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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
Chapitre LIV. Départ de la compagnie . Comment Sancho fit taire le curé. Aventures dive
erais les prédicateurs, et chacun le sien ce n’est pas trop. Toute la compagnie riait de la colère et des proverbes de Sancho, et
tres sottises, et sitôt qu’on fut sorti de table, il prit congé de la compagnie , qui se disposait à partir. Avant que de la condu
tre ceux qui lui rendirent ce pieux office, fut un petit Bohème de la compagnie de Bracamont, qui s’était vêtu d’un justaucorps d
arbre pour s’y pendre. Don Quichotte y perdit son latin, et toute la compagnie sa rhétorique, en le voulant consoler, et comme o
on qu’une mère qui aurait vu poignarder son enfant entre ses bras. La compagnie , et surtout la duchesse, n’avaient jamais ri de s
, et fut plus de deux heures à faire le plongeon à la vue de toute la compagnie , qui s’était assise sur l’herbe, et qui y faisait
e la faire voir, afin que tu ne soupçonnes plus qui que ce soit de la compagnie de te l’avoir volée ; mais comme il ne me l’avait
était un nain qui en sonnait. Tout le domestique vint au-devant de la compagnie avec des flambeaux, et entre autres Altisidore, q
esse de Médoc ajouta, que cette pauvre fille s’était séparée de toute compagnie , et l’avait priée de souffrir qu’elle se retirât
lit d’Altisidore. Sancho se leva le soir et vint souper avec toute la compagnie qui le questionna sur son absence ; mais il n’eut
’à leur faire pièce. On ne leur en demanda pas davantage, et toute la compagnie , c’est-à-dire les ducs et le comte espagnols, et
2 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
n voyage fait aux Indes orientales, pour le compte et par ordre de la Compagnie des Indes orientales de France, et sous la condui
t auraient pu nous empêcher d’en sortir. Nous sommes six vaisseaux de compagnie , tous équipés moitié guerre et moitié marchandise
te et de leur valeur : Et ces six vaisseaux sont pour le compte de la Compagnie royale des grandes Indes orientales. Le Gaillard,
sur notre même vaisseau, un nommé M. de La Chassée, qui commande une compagnie franche, et qui a été dans toutes les guerres de
e quantité de passagers, tels que sont les marchands et commis que la Compagnie envoie dans les Indes, d’autres qui y vont pour l
de l’Évangile la justice qui leur est due. Tels sont les dévots d’une compagnie que j’introduirai souvent sur la scène ; gens qui
vous-même qu’ils y avaient été approuvés et que tous messieurs de la Compagnie étaient contents de ma conduite, et vous en avaie
uault, qui avait fait l’armement comme directeur et intéressé dans la Compagnie . Rien n’y manquait ; et, comme j’ai dit et que vo
vaisseaux du roi qui en manquaient, sauf à lui à en tenir compte à la Compagnie , et lui en portai quatre galettes. Notre biscuit,
ssait aux vaisseaux du roi, et il est très facile à comprendre qu’une compagnie telle que celle des Indes, qui fait ses provision
urnir tous les vaisseaux du roi et qu’il ne prendrait pas celui de la Compagnie , parce qu’il n’en avait pas besoin. Je sortis d’a
s. Je retournai trouver Albus et le priai que du moins il prêtât à la Compagnie un de ses magasins vides, pour y serrer ce pain,
certai avec M. Hurtain, et j’écrivis à M. Le Mayer, directeur pour la Compagnie à l’Orient, et à M. Chevallier, contrôleur et tré
Hurtain et à moi, qu’Albus voulait obliger les vaisseaux armés par la Compagnie à jeter leur pain, ou à le lui vendre à son prix.
on, que je le vendisse à qui voudrait l’acheter ; qu’il revenait à la Compagnie à sept livres dix sols le quintal ; et qu’ils m’a
rrassait, et le priai de me seconder. Il est très bon serviteur de la Compagnie , et après avoir concerté ensemble ce que nous fer
de quintaux de pain. Moi ! repris-je. Suis-je le maître du bien de la Compagnie  ? et comptez-vous pour rien cent quintaux de pain
ix que MM. Le Mayer et Chevallier m’avaient mandé qu’il revenait à la Compagnie  ; et m’ayant donné pouvoir de le donner à cent so
issait n’était pas si beau, puisque le roi en payait bien plus que la Compagnie  ? Ils ne le traitèrent véritablement pas de fripo
dans ce qui s’est fait, je m’en charge, et en rendrai bon compte à la Compagnie . Il a écrit par mon ordre aux directeurs et contr
jeté à l’eau. M.Hurtain, ne doutant point d’avoir le lendemain matin compagnie , fit préparer un déjeuner fort propre. MM. de Com
int, et ne but que deux coups au dessert, et seulement pour saluer la compagnie qui était en bon train. Je ne sais ce qu’Albus fi
Albus. Celui-ci, qui ne savait point ce qu’était devenu le pain de la Compagnie , et qui croyait que M. Hurtain et moi en avions f
étré qu’Albus ne lui disait rien que de vrai, écrivit contre moi à la Compagnie . Je n’en fus informé que par votre violente lettr
s états. Lui, dans l’intention de faire croire que les employés de la Compagnie étaient d’aussi grands fripons que ceux dont le m
on environ vingt-cinq pistoles, que j’avais encore appartenantes à la Compagnie , et dont il me fit don en son nom et par son ordr
hier dimanche il s’est passé à bord une chose dont je voudrais que la Compagnie fût informée. Je vas travailler à mon paquet. Nou
eu M. Céberet secrétaire du Roi, l’un des premiers intéressés dans la Compagnie de Guinée, qu’il a toujours aime la marine, qu’il
été ambassadeur à Siam : c’est lui qui y a établi les comptoirs de la Compagnie , lesquels ont été ruinés en 1688, par la révoluti
volant, que je suis également certain que vous rendrez vous-même à la Compagnie . Vous savez ce qu’il contient ; mais comme vos am
ui y a donné lieu. Voici le fait. Il faut savoir qu’un écrivain de la Compagnie est également chargé des marchandises et des vivr
al. Il fit cercler ses tierçons de fer en feuillard, appartenant à la Compagnie , et obligea nos tonneliers de faire malgré eux le
es ; non que je doute de sa fidélité : M. Quérat, garde-magasin de la Compagnie , m’en a assuré, il a servi assez de temps sous lu
avec moi la campagne dernière avec une économie dont messieurs de la Compagnie et moi avons tout lieu de nous louer. Sur la répo
otestai contre lui, tant en mon propre et privé nom qu’en celui de la Compagnie , de tout le dommage et dépérissement des marchand
re que ce soit : et à l’égard des marchandises qui appartiennent à la Compagnie , le Conseil en a renvoyé et renvoie la connaissan
