en état de se rendre à ses devoirs auprès de Sainville. Elle demanda
conseil
à l’aimable Provençale sur ce qu’elle avait à fai
obliger à le congédier avant qu’il ait eu le temps de s’expliquer. Ce
conseil
étant le seul à prendre et le meilleur à suivre,
sa générosité et à son bon cœur le soin de lui procurer de l’appui au
Conseil
de Madrid ; mais qu’elle se chargeait de lui en p
as sa lettre sitôt que le duc de Médoc reçut des nouvelles de ceux du
Conseil
de Madrid, auxquels il avait écrit. Elles étaient
a première occasion commode pour se rendre à Madrid, où les ordres du
Conseil
l’appelaient, et où il achèverait de se justifier
et peut-être son honneur. Les Espagnols et les Français avaient tenu
conseil
, où chacun avait inventé quelque tour. On avait r
ire la foi, Contre les oints de Christ en fit bien moins que toi. Ton
conseil
te fait suivre un si honteux modèle. Il voulut po
il a agi de lui-même, et qu’il a décidé dans le moment, et sans autre
conseil
que sa probité naturelle. Le mal vient des flatte
sous celui d’un prince ignorant, qui ne suit pour toute règle que les
conseils
de misérables sans foi, sans religion et sans pro
tenir sa querelle pour le remettre sur le trône dont, par les mauvais
conseils
du confesseur, il avait été cause que ce prince a
ances, mais n’a rien opéré que le rappel de M. de La Beuvrière, et le
Conseil
n’a mis ordre à un abus si criant que lorsque tou
t que tous les Français se conformant sur l’exemple que le Roi et son
Conseil
lui donnait de prendre à toutes mains, tant sur l
père est appelé duc de Noailles, et le même qui est à présent chef du
conseil
des finances. Le cardinal son oncle lui fit épous
d’y aller sans compagnie, afin, disait-il, de savoir de lui-même sans
conseil
d’autrui ce qu’il lui semblerait du bâtiment en f
sa première bienfaitrice, et que ce fût elle qui l’avait mis dans le
conseil
et approché du Roi. 69. Le bruit de cette répudia
llé pour se défaire de sa charge de procureur général, et suivant les
conseils
du cardinal le Roi le fit arrêter, et on travaill
ie. 98. A l’égard de la religion, comme il voyait de son temps que le
conseil
de conscience tendait à la suppression de l’édit
veuve en vie en 1683. Il était honnête homme, et, de concert avec le
Conseil
de Quebek et les plus considérables habitants, il
i aussi à son tour. M[onsieu] r d’Argenson était commissaire nommé du
Conseil
pour juger des contestations qui arrivaient au su
re malice ; Son rude châtiment jusqu’à nous est passé. Ainsi par faux
conseils
l’homme se vit poussé A suivre aveuglément le dés
en, et par le moyen de M. Colbert, son frère, elle obtint un arrêt du
Conseil
par lequel il lui fut permis de lever deux liards
autre chose que sa procuration au nom d’un nommé M. Mabire, avocat au
Conseil
, pour s’y pourvoir sous son nom en cassation d’ar
le sujet. Dans le temps qu’il était premier président en Bretagne, le
Conseil
y renvoya la connaissance d’une contestation qui
ité de plaider contre le roi en défendant ses propres droits. 199. Le
conseil
du Roi n’avait pas jugé à propos de décider entre
, avait renvoyé connaissance de la cause au parlement de Bretagne. Le
conseil
de M[onsieu] r d’Orléans ne jugea pas à propos d’
c’était un préjugé en sa faveur que ce renvoi, parce que Messieurs du
conseil
du Roi avaient voulu s’épargner l’embarras de jug
rire ses dettes. Ce procès perdu lui faisait un très grand tort ; son
conseil
jugea pour lors à propos qu’il en parlât au Roi.
