était encore trop matin, et le pont-levis n’étant pas baissé, ni les
chevaux
prêts, il fallut prendre patience. Quand le jour
te et Sancho le suivirent, et pendant ce temps-là on fit sortir leurs
chevaux
et leurs armes, qu’on alla attacher à des arbres
les doublait des mains de papier bien battues en double ; mais leurs
chevaux
, qui étaient deux forts allemands faits au feu, e
être pas surchargés. Ils s’armèrent promptement, et allaient monter à
cheval
lorsque Sancho prenant son écu, vit dessous tout
t avait mis le pâté et le pain d’un côté à l’arçon de la selle de son
cheval
, et la bouteille de l’autre. Le duc les questionn
bouteille de l’autre. Le duc les questionna sur leurs armes et leurs
chevaux
qui étaient en bon ordre, et leur dit qu’il soupç
perdirent la respiration, et furent renversés sur la croupe de leurs
chevaux
, et de là glissèrent à terre. La croyance qu’eure
se relevèrent, et ne se sentant point blessés, et voyant encore leurs
chevaux
qui n’avaient pas branlé, ils crurent effectiveme
génie sauvée, et Pedraria arrêté. Que Don Pedre qui avait reconnu son
cheval
, l’avait fait chercher, et qu’on l’avait trouvé d
oulu attaquer un carrosse plein de femmes et l’amener, pour avoir les
chevaux
dont ils manquaient, ils s’étaient battus à deux
Nos deux chevaliers, qui, sans attendre ses ordres, avaient remonté à
cheval
, étaient déjà bien loin, et avaient trouvé quatre
nture le mit encore en goût et augmenta sa bonne humeur. Il remonta à
cheval
et suivit son maître qui était déjà assez éloigné
il faut voir la fin de l’aventure. Us burent donc seulement un coup à
cheval
, et Sancho qui avait le cœur gai, ne put s’empêch
ichotte et Sancho étaient à l’entrée de la forêt de ce côté-là. Leurs
chevaux
accoutumés à courir au feu prirent à toutes jambe
e, ils ne songeaient plus qu’à se sauver, et pour cela dételaient les
chevaux
du carrosse pour s’en servir. Le cocher était éte
dre sur les bandits, qui n’avaient pas encore eu le temps de monter à
cheval
. Deux de ces malheureux, dont les mousquets étaie
ter un moment la respiration. Sancho vint à lui et le soutint sur son
cheval
. Si ces scélérats n’avaient pas été aveuglés, et
rer du sang, et se défit d’un qui tâchait de ne le point ménager. Son
cheval
fut blessé d’un coup de pointe au poitrail, et n’
, et la lui passa dans la gorge. Tout cela s’était fait à la tête des
chevaux
du carrosse, et devant les yeux de la duchesse, q
ercée, si notre héros n’eût fait gauchir le coup, en lui poussant son
cheval
sur le corps, en sorte que la duchesse en fut qui
rien, s’était servi de l’occasion, et étant promptement monté sur le
cheval
qui s’était déchargé de Sancho, il le piquait, ou
t achever de l’assommer, lorsque Don Quichotte qui arriva ramenant le
cheval
de Sancho, et par conséquent la bouteille, les em
re, que Sancho avait assommé, et celui à qui il avait fait passer son
cheval
sur le corps, qui tous deux n’étaient qu’étourdis
descendre de carrosse, et Sancho n’était point encore remonté sur son
cheval
, lorsque la duchesse, qui s’informa du duc son ép
équipage assez grand, composé d’un carrosse fort magnifique, à quatre
chevaux
, et dans lequel il y avait un homme fort bien vêt
pas un moment à prendre son parti, et sautant promptement sur un des
chevaux
qui était sans maître, il vint se fourrer dans la
ne, et ce fut contre lui qu’ils firent leurs plus grands efforts. Son
cheval
s’abattit de ses blessures, et notre héros, à qui
Eugénie. Dans ce même moment Deshayes fort blessé se laissa tomber de
