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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
était encore trop matin, et le pont-levis n’étant pas baissé, ni les chevaux prêts, il fallut prendre patience. Quand le jour
te et Sancho le suivirent, et pendant ce temps-là on fit sortir leurs chevaux et leurs armes, qu’on alla attacher à des arbres
les doublait des mains de papier bien battues en double ; mais leurs chevaux , qui étaient deux forts allemands faits au feu, e
être pas surchargés. Ils s’armèrent promptement, et allaient monter à cheval lorsque Sancho prenant son écu, vit dessous tout
t avait mis le pâté et le pain d’un côté à l’arçon de la selle de son cheval , et la bouteille de l’autre. Le duc les questionn
bouteille de l’autre. Le duc les questionna sur leurs armes et leurs chevaux qui étaient en bon ordre, et leur dit qu’il soupç
perdirent la respiration, et furent renversés sur la croupe de leurs chevaux , et de là glissèrent à terre. La croyance qu’eure
se relevèrent, et ne se sentant point blessés, et voyant encore leurs chevaux qui n’avaient pas branlé, ils crurent effectiveme
génie sauvée, et Pedraria arrêté. Que Don Pedre qui avait reconnu son cheval , l’avait fait chercher, et qu’on l’avait trouvé d
oulu attaquer un carrosse plein de femmes et l’amener, pour avoir les chevaux dont ils manquaient, ils s’étaient battus à deux
Nos deux chevaliers, qui, sans attendre ses ordres, avaient remonté à cheval , étaient déjà bien loin, et avaient trouvé quatre
nture le mit encore en goût et augmenta sa bonne humeur. Il remonta à cheval et suivit son maître qui était déjà assez éloigné
il faut voir la fin de l’aventure. Us burent donc seulement un coup à cheval , et Sancho qui avait le cœur gai, ne put s’empêch
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
ichotte et Sancho étaient à l’entrée de la forêt de ce côté-là. Leurs chevaux accoutumés à courir au feu prirent à toutes jambe
e, ils ne songeaient plus qu’à se sauver, et pour cela dételaient les chevaux du carrosse pour s’en servir. Le cocher était éte
dre sur les bandits, qui n’avaient pas encore eu le temps de monter à cheval . Deux de ces malheureux, dont les mousquets étaie
ter un moment la respiration. Sancho vint à lui et le soutint sur son cheval . Si ces scélérats n’avaient pas été aveuglés, et
rer du sang, et se défit d’un qui tâchait de ne le point ménager. Son cheval fut blessé d’un coup de pointe au poitrail, et n’
, et la lui passa dans la gorge. Tout cela s’était fait à la tête des chevaux du carrosse, et devant les yeux de la duchesse, q
ercée, si notre héros n’eût fait gauchir le coup, en lui poussant son cheval sur le corps, en sorte que la duchesse en fut qui
rien, s’était servi de l’occasion, et étant promptement monté sur le cheval qui s’était déchargé de Sancho, il le piquait, ou
t achever de l’assommer, lorsque Don Quichotte qui arriva ramenant le cheval de Sancho, et par conséquent la bouteille, les em
re, que Sancho avait assommé, et celui à qui il avait fait passer son cheval sur le corps, qui tous deux n’étaient qu’étourdis
descendre de carrosse, et Sancho n’était point encore remonté sur son cheval , lorsque la duchesse, qui s’informa du duc son ép
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
équipage assez grand, composé d’un carrosse fort magnifique, à quatre chevaux , et dans lequel il y avait un homme fort bien vêt
pas un moment à prendre son parti, et sautant promptement sur un des chevaux qui était sans maître, il vint se fourrer dans la
ne, et ce fut contre lui qu’ils firent leurs plus grands efforts. Son cheval s’abattit de ses blessures, et notre héros, à qui
