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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
ée de ma vie : nous n’avions pourtant pas tout dépensé. Chacun fut si content , qu’on résolut de continuer pour avoir de quoi fa
temps, confirmaient ce qu’elle m’avait dit. Cependant je n’étais pas content  ; mais il me vint des traverses qui m’avancèrent
te, pour le service que j’attends de vous. Ensuite je m’en allai fort content d’avoir trouvé une femme d’intrigue, et de l’avoi
us concevez bien ce que je veux dire, je me livre toute à vous, je me contente d’être votre épouse devant Dieu, et je vous laiss
ont quelque sujet de se plaindre d’eux, lorsqu’ils ne sont pas aussi contents dans leur union qu’ils espéraient l’être. Ils peu
ise humeur. Si j’avais choisi moi-même, je serais mieux et je vivrais content  ; mais vous avez voulu que je m’en rapportasse à
t pas dire que notre mariage ne fût bon. Elle me parut avoir l’esprit content . Elle visita sa chambre d’un bout à l’autre ; ell
e l’appela, et lui fit nettoyer ce qui restait du dîner. Je suis fort contente , lui dit-elle ensuite, des meubles que voilà, je
ai une autre clef de la chambre, et je sortis de cette maison le plus content de tous les hommes. Je ne craignis plus que mon l
ré pouvoir surmonter facilement. Elle craignit que sa mère ne fût pas contente de ce qu’elle s’était mariée sans sa participatio
outrages ne passent pas les paroles ; car autrement je ne serais pas content . Plût à Dieu, dit-elle en riant, en être quitte p
as de ces paroles, ce sont les actions qui sont essentielles, je suis contente des siennes ; et au hasard de vous voir méprisées
s d’un ton goguenard, que je ne le fais pas dire à ma femme. Elle est contente de mes actions, c’est signe du moins que je ne su
, dit Dupuis en prenant la défense de son ami, il n’a pas lieu d’être content des femmes. Je n’en parle que sur un peu de lumiè
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
inelle ; que pourtant Madame de Cranves avait paru n’en être pas fort contente  ; puisqu’au lieu de lui faire par son testament a
vous donnant cent louis ? Oui, dit-il, pour l’argent j’en suis assez content , car j’espère encore arracher quelque plume à mon
e sont les mêmes que j’ai encore. Il n’en peut pas disconvenir, et se contente de n’en rien dire. Il faut à présent venir à l’es
iminel avec Garreau : il veut même que Madame de Cranves n’en fut pas contente , et qu’elle l’a fait voir par son testament, et v
plus rien à vous demander, accordez-moi ces deux grâces, je sortirai contente du monde ; et surtout ne me voyez plus. Tout comm
dame Morin et nous soupâmes fort bien, parce que nous avions l’esprit content . Il fallut ensuite parler de se coucher. Elle vou
r agi sans son consentement, nous rendrait les gens du monde les plus contents et les plus heureux. Que la vertu de Silvie lui é
ses soins. Je l’en remerciai : mais je craignis que Silvie ne fût pas contente d’une pareille résolution, qui me paraissait fort
les connaître, ni d’en être connue. À l’égard de ta mère je suis fort contente de son procédé envers moi. Elle sait que je suis
nir par le jardin ; mais ma mère ne le voulut jamais. Elle était fort contente de sa vue. Son air et sa beauté lui plaisaient ;
a voir à son tour ; et j’appris avec bien de la joie qu’elles étaient contentes l’une de l’autre. Le commandeur partit peu de tem
n. Adieu, Monsieur, ne songez plus du tout à moi, vous en vivrez plus content  : je prie Dieu qu’il vous comble de ses grâces, e
de ma vie. Je reconduisis le bon père carme à Grenoble, et le laissai content de ma reconnaissance qu’il appelait excessive. Il
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
eur commune maîtresse ; mais qu’enfin tous deux ayant reconnu que non contente de les sacrifier l’un à l’autre, elle les sacrifi
in que par rapport à leurs amis, le comte Valerio et son épouse étant contents , Sainville et sa veuve étant dans la meilleure in
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
a mieux que moi. Je lui en eus obligation, mais je n’étais pas encore content . Je voulais la faire expliquer à son tour. J’étai
’il s’en est présenté pour elle. J’espère enfin qu’elle et moi serons contents pour le reste de nos jours. Ses parents n’ont plu
Mongey veut bien en recevoir une d’eux, je me fais fort qu’elle sera contente de leurs honnêtetés et de leurs excuses. Ces deux