cheval
. Don Quichotte qui était à pied, profitant de l’o
Don Quichotte qui était à pied, profitant de l’occasion, sauta sur ce
cheval
, et courut après Don Pedre à bride abattue. Il fu
courir après les ravisseurs d’Eugénie. Ils l’avaient déjà mise sur un
cheval
entre les mains d’un d’entre eux, malgré sa résis
en peine de secourir leur chef, qui avait à faire à forte partie. Le
cheval
de notre intrépide chevalier, qui n’était qu’une
abîmes malgré Mahom, et vos faux enchanteurs. Cela dit, il remonta à
cheval
, et voulut prendre sa course, mais sa monture qui
exposer. Notre hardi chevalier n’en voulut point démordre, il prit le
cheval
de celui qui emportait Eugénie, qui était libre,
ndait personne, quechacun était endormi, il prit sa lance sur son bon
cheval
après avoir mis dessus une grande housse rouge po
able lui-même l’aurait pris pour un autre. Après cela pour mettre son
cheval
en haleine, il prit au petit galop le chemin de l
as la tirer du fourreau. Leur étonnement leur empêcha d’arrêter leurs
chevaux
, qui se connaissant, et n’étant plus poussés s’ar
vue du plus ridicule combat qu’on puisse se figurer, de deux hommes à
cheval
armés de toutes pièces, et l’épée au côté, qui se
is quarts des coups ne frappaient que l’air par le mouvement de leurs
chevaux
qui étaient toujours dans l’agitation, parce qu’i
pouvaient pas tenir ferme, à cause du mouvement de leurs corps. Leurs
chevaux
, qui n’étaient ni Rossinante ni Flanquine, étaien
r au château du duc de Médoc, et avant que de monter en carrosse et à
cheval
on dîna. Le curé en fut, et comme cette fois-là i
sonnage de Parafaragaramus, et qui déguisé en ermite, avait dérobé le
cheval
de Don Quichotte, et le lui avait renvoyé chez Ba
ant lui de l’argent qu’il avait pris aux bandits, il attacha les deux
chevaux
de voiture au derrière d’un fourgon. Tout le mond
nos aventuriers, qui armés comme des Amadis, montèrent sur leurs bons
chevaux
. On avait mis de petits clous fort pointus sous l
nir en selle. On lui fit croire qu’un nécromancien avait enchanté son
cheval
, et on lui conseilla d’en changer. Le malheureux
it pied à terre du mieux qu’il put, transporta son bagage sur son bon
cheval
, et monta sur Flanquine, qu’on délia sitôt qu’il
rait jeté dedans si on ne l’en eût empêché. Il pestait contre son bon
cheval
, contre Flanquine, et contre les magiciens qui le
ta vie ; va reprendre tes armes et tes habits, et ne monte sur aucun
cheval
, parce que les tiens sont enchantés. Sancho tout
re les Yangois avaient châtié sur leurs personnes l’incontinence d’un
cheval
, et conjecturer par là que ce serait bien pis qua
hantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des
chevaux
infatigables. Ils avaient déjà tous deux les ye
e endroit où tu as retiré la comtesse des mains de ses ravisseurs, un
cheval
que je te destine, que monta autrefois le fameux
us grandes aventures de ta vie. Le chevalier Sancho trouvera aussi un
cheval
, des armes et l’épée de Pinabel. Sortez tous deux
il voyait bien que l’occasion serait chaude et de fatigue, et que les
chevaux
de nos aventuriers n’étaient point assez forts po
bien persuadé que l’estime qu’ils feraient de leurs armes et de leurs
chevaux
, qu’ils croiraient tenir de la main d’un enchante
orsqu’un cavalier fort bien vêtu, mais dont l’habit, les bottes et le
cheval
crottés, faisaient voir qu’il venait de loin, se
ici Monsieur Des Frans. Ha ! Monsieur, répondit-il, en descendant de
cheval
, quelle joie de vous voir et de vous embrasser !
