nt encore par tribus. Il ne leur est même pas permis de faire d’autre
commerce
, négoce ou métier, que celui de leur père. Si cel
commander ; & c’est avec eux que les Européens ont leur plus fort
commerce
. Il y a des banians, ou marchands, tellement rich
& toutes les inventions & stratagèmes des Français pour avoir
commerce
avec quelqu’une ont échoué à leur confusion. Les
détail de filles faciles. Ici, ce sont les hommes qui font cet infâme
commerce
; & il n’y en a aucun qui. pour une roupie, n
mes d’ici s’accommodent encore moins que celles d’ailleurs ; car tout
commerce
avec un mâle leur est interdit. Les Européens ne
officiers de la Compagnie, m’a dit que son devoir, & l’intérêt du
commerce
, l’ayant obligé d’aller à la cour du roi de Golco
qu’il y a huit cents hommes de garnison. On appelle cela assurer son
commerce
: c’est qu’ils l’entendent, & que la France n
y règne à présent, voyant que le royaume se dépeuplait par le peu de
commerce
que les hommes avaient avec les femmes, qu’ils mé
e ne manque ni de cœur ni d’esprit ; & que, sans ses travers, son
commerce
serait assez agréable. Qu’il en soit ce qu’il vou
n’ai pas eu tort de dire t. I, p. 339 & suivantes qu’elle tend au
commerce
universel. Ce tour, qu’elle a joué aux Anglais en
n’était pas si scrupuleux. La guerre d’Europe préjudicie bien fort au
commerce
des Français dans les Indes, parce que la Compagn
eurs véritables intérêts. Ajoutez à cela que notre nonchalance sur le
commerce
, & le peu d’intelligence de ceux qui en ont e
en fait déjà l’État du monde le plus riche. Ce n’est pas seulement le
commerce
de la Hollande qui a abattu le nôtre : c’est nous
ai l’idée avec d’autant plus de plaisir que sa décision influe sur le
commerce
, & que le lecteur en pourra tirer les conséqu
ire. Rupli était Arménien, natif d’ErzeruM. Il avait lié amitié &
commerce
avec Tavernier, baron d’Au-bonne, fameux voyageur
fs les frauduleux. C’est par là qu’il faut commencer pour rétablir le
commerce
intérieur du royaume ; &, à l’égard du commer
pour rétablir le commerce intérieur du royaume ; &, à l’égard du
commerce
extérieur, que le roi fasse ce qu’a fait Philippe
e des nations qui aurait tort & qui aurait commencé la noise, son
commerce
serait interrompu sur toutes les terres qui sont
cieuse de ce prince étant que les Européens ne venant ici que pour le
commerce
, ils observent exactement entre eux la paix &
engale, & dans tous les autres endroits des Indes où pour lors le
commerce
de la Compagnie florissait & était établi sou
était l’homme de France qui connaissait le mieux de quelle utilité le
commerce
était au royaume. Les différents voyages que M. M
ille des États du Mogol. parce que c’est le centre de presque tout le
commerce
des Indes. Il prenait son temps que le Mogol n’ét
s seulement aux Indes pendant deux ans, nous ruinerions absolument le
commerce
& la réputation des Anglais & des Holland
t hollandais. Je ne sais si cela est pardonnable à une nation dont le
commerce
est en effet l’unique divinité ; mais je crois qu
raves pour rendre cette opinion probable ? Malheureux, par rapport au
commerce
, tous les autres peuples chrétiens, & surtout
ue ce soit d’honnêtes gens n’avait voulu ni la recevoir ni entretenir
commerce
avec elle ; qu’elle avait nettement refusé d entr
ailleurs ; & il n’y a que cette maudite race qui fasse cet infâme
commerce
de chair humaine. Il y a des banians, à Surate, q
en Europe, mais pour empêcher aussi que ses établissements & son
commerce
dans les Indes soient troublés, bien loin de cont
