plus intraitable qu’un faquin de Gascon en place. D’un autre côté, le
commandeur
de Combes, qui avait pris possession du vaisseau
i qui avait été consommé, et en demanda à prendre sur l’Écueil, où le
commandeur
de Combes présent l’avait encore assuré le matin
e par mes ordres. Est-il pas vrai, monsieur, poursuivit-il parlant au
commandeur
de Combes, que quand vous vîntes prendre possessi
ui était en bon train. Je ne sais ce qu’Albus fit deux jours après au
commandeur
de Combes ; mais celui-ci se fit un plaisir de le
s pavois. Je me disposais à me retirer, parce qu’on servait, quand le
commandeur
me retint. Mon écrivain du roi, lui dit-il, vaut
rriblement choqué de l’incivilité de ce reçu, et du nom d’étapier. Le
commandeur
n’avait pas voulu que j’y allasse, et l’avait env
mière, de dresser mon rôle très sincère, de le faire certifier par le
commandeur
de Combes ; et de le faire viser et arrêter par M
, de bien nettoyer la chambre, et d’y brûler du vinaigre, afin que le
commandeur
de Porrières, que M. du Quesne nous amènera demai
n’est qu’une bête féroce : on va le voir. M. Blondel nous a parlé du
commandeur
comme d’un très honnête homme, qui nous empêchera
que sur tant de raisons, l’avis de M. du Quesne avait prévalu, et le
commandeur
son capitaine en second nommé. Il descendait pour
e dite : il est vrai que nous l’attendions. Il a amené avec lui M. le
commandeur
de Porrières. Après les premières civilités, il a
, vous avez perdu un bon capitaine et un bon père. Je crois que M. le
commandeur
de Porrières, que le roi vous donne et que je vou
bruit d’un coup de canon, et de toute la mousqueterie. Après cela, le
commandeur
a ordonné trois coups de canon, pour saluer la sa
aut ; mais je sois pendu si vous avez de la bonite, à moins que M. le
commandeur
ne l’ordonne : il est le maître ici, non pas vous
néral, qui nous en a fort aimablement remerciés. Après son départ, le
commandeur
a été dans sa chambre achever de faire ranger ses
M. de Glandêves de Porrières, dernier grand-maître de Malte ; il est
commandeur
de l’Ordre, et en porte la croix. Il est très bra
hui la vie d’un des chanoines de Boileau, boire, manger et dormir. Le
commandeur
a écrit toute la journée. Il me paraît qu’il est
e. Du vendredi 28 avril 1690 J’ai compté cet après-midi avec le
commandeur
: voici comment. J’ai apporté l’inventaire du vai
ni que les autres manquent du nécessaire. J’entends bien, a ajouté le
commandeur
, vous usez de prévoyance, sans compter sur la Pro
ils n’y entendent aucun mal. Ils avaient dès hier au soir demandé au
commandeur
la permission de le faire aujourd’hui ; cela est
nt et sont tous remontés avec le marguillier. Ils se sont adressés au
commandeur
; mais il avait été baptisé sur le Gaillard. Leur
à boire. M.de La Chassée lui a donné un bon coup d’eau-de-vie. et le
commandeur
lui a fait donner une bouteille de vin. Il l’a fo
. Tout le monde a été mouillé exprès, excepté les gens d’Église et le
commandeur
: mais ils étaient trop près du combat pour n’en
Après avoir changé de linge et d’habit, nous avons fait collation, le
commandeur
, M. de La Chassée, et moi. Le vin de Saint-Yago e
cela fait plaisir à tout le monde. Ensuite, on a tué le cochon, et le
commandeur
a pris ce temps pour aller se promener sur le pon
e sont presque égosillés à crier Vive le roi et à boire à la santé du
commandeur
. Nous étions à midi à huit degrés trente minutes
her La Fargue ; et je suis descendu dans la chambre du Conseil, où le
commandeur
jouait aux échecs avec M. de La Chassée. Je leur
tière fût dans sa chambre et qu’on ait empêché l’autre d’y entrer. Le
commandeur
l’avait promptement suivi, et lui a expressément
e manière s’y prendre. Je vous ferais mettre aux arrêts, lui a dit le
commandeur
, si je vous croyais capable de faire une extravag