. Nous déjeunâmes tous de bon appétit, et ensuite nous primes tous de compagnie le chemin de l’Orient, où nous trouvâmes M. Céber
nt d’indulgence. Qu’il voudrait bien savoir où il avait appris que la Compagnie prêtât ses vaisseaux pour faire un commerce contr
érieux, et que j’eusse eu la complaisance de ne m’en pas plaindre, la Compagnie se serait prise à moi de tout le mal, même de la
moins ennuyés que deux demoiselles du Port-Louis étaient venues tenir compagnie à l’apothicaresse. Quand vous devriez dire que je
e de nous mettre à table nous avons été nous promener sur la rive, en compagnie . Le temps le permettait, et nous n’avions envie d
qu’il ne m’avait parlé. Qui diable vous retient ? lui ai-je dit Votre compagnie ni votre figure ne sont point assez ragoûtantes p
quelque chose qui certainement ne chagrinerait point messieurs de la Compagnie , quand ils sauraient ce que c’est, puisque cela n
, j’ai toujours eu l’œil sur les démarches des autres écrivains de la Compagnie . Le vin coulait incessamment chez eux, parce qu’à
oldat ou d’un matelot venaient le voir, le vin lui était prodigué. La Compagnie se soucie peu de ce vin, parce qu’en effet, elle
erions des bœufs et des autres vivres que je paierais, l’argent de la Compagnie y étant destiné ; et que je n’épargnerais pas cet
n’aime point le jeu, M. Hurtain et M. de La Chassée me viennent tenir compagnie de temps en temps. Du reste, saint Augustin, sain
n voyage de Canceau par terre à Quebec, avec deux sauvages pour toute compagnie . Je me souviens bien que nous fûmes huit jours à
un quartier de dinde à la daube, qui ne fera point de déshonneur à la compagnie , et qui au contraire y tiendra appétissamment sa
rsque j’y allai avec M. Bergier acheter le navire le Regnard, pour la Compagnie de l’Acadie. Je dois m’en souvenir puisque tout m
ptable, dit la chanson : nous l’avons éprouvé ici. Nous étions six de compagnie , altérés et affamés, et tous espérant faire un bo
aie bénédiction du Seigneur, qui veut cette année faire regagner à la Compagnie ce qu’elle a perdu il y a deux ans, en 1688, par
ui était mon second. Il est neveu de M. Hardancourt, secrétaire de la Compagnie . Nous nous sommes quittés avec bien du chagrin ;
i très longtemps ébloui sans pouvoir rien distinguer. Heureux d’avoir compagnie  ! Mon cheval, sur le côté, eut bien de la peine à
u diable, et convenable à sa couleur. M. Hurtain ne nous a point tenu compagnie cet après-midi, à M. de La Chassée et à moi ; il
eurs du Florissant et de l’Oiseau, conviés, sont venus aussi en bonne compagnie . Les capitaines du Lion et du Dragon sont venus a
avec les trois pleins que nous avons déjà. Cela ne coûtera rien à la Compagnie et épargnera nos bestiaux et nos volailles, penda
d de cale de fournir l’huile, le vinaigre, le poivre et le sel. Si la Compagnie faisait bien, elle ferait donner aux matelots un
s, nous leur avons brusquement et sans façon annoncé à table en bonne compagnie nos méprisantes et véritables intentions. Ils ont
ce n’est pas sans raison. Mme de Maintenon est sa protectrice, et la Compagnie l’a nommé lieutenant sur l’Écueil, qui est un vai
ongtemps avant d’en nommer un autre, parce que le vaisseau étant à la Compagnie , qui y avait nommé ses officiers, c’était dédire
, le général avait répondu que le défunt n’était point officier de la Compagnie , ni nommé par elle ; que c’était le roi ; que tou
feront figure). Des petits pâtés et un dinde à la daube lui ont tenu compagnie . M.du Quesne a paru très content. Pendant que nou
ui est celui qui le sert, et qui est le plus bouffon personnage de sa compagnie . Celui-ci, s’entendant exclure du rachat général,
Rats : cette île est dans l’est de Madagascar, proche Mascarey, où la Compagnie a un établissement. J’ignore si quelqu’un, plus f
cès, et il fut pendu. Cela ne rendit pas la vie à d’Armagnan, ni à la Compagnie son bien. Ces officiers furent honnêtement traité
traités ; mais, les jésuites furent considérés comme gens auxquels la Compagnie hollandaise devait deux prises si riches. Aussi,
e l’avaient pas assez fortifié pour le mettre à couvert d’insulte. La Compagnie hollandaise se servit d’un temps de guerre entre
e hommes de débarquement. Le chétif fort des Anglais fut emporté : la Compagnie en devint maîtresse et n’a jamais voulu entendre
en rapporte à notre premier pilote, qui a été à l’un et à l’autre. La Compagnie hollandaise y entretient toujours douze cents hom
n’en a point encore vu aucun qui ait trahi les intérêts de cette sage Compagnie . Ce pouvoir sur ses sujets attribué à cette Compa
s de cette sage Compagnie. Ce pouvoir sur ses sujets attribué à cette Compagnie semblerait former une double souveraineté en Holl
s États est conservée. Il est de l’intérêt de la République que cette Compagnie jouisse de ce pouvoir partout où elle s’établit :
malgré lui, sent toujours la roture. Je reviens aux officiers de la Compagnie hollandaise, à la nomination desquels ni bonnet à
r. J’ose le dire, instruit par ma malheureuse expérience : toutes les compagnies et les colonies françaises périront, à moins que
oins que le roi n’abandonne absolument le commerce aux marchands. Les Compagnies en seront plus respectées, le commerce fleurira p
vait donné des troupes pour garder Chedabouctou, dans l’Acadie, où la Compagnie de la Pêche sédentaire, dans laquelle j’étais pou
pelleteries. Beau spectacle pour moi ! Tout a été abandonné par notre Compagnie  ; et je n’y ai pas retourné depuis, y ayant été r
e ses troupes ; et je crois aussi que les choses iraient mieux si les compagnies commandaient les troupes ; mais, malheureusement,
les compagnies commandaient les troupes ; mais, malheureusement, les compagnies de commerce sont réduites en France aux remontran
les jésuites donnassent leurs observations. Elles coûtent assez à la Compagnie pour qu’ils lui en fassent part. Nous avons ce so
le parti et en avons bu deux coups chacun : M. Le Vasseur nous tenait compagnie . Le commandeur, qui ne boit point de liqueur fort
isseaux m’ont rendu mes déboursés : j’en conviens ; mais savoir si la Compagnie n’en payera pas davantage. Je crois que, si elle
le livres de marchandises, outre ses provisions. Quoique le roi ni la Compagnie ne profitent pas de sa perte et qu’au contraire i
e jeune Le Mayer, fils de M. Le Mayer, directeur pour messieurs de la Compagnie à l’Orient, dont j’ai parlé ci-dessus, qui n’a pa
t curieux, j’avais prié M. de Porrières de souffrir que je lui tinsse compagnie . Il me l’avait accordé ; et Landais remplissait m