. Que j’avais eu raison de remarquer que la Hollande voulait par son
Commerce
, & sans effusion de sang, faire plus finement
si corrompue ; mais il en est devenu plus esclave : et par rapport au
commerce
, qui ne se ressent en rien des crimes de ceux qui
fin, si utiles à la République, que non seulement elles mettaient son
commerce
en sûreté dans les Indes, mais aussi mettraient u
emarqué vous-même quand vous avez dit qu’il était facile de ruiner le
commerce
des Hollandais. Oui, sans doute, il est facile, &
tales, feront plus de tort aux Hollandais & aux Anglais dans leur
commerce
, en moins de quatre ans, que trente années de gue
Hollande qu’à Batavia, c’est-à-dire dans les Indes, en y ruinant son
commerce
, à quoi les armateurs réussiront mieux que des ar
mp; parfaitement bien intentionné ; mais c’est qu’il est intendant du
commerce
, & qu’étant intéressé dans la Compagnie, s’il
vous ; mais aussi parce que la matière le mérite, & qu’il aime le
commerce
; persuadé, aussi bien que feu M. Colbert son pèr
& non pas d’objet. Ils font seuls autant de tort pour le moins au
commerce
de la Compagnie des Indes que toutes les nations
es Hollandais je ne connais que les jésuites qui fassent le plus fort
commerce
des Indes, & le plus riche : il surpasse celu
jésuites est toujours le même, & ne change point, surtout pour le
commerce
. Outre le gain qu’ils font dans les Indes, ils en
ofit pour la Société, les ayant de la première main. Que cependant ce
commerce
, tout considérable qu’il était, était tellement c
personne ne s’était vu en état de le prouver en France, à qui seul ce
commerce
faisait tort. Les autres nations, qui en tiraient
tion du nombre des navires. Qu’il en avait pris droit pour prouver le
commerce
indu que ces pères faisaient dans les Indes, &
e convertir ces banians, ils les suivent partout, et font avec eux un
commerce
d’autant plus riche qu’il est sourd, et, preuve q
aller à Madras, où ils sont encore. Cela seul ne prouve-t-il pas leur
commerce
, & en même temps leur criminelle intelligence
e. Ils ont trouvé, pour dérober à tout le monde la connaissance de ce
commerce
de diamants, un secret, sur lequel je crois que l
isme en cachette pour les mystères, et publiquement pour la foi, sans
commerce
avec les idoles, c’est-à-dire sans mettre le pied
res n’ont pas osé attaquer les jésuites dans leur trafic ou dans leur
commerce
: la Société est trop puissante & trop riche
qui est la seconde raison, que j’ai dit que le bon sens dictait ? Le
commerce
des jésuites est certain : on en connaît une bonn
cette vindicative Société a trouvé le secret de se faire craindre. Le
commerce
des missionnaires est très caché, supposé qu’ils
aux missionnaires, qui peut-être appréhendent que s’ils parlaient du
commerce
des jésuites, ceux-ci ne parlassent du leur, &
ndais, ardents à nuire de toute manière à notre nation, & à notre
commerce
, nous rendent suspects à tous les souverains d’ic
ut où elle pourrait s’établir dans les Indes, & faire tort à leur
commerce
, qu’ils portent partout. Après tout, a continué M
out, a continué M. Martin, voilà l’obligation que la France & son
commerce
ont aux jésuites ; mais n’en déplaise aux mission
le, comme vous voyez, monsieur, en homme instruit & porté pour le
commerce
, & en très ignorant théologien. Aussi, la thé
voir pas beaucoup. Ils savent à mon sens la science du monde & du
commerce
. Ils connaissent parfaitement l’un & l’autre,
ofit. Ils ont passé dans l’alambic la science du monde & celle du
commerce
, & en ont tiré la quintessence. En voici la p