dans le Louvre. Après le repos de la nuit, il fit venir un avocat au
Conseil
qui dressa le placet, court, concis et pathétique
, si les flatteurs ne l’avaient point gâté). Trouvez-vous vendredi au
Conseil
. Monsieur de Brissac, poursuivit-il en s’adressan
istrat de Paris, sans exception, de se trouver le vendredi suivant au
conseil
. Ils n’y manquèrent pas, et aucun d’eux ne savait
on les avait fait venir. Il y en eut même qui crurent que c’était un
conseil
extraordinaire que Louis voulait tenir. Ils n’ava
s, monsieur] le duc de Vendôme, et d’autres de leurs affidés, tinrent
conseil
ensemble pour lui faire avoir l’exclusion, et sui
écouté, entra dans ce qu’il venait d’entendre et résolut de suivre le
conseil
qui lui était donné. Il recommanda le secret à Mo
’aurait été en effet sans Monsieur de Caumartin, qui avait empêché le
conseil
d’en venir jusques là. Je dirai bientôt ce que c’
qu’il avait manqué de respect à un ministre, et qu’il avait fourni au
Conseil
un état dont la fausseté fut reconnue ; et le Con
avait fourni au Conseil un état dont la fausseté fut reconnue ; et le
Conseil
voulait lui faire faire son procès, et n’en fut e
uvilliers parlant au Roi que Deschiens avait présenté des mémoires au
Conseil
pour supprimer des abus qui s’étaient glissés dan
fet il n’y avait rien de si juste que ce qui avait été arrêté dans le
conseil
, et rien de si sage que ce que M. de Tourville av
Desclouzeaux, intendant ; elle le mit en fureur. C’était de l’avis du
conseil
de guerre qu’il avait retardé son entrée dans la
retardé son entrée dans la Manche. Il voulut faire assembler ce même
conseil
pour lui communiquer la lettre qu’il venait de re
où il me dicta la lettre circulaire pour faire venir les officiers au
conseil
. Il avait ses raisons pour n’en faire pas mettre
e d’un ministre ignorant et brutal, et en même temps prévenu. 235. Le
conseil
fut aussitôt assemblé. Il y dit ce qu’il avait éc
lheurs publics, mais il n’en voulait rien savoir ; et par un arrêt du
Conseil
affiché à des poteaux sur les chemins de la Cour,
is ils restèrent à Paris, parce qu’ils furent arrêtés par un arrêt du
Conseil
qui évoquait la cause à soi, défendait au Parleme
plus équitables arrêts qui y eût jamais été rendu, on data l’arrêt du
conseil
de quatre jours avant celui du Parlement, quoiqu’
uoiqu’il n’eût été rendu que quatre nos jours après ; et cet arrêt du
conseil
ne souffrit pas la moindre difficulté parce que M
me mal avisé, il a fait et fabriqué des copies d’un prétendu arrêt du
Conseil
daté du 15 mai 1703 dont il n’y a point eu de min
dites communautés… Et seront lesdites copies dudit prétendu arrêt du
Conseil
du 15 mai 1703 déclarées fausses, et lacérées en
t, tu crois pouvoir voler impunément, et tu n’as ni édit, ni arrêt du
Conseil
? Oh ! il faut te payer de ta hardiesse d’avoir e
e sincère du produit effectif des fermes, afin que sur son rapport le
conseil
pût tabler juste sur le prix du bail, au premier
en véritablement homme d’honneur, à la satisfaction égale du Roi, du
Conseil
, et des fermiers et sous-fermiers. Hureux s’il en
’aurait suivi Sans les temps malheureux d’une guerre cruelle. Mais le
Conseil
, contraint de subir notre loi, Nous accordait pou
s Et très assurés de nos gains, Nous avions la desserre prompte. D’un
Conseil
éclairé la prudence et l’adresse Nous jetait quel
ceux dont M. de La Beuvrière, intendant en Poitou, s’était plaint au
Conseil
, comme je l’ai ci-devant rapporté. Il vint chez M
uns des autres, feraient cet état plus juste en une heure que tout le
conseil
ne le pourrait faire en cent ans. Qu’en tout cas
gieux éclat que cela allait faire dans le monde, et elle leur demanda
conseil
sur ce qu’elle avait à faire. Le duc d’Albuquerqu
marquise qu’elle n’avait rien à craindre pour la vie de son époux, le
