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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut
us allons voir, lui répliqua Sancho ; faisons les conditions de notre combat . —  Je n’en veux point avec toi que celle de la m
. —  Et moi aussi, dit Sancho. —  Comment donc terminerons-nous notre combat  ? demanda le chevalier aux armes noires. —  Vous
teurs ne pouvaient respirer à force de rire à la vue du plus ridicule combat qu’on puisse se figurer, de deux hommes à cheval
t marcha à nos aventuriers, qui à sa vue interrompirent leur ridicule combat . Cet officier s’était préparé à bien jouer son pe
gnes de mon affection, et des peines que je me donne pour vous. Votre combat m’a retiré du doux repos dont je jouissais. Je su
ne de garde, et que vous vous prépariez tous deux à soutenir de rudes combats en peu de temps, et à soutenir les plus glorieuse
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
tre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. La duc
ine. N’y va pas, si tu ne te sens assez de cœur pour soutenir un rude combat , ou bien prépare-toi à être assommé de coups et a
hevalier ne savait s’il était mort ou vif, tant il était épouvanté du combat qu’il avait à soutenir, ou désespéré de perdre de
se que Parafaragaramus ne t’impose point d’autre peine que celle d’un combat . —  Mardi, Monsieur, lui répondit Sancho, vous pa
s peine, parce qu’il ne se défendait pas. Ce devait être là la fin du combat , et l’officier allait céder la victoire, n’ayant
des mains de ce démon, mais il le refusa, leur disant que c’était un combat égal de corps à corps, et qu’outre les ordres de
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats . Nous avons vu de quelle manière fut interrompu
’armes à feu à redouter, il se leva, et vit, non sans indignation, un combat si inégal. Il ne balança pas un moment à prendre
combé tous trois, si les scélérats n’avaient tout d’un coup quitté le combat pour courir avec Don Pedre, leur chef, après deux
la comédie. Elles crurent que le bruit qu’elles entendaient était le combat du chevalier et de l’enchanteur, et c’était celui
dre ; notre héros qui vit ce scélérat assez occupé, le laissa dans un combat seul à seul pour courir après les ravisseurs d’Eu
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
lement de la fuite de l’enchanteur, qui lui avait laissé l’honneur du combat , mais aussi du recouvrement de son bon cheval et
bon vin et ne l’épargne pas, et dans l’état où je suis après un rude combat , j’ai besoin de repaître ; trois verres de vin av
; ainsi lorsqu’ils furent retirés, il lui demanda ce qu’il pensait du combat qu’il avait soutenu le matin contre le démon ench
adoucissant, ne sais-tu pas bien que la valeur et la bravoure dans le combat , sont les seuls moyens qu’on doit employer pour r
déposées. La société qui en fut instruite, n’eut garde d’empêcher un combat qui devait la divertir. Tout ce qu’on fit, ce fut
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
 Eh ! mon enfant, lui dit Don Quichotte, ne sais-tu pas bien qu’on ne combat jamais mieux les méchants qu’avec leurs propres a
olution, que malgré le nombre des assaillants, il en mit deux hors de combat . Sancho qui vit que les gens de justice dépouilla
ui se défendirent et qui se firent tuer, les six autres étant hors de combat par les blessures qu’ils avaient reçues, tant à l
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
ver les princesses qu’il y tient enchantées, préparez-vous à de rudes combats dans lesquels si vous demeurez victorieux, outre
is certain qu’il est trop honnête enchanteur pour vouloir éprouver un combat dont il ne remporterait que de la honte. — Si cel
squ’elle n’avait été enchantée que pour empêcher des batteries et des combats , mais par la pénitence que devait faire pour elle
7 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
nôtre, on ne leur fera pas trop bon parti. Il était l’année passée au combat que Monsieur de Châteauregnault gagna sur les Ang
la plus cruelle de toutes les morts, d’autant plus horrible qu’on la combat longtemps avant que d’en être la victime. Car enf
indre, lesquels comme je vous ai dit étaient au commencement de notre combat à plus de deux grandes lieues derrière nous, et l
sur la scène. Pour nous, nous ne fûmes plus alors que spectateurs du combat , et entendions les balles qui frappaient les navi
illet] Toujours même vent et nous n’allons pas mal. L’agitation du combat , et le travail d’hier, m’ont fait si bien dormir
maladie ne dure guière. Afin de n’être point si incommodés au premier combat que nous rendrons que nous l’avons été à Moaly et
r. Il s’est remis le mieux qu’il a pu, mais non pas dans son ordre de combat , car il ne l’a point observé du tout. Nous avons
e les mains, ou de se perdre eux-mêmes. Après quatre bonnes heures de combat , où tout le monde fit assurément de son mieux, Mo
ils nous rendaient poids pour poids, a fait signal de faire cesser le combat et s’est retiré. Nous étions tellement acharnés q
viron à un quart de lieue d’eux, chacun sous notre pavillon. Voilà le combat que nous venons de rendre. Il est très vrai que t
st temps de finir mon apologie et de vous dire... Que j’ai vu dans ce combat -ci non pas seulement une fois mais plusieurs, ce
’ai vu dans le bord des balles de canon qui y sont engravées de notre combat de Madras et qui servent d’emplâtre aux trous qu’
feu dans leur entre-deux-ponts, grand signe qu’ils se préparaient au combat . On voyait deux navires qui ne paraissaient point
e Porrières n’en a point été étonné : il a tout fait préparer pour le combat et s’est allé jeter vigoureusement entre les deux
enus le douze avec un petit bâtiment qui était à Madras lors de notre combat  ; c’est un Portugais. Nous avons appris par lui q
nt les gens du bâtiment anglais que nous prîmes le lendemain de notre combat , dans lequel il ne s’était trouvé personne. Ces g
s jure pourtant qu’ils ne connaissent pas les Français et que dans un combat le cœur surmonte bientôt l’abattement du corps.