ut-être aurais-je lié avec eux quelque intelligence pour réveiller le
commerce
à SiaM. Du moins j’y aurais fait mes efforts, &am
jésuites ne sont conduits dans le Canada, & ailleurs, que par le
commerce
& le plaisir des sens, & nullement par le
de tout ce qui se passe ici. Feu M. Colbert, son père était celui du
commerce
: &, s’il avait les mêmes inclinations, il au
cinquante mille écus qu’elle m’a mis en main m’ont fait jeter dans le
commerce
, où je fais assez bien mon compte pour ne point r
crétion & n’a jamais trahi sa confiance par sa langue. J’étais en
commerce
d’amourette avec la procureuse, assez belle &
, pourtant, s’en laissa donner pour neuf mois par le maître. Ce petit
commerce
dura dans le domestique jusqu’à ce que la poire f
ais qui sont habitués parmi eux, lesquels, malgré les défenses, ayant
commerce
avec leurs parents & leur nation, les informe
amp; unique ministre qui eût véritablement connu de quelle utilité le
commerce
était à la France. Je passe là-dessus, & ne p
ieures au trou, & Caumont tirait le gibier de la sienne. Ce petit
commerce
avait duré quelque temps : mais le diable qui se
ai ensuite, elle me parut satisfaite, et me pria de lier avec elle un
commerce
pour nous donner l’un à l’autre tous les airs nou
autre tous les airs nouveaux que nous pourrions apprendre. Je liai ce
commerce
, et sous ce prétexte il n’y avait point de jours
et plus que je suis hors du royaume, je suis instruit de tout par le
commerce
de lettres que j’ai toujours eu avec Mademoiselle
pas qu’il y ait au monde un plaisir plus grand que celui d’un pareil
commerce
. Nous le goûtâmes six mois sans troubles, sans cr
uil, en montrant qu’elle seule avait fait toutes les avances de notre
commerce
. Je montrai toutes ses lettres, je dis la vérité
dans la dévotion. Le bruit de notre aventure était assoupi, et notre
commerce
de lettres n’était point soupçonné. La manière de
ut permis pour venger l’honneur qu’ils croient qu’on leur ôte, par le
commerce
qu’on peut avoir avec leurs femmes, ou avec une a
omprenaient pas, ni sa résurrection, ni comment ils avaient entretenu
commerce
ensemble pendant tant de temps, sans que personne
emporté avec eux et par les manufactures qui faisaient une partie du
commerce
du royaume que ces bannis volontaires ont porté c
oyaume que ces bannis volontaires ont porté chez nos voisins ; lequel
commerce
si florissant sous le ministère de défunt M[onsie
lui a eu succédé ; et en effet où cet homme aurait-il pu apprendre le
commerce
et le conduire, lui qui n’a jamais su que la chic
arbitre de presque toute l’Europe. La bonne foi y régnait encore, le
commerce
y était abondant et florissant ; l’officier et le
rces de mer ont été absolument ruinées à ne s’en remettre jamais, son
commerce
anéanti, ses richesses épuisées, ses provinces pi
ay son fils avait vécu, et cela parce qu’ils connaissaient le fond du
commerce
, et qu’ils étaient vraiment zélés pour l’honneur
yaume auxquelles on ne devait jamais toucher qui sont la religion, le
commerce
et la monnaie. 98. A l’égard de la religion, comm
supprimé qu’en 1685 environ deux ans après sa mort. 99. A l’égard du
commerce
, on peut assurer que jamais ministre de s’y est p
u’il ait été intéressé sur aucun vaisseau ni dans aucune compagnie de
commerce
, ou s’il l’a fait, comme dans la compagnie des In
naissent encore aujourd’hui que leurs ancêtres et eux ne doivent leur
commerce
par tout le monde, et par conséquent leurs riches
aperçus depuis leur premier établissement, s’étaient jetés du côté du
commerce
où leurs progrès étaient bien plus considérables.