Conseil
d’Espagne ayant trop de lenteur pour décider rien
en écrivant à son beau-frère, mais il écrivit encore aux premiers du
Conseil
de Madrid. Il montra ses lettres avant que de les
e partie de ce pain. Je veux pieusement croire qu’il ne me donnait ce
conseil
qu’en plaisantant ; mais je ne laisse pas, très j
anque pas. Pour Albus, je me serais trop abaissé, si j’avais pris son
conseil
. Il demande présentement le même pain, qu’il voul
e repentait point de ne l’avoir pas fait, parce qu’il espérait que le
conseil
de guerre lui en rendrait une justice plus sévère
te conséquence pour la suite, pour être à présent tolérée sans que le
Conseil
en décide. Ainsi, monsieur, embarquez-vous de bon
es pour y renfermer deux tierçons d’eau-de-vie à lui appartenant ; le
Conseil
juge à propos que le capitaine et l’écrivain du r
ui a pu y être fait : et comme cette eau-de-vie est cause de tout, le
Conseil
en ôte la propriété audit sieur de Bouchetière, e
apitaine, et celle de son écrivain du roi ; lesquelles consciences le
Conseil
en a expressément chargé et charge, sans qu’elle
: et à l’égard des marchandises qui appartiennent à la Compagnie, le
Conseil
en a renvoyé et renvoie la connaissance à M. Cébe
uel la chose touche de près, et est de sa compétence, et nullement du
conseil
de guerre quant à présent. Pour quoi l’assignatio
ercier M. Hurtain d’avoir intercédé pour vous ; car sans lui, tout le
Conseil
, moi-même le premier, allions de pleine voix à vo
ennemie du désordre et des violences. Qu’il était bien heureux que le
conseil
de guerre eût décidé du châtiment, parce que sans
nt à tout moment dans les lanternes, et qui passent par la chambre du
Conseil
. Nous aurions bien pris aussi celle de M. de La C
e côté notre vin en durerait plus longtemps. M. Hurtain goûte fort ce
conseil
; et comme je suis chargé de la consommation, et
Le Vasseur, notre sous-lieutenant, frère de M. Le Vasseur, avocat au
Conseil
, qui a connu mon dessein, et ma malice. Vous voil
, ne mérite aucune récompense pour sa droiture dame et la candeur des
conseils
qu’il donne à Agrippine et à Néron : et que le co
rtain est trop facile ; et si M. de La Chassée ne l’aidait pas de ses
conseils
en ami et sans flatterie, il se précipiterait. Au
capitaines du Lion et du Dragon sont venus au pavillon d’Amiral et de
Conseil
, qu’on a salué de trois coups de canon ; et quoiq
a dit que je ne l’entendais pas mal, de ne pas exécuter les ordres du
Conseil
. En quoi y ai-je manqué, monsieur ? lui ai-je dem
n confisqué et adjugé dès Croix. Soit fait, a dit M. du Quesne, si le
Conseil
y consent. On a répondu, en chantant en chœur ben
nullement à notre chirurgien. Il a été le regarder dans la chambre du
Conseil
. Il croyait être seul ; mais M. de La Chassée et
pas. A peine a-t-il été arrivé au Gaillard qu’il a arboré pavillon de
Conseil
, et nous avons vu les canots des quatre autres va
Chassée et moi l’avons passée dans la chambre de M. Hurtain, celle du
Conseil
, ou la mienne. Il a conservé son bon sens jusqu’à
sporter le corps, avec les matelas et la paillasse dans la chambre du
Conseil
. J’ai fermé et scellé ses coffres, son armoire et
’autre vous perdrait : prenez garde même que je ne demande justice au
conseil
de guerre de votre impertinente entreprise. Vous
is des pieds à la tête : rayez cela de vos papiers. M.du Quesne et le
Conseil
en décideront ; et ils sont trop sages pour laiss
ent, monsieur, ai-je dit à M. de La Chassée : nous suivrons ce que le
Conseil
en décidera ; et, lorsque monsieur nous montrera
Le Vasseur et le premier pilote. Nous avons tenu tous quatre un petit
Conseil
; et leur ayant parlé du dîner à l’Amiral, notre
yant parlé du dîner à l’Amiral, notre opinion à tous est que c’est un
Conseil
exprès assemblé pour nous donner un capitaine. Le
