Chapitre XLVIII. Du
combat
de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut
us allons voir, lui répliqua Sancho ; faisons les conditions de notre
combat
. — Je n’en veux point avec toi que celle de la m
. — Et moi aussi, dit Sancho. — Comment donc terminerons-nous notre
combat
? demanda le chevalier aux armes noires. — Vous
teurs ne pouvaient respirer à force de rire à la vue du plus ridicule
combat
qu’on puisse se figurer, de deux hommes à cheval
t marcha à nos aventuriers, qui à sa vue interrompirent leur ridicule
combat
. Cet officier s’était préparé à bien jouer son pe
gnes de mon affection, et des peines que je me donne pour vous. Votre
combat
m’a retiré du doux repos dont je jouissais. Je su
ne de garde, et que vous vous prépariez tous deux à soutenir de rudes
combats
en peu de temps, et à soutenir les plus glorieuse
tre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible
combat
qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. La duc
ine. N’y va pas, si tu ne te sens assez de cœur pour soutenir un rude
combat
, ou bien prépare-toi à être assommé de coups et a
hevalier ne savait s’il était mort ou vif, tant il était épouvanté du
combat
qu’il avait à soutenir, ou désespéré de perdre de
se que Parafaragaramus ne t’impose point d’autre peine que celle d’un
combat
. — Mardi, Monsieur, lui répondit Sancho, vous pa
s peine, parce qu’il ne se défendait pas. Ce devait être là la fin du
combat
, et l’officier allait céder la victoire, n’ayant
des mains de ce démon, mais il le refusa, leur disant que c’était un
combat
égal de corps à corps, et qu’outre les ordres de
Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants
combats
. Nous avons vu de quelle manière fut interrompu
’armes à feu à redouter, il se leva, et vit, non sans indignation, un
combat
si inégal. Il ne balança pas un moment à prendre
combé tous trois, si les scélérats n’avaient tout d’un coup quitté le
combat
pour courir avec Don Pedre, leur chef, après deux
la comédie. Elles crurent que le bruit qu’elles entendaient était le
combat
du chevalier et de l’enchanteur, et c’était celui
dre ; notre héros qui vit ce scélérat assez occupé, le laissa dans un
combat
seul à seul pour courir après les ravisseurs d’Eu
lement de la fuite de l’enchanteur, qui lui avait laissé l’honneur du
combat
, mais aussi du recouvrement de son bon cheval et
bon vin et ne l’épargne pas, et dans l’état où je suis après un rude
combat
, j’ai besoin de repaître ; trois verres de vin av
; ainsi lorsqu’ils furent retirés, il lui demanda ce qu’il pensait du
combat
qu’il avait soutenu le matin contre le démon ench
adoucissant, ne sais-tu pas bien que la valeur et la bravoure dans le
combat
, sont les seuls moyens qu’on doit employer pour r
déposées. La société qui en fut instruite, n’eut garde d’empêcher un
combat
qui devait la divertir. Tout ce qu’on fit, ce fut
Eh ! mon enfant, lui dit Don Quichotte, ne sais-tu pas bien qu’on ne
combat
jamais mieux les méchants qu’avec leurs propres a
olution, que malgré le nombre des assaillants, il en mit deux hors de
combat
. Sancho qui vit que les gens de justice dépouilla
ui se défendirent et qui se firent tuer, les six autres étant hors de
combat
par les blessures qu’ils avaient reçues, tant à l
ver les princesses qu’il y tient enchantées, préparez-vous à de rudes
combats
dans lesquels si vous demeurez victorieux, outre
is certain qu’il est trop honnête enchanteur pour vouloir éprouver un
combat
dont il ne remporterait que de la honte. — Si cel
squ’elle n’avait été enchantée que pour empêcher des batteries et des
combats
, mais par la pénitence que devait faire pour elle
nôtre, on ne leur fera pas trop bon parti. Il était l’année passée au
combat
que Monsieur de Châteauregnault gagna sur les Ang
la plus cruelle de toutes les morts, d’autant plus horrible qu’on la
combat
longtemps avant que d’en être la victime. Car enf
indre, lesquels comme je vous ai dit étaient au commencement de notre
combat
à plus de deux grandes lieues derrière nous, et l
sur la scène. Pour nous, nous ne fûmes plus alors que spectateurs du
combat
, et entendions les balles qui frappaient les navi
illet] Toujours même vent et nous n’allons pas mal. L’agitation du
combat
, et le travail d’hier, m’ont fait si bien dormir
maladie ne dure guière. Afin de n’être point si incommodés au premier
combat
que nous rendrons que nous l’avons été à Moaly et
r. Il s’est remis le mieux qu’il a pu, mais non pas dans son ordre de
combat
, car il ne l’a point observé du tout. Nous avons
e les mains, ou de se perdre eux-mêmes. Après quatre bonnes heures de
combat
, où tout le monde fit assurément de son mieux, Mo
ils nous rendaient poids pour poids, a fait signal de faire cesser le
combat
et s’est retiré. Nous étions tellement acharnés q
viron à un quart de lieue d’eux, chacun sous notre pavillon. Voilà le
combat
que nous venons de rendre. Il est très vrai que t
st temps de finir mon apologie et de vous dire... Que j’ai vu dans ce
combat
-ci non pas seulement une fois mais plusieurs, ce
’ai vu dans le bord des balles de canon qui y sont engravées de notre
combat
de Madras et qui servent d’emplâtre aux trous qu’
feu dans leur entre-deux-ponts, grand signe qu’ils se préparaient au
combat
. On voyait deux navires qui ne paraissaient point
e Porrières n’en a point été étonné : il a tout fait préparer pour le
combat
et s’est allé jeter vigoureusement entre les deux
enus le douze avec un petit bâtiment qui était à Madras lors de notre
combat
; c’est un Portugais. Nous avons appris par lui q
nt les gens du bâtiment anglais que nous prîmes le lendemain de notre
combat
, dans lequel il ne s’était trouvé personne. Ces g
s jure pourtant qu’ils ne connaissent pas les Français et que dans un
combat
le cœur surmonte bientôt l’abattement du corps.
