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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
sposition. En effet toute la force de ma raison se bornait à me faire connaître le péril où je me jetais, et ma propre faiblesse,
vais prétendre. Je la quittai tellement changé et pensif que je ne me connaissais pas moi-même. Mon amour n’a point augmenté depuis
rt traitables ; rien ne me rompait les chiens, j’étais bien reçu : on connaissait le motif qui me faisait agir, ma bouche gardait l
sujettes au repentir : je vous en fais encore ressouvenir, vous ne me connaissez pas. Je vous connais, repris-je, par où je vous c
e vous en fais encore ressouvenir, vous ne me connaissez pas. Je vous connais , repris-je, par où je vous connaîtrai toujours, p
vous ne me connaissez pas. Je vous connais, repris-je, par où je vous connaîtrai toujours, pour la plus belle personne du monde, e
c’était toutes les visites qu’elle recevait et qu’elle rendait. On ne connaissait point sa famille : on me dit seulement, qu’il y a
r la dupe d’une fille qui le méritait si peu : qu’elle n’avait jamais connu ni père ni mère : qu’elle devait son éducation à
du temps perdu. Je remercie l’auteur de ces avis, je le tiens sans le connaître , pour le meilleur ami que j’aie au monde, et qui
Silvie, si j’en disconvenais je ferais une imposture ; mais je ne la connaissais pas, et la peinture qu’on m’en fait m’en donne du
dire. Je croyais que c’était ma pensée, je l’aurais juré : mais je ne connaissais pas encore tout mon faible : ou plutôt je ne sava
on étoile avait résolu ma perte, et que j’étais destiné à savoir et à connaître l’horreur du péril qui me menaçait, sans avoir la
avec ce qu’on avait écrit à ma mère, et j’allais lui demander s’il ne connaissait pas Silvie et sa tante, lorsqu’il en parla le pre
informait, il apprendrait que j’avais une fille de son âge, seulement connue en province, et fort peu encore ; car elle a pres
Rouvière, qu’il fût plus sorcier que le diable même : les médecins y connaissent -ils quelque chose, et les sages-femmes n’y sont-e
là, poursuivit-il, en me le donnant ; voyez si je suis un menteur. Je connaissais l’écriture de cette femme comme la mienne propre.
et à pousser la raillerie partout où elle pourrait aller ; mais je ne connaissais pas mon faible. Je traversai presque tout Paris,
retour de mon cœur contre toute apparence ; le peu de solidité que je connaissais dans mes résolutions pour ce qui la touchait ; la
it. Voilà vos papiers, Monsieur, me dit-elle, je vous les rends, j’en connais l’auteur et la main ; il a raison le fourbe, de d
ais capable. Elle le poursuivit ainsi. Il est vrai que je n’ai jamais connu ni mon père ni ma mère ; mais je sais bien quels
eur, qui se mêle de donner des avis à vous et à Madame votre mère. Je connais fort bien son écriture que le coquin n’a pas eu s
cette qualité font trop de figure dans le monde pour que vous ne les connaissiez pas : je vous les offre encore pour témoins de ce
int quitter que je ne fusse mariée. Valeran fut le premier à me faire connaître que mon crédit avait cessé. À peine cette dame eu
ncore acheté, outre le présent que je lui faisais. Cet homme vous est connu , et à peine me souvenais-je de l’avoir vu lorsque
ons-nous toujours exposés vous et moi aux insultes de Valeran ; je le connais , dit-elle, il a commencé, il poursuivra. C’est un
a pas, lui dis-je. Je le craindrais comme vous, dit-elle, si je ne le connaissais pas. Mais comme je sais que ce n’est qu’une bête
et à vous ; pourquoi il m’a si cruellement déchirée, et d’où il a pu connaître tout ce qu’il écrit : en un mot, je veux savoir q
vous pardonne ce que vous dites sur ma naissance, ne vous étant point connue  : apprenez pourtant que le plus honnête homme de
Ah, Mademoiselle, répondit-il, en se jetant à ses pieds, vous ne vous connaissez pas vous-même, si vous croyez que l’amour qu’on a
ut le changement qu’il y a, c’est que votre vertu qui m’est à présent connue m’inspire du respect. J’ai écrit à Monsieur Des F
Je l’ai écrit, répondit-il, parce que cela m’a paru vraisemblable. Je connais là-dedans votre véritable génie, dit-elle, de don
s. Et l’endroit de Rouvière, poursuivit-elle, comment vous a-t-il été connu  ? Dispensez-moi, Mademoiselle, de vous satisfaire
llait aux Tuileries. Nous eûmes bientôt renouvelé connaissance. Je le connais pour un homme capable de tout, à qui les plus gra
r m’entendre ; parce qu’il avait rendez-vous avec une personne qui me connaissait , dont il n’était pas à propos que je fusse vu. Je
ce qu’ils traitaient si secrètement ensemble à une heure si indue. Je connais le faible de cet homme, je le menai dîner, et j’a
un lieu de sûreté un homme qui ne vous a jamais offensé, que vous ne connaissez point, et dont même il est de votre intérêt de n’
connaissez point, et dont même il est de votre intérêt de n’être pas connu  ? Si je lui avais dit qui vous êtes, vous seriez
e vous pardonne puisque je l’ai promis ; mais souvenez-vous que je ne connais que vous dans le monde pour mon ennemi, et que je
ée que je n’y songe plus : que dira-t-elle si mes sentiments lui sont connus , et si une plus longue intelligence avec vous, lu
i sont connus, et si une plus longue intelligence avec vous, lui fait connaître que je l’ai trompée ? Voilà, interrompit-elle ave
agis, me dit-il, avec vous sans façon ; je n’ai pas l’honneur de vous connaître de longue main, mais je ne connais âme qui vive à
 ; je n’ai pas l’honneur de vous connaître de longue main, mais je ne connais âme qui vive à Paris ; je vous prends pour mon co
nnés à ma mère, et que j’avais portés exprès sur moi. Heureusement il connaissait l’écriture de cet homme : il tomba de son haut à
. Il me fit ensuite excuse, et me dit que n’ayant pas l’honneur de me connaître , il s’était porté facilement à me duper, à quoi i
’il me fit, fut une apologie de Silvie et de Madame Morin, qui me fit connaître toute la malice de Valeran, qui avait été jusqu’à
ran dont il ne parla plus ; mais il s’en tut d’une manière à me faire connaître qu’il avait résolu d’en purger le monde. Lorsque
me à qui elle pût se confier, parce que c’était la seule femme qui la connaissait , et qu’elle aurait beaucoup de peine à se passer
ais de tout mon cœur que vous pussiez vous en informer de gens qui la connussent d’une longue main, vous apprendriez qu’elle est d
sance, elle ne voudrait pas que vous épousassiez une fille qu’elle ne connaîtrait que pour avoir été exposée. Je n’en avais pas tan
me persuader de rester encore à Paris deux jours au moins. Je lui fis connaître que mon honneur y était intéressé, et que Monsieu
laissé par charité. Enfin j’y arrivai, mais dans un état que je ne me connaissais pas moi-même. J’allai dans une méchante auberge,
eu une charité toute extraordinaire ? Oui, Monsieur, me dit-il. Je la connais même, et je serais fort aise de lui rendre servic
t point de honte : mais poursuivit-il, apparemment, Monsieur, vous la connaissez . Oui je vous en réponds qu’il la connaît, reprit
emment, Monsieur, vous la connaissez. Oui je vous en réponds qu’il la connaît , reprit ma mère, et il la connaît tellement, que
ez. Oui je vous en réponds qu’il la connaît, reprit ma mère, et il la connaît tellement, que si on n’avait pas pris soin de l’i
faire tort à cette fille sur des apparences qui sont très fausses. Le connaissez -vous, poursuivit-il, ce donneur d’avis, je l’inst
r, c’est cette fourbe qu’on fait comploter à Silvie avec Rouvière. Je connais le personnage, ajouta-t-il, et si on lui avait fa
ma mère, mais qui que ce soit de ma famille n’en sait rien. Vous avez connu les raisons que j’ai eues d’en faire un secret, p
adame de Cranves à me communiquer tout ce qui la regardait. J’ai bien connu , Monsieur, repris-je, les bontés que vous avez eu
l ne lui pardonna pas la fourbe qu’elle avait voulu faire. Il lui fit connaître que la vérité était préférable à toutes choses. E
s plus contents et les plus heureux. Que la vertu de Silvie lui était connue , qu’elle ne pouvait mieux faire que de la retirer
irais pas un mot de ce que vous venez de me dire ; mais comme je vous connais pour le plus honnête homme du monde, et surtout l
fus agréablement trompé, lorsque je lui déclarai ma crainte. Tu ne me connais pas bien encore, me dit-elle en m’embrassant deva
me soucie pas que tes oncles sachent que je suis ta femme. Ils ne me connaissent pas, et [je] n’ai aucune envie, ni de les connaît
emme. Ils ne me connaissent pas, et [je] n’ai aucune envie, ni de les connaître , ni d’en être connue. À l’égard de ta mère je sui
ent pas, et [je] n’ai aucune envie, ni de les connaître, ni d’en être connue . À l’égard de ta mère je suis fort contente de so
que de me rétablir auprès d’elle, à cause de toi ; la vérité lui est connue , je n’en veux pas plus : ce que les autres en pen
à Dupuis, qui m’en parlâtes le premier. Je ne fis pas semblant de la connaître . J’avais résolu de cacher à tout le monde qu’elle
je renouerais avec elle, si je la gardais chez moi plus longtemps. Je connus que mon amour n’était point diminué, que même il
ir gardé chez moi sa fille de chambre et son laquais, parce qu’ils la connaissaient , et que leur présence m’avait souvent empêché d’a
belle ! Que j’en fus touché ! Les larmes me vinrent aux yeux, elle me connaissait trop, pour ne s’apercevoir pas du désordre où sa
èvre redoubla tellement, qu’il fallut me résoudre d’y rester. J’étais connu dans l’hôtellerie où j’étais, on me donna tous le
ea de me faire le compliment. À peine eut-il ouvert la bouche, que je connus ce qu’il avait à me dire. J’allai au-devant, et l
les noms de Silvie et de Gallouin ; ma confession acheva de lui faire connaître l’état de mon âme et de mon cœur. Le récit que je
nt, mit la main dessus en criant voilà le portrait de Madame. Le père connut dans ce moment ce qui en était. Il parla au march
ui lui dit qu’il avait eu ce portrait par hasard, d’une main qu’il ne connaissait pas. Je l’ôtai des mains de mon laquais, je le ba
ù j’étais entrée, et les serments que j’avais faits avant que de vous connaître , et que j’ai tous violés après que je vous ai con
t que de vous connaître, et que j’ai tous violés après que je vous ai connu . J’en ai déjà été punie autant que je pouvais l’ê
ir : que j’étais trompée ! Je ne la serai plus, mon faible m’est trop connu pour ne me pas humilier ! Les murs, les grilles d
e heureuse et toute paisible, je ne vous souhaite aucun mal. Dieu qui connaît l’intérieur de mon cœur, sait que je ne lui deman
jà reproché à vous-même une victoire dont la facilité a dû vous faire connaître à vous-même, que quelque chose de plus fort que v
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
s distinguée par son attachement à la personne de nos Rois, mais plus connue dans la robe que dans l’épée, quoiqu’il en soit s
de lui. Ce fut sur Angélique que vous venez de voir, et que vous avez connue dès le temps qu’elle demeurait chez Mademoiselle
commère ; mais dans ce moment une des bonnes amies de la défunte qui connaissait Angélique, la demanda à Monsieur Dupuis pour être
fille d’honneur auprès de Madame la princesse de Cologny. Dupuis qui connaissait cette femme pour femme de vertu, la lui accorda v
agnie ou de la mestre de camp du régiment de Dupuis, et qu’il l’avait connu pour fort brave homme. Voilà le fondement de la f
-même, de rester à l’attendre toute seule dans une maison, où vous ne connaissez personne, et où vous perdez un temps que vous emp
e grandes espérances sur ce qu’il lui avait dit. Elle avait fort bien connu qu’il lui avait parlé de cœur ; mais pour voir si
résolut de pousser sa fortune aussi loin qu’elle pourrait aller. Elle connaissait qu’il était trop bien pris pour pouvoir se dégage
dans votre particulier, éloignez-vous d’un quartier où vous êtes trop connue , recevez mes présents pour me faire honneur, et n
us engagez à rien avec moi. Si nous étions dans un pays où on ne vous connût pas, je n’hésiterais point ; vous seriez à moi si
ans un quartier éloigné d’ici, où vous ni votre mère ne fussiez point connues , vous pourriez en changeant de figure, faire oubl
décoration de votre chambre, vous pouvez le faire sans bruit ; et je connaîtrai si vous avez quelque considération pour moi, par
cousin, neveu de ma mère. Je n’en ai aucun ; mais cette garde ne vous connaîtra pas. Nous lui dirons même, que ne dépendant pas d
sin ; et comme il n’y allait que fort tard, il ne fut jamais ni vu ni connu de personne. La mère d’Angélique vint enfin à se
heure, il vint à pied, enveloppé dans un gros manteau, crainte d’être connu . La garde tourna la broche et pendant ce temps-là
valeur. Elle devint l’admiration de tous ceux de son voisinage qui la connurent . Elle sortait cependant fort peu, tant pour n’êtr
resse, et le même respect. Cette leçon lui était assez inutile ; elle connaissait toute la nécessité où elle était de se ménager, p
ire dans le convent où Mademoiselle Dupuis avait été élevée. Elles se connaissaient et avaient lié une espèce d’amitié. Elles se renc
ns. Angélique lui paraissant surprise, et par là achevant de se faire connaître , cette princesse ne put s’empêcher de lui parler.