Eugénie. Dans ce même moment Deshayes fort blessé se laissa tomber de cheval . Don Quichotte qui était à pied, profitant de l’o
Don Quichotte qui était à pied, profitant de l’occasion, sauta sur ce cheval , et courut après Don Pedre à bride abattue. Il fu
courir après les ravisseurs d’Eugénie. Ils l’avaient déjà mise sur un cheval entre les mains d’un d’entre eux, malgré sa résis
en peine de secourir leur chef, qui avait à faire à forte partie. Le cheval de notre intrépide chevalier, qui n’était qu’une
abîmes malgré Mahom, et vos faux enchanteurs. Cela dit, il remonta à cheval , et voulut prendre sa course, mais sa monture qui
exposer. Notre hardi chevalier n’en voulut point démordre, il prit le cheval de celui qui emportait Eugénie, qui était libre,
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
ndait personne, quechacun était endormi, il prit sa lance sur son bon cheval après avoir mis dessus une grande housse rouge po
able lui-même l’aurait pris pour un autre. Après cela pour mettre son cheval en haleine, il prit au petit galop le chemin de l
as la tirer du fourreau. Leur étonnement leur empêcha d’arrêter leurs chevaux , qui se connaissant, et n’étant plus poussés s’ar
vue du plus ridicule combat qu’on puisse se figurer, de deux hommes à cheval armés de toutes pièces, et l’épée au côté, qui se
is quarts des coups ne frappaient que l’air par le mouvement de leurs chevaux qui étaient toujours dans l’agitation, parce qu’i
pouvaient pas tenir ferme, à cause du mouvement de leurs corps. Leurs chevaux , qui n’étaient ni Rossinante ni Flanquine, étaien
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
r au château du duc de Médoc, et avant que de monter en carrosse et à cheval on dîna. Le curé en fut, et comme cette fois-là i
sonnage de Parafaragaramus, et qui déguisé en ermite, avait dérobé le cheval de Don Quichotte, et le lui avait renvoyé chez Ba
ant lui de l’argent qu’il avait pris aux bandits, il attacha les deux chevaux de voiture au derrière d’un fourgon. Tout le mond
nos aventuriers, qui armés comme des Amadis, montèrent sur leurs bons chevaux . On avait mis de petits clous fort pointus sous l
nir en selle. On lui fit croire qu’un nécromancien avait enchanté son cheval , et on lui conseilla d’en changer. Le malheureux
it pied à terre du mieux qu’il put, transporta son bagage sur son bon cheval , et monta sur Flanquine, qu’on délia sitôt qu’il
rait jeté dedans si on ne l’en eût empêché. Il pestait contre son bon cheval , contre Flanquine, et contre les magiciens qui le
ta vie ; va reprendre tes armes et tes habits, et ne monte sur aucun cheval , parce que les tiens sont enchantés. Sancho tout
re les Yangois avaient châtié sur leurs personnes l’incontinence d’un cheval , et conjecturer par là que ce serait bien pis qua
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
hantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. Ils avaient déjà tous deux les ye
e endroit où tu as retiré la comtesse des mains de ses ravisseurs, un cheval que je te destine, que monta autrefois le fameux
us grandes aventures de ta vie. Le chevalier Sancho trouvera aussi un cheval , des armes et l’épée de Pinabel. Sortez tous deux
il voyait bien que l’occasion serait chaude et de fatigue, et que les chevaux de nos aventuriers n’étaient point assez forts po
bien persuadé que l’estime qu’ils feraient de leurs armes et de leurs chevaux , qu’ils croiraient tenir de la main d’un enchante
7 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
orsqu’un cavalier fort bien vêtu, mais dont l’habit, les bottes et le cheval crottés, faisaient voir qu’il venait de loin, se
ici Monsieur Des Frans. Ha ! Monsieur, répondit-il, en descendant de cheval , quelle joie de vous voir et de vous embrasser !
