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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
r, ajouta-t-il en adressant la parole à Verville, retirez-vous ; mais comptez que la première indiscrétion vous coûtera la vie.
e dans vingt-quatre heures, et de n’y jamais remettre le pied ; sinon comptez que vous êtes perdu ; je n’ai rien à vous dire da
’être ma fille, et que je destine à une prison éternelle, vous pouvez compter sur tout mon bien, dont je vous fais présent dès
dération qu’elle ne s’en rende digne. Et vous, misérable, lui dit-il, comptez qu’après avoir trouvé dans moi un père trop bon e
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
is. Peu manger et mal nourrir, font bientôt l’homme mourir. Tout bien compté et bien rabattu, je jeûne plus que ceux qui prêch
eulement en le traitant suivant ses idées chimériques, après quoi ils comptaient de lui remettre l’esprit peu à peu, en lui procur
ntes mitouches ; mais les brebis du bon Dieu ont beau être gardées et comptées , le diable trouve toujours le secret d’en tondre
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
t que je le devine, outre que j’en ferai part à d’autres, vous pouvez compter qu’assurément je ne vous regarderai de ma vie. Ap
airs rebutants vous l’obligez à se retirer, comme elle en a dessein, comptez qu’une chambre bien fermée me vengera de vous com
vous le répète encore, si vous n’en prenez la résolution aujourd’hui, comptez que demain mon mari saura que vous êtes un homme,
écoulés des quatre, que Célénie lui avait accordés ; et comme ils ne comptaient pas de se revoir de très longtemps, ils se disaie
4 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
 : ils le tiennent en monceau & en tas, comme nous le blé ; ne le comptent point, & se contentent de le peser. Qu’on ne
nt faible, nous n’avons pu en approcher que sur le midi. Nous y avons compté quatorze navires, tant gros que petits, dont cinq
di 29 août 1690 Toujours bon vent : nous avançons. Le lecteur doit compter que n’y ayant aucun moyen de comparer dans les In
leur poil blanc & leurs tétines pendantes quelles pourraient bien compter chacune cinq cents animaux de leur espèce, proven
resterons à la mer deux mois plus que messieurs de la Compagnie n’ont compté  : du moins, par ordre de M. du Quesne, le commiss
ue Madame trouve beau, parce qu’il est épouvantable. Il ne faut point compter ici sur des bœufs ; on n’en donne aucun : les aut
cusait ses garçons de manger les œufs des malades : il avait beau les compter , il s’en trouvait toujours à dire le lendemain de
rs charges en telles marchandises qu’ils voulaient ; tant ces peuples comptaient sur l’intégrité des Français la justice du roi, &
r leur crédit dans le Languedoc, évoquèrent l’affaire à Paris, où ils comptaient de l’emporter de haute lutte. Rupli manquait d’ar
e tour. Nous dévorions déjà des yeux ce navire & sa charge, &  comptions dessus comme sur un acquêt certain & de bonne
seul ami. sur la discrétion & le secret duquel il avait toujours compté , & qui en effet ne l a point trahi. Il apprit
s l’éclat que son affaire avait lait dans tout Paris. Il me dit qu’il comptait de partir de Pondichéry avec le gendre de M. Mart
s trouvions conformes. M. de Porrières était présent à notre dispute. Comptez , messieurs, a-t-il dit, combien il y a ici de bal
rmement, ce que celui de cette campagne a fait. Faute de quoi il peut compter aussi bien que la Compagnie, que les Anglais &
itablement apostolique, & toute autre que celle des jésuites, qui comptent que, quand une fois ils auront attiré les grosses
enus, & n’y vinssent jamais ; puisque très assurément on peut les compter au nombre de nos plus mortels ennemis, ou du moin
t ? Quoi qu’il en soit, c’est être d’un esprit bien tranquille que de compter les Ilots pendant une tempête. Le mien n’était pa
pte sur vous, comme je suis persuadé que vous me rendez la justice de compter sur moi ; je suis persuadé que vous me défendrez
en avoir bu, celle-là vient de Le Vasseur (elle en venait en effet). Comptez , père, que je vas vous faire enrager si vous ne n
ne âme. Nous allâmes loger au Loup sur la grand-place, & comme je comptais de le laisser à Mons, & que ce serait à Douai
fut force de prendre celui que le cordelier avait laissé ; mais je ne comptais pas de sortir de ma chambre où l ’on avait servi.