aient fort scandalisées du compliment bref de cette dame, qu’elles ne connaissaient point. Elles ne savaient qu’en penser, surtout de
dame la croyait mariée, et qu’elle ne l’était pas, ce qui lui faisait connaître que ce n’était qu’une défaite qu’elle lui avait d
r prévenir les suites qu’elle peut avoir. L’état où je suis vous fera connaître le coup dont je suis frappée ; et vous saurez qu’
urir la nuit, et qu’elle l’attendait avec beaucoup d’impatience. Vous connaissez votre commère, elle n’a jamais plus de plaisir qu
le allât à l’hôtel de Cologny s’informer [de] ce qu’on y disait. Vous connaissez particulièrement Mademoiselle de Vougy, ajouta-t-
parlai mal hier au soir d’Angélique que plusieurs de vous autres ont connue ici ; je n’étais pas instruite comme je la suis à
ant lui-même, de vous faire réfléchir sur cette action. Tout le monde connaît Madame la princesse de Cologny pour un exemple de
se, en est une preuve certaine. Il ne tiendra qu’à vous de vous faire connaître pour ce que vous êtes : la princesse est prête à
nt elle avait donné son libertinage, non pas à l’inclination, l’ayant connue pour une fille très sage ; mais à la nécessité qu
agréablement que les mariages étaient arrêtés au ciel avant qu’on se connût sur la terre ; et qu’outre cela, les mouvements d
informer. Votre commère vint de la part de son père dire qu’il avait connu d’origine celui d’Angélique, qu’il était d’une tr
u de lui tenir la mienne ; de peur même que mes assiduités ne fissent connaître Angélique, je me suis banni longtemps de chez ell
ne personne à qui il savait bien qu’elle n’oserait pas le refuser. Il connut que ce consentement forcé ne le rendrait pas moin
la beauté de son corps, la vertu et la beauté de son âme vous seront connues . Angélique, pendant ce temps-là était dans un dés
e, pendant ce temps-là était dans un désordre si grand, qu’elle ne se connaissait pas. Elle n’entendit point ce qui se disait, et c
ue si mon fils est condamnable, il a du moins une belle excuse. Je ne connais guère de filles à Paris plus belles, ni mieux fai
ces qui sont très souvent fort trompeuses ; mon cœur devait vous être connu . Venez, continua-t-elle, en le prenant par le bra
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
 ? Et encore ne la connaissant que par l’endroit qu’elle voulait être connue , c’est-à-dire comme une étrangère qui avait épous
r Monsieur d’Alamogne, dans le régiment de qui j’allais servir, qu’il connaissait très particulièrement. Il me donna une lettre pou
pour m’en assurer, j’entrai dans la cour d’un cabaret où j’étais fort connu , et où je laissai mon cheval. J’entrai dans cette
e canaille, je fus obligé d’envoyer chercher un commissaire. Il ne me connaissait pas, mais il connaissait mon nom. Il voulut savoi
d’envoyer chercher un commissaire. Il ne me connaissait pas, mais il connaissait mon nom. Il voulut savoir si je lui disais vrai,
es tentations que d’Épinai ne satisfaisait pas. Elle résolut de faire connaître l’abus de son mariage. Tout ce que d’Épinai lui p
qui la suivit, et que je vais vous dire. Ce fut avec Célénie que vous connaissez tous. Elle était fille, jeune, parfaitement bien
entre elle et moi, après cela je ne songeai plus au sacrement. Je la connaissais de longue main, étant tous deux voisins. La premi
ridicule de croire que je vous en estimerais moins ; au contraire, je connaîtrais que vous m’aimez avec la dernière confiance, et j
ité et le désintéressement d’une épouse étaient des vertus qu’elle ne connaissait pas, ou qu’elle ne voulait point pratiquer. Je lu
pect pouvait exiger de moi. Quoi qu’il en soit, il est certain que je connaissais bien que je faisais mal ; mais il est certain aus
comptée à moins qu’elle ne fût soutenue par d’autres, qui me fissent connaître que j’étais aussi bien son fils par le cœur que p
m’a offert des choses que je n’attendais point de lui, et qui me font connaître que dans l’occasion le bon sang ne se dément poin
de cacher ce qui en était, parce que si sa mère le savait, et qu’elle connût qu’il m’était impossible de me dédire, elle ne no
uretés pour moi, et qui les redoublerait sans doute, si elle venait à connaître que mon mariage fût forcé. Que j’avais intérêt de
ssista aux noces de sa sœur sur son sixième mois, sans que personne y connût rien. Lorsque sa grossesse augmenta tout à fait,
nouvelle que j’appris, fut que Célénie allait épouser Alaix que vous connaissez . Je n’en crus rien au commencement ; mais la cert
, de quelque côté que vous la tourniez ; il ne faut que la voir et la connaître pour en juger comme moi. J’en suis persuadé, Mons
c ordre à mon laquais de les donner en main propre à Célénie. Elle le connaissait , y ayant plus de quatre ans qu’il était à moi. Il
la plus sincère qu’elle ait faite de sa vie. Sans doute aussi qu’elle connaissait le génie de son époux incapable de s’embarrasser
us m’en donnerez l’absolution quand je serai au bout. Si j’avais fait connaître à Alaix qu’il avait été trompé par sa femme, l’av
é trompé par sa femme, l’aventure que je vais vous dire va vous faire connaître aussi que je suis trop homme d’honneur pour tromp
e était indigne de l’être. Pendant le temps de mes débauches, j’avais connu tout ce qu’il y avait à Paris d’abbesses de Vénus
j’en sais, c’est que c’est une fille de famille qui ne veut pas être connue , et qui prend toutes sortes de précautions pour s
pas l’intérêt qui la mène. Parbleu j’en serai, repris-je ; je veux la connaître . Veux-tu me visiter, poursuivis-je, pour être sûr
lle est telle que tu me l’as dit, compte sur ma reconnaissance, tu me connais . Écoute, ajoutai-je, il ne faut te rien cacher, j
vous la voyiez. Je vous prie encore de m’en dispenser, me dit-il. Je connais mon faible sur l’article, et la demoiselle étant
e de se tenir si bien caché, qu’elle ne pût le voir, parce qu’elle le connaissait  ; il prit pour cela un sifflet de chaudronnier. N
Delorme nous amena une femme mariée qu’elle avait été quérir, que je connaissais , comme on dit, comme pain. Son histoire ne fait r
me que la Delorme avait été quérir, comme il n’y avait que moi qui la connaissais , je lui promis le secret, qu’elle a acheté et que
it été plus malheureuse qu’elle, qu’elle entreprenait de consoler. Je connus qu’elles étaient sœurs et que le sujet des pleurs
st aussi le seul plaisir qu’il y ait dans le monde pour une femme. En connaissez -vous d’autres, ma sœur ? Pour moi je vous avoue q
onnaissez-vous d’autres, ma sœur ? Pour moi je vous avoue que je n’en connais point. Il est vrai, reprit la mariée, que ce que
onnaissance que si elle m’eût parlé à moi-même. L’envie me prit de la connaître , et de lier, si je pouvais, conversation avec ell
qui je m’étais découvert, était à bout : ni lui ni moi, bien loin d’y connaître quelqu’un, n’en avions jamais entendu parler. Il
, qui était un portefaix, me vint prier de tenir son enfant. Je ne le connaissais point, mais il était conduit par mon officieux la
il en vaut la peine, et vous serez peut-être fâchée de ne l’avoir pas connu plus tôt. Si, reprit-elle en riant, le maître vau
avec leur conversation. Elle me fit rire, mais ne me surprit pas. Je connaissais Poitiers pour hardi et capable de se tirer de tou
le quelque temps après m’avoir pratiquée, parce que je croirais qu’on connaîtrait que j’en vaudrais bien la peine. S’il ne tient qu
dire que vous avez seule plus d’esprit que toutes les femmes que j’ai connues n’en ont jamais eu ensemble ? Pour la beauté, dit
on fixe de rester toujours maîtresse d’elle-même : la suite vous fera connaître son caractère. Il y avait environ dix mois qu’ell
que je serais d’humeur à venger moi-même une femme, quoique je ne la connusse pas, et qu’elle me fût indifférente. Justement co
e dit à l’oreille qui il était, pour m’obliger à me taire. Vous ne me connaissez pas, lui répondis-je, je suis homme droit, et je
nt triomphé de ces femmes. En effet, poursuivis-je, sans lui donner à connaître que je savais que c’était de lui que je parlais,
eauval l’amant de Mademoiselle de Gironne, je n’ai point l’honneur de connaître Monsieur ; mais je sais bien que l’affaire dont n
r ma pensée ; je n’espère rien de sa reconnaissance, puisque je ne la connais point ; et je n’appréhende point assez votre ress
fait assez de bruit pour être venue jusqu’à vous ; et vous ne sauriez connaître par leurs noms celui de la veuve. Cette manière d
une situation toute charmante ; car en effet elle ne dormait pas. Je connus fort bien à quel dessein elle s’était retirée de
commerce et notre tendresse. Non, dit-elle, en m’embrassant. Je vous connais , vous me connaissez ; nous ne sommes point scrupu
e tendresse. Non, dit-elle, en m’embrassant. Je vous connais, vous me connaissez  ; nous ne sommes point scrupuleux, restons sur le
ceux du mariage, sans en appréhender les suites et les chagrins ? Je connais , ajouta-t-elle en riant, plus de cent hommes et a
qu’il méprisât le sermon, soit qu’il ne voulût pas faire semblant de connaître que la morale ne regardait que lui. Comme je n’av
ire que vous perdez votre peine. Nous sommes bons amis lui et moi, je connais sa manière de vie, et je puis vous assurer qu’ell
le croit sur votre bonne foi, se trompe aussi bien que vous. Si vous connaissiez ma manière de vie, vous n’y verriez rien qui pût
eux qui est un saint homme est mon parent, cousin de ma mère que vous connaissez . Mais puisque l’occasion vient d’en parler, je cr
l’aimable sœur de mon ami, qui est à présent Madame de Londé. Vous la connaissez tous, ainsi je ne vous en dirai que ce que vous n
n’aurait dû en avoir. Ce que je vais vous en dire vous la fera mieux connaître , que tous les portraits que j’en ferais. Elle n’a
il n’en a jamais eu. Elle m’a déterminé tout d’un coup, en me faisant connaître la vérité de ce que ce bon religieux nous avait d
sieurs fois vers moi après m’avoir passé. Cela me certifia qu’elle me connaissait et que je la connaissais. Elle revint sur ses pas
s m’avoir passé. Cela me certifia qu’elle me connaissait et que je la connaissais . Elle revint sur ses pas de mon côté, les yeux to
le me regardait toujours ; j’allai à elle. Vous avez l’avantage de me connaître , lui dis-je, belle inconnue, et vous ne vous cach
eprendre d’abord, dit-elle, en m’arrêtant la main. Si je voulais être connue je me serais déjà démasquée, mais, puisque je ne
e ne veux pas le faire, et vous seriez indiscret d’entreprendre de me connaître malgré moi. Il est juste, lui dis-je, que les cho