: heureusement, le crâne qui est découvert n’est que peu offensé. Le
commandeur
a envoyé demander à Bouchetière son épée, celle d
tropique ; et nous l’avons peut-être passé à l’heure que j’écris. Le
commandeur
, les autres capitaines et le général ont dîné au
t venus dîner ici : M. du Quesne est venu avant les autres. Lui et le
commandeur
se sont amusés à jaser seul à seul, en faisant le
soin, le général m’a appelé. Écoutez, monsieur C..., m’a-t-il dit, le
commandeur
se plaint fort de vous ; je vous ai excusé ; il c
pris la bouteille. Est-il pas encore dans l’ordre, ai-je dit, que le
commandeur
et moi vous remerciions de votre entremise ; et p
rs : ils étaient dix ; et la troisième, la mienne, dans la chambre du
commandeur
, qui me l’avait prêtée. Nous n’étions que quatre
procès-verbal ? Il m’en a vingt fois parlé. Dites-lui, m’a répondu le
commandeur
, que son temps viendra après le dessert. Mais, su
scendu. Je suis rentré et une demi-heure après le valet de chambre du
commandeur
m’est venu dire que M. du Quesne me demandait. J’
oulait parler. Je l’ai ouverte : elle est de plain-pied, et lui et le
commandeur
y sont entrés. Combien avons-nous encore de bonit
pourtant, mon pauvre monsieur C..., acquitter ma parole, a repris le
commandeur
: j’en ai promis un à M. du Quesne ; et je vous p
endus dans la chambre du Conseil, et nous ont fait sortir de celle du
commandeur
, où nous sommes revenus, après que le Conseil a é
e rend pas sage. Tous ces messieurs sont retournés très contents : le
commandeur
l’est aussi. Il m’a dit en riant que j’étais fort
des autres, avec qui elles sont confondues. C’est le grand ragoût du
commandeur
, aussi bien que le lait que donne la seule vache
ure avec plaisir ; je l’ai appuyée de trois bouteilles de vin ; et le
commandeur
nous en a envoyé deux autres et de quoi déjeuner.
avons bu deux coups chacun : M. Le Vasseur nous tenait compagnie. Le
commandeur
, qui ne boit point de liqueur forte, en a pris un
l’avons tous embrassé de bon cœur. Dieu veuille que cela continue. Le
commandeur
est ravi de le voir revenu de ses égarements ; ma
Du mardi 13 juin 1690 Nous avons dîné aujourd’hui à l’Amiral, le
commandeur
, M. de La Chassée et moi. On ne peut pas plus rir
s mon sens quand il eut vu le personnage, et me promit d’en parler au
commandeur
. Autre bêtise de ma part, de ne le pas envoyer à
qu’il nous a envoyés, nous ont percés de part en part. La chambre du
commandeur
, et celle du Conseil, autrement la grande chambre
ement faire, et nous ne pouvions pas manquer en suivant les ordres du
commandeur
, à qui l’honneur est assurément dû : les autres a
n ce quêtant sur son lit, hors d’état de se lever, il a fait prier le
commandeur
d’entrer un moment dans sa chambre, et cela penda
auver son vaisseau : il mit, comme j’ai dit, toutes voiles dehors. Le
commandeur
crut qu’il ne songeait point à se brûler, puisqu’
ssé cette nuit. Il faut que l’occasion ait été vigoureuse, puisque le
commandeur
, qui n’en est pas à son apprentissage, dit que no
’il voulût y aller, il n’était pas de la prudence ni de la charité du
commandeur
d’engager dans une grande fatigue un bon officier
é à notre chaloupe. À peine avions-nous été partis de l’Écueil que le
commandeur
avait envoyé la chaloupe avec les mêmes ordres d’
té à souffrir les railleries qu’on lui en avait faites à sa barbe. Le
commandeur
a ajouté qu’il l’avait cru tout autre ; qu’ordina
tant ; puisque notre général m’a fait présent de cent piastres, et le
commandeur
de vingt-cinq, pour me dédommager du profit que j
r aussi étroit que ses yeux étaient rouges et gros. M.du Quesne et le
commandeur
l’ont fait descendre dans la chambre du Conseil ;
le de dire que j’ai salué la santé de mes bienfaiteurs. J’ai donné au
commandeur
le second cabas de figues que j’avais eu de M. du