur l
tour des autres. Si cela est, c’est une île flottante ; ce que je ne crois nullement, et que je ne croirai point que je ne l
c’est une île flottante ; ce que je ne crois nullement, et que je ne croirai point que je ne l’aie vu, ou du moins parlé à que
été. Cependant tous les pilotes et les navigateurs l’affirment. On en croira ce qu’on voudra. Pour moi, je n’en crois rien. On
igateurs l’affirment. On en croira ce qu’on voudra. Pour moi, je n’en crois rien. On dit que personne n’a jamais monté au som
que ces païens fussent abîmés dans toutes sortes de crimes, comme le croit le vulgaire, instruit par des gens qui avaient in
arde la grâce du même point de vue que je regarde le soleil (qu’on ne croie pas que je prétende me donner pour docteur). Les
tte grâce. Je suis là-dessus comme Thomas a Kempis ou Jean Gerson (on croit que c’est le même) est sur la componction : Malo
evoir avec humilité les dogmes de la foi ; plus heureux encore de les croire et de m’y soumettre. Mais toute la Sorbonne ensem
pôtres, chefs de l’Église, tremblassent ; ce serait une impiété de le croire , et même de le penser. Le Sauveur avait prié pour
s jours ensuite, dans une température si chaude que, si je m’en étais cru , je me serais mis tout nu ; et cette chaleur augm
e ferait-on pour un général ? Deux coups de canon suffiraient ; et on croit que la présence du père Tachard a été cause des q
e parut si beau, si juste, et si je puis le dire si pathétique que je crus ne pas perdre mon temps d’écrire le soir en mon p
ais dont aussi on ne peut distinguer ni le commencement ni la fin. Je crois , messieurs, que ce mot d’éternité est un mot qui,
e peuvent comprendre, bien loin de pouvoir l’exprimer : en un mot, je crois que ce terme, ou ce mot d’éternité, est bien plus
à embarrasser nos spéculations que d’en déterminer l’objet ; et je le crois d’autant plus que pour le faire comprendre nous s
à ses apôtres, Act., I. 7. Avant que de poursuivre sur Pythagore, je crois devoir vous faire souvenir, messieurs, de nos nou
Pythagore donne tout à fait dans la métempsycose ; c’est-à-dire qu’il croit que l’âme d’un homme mourant va animer le corps d
urs peuples l’ont crue. Pythagore n’en est point l’auteur, mais il la croyait et prétendait avoir été au siège de Troie, sous l
au siège de Troie, sous le nom d’Euphorbe. Tous les peuples du monde croient l’âme immortelle, qu’elle a toujours existé et qu
elle, qu’elle a toujours existé et qu’elle existera toujours. Nous le croyons comme eux ; mais où placer cette immortalité ? Se
ore, et vas me servir des nouveaux systèmes des astronomes. Pythagore croyait l’immortalité de l’âme : il ajoute son passage du
n’y en a point : je dirais même qu’il ne peut pas y en avoir ; et je crois que je ne me tromperais pas. Je regarde ceux qui
, duo athei. Si mon intention était de réfuter un pareil système, je crois qu’il ne me serait pas difficile de réussir : mai
re ajouté que nos corps périssent. Concilions tout, messieurs ; et je crois que, toute religion à part, ce que je vas dire pa
t en philosophe spéculatif, mais non en chrétien. Certainement, je ne crois nullement ce que j’avance ; mais, en admettant ce
n’ai point dit le reste par aucun mauvais principe, puisque je ne le crois pas. Je l’ai dit uniquement pour prouver trois vé
le roi se servit) s’il ne se rétractait. Apparemment les papes ne se croyaient pas infaillibles. Ce pape était cependant l’homme
ant la gorge, une chose assez curieuse pour être rapportée, et qui je crois n’ennuiera pas quoiqu’il y ait environ seize ans
ent pas eux-mêmes. Il faut que nous n’ayons pas été si vite qu’ils le croyaient , puisqu’ils se faisaient à Saint-Yago. C’est leur
vue, à peu près âgée de trente-cinq ans, est blanche aussi. C’est je crois le plus honnête homme de l’île ; du moins ses man
lles de vin. Ils m’en surent bon gré, aussi bien que le Portugais. Je crois que cet hidalgo est major de l’île, et se nomme d
tout plat ; cependant la mer brisait proche de terre, ce qui me fait croire que ces rochers sont à fort peu de fond : peut-êt
tombant ; il ne paraissait que la longueur de trois pater au plus. Je crus d’abord que c’était quelque météore, comme on en
rablement plus beau et mieux fini. C’est un ouvrage d’Italie, dont je crois avoir vu l’original à Rome à Sainte-Marie-de-la-M
je serais revenu à pied, du moins on me l’avait fait craindre ; et je crois que cela eût été, ne l’ayant point vu depuis que
une chèvre. Je parlerai de son goût quand j’en aurai mangé ; je ne le crois pas meilleur que celui de Provence, qui ne vaut r
au cap de Bonne-Espérance ; car ce fut là qu’ils furent pris : et je crois que cette aventure fera meilleure figure dans l’e
22 mars 1690 Je connais à présent que nous avons fort bien fait de croire M. Céberet au Port-Louis, et de nous embarquer pr
les comparaisons de fricassée et de salade, qui ne sont point de mon cru , le reste est très sérieux, et d’une vérité const
ux. J’ai là-dessus fait une autre réflexion. Je lui ai répondu que je croyais bien plutôt que ce poisson nous présentait par so
Voilà ma réflexion : chaque navigateur fasse la sienne. Pour moi, je crois que c’est un avertissement que Dieu leur donne. L
it que vingt-trois ans, natif de Lyon. Il aimait à boire : mais je ne crois pas que ce soit le vin qui l’ait tué : je suis pe
le fond du Nord en Islande. J’ai dit que ces feux, que plusieurs gens croient être des gueules de l’enfer, ne me paraissaient e
quel on donnait des soupiraux si éloignés l’un de l’autre ; et que je croyais , moi, qu’autant qu’il y avait de volcans, c’était
r nouvelle hauteur, ou plutôt leur estime, les éloigne du lieu où ils croyaient être et les ramène du côté de l’Est d’où ils sont
t à l’envers avec des supérieurs et des égaux qui l’ont bien fait. Je crois qu’il fait à l’heure qu’il est de belles réflexio
s de requins. Puisque l’occasion s’offre de parler de ces animaux, je crois devoir faire leur description, d’autant plus que
nne odeur, et en a emporté six grosses tranches. Pour nous, qui ne la croyons pas assez faite, nous n’en mangerons que de demai
notre chirurgien. Il a été le regarder dans la chambre du Conseil. Il croyait être seul ; mais M. de La Chassée et moi l’avions
. Mais ne donne pas tout. Ils sont effectivement tous gascons ; et je crois que cette province est faite pour inonder toute l
une idée de ce qu’il a dit. Il est certain que qui que ce soit ne le croyait si éloquent. Il n’y a pas jusqu’aux matelots, qui
it. C’est que vous le prenez bien bas, lui ai-je vivement répondu. Je crois pourtant, a-t-il ajouté, que puisque M. Hurtain e
n discours une élocution fine et délicate, et des phrases que nous ne croyons pas provenir de son fonds, et qui nous sentent be
e de mortifications, que de chagrins sa folie lui attire ! Il est, je crois , le seul homme du monde qui puisse les supporter
ants, a-t-il dit, vous avez perdu un bon capitaine et un bon père. Je crois que M. le commandeur de Porrières, que le roi vou
ive le roi. Après cela, il s’est tourné vers nous et nous a dit qu’il croyait inutile de nous convier à remplir nos devoirs ; q
, puisqu’il trouvait le vaisseau bien mieux équipé et pourvu qu’il ne croyait . Il ne restait plus que les vivres. Pour cet arti
pondu, verra bien que je n’ai pas apporté cette barrique avec moi, et croira que ce sera du vin de retour. Pour qui prenez-vou
ps. Cela aurait été conforme à la vérité, et ne donnerait pas lieu de croire qu’il a voulu faire entendre que le soleil et le
mmé, nous avons cherché un expédient, M. de La Chassée et moi ; et je crois que nous avons réussi pour en avoir de bonne, et
e heures ; après cela de la pluie. Nous avons plus avancé que nous ne croyions , puisque nous étions à midi à onze degrés quinze
a pratique. Il y a déjà des gens qui lui font la cour ; mais je ne le crois pas d’humeur à travailler pour eux gratis. Il a f
de cale, quoiqu’on la mette rafraîchir et épurer dans des jarres. Je crois devoir dire un mot de cette eau de fond de cale,
est dans un vaisseau, soit par la chaleur qui la fait fermenter : je crois que l’un et l’autre y contribuent (ayant exacteme
été assez heureux pour que la nature se soit dérangée ; ce que je ne crois pas : Duval m’a assuré que c’était dans l’Oiseau
e sorte de vermine meurt sous les tropiques. Cela est certain ; et je crois que ce sont les sueurs du corps qui les noient. I
fort beau temps : nous sommes dix lieues plus Sud que les pilotes le croyaient . La hauteur était à midi par quatorze degrés dix
usieurs îles, et celle aux Rats comme les autres. Apparemment qu’il a cru qu’on voulait l’insulter : il est sorti de sa cha
Je vous ferais mettre aux arrêts, lui a dit le commandeur, si je vous croyais capable de faire une extravagance : tranquillisez
l’avait dit. Il faut que je fasse ici une petite digression, qui, je crois , ne sera pas hors-d’œuvre. Nous avons passé le tr
il leur avait dit que la blessure était plus dangereuse qu’il n’avait cru d’abord ; que ce matin même il avait été obligé d
nt que deux frères, peut-être l’un teigneux et l’autre galeux : je ne crois pas qu’ils eussent d’autre peigne que leurs doigt
tirer les ouailles dans le bercail du bon Pasteur. Je veux pieusement croire qu’il y en va quelques-uns par ce seul motif ; ma
it former une double souveraineté en Hollande. On se tromperait de le croire  : elle n’en jouit que dans les Indes ; et non en