uvelle ; qu’il en était de même entre la France et le Canada ; que le
commerce
qui se faisait de ce pays en France y apportait p
pays nous empêchaient d’aller chercher des buffles en Italie. Que ce
commerce
qui se faisait entre les Français européens et le
lement profitable aux uns et aux autres, en ce que ceux-ci n’ayant de
commerce
qu’avec l’ancienne France, et y apportant tout ce
nufactures du royaume et aux distillateurs d’eau de vie, outre que le
commerce
des deux étant ruiné, il en pourrait résulter dan
taché aux intérêts du Roi et du royaume, et par conséquent amateur du
commerce
, avait à sa dévotion quantité d’émissaires, march
la parole que j’ai donnée de prouver que ce n’est que le trafic et le
commerce
qui mènent les Jésuites dans le pays, et nullemen
que l’acabie de l’argent fût altérée parce qu’il voulait maintenir le
commerce
sur le pied qu’il était avec les autres nations.
as la valeur des espèces d’un jour à l’autre, ont achevé de ruiner le
commerce
avec les étrangers, ont attiré une infinité de ba
dès la pointe du jour, alla chez tous ceux avec lesquels il était en
commerce
et en relation, et s’assura de plus d’un million
entendît la subsistance d’une armée de terre, la marine et surtout le
commerce
à fond ; ce qui était absolument inconnu à M. de
e perdue de réputation chez les étrangers, et chez elle-même ; que le
commerce
a été absolument anéanti ; la Marine ruinée à un
ître, en quoi ils ne sont certainement point blâmables, entretiennent
commerce
avec leurs parents par la Suisse, Genève, etc. Ai
dant les espèces étaient fabriquées, mais ne paraissaient pas dans le
commerce
. On prétend que ce sont les mêmes que la banque d
u’il resta seul chez lui. Mais cela ne l’empêchait point d’entretenir
commerce
avec la mère de sa bru, qui était allée demeurer
grains appartenaient, et que c’était eux qui faisaient un si damnable
commerce
. Du moins on disait publiquement à Paris que Mada
r ici une aventure dont j’ai été témoin. Une affaire qui regardait le
commerce
m’avait obligé d’aller chez Monsieur Amelot, qui
r bien ne vient pas de la maltôte. Ils en ont gagné une partie par le
commerce
de mer, et par les prises qu’ont faites des navir
erre, permettez-en l’entrée à tous vos compatriotes, réservez-vous le
commerce
du dehors, facilitez celui du dedans. Ne souffrez
ouvent ne sont pas pour avoir cette bonne foi qui doit régner dans le
commerce
du monde. Ainsi, il faut que Crozat leur donne un
ue pures fables, et que leur esprit de domination, de supériorité, de
commerce
et de mauvaise foi, qui est la moelle de leur com
que. Je montrais ce qu’il fallait y porter pour leur nécessaire et le
commerce
. J’en bannissais l’eau-de-vie, et imposais même d
et sa place ayant été remplie par un homme aussi peu entendu dans le
commerce
que peu zélé pour la gloire du royaume, le tout s
r donner à meilleur prix que les Anglais pour anéantir peu à peu leur
commerce
avec Baston, capitale de la Nouvelle Angleterre.