carrosse, et fit monter son valet derrière, aimant mieux risquer ses chevaux , que de laisser ce garçon dans le hasard d’être b
commandèrent à leurs cochers de prendre garde à ne point offenser ces chevaux . Des Frans entendit cet ordre général, et remerci
avaient de lui. Ces civilités respectives eurent leur effet ; et les chevaux , contre toute apparence, sortirent de cet embarra
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
ent tous en même temps, que le charme avait cessé, qu’ils voyaient le cheval et les armes, et crièrent victoire au brave cheva
ait laissé l’honneur du combat, mais aussi du recouvrement de son bon cheval et de ses armes. Tout le monde l’en félicita, on
honneur que jamais chevalier errant n’en avait eu. On le fit monter à cheval , où il parut comme un nouveau Mars. On le ramenai
cavaliers s’assirent sur des gazons. Nos aventuriers descendirent de cheval et en firent autant. Sancho fut mis entre les deu
u comme mouches ; donnez-moi seulement le temps de me bien remettre à cheval , après cela vous verrez beau jeu ; je ne remets l
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
ai reporter tes armes au château d’Eugénie, et j’y ferai conduire ton cheval sans que personne le voie rentrer. Je t’ai laissé
ros de se jeter à ses pieds, parce qu’il lui défendit de descendre de cheval , de le remercier, et de le suivre. Pour lui, il s
s. Il passait l’ordinaire grandeur des hommes, et montait un puissant cheval  ; en un mot sa figure était affreuse, et le comte
suis je vais te donner satisfaction. En même temps il voulut monter à cheval , et obliger Sancho à se désarmer ; mais le spectr
e quand il voulait, et qu’il passait tout armé et monté sur son grand cheval par le trou d’une aiguille. Elle poursuivit, en d
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
s l’ordre de Chevalerie, je te déclare que j’emporte tes armes et ton cheval  ; je ne te ferai point d’autre mal en faveur de t
a comtesse, qui lui demanda fort froidement, s’il avait déjà pris son cheval à l’écurie, et par où il l’avait fait sortir, pui
s pu sortir, le pont-levis n’étant pas encore baissé. La perte de son cheval renouvela toutes ses doléances et ses cris. Don Q
. —  Quoi ! leur dit Don Quichotte, vous ne voyez pas les armes et le cheval du chevalier Sancho pendus à un arbre, et un ench
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
sins ne la laissèrent pas jouir longtemps. À peine savais-je monter à cheval , et peu d’autres choses convenables au parti que
sœur. Une bonne demi-heure après qu’il fut parti, je remontai sur un cheval frais, je pris le chemin du couvent, et attendis
e quelle manière le tout se passa. Au sortir du couvent je remontai à cheval et j’allai à toutes jambes chez Monsieur le duc d
revins sur mes pas à Paris, je m’assurai d’un carrosse avec huit bons chevaux , et j’y mis un cocher et un postillon sur qui je
tait le carrosse ; je leur déclarai là mon secret, et leur donnai des chevaux pour aller à ce couvent ; leur allégresse à me su
temps avant celui des grands mots. Je fis avancer le carrosse, et les chevaux de mes amis, et ceux d’eux qui étaient dehors mon
les chevaux de mes amis, et ceux d’eux qui étaient dehors montèrent à cheval , se saisirent de la porte et empêchèrent que qui
t suivis. Nous emmenâmes la tourière avec nous ; nos amis montèrent à cheval , et nous prîmes à toutes jambes le chemin de Lutr
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
n. Je me mis de moi-même à apprendre à faire des armes, et à monter à cheval  : c’était mon inclination. On fut très surpris de
e n’en veuille être assurée par votre éloignement. Allez acheter deux chevaux pour vous et un valet. Je lui jurai que c’était m
ait mon cœur qui parlait par ma bouche : que j’étais prêt de monter à cheval dans l’instant même. Que je ne regarderais de ma
enir voir, si, comme je supposais qu’on me l’avait dit, il avait deux chevaux à vendre. Le hasard voulut qu’il y en eût deux en
ont vous savez l’histoire, arriva. Comme il avait envie de vendre ses chevaux et moi de les acheter, notre marché fut bientôt c
s avaient fait venir. En un mot je gagnai trois fois la valeur de mes chevaux et de la dépense. Lorsqu’ils furent sortis, Querv
deux jours. Que n’ayant pas un sol, il avait été obligé de vendre ses chevaux , et que si je voulais les lui revendre, il m’en f
n flambeau, mon valet ne m’ayant pas retrouvé après avoir conduit mes chevaux chez ma mère. Une pointe de vin que j’avais, me p
vais prises conformes à mon honneur, et si contraires à mon cœur. Ces chevaux que j’avais envoyés chez elle le jour même, lui f