ompit Madame de Contamine, que le cousin et la cousine seront bientôt contents . Ce sera pour moi lorsque Madame le voudra, repri
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ous cherchez ici ? J’y cherchais, répondis-je, deux amants heureux et contents  ; je les ai trouvés et je les y laisse, et je sor
es noces. Je repris un ton scélérat pour lui dire qu’elle devait être contente de sa victoire ; que ce devait être assez pour el
ré sa mère je l’obligeai de pousser le procès contre son mari. Je fus content de ce que j’avais fait ; je n’en voulus pas davan
. Elle me le dit, et m’en fit voir de la douleur ; mais comme j’étais content et qu’elle devait l’être aussi, je lui dis qu’ell
la prenant entre mes bras, qu’il faudra attendre que votre sœur soit contente pour être heureux. Je m’étais bien attendue à cet
qui me vit dit avec dépit, voilà Monsieur, Mademoiselle sera bientôt contente . Je me réjouirai toujours, repris-je, lorsque ma
prit Dupuis, c’est un coup de fou, d’étourdi et de brutal ; êtes-vous content des épithètes, ajouta-t-il en riant ? Je la veux
onsentir ma mère à ma satisfaction. Je lui répondis qu’il devait être content de l’avantage qu’il avait sur moi par l’âge et pa
venez seulement, me dit-elle, je vous jure que vous aurez lieu d’être content . Je pris donc rendez-vous pour le lendemain à onz
audrais bien la peine. S’il ne tient qu’à cela, repris-je, vous serez contente . Je vous dirai tous les jours de ma vie, que je v
un sensible plaisir ; qu’elle m’en remerciait ; et qu’elle était très contente de l’accord de l’amant et de la maîtresse. J’ai f
Elle l’accorda de bonne grâce, nous le scellâmes, je fus parfaitement content d’elle, et elle me parut l’être de moi. J’en sort
trop hors de moi pour vous rien dire. Je sortis d’auprès d’elle fort content au moins de m’être déclaré. J’espérai en avoir bi
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
ut reconduire toute la bande au château, où tout le monde arriva fort content de la matinée, excepté Don Quichotte qui ne disai
modérément que la compagnie qui les outrait. Son écuyer n’en fut pas content , et voulut que du moins il le louât seul à seul,
7 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
y avaient été approuvés et que tous messieurs de la Compagnie étaient contents de ma conduite, et vous en avaient complimenté. S
n. Je reportai au magasin du roi les fléaux et les poids, et l’esprit content j’allai joindre les acheteurs au Pavillon, où le
à M. Céberet. M.de Seignelay me fit l’honneur de m’écrire qu’il était content  : vous m’écrivîtes une lettre aussi gracieuse que
fait le portrait, page 99, vient avec nous. Je ne sais s’il sera plus content de ce qui va se passer devant M. Céberet que de c
souvenir, messieurs, de nos nouveaux philosophes et astronomes. Je me contente de les nommer ici ; je les introduirai dans la su
ns à l’abordage. Les Hollandais se retirèrent ; et M. du Quesne, très content de l’action et de la journée, et fort incommodé d
r : il me pria de changer de place ; ce que je fis avec plaisir, bien content que ma petite malice eût réussi. Effectivement, c
temps, bon vent, messe de couvent, bon et ample déjeuner, et l’esprit content . Après cela, un mot de réflexion. Les Bretons par
i la soif. Je dirai lundi au soir comme le tout se sera passé : je me contente de dire, à présent, que les ordres viennent d’êtr
mblable ; bien persuadé qu’il faut que le faible esprit de l’homme se contente de la vraisemblance, dans l’impossibilité où il e
personnes, on a si bien fait qu’ils ont tous été, non seulement très contents , mais encore agréablement surpris d’un régal si p
us regardant. Je les lui ai fait donner, et il les a emportées, aussi content qu’un abbé commandataire nouvellement nommé. Tes
urtout dans ce climat ? M. de La Chassée, ni moi, ne sommes nullement contents de ces ridicules consultations : bien persuadés q
t un dinde à la daube lui ont tenu compagnie. M.du Quesne a paru très content . Pendant que nous déjeunions, notre nouveau capit
. Le commandeur a écrit toute la journée. Il me paraît qu’il est très content de ce qu’il a vu. Je lui ai promis à demain de qu
tel, qui lui en a plus dit et plus prouvé que je n’en voulais : étant content , puisqu’il trouvait le vaisseau bien mieux équipé
age se porte bien : il n’y a qu’un seul malade ; et tout le monde est content , à l’exception de Bouchetière, qui a toujours l’î
