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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
justice fut faite d’eux tous, et ils furent envoyés border les grands chemins , excepté celui à qui le duc de Médoc avait promis
ris qu’on ne dût s’attendre à l’être ; mais que les voleurs de grands chemins étaient des gens qui mettaient leur sûreté dans l
nt cette chasse si indigne d’eux, les bandits et les voleurs de grand chemin étaient punis du plus long et du plus rude des su
la sépulture. Don Quichotte qui n’avait garde de demeurer en si beau chemin , reprit la parole après le duc, et après avoir ré
a Chevalerie errante, et pour ne pas en avoir de sujet chacun prît le chemin de sa chambre. Comme Sancho en confiant son butin
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
avoir pris congé des dames, et avoir remercié la duchesse, prirent le chemin du Toboso, et couchèrent le premier jour dans une
is en marche, et se trouvant sur le midi fatigués de la chaleur et du chemin qu’ils avaient fait, ils gagnèrent un bois fort é
nèrent un bois fort épais qui pouvait être à trois cents pas du grand chemin . Ils descendirent tous deux de cheval, et entrère
ent guère à sentir les atteintes ; car à peine se furent-ils remis en chemin , que Sancho se plaignit d’un grand mal de côté. —
3 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
i bien que cette vue vous présente une assez agréable perspective. Ce chemin vous conduit jusques au pied d’une montagne fort
qui donne beaucoup de peine à conduire jusques à la rive, à cause du chemin qui est étroit, tortu et sans uniformité. A 200 a
ont raison de ne les pas mesurer juste. Nous avons été cinq heures en chemin  ; ajoutez à cela la chaleur qu’il faisait qui nou
la chaleur qu’il faisait qui nous mettait tout en eau, et le mauvais chemin , et vous avouerez que nous n’avions pas tout le t
et ennuyeux. Ce ne sont que montagnes et précipices, pas cent pas de chemin uni. On voit toujours la mer à gauche en allant,
en descende chargé, et faisant ainsi à pied les deux tiers presque du chemin le plus difficile et le plus tuant. Il y a, à un
ette île est pleine, et qui ne coulent qu’après qu’il a plu. A moitié chemin , on trouve un ruisseau qui peut avoir trois pieds
u. Enfin nous arrivâmes à la ville, fort fatigués de la chaleur et du chemin , et après l’avoir cent fois donnée au diable ; et
d’un ou de deux étages, couvertes de tuiles comme celles de Paris. Le chemin qui conduit de cette porte à la ville est brut[e]
tions quatre Français ensemble, fatigués, brûlés du soleil, lassés du chemin , altérés par la chaleur et affamés comme des chas
685. Du vendredi 21 [avril] Toujours de même pour le vent et le chemin . Monsieur Hurtain est à l’agonie. Du samedi 22
au roulis près. Du dimanche 7 [mai] Même vent, même route, même chemin . Du lundi 8 [mai] Le vent s’est encore renf
m. Du jeudi 8 [juin] Le vent est bon Sud-Ouest vent arrière bon chemin . Si ce vent-ci continue nous voirons lundi Madaga
le chevalier de Chaumont ambassadeur du Roi, fondé sur le plus court chemin que cette nation prenait pour aller aux Indes che
u envie de voir la ville qui est la demeure de leur Roi. Je me mis en chemin pour y aller jeudi dernier jour de la Saint-Pierr
us rien au camp et qu’ils me priaient de retourner. Je poursuivis mon chemin , l’un d’eux coupa à travers le bois et un demi-qu
c lui plus de quarante Noirs armés de longs bâtons pour me boucher le chemin . J’avais avec moi un caporal brave garçon qui aur
ent de force fait retourner des Français en arrière je poursuivis mon chemin . Mais voyant qu’après m’avoir côtoyé ils approcha
s, nous allons à merveille. On dit ici et je crois qu’il est vrai que chemin faisant nous irons visiter les comptoirs que les
enté cette nuit, nous ne devions point en trouver de si proche sur le chemin . Où sommes-nous ? On n’ en sait rien, les pilotes
re pendant le jour, mais bride en main la nuit, crainte de trouver en chemin ce que nous ne cherchons pas. Car ç’a été effecti
ui est le lieu où nous allons et où il n’y a que pour peu de temps de chemin . Nous avons ici trois Hollandais, dont l’un serva
orde toute la terre qui forme l’isthme, et bouche du côté de terre le chemin de la montagne qui la couvre du côté de la mer. L
st cause que nous n’avançons pas. Nous ne sommes qu’à douze heures de chemin de Pondichéry, ainsi nous comptons y être demain.