tres de Surate venues par terre, par lesquelles on a appris que notre combat d’Amzuam avait jeté les Anglais dans une très gra
8 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
rocurer la justice qui lui est due. Après quatre heures & plus de combat , M. du Quesne, voyant qu’il n’y avait rien à gagn
t poids pour poids, & même avec usure, a fait signal de cesser le combat , & de se retirer ; & en même temps s’est
ouillés à un quart de lieue d’eux, chacun sous son pavillon. Voilà le combat que nous venons de rendre, dont certainement tout
rdre ni l’appétit ni la soif, puisque j’ai bu quatre coups pendant le combat , & que ç’a été pendant le plus grand feu que
pourtant pas deux heures que nous sommes hors du feu. J’ai vu dans ce combat , non seulement une fois, mais plusieurs, une chos
ue trois cent quatre-vingt-dix-huit, parce que dès le commencement du combat nous avons eu deux canons mis hors de service par
er dans leurs entre-deux-ponts ; grand signe qu’ils se préparaient au combat  : & M. de Porrières, qui ne voulait pas que l
commandeur n’en a point été étonné : il a fait tout préparer pour le combat , & s’est allé vigoureusement jeter entre les
qui était parti de Madras le 28 août dernier, trois jours après notre combat , qui fut le même jour que M. du Quesne envoya les
utre petit vaisseau portugais, qui était aussi à Madras lors de notre combat , & qui n’en est parti que douze jours après.
les gens de ce bâtiment anglais que nous prîmes le lendemain de notre combat , dans la soute duquel je descendis, & ôtai un
ui. Les deux commis du comptoir qui étaient avec moi me dirent que le combat de ces deux furieuses bêtes était assez ordinaire
sant, mais sans se quitter de vue. Ils recommencèrent trois fois leur combat , qui dura près d’une heure & demie ; & à
ut vaincu & tué, eut le ventre déchiré, & la tête écrasée. Ce combat est également furieux & curieux. Quoique le t
te & avons passé devant la forteresse de Madras, où nous livrâmes combat le vingt-cinq août dernier, que j’ai rapporté pag
résent certain. Les Anglais & les Hollandais, épouvantés des deux combats d’Amzuam & Madras, ont eu recours au Mogol, &
& de vigueur tous les efforts du Mogol. Il lui a livré plusieurs combats qui n’ont rien décidé parce que la fortune a été
ait jeté les Anglais dans une très grande consternation, & que le combat de Madras avait causé partout une telle épouvante
aître leur génie dans le pillage d’un navire anglais, peu après notre combat de Madras. Ceci est mis au 1er septembre, page 54
a conduits de France ici, & qui avait été raccommodé après notre combat de Madras. Le vent a rafraîchi ce matin. Nous éti
la peur. Bien plus, cette terreur ne surprend qu’au commencement d’un combat , étant très certain que l’animosité & la diss
, au nombre de quatre-vingt-six. Ce qu’il y eut de surprenant dans ce combat , c’est que M. de La Barre n’avait que quatre-ving
rent à la mer. C’est ce qu’on a appris par des Caraïbes qui ont vu le combat , de l’île de Sainte-Alucie. Quoi qu’il en soit, o
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
de Dulcinée, que nous verrons dans la suite ; et l’autre, au sujet du combat du lendemain. Il connaissait assez la bravoure et
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
cette nature, que dans une guerre réglée, parce que les ennemis qu’on combat dans celle-ci, ne sont pas des ennemis particulie
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
rivé, avec son ingénuité ordinaire, confessant qu’il avait éloigné le combat avec Parafaragaramus, parce qu’ils avaient fait l
12 (1721) Mémoires
elle je reviendrai, je crois devoir dire la cause de notre malheureux combat de La Hogue donné le jeudi 28. mai 1692, qui fut
t envoyé ordre à M. de Tourville d’entrer dans la Manche et de livrer combat aux annemis partout où pourrait les trouver. Mais
rité qui ne se peut exprimer, et dont les ennemis étaient surpris. Le combat commença à dix heures et un quart et n’était pas
nce perdit plus d’officiers, de soldats et de matelots que pendant le combat , parce que ces malhureux voulant s’attacher aux c
rendent justice à leurs ennemis, les estiment et les aiment. 238. Ce combat de mer a été le plus malheureux de tous ceux que
plus habile que tout le reste du monde ensemble. C’est aussi dans ce combat que les Français ont le plus fait paraître leur b
ers les fêtes de Noël de la même année 1692. 239. Il se passa dans ce combat une chose qui mérite d’être rapportée. Un lieuten
orces, et laisser les Anglais seuls démêler la fusée ; et en effet ce combat ne regardait que l’Angleterre, dont le roi dit, l