n dans le même état qu’il est sorti de Brest, lorsque messieurs de la Compagnie des Indes l’ont acheté du roi. Si cela est, c’est
ans faim ni soif, surtout le seigneur de La Chassée, qui a défrayé la Compagnie aux dépens de sa brûlure, qu’on a rafraîchi le pl
et de l’argent destiné à payer les ouvriers, commis et autres, que la Compagnie des Indes y emploie. Pendant que nous avons été à
3 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
les marchandises sont toujours mouillées. Je ne sais pas pourquoi la Compagnie n’y fait pas faire un quai : il épargnerait le co
l’esprit m’a tourné, de mettre en parallèle la faible puissance d’une compagnie particulière avec la richesse du plus puissant pr
u de fort beaux chevaux, au nombre de quatre : ils appartiennent à la Compagnie . Ils sont aussi fins que les plus beaux chevaux d
Il y avait table ouverte à la maison de M. Martin, ou à la loge de la Compagnie  : j’y ai plusieurs fois mangé ; on y est fort pro
ui les y engage. M.de Saint-Paul, l’un des principaux officiers de la Compagnie , m’a dit que son devoir, & l’intérêt du comme
tait arrivé, dans le temps qu’il y était, deux agents ou facteurs des compagnies anglaise & hollandaise : que ce prince leur a
nt. Du lundi 11 septembre 1690 Le sieur Pelé, directeur pour la Compagnie à Balassor, est arrivé ici à midi avec les chalou
de guerre. Nous resterons à la mer deux mois plus que messieurs de la Compagnie n’ont compté : du moins, par ordre de M. du Quesn
née la sonde à la main. Nous sommes partis de France six vaisseaux de compagnie  : nous ne nous étions encore point quittés, &
uillement. M.de La Chassée en a fait coûter un bordage d’artimon à la Compagnie , & à moi un bon grand flacon de fenouillette 
à la chasse avec un matelot seul : je n’y allais ordinairement qu’en compagnie . Cette fois-là, j’allais sur une pelouse où j’ava
par les Anglais qui ressemble plutôt à un palais qu’à un comptoir de compagnie marchande. Je ne crois pas me tromper de dire que
dicie bien fort au commerce des Français dans les Indes, parce que la Compagnie , qui, à beaucoup près, n’est pas si forte que les
e dire n’est point un épisode mendié : il faut le mettre en œuvre. La Compagnie des Indes orientales de France a trouvé pendant l
comme un nouveau Salomon, & releva si bien le nom français que la Compagnie pouvait se vanter que tout y était à sa discrétio
justice du roi : mais ils ont bien changé de sentiment, parce que la Compagnie , ayant souffert des banqueroutes, a été obligée d
douze avec du mil, pour leur nourriture. Le principal comptoir de la Compagnie est à Ougli, à soixante lieues plus haut sur le G
e le reste. Il me semble que ce ne serait pas un argent perdu pour la Compagnie que les appointements qu’elle donnerait à un légi
m’a paru bon français de la vieille roche & très bon sujet de la Compagnie . Je dirai demain sur quoi roulait notre conversat
nt s’accommoder d’une vie si triste, il se présenta à messieurs de la Compagnie d’Orient ; & comme il a autant d’esprit qu’un
ans tous les autres endroits des Indes où pour lors le commerce de la Compagnie florissait & était établi sous les auspices d
e sa bonne conduite éclatait dans ses livres & dans le négoce. La Compagnie , très contente de ses services, l’a élevé par deg
ragny en France. M. Martin a plusieurs fois demandé à messieurs de la Compagnie un successeur & son rappel ; mais, lui étant
e c’était une chose impossible, il a lui-même écrit son histoire à la Compagnie , & demandé l’alternative : ou de lui permettr
donne celui d’action vraiment héroïque & vraiment chrétienne. La Compagnie a préféré le dernier parti au premier, mais ce n’
e & Mlle sa fille, afin de pouvoir se présenter avec décence à la Compagnie au premier jour qu’elle s’assemblerait, qu’ils lu
t les mêmes relations des jésuites dont j’ai parlé, les pères de leur Compagnie qui passent dans les Indes y mènent tous, à ce qu
ant repassé de la Martinique à La Rochelle sur un des vaisseaux de la Compagnie des Indes, l’envie de voir ces Indes & l’Asie
e Pondichéry, qu’il en avait plusieurs lois écrit au ministre et à la Compagnie , qu’il me priait de les en faire souvenir ; qu’il
iaux nécessaires ; qu’il ne savait pas pourquoi ni le ministre, ni la Compagnie , n’avaient eu aucun égard à tant de remontrances,
il y avait deux ans qu’il les avait écrites à M. de Seignelay et à la Compagnie , et qu’il me priait de les en faire souvenir. Que
ils vendraient tous les autres s’ils pouvaient. Qu’il semblait que la Compagnie se reposait sur la foi des promesses du Mogol &am
nt contractée avec Remraja, dont ils avaient pris le parti. Que si la Compagnie dormait en repos sur cette confiance, elle pourra
abandonner l’Asie, & de joindre à ses forces de mer celles de la Compagnie  ; que ce que nous avons fait n’est qu’un feu de p
amp; persuaderont : ils auront un désistement de protection, & la Compagnie & les Français qui restent ici, seront les tr
plusieurs fois écrit à feu M. Colbert, à M. de Seignelay, & à la Compagnie  ; que dans un temps de guerre six vaisseaux armes
aient, & qu’il faudrait leur donner, s’ils étaient équipés par la Compagnie  ; & si la Compagnie n’était pas assez puissan
ait leur donner, s’ils étaient équipés par la Compagnie ; & si la Compagnie n’était pas assez puissante pour faire des armeme
corsaires français de venir en course dans les Indes ; auquel cas la Compagnie pourrait prendre des arrangements avec eux pour s
est qu’il est intendant du commerce, & qu’étant intéressé dans la Compagnie , s’il parlait avec feu en sa faveur, il pourrait
sont ceux qui me paraissent prendre le plus à cœur les intérêts de la Compagnie & du royaume, qui certainement sont ici confo
ette campagne a fait. Faute de quoi il peut compter aussi bien que la Compagnie , que les Anglais & les Hollandais se vengeron
’objet. Ils font seuls autant de tort pour le moins au commerce de la Compagnie des Indes que toutes les nations européennes ense
missions, dans lesquelles ils sont soutenus par les princes & les compagnies de la communion romaine ; ou desquelles ils payen
rofit par le fret, se souciant fort peu du dommage qu’il causait à la Compagnie française. Qu’il avait plusieurs fois écrit et pr
t tout ce qu’il avait pu faire là-dessus ; mais que, bien loin que la Compagnie se fût mise en devoir d’empêcher des abus qui lui