carrosse, et fit monter son valet derrière, aimant mieux risquer ses
chevaux
, que de laisser ce garçon dans le hasard d’être b
commandèrent à leurs cochers de prendre garde à ne point offenser ces
chevaux
. Des Frans entendit cet ordre général, et remerci
avaient de lui. Ces civilités respectives eurent leur effet ; et les
chevaux
, contre toute apparence, sortirent de cet embarra
ent tous en même temps, que le charme avait cessé, qu’ils voyaient le
cheval
et les armes, et crièrent victoire au brave cheva
ait laissé l’honneur du combat, mais aussi du recouvrement de son bon
cheval
et de ses armes. Tout le monde l’en félicita, on
honneur que jamais chevalier errant n’en avait eu. On le fit monter à
cheval
, où il parut comme un nouveau Mars. On le ramenai
cavaliers s’assirent sur des gazons. Nos aventuriers descendirent de
cheval
et en firent autant. Sancho fut mis entre les deu
u comme mouches ; donnez-moi seulement le temps de me bien remettre à
cheval
, après cela vous verrez beau jeu ; je ne remets l
ai reporter tes armes au château d’Eugénie, et j’y ferai conduire ton
cheval
sans que personne le voie rentrer. Je t’ai laissé
ros de se jeter à ses pieds, parce qu’il lui défendit de descendre de
cheval
, de le remercier, et de le suivre. Pour lui, il s
s. Il passait l’ordinaire grandeur des hommes, et montait un puissant
cheval
; en un mot sa figure était affreuse, et le comte
suis je vais te donner satisfaction. En même temps il voulut monter à
cheval
, et obliger Sancho à se désarmer ; mais le spectr
e quand il voulait, et qu’il passait tout armé et monté sur son grand
cheval
par le trou d’une aiguille. Elle poursuivit, en d
s l’ordre de Chevalerie, je te déclare que j’emporte tes armes et ton
cheval
; je ne te ferai point d’autre mal en faveur de t
a comtesse, qui lui demanda fort froidement, s’il avait déjà pris son
cheval
à l’écurie, et par où il l’avait fait sortir, pui
s pu sortir, le pont-levis n’étant pas encore baissé. La perte de son
cheval
renouvela toutes ses doléances et ses cris. Don Q
. — Quoi ! leur dit Don Quichotte, vous ne voyez pas les armes et le
cheval
du chevalier Sancho pendus à un arbre, et un ench
sins ne la laissèrent pas jouir longtemps. À peine savais-je monter à
cheval
, et peu d’autres choses convenables au parti que
sœur. Une bonne demi-heure après qu’il fut parti, je remontai sur un
cheval
frais, je pris le chemin du couvent, et attendis
e quelle manière le tout se passa. Au sortir du couvent je remontai à
cheval
et j’allai à toutes jambes chez Monsieur le duc d
revins sur mes pas à Paris, je m’assurai d’un carrosse avec huit bons
chevaux
, et j’y mis un cocher et un postillon sur qui je
tait le carrosse ; je leur déclarai là mon secret, et leur donnai des
chevaux
pour aller à ce couvent ; leur allégresse à me su
temps avant celui des grands mots. Je fis avancer le carrosse, et les
chevaux
de mes amis, et ceux d’eux qui étaient dehors mon
les chevaux de mes amis, et ceux d’eux qui étaient dehors montèrent à
cheval
, se saisirent de la porte et empêchèrent que qui
t suivis. Nous emmenâmes la tourière avec nous ; nos amis montèrent à
cheval
, et nous prîmes à toutes jambes le chemin de Lutr
n. Je me mis de moi-même à apprendre à faire des armes, et à monter à
cheval
: c’était mon inclination. On fut très surpris de
e n’en veuille être assurée par votre éloignement. Allez acheter deux
chevaux
pour vous et un valet. Je lui jurai que c’était m
ait mon cœur qui parlait par ma bouche : que j’étais prêt de monter à
cheval
dans l’instant même. Que je ne regarderais de ma
enir voir, si, comme je supposais qu’on me l’avait dit, il avait deux
chevaux
à vendre. Le hasard voulut qu’il y en eût deux en
ont vous savez l’histoire, arriva. Comme il avait envie de vendre ses
chevaux
et moi de les acheter, notre marché fut bientôt c
s avaient fait venir. En un mot je gagnai trois fois la valeur de mes
chevaux
et de la dépense. Lorsqu’ils furent sortis, Querv
deux jours. Que n’ayant pas un sol, il avait été obligé de vendre ses
chevaux
, et que si je voulais les lui revendre, il m’en f
n flambeau, mon valet ne m’ayant pas retrouvé après avoir conduit mes
chevaux
chez ma mère. Une pointe de vin que j’avais, me p