é pavillon danois : nous les avons crus tels et avons poursuivi notre chemin sans leur faire plus au long décliner leur nom. P
épousées leur en versent trois fois sur la tête et en jettent sur le chemin par où ils doivent passer l’un et l’autre en sort
t de l’autre secte. J’avais envie de voir une pagode, et je me mis en chemin pour cela avec trois autres Français dont un qui
peuples sont charitables et hospitaliers : ils entretiennent sur les chemins des hôpitaux qu’ils appellent chandrys, où les pa
et mis hors de service. Nous voyons d’ici un navire justement sur le chemin que nous devons tenir : si nous ne retournons pas
quartier à ceux qui sont assez malheureux pour se rencontrer sur leur chemin sans être en état de leur résister ; les tigres f
ommé Sadraspatan entre Pondichéry et Madras. L’Ecueil lui bouchait le chemin de la mer, le Lion et le Dragon le suivaient et e
s dont lui et le général du Mogol ont couvert la campagne rendent les chemins mal sûrs, et leurs naires ou cavaliers viennent j
enfants. Ils marchent ainsi, le corps ayant le visage tourné vers le chemin , jusques à environ vingt ou trente pas du foyer,
la mer sans se raccommoder et qu’un navire seul fait beaucoup plus de chemin que lorsqu’il est en corps, parce qu’il suit touj
u huit lieues de nous. Si le vent était un peu plus fort ce serait du chemin pour jusques à minuit, mais j’espère que demain m
de n’être pas en état de venir au-devant de nous ou de nous couper le chemin , surtout les scélérats qui après avoir dit Credo
hercher. Nous sommes seuls, et un vaisseau seul fait beaucoup plus de chemin que lorsqu’il est en compagnie car il fait route
fort calmé et nous n’avons que fort peu avancé, nous sommes à moitié chemin du Cap de Bonne-Espérance à l’Ile de l’Ascension.
st comme je vous ai dit qu’une roche hachée, il n’y a pas cent pas de chemin droit et uni. C’est dans le lit où coule l’eau qu
ollandais n’a osé partir des Indes crainte de nous rencontrer dans le chemin . Monsieur de Porrières n’y a laissé ni lettre ni
ui. Cela nous a empêchés et nous empêche encore de faire bien plus de chemin que nous ne faisons. Ceux qui ont impatience de v
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
ant que de la conduire au château du duc de Médoc, et de la mettre en chemin pour y aller, il est à propos de dire ce qui s’ét
eine son écuyer eut la bride en main, qu’elle prit à toutes jambes le chemin d’une petite rivière qui était tout proche, et où
trait ; cela acheva de le remettre en bonne humeur, et on se remit en chemin . Comme on entendit un cor en arrivant au château,
emblant de se pâmer à la vue de Don Quichotte, lequel poursuivant son chemin sans faire semblant de la voir, fut arrêté par le
-dire les ducs et le comte espagnols, et les deux Français prirent le chemin de la plaine ; on chassa tout le matin avec assez
c assez de bonheur, et le soleil commençant à être ardent, on prit le chemin d’un petit bois pour se mettre à l’ombre.