rance avec nous, & qui reste à Pondichéry, doit actuellement à la Compagnie plus de cent cinquante mille piastres, qui, à tro
-huit ballots, dont le moindre était plus gros qu’aucun de ceux de la Compagnie , & qui avaient été distribués sur toute l’esc
 l’abus qu’ils faisaient de la condescendance & de la bonté de la Compagnie , qui ne voyait jamais, ou très rarement, et bien
ts, & des perles, ne sont pas ceux qui font le moins de tort à la Compagnie française, & sont ceux qui ternissent le plus
e la Société, il ne meurt dans ces pays éloignés que les saints de la Compagnie  ; & que ceux qui en reviennent sont tous, san
s, sans exception, qui ont eu le malheur d’avoir un jésuite dans leur compagnie . Tous les officiers de la Compagnie s’en sont pla
heur d’avoir un jésuite dans leur compagnie. Tous les officiers de la Compagnie s’en sont plaints à moi, & ceux de votre esca
qui, par leur travail, ou leur industrie, contribuent au profit de la Compagnie de Jésus, ne craignent ni enfer, ni diable, pas m
qu’ils sont morts au service & pour l’utilité de la sacro-sainte Compagnie de Jésus. Je vous le répète encore, a poursuivi M
& à entreprendre, lorsqu’il s’agit de l’intérêt temporel de leur Compagnie . C’est un capucin, qui remplit ici les fonctions
rendre par douceur ; sinon, d’user de l’autorité que le roi & la Compagnie nous avaient donnée. Nous nous concertâmes en Con
. Bauni, Escobar, Sanchez, Jouvenci, & les autres casuistes de la Compagnie de Jésus, tous gens brûlables en bonne justice, o
saints étaient d’exécrables scélérats, aux actions desquels la sainte Compagnie de Jésus ne prend aucune part, pas plus qu’au pen
plus féroces & les plus barbares respectent. Là-dessus, ce que la Compagnie doit à Surate, & ailleurs, est cité ; & l
aisseau portugais, pour les reconduire à SiaM. J’aurais, ou plutôt la Compagnie aurait eu l’honneur de les faire conduire chez eu
orts, & cette intelligence aurait pu par la suite être utile à la Compagnie , & à notre nation ; ce qui est l’unique but o
issance qu’ils devraient avoir pour le roi, pour l’État & pour la Compagnie  ? Ce n’est point là leur caractère. Ils ont laiss
; parce qu’il ne veut pas s’exposer au ressentiment que cette cruelle Compagnie aurait de ses refus : étant lui-même convaincu, p
is, profitent. J’en écris dans ce sens, à lui & à messieurs de la Compagnie  : M. du Quesne est chargé de mes paquets, & j
ussi été emporté ; &, pour comble de malheur pour messieurs de la Compagnie , c’est que le navire faisait eau de toutes parts,
voie ; & moi, si l’on pouvait m’entendre d’Europe, je prierais la Compagnie & ma famille de faire prier Dieu pour nous
; un navire faisant seul beaucoup plus de chemin que lorsqu’il est en compagnie obligé de retarder sa route. À cela, M. le cheval
dit qu’il y en a plus de trois cents ; & que ce sont ceux que la Compagnie hollandaise envoie s’établir dans les terres nouv
ent. & un vaisseau seul avance beaucoup plus que lorsqu’il est en compagnie , parce qu’il fait route directe, sans attendre pe
ue article au compte particulier de chaque adjudicataire, afin que la Compagnie , qui est chargée de tout, trouve sur le grand liv
’empêcher d’en rire. ) Environ six semaines après, il partit en bonne compagnie , enfilés les uns aux autres comme des grains de c
ux journées du messager. Fanchon se récria au scandale d’une pareille compagnie , & fit semblant de vouloir lui rendre son arg
s se sont ralliés vers le cap de Bonne-Espérance, & sont venus de compagnie , après avoir passé à l’île de l’Ascension le lend
t Saint-Pierre vers les dix heures du matin, vingt-trois vaisseaux de compagnie , dont il y en a huit de guerre, qui sont nous six
esprit qui n’a ni inquiétude ni chagrin de se voir en régal avec une compagnie choisie, sous un berceau de vigne qui offre sur l
elle, est mort. Il était frère de celui à qui je vendis le pain de la Compagnie en 1689, qui eut les suites que j’ai rapportées a
sa présence, & le sucre qu’il lui avait donné, lui dit, en pleine compagnie  : Eh, à propos, M. de la Liane, êtes-vous remis ;
le lendemain, changea de figure : &, étant en bonne & grande compagnie , la soupe au perroquet la fit jaser & nommer
é ce matin les copies de mon grand livre & de mon journal pour la Compagnie . Il y a de l’écriture, à cause des procès-verbaux
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
e ; nous avions tous nos vues qui ne nous permettaient pas de fausser compagnie . L’amende des filles fut de nous baiser tous ; et
sa pas d’être assez riche pour nous divertir parfaitement bien, et la compagnie étant choisie, on passa une soirée la plus agréab
aîtresse était tout le jour avec sa mère ou ses sœurs ; et le soir la compagnie lui donnait mille moyens de m’éviter, sans faire
ui m’attirait ici, c’est qu’il est impossible de trouver ailleurs une compagnie si agréable et si choisie que notre société. Je l
re et bon, il ne laissa pas de m’ennuyer. On eut bientôt desservi, la compagnie se retira, et nous restâmes seuls elle et moi, en
le, elle y consentit ; et c’est la seule fois que nous y ayons été de compagnie  ; encore étions-nous bien sûrs de ne trouver pers
e de l’Épine venait seule, et d’arrêter dans une église si elle avait compagnie . J’aurais été l’y prendre, mais elle vint seule.
ée ; et que dès le jour même au soir, elle prierait sa mère devant la compagnie , de lui permettre d’aller passer quelque temps da
vait été résolu, je les trouvai toutes deux ensemble. Nous dînâmes de compagnie , et je défendis absolument à ma femme de faire ca
r un méchant lit, dans un lieu (je ne sais comment le nommer) dans la compagnie et au rang de cinquante mille gueuses : tristes r
ctions, et je m’aperçois que vous l’êtes aussi, dit Dupuis à toute la compagnie , qui en effet avait les larmes aux yeux. Achevez,
Il venait à tout moment quelqu’un de ces bons missionnaires me tenir compagnie  : ils tâchaient de me consoler, et me firent peu
dit l’aimable Dupuis. Cela est beau, répondit-il, en saluant toute la compagnie , de retenir des femmes mariées depuis le matin ju
onté votre histoire, meurent d’envie de vous voir aussi ; et toute la compagnie , assez nombreuse, a rendez-vous chez Monsieur de
t du monde. Madame de Londé qui arriva avec son amant charma toute la compagnie . Elle était choisie, en effet on n’aurait pas pu
ouvrait la bouche : cependant, poursuivit-il, en se r’adressant à la compagnie , c’est cette union-là qui me fatigue quelquefois.