écident sur ces colonies : cela passe ma sphère d’activité ; mais, je crois pouvoir dire qu’un brevet de la cour n’augmente n
t été, que cela m’aurait-il fait ? y aurais-je rattrapé mon bien ? Je crois que les choses sont à peu près de même dans les a
s les autres nouvelles colonies, où le roi envoie ses troupes ; et je crois aussi que les choses iraient mieux si les compagn
a en France : il y fit mille contes, dont le rapport me déplut. Il ne croyait pas me trouver à La Rochelle : il m’y trouva pour
ent tête. On m’a dit et assuré une chose que j’ai beaucoup de peine à croire  : cependant, celui qui me l’a assuré, qui est enc
rêt à mentir, et me paraît trop simple pour inventer une fable. On en croira ce qu’on voudra : voici ce que c’est. Les singes
grands, et fort amoureux des femmes et des filles. Cela est facile à croire  : on en a vu à Paris des exemples. Les guenons de
. Les guenons de même taille sont aussi amoureuses des hommes : je le crois encore ; mais, ce que je ne crois point, c’est qu
aussi amoureuses des hommes : je le crois encore ; mais, ce que je ne crois point, c’est qu’il y ait des hommes et des femmes
oujours en pouvoir de se plaindre qu’elle a voulu le tuer : il en est cru , et elle est pendue. Les filles sont envoyées on
rd-Est. Du mercredi 7 juin 1690 Il a plu toute la nuit comme je crois qu’il pleuvait au déluge : le temps est encore co
u par la lecture : et je n’en parlerais point du tout, n’était que je crois pouvoir hasarder mes conjectures, comme M. l’abbé
mais pu fixer ni leur cruauté, ni leur mauvaise foi. L’abbé de Choisy croit que ces peuples viennent de quelque vaisseau turc
es conjectures, et qu’il ne me paraît pas un docteur irréfragable, je crois pouvoir aussi donner les miennes suivant mon sent
t-à-dire depuis l’empire de Monomotapa jusqu’au Zanguébar compris, je croirais que ces peuples viendraient de là, et en auraient
archand natif de Lyon, versé dans la monnaie, et qui passe avec nous, croient être le même métal dont le roi de Siam a envoyé d
s pays d’où leurs ancêtres seraient venus ? Je consens à n’être point cru sur la Judée. Je m’en rapporte à ce qu’en diront
en trouve aucun vestige, ni dans l’Exode, ni dans le Deutéronome : je crois cependant que c’est là que cette permission devra
possibilités, et sur de simples et faibles conjectures : ainsi, on en croira tout ce qu’on voudra. Je ne le donne pas pour vra
ainte de donner sur les îles d’Amzuam, ou de Jean de Nove, dont on se croit proche. Il fait parfaitement beau et le vent est
monde une île flottante, seulement connue par des naufrages ? Je n’en crois , et je n’en croirai jamais rien, à moins qu’on ne
tante, seulement connue par des naufrages ? Je n’en crois, et je n’en croirai jamais rien, à moins qu’on ne me donne la même pr
merveilleux : il lui en faut, et tel est l’orgueil de l’esprit qu’il croit s’élever au-dessus de la nature dans le temps mêm
ortes d’amour à la Céladon me choquent comme le diable ; parce que je crois qu’un homme d’esprit ne doit regarder les dames q
d’arbres : et, pendant la journée, quiconque les voit peut facilement croire , comme je l’ai cru d’abord, que ce sont de gros f
la journée, quiconque les voit peut facilement croire, comme je l’ai cru d’abord, que ce sont de gros fruits prêts à tombe
j’ai parlé leur sont-elles échappées ? N’en ai-je pas fait jeter ? Je crois que le diable rôti, bouilli, grillé, traîné par l
d’eau ne leur manquent point. Les fraises et les framboises sont, je crois , les mauvaises ronces du pays ; mais il faut alle
a le goût de nos noisettes : elle est bonne et nourrissante et je ne crois pas qu’un homme puisse en manger à un repas plus
it été des tuniques fabriquées et tissées de ces filaments ; et je le crois d’autant plus que, suivant les relations des voya
sent qu’ils y sont trompés les premiers : je n’ai point de peine à le croire , à cause de la chaleur du climat. On sent dans le
eau de bois dur, taillé au couteau ; et leur encre n’est, à ce que je crois , que le noir du cul de leur pot, assez bien délay
posée du mahométisme arabe et de l’idolâtrie ; ou plutôt, comme je le crois , il y a des mahométans arabes, et en même temps d
e de nuit, ils boivent et mangent de tout, excepté les viandes qu’ils croient impures : telles sont pour eux le cochon, le lapi
lé, à l’ouverture d’un grand creux, qui ressemble à nos fours ; et je crois que c’en a été autrefois un. Il y a au pied de ce
sérieusement réfléchir sur la manière dont vivent les chrétiens. Nous croyons , ou du moins nous faisons semblant de croire que
ent les chrétiens. Nous croyons, ou du moins nous faisons semblant de croire que le Saint des Saints, le Créateur de toutes ch
ut-être involontaire, n’en ont pour la tête d’un vil animal ! Nous ne croyons point cette présence réelle ; et nous nous trompo
ous ne croyons point cette présence réelle ; et nous nous trompons de croire que nous la croyons. Nous aurions plus de vénérat
t cette présence réelle ; et nous nous trompons de croire que nous la croyons . Nous aurions plus de vénération pour cet auguste
gement. Que de sujets de méditation pour qui veut y réfléchir ! Je ne crois pas qu’aucun des spectateurs y fasse jamais d’att
is pas qu’aucun des spectateurs y fasse jamais d’attention ; et je le crois d’autant moins, qu’un des jésuites qui passent su
raît légitime Et la fausse vertu se fait honneur du crime. C’est, je crois , s’y prendre mal pour convertir les idolâtres que
de leur religion, et comme insensiblement leur inspirer la bonne. Je crois que voilà le chemin qu’on doit suivre ; du moins,
doit être en sa présence. C’est ce que dit notre pilote, et ce que je crois volontiers ; parce que cela cadre tout à fait au
conviens ; mais savoir si la Compagnie n’en payera pas davantage. Je crois que, si elle envoyait encore quelques vaisseaux e
dolâtrie des insulaires ont sanctifié à peu de frais. C’est ce que je crois de cet endroit où les idolâtres s’assemblent, et
aux Arabes, les restes de maisons ou masures qui sont autour me font croire que cet endroit a été une colonie ou habitation d
tentation violente qui m’y poussait ; mais, en honnête homme, je n’ai cru devoir mettre à profil la terreur panique du prop
rdent. Le feu qui sort de la fournaise n’est pas plus éclatant. Je ne crois pas qu’on puisse voir au monde pendant la nuit un
ndre mon estime, et même très sincère, et très bien méritée. Je ne le croyais ni brave, ni prévoyant. Je me trompais : il est c
aisseau : il mit, comme j’ai dit, toutes voiles dehors. Le commandeur crut qu’il ne songeait point à se brûler, puisqu’il tâ
a été plutôt incommodé que le père Tachard. Ce n’est pas, à ce que je crois , le manque de sainteté qui en est cause, c’est qu
nous allons à merveille, et faisons l’Est-Nord-Est. On dit ici, et je crois que cela pourra être, que, chemin faisant, nous i
revenir à bord : il a crié au voleur ; mais d’une manière qui me fait croire que ses livres ont changé de maître. Sa vue seule
six îlots ou petites îles : ce sont celles du nord des Maldives. Nous croyions en être fort loin dans l’Est ; mais apparemment l
n trouver sur le chemin que Ceylon, où nous allons, et dont nous nous croyons encore fort éloignés dans l’Ouest-Nord-Ouest. Où
bien que moi qu’ils ne sentent rien moins. En voici une autre, que je crois , parce que M. du Quesne, qui a été dans cette île
re ; et qu’il n’y a que la peau qui tombe à terre, sèche et aride. Je crois celui-là, parce que notre général l’assure. Il aj
quelque chose d’approchant dans une relation de Guinée ; mais j’avais cru que c’était un voyageur qui voulait grossir les o
érant les travaux des troupes de Caton et de Pompée dans la Libye. Je crois à présent que c’est une vérité ; mais j’avoue qu’
nts d’oreilles, les bracelets, la rose et le reste à proportion. Il a cru devoir faire le généreux par une libéralité qui n
lui en avait faites à sa barbe. Le commandeur a ajouté qu’il l’avait cru tout autre ; qu’ordinairement les gens de sa nati
dès le matin un navire, à plus de quatre lieues de nous. Nous l’avons cru gros, mais, l’ayant approché, nous avons vu que c
avoir observé, autant que la distance du lieu me l’a pu permettre, je crois que c’est un magasin nouvellement bâti. Du mar
voudra traite ceci de visionnaire et de chimérique ; pour moi, je le crois très sérieux ; et, sur ce fondement, je ne ferai
eil est aussi content que moi de la visite de notre général. Je ne le crois pas, ayant ce soir vu à table un certain M. Le Va
vec eux, sans lui. dans la chambre du chevalier de Bouchetière, où je crois qu’elle est bien restée. Y aurait-il eu quelque p
aurait-il eu quelque partage forcé ? L’apparence le dit ; et je ne la crois point trompeuse : je le saurai, car je ne crois p
le dit ; et je ne la crois point trompeuse : je le saurai, car je ne crois pas que M. de Porrières me le cache. Effectivemen
onné un. Il m’en a bien remercié et m’a dit sans façon que s’il avait cru que je l’eusse eu encore, il me l’aurait déjà dem
je l’eusse eu encore, il me l’aurait déjà demandé ; mais qu’il avait cru que j’avais fait comme lui, c’est-à-dire que je l
ettre sitôt qu’elle a vu que nous tâchions de l’approcher. Nous avons cru qu’elle s’était échouée ; mais, un quart d’heure
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
ndu de vous rien déguiser, j’aimais Silvie plus encore que je ne m’en croyais aimé ; elle m’avait fait connaître que son plus a