tres de Surate venues par terre, par lesquelles on a appris que notre
combat
d’Amzuam avait jeté les Anglais dans une très gra
rocurer la justice qui lui est due. Après quatre heures & plus de
combat
, M. du Quesne, voyant qu’il n’y avait rien à gagn
t poids pour poids, & même avec usure, a fait signal de cesser le
combat
, & de se retirer ; & en même temps s’est
ouillés à un quart de lieue d’eux, chacun sous son pavillon. Voilà le
combat
que nous venons de rendre, dont certainement tout
rdre ni l’appétit ni la soif, puisque j’ai bu quatre coups pendant le
combat
, & que ç’a été pendant le plus grand feu que
pourtant pas deux heures que nous sommes hors du feu. J’ai vu dans ce
combat
, non seulement une fois, mais plusieurs, une chos
ue trois cent quatre-vingt-dix-huit, parce que dès le commencement du
combat
nous avons eu deux canons mis hors de service par
er dans leurs entre-deux-ponts ; grand signe qu’ils se préparaient au
combat
: & M. de Porrières, qui ne voulait pas que l
commandeur n’en a point été étonné : il a fait tout préparer pour le
combat
, & s’est allé vigoureusement jeter entre les
qui était parti de Madras le 28 août dernier, trois jours après notre
combat
, qui fut le même jour que M. du Quesne envoya les
utre petit vaisseau portugais, qui était aussi à Madras lors de notre
combat
, & qui n’en est parti que douze jours après.
les gens de ce bâtiment anglais que nous prîmes le lendemain de notre
combat
, dans la soute duquel je descendis, & ôtai un
ui. Les deux commis du comptoir qui étaient avec moi me dirent que le
combat
de ces deux furieuses bêtes était assez ordinaire
sant, mais sans se quitter de vue. Ils recommencèrent trois fois leur
combat
, qui dura près d’une heure & demie ; & à
ut vaincu & tué, eut le ventre déchiré, & la tête écrasée. Ce
combat
est également furieux & curieux. Quoique le t
te & avons passé devant la forteresse de Madras, où nous livrâmes
combat
le vingt-cinq août dernier, que j’ai rapporté pag
résent certain. Les Anglais & les Hollandais, épouvantés des deux
combats
d’Amzuam & Madras, ont eu recours au Mogol, &
& de vigueur tous les efforts du Mogol. Il lui a livré plusieurs
combats
qui n’ont rien décidé parce que la fortune a été
ait jeté les Anglais dans une très grande consternation, & que le
combat
de Madras avait causé partout une telle épouvante
aître leur génie dans le pillage d’un navire anglais, peu après notre
combat
de Madras. Ceci est mis au 1er septembre, page 54
a conduits de France ici, & qui avait été raccommodé après notre
combat
de Madras. Le vent a rafraîchi ce matin. Nous éti
la peur. Bien plus, cette terreur ne surprend qu’au commencement d’un
combat
, étant très certain que l’animosité & la diss
, au nombre de quatre-vingt-six. Ce qu’il y eut de surprenant dans ce
combat
, c’est que M. de La Barre n’avait que quatre-ving
rent à la mer. C’est ce qu’on a appris par des Caraïbes qui ont vu le
combat
, de l’île de Sainte-Alucie. Quoi qu’il en soit, o
de Dulcinée, que nous verrons dans la suite ; et l’autre, au sujet du
combat
du lendemain. Il connaissait assez la bravoure et
cette nature, que dans une guerre réglée, parce que les ennemis qu’on
combat
dans celle-ci, ne sont pas des ennemis particulie
rivé, avec son ingénuité ordinaire, confessant qu’il avait éloigné le
combat
avec Parafaragaramus, parce qu’ils avaient fait l
elle je reviendrai, je crois devoir dire la cause de notre malheureux
combat
de La Hogue donné le jeudi 28. mai 1692, qui fut
t envoyé ordre à M. de Tourville d’entrer dans la Manche et de livrer
combat
aux annemis partout où pourrait les trouver. Mais
rité qui ne se peut exprimer, et dont les ennemis étaient surpris. Le
combat
commença à dix heures et un quart et n’était pas
nce perdit plus d’officiers, de soldats et de matelots que pendant le
combat
, parce que ces malhureux voulant s’attacher aux c
rendent justice à leurs ennemis, les estiment et les aiment. 238. Ce
combat
de mer a été le plus malheureux de tous ceux que
plus habile que tout le reste du monde ensemble. C’est aussi dans ce
combat
que les Français ont le plus fait paraître leur b
ers les fêtes de Noël de la même année 1692. 239. Il se passa dans ce