ngée que par les brutalités de Bouchetière : lequel n’avait trouvé au
Conseil
ni ami, ni protecteur : que cependant, sans que M
, ni protecteur : que cependant, sans que M. du Quesne s’explique, le
Conseil
avait balancé longtemps avant d’en nommer un autr
tes amis, m’a-t-il dit : avertis-le, et envoie-le dans la chambre du
Conseil
, et fais-y apporter bouteille et quatre verres. J
a envoyé chercher La Fargue ; et je suis descendu dans la chambre du
Conseil
, où le commandeur jouait aux échecs avec M. de La
t, a dit qu’il regardait ce coup comme donné à lui-même, et que si le
Conseil
ne le vengeait pas, il saurait bien de quelle man
u le reste, parce que ces messieurs sont descendus dans la chambre du
Conseil
, et nous ont fait sortir de celle du commandeur,
t sortir de celle du commandeur, où nous sommes revenus, après que le
Conseil
a été tenu, qui a duré près d’une heure. Le commi
melle contre lui. Que ses conclusions lui auraient été adjugées si le
Conseil
n’avait sagement réfléchi que tous messieurs les
hetière était assez puni par ce qui venait de se passer. À l’issue du
Conseil
, ils ont fait venir Bouchetière, à qui le commiss
la mer, à l’exception de la poignée et de la chaîne d’argent, que le
Conseil
lui donnait pour sa peine de l’exécution. Cette c
garces. Ce n’est point à moi à trouver à redire à ce que le roi et le
Conseil
décident sur ces colonies : cela passe ma sphère
les autres rafraîchissements qu’ils y avaient apportés. Je suivis le
conseil
d’Alexandre mon nègre, et il me parut que ces gen
ner une chose si belle que l’employer à des bagatelles. Je suivis son
conseil
et envoyai au plus vite Landais, qui m’avait suiv
ous ont percés de part en part. La chambre du commandeur, et celle du
Conseil
, autrement la grande chambre, sont toutes crevées
ès bon sens, et les pilotes ayant assuré que la terre était saine, ce
conseil
allait être suivi ; mais, l’Anglais n’en donna pa
uisqu’il tâchait d’échapper : il tomba sur lui, et ne suivit point le
conseil
du chevalier ; on a vu ce qui en est réussi. Il é
e je tomberais dans les mêmes inconvénients. M. de Porrières, par bon
conseil
comique, avait ordonné au chirurgien de lui défen
sieur Le Vasseur, natif de Dieppe, frère de M. Le Vasseur, avocat au
Conseil
. Nous n’avons ni arrêté la chaloupe ni le canot d
M.du Quesne et le commandeur l’ont fait descendre dans la chambre du
Conseil
; d’où, au bout d’un quart d’heure, il est remont
moment : elle avait simplement touché. M.du Quesne a mis pavillon de
Conseil
: les capitaines y ont été. Le résultat a été de
rent de me consoler. La baronne arriva un moment après, et suivant le
conseil
qu’elles avaient tenu toutes quatre le soir précé
mémoires, Madame votre mère, vos tantes et moi, tînmes une espèce de
conseil
, où je les tournai si bien, qu’elles me prièrent
agir, et surtout ne me fier pas à toute sorte de gens, et ne prendre
conseil
que de personnes extrêmement secrètes, et absolum
mes ensemble la plus cruelle nuit que j’aie passée de ma vie. Tout le
conseil
qu’elle me donna ce fut de n’avoir jamais de comm
ertis une heure avant notre départ de Saint-Germain, par un commis du
Conseil
qui dînait avec nous, et qui nous le dit comme un
cet homme se portât contre elle ; et qu’ainsi elle n’avait qu’un seul
conseil
à lui donner, qui était de sortir du royaume, et
rait au son du cor que chaque troupe aurait. Pendant cette manière de
conseil
de guerre, Sancho avait plié bagage, et avait mis
u’il découvrît les retraites des autres, et en facilitât la prise. Ce
conseil
réussit tout à propos ; parce que, comme on en eu
eprendre l’aventure. Le seigneur Don Quichotte peut t’assister de ses
conseils
; il peut même te favoriser de sa présence, mais
Don Quichotte se ressouvint qu’il lui était permis de l’aider de ses
conseils