persuadai qu’elle ne m’avait jamais aimé, et que l’amour que j’avais cru qu’elle avait pour moi, n’était qu’un de ces feux
i, n’était qu’un de ces feux passagers si communs aux jeunes gens. Je crus que c’était un assez grand malheur pour elle d’av
ait un assez grand malheur pour elle d’avoir épousé Deshayes, pour me croire encore trop vengé de son infidélité ; ainsi je bo
our propre me fit voir les objets autrement qu’ils n’étaient, mais je crus m’apercevoir qu’elles auraient souhaité me parler
qu’elle sera ici, je l’obligerai à me parler de vous à fond, et je ne crois pas qu’elle me refuse de s’expliquer, surtout apr
us connaissiez parfaitement le désespoir où je devais être lorsque je crus qu’elle avait été sacrifiée. Pardonnez à ma jeune
pour vouloir en clouter ; cette incertitude me donnerait la mort. Je crois votre tendresse pour moi telle que vous me l’avez
de sa vie. Sainville a dû vous parler d’elle comme d’une femme qu’on croyait en intrigue avec Deshayes. Dès le lendemain que S
ce à me dire en particulier. Sitôt que nous fûmes seules, à ce que je croyais , elle commença par me plaindre du mauvais choix q
persuade que tout est, et sera en effet comme on le désire. Vous avez cru être aimée de Sainville ; vous lui avez abandonné
us loin que vos tantes dans le pays des aventures, qu’il vous faisait croire que son but était le mariage, mais qu’il avait tr
us trop de mépris, pour vous confier son honneur. Je n’ai point voulu croire tout ce qu’il m’a dit de vous, Mademoiselle, ajou
as qu’elles fussent en ma chambre lorsqu’elle m’avait parlé, et je le crus d’autant plus que je ne me figurais pas que cette
eu le front de parler d’elles comme elle en avait parlé si elle avait cru en être entendue. Je la remerciai du service qu’e
e que ce serait encore redoubler la vanité de Sainville, et lui faire croire que ce serait le seul dépit qui me ferait prendre
ublier Sainville, et de m’accoutumer à voir et à aimer son rival : je crus avoir gagné ces deux points sur moi, et ma résolu
nement à Phénice pour me faire demander en quoi il était coupable, je crus que c’était l’effet de ses trahisons qu’il contin
Le dépit et le désespoir m’ont jetée entre les bras de Deshayes ; je crus me venger de Sainville, et je n’ai fait que le ve
ainville, et je n’ai fait que le venger sur moi-même de ma facilité à croire ce qu’on me disait de lui, malgré mon cœur qui le
’autre. Comme vous êtes jeune et héritière d’un gros bien, nous avons cru ne pouvoir jeter les yeux sur d’autres que sur vo
rner avec lui, mais même de lui parler et de le voir. Vous ne sauriez croire jusqu’à quel excès il a porté ses violences contr
t dans l’hôtellerie ; en effet nous nous couchâmes, et sitôt que nous crûmes que Deshayes était endormi, nous nous remîmes en
10 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
je ne sois sûr moi-même. Ainsi, Monsieur, vous pourrez avec assurance croire tout ce que vous lirez dans la suite, et être bie
te païen. Je l’ai habillée à la française le mieux que j’ai pu. Je ne crois pas avoir réussi, n’importe, la voilà telle qu’el
que bon droit qu ’un innocent se fonde Quand il est accusé, l’on n’en croit point de bien. Si le premier vers d’Ovide me con
Monsieur Du Quesne est homme de parole, et bien m’en prend de l’avoir cru tel. Il n’a attendu personne, comme il me l’a dit
us avons perdu et que le canot du Gaillard a été à sa quête nous fait croire que son homme est sauvé. On s’est remis en route
s avec Monsieur le marquis de La [R**] Lubère et Monsieur Céberet. Je crois qu’il est lui-même l’auteur de sa mort et qu’il a
ous paraissait dans le Sud-Est, nous l’avons vue toute la journée. Je croyais avoir vu des montagnes aussi hautes qu’il y en pu
ai-je quelque idée d’avoir lu autrefois dans quelque relation, et je crois que c’est celle de Jean Hugues de Linschot Hollan
t que nous n’en sommes qu’à six lieues, pour moi tout bien observé je crois que nous en sommes à plus de douze. Le sommet en
ue le temps paraît fin à la mer quoiqu’il ne le soit pas beaucoup. Je crois que c’est que la mer étant un corps fluide donne
nous allons à l’Ouest, ainsi nous espérons les trouver bientôt. Nous croyions être beaucoup plus à Ouest que nous ne sommes, ma
aires. Du jeudi 16e.[mars] Que j’ai souffert cette nuit ! Je ne crois pas en avoir jamais passé une si mauvaise pour le
l n’a point fait de signal pour nous faire attendre, ainsi nous avons cru que c’était un officier major qui s’était laissé
fait autant d’honneur qu’il veut en recevoir d’eux, et outre cela, on croit ici que la présence du Père Tachard lui en a valu
blanc, duquel la femme que j’ai entrevue est blanche aussi : c’est je crois le plus honnête homme qui soit dans cette île, du
grande tasse avec une soucoupe d’argent, l’un et l’autre armoriés. Je crois qu’il est major de l’île et se nomme Dom Francisc
bant, et qui ne paraissait que la longueur de trois pater au plus. Je crus que c’était quelque météore comme on en voit asse
atin très mauvais quoique bien articulé, peu poli, point élégant ; je crois que c’est qu’ils suivent plutôt les phrases et él
isque de revenir à pied ; du moins on me l’avait fait craindre, et je crois qu’il en eût été ainsi, car je ne l’ai point vu d
ous les traitions nous-mêmes de seignors gros comme le bras. Voilà je crois Saint-Iago et ses dignes habitants naturellement
ot m’ont même dit qu’on s’en prenait à moi, et que Monsieur Du Quesne croyait sur le rapport du Commissaire que j’étais allé po
de même à Monsieur Du Quesne ; je n’en sais point la raison, mais je crois que c’est qu’étant bon serviteur de la Compagnie
e se découvrir à des gens avec qui ils sont tous les jours. Je les en crois pieusement, car venant de confesse, ils ne voudra
meuré fort longtemps à Paris sans autre occupation que la lecture. Je crois avoir lu toutes les relations qui ont été imprimé
urtain est plus mal que jamais, et le malheur est qu’il ne veut point croire notre chirurgien qui lui prêche la diète. Il a to
ou soldats à la mer, mangent plus que 300 hommes à terre. Vous ne le croirez peut-être pas ; il est pourtant vrai, on mange pl
Il a plu extrêmement cette nuit et le vent a calmé tout plat ; je crois que nos matelots veulent prendre toutes les bonit
iaux et on donne à l’équipage de celle du fond de cale. Si j’en étais cru , la Compagnie ferait la dépense d’une trentaine d
ux. J’ai fait une réflexion là-dessus qu’il faut que je vous dise. Je crois que c’est un avertissement que Dieu donne aux voy
ous la Ligne et sous le soleil : elles étouffent quand on respire. Je crois que c’est que le soleil a laissé l’air d’ici écha
Monsieur Hurtain est plus mal, j’aurai deviné malheureusement : je ne crois pas qu’il en réchappe On avait pris un requin, on
il ne vaut rien, mais les matelots ne leur font point de quartier. Je crois qu’ils mangeraient le diable s’il tombait entre l
uisse d’un chirurgien qu’il avait et qui était tombé hors de bord. Je crois que cela est vrai parce que je suis persuadé que
ons répondu que par une grande révérence à l’un et à l’autre. J’avais cru qu’un lieutenant succédait de plein droit à son c
qu’il n’y avait point de constance ni d’âme à l’épreuve du feu. Je ne crois pas qu’il y en puisse avoir à l’épreuve de cette
r le Commandeur l’a pleinement rétablie. Il a dit sans façon qu’il ne croyait pas trouver dans l’Ecueil des gens aussi honnêtes
sur mon chapitre, du moins j’en ai vu quelques effets qui me le font croire . Lorsque je suis passé devant Monsieur Du Quesne,
ntes espèces. Si j’en tenais quelqu’un je vous le décrirais, et je ne crois pas que personne en puisse faire une bonne et jus
ssionnaires, lequel soutenait notre aumônier célébrant, à peu près je crois comme Aaron soutenait les mains de Moïse pendant
p bon. Ce que nous avons eu ce soir est une bourrasque, qui, comme je crois l’avoir déjà dit, n’est autre chose que ce que no
e qu’il réussisse ! Du samedi 27. [mai] Parbleu si l’on veut me croire , quand le vent ne sera pas bon nous boirons quatr
des pilotes qui ne disent jamais qu’à leur capitaine l’endroit où ils croient être, et encore cette déclaration se fait-elle en
qu’ils emportent les navires avec tant de rapidité que quelquefois on croit avoir fait cent lieues qu’on n’en a pas fait ving
cent lieues qu’on n’en a pas fait vingt, et que quelquefois aussi, on croit n’avoir fait que vingt lieues, qu’on en a fait pl
ours maigres crainte de scandale. Pour moi franchement, si j’en étais cru , nous n’observerions point tant de dehors, et le
lique romain par toute terre, le salut éternel y est attaché, mais je crois qu’à la mer nous n’offenserions point Dieu si, av
ar mégarde à bord du Lion et que Monsieur Du Quesne nous envoyait. Ne croyez que ce soit une reconnaissance ni un présent grat
e relation fort exacte et se plaint fort de leur peu de bonne foi. Il croit que ces peuples sont venus des anciens Juifs, et
ès savant dans la géographie mais aussi en navigateur expérimenté, et croit que c’est quelques-uns de leurs vaisseaux qui ont
Monsieur de Flacourt et à tous les Français qui y ont été pour ne pas croire que ce sont elles-mêmes qui s’offrent à quiconque
ts du jour au lendemain, cette viande se corrompt d’abord à cause, je crois , qu’étant nourris dans un pays fort gras et ne ma
assuré qu’ils adoraient une tête de bœuf en squelette. Je ne l’ai pas cru d’abord, mais je l’ai vu, et voici ce qui en est.