-je, que les choses soient égales entre nous. Je suis sûr que vous me connaissez , pourquoi ne voulez-vous pas que je sache qui vou
s pas que je sache qui vous êtes ? Il est vrai, dit-elle, que je vous connais , vous êtes Monsieur Dupuis ; et il est vrai encor
que j’ai encore, ne sont point contraires à l’envie que j’ai de vous connaître  ; puisque je n’ai sur vous aucune intention crimi
Londé. Il n’y a aucun lieu d’en douter, lui dis-je, vous-même qui me connaissez , citez-moi une fille ou une femme près de qui j’a
u’il est certain que je vous l’ai dit, et que je vous parle sans vous connaître . Cette dame vous tiendrait compte, dit-elle, de t
rmée ; que ne l’en informez-vous ? Le langage de l’amour m’est si peu connu , repris-je, que si j’étais devant elle, il me ser
us montrée à mes yeux ? N’étais-je pas assez malheureux sans me faire connaître toute la perte que j’avais faite ? C’en est fait,
de soin que je les ai jusqu’ici évitées. J’ai mal fait de m’être fait connaître , reprit-elle, je me suis exposée à une étrange av
’aurait pas plu, et où je n’aurais pas trouvé mon compte. Londé ne me connaissait point, ne m’ayant jamais vu, parce que pour entre
ter. Elle rougit et dit tout haut en me montrant : voilà Monsieur qui connaît mieux les raisons de mes refus que tous vous autr
excusable de vous donner à d’autres qui ne la valent pas ? Vous ne la connaissez pas, me dit-il, il est impossible qu’il y ait une
te. Jugez de son étonnement, de se voir arrêtée par ma femme, qu’elle connaissait parfaitement bien. Arrêtez ma belle enfant, lui d
vertu, soit par la force de mon amour que je n’avais pas encore bien connu  ; soit par tous les deux ensemble, je vins à l’ai
fet Londé méritait d’être regretté, et le fut de tous les gens qui le connaissaient . Cela fut cause que deux mois après que je sortis
mpassion, après une pénitence si sincère et une mort si funeste. Vous connaissez ce que je pense, répondit Des Frans, je ne me sou
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
lle Dupuis. Je ne vous dirai point quelle était ma famille, vous la connaissez , puisque nous sommes nés voisins. Je ne vous entr
i s’est passé depuis votre départ, qui surprit tout le monde qui vous connaissait . Les uns disaient que vous étiez retourné dans le
i-ci avait de l’esprit, et que sa mésintelligence avec sa femme était connue , il craignit qu’on ne lui fît quelque affaire, d’
dans l’incertitude, et je n’en sortis que par une aventure qui me fit connaître qu’elle m’aimait assez pour songer sérieusement à
ivit-il, sous le sceau de la confession, et seulement pour vous faire connaître que j’ai toujours été malheureux, soit dans ma je
ment, que le public et moi soyons contents de votre conduite. Vous me connaissez , vous savez que le ton pédagogue n’est point mon
ui envoyais même de petits présents tels que je les trouvais. J’avais connu son esprit dans nos conversations ; et il est cer
elle est à vous ; mais gardez-vous de vous tromper vous-même. Vous ne connaissez pas les filles, elles sont plus fines que vous ne
mariage. La vue des Du Pont me fit taire d’abord, parce que je ne les connaissais point : mais je ne fus pas longtemps sans les con
e je ne les connaissais point : mais je ne fus pas longtemps sans les connaître , le compliment du fils m’instruisit. Mademoiselle
les sentiments de Mademoiselle sa fille, et les miens lui avaient été connus  ; qu’il ne pouvait pas mieux faire que d’unir deu
évanouies ; Mademoiselle Dupuis sortit toute en pleurs ; mais moi qui connus pour lors toute la fourberie, je ne pus me taire.
ur à la traverse, et vous me le préférez. Je n’ai pas l’honneur de le connaître , mais l’amour-propre me flatte assez, pour mettre
et je crois que Monsieur ne me le disputerait pas, pour peu qu’il me connût  ; du moins je ne voudrais pas me changer pour lui
eur, qu’on ne dispose pas de son cœur comme on veut. Si je vous avais connu avant Monsieur Des Ronais, votre mérite m’aurait
délivré de mon rival sans en être plus heureux. Votre commère et moi connaissions bien la fourbe de son père qui nous avait joués.
utume d’agir avec moi, il me dit d’aller terminer mes affaires. Qu’on connaissait ses amis dans le besoin ; qu’il était le mien plu
précautions filles de la défiance. Si cette occasion m’avait donné à connaître qu’il prenait part à mes intérêts, un[e] autre qu
rt à mes intérêts, un[e] autre qui survint peu de temps après, me fit connaître qu’il en prenait à ma personne. Il y avait une je
urons par composition. En effet, il envoya chercher un sergent, qu’il connaissait pour être des bons amis de cette fille. Il lui mi
aindre ici de Monsieur Des Ronais, ma propre expérience me le faisant connaître . J’ai été jeune autrefois, poursuivit-il, j’aimai
, une parole forte et les yeux vifs. Le pauvre homme se sentait et se connaissait mieux que moi. J’avais une douleur très véritable
d’ici-bas sont pires que la mort, Si du fond du néant j’avais pu les connaître , Et que Dieu m’eût laissé le maître de mon sort,
is ce qu’il peut y avoir, reprit Des Ronais. Je vous avoue que je n’y connais rien moi-même, et que les faits ne me paraissent
tetés, et la retraite qu’il lui avait donnée chez lui, lui avait fait connaître , qu’il avait toujours pour lui la même amitié qu’
uelque mine qu’il fasse de me haïr, le pauvre garçon se trompe. Je le connais trop bien pour prendre le change. De mon côté, je
ent dit que je suis un lâche, puisqu’il jure si bien ma perte sans me connaître . Il faut le voir, ce nouveau Mars. Je vais lui po
is il n’est pas vrai qu’elle fût pour moi ; c’est ce que je lui ferai connaître sitôt qu’il voudra. L’homme qui l’a écrite, et la
nterrompit la belle Dupuis, Madame est la même personne que vous avez connue sous le nom d’Angélique, et qui ne doit à présent
rapporte, avec la belle lettre que vous lui avez écrite. On vous fera connaître le quiproquo demain à dîner ; le rendez-vous est
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
is Silvie plus encore que je ne m’en croyais aimé ; elle m’avait fait connaître que son plus ardent souhait était de passer sa vi
s : Si jeune que j’ai été, j’ai aimé Sainville, et à peine me suis-je connue , que j’ai connu que je l’aimais plus que moi-même
j’ai été, j’ai aimé Sainville, et à peine me suis-je connue, que j’ai connu que je l’aimais plus que moi-même. J’ai été fort
s reconnaître, parce qu’outre que je ne lui avais jamais écrit, il ne connaissait point mon écriture, n’en ayant jamais vu. Puisque
il faut, Madame, que vous sachiez ce qu’elle contenait, afin que vous connaissiez parfaitement le désespoir où je devais être lorsq
avez abandonné votre cœur tout entier. Il serait trop heureux s’il en connaissait le prix, et c’est un bonheur pour vous qu’il ne l
’il en connaissait le prix, et c’est un bonheur pour vous qu’il ne le connaisse pas, parce qu’il est tout à fait indigne de le po
bien d’autres choses à vous dire de plus grande conséquence, et vous connaîtrez quand vous m’aurez entendue qu’il faut vous aimer
urait punis l’un et l’autre, si le fond et l’excès lui en avaient été connus . Vous voyez présentement, Madame, poursuivit-elle
tait de vous brouiller avec Monsieur de Sainville pour qui nous avons connu le penchant que vous avez toujours eu ; nous en a
trouver. Comme par votre conversation Deshayes avait appris qu’il ne connaissait point votre écriture, il nous fut aisé de le trom
C’est à vous à vous consulter, vous savez tous mes crimes, mais vous connaissez mon complice. L’étonnement où j’étais de ce que j
lle ; ce fut à quoi je me déterminai ; mais quoique sa probité me fût connue , une timidité naturelle et ma pudeur ne me permir
tueuses, je cherchai d’autres moyens d’avoir accès auprès de lui ; je connaissais de réputation un homme vertueux, son intime ami,
çaise interrompit elle-même sa narration dans cet endroit, pour faire connaître à ses auditeurs qui était la marquise, et le péri
uise, dont j’ai l’honneur d’être parente de fort proche, m’ayant fait connaître qu’elle souhaitait que je fusse de la partie, et
Silvie en pensa mourir de frayeur ; mais on la remit, en lui faisant connaître que nous étions dans un pays à couvert de ses vio
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
rtât aussi au château. Cet officier bien persuadé que Sainville ne le connaissait en aucune manière, accepta volontiers le parti qu
alerio qui était honnête homme fut fâché de l’avoir imprudemment fait connaître sans doute malgré lui ; il l’emmena dans son appa
oncer son nom. Le comte en convint, parce qu’en effet du Chirou ne le connaissait que sous le nom de Valerio Portocarrero, et qu’on
té, quoique sa maison fût trop considérable en France pour n’être pas connue de Sainville, de la marquise et de Silvie. L’agré
avoua qu’il ne lui était point indifférent ; mais elle ne lui fit pas connaître sitôt le progrès qu’il avait fait sur son cœur, p
onstance avant que de se résoudre à l’aimer tout de bon. Elle lui fit connaître ces soupçons fort spirituellement et comme par pl
 ; mais il lui répondit fort sérieusement et fort galamment, qu’il ne connaissait et n’avait regardé Silvie que sur le pied d’une f
t bons amis. Le comte Valerio fut prié de dire par quelle aventure il connaissait ces deux Français, et il le fit en disant qu’en p
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
l n’y avait pas plus de trois mois. Je la plaignis, non pas que je la connusse particulièrement, mais parce que ç’avait été une
ettre qui cause ma douleur, elle ne fait que l’entretenir. J’en crois connaître le caractère, repris-je, et qu’elle est de l’écri
avant ; ses pleurs se débordèrent, et ses soupirs redoublés me firent connaître qu’il y avait dans cette aventure quelque particu
royance du public m’est indifférente, ajouta-t-il ; mais vous, qui me connaissez , avez-vous pu le croire, et n’avez-vous pas dû pr
idèle de tout ce qui m’est arrivé avec Mademoiselle de l’Épine ; vous connaîtrez en même temps mon innocence, le malheur de cette
ce qu’elle était véritablement la mienne, et plus que tout cela, vous connaîtrez le sujet que j’ai de nourrir éternellement dans m
fortuné de tous les hommes. Marie-Madeleine de l’Épine, que vous avez connue , était l’aînée de deux autres filles et d’un garç
es bras, et rechercher même mes embrassements, dans des moments où je connaissais que je lui aurais fait plaisir de m’en tenir à se
ler, j’écrivis ce billet-ci. BILLET. Vous êtes trop éclairée pour ne connaître pas ce que je sens pour vous. Je n’ai pu faire pa