vais prises conformes à mon honneur, et si contraires à mon cœur. Ces
chevaux
que j’avais envoyés chez elle le jour même, lui f
que je donne tout. Je vous laisse mon hôtel meublé, ma vaisselle, mes
chevaux
, et enfin tout ce qui est ici ; c’est à vous à fa
l’autre. À peine fus-je éveillé, que Querville qui m’avait vendu ses
chevaux
, entra dans ma chambre, et me pria de lui donner
de ne les rendre qu’après que je serais hors de Paris, et je montai à
cheval
dans le moment même. J’arrivai à Rome quatre jour
rgent qui devaient encore me venir de la part de ma mère. Je pris des
chevaux
jusqu’à Lyon, et de Lyon à Paris je pris la dilig
ce qui me reste de défunt mon père. Cela me fit promptement monter à
cheval
. Je trouvai encore pis qu’on ne m’avait mandé. Mo
je lui mandais qu’une chute que j’avais faite m’empêchait de monter à
cheval
pour aller au-devant d’elle, et qu’outre cela je
rge, que je les envoierais quérir le lendemain. Qu’elle montât sur le
cheval
que le porteur lui menait, et qu’elle vînt me tro
ec sa fille de chambre qui ne voulut point la quitter, et je montai à
cheval
avec son laquais que j’ai encore, et qui est le m
vers elle ; et je n’eus plus d’autre impatience que celle de monter à
cheval
. Ce ne fut que plus de deux mois après mon arrivé
s il quitta brusquement la table, et sans dire un seul mot il monta à
cheval
sur-le-champ, quelques efforts que je fisse pour
us pouvions tenir tous, afin de nous épargner le trop grand nombre de
chevaux
de relais ; cependant comme il nous en fallait to
is ; cependant comme il nous en fallait tous les jours six, et quatre
chevaux
de main pour Sainville, son valet de chambre et d
que nous n’avions que pour quatre bonnes heures de chemin, et que nos
chevaux
les feraient bien sans repaître ; mais à deux lie
postillon profitant du temps pour nous mettre en sûreté, a poussé ses
chevaux
à toute bride, et nous a menés proche de votre ch
dans l’hôtellerie, ni quitter le champ de bataille, non plus que ton
cheval
, parce qu’un bon chevalier doit toujours être en
e que vous dites. Par exemple ; mon cher maître, étiez-vous sur votre
cheval
quand Parafaragaramus vous l’a pris, et vous l’a
et abîmé dans ses rêveries il ne suivait les autres que parce que son
cheval
l’y contraignait. Sancho allait derrière lui tris
es vit aller à lui. Cette femme vint en courant se jeter aux pieds du
cheval
de Don Quichotte. Ah, Seigneur chevalier, lui dit
se battra contre le tien. Don Quichotte aurait bien voulu prendre son
cheval
, mais voyant qu’il lui était impossible de le fai
r et la haine. Cet officier n’était pas bien monté, et voyant que son
cheval
ne pouvait pas tenir tête à celui de son ennemi q
ur, il avait commencé avant que de s’attacher au maître par porter au
cheval
deux grands coups d’épée dans les flancs. Tant qu
gnant de pleurer, j’ai sauté du maître au valet, j’ai bien changé mon
cheval
borgne dans un aveugle. Tu m’avais offert ton ser
bre, où s’étant armé, il descendit à l’écurie, accommoda lui-même son
cheval
, et sortit dans la résolution de prendre le premi
n abatte ; ou, du moins, c’est bien rarement. J’y ai vu de fort beaux
chevaux
, au nombre de quatre : ils appartiennent à la Com
appartiennent à la Compagnie. Ils sont aussi fins que les plus beaux
chevaux
d’Espagne. Je ne les crois pas propres à la fatig
venions tous de La Rochelle à Paris. Ces messieurs venaient sur leurs
chevaux
& ne faisaient pas des journées plus longues
e, vint m’avertir qu’on allait partir ; Malroi lui dit de laisser mon
cheval
, & ne se mît pas en peine du reste, parce qu’
de santés que la mienne en était fort endommagée. Enfin, je montai à
cheval
, & Malroi me conduisit avec deux gardes, comm
a à moitié chemin, & me dit que je n’avais qu’à laisser aller mon
cheval
. La nuit était si obscure que je n’en voyais pas
er la nuit à la belle étoile. Bêtise à moi, qui devais savoir que les
chevaux
des messagers savent leur chemin. Je mis donc pie
hemin. Je mis donc pied à terre, au pied d’un arbre. J’y attachai mon
cheval
par son licol ; &, ayant joint la bride au bo
evoir qu’il avait trouvé quelque chose ; je me levai, je détachai mon
cheval
, &, passant la bride dans mon bras, je suivis
on l’aime mieux, les fenêtres éclairées de chandelles. Je remontai à