Au fond de cette grange est un creux qui a tout l’air d’un four et je crois que c’en a été un autrefois. Au côté droit de ce
festins qui durent trois jours. Comme je n’ai point vu ceci, vous en croirez ce qu’il vous plaira : notre pilote est habile et
rdent, le fer qui sort de la fournaise n’est pas plus éclatant. Je ne crois pas qu’on puisse voir au monde un spectacle plus
degrés de la Ligne et plus, nous allons à merveille. On dit ici et je crois qu’il est vrai que chemin faisant nous irons visi
ons vu ce soir six îles, et ce sont celles du nord des Maldives. Nous croyions en être fort éloignés dans l’Est, mais les couran
de fusil de terre. Il nous avait paru grand, il l’était aussi ; on le croyait fort mais quand nous en avons été proche, nous av
atin un navire, mais comme nous en étions fort éloignés, nous l’avons cru gros et quand nous l’avons eu approché nous avons
’avoir observé autant que la distance des lieux le peut permettre, je crois que c’est un magasin hollandais nouvellement bâti
royale ; aussi cela paraît-il extrêmement fort. Il y a été et je l’en crois  ; cependant les Français ont autrefois possédé ce
mettre lorsqu’elle a vu que nous tâchions de l’approcher. Nous avons cru qu’elle s’était échouée, mais un quart d’heure ap
ois navires à l’ancre qui ont arboré pavillon danois : nous les avons crus tels et avons poursuivi notre chemin sans leur fa
t sans goût. J’y ai vu des bœufs, mais je n’en y ai point mangé et je crois qu’ils n’en abattent que rarement. J’ai vu de for
tes d’attelage sont communs dam cette côte et celle de Malbare, et je crois que cela pare un carrosse beaucoup plus que des c
terme, c’est qu’il n’y a que les bramènes seuls que ces malheureux-ci croient saints, et qu’il n’y a que leurs femmes seules qu
e leur côté se donnent très volontiers aux blancs ou Européens. Je ne croyais pas que cet abandon allât jusques à cet excès, ma
s que cet abandon allât jusques à cet excès, mais je l’ai vu et je le crois , et si je n’appréhendais de vous offenser, je vou
’appréhendais de vous offenser, je vous dirais des choses que vous ne croiriez pas. Ne me soupçonnez pas surtout, vous feriez un
de me trompa, et me fit inutilement marcher presque toute la nuit. Je crois quelque raillerie qu’on en ait faite qu’il ne nou
re nature Justement comme on peint nos deux premiers parents et je ne croirais point par celte démarche avoir fait aucun tort à
connu pour aussi zélé pour ma religion que je le suis, vous pourriez croire que ceci sent un peu le libertinage et le calvini
de tout ce qui regarde l’idolâtrie, je ne fais point de difficulté de croire ce qu’il m’en a dit et que je vous ai écrit. Ces
avons été hors de la portée de leur canon, ils ont mis à la voile. Je croyais qu’ils venaient nous trouver à leur tour, mais je
ce combat-ci non pas seulement une fois mais plusieurs, ce que je ne croyais pas possible. On dit qu’avant que le coup de cano
enir un boulet à moi, j’ai baissé la tête bien vite comme vous pouvez croire , le boulet a frisé la forme de mon chapeau, et em
droit trois autres bâtiments échoués et fort élevés sur la grave ; on croit ici que ce sont des Anglais, mais ces bâtiments n
e sont des Anglais, mais ces bâtiments ne me paraissant pas mâtés, je crois que ce sont des navires maures. Du jeudi 31. [
us resterons deux mois à la mer plus que Messieurs de la Compagnie ne croyaient . Du moins les écrivains ont donné au commissaire,
iseau. Tout le monde est fort scandalisé du procédé du Florissant. On croyait que la fausse manœuvre qu’il avait faite à Madras
en route ; ce bâtiment est revenu sur nous pour nous reconnaître ; on croit ici avec toute sorte d’apparence que c’est un esp
été ici. Monsieur de Porrières ne dit pas ce qu’il en pense, mais je crois que s’il avait été le maître, et que le Florissan
e d’une négligence volontaire, ou d’une lâcheté dont on ne l’a jamais cru capable. Je vous ai dit que nous faisions très pa
Il a extrêmement plu ce soir et le vent est venu bon, mais comme nous croyons être proche des îles qui avoisinent Merguy, nous
île nommée Priparis, qui est sur les côtes de Siam, de laquelle nous croyions être bien loin dans l’Est, tous les pilotes se fa
têtes et des os d’hommes morts qui étaient hors de terre. Mais je ne crois point que ce soit des corps d’hommes originaires
de Nemours a été un des plus galants hommes de son temps, et si on en croit la chronique scandaleuse, il a eu plusieurs bonne
ont en sa continence et à sa chasteté conjugale. Voilà tout ce que je crois vous devoir dire de ces pays-ci, ne jugeant pas à
davres que la mer y avait jetés. Je ne fais point de difficulté de le croire , mais je crois aussi que ce sont les gens du bâti
r y avait jetés. Je ne fais point de difficulté de le croire, mais je crois aussi que ce sont les gens du bâtiment anglais qu
poussés à terre par la mer. Cela me paraît si vraisemblable que je le crois . Il y a un marchand aux Iles de l’Amérique, nommé
bles que je me dispenserai de vous en parler, étant impossible de les croire à moins que de les voir soi-même. La terre est ic
s, ce qui est arrivé encore il n’y a pas plus de trois mois. Si on en croit ce qu’on en dit, ces animaux sont ici plus grands
ais à l’ancre non. Autant que nous étions joyeux d’une prise que nous croyions sûre, autant sommes-nous étonnés de ne l’avoir pa
ne ou qu’il les ait fait commander par ses lieutenants ; et lorsqu’on croyait Sauvagy éloigné de plus de trente lieues, c’était
ssé prendre sans tirer l’épée. Le Mogol sachant la mort de Sombagy, a cru qu’il aurait aussi bon marché de Remraja qu’il av
cela est, nous le saurons et nous nous voirons de près, mais on ne le croit pas. On ne doute pas qu’ils n’en fassent courir l
ablie en France, je me marierais deux jours après mon arrivée, car je crois qu’une femme ressemble au poisson qui n’est bon q
t leur font lâcher plusieurs railleries piquantes qui donnent lieu de croire que l’intérêt temporel a du moins autant de part
au divertissement de l’idole que ces misérables y adorent, et qu’ils croient trouver dans l’attouchement de ces malheureuses u
dont je vous l’écrirais quelque impur qu’il pût être. Voilà ce que je crois à propos de vous dire, et voici ce que j’ai vu. C
sser ; et si elle quittait sa famille. Notez, s’il vous plaît, qu’ils croient la métempsycose de Pilagore et qu’ils tiennent po
s prières. On lui apporte alors deux pots de terre, l’un plein de riz cru et l’autre d’eau. On lui jette de l’eau sur les m
ns, canards, oies et poules. Tout cela en consomme plus qu’on ne peut croire . Du samedi 27. [janvier] Le vent est revenu
n. Les courants ont été pour nous car nous avons avancé plus qu’on ne croyait , nous étions à midi à seize degrés au sud de la L
à rien, donnant de si furieux coups dans notre étambot que nous avons cru cent fois que le derrière de notre navire allait
r. Leur éperon a été emporté outre cela, et ils ont comme vous pouvez croire extrêmement souffert. Je ne sais dans quel état s
qui font du feu lorsqu’il paraît quelque navire. Que pensent-ils ? Je crois qu’ils enragent de n’être pas en état de venir au
uver l’indication d’un autre pour nous rassembler, en cas comme on le croit que Monsieur Du Quesne y ait passé. Les pilotes c
un B gravés au couteau. Cette bouteille a été apportée à bord, et je crois que c’est quelque Anglais qui a passé ici qui don
se, je n’en sais point la raison. Il est fort en peine du Gaillard et croit qu’il lui est arrivé quelque accident, puisqu’il
omplaire donnent très mal à propos dans son sens, font semblant de le croire comme lui et l’attristent encore davantage. Ils l
endaient d’eux que cela leur a ôté toute volonté de se défendre. Vous croirez de ceci ce qu’il vous plaira, mais je crois qu’on
té de se défendre. Vous croirez de ceci ce qu’il vous plaira, mais je crois qu’on peut dire là-dessus avec le proverbe que le
11 (1721) Mémoires
e suis certain que ces mémoires-ci ne paraîtront qu’après ma mort, je crois que les louanges qu’on a fait de mes écrits et qu
ires. Les flatteurs dont ce prince était obsédé lui ont toujours fait croire que c’était le plus bel endroit de sa vie : mais
eait à les laisser faire. Son amour-propre et sa vanité lui faisaient croire par leurs sujestions [sic] que le pouvoir sans bo
ier et tous en général, avaient été hureux pendant que le Roi n’avait cru que lui-même et Mlle de La Vallière et sans appré
sous son règne ; la véritable raison et la plus pressante était, (le croira-t -on ? ) la crainte qu’il avait de leurs maximes et
ais par cœur, et ne l’ayant point vu ailleurs ni imprimé ni écrit, je crois devoir le donner ici en propres termes. Le voici 
liberté de tirer les conséquences d’un raisonnement si bien suivi. Je crois qu’il ne faut pas être fort habile pour dire que