que je donne tout. Je vous laisse mon hôtel meublé, ma vaisselle, mes chevaux , et enfin tout ce qui est ici ; c’est à vous à fa
l’autre. À peine fus-je éveillé, que Querville qui m’avait vendu ses chevaux , entra dans ma chambre, et me pria de lui donner
de ne les rendre qu’après que je serais hors de Paris, et je montai à cheval dans le moment même. J’arrivai à Rome quatre jour
rgent qui devaient encore me venir de la part de ma mère. Je pris des chevaux jusqu’à Lyon, et de Lyon à Paris je pris la dilig
ce qui me reste de défunt mon père. Cela me fit promptement monter à cheval . Je trouvai encore pis qu’on ne m’avait mandé. Mo
je lui mandais qu’une chute que j’avais faite m’empêchait de monter à cheval pour aller au-devant d’elle, et qu’outre cela je
rge, que je les envoierais quérir le lendemain. Qu’elle montât sur le cheval que le porteur lui menait, et qu’elle vînt me tro
ec sa fille de chambre qui ne voulut point la quitter, et je montai à cheval avec son laquais que j’ai encore, et qui est le m
vers elle ; et je n’eus plus d’autre impatience que celle de monter à cheval . Ce ne fut que plus de deux mois après mon arrivé
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
s il quitta brusquement la table, et sans dire un seul mot il monta à cheval sur-le-champ, quelques efforts que je fisse pour
us pouvions tenir tous, afin de nous épargner le trop grand nombre de chevaux de relais ; cependant comme il nous en fallait to
is ; cependant comme il nous en fallait tous les jours six, et quatre chevaux de main pour Sainville, son valet de chambre et d
que nous n’avions que pour quatre bonnes heures de chemin, et que nos chevaux les feraient bien sans repaître ; mais à deux lie
postillon profitant du temps pour nous mettre en sûreté, a poussé ses chevaux à toute bride, et nous a menés proche de votre ch
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
dans l’hôtellerie, ni quitter le champ de bataille, non plus que ton cheval , parce qu’un bon chevalier doit toujours être en
e que vous dites. Par exemple ; mon cher maître, étiez-vous sur votre cheval quand Parafaragaramus vous l’a pris, et vous l’a
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
et abîmé dans ses rêveries il ne suivait les autres que parce que son cheval l’y contraignait. Sancho allait derrière lui tris
es vit aller à lui. Cette femme vint en courant se jeter aux pieds du cheval de Don Quichotte. Ah, Seigneur chevalier, lui dit
se battra contre le tien. Don Quichotte aurait bien voulu prendre son cheval , mais voyant qu’il lui était impossible de le fai
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
r et la haine. Cet officier n’était pas bien monté, et voyant que son cheval ne pouvait pas tenir tête à celui de son ennemi q
ur, il avait commencé avant que de s’attacher au maître par porter au cheval deux grands coups d’épée dans les flancs. Tant qu
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
gnant de pleurer, j’ai sauté du maître au valet, j’ai bien changé mon cheval borgne dans un aveugle. Tu m’avais offert ton ser
bre, où s’étant armé, il descendit à l’écurie, accommoda lui-même son cheval , et sortit dans la résolution de prendre le premi
18 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
n abatte ; ou, du moins, c’est bien rarement. J’y ai vu de fort beaux chevaux , au nombre de quatre : ils appartiennent à la Com
appartiennent à la Compagnie. Ils sont aussi fins que les plus beaux chevaux d’Espagne. Je ne les crois pas propres à la fatig
venions tous de La Rochelle à Paris. Ces messieurs venaient sur leurs chevaux & ne faisaient pas des journées plus longues
e, vint m’avertir qu’on allait partir ; Malroi lui dit de laisser mon cheval , & ne se mît pas en peine du reste, parce qu’
de santés que la mienne en était fort endommagée. Enfin, je montai à cheval , & Malroi me conduisit avec deux gardes, comm
a à moitié chemin, & me dit que je n’avais qu’à laisser aller mon cheval . La nuit était si obscure que je n’en voyais pas
er la nuit à la belle étoile. Bêtise à moi, qui devais savoir que les chevaux des messagers savent leur chemin. Je mis donc pie
hemin. Je mis donc pied à terre, au pied d’un arbre. J’y attachai mon cheval par son licol ; &, ayant joint la bride au bo
evoir qu’il avait trouvé quelque chose ; je me levai, je détachai mon cheval , &, passant la bride dans mon bras, je suivis
on l’aime mieux, les fenêtres éclairées de chandelles. Je remontai à cheval  ; &, suivant toujours mon chien, j’arrivai à