Oui, repartit l’aimable Dupuis, afin de vous entendre dire en pleine compagnie comme Monsieur, que je vous aimerais trop. Voyez,
e je lui en ai dit, en lui parlant de vous ; et je crois que toute la compagnie est dans l’impatience de vous entendre. Pour moi
ur mon histoire, comme Madame de Contamine m’y engagea hier. Toute la compagnie avait en effet impatience de savoir une histoire
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
encore à m’en servir. Retournons à Sancho. Les ducs et le reste de la compagnie crièrent tous en même temps, que le charme avait
où il fit deux ou trois gambades et autant de fois la roue. Toute la compagnie fit semblant d’être étonnée de cette vision, exce
emets la partie qu’après demain matin, et laissez-moi faire. Toute la compagnie l’anima de telle sorte à son entreprise, que le p
iller, et qu’on vint les quérir l’un et l’autre pour aller joindre la compagnie qui allait se mettre à table ; et comme en pareil
; il lui en donna néanmoins des louanges, mais plus modérément que la compagnie qui les outrait. Son écuyer n’en fut pas content,
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
son épouse en parlèrent les premiers à table en soupant, et toute la compagnie y ayant applaudi, la duchesse de Médoc en prit oc
plaudi, la duchesse de Médoc en prit occasion de faire connaître à la compagnie l’empressement où elle était de voir sa bonne ami
rès le départ du courrier, témoigna en être fort content, et toute la compagnie qui eut les mêmes sentiments, en fit des complime
voulait pas non plus abandonner Silvie qui avait résolu de lui tenir compagnie , et toute cette belle troupe fixa son départ à qu
endre par celui qu’on avait mis en sentinelle sur le chemin. Toute la compagnie , et surtout la duchesse, était fort aise de parle
r pour le moins, j’y mettrai bon ordre. Ils en étaient là, lorsque la compagnie , qui n’avait pas jugé à propos que la première sc
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
e de lui offrir un asile dans son château, tant pour elle que pour sa compagnie  ; ce que la Française ayant accepté, alla prendre
mort à souhaiter ; la marquise pria Eugénie de souffrir qu’elle tînt compagnie à Sainville, et la tante de Silvie lui fit trouve
e à Sainville, et la tante de Silvie lui fit trouver bon qu’elle tînt compagnie à sa nièce ; de sorte qu’il ne vint avec la comte
ier dont les civilités bachiques lui plaisaient plus que la meilleure compagnie , outre que n’ayant pas tout à fait tenu parole à
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
armer, et reviens sur tes pas, comme si tu te promenais, rejoindre la compagnie que j’ai rassemblée proche d’ici. Je ferai report
ses amis pour ne les pas voir avec plaisir, puisqu’ils étaient de sa compagnie . Le sage enchanteur renchérit sur les assurances
seulement à la manière de l’Ordre ; mais puisque vous voilà si bonne compagnie , poursuivit-il, il faut dégarnir mon office. Holà
fourrait toujours son nez partout, pria Parafaragaramus de leur tenir compagnie , et l’enchanteur lui répondit qu’il était jeûne p
le. Jamais étonnement ne fut égal au sien. Eh bien, dit-il à toute la compagnie , voyez ce que c’est que la force des enchantement
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
qu’il ne l’avait encore été. C’était la veille du départ de toute la compagnie du château de la Ribeyra ; et comme le curé du vi
ne le sont guère, et d’autres qui ne le sont point du tout. Toute la compagnie se faisait un plaisir d’augmenter l’embarras de S
ucement de peur d’interrompre son maître qui parlait, et que toute la compagnie écoutait avec beaucoup d’attention. La suite de s
en un moment rouge comme du feu, et ensuite pâlit de colère. Toute la compagnie riait à gorge déployée. Sancho, qui vit que sa ma
u de respect d’avoir mal à propos interrompu un discours que toute la compagnie écoutait avec plaisir. Sancho avoua qu’il l’avait
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
il est juste qu’avant que de nous quitter, pour vous remercier de la compagnie que vous avez bien voulu me tenir depuis deux ans
et si soumise me déconcerta, mais ne me rebuta pas. Je lui parlai des compagnies et du jeu, comme un jaloux jusques à la brutalité
ur parler de tout ; achevez l’histoire de Monsieur de Jussy, toute la compagnie vous en prie. Lui voyant, poursuivit Des Frans, d
r après la messe, et après avoir fort bien soupé, nous prîmes tous de compagnie le chemin de cette paroisse. Ce fut là que Jussy
souper chez elle, et y vinrent en effet le soir. Ils trouvèrent bonne compagnie parce que Jussy avait envoyé quérir ses deux frèr
’autre. Nous soupâmes fort bien et avec joie, on chanta ; et comme la compagnie était assez nombreuse, on envoya chercher des vio
un fort honnête homme. Très volontiers, Madame, lui dit-il, et si la compagnie le veut bien, chacun en va être instruit. Tout le
ondé parut à la porte de la salle. Il alla au-devant d’elle, toute la compagnie se leva, et lui fit civilité. Eh bien, Madame lui
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
, notre amitié se redoubla. Je quittai les Mousquetaires, et pris une compagnie dans le même régiment que lui, et nous fîmes deux
pas à bout. Au contraire elle ne fit qu’augmenter la curiosité de la compagnie  ; et comme cette lettre était un peu forte et qu’
elque part ensemble. J’étais fort aise de le faire expliquer en bonne compagnie , ainsi je lui dis sans façon que j’avais des affa
z mal vêtu, mais en courrier, et que je reconnus pour avoir été de ma compagnie , m’en instruisit. Il me donna la lettre que voici
rtit en effet le même jour. Heureusement il avait été sergent dans ma compagnie , et comme il m’aimait, il agit de cœur ; mais n’é
ademoiselle, continuai-je, m’adressant à Clémence, prenez congé de la compagnie . Elle le fit par une fort grande révérence. Je ve
oire mieux que je ne suis en effet. Cette histoire donna matière à la compagnie d’une assez longue, et fort bonne conversation, p
de Terny devaient aller souper à Versailles, ils prirent congé de la compagnie , et partirent. En vérité, dit Madame de Contamine
ngey et moi avons dit ensemble, et nous tourner en ridicule devant la compagnie  ; mais… Je ne le prétends pas, reprit cette dame
-elle en faisant semblant de se lever, je vais montrer l’exemple à la compagnie de ne pas servir de prétexte au souper que vous d
12 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
longtemps que nous sommes prêts, mais les ordres de la Cour et de la Compagnie que nous attendions, et ensuite les vents contrai
ue nous sommes partis de France, mais Dieu nous protège ; en effet la Compagnie a trop perdu l’année passée pour que sa justice n