ibué à son humiliation ; et plusieurs gens qui se mêlent de politique croient que les Espagnols n’ont jamais mieux fait pour se
sont des preuves parlantes, et les siècles à venir auront peine à les croire si ils les comparent au traité de Nimègue. 35. La
sans contredit de la cour papale et des gens d’Eglise. Il ne faut pas croire que j’avance un paradoxe ; je vais le prouver, et
un si illustre banni. Le pape, se regardant comme le premier pauvre, crut avoir un droit primitif sur les biens de l’Eglise
tant qu’il put ; mais Philippe le Bel, qui était aussi avare que lui, crut ne devoir pas tout laisser à sa Sainteté, et ils
illait les gens d’Eglise qui étaient sous son obéissance, Philippe se crut autorisé par l’exemple du chef de la religion de
de rage d’être cocus, un autre fou, et la fille putain. 44. Voilà, je crois , avoir prouvé ce que j’ai avancé, qui est que jam
ise et surtout leur chef ne leur en avait pas donné l’exemple, et ils crurent pouvoir en sûreté de conscience ravir le bien de
vaient. Mais Anne d’Autriche, mère de Louis XIV, et Mazarin faisaient croire à ce prince que c’était lui et son autorité que l
emble. Mais ce prince était trop gonflé de sa propre grandeur pour en croire d’autres que Louvois qui la flattait, et là-dessu
u par moi-même deux choses que certainement la postérité aura peine à croire . L’une est arrivée à Saint-Maixent en Poitou, l’a
Jésuites se Figurèrent qu’ils l’avaient payé. Il ne voulut pas les en croire , et les fit assigner à sa requête. S’il avait été
fripon et de calomniateur. M.Le Camus ne jugea pas à propos de les en croire à leur parole, et se fit apporter une bougie. La
ardinal, le Roi, toute la France, et moi-même tout le premier, avions cru que c’était assez pour lui d’avoir le chapeau rou
roverbe trivial qui dit que Tant vaut l’homme, tant vaut sa terre. Je crois qu’il faut dire un mot de tous ceux qui ont occup
re celle d’un point de mathématique, ce qui est tout dire à ce que je crois . 64. Ce cardinal était Italien, fourbe, avare, di
s si froids, que cette princesse ne pouvait devenir grosse. (Qu’on ne croie pas que je dise une fable, le reste va justifier
ère était sur des épines croyant n’avoir amené qu’un fou, parce qu’il croyait que la bouteille casserait et ne soutiendrait pas
où elle fit tant de brigues contre le cardinal de Richelieu, qu’elle croyait la cause de son exil, qu’elle acheva de se perdre
Je dirai là-dessus quelque chose dans la suite de ces Mémoires qui je crois méritera bien l’attention du lecteur. 85. Pour re
5. Pour revenir au cardinal et aux déprédations qu’il a faites, il ne croyait pas lui-même que son bien lui appartînt ; du moin
oyait pas lui-même que son bien lui appartînt ; du moins s’il l’avait cru pendant sa vie, il témoigna ne le plus croire au
nt ; du moins s’il l’avait cru pendant sa vie, il témoigna ne le plus croire au lit de la mort, et ce fut là l’action la plus
avaient été intéressés et le gain qu’ils avaient fait ; où tel qui se croyait créancier du Roi de plusieurs millions se trouva
i nous n’exécutions pas ce qu’il nous serait impossible d’entendre ?… Crois -moi, Onontio, ne te charge point de soins inutile
pandu parmi les hommes, et que nous ne sommes pas si brutes que tu le crois et qu’on le croit dans ton pays… Ecoute, Onontio,
mmes, et que nous ne sommes pas si brutes que tu le crois et qu’on le croit dans ton pays… Ecoute, Onontio, nous ne croyons q
tu le crois et qu’on le croit dans ton pays… Ecoute, Onontio, nous ne croyons que ce qui cadre à la raison et qui frappe nos ye
nnocents que vous tous puisque nous nous lavons tous les jours… Tu le crois , nous ne nous y opposons pas, mais n’entreprends
us ne nous y opposons pas, mais n’entreprends pas de nous forcer à le croire … Ces grandes robes noires qui viennent parmi nous
et les autres Français s’en repentiraient les premiers....Nous avions cru en voyant cet arbre reverdir et s’agrandir, et ré
au grand contentement des marchands et des coureurs de bois. 130. Je crois devoir dire ce que c’est que la cérémonie de la h
arler d’avortements. Mais la fornication subsistait toujours. 143. On croit que ce fut Monsieur l’archevêque de Paris cardina
vous me faites plaisir de me le dire, car depuis quinze jours que je croyais l’être le mariage me put, et je suis dégoûté d’el
se souvenait plus du présent qu’il avait fait à sa femme, et elle qui croyait que son mari allait avoir la tête lavée y vint av
très difficile de faire un faux pas sans être découvert. J’aime mieux croire que cette droiture venait de son propre fond, et
ait M. Picon a le malheur de ne se pas connaître. Au contraire, il se crut plus habile que jamais. Il y alla et parla au Roi
ût pas été cause lui-même de l’aventure. 153. Plusieurs personnes ont cru que c’était M. Picon qui a fait le Testament poli
i qu’il me la dit en secret, mais tous les acteurs étant morts, je ne crois pas devoir le garder. 155. Louis dauphin, fils de
encore la complaisance de faire. Ce prince était la bonté même, et il crut qu’il y avait quelque batterie sur le jeu, d’auta
de ce ministre, il avait été exclu des dignités et des emplois qu’il croyait lui être dus. Il faut ajouter encore que Monseign
tres lui faire sa cour. Elle2 le reçut très froidement. Toute la cour crut que cette réception était un effet de sa fierté n
relle. 172. Quoique M. Colbert fût fourbe, poursuivit M. Picon, je ne crois pas qu’il l’ait été au point de procurer la mort
fenêtre, et le lisait tout haut seul à seul avec le donneur. Celui-ci croyait son affaire faite, mais il se trompait, parce qu’
peuple, et la pêche en était volontaire. Je ne demande pas qu’on m’en croie à ma parole ; que ceux qui en douteront écrivent
es à la manière de M. de Montagne, non pour bons, mais pour miens. Je crois cependant que cette diversité de faits n’a rien q
tte diversité de faits n’a rien qui puisse ennuyer ; au contraire, je crois qu’elle divertira l’esprit qui serait trop tendu
M.Colbert mourut en 1683, et le peuple, qui n’est qu’une bête féroce, crut avoir tout gagné par sa mort ; que les impôts all
V pour la passer sous silence. Un officier commensal de sa maison (je crois que c’était le marquis de Kermadec) avait un proc
is d’aller chercher Desgrez, qui était un exempt en vogue. Le laquais crut que c’était pour arrêter le gentilhomme qui était
l fallait un Premier Président du parlement de Bretagne, et ce prince crut ne devoir remplir ce poste que par un aussi honnê
me le Caton de son siècle si j’avais eu l’honneur de le connaître, je crois devoir dire de quelle manière il a quitté le parl
ef de tous les tribunaux du royaume. Mais apparemment le prince ne le croit pas digne de sa colère ; il se contente de le mép
e savait à quel dessein on les avait fait venir. Il y en eut même qui crurent que c’était un conseil extraordinaire que Louis v
e de gens armés de mousquetons, de pistolets et de leurs bandolières, crut qu’on voulait arrêter son maître, et dit qu’il al
timent et expectant, dit Pétrone. Deschiens, averti par son portier, crut être perdu, et se jeta par une fenêtre dans un cu
je vais rapporter une chose très vraie, et que pourtant le lecteur ne croira pas sans peine. Mais je lui offre pour témoin Mad
. Ce malhureux fut assez scélérat pour s’accoupler à une levrette (le croira-t -on ? ). Cette chienne devint pleine ; on crut qu’
à une levrette (le croira-t-on ? ). Cette chienne devint pleine ; on crut qu’elle avait trouvé quelque chien à l’aventure,
ire que la nature accorde à ces bêtes pour mettre bas étant passé, on crut que cette levrette était malade. Mais quelle fut
schiens était maître d’une infinité d’emplois, il y eut un commis qui crut faire sa fortune en épousant cette fille. Il étai
eusement commencé et ne lui en dit point le sujet. Cette fille outrée crut que sa nourrice la jouait de concert avec Madame
rut que sa nourrice la jouait de concert avec Madame Deschiens, et le crut d’autant plus qu’elle les avait vu plusieurs fois
disette de Paris et de toute la France, à laquelle je reviendrai, je crois devoir dire la cause de notre malheureux combat d
gtemps n’avait pas permis aux Hollandais de sortir du Texel. Ainsi il crut que les Anglais étant seuls M. de Tourville en au
de vue et s’attachaient à lui avec d’autant plus d’opiniâtreté qu’ils croyaient que le roi Jacques y était, et qu’ils voulaient p
longtemps, et le tout par l’entêtement de M. de Pontchartrain, qui se croyait seul plus capable et plus habile que tout le rest
ui perça le corps et le jeta mort sur la place. Le capitaine, qui, je crois , était le commandeur de Combes, qui avait tout vu