, c’est pourquoi il lui cria : Courage, ami Sancho
oiselle, lui dis-je, il n’est plus en mon pouvoir de me dégager ; vos
conseils
ne sont plus de saison. De tout ce que vous venez
dans ses coffres : qu’on disait qu’elle avait fait ce coup-là par le
conseil
d’un jeune homme nommé Garreau, qui était secréta
et de libertinage. On finissait par dire qu’on ne me donnait point de
conseils
, parce qu’on me croyait trop sage et trop généreu
de Silvie et me la rendre odieuse : mais qu’on n’y avait joint aucun
conseil
, parce qu’on avait jugé plus à propos de me laiss
lus de part à ce qui me touche. Vous n’aurez pas besoin de suivre les
conseils
violents qu’on vous donne. J’ai aimé Silvie, si j
à être l’un à l’autre. Ce ne sont ni des lamentations, ni de pareils
conseils
que je vous demande, repris-je. Mon cœur se révol
ce que je puis vous recommander c’est de ne suivre point les mauvais
conseils
qu’elle pourra vous donner. Vous vous trompez enc
mot ma vengeance était plutôt d’un barbare que d’un honnête homme. Le
conseil
de ma mère était bon, mais l’heure de m’en servir
er ; lisez, poursuivis-je en lui donnant cette lettre, vous verrez le
conseil
qu’on me donne, et que j’ai résolu de suivre si v
reprit Contamine en se levant. J’ai toujours ouï dire que le premier
conseil
d’une femme était bon ; suivons celui de la mienn
M. du Quesne, les voyant si avantageusement postés, a mis pavillon de
Conseil
. Il y a proposé que, si nous allions attaquer ces
1690 Nous avons resté toute la nuit à l’ancre ; & ce matin, le
Conseil
s’est tenu à bord de l’Amiral, où il a été résolu
pouvoir arriver de longtemps, par la contrariété des vents, on a tenu
conseil
à bord du Florissant où, tout bien pesé, & la
accès de fièvre ; & en étant plus que très content, j’ai suivi le
conseil
de Rikwart & me suis servi de cangé : c’est u
parler savamment, étant pour lors clerc chez M. Monicault, avocat au
Conseil
, que je vas introduire. Rupli était Arménien, nat
Fermes, & avait instruit les fermiers généraux que cet avocat au
Conseil
entreprenait pour Rupli. Ces messieurs le connais
sa basque ; &, dès le jour même, il y eut arrêt, qui évoquait au
Conseil
la connaissance du procès, & l’interdisait à
raux & au greffier de la Cour des Aides. M. Colbert était chef du
conseil
des Finances ; il fallut le solliciter. L’affaire
instance sur instance à la Cour des Aides, ralentirent leur ardeur au
Conseil
; & c’est ce qui donna lieu à un autre incide
ce, rapporteur, eut ordre pour ce jour fixé, si le roi se trouvait au
Conseil
; sinon, d’en différer le rapport jusqu’à ce qu’i
condamnés aux dépens, & Martinon à une prison perpétuelle. Si le
Conseil
condamnait à mort, il aurait dansé en Grève. L’Ar
our mettre les jugements en forme. Encore mieux, s’il avait séance au
Conseil
: du moins l’ignorance ne paraîtrait pas tant ; &
Héronne, qui a été, & serait encore, s’il voulait, conseiller au
Conseil
souverain de Pondichéry, & qui revient en Fra
lui & moi y reviendrions seuls, quand je voudrais ; & sur le
conseil
qu’il m’avait donné d’être sage en présence des a
’il ne soit plus tâché, que tout jouisse dans lui du même bonheur. Ce
conseil
, très essentiel à la cérémonie, fut aussitôt suiv
seconde, des présents qu’eux & les Anglais ont laits aux gens du
Conseil
du Mogol. & à ceux qui approchent de sa perso
appa. Il prit un jour de dimanche, que tous les Français officiers du
Conseil
& autres commis & soldats étions à sa mes
roi & la Compagnie nous avaient donnée. Nous nous concertâmes en
Conseil
. La demande avait été faite devant trop de monde
leur connaissance, & qu’ils le trouvent mauvais, je leur donne le
conseil
de M. Pascal : qu’ils n’écrivent plus que pour le
pourra nous trouver, ou bien nous l’y attendrons, ce qui dépendra du
conseil