i besoin d’appui. Je m’offris à son service. Elle me demanda si je ne connaissais pas un homme qu’elle me nomma ; je lui dis qu’il
nt que le carême ne m’en retirait pas, il craignit que la mère, qu’il connaissait fort intéressée, ne me fît faire quelque démarche
lus honorer de ses visites, et je le ferai d’une manière à vous faire connaître que je ne me les suis point attirées par aucun mo
i-je pas hier ? Je vous aurais priée de cacher vos sentiments, je les connais , ne les faites point connaître aux autres. Parais
s priée de cacher vos sentiments, je les connais, ne les faites point connaître aux autres. Paraissez-moi cruelle ; faites taire
vous avez joué à me ruiner. Vos assiduités ici lui font ombrage. J’ai connu par ce qu’il m’a dit, qu’il en appréhende les sui
ez, afin de ne nous point exposer à être découverts. Pour me le faire connaître , faites une marque blanche à la muraille qui est
rien témoigner. Je demandai au portier qui était cet homme, il ne le connaissait pas. Il me dit seulement qu’il était venu au logi
r ? Non assurément, me répondit-elle, d’un certain air qui me faisait connaître qu’elle parlait de cœur. Seriez-vous capable de s
et saint Paul fut cité là de bonne foi de part et d’autre. Je lui fis connaître que je savais à quoi le mariage engageait, et que
de la connaissance de ce prêtre se joignit à nous, et comme je ne les connaissais pas assez particulièrement pour avoir d’autre ent
r ni sortir. Quand je savais qu’elle était dans sa chambre, ce que je connaissais par une petite corde qu’elle tirait, j’envoyais m
x, et me donna ce billet sans s’arrêter. Ceux qui étaient avec moi la connaissaient fort bien ; mais comme je ne la voyais point deva
ur paiement, je lui cassai ma canne sur le corps. Deux laquais qui me connaissaient et qui attendaient leur maître qui était dans un
emme en deuil fort jolie, d’environ vingt-huit ans, mais qu’ils ne la connaissaient point ; ainsi tout soupçon fut levé, d’autant plu
nnaissaient point ; ainsi tout soupçon fut levé, d’autant plus qu’ils connaissaient ma femme comme moi-même. Il m’en railla le soir e
rirez : mais ne vous exposez plus à paraître devant les gens qui vous connaissent , et surtout dans le quartier, où l’on s’apercevra
ions. Elle me demanda où était sa fille mais d’une manière à me faire connaître qu’elle commençait à s’apaiser. Votre fille est i
nir que lorsqu’elle serait tout à fait tranquille. Ensuite je lui fis connaître que le principal de tout était, que notre mariage
la hauteur dont j’avais parlé à sa mère, mais qu’à la fin elle avait connu que j’avais pris le bon parti, puisque tout en av
e si avant ; et ne l’avait envoyée à l’Hôtel-Dieu, que pour lui faire connaître le peu d’intérêt qu’elle y prenait ; mais dans l’
fusé depuis son veuvage ; mais il était si beau, que son refus a fait connaître qu’elle avait renoncé pour toujours au mariage ;
que je dirai ne devra pas vous choquer. Je veux seulement vous faire connaître , par ma propre aventure, que je suis en droit de
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
s surprendront plus, lorsque vous en saurez la raison, et vous feront connaître en même temps que toute l’espérance du bonheur de
croyez très peu disposé à soutenir un engagement, je vais vous faire connaître par ma propre expérience, que s’il y en a plusieu
nt obligé de quitter tout, dans le temps que je commençais à me faire connaître . Je ne vous dirai rien de ma personne ni de mon e
Mes yeux, mes actions mon embarras auprès de vous, ont dû vous faire connaître que c’est vous-même qui m’avez inspiré des sentim
Mademoiselle Fenouil m’en a elle-même écrit d’une manière à me faire connaître qu’elle partageait les douleurs de cette innocent
gey. Ce ne fut point ici que je lui dis que j’avais l’honneur de vous connaître , laissez-moi poursuivre, vous saurez tout en son
a pensée trop juste pour m’en plaindre ; mais dès que je lui eus fait connaître que je n’avais point trouvé d’autre expédient pou
t de papier plié, dans lequel il y avait d’une poudre jaune que je ne connaissais pas. Elle en mit les trois quarts dans un gobelet
n voyage, je sus qu’il avait été assassiné. Comme on savait que je le connaissais , on m’instruisit de sa destinée. J’obligeai les g
e me mande que je trouverai chez moi des domestiques, qu’elle-même ne connaît pas. Que je trouverai une maison fort proprement
à Mademoiselle Grandet, parce qu’elle lui rendait justice, et faisait connaître qu’elle n’avait point mérité un traitement si ind
poursuivre l’histoire de Jussy. Votre maîtresse, lui dis-je, me fait connaître qu’il s’en trouve qui se distinguent ; j’en ai de
ussy et son épouse. Ils se levèrent, et on résolut en dînant de faire connaître leur mariage à d’Ivonne, et à leurs parents avec
publique. Vous voulez douter de l’oracle, reprit la belle Dupuis, je connais Madame de Mongey ; et puisqu’elle dit qu’elle leu
ment abandonné la pauvre Mademoiselle de l’Épine, que nous avons tous connue . Nous louons ce qui est à louer, et nous blâmons
ocès sur l’étiquette du sac, en conviendriez, si la vérité vous était connue comme à moi. Voudriez-vous bien nous la dire, Mon
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
n’était pas d’en venir aussi avant qu’elle en vint. La peur de faire connaître à son époux qu’elle avait eu quelque considératio
qu’elle avait eu quelque considération pour Verville, ni même qu’elle connaissait sa personne, lui fit faire la plus grande faute q
empruntée où il se trouvait un homme parfaitement bien fait, qu’on ne connaissait pas. Il y alla, et les surprit tous deux tête à t
d’examiner et de faire examiner ses actions, et le hasard lui en fit connaître plus que ses soins n’auraient découvert. Il reven
r qui l’avait louée et meublée, qu’il la remplissait de gens qu’on ne connaissait pas ; et que pour la garde des meubles, il y fais
à tel endroit. Après cela il lui particularisa si bien tout, qu’elle connut bien qu’il en était parfaitement instruit. Il ne
e de lui ; cette intrigue soutenue si longtemps par sa femme, lui fit connaître qu’elle ne méritait plus ses ménagements. Il alla
e parti était trop juste et trop prudent pour n’être pas suivi. Cléon connaissait son gendre pour homme incapable d’ajouter une syl
e les accepter comme le gage d’une réconciliation sincère. Justin qui connaissait le génie de Cléon, accepta ce qu’il lui présentai
qu’on la regarde comme un modèle de perfection ; tous les gens qui la connaissent la regardent avec admiration. Elle est une des pl
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
une assez bonne maison d’une province fort éloignée. Mon nom est fort connu dans le lieu de ma naissance, mais peu ailleurs,
même, et que si je voulais être des leurs, je leur ferais plaisir. Je connaissais Madame d’Ornex, mais je n’avais point encore ente
vais point encore entendu parler de ses deux autres sœurs, et voulant connaître toute la famille de mon ami, je me mis volontiers
e qui est l’homme du monde le plus entier et le plus emporté. Vous me connaissez mal, lui dis-je, si vous croyez que la considérat
l’aller voir, comme il le lui avait promis. Ce fut là ce qui nous fit connaître que cette lettre était pour moi, et qu’elle l’ava
s servir. Nous envoyâmes donc ce laquais, qui fut un des miens que je connaissais pour habile. Je l’instruisis, et lui ayant fait p
ager ma sœur ? Je vois bien qu’elle ne sera jamais religieuse ; je la connais , elle fera tout ce que vous voudrez, j’en suis pe
n justaucorps d’un de mes gens, il ne me reconnut pas ; mais comme il connaissait tous mes domestiques, il me demanda depuis quand
Toute ma raison cède au désespoir où votre départ me jette ; je ne me connais plus ; quelle vie vais-je mener ! Et vous quelle
près des directeurs de la poste, qui étaient de ses intimes. Clémence connaissait Mademoiselle Dupuis de longue main. Elles avaient
let de chambre qui est du pays où j’allais, où son nom de famille est connu , et nullement son nom de guerre, qui n’est connu
n nom de famille est connu, et nullement son nom de guerre, qui n’est connu qu’ici. Je voudrais, poursuivit-il, parlant à Des
j’étais, parce qu’il y a trop d’amis. J’ai déguisé mon nom, on ne m’y connaît pas, et je l’ai fait afin de pouvoir en sortir si
la réponse de celle-ci. Ne mettez point d’enveloppe, le nom lui fera connaître à qui elles seront destinées : elle y mettra une
enragé d’avoir manqué son coup. Il savait que j’en étais cause et me connaissait de nom. Bernay lui parla de moi comme d’un enfant
jours à lui donner cet argent, elle ne signerait rien du tout. On la connaissait pour un esprit ferme et entier dans ses volontés 
eureuse : au contraire, je ne veux que m’en louer, afin de vous faire connaître que ce n’est qu’à vous que je me sacrifie. Si je
chevaux, et j’y mis un cocher et un postillon sur qui je me fiais. Je connaissais de fort braves gens capables de me rendre service
er de rire, Bernay qui s’en aperçut, rougit, et autant que je pus m’y connaître , il enrageait de tout son cœur. La cérémonie fut
11 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
que sa pipe lût éteinte. La manière dont il s’y est pris me fait déjà connaître que ces gens-ci sont, aussi bien que les sauvages
taient occupées. Le Sauveur y convertit la Samaritaine. Cela est trop connu pour s’y arrêter ; & j’en ai déjà parlé ci-de
lat uniforme qui la ferait prendre pour du marbre blanc ; ce que j’ai connu à des réservoirs, qui sont dans des maisons parti
nt, sur cette différence de traitement, que ce nouveau roi de Siam ne connaît guère les gens, de prétendre congédier les missio
ant de bonne main. Il ne faut faire que la description d’une pour les connaître toutes, parce que toutes sont de pareille archite
étais pas né catholique, apostolique, & romain, si je n’étais pas connu pour aussi zélé pour ma religion que je le suis p
le malheur de les trouver sur son chemin. J’ai écrit ceci pour faire connaître le génie des nations orientales & de leurs ro
de trente-six & quarante-huit livres de balle ; ce que nous avons connu par la suite. La forteresse est un heptagone régu
étien qui ne regarde point la mort avec brutalité. Cette peur n’a été connue qu’à moi ; & je n’en ai changé ni de couleur,
ous les Siamois en général ne sont que de vile canaille sans cœur. Je connais déjà plus de trente Français sur le Gaillard, qui
 Lempereur. que je me souviens d’avoir vu à Paris longtemps y a, plus connu au Marais par sa barbe que Barrabas dans la Passi