ne armée de cinquante mille hommes d’infanterie & de trente mille chevaux , avec soixante grosses pièces de canon & tout
a Messaline ; & le soir, en soupant, il lui dit qu’il monterait à cheval le lendemain à trois heures du matin. Il laissa s
a femme sur sa bonne foi tout le temps qu’il fut à aller chercher des chevaux . Elle l’employa à avertir l’abbé de ne pas manque
int chez lui, se coucha, & se leva à deux heures & demie. Les chevaux vinrent précisément à trois heures : il fit sembl
ur un, & donna son manteau à un homme aposté, qui partit avec les chevaux & ferma la porte, qui fit enfin tout ce qu’il
, content de ce qu’il avait vu, sortit sans bruit, alla rejoindre les chevaux , & alla effectivement à deux ou trois lieues
uper, & envoya le carrosse l’attendre à la tête du faubourg. Deux chevaux de main parurent : il monta sur celui qui était à
tement du monde. Il paya celui qui devait la conduire & acheta un cheval pour ne la pas quitter, & n’être point fixé a
it toujours après les autres, en compagnie de ses amis, quelquefois à cheval , & le plus souvent à pied, n’y ayant pas loin
mp; une pucelle, elle qui avait plus servi le public que le doyen des chevaux de poste ! Qu’est-ce que c’est donc que cornes, q
19 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ls le prièrent d’avoir soin de moi pour me faire apprendre à monter à cheval  : j’y allai donc, mais cela ne dura pas longtemps
malin qu’un diable. L’écuyer lui en voulait : il lui donna un jour à cheval un coup de chambrière qui le fit redresser d’une
mblant de nous entendre et résolut de m’en donner autant. Je montai à cheval à mon tour ; la gourmette était détachée, je n’y
œil qui ne lui promettait rien de bon, et je tournais la tête de mon cheval pour le pousser sur lui à toute bride, mais Monsi
t-il, d’un air froid capable de me glacer, qu’un bon cavalier monte à cheval , sans avoir jeté l’œil sur tout le harnais : la g
ulu y retourner depuis ; et j’achevai ailleurs d’apprendre à monter à cheval . J’apprenais à faire des armes chez un maître où
dans la cour d’un cabaret où j’étais fort connu, et où je laissai mon cheval . J’entrai dans cette digne maison : je n’eus que
point vu parlant à lui, je le fis entrer dans le cabaret où était mon cheval . Je n’ai pas un sou, lui dis-je, il faut que j’ai
x laquais. Dès que je la vis entrée chez la Martinière, je remontai à cheval . Je pris le grand tour, et me rendis chez mon pèr
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
ercher dans la caverne, où ils l’avaient laissé, sans parler de leurs chevaux , sur lesquels ces malheureux n’avaient pas eu le
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
e autre arme, mais Sancho ne lui en donna pas le temps, et poussa son cheval sur l’agresseur, et le lui fit passer sur le corp
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
la le duc monta en carrosse avec la duchesse. Don Quichotte remonta à cheval . Sancho à cause de l’infection des médicaments qu
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
être à trois cents pas du grand chemin. Ils descendirent tous deux de cheval , et entrèrent dans la forêt pour s’y reposer. A p
24 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
effet un fort propre, tout neuf et doré, attelé de quatre fort beaux chevaux pies. Il y avait trois laquais et un cocher de mê
îtresse, leur enfant et la fille de chambre. Du Val et moi montâmes à cheval . Nous prîmes tous le chemin de Paris. Je me fis m
25 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
le. L’autre côté au dos du miroir, représentait un cavalier, dont le cheval paraissait aller à toutes jambes, et un Amour qui
, et un Amour qui volait devant lui, paraissait tenir la bride de son cheval , et l’éloigner d’une ville et de plusieurs femmes
uthier, et lui envoyai aussi ce que je venais d’écrire. Je remontai à cheval dans l’instant même, et me rendis en poste à Gren
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
endit de la suivre. Il la vit partir dans son carrosse traîné par six chevaux , et plus de vingt cavaliers la suivaient. C’était
27 (1721) Mémoires
qui elle était et pourquoi elle allait à pied ayant avec elle tant de chevaux et de carrosses. La Reine, qui aima sa naïveté, l
d’homme lui sieyait parfaitement ; outre cela, elle était très bien à cheval , et courait la poste aussi bien qu’un postillon ;
qu’il reviendrait. 162. Sitôt qu’il eût quitté le dauphin, il monta à cheval et vint à toutes jambes à Paris, et se fit introd
six deniers pour la charge d’un âne, et deux sols pour la charge d’un cheval . Le peuple ne fut nullement content de cet impôt.