ai portés dans ma chambre ; et, lorsqu’il m’en a vu ressortir : Es-tu content  ? m’a-t-il dit. Oui, Dieu merci, lui ai-je répond
, si ceci ne le rend pas sage. Tous ces messieurs sont retournés très contents  : le commandeur l’est aussi. Il m’a dit en riant
uesne nous a fait la grâce de dire à M. de Porrières qu’il était très content de nous ; et effectivement nous avons fait tout c
magnifique et propre, surtout le dessert. Nous en sommes revenus très contents , et bien remplis. J’y ai appris, que j’ai assez b
avantage. Je ne sais si tout le monde qui est dans l’Écueil est aussi content que moi de la visite de notre général. Je ne le c
8 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
 un fourbe complet, & elle comme sa garce & une putain. Je me contente de poursuivre avec Sévère : Mais, à parler sans
t tous trois, ou le diable s’en mêlera. Franchement, je ne suis point content . J’ai aussi trouvé dans une autre soute du pain g
t mêlé ; tout le monde s’y est fourré. M.de Porrières est nanti &  content  ; &, suivant toutes les apparences, il n’y a
je n’en croirai ni plus ni moins que ce que j’en crois ; & je me contente de lui donner cet article de la guenon pour aussi
allons. J’ai eu quatre accès de fièvre ; & en étant plus que très content , j’ai suivi le conseil de Rikwart & me suis s
& voyant qu’ils ne revenaient pas, nous nous sommes retirés fort contents de notre curiosité. Voilà ce que j’ai vu la nuit
ite éclatait dans ses livres & dans le négoce. La Compagnie, très contente de ses services, l’a élevé par degrés ; &, en
e. C’est faire bien vite une sottise. Ses parents ne furent nullement contents d’une alliance si prompte, & encore moins d’u
nd-il de ceux qui n’en ont point ? Mon ami donc, malgré son cocuage, content de ce qu’il avait vu, sortit sans bruit, alla rej
été mise à une épreuve si forte. Il ne me parut pas que le banian fût content de mon indifférence ; mais je le payai d’une mala
e. Il me tomba une petite brunette toute jeune, dont je tus tellement content que, pendant que nous sommes restés à Pondichéry,
l ne s’est passé aucun jour que je n’aie été la voir ; et, si je suis content d’elle, je ne crois pas qu’elle se plaigne de moi
re, la dispute aurait été écrite en rouge. M.de Porrières n’était pas content , M. de La Chassée encore moins, Landais rageait,
jeudi 25 janvier 1691 CONFÉRENCE AVEC M MARTIN M. Martin m’a paru content de mon journal, & encore plus de s’être aperç
s, & sujettes à désaveu. La masse de la Société prise in globo se contente de s’approprier le fruit de ces fautes & de s
dolâtres. Je ne suis point théologien, ce n’est point mon fait, je me contente d’être chrétien, le reste est au-dessus de moi po
du tout de vin de Cahors, ni de celui de Saint-Yago. Il n’en est pas content , ni moi non plus. Nous buvons de temps en temps b
u mois. Du dimanche 18 mars 1691 Notre aumônier n’est nullement content de la relation que M. de Porrières fit mercredi a
onces de pain, un demi-setier de vin & six pruneaux. S’il ne s’en contente pas, les cabarets ne sont pas loin ; mais il faud
91 Toujours bon vent : tout le monde en est réjoui, & très peu content du jeûne austère d’aujourd’hui & de celui qui
du temps que j’en eusse parlé à M. de Goimpi, & qu’il m’eût paru content , j’ai eu besoin de toute ma fermeté pour confondr
; & n’en est sorti que parce qu’il a fallu partir. S’il n’est pas content , la corde est au puits. Mais, pour l’autre, quand
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
et pour vous, gouvernez-vous si sagement, que le public et moi soyons contents de votre conduite. Vous me connaissez, vous savez
le animée du son de la voix et des gestes du corps. J’étais tellement content d’avoir une maîtresse si parfaite, que pour me ju
st déjà passé quatre depuis, et après une si longue absence vous êtes content , et vous vous portez bien. Que vous êtes heureux
e. Je n’ai plus rien à prétendre au monde, et je mourrais tout à fait content , si je pouvais vous voir l’un à l’autre, et voir
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
our. Pour revenir à ce souper, jamais homme ne parut plus gai et plus content , et Angélique nous a dit que ce qu’elle lui avait
ous faire trouver un bon parti : pourvu que je vous sache heureuse et contente , il me semble que je le serai aussi ; et qu’au co