combat
une chose qui mérite d’être rapportée. Un lieuten
orces, et laisser les Anglais seuls démêler la fusée ; et en effet ce
combat
ne regardait que l’Angleterre, dont le roi dit, l
l est bon sans doute de prier Dieu, surtout sur le point de donner un
combat
. Mais cependant, si j’étais capitaine taine de va
comme cela se passa à bord du Prince. Après que tout fut prêt pour le
combat
, M. de Bagneux fit monter tout le monde sur le po
nie, toute sainte qu’elle est, ne me plairait point sur le point d’un
combat
. 244. Nous eûmes quantité de blessés qui furent p
éler, il y faisait trop peu d’attention. Il était tellement ennuyé du
combat
que son plus grand soin était de s’informer si la
hesse étaient les siens mêmes, qui après avoir été de loin témoins du
combat
de nos braves, et voyant que le nombre des assass
les de m’avoir sauvé d’un abîme de honte. Enfin, j’eus en moi-même un
combat
que je ne puis vous exprimer, entre mon amour et
ant me faisait prévoir. Jamais situation d’âme ne fut si cruelle. Les
combats
que mes passions opposées se livraient l’une à l’
quitter la France un an après son mariage, pour éviter la suite d’un
combat
où il s’était trouvé. J’allai le jour suivant voi
a mère qui entra dans ce moment, ne m’eût retiré par sa présence d’un
combat
si rude. Je sortis le jour même, et je cherchai G
rdinairement beaucoup de complaisance. Elle me demanda la cause de ce
combat
, et me le demanda avec tant d’instance, qu’après
changea pas. Je me résolus de quitter la France pour me délivrer des
combats
éternels où j’étais incessamment exposé. Je l’écr
que j’avais remportées sur mes sens, ne me faisaient plus craindre le
combat
. Quelle confiance ! Qu’elle est criminelle ! Je c
aire à son ennemi ; elle consistait à bien ranger ses troupes dans un
combat
, à secourir à propos les endroits faibles, à rend
n ennemi ; mais l’Espagnol se releva, et ils continuèrent à pied leur
combat
, qui fut fort opiniâtre. Cependant comme le Franç
t servi fort longtemps avec le grand du Quesne : il était avec lui au
combat
de Famagouste, où Ruyter reçut une blessure au ta
rbares à respecter sa conduite, son intrépidité et sa valeur, dans un
combat
si inégal ; ne s’étant rendu qu’au troisième abor
itter, et s’est mis à sa gauche, et notre aumônier à droite, après un
combat
de civilités respectives, qui avait son mérite en
té les gens d’Église et le commandeur : mais ils étaient trop près du
combat
pour n’en pas sentir la fumée ; et ils ont été ar
s ont été arrosés, ne pouvant se retirer qu’entre deux feux. Après ce
combat
, qui ne peut incommoder personne, parce qu’il fai
aucoup de résolution. Nous ne fûmes plus pour lors que spectateurs du
combat
, et entendions les boulets qui frappaient les nav
aient pas un coup, tout portait. Enfin, après trois quarts d’heure de
combat
, qui nous parurent avoir été bien employés, les c
gué nos voiles, pour faire jouer nos violons, et attacher avec lui un
combat
réglé, et seul à seul, sous les voiles et à la me
el était dans la soute aux poudres ; mais, n’ayant encore point vu de
combat
sur mer qu’à ma propre défense, quand les Anglais
tre à l’air. J’avais vu quelques actions à terre ; puisque j’étais au
combat
de Mont-Cassel, le jour de Pâques fleuries 11 avr
avigateurs leur pourront avoir. Je viens de relire l’article de notre
combat
d’avant-hier. J’y ai omis le nombre des coups que
adie est courte. Afin de n’être point tant incommodés à notre premier
combat
que nous l’avons été à Amzuam, et afin que l’entr
une autre d’une garde pareille, sans qu’il s’en aperçût. Il conta son
combat
, et l’enchantement de son épée, dont il n’avait p
t nos laquais que la peur avait écartés. Nous avons vu commencer leur
combat
, et notre postillon profitant du temps pour nous
s ne m’aimez que pour vous, épargnez-moi par votre retraite les rudes
combats
où vous m’engageriez ; soutenez ma patience si vo
mme triomphe d’une femme malgré elle. Je fus épuisé le premier. Notre
combat
nous avait mis l’un et l’autre dans un désordre q
avoue que je fus fort aise de ne m’être point trouvé présent à votre
combat
, parce que je n’aurais pu me dispenser de prendre
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