point la raison, mais je crois que c’est qu’étant bon serviteur de la Compagnie il n’a rien voulu acheter au prix excessif que le
nt. C’est un fort honnête homme, point façonnier, bon serviteur de la Compagnie , c’est un plaisir d’avoir affaire avec des gens d
n, j’ai pourtant sujet de m’en plaindre. Il n’y a que l’intérêt de la Compagnie qui puisse m’empêcher de lui vouloir du mal, il m
on donne à l’équipage de celle du fond de cale. Si j’en étais cru, la Compagnie ferait la dépense d’une trentaine d’aunes de toil
n que l’autre, afin de nous tenir comme dit la chanson bonne et douce compagnie . Du mardi 30 [mai] Toujours bon vent cause
us sommes. Ce n’est point à moi à trouver à redire aux navires que la Compagnie envoie aux Indes mais il me semble qu’il eût été
e matin une dorade qui leur a donné à manger quoiqu’ils fussent bonne compagnie . Ce poisson est fort beau à voir et encore meille
it-on la plus grande île du monde et la plus peuplée. Messieurs de la Compagnie y ont eu autrefois une habitation et un fort qu’o
lacourt qui y a été longtemps gouverneur pour Messieurs de l’ancienne Compagnie et pour Monsieur le Maréchal de La Meilleraye en
s sommes dans le navire Le Coche, appartenant aussi à Messieurs de la Compagnie , qui disent qu’ils ont fait ce qu’ils ont pu pour
lle livres de marchandises outre ses provisions. Quoique le Roi ni la Compagnie ne profitent pas de sa perte, et qu’au contraire
, fils de Monsieur Le Mayer directeur des affaires de Messieurs de la Compagnie à l’Orient, qui n’a pas plus de treize ans et dem
r les mêmes endroits, et beaucoup d’argent pour payer les gens que la compagnie hollandaise y emploie. Je ne vous dit mot de ses
issement fait par Monsieur Martin directeur général du commerce de la Compagnie dans les Indes ; et qu’il n’y avait plus que seiz
y être noyé étant une fois tombé à la mer. Je ne sais pas pourquoi la Compagnie n’y fait pas faire un quai, cela épargnerait le c
labar, lequel ces Pères avaient converti, et qui était marchand de la Compagnie . Comme elle est fort à la bienséance des Jésuites
nt que rarement. J’ai vu de fort beaux chevaux qui appartiennent à la Compagnie , petits effectivement mais bien faits et portant
en ont aussi à proportion de leur rang, et il est de la dignité de la Compagnie de l’augmenter bien loin de le diminuer, les Orie
e cinquante-six ou cinquante-huit ans, homme d’ordre, bon sujet de la Compagnie , honnête, affable, tenant tout son monde dans le
rançais, dont je sais ceci, nommé Monsr. de Saint-Paul officier de la Compagnie , s’y trouva ; sa présence ne les empêcha pas de p
’honneur de la nation qui y oblige. Un des principaux officiers de la Compagnie dans ce pays-ci m’a dit que son devoir et l’intér
aussi. Du lundi 11e. [septembre] Le sieur Pellé directeur de la Compagnie à Balassor est arrivé ici à midi avec les chaloup
de coups. Nous resterons deux mois à la mer plus que Messieurs de la Compagnie ne croyaient. Du moins les écrivains ont donné au
e et que nous sommes proche de terre. Nous étions six navires hier de compagnie  ; nous ne sommes plus que deux, le Florissant et
lais, qui ressemble plutôt à un palais qu’à une maison ou comptoir de compagnie  ; mais elle commence à tomber en ruine faute d’êt
ême des Portugais qui y sont habitués*. La guerre d’Europe empêche la Compagnie française de faire à présent aucun négoce par mer
e dans l’Est à vingt-cinq lieues de l’autre, laquelle appartient à la Compagnie et dans laquelle le Roi entretient un gouverneur.
et un vaisseau seul fait beaucoup plus de chemin que lorsqu’il est en compagnie car il fait route directe sans attendre personne.
s venaient de la flûte prise à Ceylon, sont allés cette après-midi de compagnie à l’autre monde, l’un hérétique, l’autre idolâtre
rejoints vers le cap de Bonne-Espérance et sont venus jusques ici de compagnie . Il faut être ce que nous sommes les uns aux autr
rt Saint-Pierre vers les dix heures du matin vingt-trois bâtiments de compagnie tant gros que petits. Il y en a huit de guerre, q
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
intérêt, parce que son père à elle avait été cornette de la première compagnie ou de la mestre de camp du régiment de Dupuis, et
si proche de Madame votre mère ; et supposé que je regrettasse ici la compagnie d’un amant, vous êtes d’un ordre trop élevé, pour
r m’obliger d’attendre son retour, ne voudriez-vous pas bien me tenir compagnie . Je n’ai rien à vous dire, Monsieur, et je ne voi
, et ne donna jamais matière à la médisance. Lorsqu’il la trouvait en compagnie avec les gens du logis, il y restait sans aucun e
espect, et ce n’était pas le moyen de réussir que de n’avoir point de compagnie . Sa fille de chambre n’était pas pour tenir contr
Mademoiselle de Vougy qui demeurait toujours près d’elle, lui tenait compagnie . Cette dame avait marchandé deux lustres de crist
’était pas accordée de prix avec le marchand. Elle n’avait pour toute compagnie que sa demoiselle, son écuyer, un page, et deux v
ventures, et qui avaient rendu témoignage de sa conduite, lui tinrent compagnie avec Contamine. Mesdemoiselles Dupuis et de Vougy
le respect ; la prière qu’il lui faisait de ne me point quitter ; la compagnie des filles avec qui je mange, qui ne m’ont point
Des Frans et Dupuis en même temps, et en riant. Ils trouvèrent bonne compagnie , on les gronda de s’être fait attendre. Dupuis, a
14 (1721) Mémoires
’est ce qui l’obligeait à autoriser les violences de cette formidable compagnie , ou du moins de se boucher les yeux sur leurs ent
devoir le donner ici en propres termes. Le voici : 13. Quoique cette compagnie (il parle des Jésuites) soit la dernière en date
ivent faire craindre à tout prince souverain le ressentiment de cette compagnie , qui subsistera pourtant tant qu’elle suivra les
asser les peaux, et qui sont si belles, si pures et si bonnes, que la Compagnie Française de l’Acadie, dans laquelle pour mon mal
n de la France, un scélérat qui avait été banni et proscrit par cette compagnie dont à tout moment il violait les privilèges, aus
assoupie : Qu’il a fait tout ce qu’il pouvait faire pour avilir cette compagnie en introduisant dans son corps des membres indign
ignes, et même en lui ôtant la qualité et le titre que cette illustre compagnie avait reçus de nos rois prédécesseurs de Louis XI
ans ce jardin seul, parce que le cardinal l’avait prié d’y aller sans compagnie , afin, disait-il, de savoir de lui-même sans cons
it tout d’un coup d’oeil combien il devait être revendu. Une règle de compagnie en décidait. Ces achats fournissaient aux laboure