t le fils ; lesquels il fit à l’instant monter dans un carrosse à six chevaux pour se rendre à Rouen, où ils devaient prendre l
e Deschiens, il ne voulut pas mettre pied à terre chez lui, et vint à cheval chez Deschiens. Par malheur pour celui-ci, M. de
de son carrosse, et son cocher, qui le croyait dedans, fit partir ses chevaux . On sait que les chevaux de ces gens là sont vifs
ocher, qui le croyait dedans, fit partir ses chevaux. On sait que les chevaux de ces gens là sont vifs et forts. Ils tirèrent a
eux des princes ; Belles maisons aux champs, en ville des palais ; De chevaux pareil assemblage ; Nombreux cortège de laquais ;
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
camouflet à perte d’haleine, ce qui était capable de faire crever un cheval , et qui fut aussi plus sensible à Sancho que tout
29 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
la ville. Comme j’avais envie de la voir et que je ne pus trouver de chevaux , je fus obligé de me servir d’un âne : ce n’est p
ux, mais en petite quantité. Celui que le P. Tachard montait était un cheval d’Espagne qui vaudrait en France soixante pistole
d’heure pour monter ou descendre les roches, étant impossible que ni cheval ni âne y monte ou en descende chargé, et faisant
et je crois qu’ils n’en abattent que rarement. J’ai vu de fort beaux chevaux qui appartiennent à la Compagnie, petits effectiv
Malbare, et je crois que cela pare un carrosse beaucoup plus que des chevaux . Quand le Directeur va quelque part en pompe, il
mi et se montre digne fils de Sauvagy. Il a levé environ trente mille chevaux et s’est allé opposer à l’armée victorieuse du Mo
r tout à fait il a envoyé dans ce pays-ci une armée de quarante mille chevaux et de cinquante mille hommes de pied avec l’attir
il est resté aux écoutes dehors et a toujours tenu avec trente mille chevaux l’armée de son ennemi en suspens de ses desseins
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
timent, il ne passa chez lui que pour prendre de l’argent et monter à cheval  ; et depuis ce temps-là il n’a pas remis le pied
31 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
Étant plusieurs qui avions envie de la voir, et ne trouvant point de chevaux , nous fûmes obligés de nous servir d’ânes : ce n’
ur monter ou descendre les rochers, parce qu’il est impossible que ni cheval ni âne en descende chargé : ainsi, nous avons fai
les Pyrénées, à mon retour d’Espagne. Il tomba à deux pas de moi. Mon cheval en fut renversé et je pensai être tué. Je restai
ébloui sans pouvoir rien distinguer. Heureux d’avoir compagnie ! Mon cheval , sur le côté, eut bien de la peine à se relever.
sent largement le pacage à une infinité de bœufs ou taureaux, vaches, chevaux , ânes et autres animaux sauvages, mais non malfai
son solide et convaincante pourquoi toutes les bêtes à quatre pieds : chevaux , ânes, bœufs, chiens, chats, rats, souris, lièvre
etites ailes, lequel s’élance de dessus un arbre sur un animal, bœuf, cheval , âne, et même éléphant ; qu’assez souvent même il
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
sa femme, et ne lui en parla que dans le moment qu’il allait monter à cheval . Celle-ci qui ne lui avait pas dit un mot depuis
33 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
e, et que ce coquin suivi de mon laquais, et montés tous deux sur mes chevaux , avaient traversé toute la rue au galop, et que m
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