r se meubler et s’accommoder, sans qu’il parût y prendre part. Il fut content lorsqu’il y alla ; rien n’y manquait, ni pour la
de le ménager, et pourvu qu’il eût été satisfait, elle aurait dû être contente  ; mais en faisant ce qu’elle voulait faire, c’éta
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
sa fille était tel qu’il le fallait, le lui fit voir, et elle en fut contente  ; mais elle dit qu’il fallait que Sanchette le fû
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
, tu me parais triste, mon enfant, dis-moi ce que tu as ; n’es-tu pas content de la journée ? Pour moi je t’avoue que je suis f
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
dédommager des peines qu’il leur avait causées. Il dit qu’il mourrait content s’il pouvait embrasser Sainville, et le demanda a
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
Quichotte fut toujours à la portière du carrosse, et eut lieu d’être content des louanges que le duc et son épouse donnèrent à
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
fût en sa présence. Il n’est point encore de nos amis, je suis assez content qu’il ne nous chagrine point. Ma femme et moi ne
leva pas même ses yeux. Le vermillon de ses joues, et un certain air content qui se répandit en un moment sur toute sa personn
t encore entre nous sur le pied d’amant et de maîtresse. Je suis très content d’elle : si son père veut enfin se raccommoder av
16 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
le mérite, ou que je ne songe plus à la suite, si le public n’est pas content . Il ne me reste qu’un mot à dire, qui est que le
17 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
à dîner ; on a fait ce qu’on a pu pour le régaler. Il en a paru fort content . C’est un fort honnête homme, point façonnier, bo
t Pyrrhus dans 1’Andromaque de Monsr. Racine, c’est le moyen de vivre content . Ce poisson est gros pour sa longueur, il pèse en
les yeux mouillés. Il a fort bien fait et tout le monde en a été fort content . Après cela l’aumônier du Florissant son frère, q
joie et simplesse, et dit enfin à Monsieur Du Quesne qu’il était très content de ses officiers ; j’en suis très aise et j’espèr
esne nous a fait la grâce de dire à Monsieur de Porrières qu’il était content de nous et effectivement nous avons fait tout ce
té propre et magnifique surtout le dessert, tout le monde en est fort content . Du lundi 24e. [juillet] Toujours en joie,
femmes que je le suis, de qui vous savez que je n’ai pas lieu d’être content . Pardonnez-moi cette digression, et revenons à no
moi qui ai eu quatre petits accès de fièvre, et qui en suis plus que content , pour obvier au cinquième, je me suis réduit au c
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
e on en sortira à son honneur. Notre héros dit cela avec un visage si content et si rempli de lui-même, que la duchesse de Médo
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
t la joie la plus sensible que j’aie ressentie de ma vie ; je mourrai content si je vous vois réunis ; comme au contraire je mo
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
paradis est un lieu de plaisir, où l’on ne doit voir que des visages contents , riants et fleuris, et non pas des faces décharné
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
i le dit tout haut après le départ du courrier, témoigna en être fort content , et toute la compagnie qui eut les mêmes sentimen
22 (1721) Mémoires
en repos, lui dit le Roi en riant, puisque vous devez avoir l’esprit content . Qui que ce soit ne savait quelle était cette grâ
a lui-même, Lassé de vivre heureux voulut avoir un roi. Oui, tu seras content , peuple ingrat et sans foi, S’écria le Seigneur d
, et deux sols pour la charge d’un cheval. Le peuple ne fut nullement content de cet impôt. La mer même, plus charitable que l’
Mais apparemment le prince ne le croit pas digne de sa colère ; il se contente de le mépriser et de l’abandonner à ses propres r
fondir ce qu’il avait dans l’âme, et qu’il en sortirait d’autant plus content , puisqu’il apprendrait les causes du désordre que
la Chambre de Justice contre Le Normand. Le public n’en fut nullement content  ; il voulait une victime. Ce n’était pourtant pas
joué, et lui en expliquai les motifs. Il ne m’en parut point du tout content , et je n’en fus pas plus avancé. Cependant je fus
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