archand, ni qu’il ait été intéressé sur aucun vaisseau ni dans aucune compagnie de commerce, ou s’il l’a fait, comme dans la comp
ni dans aucune compagnie de commerce, ou s’il l’a fait, comme dans la compagnie des Indes Orientales, ç’a été uniquement dans la
ecrétaire d’Etat de la Marine, prêta à Monsieur de Chevri, chef de la compagnie de l’Acadie, ceux de ces mémoires qui regardaient
s et fit tant de brigues que Louis accorda le domaine du Canada à une compagnie , et sur une autre remontrance que M. Colbert lui
Europe. Je dînai avec lui et y soupai deux fois en bonne et nombreuse compagnie devant laquelle il rapporta les choses dans les m
même vaisseau je me fis un plaisir de la lui faire confirmer en bonne compagnie . 125. Comme ceux qui pourront lire ces mémoires n
ées, il arriva et lui demanda en riant ce qu’elle faisait en si bonne compagnie . Elle lui dit de quoi il s’agissait quoiqu’il le
ouvant se faire sans plusieurs associés, c’était à lui à en former la compagnie , mais qu’il était juste aussi que celui qui en av
souvent ce donneur d’avis n’avait pas assez de crédit pour former une compagnie , et M. Colbert la formait par le moyen de celui q
dans de l’écusson : Poterit etiam suspensus ferre medelam. Lorsque la compagnie eut dîné, on vint revoir ce modèle, tout le monde
naissait parfaitement bien M. de Brissac, mais le voyant en si grande compagnie de gens armés de mousquetons, de pistolets et de
et plus à chaque porte suivant la grandeur des lieux. Il offrait une compagnie solvable pour caution et présentait au Roi douze
r à tout lecteur dans quel embarras était cet homme en présence de sa compagnie et de quantité de gens qui s’étaient assemblés, e
upériorité, de commerce et de mauvaise foi, qui est la moelle de leur compagnie , leur forment [sic] partout des scélérats que le
le m’en chercha un prétexte honnête. Il se forma dans ce temps là une compagnie sous le nom de Pêche sédentaire de l’Acadie dont
s en 1682 avec Bergier, chef de l’entreprise. Le Roi avait donné à la compagnie quarante lieues d’étendue de terre sur les côtes
gnelay. Ainsi, en ayant encore le goût tout récent, j’en entretins la compagnie , et mon récit acheva de déterminer La Boulaye à y
e coûterait rien, et elle me coûta tout ce que j’avais mis dans cette compagnie . J’ai dit que Bergier avait pris en 1684 les barq
irent les vaisseaux qu’ils y trouvèrent dont trois appartenaient à la Compagnie , arrêtèrent tout le monde, et entrant dans le gol
. J’y ai vu ce chevalier qui, sous le nom de Haute-feuille, avait une compagnie d’infanterie, et qui était regardé comme le derni
qui était regardé comme le dernier des malhureux. Cétait là une digne compagnie pour La Boulaye. Que M. Crozat prenne exemple là-
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
de prendre l’air, étaient montés dans sa chambre avec le reste de la compagnie , et firent partie en sa présence pour aller le le
mporta contre les femmes d’une manière terrible, et fit rire toute la compagnie qui l’écoutait, et surtout la duchesse qui n’en p
ui et d’attendre qu’il fût armé ; sans cela il aurait trouvé toute la compagnie qui écoutait à la porte. Elle se retira quand ell
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
us passâmes devant un limonadier où je voulus la faire entrer avec sa compagnie  ; elle ne le voulut pas. Vous n’êtes point à jeun
s qu’étant de ses voisins, je venais passer la soirée avec elle et sa compagnie . Il ne faisait pas assez beau pour aller se prome
s, c’est-à-dire, elle, sa tante et ses trois voisines, qui étaient sa compagnie ordinaire, et nous allâmes nous promener hors de
prison ; on dit que vous vous aimiez tant, que vous vous seriez tenu compagnie jusqu’à la mort ; et que vous auriez été unis tou
hacun avoua qu’il avait raison. On fit collation, pendant laquelle la compagnie s’entretint de ce qu’elle venait d’entendre ; et
soins. Elle n’aimait pas la cohue ; ainsi elle se retrancha dans une compagnie petite, mais choisie, qui s’assemblait presque to
ais fort aise qu’elle se divertît, et pour cela je l’engageais à voir compagnie , bien loin de m’y opposer, et dans notre particul
J’avais résolu de l’enfermer avec Silvie, mais il me semblait qu’une compagnie comme elle, aurait été d’un trop grand soulagemen
de près de quatre mois, mais aussi parce que je l’avais forcée à voir compagnie malgré son inclination. Il me fit voir la nécessi
conseil d’une femme était bon ; suivons celui de la mienne. Toute la compagnie se leva, et alla faire un tour dans le jardin, po
aux domestiques de mettre le couvert : et pour mettre la joie dans la compagnie , Madame de Contamine chanta la première, et les a
e voulait engager aucune conversation qui eût rapport à son frère. La compagnie se sépara fort tard, et promit de se trouver le l
oi donner le temps qui nous reste au soin de la réception de la belle compagnie qui nous doit venir demain. Vous jugez bien, pour
soupirs ; et enfin elle ne se termina que par un déluge de larmes. La compagnie qui survint le retira de ses rêveries, et comme D
ient légitimes. Madame de Contamine seule, pour commencer à mettre la compagnie de bonne humeur, feignit de ne les pas recevoir,
e, qui ne se passa pas sans rire à gorge déployée, inspira à toute la compagnie cette pointe de joie qui fait tout le plaisir de
t fait aucune difficulté d’y venir. Ils furent fort bien reçus, et la compagnie étant complète, on dîna avec toutes sortes de pla
t de plaisir. Madame de Londé et l’aimable Dupuis prirent congé de la compagnie sous prétexte d’une visite, et promirent de reven
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
sse dans laquelle j’étais abîmée ne me permettait pas de voir d’autre compagnie  ; je la regardais comme une parfaitement honnête
e je périrai, mais je ne périrai pas seule, et votre époux me tiendra compagnie  ; c’est à vous à voir si vous voulez m’abandonner
u’à sa mère l’endroit où elle allait, n’emmenant avec elle pour toute compagnie qu’une fille pour la servir, et Madame sa tante,
e la partie, et y ayant consenti, nous montâmes en carrosse quatre de compagnie , c’est-à-dire la marquise, Sainville, une femme d
Silvie ne voulant pas que Deshayes qui la suivait, la trouvât dans la compagnie de Sainville, la marquise et elle l’ont forcé de
18 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
er ; et étant assez grand pour prendre un mousquet, il me mit dans la compagnie d’un de ses bons amis. Mon père voulut, qu’avant
r aussi tranquillement que dans un bon lit, sans songer pas plus à ma compagnie , que si je ne l’avais jamais vue. Je ne voulais r
reste je menais la vie d’un franc libertin, et pour me retirer d’une compagnie si méchante, j’avais besoin qu’elle se dissipât.