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
épide chevalier, sans affecter aucune troupe, se jeta dans le premier chemin qu’il trouva, et ne suivant que ses visions, alla
s enfin étant arrivés dans un fond où ils virent deux ou trois petits chemins frayés, ils en suivirent un qui les conduisit à l
voir quitté la comtesse, la peur ne lui avait pas permis de voir quel chemin il prenait, et qu’il était venu justement s’enfou
ordinaires, ils avaient quitté le bois, et s’étaient jetés du côté du chemin du château de Valerio, et en tournant le dos à ce
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
même satyre qui avait arrêté Don Quichotte, vint se présenter dans le chemin où il fit deux ou trois gambades et autant de foi
devais attendre de toi, après t’avoir armé chevalier, et mis dans le chemin de l’honneur et de la fortune ? Tu n’es qu’un ser
es familles et les ménages ; cependant elle n’a pas si bien oublié le chemin des couvents, qu’elle ne le retrouve bien quand e
ait en train de jaser, et n’en serait assurément pas resté en si beau chemin , si Don Quichotte ne lui eût dit le premier, qu’i
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLII. Comment Don Quichotte sauva la vie à la duchesse de Médoc. Nouveaux exploits des deux chevaliers. »
si elle résolut d’y venir à l’issue de son dîner. Elle se mit donc en chemin , et croyant le pouvoir faire en toute sûreté, ell
. Leurs chevaux accoutumés à courir au feu prirent à toutes jambes le chemin du bruit et furent en un moment hors du bois. Le
rt que vif, il n’osait branler ni ouvrir la bouche. Notre héros coupa chemin à un des fuyards, et ayant appris de lui qu’on ve
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
rès cela pour mettre son cheval en haleine, il prit au petit galop le chemin de l’endroit où Sancho était en sentinelle. Celui
rdre. —  Eh ! qui es-tu toi, lui répondit-il, pour m’arrêter dans mon chemin  ? prépare-toi toi-même à la mort, ou à avouer une
z qu’à avouer ce que je vous ai dit, répondit Sancho, et passer votre chemin . —  J’avouerais plutôt que je suis Turc, répondit
9 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
usées, leur en versent trois fois sur la tête & en jettent sur le chemin par lequel ils doivent passer en sortant de la pa
que j’ai à dire. J’avais envie d’en voir une. Je me mis pour cela en chemin avec trois autres Français, dont un, qui nous con
sur cet article, font honte aux chrétiens. Ils entretiennent sur les chemins des hôpitaux, qu’ils appellent chandri, où les pa
ut sauter de bonne grâce quand on a le malheur de les trouver sur son chemin . J’ai écrit ceci pour faire connaître le génie de
’affronter de plus près. Nous voyons d’ici un navire justement sur le chemin que nous devons tenir. Il a été tiré aujourd’hui,
ents mouillages, n’ayant pas été & n’allant point encore le droit chemin  ; que même nous ne passerons pas le tropique du C
le signal : le Florissant n’y a point répondu, & a poursuivi son chemin jusqu’à midi, qu’on lui a fait un second signal.
le messager, jusqu’au Mantelan, où il couche, ne sont que landes sans chemin que ceux qu’on fait à travers à sa fantaisie. Mal
e ceux qu’on fait à travers à sa fantaisie. Malroi me quitta à moitié chemin , & me dit que je n’avais qu’à laisser aller m
ouvoir distinguer où il mettait le pied. Cela, joint à la longueur du chemin , sans trouver ni maison, ni masure, sans voir auc
se à moi, qui devais savoir que les chevaux des messagers savent leur chemin . Je mis donc pied à terre, au pied d’un arbre. J’
ne, & qui en sortant du fossé retombe à la rivière par son ancien chemin . Le Mogol n’aurait jamais ruiné ce fort par ses p
é aux pieds, la justice en France conserve la vie. Un voleur de grand chemin est moins à craindre dans le public, & y fait
aient sa vivacité & son ardeur, & tâchèrent d’écarter de leur chemin une pierre si dure. Ce fut Batonneau, l’un d’eux,