ienvenu. Cette invitation a été faite d’un certain air, qui nous fait connaître qu’il se ressouvient de la nuit de samedi à diman
eu, & qu’ils se vengent. Ceux-ci sont honnêtes gens pourtant. Ils connaissaient les deux soldats qui les avaient volés ; & ne
assurent avoir été tué, & qui pourtant est en état de leur faire connaître qu’il est en vie.   Ce Portugais assure qu’on a t
gateurs les en croiront, parce que leur habileté sur ces sciences est connue de toutes les nations. Cette île, qui peut avoir
e que le flot & jusant, ou flux & reflux ; mais, comme ils ne connaissent pas ici les œuvres de marée comme ils les connais
s, comme ils ne connaissent pas ici les œuvres de marée comme ils les connaissent en Europe, & qu’ils n’ont point étudié l’heur
soupe & du bouillon parfaitement bon, avec des légumes que je ne connais point, & que les chirurgiens disent qu’ils co
umes que je ne connais point, & que les chirurgiens disent qu’ils connaissent , & auxquelles ils donnent des noms qui me gué
sibilité où il est par lui-même de faire éclore ces œufs, & qu’il connaisse qu’outre qu’un fardeau aussi pesant que son corps
lle se dressait ou qu’elle se baissait ; ce qu’un habile homme aurait connu tout d’un coup. Notre chirurgien passe pour tel :
e dirai que ce que Sosie dit à Amphitryon : C’est un fait à n’y rien connaître , Un fait extravagant, ridicule, importun, Un fait
-il jamais son ridicule orgueil, assez vain pour le pousser à vouloir connaître Dieu lui-même ? Malheureux que nous sommes, nous
ir connaître Dieu lui-même ? Malheureux que nous sommes, nous ne nous connaissons pas nous-mêmes, & plus malheureux encore, de
amp; plus malheureux encore, de ce que nous ne cherchons point à nous connaître . Du samedi 25 novembre 1690 Toujours bon pe
nt tous malades, on en aurait bon marché. J’assure pourtant qu’ils ne connaissent pas les Français, & que, dans une action, la
commandements du Sauveur, & de notre religion ; il a si bien fait connaître l’abus que nous faisons de notre raison, qui ne s
aient mis à table s’ils n’avaient pas vu Soliman, qui leur avait fait connaître que je n’étais pas loin, & qu’ils n’avaient p
iz & de poisson que d’user d’une viande que vraisemblablement ils connaissent n’être pas saine. J’ai dit l’effet que cette nour
contraire. Les pilotes appellent ceci des courants : c’est qu’ils ne connaissent pas les œuvres de marée dans les mers d’ici ; car
stament de Le Vasseur, &, en faisant l’inventaire, j’ai fort bien connu que ce testament avait été exécuté par la prise d
ndu, pour tous deux, en me demandant d’où diable je venais, de ne pas connaître ce qu’un moine peut faire, & encore un moine
u vin de Chiras en Perse, si renommé par toute la terre, & si peu connu en Europe. J’emporte aussi un cent de bâtons d’en
t que des ingrats, & des ennemis d’autant plus nécessaires qu’ils connaissent parfaitement leurs véritables intérêts. Ajoutez à
re gouverneur de Paris. Il lui conta l’affaire de l’Arménien, lui fit connaître l’injustice criante qu’on voulait lui faire ; &am
de faire en sorte que M. de La Feuillade se joignît à lui. Monicault connaissait trop l’aversion que ce maréchal avait pour les ge
x que cet avocat au Conseil entreprenait pour Rupli. Ces messieurs le connaissaient d’autant mieux qu’il avait refusé d’être leur avo
at, ne les regardant tous que comme des gens sans foi ni probité. Ils connaissaient sa vivacité & son ardeur, & tâchèrent d’é
demandés pour deux mois d’augmentation de campagne. La suite me fera connaître si je me suis trompé ou si je suis juste ; mais j
là, parce que M. du Quesne, qui a apparemment des ordres qui ne sont connus qu’aux seuls capitaines, & qu’il croit inconn
ai pourtant rien dit à personne, & me suis contenté de lui faire connaître à lui-même, en riant, que cela ne m’était point é
rt, qui, comme je crois l’avoir déjà dit, était l’homme de France qui connaissait le mieux de quelle utilité le commerce était au r
p concertés pour dire naturellement ce qu ils en pensent ; mais on le connaît assez, pour peu qu’on sache lire, dans les yeux &
fort, & où il leur serait si facile de la détruire, puisqu’ils en connaissent parfaitement l’état & qu’ils savent si bien,
mpé ! Les disputes des missionnaires contre la Société m’avaient fait connaître que la fine direction d’intention & la maudit
le. C’est La Fontaine qui le dit, en quoi il a grandement raison. Je connais pourtant des filles & des femmes très sages,
nt sur tout ; c’est leur passion dominante & favorite. Mahomet le connaissait bien, ce génie. S’il eût fait de son jardin d’Éde
plus cocu que Vulcain. Cela n’est pas rare ; & celui-ci étant peu connu dans le monde, son nom doit être indifférent au l
é. Dans le dessein où elle était de quitter Paris, où elle était trop connue , & peut-être pour faire de nouveaux amants, l
pas un mari ! Plus il est honnête homme, plus il est à plaindre. J’en connais tant qui ne sont malheureux qu’à cause de leurs f
re celles-ci, parce que les Noirs qui les achètent pour M. Martin s’y connaissent mieux que les Européens. Elles m’ont pourtant coû
ique frappait. & qu’il ne fallait pas être fort pénétrant pour la connaître  ; mais qu’il était étonnant que les puissances de
avec tant de tranquillité du fruit de cette politique si généralement connue . Que les Hollandais ne prenaient aucun soin de la
à leurs intérêts, sans égard à celui de ces princes. Que ces princes connaissent fort bien qu’ils sont véritablement esclaves, que
confiance, elle pourrait bien être la dupe de sa bonne foi ; qu elle connaissait bien peu le génie & le caractère des princes
à M. de Seignelay ; & je vous prie de ne pas oublier de lui taire connaître la nécessité qu’il y a de soutenir, par un nouvel
is pas m’y être trompé. Il est constant qu’après les Hollandais je ne connais que les jésuites qui fassent le plus fort commerc
ions ; mais le nombre en est très rare, & ce ne sont pas ceux qui connaissent le secret de la Société : ce sont ceux qui sont v
es jésuites déguisés & dispersés par toute la terre, & qui se connaissent tous par des marques & des signaux circulaire
; comme eux, font leurs mêmes cérémonies : en un mot, ceux qui ne les connaissent pas les prennent pour de vrais banians ; & to
aller en mission, à ce qu’ils disent, ils imposent à ceux qui ne les connaissent pas ; car si l’amour de Jésus-Christ était vérita
ions curiales, très bon religieux, & très honnête homme ; vous le connaissez , & je vous ai vu parler avec lui. Outre la ch
ue le bon sens dictait ? Le commerce des jésuites est certain : on en connaît une bonne partie ; les missionnaires sont les seu
on en connaît une bonne partie ; les missionnaires sont les seuls qui connaissent & puissent faire connaître le reste. Ne craig
les missionnaires sont les seuls qui connaissent & puissent faire connaître le reste. Ne craignent-ils point que, s’ils instr
à leurs intentions. Ce que je vous dis est une chose si publiquement connue que tous les chrétiens orthodoxes qui sont aux In
moins irréprochables d’avidité & de violence, parce qu elles sont connues dans tout l’Orient jusqu’à la moindre circonstanc
fier leur silence là-dessus, que la Sainte Écriture dit que Dieu seul connaît le secret des cœurs ; & se souvenir aussi de
p; impertinentes : cependant, quoique une partie de ses sectateurs en connaissent la vanité, ils se tiennent dans le silence, &
ettre d’accord, soit par voie d’accommodement, soit par autorité, qui connaissent qu’ils disputent, et qui sachent le sujet de cett
oup. Ils savent à mon sens la science du monde & du commerce. Ils connaissent parfaitement l’un & l’autre, & mettent le
qui les ferait prendre pour les meilleurs amis du monde si on ne les connaissait pas. Quoi qu’il en soit, ils restent à Pondichéry
ion chez les étrangers que de l’y mettre en bonne odeur. Ceux qui ont connu M. de Seignelay savent que c’était le meilleur cœ
t l’âme éprise, Et que dans un vaisseau que disputent les flots On ne connaît la peur qu’au front des matelots. Cela étant, il
lle est attachée à un rocher, pour servir de proie à un monstre. Pour connaître toute la beauté de cette stance, il faut observer
d’ambition. Voici leur véritable définition : gens rassemblés sans se connaître … Vivant ensemble sans s’aimer… Se quittant sans s
demandé à La Chassée par quel endroit les moines lui étaient si bien connus , & qui l’en avait si bien instruit ; ajoutant
tis à Arras, à Béthune & à Lens, nous arrivâmes à Douai, où je ne connaissais pas une âme. Nous allâmes loger au Loup sur la gr
e de La Chassée, qui les en a fait souvenir, était à leur tête. Je ne connais point son saint ; mais le mien m’a coûté plus que
hes soit bien forte, puisqu’elle va jusqu’à cinq degrés dans des mers connues . Du jeudi 3 mai 1691 L’équipage commence à
tue. Cette grave est de sable fort fin & fort blanc : &, pour connaître le mouillage, les Portugais ont élevé une croix s
; surtout de les amplifier d’un beau & pathétique commentaire. Je connais , présentement, que c’est pour cela que nous n’avo
yés bien cher. Soit dit en passant, & sans nommer les masques, je connais quatre femelles qui ne se sont pas vendues fort c
aux discrets & généreux marquis & chevalier Des Farges. J’en connais une entre les autres, dont je rapporterai bientôt
aurait pas sauvé de la corde en France, si ses lâchetés y avaient été connues . C’est M. Clé lui-même qui m’a dit celui-ci, comm
vingt-six ans ; sa femme & moi en avions dix-neuf à vingt. Je le connaissais il y avait du temps ; mais il ne savait pas que j
Je le connaissais il y avait du temps ; mais il ne savait pas que je connusse sa femme : & en effet je ne montais jamais qu
Il ne croyait pas que j’eusse jamais vu la belle, bien loin que je la connusse  ; mais sa prompte sortie de chez lui, sans sujet
honnête homme que lui, auquel elle se déclarait, parce qu’elle avait connu par leurs entretiens qu’il était de la même relig
mis ; c’est tout ce que peut souhaiter un homme dans son poste. Étant connu de lui dès le Port-Louis, j’ai tout lieu de me lo
est le sien. Les îles de l’Amérique, autrement les Antilles, sont si connues & on en a tant fait de relations que, n’ayant
s parents & leur nation, les informent de tout, sans qu’on puisse connaître les traîtres, parce que de pointe en pointe il n’
d Colbert, son père, seul & unique ministre qui eût véritablement connu de quelle utilité le commerce était à la France.