ndais qui composaient l’avant-garde de l’armée ennemie. Tout le monde croit que les Hollandais voulurent ménager leurs forces
égard, je le fis comme on me l’avait ordonné, et suivant mes états on croyait encore vivants dans le mois de septembre les même
char traîné par trois furies, Et le démon conduit le train. 252. On croit que ces trois furies sont Louis, le père de La Ch
Ce vicaire, nommé M. Charpentier, y vint, et après avoir (à ce qu’il crut ) gagné la confiance de son pénitent, il lui parla
était de pardonner à ses ennemis, du moins à ceux que mal à propos il croyait tels ; que c’était de Madame son épouse et de M[o
ce confesseur sortit très scandalisé de la réponse du pénitent, et je crois surtout de ses dernières paroles. 258. Son fils a
pénétrer mes desseins, c’était à vous d’approuver mes actions, et de croire que la raison était de mon côté. Levez-vous, et e
mple. Il l’est encore actuellement, et est un témoin qui peut en être cru . Celui-ci était sur son pailler, et Bourvalais n’
it la route de Paris. Enfin Monsieur de Harlay, premier président, se crut obligé d’y mettre ordre, et envoya querir quelque
lui faire entendre que les choses n’étaient pas si outrées. Le Roi le crut ou fit semblant de le croire. Mais le ministre, q
choses n’étaient pas si outrées. Le Roi le crut ou fit semblant de le croire . Mais le ministre, qui avait ses raisons pour lui
de ce procès. Bien des gens qui se piquent d’approfondir les affaires croient que son jugement, celui de Bourvalais et de plusi
vait dans ces maisons. Mais comme il en voulait aux communautés qu’il croyait lui avoir fait un vol public de ne consentir pas
l’estomac : A qui diable t’es-tu donc conseillé ? Comment, maraut, tu crois pouvoir voler impunément, et tu n’as ni édit, ni
s suifs. Il voulut redescendre de son carrosse, et son cocher, qui le croyait dedans, fit partir ses chevaux. On sait que les c
ue fils d’un apothicaire, ne se connaissait point à l’anatomie. Il ne crut pas son mal si grand qu’il était, d’autant plus q
Elle est toute aimable et n’en est pas plus hureuse. Beaucoup de gens croient même que son mariage n’a été consommé avec le com
un million de présent pour le premier enfant qui en proviendra. Il se croit prince, et je n’entreprendrai point de décider s’
ur de son mariage, et les mauvaises manières du comte son époux. Il a cru que cette consolation était encore trop pour elle
isqu’ils peuvent gagner et vivre sans être à charge à personne, et je crois que tout ce qu’il y a de gens de bon sens les reg
ps en pénitence, et qu’ils ont enfin envoyé mourir je ne sais où ; je crois que c’est à Vérone ou Lucques en Italie. Pour moi
nommer, ignorant encore s’ils sont réguliers ou séculiers ; et je ne crois pas qu’ils le sachent eux-mêmes, ne s’étant donné
ux infâmes qui proviennent Venere naturali et l’auteur du sizain fait croire à Lulli que ces eaux guérissaient aussi par l’int
e crains bien fort que Crozat ne travaille pour les Anglais, et je le crois d’autant plus qu’il faudra pour l’entretien de ce
t encore exister, à moins qu’on ne les ait jetés au feu, ce que je ne crois pas, puisque M. de Seignelay m’ordonna de les rem
les à ceux qui leur en troqueraient. Je désignais les endroits que je croyais devoir être les premiers peuplés et fortifiés pou
e troupes réglées n’auraient pu faire. Je disais de quelle manière je croyais qu’on dût se comporter à l’égard des Français nat
t approuvée, quoique apparemment il eût ordre de la faire, ne pouvant croire qu’il eût osé faire une pareille entreprise de so
vais point encore que La Boulaye fût parent de M. de Villefranche. Je crus que c’était un officier que la cour récompensait.
et intérêt, à plus de six cents mille livres. Pour cet article, je ne crois pas que j’imposasse, car le président de Chevry p
ispositions, lui dégoûté et moi dans l’attente d’une vengeance que je croyais certaine. Mais qui pourtant n’a pas réussi. Je re
e. Il a mieux aimé rester à Baston avec les Anglais, chez lesquels je crois qu’il est mort. Du moins n’est-il pas revenu en F
nter la bonne opinion qu’ils avaient d’eux-mêmes, et les obliger à se croire prophètes ; et en effet il le fit intendant des f
au chancelât et de mettre l’autre à sa place. Cela fut fait. Si on en croit le bruit commun, le premier accepta le chancelât
d’argent. Sur ces états pis que grimoire On faisait semblant de nous croire . Le Roi nous accordait des diminutions, Il est vr
s sommes ; Et si vous allez nous presser De lâcher un argent que nous croyons le nôtre. Nous allons tous vous confesser Les con
à M. de Louvois son père, et puisque j’en suis sur les maltôtiers, je crois devoir dire ici de quelle manière M. de Barbezieu
12 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
robe de Palais, l’appela plus haut que les autres. Il le regarda, et crut le reconnaître. Il vit bien qu’il ne se trompait
ère que vous serez logé avec assez de commodité, parce que comme j’ai cru me marier il n’y a pas longtemps, j’ai meublé une
moi ? Non, répondit Des Frans, je vous supplie de m’en dispenser ; et croyez qu’il faut que des affaires d’honneur et de consé
nsieur Des Ronais, je vous assurerai devant lui, que Gallouin n’a pas cru vous offenser, puisqu’il ne savait point que le s
e à Gallouin qu’elle était religieuse ! Il a été assez simple pour la croire , et pour l’imiter ! Il n’est rien de plus certain
dressant à lui-même, comment l’avez-vous approfondi ce mystère que je croyais ignoré de toute la terre ? Vous le saurez, reprit
lus de six ans, à cause de sa maîtresse ; par un homme que tout Paris croit mort depuis quatre ans, et qui retrouve sa maître
de sujet de vous plaindre de sa mauvaise foi que vous voulez le faire croire , lui répondit Dupuis. J’ai voulu cent fois vous d
tilement que moi : il veut être en colère malgré les gens, et ne veut croire que sa prévention. Ma cousine à qui j’ai dit que
ivé, et que vous logez chez lui, vous supplie d’aller chez elle, elle croit que vous ne donnerez pas assez à la colère de son
nt, répondit Des Frans. Je sais mon devoir, et vous me faites tort de croire qu’il faille m’en avertir, j’irai dès demain. Vou
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
ntre la muraille, où il se donna un si grand coup de la tête qu’on le crut mort. Il fut en un moment tout couvert de son san
lui eut dit que sa femme se portait mieux. Comme il ne voulut pas le croire , on fut obligé de le porter auprès d’elle, il l’a
été autant aimée de son époux que celle-là l’était du sien ; elle le crut aussi, et ce fut son malheur, parce que cela l’ob
e douceur achevée et dans un trop grand respect pour son père pour la croire capable d’en avoir agi de cette sorte par son pro
eux. Cet homme qui ne savait point le dessein de sa femme, et qui ne croyait pas qu’elle en eût d’autre que de faire sollicite
n éducation, et elle avait si bien dissimulé ses vues, que Sotain qui croyait que tout commerce était absolument ruiné entre so
précautions que les Italiens prennent, se douta de ce que c’était, et crut que le Français en avait voulu prendre de pareill
trouver ce qu’il craignait, si sa femme eût été moins sage. Comme il croyait que cette fausse Italienne n’entendait pas le fra
la mettre dans les fers. Ce fut là une nouvelle douleur pour lui. Il crut qu’elle regrettait la liberté que cette ceinture
ais elle fut rassurée par le refus absolu que Sotain en fit. Celui-ci crut que c’était un Argus que sa femme voulait éloigne
nt et passionné peut livrer à la vertu d’une femme. Le cavalier avait cru que Sotain étant éloigné, sa femme, dans la chamb
pleins de feu, et néanmoins abattus, le regardaient avec langueur. Il crut avoir trouvé le moment de se servir de sa clef, i
x officiers du régiment où je suis incorporé depuis peu. Votre mari a cru avoir pris, et a pris en effet toutes les précaut
sements plus considérables que les siens. Je vous sacrifie tout, n’en croyez que mes actions et non pas mes paroles, dites-moi
qui vit qu’elle n’en avait encore rien fait, et qui effectivement ne crut pas qu’elle fût d’humeur à en rien faire, redoubl
t son possible pour s’en faire aimer ; que tout ce qu’elle en pouvait croire était que son assiduité commençait à lui déplaire
ui dit-elle les larmes aux yeux, aimez-moi ou du moins laissez-moi le croire , c’est la seule consolation que je vous demande ;
leurs paroles que Julia était un homme, et que sa femme l’aimait, il crut qu’elle ne l’avait prié de le congédier que pour
le regardait comme un fou, ainsi on voulut bien en faveur de Célénie croire que tout ce qu’il avait dit n’était arrivé que da
s une qui n’en eût fait autant qu’elle, j’avouerai pourtant que je ne crois pas que de cent il y en eût eu vingt qui se fusse
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