’ai fait m’en rendant indigne, j acquiesce aux premières conclusions. Comptez -vous pour rien le gérofle, la cannelle & la m
sciences utiles que pour l’intérêt particulier de leur Société, &  comptent pour rien le reste du monde. Cette île n’a au plu
mp; de novice. Le marchand devait prendre le messager à Saumur, &  comptait de l’emmener avec lui. Elle se fit, sans qu’il le
asin & envoya le garçon chez un de ses facteurs, sous prétexte de compter du poisson qui devait être livré le lendemain, so
t que cette île est toute couverte de bois & de montagnes, où ils comptent de se retirer s’ils ne peuvent pas se défendre, é
M. de Seignelay. Que devins-je ? Je ne puis encore l’exprimer. Je ne comptai pour rien l’espérance perdue de ma fortune, que j
la gageure. Nous voilà déjà cinq, compris M. de Porrières, & nous comptons sur cinq autres à moitié de frais. Du dimanche
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
uvrir, et trouvant ses deux bourses dedans, et tout son argent, qu’il compta pièce à pièce, l’esprit acheva de lui en tourner
plus magnifiquement qu’il n’avait jamais été. Sancho lui-même, qui se comptait un gros seigneur, s’était mis sur son propre, et
6 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
pain. Moi ! repris-je. Suis-je le maître du bien de la Compagnie ? et comptez -vous pour rien cent quintaux de pain ? Je voudrai
moi, il l’avertissait que, s’il se gendarmait contre moi, il pouvait compter sur sa révocation certaine ; qu’en bon ami, il lu
i à ce que j’avais à taire pour me justifier auprès de vous, comme je comptais d’être bientôt auprès de MM. de Seignelay et Cébe
ines de l’escadre s’étaient rendus pour souper avec M. du Quesne. Ils comptaient bien que M. Hurtain serait des leurs ; mais ils n
ne. Ils comptaient bien que M. Hurtain serait des leurs ; mais ils ne comptaient pas sur MM. Bouchetière, de La Chassée, ni moi. Ç
ue le diable aille avec vous Mais pour moi, laissez-moi en repos. Je comptais qu’il allait faire le mauvais ; apparemment qu’il
, et à laquelle il est impossible de résister. Tant pis pour ceux qui comptent qu’elle descendra sur eux à l’heure de la mort. J
du jour dans ma chambre et y a pris les clefs de fond de cale : il a compté lui-même les bouteilles pleines qui y sont, et pr
Après cela, il lui a dit que les brebis du bon Dieu avaient beau être comptées , que le diable avait le secret d’en tondre toujou
s aujourd’hui à près de trente-cinq lieues de la Ligne, au lieu qu’on comptait n’en être qu’à quatorze ou quinze. Ceci est une p
ontés dans ma chambre. J’avais fait ce que j’avais dû faire, et je ne comptais pas qu’âme qui vive du vaisseau osât entreprendre
est-ce ainsi que vous faites exécuter les Ordonnances de la Marine ? Comptez sur votre révocation, si pareille chose arrive, e
squ’il a de quoi se bien battre. Du vendredi 28 avril 1690 J’ai compté cet après-midi avec le commandeur : voici comment
rêmement chaud, et qui a fini plutôt par lassitude qu’autrement, on a compté avec la gamelle, qui s’est trouvée riche de vingt
ient pour vous seul, je ne les regretterais pas ; mais je n’avais pas compté d’employer ma peine et mes soins pour les dents a
on, deux cabas, qui pèsent huit livres chacun. Autant de pris : je ne comptais que sur un. Je les ai portés dans ma chambre ; et
la mer, où on n’a pas ce qu’on voudrait, les choses sur lesquelles on comptait . Du samedi 27 mai 1690 Beau temps, et bon v
J’aimerais à les cueillir. Quels écarts je fais ! J’en rougis. Nous comptons de mettre demain matin à la voile ; et je remets
; et c’est ce qui y attira un si grand concours de monde : mais je ne comptais pas qu’il serait si pétulant ni si scandaleux. En
i que vous avez à prendre, et sans perdre de temps : à moins de cela, comptez que son vaisseau est perdu, aussi bien pour nous
t, il a fait jouer l’aviron le plus qu’il a pu ; et ses matelots, qui comptaient sur un butin certain, tirant de toute leur force,
nd ; et c’est partout de même. Les souverains et les peuples d’Europe comptent pour rien les conquêtes et les établissements que
ssus qu’il avait fait rendre gorge à Héros, son écrivain ; mais je ne comptais pas avoir part à la restitution. Je l’ai eue, pou
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
vous, si je ne me vengeais pas de votre perfidie. Je crois, tout bien compté , que vous n’avez pas gagné au change, et que je v