er de ces peuples une obéissance aveugle ; qui leur ont interdit tout
commerce
avec les Anglais sans leur porter tout ce qu’il f
qu’ils leur vendaient. Leur dureté a obligé ces gens d’entretenir un
commerce
sourd par la rivière de S[ain] t-Jean avec leurs
ennemis, les pertes de la France, la pauvreté du peuple, la chute du
commerce
et la ruine entière du royaume, et les richesses
miers à rendre gorge. Que pour que cela fût fallait leur permettre le
commerce
de lettres avec qui bon leur semblerait, mais non
indignation pour elle est trop bien fondée pour renouer jamais aucun
commerce
avec elle. Voilà, Madame, ce que vous avez voulu
ec Deshayes avant mon mariage, et j’appris qu’ils avaient ensemble un
commerce
criminel depuis longtemps. Dispensez-moi, Madame,
s les miennes, nous nous sommes rendus notre parole sans cesser notre
commerce
. En effet qu’aurions-nous fait ensemble que nous
l me promit dix mille écus si je pouvais venir à bout de rompre votre
commerce
, et de vous mettre entre ses bras. Vous savez ce
ma vie. Tout le conseil qu’elle me donna ce fut de n’avoir jamais de
commerce
avec Deshayes, et de ne rien dire de ses actions
, vint m’y trouver ; mais ayant fortement résolu de n’avoir jamais de
commerce
avec un si méchant homme, je refusai non seulemen
ment que le proverbe qui dit qu’un jeune homme n’a jamais son premier
commerce
d’amour qu’avec une vieille ou avec une laide, es
mbre. Elle me recommanda le secret, je n’avais garde d’y manquer. Mon
commerce
avec elle dura plus de deux ans. Il est inutile d
l est inutile de vous dire ce qu’elle est devenue, mais pendant notre
commerce
, j’étais toujours fourré chez elle, à cause du pl
’en fusse, et lui qui ne soupçonnait pas qu’elle eût avec moi d’autre
commerce
que le plaisir de me faire jaser, était le premie
er sa croix de l’Ordre, surtout lorsqu’il venait la voir. Enfin notre
commerce
fut rompu parce qu’elle s’éloigna. J’achevai mes
rières là ne se font qu’à un moine qui n’ose pas lui-même déclarer le
commerce
qu’il a eu avec une femme ; mais à un homme comme
trouverez bon que je vous cache le nom. La manière honnête dont notre
commerce
a fini, la tendresse et la fidélité que nous avon
en changeant de voix. ) Pour moi, ajoutai-je, j’aurais toute sorte de
commerce
avec une femme qu’elle ne deviendrait jamais gros
garderai toute ma vie. La manière honnête dont nous avons rompu notre
commerce
, m’obligera de la considérer et de l’aimer éterne
, le mien est à vous : mais épargnons-nous les peines de cacher notre
commerce
et notre tendresse. Non, dit-elle, en m’embrassan
vive ne s’en est seulement douté. Enfin après cinq années entières de
commerce
, sans dégoût ni jalousie de part ni d’autre, et t
lle me dit, et qui très assurément n’aurait pas prêté la main à notre
commerce
. Silvie qui dans cet instant ne comptait que sur
donna assez d’occupation pour m’empêcher de chercher ailleurs. Notre
commerce
dura cinq ans et plus ; et pendant ce temps-là j’
ont fait toute ma compagnie ; mes amis même, avec qui j’ai rompu tout
commerce
, ne me regardent plus que comme un sauvage. La cr
s fait le comédien, comme vous avez vu, j’étais encore tout rempli du
commerce
que j’avais eu avec ma veuve, qui ne faisait que
en ait jamais rien su. J’ai cru au commencement qu’elle avait quelque
commerce
secret, et quelque amourette qui la rendait si fr
nquai point aux rendez-vous, la petite paysanne me plaisait. Ce petit
commerce
dura environ quatre mois, sans que Madame de Lond
r, et que je n’aurais jamais cru qu’une femme pût être si détachée du
commerce
des sens. Elle l’est, poursuivit-il, ce n’est pas
là la raison pour laquelle ils ne veulent pas que leurs femmes aient
commerce
avec d’autres qu’avec eux, pourquoi font-ils leur
avec d’autres qu’avec eux, pourquoi font-ils leur possible pour avoir
commerce
avec d’autres femmes que les leurs ? Ne devraient
qu’un savetier passe sa semelle ; vous ne devriez pas avoir assez de