sexe, vous m’avez paru fort peu prévenu en sa faveur, et que vous le croyez très peu disposé à soutenir un engagement, je vai
’approbation des connaisseurs. Elles est née railleuse ; mais si j’en crois ses lettres, les traverses de la fortune ont fait
rt pensive. Les yeux qu’elle avait gros, humides et rouges, me firent croire qu’elle avait pleuré ; je ne me trompais pas. Je
un si grand obstacle. M’aimez-vous autant que vous voulez me le faire croire , me demanda-t-elle en me regardant fixement. Oui,
e avec tant d’éclat, lui dis-je, Mademoiselle, que vous aurez lieu de croire le sacrifice sincère. Je prévois tous les chagrin
paroles de toute la conversation que nous avions eue elle et moi. On crut que la pauvre fille m’avait dit quelque parole ma
Grandet m’ayant dit qu’elle ne m’épouserait qu’avec répugnance, je ne croyais pas devoir, en honnête homme, abuser de l’autorit
rutal qu’elle me peignait, et qu’en effet je lui avais paru, on ne la crut point ; d’autant moins que ce mariage m’étant trè
d’autant moins que ce mariage m’étant très avantageux, on ne pouvait croire que j’eusse voulu rompre de gaieté de cœur, et sa
élité éternelle, et vécûmes dès ce jour-là comme mari et femme. Je ne crois pas qu’il y ait au monde un plaisir plus grand qu
es juges qui voyaient que je n’étais point si criminel qu’ils avaient cru , et qui peut-être étaient attendris par un specta
çus pas que nous fussions parents. Je ne lui dis point mon nom, je me crus seulement obligé, à cause de la patrie, de lui do
ertine, surtout dans un pays où la jalousie règne, et où les maris se croient tout permis pour venger l’honneur qu’ils croient
, et où les maris se croient tout permis pour venger l’honneur qu’ils croient qu’on leur ôte, par le commerce qu’on peut avoir
t un extrait de sépulture. Ils le firent, de sorte que mes parents me croient encore présentement en l’autre monde. Mais j’ai c
es parents me croient encore présentement en l’autre monde. Mais j’ai cru devoir les tromper les premiers, afin qu’ils aida
dans mon carrosse. J’attends à m’expliquer du reste avec elle, et je crois être en droit de vous dire que je la trouverai fi
a nuit. Ils ne pouvaient savoir avec qui, tant la mort de Jussy qu’on croyait certaine les mettait hors d’œuvre. C’était un éni
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
cautionner la sagesse ; mais comme il s’y était accoutumé, il pouvait croire que d’autres s’y accoutumeraient aussi. Elle desc
r parut français, et avoir la bourse bien garnie ; outre cela, ils le crurent de la compagnie de celui qui venait de se défendr
u où ils étaient Sancho et lui, pour leur en donner la comédie. Elles crurent que le bruit qu’elles entendaient était le combat
a-t-il. Don Pedre se tourna en effet, et voyant encore un homme qu’il croyait avoir assommé, fit face à notre chevalier, après
près avoir dit à ses gens d’emmener Eugénie. Le valet de Deshayes qui croyait son maître mort, avait résolu de le venger et de
d’Eugénie qui était évanouie et sans mouvement. Don Quichotte qui la crut morte résolut de la venger : Ah maudits Sarrasins
dèrent vainement à Gabrielle de Monsalve qui elle était. Celle-ci qui croyait la comtesse morte, pleurait, criait et s’arrachai
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
une simple parole générale, lâchée sans aucun dessein de t’offenser ? Crois -tu qu’il suffise à un homme d’avoir de l’esprit e
i doive régler toutes les actions de la vie ? Désabuse-toi si tu l’as cru , puisqu’il faut avec cela du bon sens, de la prud
e chevalier errant n’est pas, à ce que je vois, fort dangereux ; nous croyions trouver déjà cinq ou six chevaliers vaincus, et v
is chevalier aux armes noires ; et comme on fit semblant de ne pas le croire , il montra son épée pour en convaincre ses audite
tir, et de vous dire de vous en défier. Il m’a dit son nom ; c’est je crois Freslon, Friton, Foulon. —  Non, non, reprit Don
pée nue. —  Désabusez-vous, Seigneur chevalier, lui dit le duc, je ne crois pas que ce soit lui qui ait fait cet enchantement
uc, je ne crois pas que ce soit lui qui ait fait cet enchantement, je crois plutôt que ç’a été Parafaragaramus, qui n’a pu so
été coupé ; mais quand cela serait arrivé, ils étaient sur le pied de croire à un besoin que ce trou était un des soupiraux de
véritablement enchantée ; et la plus forte raison qu’il avait pour le croire , était que Parafaragaramus était trop honnête enc
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
, quoique l’amour les unît. Cléon trouva pour sa fille un parti qu’il crut mieux son fait. Il ne l’aurait cependant pas obli
Verville prévit tout d’un coup ce qu’il en pouvait espérer, et ne se crut pas malheureux. Il lui indiqua une maison écartée
leur surprise sur l’étonnement où sa présence les mettait. Justin le crut , ou fit semblant de le croire, et sans se hausser
ent où sa présence les mettait. Justin le crut, ou fit semblant de le croire , et sans se hausser ni se baisser, il n’en fit pa
bien élevée pour rien faire d’indigne de sa naissance, et qu’il ne la croirait jamais criminelle qu’il ne le vît de ses propres
de peu d’apparence, il eût eu de la peine à la reconnaître, et aurait cru s’être trompé, s’il n’avait pas vu sa femme de ch
sa pas de lui dire qu’il voulait tout voir de ses yeux, et qu’il n’en croirait point d’autres témoins. C’était ce que son gendre
; mais ayez la bonté de vous souvenir que vous m’avez dit que vous ne croiriez jamais rien au désavantage de la vertu de votre f
r de toute ma famille, et le mien en particulier. Vous avez raison de croire que le vôtre y était intéressé ; mais que ce soit
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
ducs et des autres ; et parce que sur la foi de son habit il l’avait cru un homme de conséquence ; sans cela il n’aurait p
s sous lui, que le pauvre écuyer ne put se tenir en selle. On lui fit croire qu’un nécromancien avait enchanté son cheval, et
trésor avec tant de subtilité, que personne ne s’en aperçut, et qu’on crut qu’il avait manqué son coup. Il l’apporta au duc,
min. Comme on entendit un cor en arrivant au château, nos aventuriers crurent que c’était un nain qui en sonnait. Tout le domes
lumes pour mettre à son chapeau, et lui dit quelques douceurs. Sancho crut tout de bon que cette fille ne pouvant rien avanc
chambre, pour y pleurer en repos son malheur, et qu’elle n’avait pas cru lui devoir refuser cette grâce. Je laisse à pense
ule et de bêtise. Enfin Altisidore se jeta sur son lit, et Sancho qui croyait de bonne foi y aller prendre sa place se mit en d
e chevalier passa outre après ce discours avec son triste écuyer, qui crut tout de bon qu’Altisidore avait eu le même sort q
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
e rencontre m’a paru si beau et si plein de bon sens, que je n’ai pas cru devoir en priver le lecteur. Il prit la parole ap
r elle. Cependant ce qui n’est pour lui qu’une galanterie, à ce qu’il croit , passe dans son esprit pour un crime irrémissible
utres femmes. — Comment comme les autres femmes ? reprit la duchesse, croyez -vous qu’elles soient toutes méchantes ? — Mon Die
a je ne me plains que de ma femme, parce que je n’en ai qu’une, et je crois que tous les autres aussi bien que moi ne se plai
savoir si elles sont bonnes ou méchantes. Je ne m’étonne pas si vous croyez qu’elles sont douces, vous autres gens d’Eglise,
ie, il faut prendre en patience les contradictions de votre femme, et croire que c’est Dieu qui vous l’a donnée telle qu’elle
n discours l’avait obligé de citer une petite aventure. Cid Ruy Gomez croit que c’est celle d’Angélique, qui fut tout d’un co
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
our commençait à paraître, que Don Quichotte s’éveilla. Sancho qui se croyait invulnérable, et par conséquent invincible sous l
it, et sur cette croyance il sortit avec un air si délibéré qu’il fit croire à Don Quichotte qu’il y aurait de la peine à le v
ou bien prépare-toi à t’éprouver contre moi. Don Quichotte qui avait cru prévenir Sancho, fut fâché de ce qu’il en était a
en même temps il tourna bride, et s’éloigna au petit galop. Lorsqu’il crut être assez éloigné il tourna visage, se recommand
et vaincre un jeune chevalier, qu’il protège, et que tous les démons croient son bâtard ; avertis-l’en, afin qu’il s’en donne
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
molle et trop délicate pour un homme aussi nécessaire au public qu’il croyait être, et qu’il espérait que la campagne lui étant
inspirait cette pleine confiance, qu’ils se mettaient sur le pied de croire toute sorte de vertus dans leurs femmes et dans l
pour elles, et de leur confiance en leur vertu, qui les empêchait de croire qu’elles pussent faire aucune démarche contre la