cheval
; &, suivant toujours mon chien, j’arrivai à
ne armée de cinquante mille hommes d’infanterie & de trente mille
chevaux
, avec soixante grosses pièces de canon & tout
a Messaline ; & le soir, en soupant, il lui dit qu’il monterait à
cheval
le lendemain à trois heures du matin. Il laissa s
a femme sur sa bonne foi tout le temps qu’il fut à aller chercher des
chevaux
. Elle l’employa à avertir l’abbé de ne pas manque
int chez lui, se coucha, & se leva à deux heures & demie. Les
chevaux
vinrent précisément à trois heures : il fit sembl
ur un, & donna son manteau à un homme aposté, qui partit avec les
chevaux
& ferma la porte, qui fit enfin tout ce qu’il
, content de ce qu’il avait vu, sortit sans bruit, alla rejoindre les
chevaux
, & alla effectivement à deux ou trois lieues
uper, & envoya le carrosse l’attendre à la tête du faubourg. Deux
chevaux
de main parurent : il monta sur celui qui était à
tement du monde. Il paya celui qui devait la conduire & acheta un
cheval
pour ne la pas quitter, & n’être point fixé a
it toujours après les autres, en compagnie de ses amis, quelquefois à
cheval
, & le plus souvent à pied, n’y ayant pas loin
mp; une pucelle, elle qui avait plus servi le public que le doyen des
chevaux
de poste ! Qu’est-ce que c’est donc que cornes, q
ls le prièrent d’avoir soin de moi pour me faire apprendre à monter à
cheval
: j’y allai donc, mais cela ne dura pas longtemps
malin qu’un diable. L’écuyer lui en voulait : il lui donna un jour à
cheval
un coup de chambrière qui le fit redresser d’une
mblant de nous entendre et résolut de m’en donner autant. Je montai à
cheval
à mon tour ; la gourmette était détachée, je n’y
œil qui ne lui promettait rien de bon, et je tournais la tête de mon
cheval
pour le pousser sur lui à toute bride, mais Monsi
t-il, d’un air froid capable de me glacer, qu’un bon cavalier monte à
cheval
, sans avoir jeté l’œil sur tout le harnais : la g
ulu y retourner depuis ; et j’achevai ailleurs d’apprendre à monter à
cheval
. J’apprenais à faire des armes chez un maître où
dans la cour d’un cabaret où j’étais fort connu, et où je laissai mon
cheval
. J’entrai dans cette digne maison : je n’eus que
point vu parlant à lui, je le fis entrer dans le cabaret où était mon
cheval
. Je n’ai pas un sou, lui dis-je, il faut que j’ai
x laquais. Dès que je la vis entrée chez la Martinière, je remontai à
cheval
. Je pris le grand tour, et me rendis chez mon pèr
ercher dans la caverne, où ils l’avaient laissé, sans parler de leurs
chevaux
, sur lesquels ces malheureux n’avaient pas eu le
e autre arme, mais Sancho ne lui en donna pas le temps, et poussa son
cheval
sur l’agresseur, et le lui fit passer sur le corp
la le duc monta en carrosse avec la duchesse. Don Quichotte remonta à
cheval
. Sancho à cause de l’infection des médicaments qu
être à trois cents pas du grand chemin. Ils descendirent tous deux de
cheval
, et entrèrent dans la forêt pour s’y reposer. A p
effet un fort propre, tout neuf et doré, attelé de quatre fort beaux
chevaux
pies. Il y avait trois laquais et un cocher de mê
îtresse, leur enfant et la fille de chambre. Du Val et moi montâmes à
cheval
. Nous prîmes tous le chemin de Paris. Je me fis m
le. L’autre côté au dos du miroir, représentait un cavalier, dont le
cheval
paraissait aller à toutes jambes, et un Amour qui
, et un Amour qui volait devant lui, paraissait tenir la bride de son
cheval
, et l’éloigner d’une ville et de plusieurs femmes
uthier, et lui envoyai aussi ce que je venais d’écrire. Je remontai à
cheval
dans l’instant même, et me rendis en poste à Gren
endit de la suivre. Il la vit partir dans son carrosse traîné par six
chevaux
, et plus de vingt cavaliers la suivaient. C’était
qui elle était et pourquoi elle allait à pied ayant avec elle tant de
chevaux
et de carrosses. La Reine, qui aima sa naïveté, l
d’homme lui sieyait parfaitement ; outre cela, elle était très bien à
cheval
, et courait la poste aussi bien qu’un postillon ;
qu’il reviendrait. 162. Sitôt qu’il eût quitté le dauphin, il monta à
cheval
et vint à toutes jambes à Paris, et se fit introd
six deniers pour la charge d’un âne, et deux sols pour la charge d’un
cheval
. Le peuple ne fut nullement content de cet impôt.