l est bon sans doute de prier Dieu, surtout sur le point de donner un combat . Mais cependant, si j’étais capitaine taine de va
comme cela se passa à bord du Prince. Après que tout fut prêt pour le combat , M. de Bagneux fit monter tout le monde sur le po
nie, toute sainte qu’elle est, ne me plairait point sur le point d’un combat . 244. Nous eûmes quantité de blessés qui furent p
éler, il y faisait trop peu d’attention. Il était tellement ennuyé du combat que son plus grand soin était de s’informer si la
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
hesse étaient les siens mêmes, qui après avoir été de loin témoins du combat de nos braves, et voyant que le nombre des assass
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
les de m’avoir sauvé d’un abîme de honte. Enfin, j’eus en moi-même un combat que je ne puis vous exprimer, entre mon amour et
ant me faisait prévoir. Jamais situation d’âme ne fut si cruelle. Les combats que mes passions opposées se livraient l’une à l’
quitter la France un an après son mariage, pour éviter la suite d’un combat où il s’était trouvé. J’allai le jour suivant voi
a mère qui entra dans ce moment, ne m’eût retiré par sa présence d’un combat si rude. Je sortis le jour même, et je cherchai G
rdinairement beaucoup de complaisance. Elle me demanda la cause de ce combat , et me le demanda avec tant d’instance, qu’après
changea pas. Je me résolus de quitter la France pour me délivrer des combats éternels où j’étais incessamment exposé. Je l’écr
que j’avais remportées sur mes sens, ne me faisaient plus craindre le combat . Quelle confiance ! Qu’elle est criminelle ! Je c
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
aire à son ennemi ; elle consistait à bien ranger ses troupes dans un combat , à secourir à propos les endroits faibles, à rend
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
n ennemi ; mais l’Espagnol se releva, et ils continuèrent à pied leur combat , qui fut fort opiniâtre. Cependant comme le Franç
17 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
t servi fort longtemps avec le grand du Quesne : il était avec lui au combat de Famagouste, où Ruyter reçut une blessure au ta
rbares à respecter sa conduite, son intrépidité et sa valeur, dans un combat si inégal ; ne s’étant rendu qu’au troisième abor
itter, et s’est mis à sa gauche, et notre aumônier à droite, après un combat de civilités respectives, qui avait son mérite en
té les gens d’Église et le commandeur : mais ils étaient trop près du combat pour n’en pas sentir la fumée ; et ils ont été ar
s ont été arrosés, ne pouvant se retirer qu’entre deux feux. Après ce combat , qui ne peut incommoder personne, parce qu’il fai
aucoup de résolution. Nous ne fûmes plus pour lors que spectateurs du combat , et entendions les boulets qui frappaient les nav
aient pas un coup, tout portait. Enfin, après trois quarts d’heure de combat , qui nous parurent avoir été bien employés, les c
gué nos voiles, pour faire jouer nos violons, et attacher avec lui un combat réglé, et seul à seul, sous les voiles et à la me
el était dans la soute aux poudres ; mais, n’ayant encore point vu de combat sur mer qu’à ma propre défense, quand les Anglais
tre à l’air. J’avais vu quelques actions à terre ; puisque j’étais au combat de Mont-Cassel, le jour de Pâques fleuries 11 avr
avigateurs leur pourront avoir. Je viens de relire l’article de notre combat d’avant-hier. J’y ai omis le nombre des coups que
adie est courte. Afin de n’être point tant incommodés à notre premier combat que nous l’avons été à Amzuam, et afin que l’entr
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
une autre d’une garde pareille, sans qu’il s’en aperçût. Il conta son combat , et l’enchantement de son épée, dont il n’avait p
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
t nos laquais que la peur avait écartés. Nous avons vu commencer leur combat , et notre postillon profitant du temps pour nous
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
s ne m’aimez que pour vous, épargnez-moi par votre retraite les rudes combats où vous m’engageriez ; soutenez ma patience si vo
21 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
mme triomphe d’une femme malgré elle. Je fus épuisé le premier. Notre combat nous avait mis l’un et l’autre dans un désordre q
avoue que je fus fort aise de ne m’être point trouvé présent à votre combat , parce que je n’aurais pu me dispenser de prendre
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