e purent s’empêcher de rire d’un si faible argument que les Espagnols croyaient persuasif et convaincant ; ils le réfutèrent en F
de leur infidélité, et que c’est cette conduite qui les y pousse, je crois qu’il est à propos que chacun de nous raconte que
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
jeunes qu’il faudrait avoir en main leur extrait baptistaire pour les croire plus vieilles que leurs enfants ; que cela faisai
leur fournir les occasions d’être tentées. Sancho qui n’avait jamais cru qu’on eût dû lui faire un crime de cinquante baga
ous l’en tenons absous. Après cela il arrêta un moment, et Sancho qui croyait en être quitte prit ce temps-là pour dire à son m
de vin qu’on lui fit boire, on acheva la cérémonie. Le pauvre diable croyait bien encore cette fois-là être quitte de toutes c
t d’argent, et une musique charmante s’y faisait entendre ; enfin ils croyaient être effectivement dans un palais enchanté, et Sa
nt être effectivement dans un palais enchanté, et Sancho n’aurait pas cru sortir de l’enfer si son corps, sa barbe et ses j
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
gts. —  Eh quoi ! Chevalier Sancho, lui dit le duc, c’est vous que je croyais de mes bons amis, et vous empêchez le seigneur Do
n, et un gobelet d’argent ciselé sans aucune armoirie. Lorsque le duc crut avoir assez donné de temps à Parafaragaramus pour
blessés, et voyant encore leurs chevaux qui n’avaient pas branlé, ils crurent effectivement que leurs armes étaient enchantées,
ue ce ne fût lui qui leur avait dressé cette partie ; et comme ils ne croyaient pas qu’il eût osé entrer dans la forêt, ni se com
eau de Valerio, et en tournant le dos à ceux qui les cherchaient, ils croyaient trouver le duc seul, ou du moins peu accompagné e
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
sions de Don Quichotte le leur permettaient. Sitôt que l’officier les crut endormis, il monta au grenier, et sans faire le m
uinze pas des armes, et le firent si naturellement, que Don Quichotte crut qu’ils étaient enchantés, ou du moins retenus par
en met aux enfants qui louchent pour leur redresser la vue, et Sancho croyait que c’était ses yeux qui lui sortaient de la tête
Hercule. Cet objet terrible avait arrêté Sancho tout court. Ruy Gomez croit , mais il ne l’assure pas, que la peur lui avait o
d saut épouvantable, avec des hurlements effroyables. Ce fut là qu’il crut effectivement que tous les diables d’enfer étaien
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
h ! Pardi bon, dit Sancho, ce satyre-là m’a déjà porté bonheur, et je crois qu’on l’appelle Rebarbaran. —  Cela est vrai, rep
pour l’y avoir laissé dans une posture si indécente, et concluait par croire que c’était quelque autre qui avait usurpé son no
rupule et un doute qui me paraissent fort bien fondés, et qui me font croire qu’il ne vous est rien arrivé que par votre faute
n’avait pas l’esprit assez fin pour s’imaginer une chose à quoi il ne croyait pas que son maître songeât, c’est pourquoi il lui
c que ce qu’on y a mis. Honni soit-il pourtant qui mal y pense. Je ne croyais pas offenser votre bon ami Parafaragaramus, lorsq
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
is-tu que j’aie dit quelque chose à ton maître touchant l’avenir ? Et crois -tu que Pluton s’intéresse autant à un malheureux
sif, qui tout ensemble faisaient à la vue un effet tout agréable. Ils croyaient être dans le palais enchanté de Circé ou d’Alcine
solé Sancho malgré les douleurs qu’il ressentait dans tout son corps, crut que tout ce qui lui était arrivé n’était qu’un rê
ans ; et Cid Ruy Gomez dit qu’il les faisait de bon cœur, parce qu’il croyait avoir senti pour Alonza Lorenço une douceur de cœ
estables d’une manière à faire étouffer de rire. On feignit de ne pas croire que Dulcinée fût effectivement désenchantée : car
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
l ne blâmait point les Français de ne s’y pas commettre, parce qu’ils croyaient que cela était indigne d’un grand cœur ; mais que
nd cœur ; mais que pour lui il était d’un autre sentiment et qu’il ne croyait pas qu’il fût plus indigne d’un prince de faire l
et ses propres compatriotes, que de la faire à des étrangers ; qu’il croyait même que c’était plus utilement servir sa conscie
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
ût encore un coup de son beau-frère, comme en effet c’en était un, se crut obligée de lui offrir un asile dans son château,
oint demandé la bourse, et avaient tout d’un coup attaqué la vie ; il crut même que Don Pedre était Sainville qui s’était dé
; le Français le démasqua, et voyant que ce n’était pas Sainville, il crut pour lors que ce n’était qu’un voleur, et le lais
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
ntendre plus clairement à mesure qu’ils avançaient. Don Quichotte qui croyait n’être pas éloigné de l’endroit d’où cette voix s
os son ennemi terrassé et rendant le sang de tous côtés, ou plutôt il crut le voir, car Passamont était disparu, et c’était
e du sang, et on les avait percées de sorte que le héros de la Manche crut avoir tué le neveu de Freston, et avoir déjà comm
faisaient mine de vouloir se jeter sur nos aventuriers. Cid Ruy Gomez croit que Sancho en eut une telle épouvante que l’harmo
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
u’il pouvait prétendre d’elle, et cela avec tant de zèle, qu’il avait cru s’y devoir confier. Il lui avait dit sa qualité e
valet de chambre, et que celui-là lui paraissait lui être propre, il crut que c’était une affaire faite. Le chirurgien avai
t ainsi venu en Espagne en habit d’inconnu. Le comte du Chirou qui ne crut pas que les intérêts de Sainville fussent plus ch
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
vissent mal mises comme elles étaient. Mais Cid Ruy Gomez aime mieux croire charitablement que ce fut en bon père, et en bon
biller, comme en effet c’était la vérité. Il dit en particulier qu’il croyait qu’elles étaient devenues folles de joie, si elle
voyez-vous pas bien ? Elle est éveillée comme une potée de souris, et croit qu’il n’y a qu’à se baisser et en prendre. Je l’a
e de la médisance, s’il n’y a de la rime il y a de la raison. — Je le crois , dit la duchesse, vous me paraissez trop sage pou
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
, offrit un si beau présent, que le valet espagnol le prit au mot, et crut assez gagner au change, en lui donnant en même te
que l’Espagnol crût avoir pris le Français pour dupe, celui- ci ne se crut point trompé ; et en effet, s’il l’a été, ce n’es
33 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
rquoi il ne voulait pas tout à fait s’expliquer, et commençait même à croire qu’elle était effectivement enchantée. Il s’endor
e l’estime qu’ils feraient de leurs armes et de leurs chevaux, qu’ils croiraient tenir de la main d’un enchanteur, leur ami, les a
34 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
upirs à toucher les cœurs les plus insensibles. Sancho trop pitoyable crut devoir le consoler. Il s’approcha de lui, et ne c
e se voir bien nourries et bien entretenues ; elles commençaient à se croire des gens de conséquence, et la duchesse ne trouva
35 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
Pour moi je t’avoue que je suis fort satisfait de la mienne. —  Je le crois , répondit Sancho, on dit que vous valez vous seul
’étais à boire et à dormir. —  Comment, interrompit Don Quichotte, je croyais que tu soutenais l’honneur de la comtesse. —  C’é
36 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
sachant d’ailleurs qu’il avait encore envoyé chercher du monde, elle crut que c’était quelque nouveau divertissement qu’il
l’épée à la main, qui surpris de se voir sur les bras un homme qu’ils croyaient mort, se défendirent avec tout le désespoir de ge
37 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
plus persuadé qu’auparavant que c’était là la fontaine de Merlin ; il crut même éprouver sur-le-champ la vertu de l’eau, la
ait qu’augmenter de moment en moment. — Pour moi, répondit Sancho, je crois que l’eau ne me vaut rien, et que si j’avais bu a
38 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
à mes heures perdues. À l’égard des noms que je leur ai donnés, j’ai cru les leur devoir donner français, parce qu’en effe
s qualités ne sont pas logés uniquement chez les Grands.]1 Voilà, je crois , une bonne partie de rencontres qui se trouvent o
39 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
t avec abondance tout ce qui pouvait rassasier la faim et la soif, et crurent être encore servis par enchantement. Merlin, qui
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