ommis de l’intendance, m’avait nommés, & que je feignis de ne pas connaître pour tels. Je les pris eux-mêmes à témoin, & 
a vérité. Je parlai ensuite à M. de Goimpi seul à seul, & lui fis connaître , au doigt & à l’œil, que je n’avais été accus
nsidérables, qui peut-être en étaient férus, m’ont demandé d’où je la connaissais . Je leur ai fait à tous la même réponse, qui est
en dirai le sujet à la première vue. Je suis, etc. » Ce garde-magasin connut son imprudence ; &, regardant tous ces papier
une belle personne que Bernard avait baisée en son absence. Vallière connaît le mari aussi bien que la femme, & ne douta p
me priaient d’ouvrir. Je ne vous en ai rien dit, parce que je ne les connais point & que je ne leur ai point ouvert : mais
bouche pendant & malgré l’orage : ainsi rien ne pouvait le faire connaître à l’ami de Bernard ; & lui, qui savait qui ét
ndance, & trouva Vallière dans son lit, qui, croyant n’être point connu , ne lui dit rien de son aventure. Un cousi est to
à l’air natal. On dit que nous irons à La Rochelle : tant mieux ; j’y connais tant de monde que j’y serai comme à Paris, & 
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
ls étaient le but de l’amitié et de l’admiration de tous ceux qui les connaissaient  ; toutes les femmes enviaient le bonheur de l’épo
à la bouche, avec des transports d’amour si vifs, et qui donnaient à connaître un dessein si formé de mourir avec elle si elle m
isait tout son bonheur, et qu’elle lui était tellement chère qu’il ne connaissait point d’homme plus heureux que lui, et que l’état
a sur elle-même la cause de la vie retirée qu’elle menait, sans faire connaître que c’était le fruit des chimères de Sotain. Elle
olu de ne la regarder de sa vie. La mère qui n’avait rien dit, et qui connaissait le caractère de sa fille incapable d’une pareille
la ramena chez lui dans la meilleure intelligence du monde. Quoiqu’il connût bien le ridicule de sa propre conduite, il ne pou
té ; il ne put que l’admirer, sans tenter autre chose, crainte d’être connu , et s’en alla avec ce prêtre, fortement résolu d’
à Paris, ne la laisseraient manquer de rien, dans un pays où elle ne connaissait personne. —  Vous êtes donc veuve, lui dit Sotain
en plus étonnée quand la fausse Italienne parlant bon français se fit connaître à elle pour un amant tendre et passionné. La surp
trangère, et je suis en effet étranger dans ce pays ici où je ne suis connu que de deux vieux officiers du régiment où je sui
emettrez dans son bon sens ; plaignez-vous une fois en public, faites connaître à toute la terre ses extravagances, et vous en se
rais pas ce que je vous dis si mon malheur ne vous était parfaitement connu . C’est à vous à m’aider à le supporter, à l’adouc
ne, avec qui elle fut mariée au retour de la campagne dernière. Il ne connaît point de bonheur que dans la possession d’une fem
13 (1721) Mémoires
s. Les maladies dont il était attaqué de temps en temps lui faisaient connaître qu’il n’était point immortel ; mais du moins il n
de, homme sans autre Dieu que son roi, trouva un juste sujet de faire connaître que tous ces prélats n’avaient pas plus de religi
poussé ce prince à faire ce qu’il a fait. Mais ni l’un ni l’autre ne connaissaient leurs forces ni le génie des deux nations. Les Fr
point ou frappent légèrement les Français d’Europe, parce qu’ils n’en connaissent pas la conséquence. Mais ceux qui comme moi ont é
la fertilité du terroir, sa longueur et sa largeur, et qui avec cela connaissent la traite avec les sauvages et la facilité que le
’Hudson. 33. Dunkerque est seul regretté des Français parce qu’ils ne connaissent pas l’utilité du reste. Cependant Dunkerque étant
ou Mons[ieu] r de Seignelay son fils avait vécu, et cela parce qu’ils connaissaient le fond du commerce, et qu’ils étaient vraiment z
amnées, leur fournissent toujours. 41. Cet impôt qui a été le premier connu en France fut mis sur le poisson salé qui entrait
eur fallait des bœufs ; des vins, des grains et d’autres denrées. Ils connaissaient les gens cotisés ; ils ne leur demandaient rien d
j’ai déjà parlé, homme intègre, très honnête homme et bon magistrat, connut par les plaidoyers qu’il y avait de la friponneri
its que nous en avons encore la représentent telle, et ceux qui l’ont connue et qui vivaient de son temps m’ont assuré que ces
nt ensemble dans le jardin du duc où j’allais à tout moment et qui me connaissait parce que j’étais né si bien son voisin qu’il n’y
tion quantité d’émissaires, marchands, ingénieurs et autres qui ne se connaissaient point, et qu’il envoyait par tout le monde avec o
éloquence admirable, un fond d’esprit que rien ne démontait, et qu’il connaissait les intérêts des deux nations française et sauvag
naissait les intérêts des deux nations française et sauvage, et qu’il connaissait aussi ceux de toutes les nations sauvages chacune
oi, pour les avoir, nous fais-tu apporter tant d’eau de vie, que nous connaissons bien nous-mêmes nous corrompre, nous faire perdre
nir. Un homme dans l’état où était M. Picon a le malheur de ne se pas connaître . Au contraire, il se crut plus habile que jamais.
d’un cabaret de Maisons. Elle était grosse de cinq à six mois, et il connaissait le Roi d’humeur à la faire renfermer, auquel cas
ltesse, lui répliqua Hubert ; mais moi qui vous ai étudié et qui vous connais , je ne me paie pas de votre déguisement. Ou dites
ers qui le tournaient comme ils voulaient. Il se rendit la justice de connaître qu’il n’était pas propre à remplir un poste qui d
. Il arriva donc à Versailles dans cette bonne intention, et comme il connaissait aussi peu les finances qu’un enfant nouveau-né, M
le terrassa pas. Il vint voir M. de La Faluère auquel il dit qu’il le connaissait trop honnête homme pour revenir contre son jugeme
ait point de foi en Justice, parce que le notaire n’est pas obligé de connaître si la pièce qu’on lui présente est véritable ou f
is regardé comme le Caton de son siècle si j’avais eu l’honneur de le connaître , je crois devoir dire de quelle manière il a quit
un asile. Il entra dans le château, et comme il y était parfaitement connu , le concierge le fit monter dans une chambre où i
mère et au fils, requérir vos guenilles. J’ai mes raisons pour faire connaître au Roi l’état où il vous laissait. Revenez ici de
e désordre dans lequel toute la France était précipitée et lui en fit connaître le fondement, qui n’était autre que l’avidité et
à la tête des finances un homme expérimenté, dur, inflexible, et qui connût par lui-même la cause de ce désordre. Que ce fût
s content, puisqu’il apprendrait les causes du désordre que cet homme connaissait si bien qu’il avait donné des mémoires pour les a
l vint avec cette troupe chez Deschiens. Son portier, nommé Boulogne, connaissait parfaitement bien M. de Brissac, mais le voyant e
au vacarme. Deschiens, dont la fureur commençait à se passer, et qui connut bien que son emportement ne servirait qu’à le jet
ille une réponse si dure que M. de Tourville oublia sa sagesse, et ne connut plus que la témérité. 233. Il reçut cette réponse
leur bravoure, leur fermeté et leur expérience. M.de Pontchartrain ne connut l’importance de sa perte qu’après qu’il ne fut pl
devait faire un maréchal de France, quand ce ne serait que pour faire connaître à tout le monde qu’il reconnaissait et récompensa
bien loin de là. Car outre qu’il était hors d’état de défense, il ne connaissait point de quelle nation étaient les vaisseaux dont
e réveilla plusieurs fois, et tant qu’enfin il s’en ennuya. Cet homme connaissait parfaitement les œuvres de marée de la Manche, et
s ne put s’empêcher de rire de ce discours, surtout venant d’un homme connu pour être parfaitement sobre. M.de Bagneux fit ve
, et qui tous aussi bien que nous ont amené leurs pavillons, je ne me connais point au gabarit, ou ce sont des Anglais qui ont
rts et plus de soixante blessés, il me dit qu’il ne fallait pas faire connaître qu’un seul navire eût perdu tant de monde dans un
me] mettais sur le pied d’en faire le détail, mais grâce à Dieu je ne connais cette misérable canaille que par le tort qu’elle
e bonne grâce sitôt que la fortune l’a mis en état de s’acquitter. Je connais une femme que la misère avait réduite à être blan
60. Paul Simon dit Bourvalais est de l’ordre de Melchisedec on ne lui connaît sur terre ni père ni mère. Ceux qui prétendent sa
ns qui s’étaient assemblés, et qui me sont inconnus. En tout cas j’en connais encore trois, M. Gilquin, directeur des fermes en
ces deux hommes. On me demanda à moi de quel pays j’étais pour ne pas connaître Bourvalais, si renommé par ses friponneries ? Et
ma vie que cette fois-là, mais environ un mois après j’eus lieu de le connaître personnellement. C’est sans contredit la brutalit
enir, et, en bon maltôtier il remit Cordier tant de fois que celui-ci connut bien qu’il n’avait pas envie de lui rien donner d
de le croire. Mais le ministre, qui avait ses raisons pour lui faire connaître que la misère du peuple n’était pas si grande qu’
que Louis s’en soit enquis ni mêlé davantage. Mais le Parlement, qui connaissait à fond la pauvreté publique, et qui ne prenait pa
t du Conseil qui évoquait la cause à soi, défendait au Parlement d’en connaître , ordonnait que Miotte serait élargi, le condamnai
trise et de visite pour toutes sortes d’arts et métiers ; et comme il connaît à fond les communautés, on le laissa faire, et Mo
llât se faire panser. Le Gendre, quoique fils d’un apothicaire, ne se connaissait point à l’anatomie. Il ne crut pas son mal si gra
écrit, elle prit sa fille et la conduisit chez une fruitière qu’elle connaissait , avec prière de garder cet enfant jusques à son r
inal lui offrait pour rompre un mariage si indigne, et dont elle-même connaissait si bien l’infamie qu’elle n’en voulut point signe
e revaudeuse, mais honnête femme. Elle avait un frère, nommé Faitout, connu de tout Paris, qui après avoir été chasse-chien é
it ne ménageait nullement sa nation. Il était honnête homme, et je le connaissais dès Paris. Nous dînions chez Monsieur le cardinal
l ne faut que voir ce que les gens d’Eglise possèdent en France, pour connaître que leur proximité ou leur voisinage est une tach
tantôt cent louis, ce qui est beaucoup pour un homme de guerre qui ne connaît point son bien, ni à quoi il peut monter. C’est l
e fils ; et quoique je n’eusse jamais vu sa maîtresse et que je ne la connusse ni d’Eve ni d’Adam, et seulement sur la relation
relation qu’il m’en avait faite, je lui en parlai comme si je l’eusse connue toute ma vie. Il était parti de Paris avant moi ;
e fut bien pis quand je lui dis que le procureur, père d’elle, que je connaissais aussi peu que sa fille, m’avait dit à moi-même qu
on ordre à nous en boucher l’accès. Je le répète encore, la France ne connaît pas la perte qu’elle a faite. J’ajouterai que M. 