ation était si générale et si commune, qu’elle ne méritait pas d’être comptée à moins qu’elle ne fût soutenue par d’autres, qui
e que vive, et qui pleurait en pécheresse surprise sur le fait. Je ne comptais pas d’avoir le plaisir de vous voir dans un lieu
t à qui que ce fût de ce qui se serait passé entre nous , il pourrait compter que tous les bourreaux du monde assemblés pour me
t-elle, chez ma tante avec Monsieur Gallouin son frère, qui tous deux comptent que vous vous donnerez la peine d’aller les quéri
it pas prêté la main à notre commerce. Silvie qui dans cet instant ne comptait que sur moi, me dit que nous devions nous cacher
, continuai-je : mais je ne vois pas que je perde plus que vous. Vous comptez donc pour rien, reprit-elle, de n’avoir pas le pl
en établir un pareil avec elle. J’en faisais déjà ma maîtresse. Je la comptais pour une conquête assurée. Ce n’était plus, à ce
que moi, et que tout autre que moi ne lui convenait pas : enfin je la comptais entre mes bras : mais je comptais, comme on dit,
ne lui convenait pas : enfin je la comptais entre mes bras : mais je comptais , comme on dit, sans mon hôte. J’allai le lendemai
uis pas résolue d’en permettre davantage ; et si vous l’entrepreniez, comptez que quelque chose qui puisse en arriver, je ne vo
u plus que deux jours pour revenir d’où il était à Paris ; ainsi nous comptions d’être épousés le second jeudi d’après Pâques, qu
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
rs le meilleur ami que vous puissiez avoir au monde ; que vous pouvez compter sur moi lorsque je pourrai vous rendre service ;
 ; et que si elle n’avait pitié de l’état où j’étais, elle pouvait me compter dans un couvent, si ma seule douleur ne me causai
s autres. L’amour que Monsieur a pour vous, l’engage à vous épouser ; comptez que cet amour n’est rien, qu’il sera bientôt évan
dans ce temps-là, n’était point si respectueux, mais il l’est devenu. Comptez pourtant que je ne veux pas perdre ce que j’étais
quoi vivre indépendante de vous ; et pour commencer, vous n’avez qu’à compter que vous l’avez vue pour toute votre vie. Qu’avan
me dédire du consentement qu’elle avait arraché de moi ; et comme je comptais ne la [revoir] de longtemps et qu’après ses couch
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
ux- mêmes, ou tout au plus pour quelques-uns de leurs amis, et qui ne comptent pour rien le reste du monde, surtout le public, q
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
je ne serai jamais qu’à ma chère Angélique ; c’est sur quoi elle peut compter . D’un autre côté vous jugerez qu’il me serait ext
ugerez capable. Je vous demande votre amitié à tous deux, vous pouvez compter sur la mienne. Je vais parler à la princesse, et
enir compte, soit par mon crédit, soit par celui de mes amis. Il peut compter sur ma protection, et peut-être en sentira-t-il d
 ; la place où vous êtes vous plaît, achetez-la par votre silence, ou comptez que vous n’y resterez pas longtemps. Vous pouvez
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
tre de peur qu’on ne lui prît pendant son sommeil, l’avait prié de le compter  ; Don Quichotte l’avait déjà fait, et lorsque San
12 (1721) Mémoires
du mépris qu’il avait fait de son alliance. 68. Comme ce prélat avait compté que Gaston ou le comte auraient assez d’ambition
oyen de piller la France, et d’en envoyer les richesses en Italie. Il comptait de s’y réfugier en cas que la France l’obligeât d
jamais la mémoire, lui dit Monseigneur ; vous et votre famille pouvez compter absolument sur ma protection, et compter en même
vous et votre famille pouvez compter absolument sur ma protection, et compter en même temps que je ne serai point ingrat. Garde
ser la porte. Mais pour chez moi je vous défends d’y venir jamais, ou comptez que vous n’en sortirez que par une de mes fenêtre
étant seuls M. de Tourville en aurait bon compte, d’autant plus qu’il comptait qu’une partie des vaisseaux anglais se joindraien
e gens en ont écrit qu’une répétition serait inutile. Sur ce pied, il comptait que la France serait victorieuse, et avait envoyé
Pontchartrain n’était point informé de cette jonction, et qu’il [sic] comptait sur les vaisseaux anglais qui devaient nous joind
riture. Il se plaignait de l’orgueil ridicule qui y paraissait. Il se compta battu sans retour. Il prévit la ruine de la marin