t le fils ; lesquels il fit à l’instant monter dans un carrosse à six
chevaux
pour se rendre à Rouen, où ils devaient prendre l
e Deschiens, il ne voulut pas mettre pied à terre chez lui, et vint à
cheval
chez Deschiens. Par malheur pour celui-ci, M. de
de son carrosse, et son cocher, qui le croyait dedans, fit partir ses
chevaux
. On sait que les chevaux de ces gens là sont vifs
ocher, qui le croyait dedans, fit partir ses chevaux. On sait que les
chevaux
de ces gens là sont vifs et forts. Ils tirèrent a
eux des princes ; Belles maisons aux champs, en ville des palais ; De
chevaux
pareil assemblage ; Nombreux cortège de laquais ;
camouflet à perte d’haleine, ce qui était capable de faire crever un
cheval
, et qui fut aussi plus sensible à Sancho que tout
la ville. Comme j’avais envie de la voir et que je ne pus trouver de
chevaux
, je fus obligé de me servir d’un âne : ce n’est p
ux, mais en petite quantité. Celui que le P. Tachard montait était un
cheval
d’Espagne qui vaudrait en France soixante pistole
d’heure pour monter ou descendre les roches, étant impossible que ni
cheval
ni âne y monte ou en descende chargé, et faisant
et je crois qu’ils n’en abattent que rarement. J’ai vu de fort beaux
chevaux
qui appartiennent à la Compagnie, petits effectiv
Malbare, et je crois que cela pare un carrosse beaucoup plus que des
chevaux
. Quand le Directeur va quelque part en pompe, il
mi et se montre digne fils de Sauvagy. Il a levé environ trente mille
chevaux
et s’est allé opposer à l’armée victorieuse du Mo
r tout à fait il a envoyé dans ce pays-ci une armée de quarante mille
chevaux
et de cinquante mille hommes de pied avec l’attir
il est resté aux écoutes dehors et a toujours tenu avec trente mille
chevaux
l’armée de son ennemi en suspens de ses desseins
timent, il ne passa chez lui que pour prendre de l’argent et monter à
cheval
; et depuis ce temps-là il n’a pas remis le pied
Étant plusieurs qui avions envie de la voir, et ne trouvant point de
chevaux
, nous fûmes obligés de nous servir d’ânes : ce n’
ur monter ou descendre les rochers, parce qu’il est impossible que ni
cheval
ni âne en descende chargé : ainsi, nous avons fai
les Pyrénées, à mon retour d’Espagne. Il tomba à deux pas de moi. Mon
cheval
en fut renversé et je pensai être tué. Je restai
ébloui sans pouvoir rien distinguer. Heureux d’avoir compagnie ! Mon
cheval
, sur le côté, eut bien de la peine à se relever.
sent largement le pacage à une infinité de bœufs ou taureaux, vaches,
chevaux
, ânes et autres animaux sauvages, mais non malfai
son solide et convaincante pourquoi toutes les bêtes à quatre pieds :
chevaux
, ânes, bœufs, chiens, chats, rats, souris, lièvre
etites ailes, lequel s’élance de dessus un arbre sur un animal, bœuf,
cheval
, âne, et même éléphant ; qu’assez souvent même il
sa femme, et ne lui en parla que dans le moment qu’il allait monter à
cheval
. Celle-ci qui ne lui avait pas dit un mot depuis
e, et que ce coquin suivi de mon laquais, et montés tous deux sur mes
chevaux
, avaient traversé toute la rue au galop, et que m
▲