eligion, ces Français de l’Acadie n’aiment mieux obéir à des gens qui connaissent parfaitement leurs intérêts, et par conséquent le
lier de Grammont lui proposa pour second M. Chamillard, que le Roi ne connaissait que de vue, et l’assura que c’était l’homme de Fr
uis avec autant d’autorité qu’il gouvernait lui-même ses sujets. Elle connut qu’il était homme à faire tout ce qu’elle voudrai
pénétration à elle et son esprit supérieur lui firent tout d’un coup connaître son caractère facile, et qu’elle tirerait de lui
iront assez. Nous sommes tous gens ramassés Le plus souvent sans nous connaître . Dont l’intérêt seul est le maître. Nous ne nous
t aucun de nous qui pour une pistole Ne trahît son meilleur ami. Nous connaissons tous nos affaires ; Nous savons tous dans quel tr
14 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
i y sont attaqués qui puissent avoir le front de démentir des vérités connues par tout ce qu’il y a d’honnêtes gens dans l’Orie
bruit secret est qu’il est remarié depuis peu à une Normande, dont il connaît la vivacité ; qui, dit-on, n’a point eu de fleurs
er. Le grand du Quesne, sous lequel il a servi très longtemps, et qui connaissait sa bravoure, l’avait poussé jusqu’à la qualité de
au et capitaine de frégate ; et c’est ce qu’il est aujourd’hui. Je le connais dès il y a longtemps, ayant été ensemble en Canad
s en tirer aucune réponse ni civilité, quoique je l’en accablasse. Je connus par ses manières qu’il n’y a point d’animal plus
x capitaines ou maîtres de vaisseaux marchands de La Rochelle, que je connaissais il y avait plus de six ans. Nous renouvelâmes not
dit à M. l’intendant que, quoiqu’il y eût très peu de temps qu’il me connût , il ne me reconnaissait nullement dans le portrai
omber la conversation sur M. Champi son oncle. Il me demanda si je le connaissais . J’avais sur moi le dernier paquet que j’avais re
e, me félicita d’une si puissante protection et me demanda d’où je le connaissais . Je lui répondis que nous avions été pensionnaire
fut sans rancune de la part de M. Hurtain et de la mienne, mais je ne connaissais pas le génie gascon. Il voulut payer ; et tout l’
Compagnie, m’en a assuré, il a servi assez de temps sous lui pour le connaître , et je lui dois la justice de dire qu’il a fait a
onsieur, lui répondis-je, est d’une telle nature qu’il doit vous être connu . Si M. de Bouchetière s’était donné la patience d
ent promptement à leur bord et descendent dans le fond de cale pour y connaître le dommage qui a pu y être fait : et comme cette
naissant rien du tout. Je me suis seulement aperçu que les autres n’y connaissent pas plus que moi. et que tous, jusqu’aux chirurgi
tre sous-lieutenant, frère de M. Le Vasseur, avocat au Conseil, qui a connu mon dessein, et ma malice. Vous voilà vengé, m’a-
nnaissance de Dieu, qui est un Etre incompréhensible ; lui, qui ne se connaît pas lui-même, et qui ne peut rendre aucune raison
vit avec trop, ou trop peu de lumière, Pour distinguer ses biens, ou connaître ses maux. Change l’état obscur où toi-même nous r
s ? et s’il a lu celui-là étant jeune, est-il de son honneur de faire connaître qu’il s’en souvient ? Il a donné au public son jo
reur arrache les chardons de sa terre par son labour ? Dieu nous fait connaître ces chardons de notre cœur : n’est-ce pas là le s
humble ignorance De tout orgueil a préservé ? Et qu’a-t-il besoin de connaître Par quelle grâce il est sauvé, Quand Dieu lui fai
x qui en auront fait un mauvais usage, d’autant plus criminels qu’ils connaissent eux-mêmes, ou du moins qu’ils doivent connaître p
us criminels qu’ils connaissent eux-mêmes, ou du moins qu’ils doivent connaître par le seul rapport de leur intelligence, l’abus
de peuples, qui aura écrasé la veuve et l’orphelin, qui n’aura point connu d’autre Dieu que lui-même, qui par ses avis et se
entières, qui aura résisté à la grâce qui lui faisait intérieurement connaître ses iniquités, sera assez heureux pour être frapp
ai point de dire que Pythagore seul entre tous les philosophes a bien connu et exprimé l’immensité et l’existence de Dieu par
même ; et nous ne pouvons, sans un orgueil téméraire, nous flatter de connaître , ni même entreprendre de connaître, ce que sa sag
orgueil téméraire, nous flatter de connaître, ni même entreprendre de connaître , ce que sa sagesse et sa bonté pour nous ont voul
utant de mondes différents et distingués : j’ai dit que Pythagore n’a connu et défini la divinité que par les nombres innombr
us a tous créés et formés dans le sein du premier homme. Moïse a bien connu cette vérité. Il l’a mise dans la bouche de Job,
ui avaient banni de leur république tous les médecins et la médecine, connaissaient bien la vanité de cette homicide science ; et ce
t. Ils devraient pourtant l’être ; puisque eux qui s’osent flatter de connaître le tempérament d’un malade en lui tâtant simpleme
de sa mort, quoiqu’ils ne l’aient vu qu’un moment, devraient du moins connaître leur propre tempérament puisqu’ils sont toujours
ls en soient attaqués pour en chercher la guérison. Le Sauveur a fait connaître lui-même la vanité de cette science lorsqu’il dit
t Jésus-Christ. Nous condamnons les actions de notre prochain sans en connaître les motifs. Homo considerat actus, Deus vero pens
ation et les mêmes circonstances où notre prochain s’est trouvé, pour connaître par nous-mêmes que nous avons témérairement conda
l n’y a point d’homme qui soit impeccable, ni qui puisse parfaitement connaître les péchés qu’il a commis, ou dont il est la caus
une fausse manœuvre. Enfin, le vaisseau de Ruyter en fil une, qui fit connaître à M. du Quesne que ce général était mort, ou du m
M. Hurtain, à qui M. de La Chassée et moi avons bien résolu de faire connaître , quand nous serons renfermés dans ma chambre, le
espèce de port dont la tenue n’est pas fort bonne ; ce que nous avons connu au Gaillard qui a chassé sur son ancre et a été o
eux señores cavalieros ; et c’est ce qu’ils sont le moins. Ils ne se connaissent pas : je n’ai jamais vu de peuples plus malheureu
e pas la moitié de la jambe. Pour des bas et des souliers, elles n’en connaissent point l’usage ; et malgré ce bizarre attirail, el
ison qu’un homme qui venait de sortir, et ajouta plaisamment qu’il en connaissait plusieurs qui n’avaient rien d’humain que la figu
je ne l’avais mis qu’à cause de Saint-Yago. Ce vent de Nord nous fait connaître que nous ne sommes plus dans les vents alizés. Ce
ar conséquent nous portent guignon. Du mercredi 22 mars 1690 Je connais à présent que nous avons fort bien fait de croire
ne vérité constante. Tel est le génie du Breton ; et tous ceux qui le connaissent en conviennent. Du samedi saint, 25 mars 1690
les Bretons sont en même temps ivrognes, larrons, et dévots ? Je n’y connais rien, sinon qu’ils devraient opter. Nous étions à
me se contente de la vraisemblance, dans l’impossibilité où il est de connaître par les effets naturels l’Être suprême qui les pr
aincu qu’il n’y a rien de si dangereux pour un homme que de ne se pas connaître et de vouloir ridiculement faufiler son esprit ma
Est ou dans l’Ouest une étoile fixe, comme il y en a dans le Nord, on connaîtrait positivement cette longitude ; mais elle pourrait
ance contre moi qu’il a fait ce qu’il a fait. Je sais seulement qu’il connaissait bien peu ma fermeté et mon humeur. Landais m’est
eligion ; que ce saint prêtre avait poussé son zèle jusqu’à lui faire connaître les erreurs de Calvin et de ses sectateurs ; qu’i
s bien à un chef qu’il n’aime pas, et qu’il n’estime point : qu’il ne connaissait rien à la marine, n’étant qu’un bâtard du cotillo
pêchait de se dépouiller ; qu’ils aimaient mieux suer que de donner à connaître qu’ils étaient des hommes pétris de la même pâte
capable de faire une extravagance : tranquillisez-vous. Celui-ci, qui connaît M. de Porrières pour homme à le faire comme il le
is dans les Indes. Cette nation, la plus attachée au commerce, et qui connaît le mieux ses véritables intérêts, connut tout d’u
ttachée au commerce, et qui connaît le mieux ses véritables intérêts, connut tout d’un coup de quelle importance était ce post
ichéry, où nous allons ; et tous deux catholiques romains : je ne les connais ni l’un ni l’autre, quoique tous deux soient pari
t surtout la bonne foi. Il savait qu’il n’y avait que le marchand qui connaît la marchandise et le seul commerçant capable de s
tre d’une tourterelle, ou si on l’aime mieux gris de perle. Je ne les connais point, n’en ayant jamais vu de pareils. On leur a
ne description ; d’autant moins que n’y ayant point été je ne peux la connaître que par ce qu’on m’en a dit, ou par la lecture :
ille d’eau douce et de mer, l’alose, et d’autres que les Européens ne connaissent pas, y sont communs et bons. Les eaux des rivière
t point être d’Afrique. Toute la côte de Mozambique, celle d’Ajan, ne connaissent aucune religion. L’Abyssinie n’est point mahométa
le royaume de Siam, celui de Tonkin et la Chine sont idolâtres, et ne connaissent de Mahomet que son nom. Ainsi, ce ne peut point a
isseaux mahométans qui sont venus à Madagascar, dont les habitants ne connaissent nullement Mahomet, quoiqu’ils professent une espè
degré). Le nombre d’amants auxquels ces filles se sont prostituées se connaît par celui des houppes ou glands de coton qui pend
angage. Se peut-il qu’il y ait au monde une île flottante, seulement connue par des naufrages ? Je n’en crois, et je n’en cro
nent des noms qui me sont inconnus, mais tous excellents. Ceux que je connais sont la cigogne, le faisan, la poule pintade et d
nous avons en Europe, et en produit une infinité d’autres que nous ne connaissons pas. L’orange, le citron, la grenade, la pomme, l
l’abricot, la pêche, le pavie, les prunes, en un mot tout ce que nous connaissons , mais moins bons, n’étant ni entés, ni éclaircis,
grains se mûrissent comme sur la tige, cependant moins délicats : on connaît qu’ils sont en maturité lorsque la peau est jaune
ui était servante lorsqu’il l’a épousée. Elle est assez jolie ; et je connais quantité de femmes, même de qualité, qui ne sont
ar s’insinuer dans leur esprit, gagner leur conscience, et leur faire connaître peu à peu le ridicule de leur religion, et comme
emme, il retourne relever sa mariée, restée sur le lit pour lui faire connaître qu’une femme doit rester basse devant son mari, s
e et un sur son beaupré ou château d’avant ; et nous, pour nous faire connaître , en mîmes aussi un à poupe et un autre au beaupré
i lorsqu’il vous a dit qu’il se brûlerait plutôt que de se rendre. Je connais les Anglais : ce capitaine sacrifiera tout son mo
bonnes raisons : entre autres, que nous n’avons point de pilotes qui connaissent Le Havre, ni son entrée ; que ces navires sont so
ures du soir, nous avons vu à terre un pavillon blanc qui nous a fait connaître qu’il y avait là des Français établis. Pour lors,
ucun commerce ; parce que cette divine infaillibilité lui aurait fait connaître qu’il s’en servait pour détrôner son beau-père, p
15 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
établissements, malgré la bassesse de sa fortune. Celle de Terny fait connaître le tort qu’ont les pères et mères en violentant l
oint les contraindre à en embrasser un malgré eux, surtout lorsqu’ils connaissent leurs enfants d’un génie hardi et entreprenant. C
emme intéressée sacrifie tout à ses intérêts. Celle de Des Frans fait connaître , que quelque fonds qu’une femme puisse faire sur
hés de nos malheurs, que ne le sont nos plus proches. Elle fait aussi connaître que le mérite et les bonnes qualités ne sont pas
er au public. Ce qui est une juste matière de risée pour les gens qui connaissent le domestique. En effet, y a-t-il rien de plus pl
16 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
issait en fait. J’en suis bien sorti, Dieu merci, vous le savez. Vous connaissez Monsieur Gouault : je le regrettais, je n’espérai
pour moi de ses bontés, comme je vous en ai prié, et qu’ainsi vous le connaîtrez avant que de lire ce que je vous écris à présent.