e ne fus retenu de le faire dans le moment, que par la présence de la compagnie qui se dissipa en peu de temps. Tout le monde sor
pêcher de vous raconter une aventure bouffonne qui m’arriva dans leur compagnie , chez cette même sage-femme. Nous revenions quatr
’a mis dans le bon chemin, qui [a achevé] de me retirer des mauvaises compagnies , et enfin qui m’a tout à fait rendu honnête homme
n parla d’une veuve, qui sans être remariée, était devenue grosse. La compagnie était assez nombreuse : chacun en dit ce qu’il en
ourd’hui c’est, dit-il, une veuve qui savait par expérience ce que la compagnie d’un homme peut produire. Belle raison pour lui m
justice il mériterait d’être regardé partout avec horreur ? Toute la compagnie me regardait ; et les dames surtout me savaient b
que vous lui refusez, voulez le faire déclarer infâme. Comme toute la compagnie était de mon sentiment, et que la confusion de ce
usés. Je ne vous dirai point les remerciements qu’elle fit à toute la compagnie , et à moi en particulier, son amant lui ayant dit
et je lui ai l’obligation de m’avoir absolument retiré des mauvaises compagnies . Je trouvais avec elle toute l’ardeur et l’emport
ns nos débauches secrètes, et que lorsque nous nous trouvions dans la compagnie de ce qu’on appelle honnêtes gens, nous nous cont
qui vous regarde, et qui va pleinement justifier dans l’esprit de la compagnie , la mémoire de la pauvre Silvie. Je trahirai le s
nglots redoublés de Des Frans, qui furent secondés de tous ceux de la compagnie . Silvie y fut pleurée par tout le monde. La mort
tant pour faire diversion à la douleur de Des Frans qu’à celle de la compagnie . Tant d’événements fâcheux coup sur coup changère
cherché que la solitude ; mon chagrin et des livres ont fait toute ma compagnie  ; mes amis même, avec qui j’ai rompu tout commerc
isage plus gai. Cela est surprenant, lui dis-je, car ordinairement la compagnie d’un homme ne fait qu’embellir une femme. Il est
oins n’est-ce que parce que je l’aime beaucoup, que je me prive de sa compagnie . Si un autre qu’un mari, lui dis-je, me contait u
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
envoyés sur les roues en attendant que le reste leur fût envoyé pour compagnie . Après cela le lieutenant partit, et emmena son g
ur cette matière, il prit la parole, et après avoir remercié toute la compagnie en général du soin que chacun en particulier avai
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
ble Française avait adressé la parole, la remercia au nom de toute la compagnie de la peine qu’elle s’était donnée ; il l’assura
chotte, je ne dois point avoir d’autre volonté que la vôtre. Toute la compagnie alla voir la marquise, Silvie et les malades ; il
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
is, et avoir la bourse bien garnie ; outre cela, ils le crurent de la compagnie de celui qui venait de se défendre si bien contre
se défendait autant qu’il pouvait. Il est certain que Don Pedre et sa compagnie ne savaient s’ils avaient à faire à des hommes ou
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
ailleurs ; mais il n’en était pas le maître, et il fallait suivre la compagnie . Il s’y résolut néanmoins, parce qu’il ne pouvait
ne des femmes de France des plus sages et des plus retirées. Toute la compagnie ayant prié Sainville de commencer son récit, il l
23 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
je romps si promptement visière à la civilité, en ne vous tenant pas compagnie . Vous être le maître, dit Des Ronais, mais tout a
s Frans ; allez, Monsieur, poursuivit-il, en s’adressant à Dupuis, la compagnie d’une maîtresse est toujours plus agréable que ce
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
et l’ayant pris par la main, il l’emmena dîner où tout le reste de la compagnie les attendait, et Sancho les suivit. Ce fut là qu
mon épouse, où Madame d’Albuquerque et les autres dames lui tiennent compagnie et l’admirent. Don Quichotte qui avait l’idée rem
25 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
cret fut caché. Elle devint tout d’un coup retirée ; elle s’exila des compagnies , et ceux qui voulurent la voir, furent obligés d’
is fort proprement masqué entra dans la salle, où il était avec belle compagnie , et lui présenta un momon de cinquante louis d’or
favorisé ; il faut donc que ce soit un grand plaisir que celui de la compagnie d’un homme. La curiosité porte à en goûter ; les
oiselle Grandet pour lors veuve, et Madame de Contamine vinrent tenir compagnie , et je retournai chez elle, où j’avais laissé Mad
llai d’aller passer ce temps-là chez elle parce que j’espérais que la compagnie qu’elle y verrait, et surtout l’esprit jovial de
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
ite fille. Ecoute, Sanchette, lui dit sa mère en présence de toute la compagnie , Madame la duchesse veut te marier avec ce jeune
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
et Eugénie emmenèrent la marquise et Silvie dîner avec le reste de la compagnie auprès du lit de Valerio. Le duc d’Albuquerque as
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
crier votre nièce et votre gouvernante, et vous n’aurez point d’autre compagnie que le barbier, maître Nicolas et Monsieur le cur
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
cela elle l’embrassa et le supplia de vouloir bien lui prescrire les compagnies qu’il voulait bien qu’elle vît, l’assurant que to
tes elle se dispensa peu à peu de rendre des visites et se retira des compagnies qui venaient chez elle, en sorte qu’elle se retra
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
mais que ses chagrins et ses affaires l’éloignant de toutes sortes de compagnies , elle n’avait jamais fait semblant de s’apercevoi
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
de Cléon, accepta ce qu’il lui présentait ; et enfin ils revinrent de compagnie dans leur demeure ordinaire. Le beau-père les obl
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
mot trois salopes à faire mal au cœur. Elles se levèrent sitôt que la compagnie parut, et sans regarder qui que ce fût, elles se
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