pavillons : ils nous ont montré les leurs. Nous avons continué notre chemin sans nous faire d’autre mal les uns aux autres qu
Sadraspatan, entre Madras & Pondichéry. l’Écueil lui bouchait le chemin de la mer, & le Dragon & le Lion qui le s
ont le général du Mogol & lui ont couvert la campagne rendent les chemins mal surs ; & leurs neyres ou cavaliers vienne
feroces Progenerant aquilae columbam Je me suis un peu écarté de mon chemin  ; & j’ai cru devoir le faire parce que les In
ruction toutes ces nations incultes & idolâtres qui sont sur leur chemin  ? Pourquoi ne s’attachent-ils pas à Moali, peuple
va point en paradis par la révolte, ou bien l’Évangile est faux. Quel chemin ont-ils donc pris, & quel chemin prendront au
u bien l’Évangile est faux. Quel chemin ont-ils donc pris, & quel chemin prendront aussi leurs imitateurs, leurs apologist
la quitta à toutes jambes, & ne l’a point vue depuis. Il prit le chemin de La Rochelle, d’où il passa aux îles de l’Améri
usqu’à quelque trente pas du bûcher, le corps ayant le visage vers le chemin . Après quelque temps de pose, qui donne au bramèn
prières, & de jeter du riz autour du corps, à terre & sur le chemin , on fait faire volte-face, ou demi-tour à gauche,
e chez soi ou à ses affaires ; mais tous disparaissent par différents chemins . Il y avait quelques femmes ; mais je ne me suis
la religion chrétienne, & qu’ils la laissent librement faire son chemin , pourvu qu’elle ne se porte pas aux excès qu’elle
rre d’anspect. Un matelot a voulu ôter cette barre, qui traversait le chemin  ; &, ne prenant pas garde au baquet qui porta
uf degrés juste au sud de la Ligne. Le vent de Sud-Est nous bouche le chemin de Mascarey. Nous courons le Sud-Ouest. Du ven
sans nous raccommoder, & un navire faisant seul beaucoup plus de chemin que lorsqu’il est en compagnie obligé de retarder
res domestiques : je n’y restai que fort peu de temps & me mis en chemin pour retourner à Utrecht, où le régiment était en
; car il manquait d’espèces sonnantes de passage. Nous fîmes seuls le chemin avec plaisir : il n’avait point de compagnon. Sa
oulait interroger lui-même, & me fit traverser à sa suite tout le chemin de la grande place au gouvernement. Un religieux
 ; qu’il l’avait obtenue avec bien de la peine ; & qu’il était en chemin , lorsque, malheureusement pour moi, il m’avait tr
e lui faire attacher au cou un boulet à deux têtes. Il poursuivit son chemin , sauva l’île de Saint-Christophle, où il fit mett
as à plus de neuf lieues de nous. Si le vent renforçait, ce serait du chemin jusqu’à minuit. J’espère cependant qu’à l’issue d
il paraît quelque navire. Je crois qu’ils voudraient bien nous couper chemin , surtout les scélérats qui, après avoir dit leur
vent a fort calmé, & nous avons peu avancé. Nous sommes à moitié chemin du cap de Bonne-Espérance à l’Ascension. Du di
as brut de montagnes & de rochers : il n’y a pas cinquante pas de chemin droit & uni, infertile partout, excepté seule
il y en a. J’ai été jusqu’au milieu de l’île & ai trouvé dans mon chemin des restes de planches de sapin abattues, & u
’elle disait de sa famille n’était pas tout à fait faux. Elle prit le chemin d’Orléans un mercredi après-midi, et vint dans la
rait pas fait confidence de ce qui lui est arrivé au Châtelet, sur le chemin , à La Rochelle & ici avec le chevalier Des Fa
 ; ce qui est beaucoup dire. Leurs rendez-vous allaient toujours leur chemin & ils voulurent tous deux se tenir corps à co
ntre le mari & la femme, ils sortirent tous deux & prirent le chemin du Fort-Royal. Elle le quitta à quelque distance
mp; dont il ne savait comment se défaire, sortit aussi, & prit le chemin de la maison du charpentier. Cet homme était reve
une ridicule appréhension aux dépens de ma santé, je vas toujours mon chemin avec mes bouillons rouges à l’ordinaire. Du di