vent devant, mais son canot, qu’on vient de mettre à l’eau, nous fait connaître qu’il faut que quelqu’un de son bord, matelot ou
espèce de port dont la tenue n’est pas fort bonne, ce que nous avons connu au Gaillard, qui a chassé sur son ancre et a été
notre Europe. Ils sont remplis de présomption et de vanité. Ils ne se connaissent point. Je n’ai jamais vu de peuples plus malheure
descend jusques à mi-jambe ; pour des bas et des souliers, elles n’en connaissent point l’usage ; et avec ce bizarre attirail elles
pas été oubliée, et je l’ai fait boire à tel qui ne vous sera jamais connu . Pour éviter les querelles qui viennent dans le v
es salées dont l’huile sortait de la boutique d’un cardeur, car on ne connaît pas le beurre dans ce pays-ci, un morceau de from
ils partageaient. C’est un honnête homme : vous l’aimeriez si vous le connaissiez et cela sera, car il ira à Paris au retour du voy
aux voyageurs pour les faire sérieusement songer à eux et leur faire connaître que sur mer ils sont toujours près du péril soit
tait un fort honnête homme, qui me faisait la grâce de m’aimer. Je le connaissais il y a plus de six ans. Je perds en lui non seule
Monsr. de Bouchetière lieutenant les a contrescellés. Nous avons fait connaître sa mort au reste de l’escadre par le pavillon à p
roit à Madagascar autrement à l’île de Saint-Laurent, afin de pouvoir connaître juste où nous serons et aller ensuite en droite r
t que vingt lieues, qu’on en a fait plus de cent. Tout cela fait bien connaître que la navigation est établie sur des principes b
bon poisson, des oranges, des citrons et d’autres fruits que vous ne connaissez point en France et que je ne connais point encore
t d’autres fruits que vous ne connaissez point en France et que je ne connais point encore. J’oubliais à vous dire que par un v
les la nuit afin d’aller toujours bride en main. Ces endroits-ci sont connus par de vilains endroits qui sont les fréquents na
mme j’ai resté dix jours à terre, je vais vous dire ce que j’en ai pu connaître . Il est déjà très certain que l’endroit où on fai
j’ai voulu aller à la ville. Les bestiaux y sont en abondance, ils ne connaissent point l’argent de France, ils ne veulent que de c
mier et relève sa mariée, peut-être, dit notre pilote, pour lui faire connaître qu’une femme ne doit point s’élever aussi haut qu
t mis trois feux à poupe et un au beaupré, et nous afin de nous faire connaître en mîmes un aussi à poupe et l’autre au beaupré.
s, nous l’avons cru gros et quand nous l’avons eu approché nous avons connu que ce n’était qu’un engin de trente-cinq tonneau
usieurs bonnes raisons qui sont que nous n’avons point de pilotes qui connaissent le havre ; que ces navires étaient mouillés sous
u soir nous avons découvert à terre un pavillon blanc qui nous a fait connaître qu’il y avait des Français. Pour lors nous avons
’ils osassent se dire Danois à la vue des Portugais si ils en étaient connus pour anglais ou hollandais : ce serait une lâchet
revenu à bord. La manière délibérée dont il s’y est pris me fait déjà connaître que ce sont ici aussi bien que les sauvages de l’
clat uniforme qui la ferait prendre pour du marbre blanc, ce que j’ai connu à de vieux réservoirs qui sont dans des maisons p
er ; sur quoi on dit assez, plaisamment que ce nouveau roi de Siam ne connaît guère son monde, de prétendre se défaire des miss
t deux conversations particulières que j’ai eues avec elle m’ont fait connaître qu’elle a infiniment d’esprit. Elle peut avoir qu
les pères et mères amènent chacun de son côté les accordés qui ne se connaissent point, les filles ne sortant jamais de la case. O
olique, apostolique et romain par la bonté de Dieu, si je n’étais pas connu pour aussi zélé pour ma religion que je le suis,
que je fais, sans y prétendre de conséquence et seulement pour faire connaître que, puisque nous, qui sommes éclairés sur la rel
t franchir quand on s’y trouve. Je vous ai écrit ceci pour vous faire connaître le génie des nations orientales et de leurs rois,
ste ne se font pas une affaire de passer pour accoupleurs. Mahomet le connaissait bien ce génie quand il a fait consister son parad
nt de la monnaie du pays : je vous en porte et la vue vous fera mieux connaître ce que c’est que tout le discours que je pourrais
cœur que j’aie fait de ma vie. Cependant la peur que j’avais n’a été connue qu’à moi seul, et je puis dire qu’on ne m’en a vu
atrie le désireront. Le style même dont je vous écris peut vous faire connaître que l’esprit n’était pas fort préoccupé : il n’y
r ici il serait le bienvenu, et cela d’un certain air qui nous a fait connaître qu’il se souvient de la nuit de samedi à dimanche
avait attrapé huit écus, l’autre vingt-cinq. Nos matelots savaient et connaissaient les voleurs ; ils leur ont demandé plusieurs fois
ourrissent aussi quantité d’insectes et de monstres qui ne sont point connus dans notre Europe, et qui sont produits ici par l
possibilité où il est de faire éclore ses œufs par lui-même, et qu’il connaisse qu’outre qu’un fardeau aussi lourd que son corps
ent venir ils en auraient bon marché. Je vous jure pourtant qu’ils ne connaissent pas les Français et que dans un combat le cœur su
e que le commissaire m’a faite m’en fait très mal augurer, et me fait connaître qu’ils manquent de tout. Décembre 1690 D
op discrets pour dire ce qu’ils en pensent, mais pour peu qu’on sache connaître les secrets du cœur par le mouvement des yeux et
ître les secrets du cœur par le mouvement des yeux et du visage on le connaît assez. Ce n’est pas depuis peu que cette brouille
é, et la plus grande preuve que je puisse vous donner pour vous faire connaître que le nombre en est infini, c’est qu’ils en ont
, voyant venir dans la rade où il était mouillé cinq navires qu’il ne connaissait pas dont un portait la flamme, fit tirer un coup
le Fort Saint-Pierre. Les Iles de l’Amérique ou les Antilles sont si connues et on en a tant fait de relations que n’ayant rie
17 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
it cet ordre général, et remercia ces messieurs d’un air qui leur fit connaître qu’ils ne se trompaient pas dans la bonne opinion
e. Il ne m’avait point offensé, reprit Des Frans, fort embarrassé. Il connut pourtant bien ce qui en était, continua Dupuis :
araissez si ému ? Tout, répondit-il. C’est un mystère qui n’est point connu de vous, Monsieur, ajouta Dupuis. Mais vous, inte
bles et des plus honnêtes hommes qui aient jamais été au monde. Je la connais , reprit Des Frans ; allez, Monsieur, poursuivit-i
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
e, parce qu’il était à pied ; mais le cliquetis des épées lui faisant connaître qu’il n’y avait pas d’armes à feu à redouter, il
le duc d’Albuquerque et son épouse restés auprès d’Eugénie qu’ils ne connaissaient point, tâchèrent de lui donner du secours et dema
la Française. Le duc d’Albuquerque aurait bien été chez Valerio qu’il connaissait particulièrement, s’il avait su que c’était son é
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
es autres, et je le sais de certitude ; car tous les chanoines que je connais , gens remplis de doctrine et de sagesse, sont pou
dans la forêt. Celui-ci n’en avait point été surpris, parce qu’il le connaissait pour un homme intrépide et tout à fait infatué de
le pourrait y monter sitôt que tout le monde serait retiré ; ce qu’il connaîtrait lorsqu’elle ouvrirait sa jalousie, et lui recomma
rs, si Altisidore, qui était descendue au-devant de lui, et qui était connue de ces chiens, ne leur avait fait lâcher prise, e
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
de cette vision, excepté Eugénie qui les rassura en disant qu’elle le connaissait , et que c’était un des satyres de la forêt, qui s
u’on l’appelle Rebarbaran. —  Cela est vrai, reprit Eugénie ; d’où le connaissez -vous, reprit-elle, Seigneur chevalier Sancho ? — 
fait connaissance avec le sage enchanteur Parafaragaramus, et d’où il connaissait le satyre Rebarbaran, et surtout de ne rien dégui
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
t eu tort de se tant exposer, et que ces informations, en lui faisant connaître le péril qu’il avait personnellement couru d’être
et lui dit qu’il y avait dedans plus de huit cents pistoles. Ceux qui connaissent le caractère de Sancho peuvent s’imaginer que sa
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
e fussent arrivés assez à temps pour lui sauver la vie. Ils se firent connaître , et arrêtèrent la grêle de coups qui tombaient dr
la presser, et qu’il était juste de donner aux parties le temps de se connaître . Cependant ce mariage ne tarda guère à s’achever,
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
on ne voulait pas contraindre Don Quichotte, et que d’ailleurs on le connaissait pour un homme incapable d’aller contre les ordres
i avait déjà ôté son bonnet pour boire dedans, arrête, mon ami, tu ne connais point la propriété de cette eau. Nous sommes ici,
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
amertume. Pour toi, Chevalier aux armes noires, qui ne veux pas être connu , continua-t-il en s’adressant à Don Quichotte, je
r te faire prendre cœur par avance, suis Rebarbaran, ce satyre que tu connais déjà, il va te mener dans un endroit où tu ne t’e
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
gnie y ayant applaudi, la duchesse de Médoc en prit occasion de faire connaître à la compagnie l’empressement où elle était de vo
uc de Médoc pour ne le point quitter, dans l’espérance que se faisant connaître à lui et au duc d’Albu-querque, ils lui faciliter
sous lequel il avait servi. Il ne se trompa pas, car sitôt qu’il fut connu de ces Messieurs, ils s’offrirent fort généreusem
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
ur vous. Plût à Dieu, poursuivit-elle, que je vous eusse parfaitement connu comme je vous connais à présent, je n’aurais jama
, poursuivit-elle, que je vous eusse parfaitement connu comme je vous connais à présent, je n’aurais jamais fait le vœu que les
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
prends pas comment un homme qui a du bon sens et de la raison, et qui connaît les engagements où il est entré par le mariage, v
us pensez, nous ^ vous en prions toutes, et cela servira à nous faire connaître nos défauts pour nous en corriger. — Vous ne ress
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
rrons dans la suite ; et l’autre, au sujet du combat du lendemain. Il connaissait assez la bravoure et l’intrépidité de notre héros
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
p d’amis en France, et qu’il les ferait joindre aux siens, pour faire connaître qu’il était faux qu’il eût enlevé Silvie, et pour
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
un aveu des criminels qui les auraient assassinés eux-mêmes sans les connaître , ce qui ne tournerait nullement à la honte de Val
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
a à Sancho s’il avait quelque chose à dire, et son silence ayant fait connaître qu’on ne lui imputait rien dont il ne s’accusât l
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
 ! lui dit-il entre autres choses, toi dont la sagesse et la prudence connues par toute la terre sont cause que je t’ai pris en
33 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
e son Eurydice ; le sage Merlin lui a cédé la victoire, parce qu’il a connu dans les destinées qu’il la lui aurait vainement
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