commerce
avec les femmes pour savoir si elles sont bonnes
e avec cette liberté et ce dehors ouvert qui ne s’acquiert que par le
commerce
des gens de la première qualité. Cela me donna en
fini. Cela nous désespère, et Silvie est sur le point de rompre tout
commerce
avec vous. Il ne faut absolument point songer à c
venir à l’essentiel qui regarde ma conduite. Le fripon m’accuse d’un
commerce
secret et criminel avec Garreau : il veut même qu
andes, et c’est ce qui a donné lieu aux bruits qui ont couru de notre
commerce
; parce que Madame de Cranves m’ayant dit qu’elle
voir. Voilà ce qu’il s’attira par ses sottises en voulant pénétrer un
commerce
qui ne lui plaisait pas. Cela le rendit sage, il
u, et à peine me souvenais-je de l’avoir vu lorsque je suis entrée en
commerce
avec lui. Voyez même si la fourberie aurait pu se
es, je sortirai contente du monde ; et surtout ne me voyez plus. Tout
commerce
doit être rompu entre nous, je ne vous verrais qu
e dissiperont pendant votre absence. Nos lettres entretiendront notre
commerce
. Je ne prévois pas que ni vous ni moi, devions cr
dégoûtât de moi, et mes prières, qui l’ont fait résoudre d’entrer en
commerce
avec Rouvière ; et je vous jure qu’elle est la pr
ni l’autre en état de disposer d’eux, ils n’avaient osé déclarer leur
commerce
; et qu’ils avaient été obligés de faire exposer
ait qu’elle qui demeure ; afin qu’on ne soit point scandalisé de leur
commerce
. Qu’il n’y aille que peu ou point du tout pendant
pas de l’inquiétude où vous devez être de ce que je suis devenue. Le
commerce
que nous avons eu ensemble était trop criminel po
visage à sa femme, et se contenta de la prier de n’entretenir plus de
commerce
avec Verville, et de cesser de le voir. Elle le p
autrui. Verville s’était éloigné, et elle paraissait n’avoir plus de
commerce
avec lui ; mais son époux n’en fut pas plus indul
ù il avait appris que la Compagnie prêtât ses vaisseaux pour faire un
commerce
contraire au sien. En un mot, il le traita du hau
de planches fort minces de sapin rescié, et nous ne voulons point de
commerce
avec lui, ni qu’il sache rien du nôtre : et la mi
des d’amour, et avec lesquelles qui que ce soit ne voudrait entrer en
commerce
, à moins que le diable ne fût le maquereau de l’a
duite dans le Canada, je suis absolument persuadé que ce n’est que le
commerce
et le plaisir des sens qui les mènent si loin ; e
able des Hollandais dans les Indes. Cette nation, la plus attachée au
commerce
, et qui connaît le mieux ses véritables intérêts,
ies françaises périront, à moins que le roi n’abandonne absolument le
commerce
aux marchands. Les Compagnies en seront plus resp
commerce aux marchands. Les Compagnies en seront plus respectées, le
commerce
fleurira plus que jamais, le royaume s’enrichira
s commandaient les troupes ; mais, malheureusement, les compagnies de
commerce
sont réduites en France aux remontrances et mémoi
it de ses deniers sans intérêts aux marchands qui se jetaient dans le
commerce
de mer, pour leur faciliter les moyens de faire d
yens de faire des entreprises plus fortes. Ce prince prévoyait que ce
commerce
de mer ferait un jour la richesse de ses États, e
e que plusieurs souverains ensemble. Ce sage duc ne se mêla jamais du
commerce
que pour y maintenir la paix et l’union, et surto
chandise et le seul commerçant capable de soutenir et de gouverner le
commerce
; qu’il fallait y être élevé dès son enfance, pou
devrait être un exemple. Que le roi fasse la même chose, il verra le
commerce
fleurir de lui-même : ses sujets, et lui par cons
t passées, dans une maison séparée de celle de son mari, et n’a aucun
commerce
avec lui. Cela est conforme aux lois de Moïse, et
mouvement à tout et suit un autre chemin, plus subtil : c’est par le
commerce
universel. Il fleurit si bien chez cette nation q
a en Europe, on ne la détruira jamais tant qu’elle restera unie : son
commerce
des Indes la soutiendra toujours. C’est par lui q