de guerre. En tout cas, monsieur, je compte sur v
’y a que sept lieues d’une île à l’autre. Il avait été résolu dans un
conseil
de guerre que nous irions avec trois navires &
îles ; mais leur espérance a été vaine, une résolution prise dans un
conseil
postérieur a cassé l’autre. Je n’en sais point la
pper dessus & à s’aller plaindre à M. l’intendant. Après ce petit
conseil
tenu entre le mari & la femme, ils sortirent
si un capucin, qui vint pour confesser sa mère, et dont elle prit le
conseil
, après lui avoir sincèrement déclaré sous le scea
tre engagée pour cela. Elle s’en servit donc, et fut fort aise que le
conseil
d’un homme d’Église s’accordât avec son cœur : ca
ralité, et lui avoua ingénument, qu’elle n’avait rien fait que par le
conseil
d’un religieux. Il la blâma de cette précaution,
er avec elle pour la première fois. La malade à qui Angélique, par le
conseil
de son confesseur et par le consentement de Conta
ieur Des Frans et de Madame de Mongey auront leur temps. On suivit ce
conseil
et on dîna fort bien. Ils parlèrent pendant le dî
llement de leurs biens sans appréhender que le fisc y mît la main. Ce
conseil
du duc de Médoc fut trouvé parfaitement bon et gé
, ce qui aurait encore nui à sa santé, et c’était pour tenir ce petit
conseil
qu’elle avait empêché le duc d’offrir une place d
tre pitié et non pas de votre tendresse. Je n’attendais pas un pareil
conseil
de votre part, me dit-elle, la générosité est un
l’amant et la maîtresse, Du Val, sa fille de chambre et moi, on tint
conseil
où chacun donna son avis. On s’arrêta à celui de
r Du Quesne a fait venir à son bord tous les capitaines. Ils ont tenu
conseil
ensemble dont le résultat a été de poursuivre la
sieur Du Quesne les voyant avantageusement mouillés a mis pavillon de
conseil
pour faire venir tous les capitaines à son bord.
faire venir tous les capitaines à son bord. Ils y ont été et ont tenu
conseil
dans lequel Monsieur Du Quesne a proposé que si n
’ancre, et ce matin Messieurs les capitaines ont été à l’amiral tenir
conseil
, où il a été résolu que nous poursuivrions notre
avons si nous y serions bien reçus, Messieurs les capitaines ont tenu
conseil
ce matin à bord du Florissant, où tout bien pesé,
’était un bon garçon. Il était frère de Monsieur Le Vasseur avocat au
Conseil
à Paris. Il est mort tout à fait chrétiennement e
des canots en font facilement le trajet. Il avait été résolu dans le
conseil
que les six navires des Indes et trois navires de
venus, qui n’avaient point paru aux yeux de nos aventuriers, tinrent
conseil
sur ce qu’ils avaient à faire pour parvenir aux f
e à la suite du Roi, pour quelques affaires que j’avais à la suite du
Conseil
, j’appris que Mademoiselle de l’Épine l’aînée éta
he, et si à mon tour j’en croyais mes pressentiments, je suivrais mon
conseil
. Mettez-vous à ma place, me dit-elle, elle est ma
n, je vous le certifie, moi, ajouta Des Ronais ; et si vous suivez le
conseil
de vos meilleurs amis, vous ne laisserez point éc
rsonnes dont les cœurs paraissent si vivement pris, et que c’était le
conseil
qu’il lui donnait en honnête homme, et qu’il l’en
z pas prêché la vertu, et j’aurais appréhendé qu’elle n’eût suivi vos
conseils
; car quand une fille a de la confiance aux gens,
pondit que sa mère était trop vertueuse pour lui donner de semblables
conseils
, et trop sage pour avoir la moindre pensée crimin
dire ne la fit point changer de résolution ; elle ne suivait que mon
conseil
, et me rapportait jusqu’au moindre mot de ce qui
utre. Elle ne faisait rien dont elle ne m’informât ; elle suivait mes
conseils
en tout, et partout. Elle n’avait point d’autre v
e le plus heureux de tous les hommes, et de suivre avec innocence les
conseils
de l’amour que vous m’avez dit avoir toujours eu
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