e qu’elle n’en voulut point signer les articles que Crozat ne lui eût compté cent mille écus de présent pour sa seule signatur
il faut que Crozat leur donne une entière exclusion, ou bien il peut compter que lui ou ceux qui viendront après lui se repent
Cependant je fus vengé, mais tout autrement que je ne l’espérais : Je comptais que ma vengeance ne me coûterait rien, et elle me
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
si généreusement mon parti ? Pourquoi me dégoûter de la clôture ? Je comptais sur tous les chagrins que ma famille m’a donnés,
nne tout à mon tour. Adieu Monsieur, votre départ m’apprend à ne plus compter sur vous, et tout le reste du monde ne m’est de r
n était très considérable, ainsi je me ménageais auprès d’elle, et je comptais sur son appui. Elle me l’avait promis, lorsque je
14 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
sion trop écoutée aboutit. Elle fait voir aussi, qu’une femme ne doit compter que sur son époux ; et que lorsqu’il n’est plus e
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
erio ce gentilhomme et ceux des siens qui avaient été blessés, et fit compter les bandits qui avaient été tués. On en trouva hu
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
pouvait pas tirer tout le plaisir qu’elle en aurait voulu ; mais elle comptait bien de s’en dédommager sitôt qu’il serait en éta
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
irer. Que nous ferions mieux notre paix de loin que de près ; qu’elle comptait que je ne l’abandonnerais point. Que nous avions
trouver d’autre si vous me manquez de parole ; mais ne craignez rien, comptez que je ne vous abandonnerai jamais. Reposez-vous
18 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
à lui-même, dit-elle en m’interrompant. Eh bien Valeran, lui dis-je, comptez pour deux que je veux bien oublier : mais soyez c
ande. J’écrivis ensuite à Madame Des Frans et à Monsieur son fils. Je comptais qu’il ne vous verrait jamais ; que mes lettres ne
es ; mais non, pour me témoigner qu’elle n’aimait que moi, qu’elle ne comptait que sur moi, et que sans moi tout lui était indif
autre. Je ne vous refuse point mon entremise, dit-il, et vous pouvez compter sur tous les services que je pourrai vous rendre.
âtir ma maison plus vaste et plus belle qu’elle n’était, parce que je comptais d’y passer le reste de mes jours, et que je n’ava
rts impuissants d’un amour brutal que j’avais tant de fois bravé ! Je comptais sur ma fermeté et sur ma vertu, dont je n’avais j
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
vant toutes les apparences, était fort avantageux, mais qu’il n’avait compté de son bien avec personne ; qu’ainsi on ne savait
ui-ci étaient hors d’état de pouvoir me rembourser si promptement, je comptais mon argent perdu, ou du moins fort aventuré. Je c
bien servir de cette occasion-ci, car si vous la refusez, vous pouvez compter que ce sera la dernière. J’ai promis de vous mene
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
essentit aux oreilles qui pensèrent aussi d’être arrachées. Il fallut compter les poils de la barbe qu’on lui avait arrachés, e
21 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
, nous espérions bien faire un bon repas pour nous remettre mais nous comptions sans notre hôte : en effet nous ne trouvâmes rien
out à souhait on regrette très amèrement les choses sur lesquelles on comptait . Du lundi 17 [avril] Nous allons un peu ; l
raison de dire que les vents sont ici fort variables et qu’on ne doit compter sur aucun qui soit certain. Du lundi 15 [mai]
Nous ne sommes qu’à douze heures de chemin de Pondichéry, ainsi nous comptons y être demain. Il y a si longtemps que nous devon
, leur poil blanc et leurs tétines pendantes qu’elles pourraient bien compter chacune cinq cents animaux de leur espèce provena
vaient et en étaient fort proche. Nous couvions ce navire des yeux et comptions dessus comme sur un acquis[t] certain, mais Monsi
mpte sur vous comme je suis persuadé que vous me rendez la justice de compter sur moi, et je suis certain que vous me défendrez
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
vait rendue, ni de ces engagements où j’étais entrée ; que je pouvais compter sur un secret inviolable de sa part, et que de la
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