s vassaux. Elle s’étend peu à peu dans les pays ; et sous prétexte du
commerce
, se rend grande terrienne. Qu’on relise ce que j’
écessités, que nous n’avons que par leur canal ? Et possédant tout le
commerce
, et par conséquent toutes les richesses du monde,
omme un hérétique, avec qui, par conséquent, il ne devait avoir aucun
commerce
; parce que cette divine infaillibilité lui aurai
que par la mort qui le surprit. Ses héritiers, gens plus attachés au
commerce
qu’à toute autre chose, songèrent à recueillir sa
mot c’était des ennemis d’autant plus dangereux qu’ils empêchaient le
commerce
et la sûreté, et qu’il n’y avait avec eux ni paix
is parlé qu’avec vénération de Silvie et de sa famille ; il avoua son
commerce
criminel avec cette femme, et fit entendre en ter
vous faire tenir mes lettres, et à me faire rendre les vôtres. Notre
commerce
est contre ses intérêts, peut-être suis-je folle
sses. On avait découvert qui était la religieuse qui facilitait notre
commerce
, on l’avait mise dans une chambre particulière. C
re, après toutes] les précautions qu’on avait prises pour rompre tout
commerce
entre elle et moi ; et en effet peu s’en fallut q
reste qu’il communiquait aux autres, en retirait sa subsistance ; le
commerce
fleurissait et rapportait des pays éloignés de qu
enne, puisque par des faits certains, on y voit établie une partie du
commerce
de la vie. L’histoire de Des Ronais fait voir que
lle avait si bien dissimulé ses vues, que Sotain qui croyait que tout
commerce
était absolument ruiné entre son beau-père, sa be
ors, et en un mot, qu’elle ne s’était point aperçue qu’elle eût aucun
commerce
avec personne ; mais qu’elle ne savait point auss
jouer chez elle. Nous y jouions très petit jeu, et seulement pour le
commerce
, et pour avoir prétexte d’y aller tous les soirs.
dès avant hier au soir, et qui m’a amenée : je ne voulais pas rompre
commerce
avec vous, puisque je n’en ai eu aucun ; mais je
se repentir de sa bonne foi. Je crois, comme je vous l’ai dit, que le
commerce
est innocent, mais le monde en parle, et cela doi
es de la robe, la manière dont il vit prouve assez qu’il a rompu tout
commerce
avec le sexe, et qu’il n’a en tête que sa vengean
un nouvel établissement fait par Monsieur Martin directeur général du
commerce
de la Compagnie dans les Indes ; et qu’il n’y ava
n gros de filles faciles ; ici ce sont les hommes qui font cet infâme
commerce
, et il n’y a aucun d’eux qui pour une roupie ne p
qu’un roi du Pégu, voyant que son royaume se dépeuplait par le peu de
commerce
que les hommes avaient avec les femmes qu’ils mép
forte dans les Indes que les autres nations à beaucoup près ; elle ne
commerce
que par terre ou sous pavillon et passeport portu
Grand Mogol donnerait congé à celle des nations qui aurait tort, son
commerce
serait interrompu sur le reste des terres qui dép
étant son intention que les Européens ne venant chez lui que pour le
commerce
, ils observent exactement entre eux la paix et la
restions deux ans aux Indes en guerre, nous ruinerions absolument le
commerce
des Anglais et des Hollandais et les perdrions to
eur pouvoir à se rétablir. Monsieur d’Eragny ayant enfin eu avis d’un
commerce
si infâme s’y est enfin opposé, et si on le conti
x convertis et des Anglais habitués lesquels ayant toujours entretenu
commerce
avec les Anglais malgré les défenses, continuent
, nous travaillâmes à faire un troisième. Il y avait longtemps que ce
commerce
durait sans éclat, et sans que qui que ce soit le
nommer, parce qu’elles sont toujours dans l’état de tentation par le
commerce
du monde, et qu’elles y résistent, au lieu que le
elle, qui nous étaient de sûrs garants de son consentement, si notre
commerce
éclatait d’une manière ou d’autre ; et qu’il cons
ttez pas d’y venir, et si vous ne venez pas en effet, je romprai tout
commerce
avec vous. À quoi bon tant de façons, poursuivit-
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