; la mène présentement en toue. Cela nous a empêchés de faire bien du chemin , que nous eussions fait si rien ne nous avait ret
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
ière des cavaliers, ils suivirent le duc d’Albuquerque qui prenait le chemin du château de Valerio. Comme ils sortaient de l’h
lessé était l’époux de cette dame française, lui fit aussi prendre le chemin du château, où nous les laisserons aller pour ret
tous côtés : comme elle s’en était doutée, elle avait concerté sur le chemin avec le duc d’Albuquerque et Dorothée ce qu’ils l
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
t sauta dans cette fosse. Sancho persuadé que c’était la le véritable chemin de retrouver son argent l’imita en criant : Allon
. Je t’ai promis, dit Parafaragaramus à Don Quichotte, de t’ouvrir le chemin au désenchantement de la princesse Dulcinée, et j
il voudrait les mener, ils marchèrent environ deux cents pas dans un chemin étroit et parmi les ténèbres, et se trouvèrent to
s démons ne sont pas plus méchants que ceux que j’ai trouvés dans mon chemin , je les défie, et jure par ma barbe de les défair
12 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
jours traitées d’une manière également agréable et intéressante ; et, chemin faisant, il débite sur tous ces sujets ses propre
de, il m’aurait été impossible d’y déférer ; mais sa teneur ouvrit le chemin à ce que je méditais. Il commençait par ces mots
quer dans le moment, pour venir à bord du Général ; et que pendant le chemin il aurait le temps de songer à sa conscience, et
âmes tous de bon appétit, et ensuite nous primes tous de compagnie le chemin de l’Orient, où nous trouvâmes M. Céberet. Le che
marine, que j’ai emportée exprès, où je marquerai à petits points le chemin que notre vaisseau aura suivi ; et avec cela je j
ectement à lui, et par conséquent ne trouver aucun obstacle dans leur chemin  ; mais où le soleil aurait-il pris cette chaleur
r les neiges et le froid. J’avoue qu’outre la longueur la rapidité du chemin , voilà de terribles obstacles ; mais, si j’en éta
sent le fleuve Héridan, ou la voie lactée, que le bas-peuple nomme le chemin de Saint-Jacques, sont tout autant de mondes diff
bornée par la mer et par quelques petites maisonnettes ou cabanes. Ce chemin conduit jusqu’au pied d’une montagne fort escarpé
’église et le village dont je parlerai bientôt, après avoir achevé le chemin . En allant, on laisse à gauche un des deux puits
e de sa profondeur, et plus encore à conduire jusqu’à la rive, par un chemin tordu, étroit et plein de cailloux. À cent cinqua
excusables de ne les pas mesurer juste. Nous avons été cinq heures en chemin  : ajoutez la chaleur qu’il faisait, qui nous mett
ni agréable. Ce ne sont que montagnes et précipices, pas cent pas de chemin uni. On voit toujours la mer à gauche en allant,
e en descende chargé : ainsi, nous avons fait à pied plus du tiers du chemin le plus difficile et le plus tuant. Il y en a un
formé des eaux qui tombent des montagnes après qu’il a plu. A moitié chemin on trouve un ruisseau de trois pieds de largeur s
e voit de si loin. Enfin, nous arrivâmes à la ville, fort fatigués du chemin  ; et la première chose que nous aperçûmes au clai
les. Je n’y ai point vu d’ardoise, pas même à l’église cathédrale. Le chemin qui conduit de cette porte à la ville est brut sa
les autres Français, ni moi, qui avons été à la ville par différents chemins , n’avons vu aucun arbre vert, tel soit-il, que ce
fossé de bonne grâce. Nous avons vidé le flacon : il a pris un autre chemin avec le vin, et je suis venu seul avec Landais. J
plus robustes. Du jeudi 6 avril 1690 Nous allons toujours notre chemin , et n’étions à midi qu’à quinze lieues ou quarant
quoi ! ai-je dit tout haut, trouverai-je toujours ce brutal dans mon chemin  ? Je suis promptement descendu, et M. de La Chass
it. Après le départ de ces trois canots, qui en débordant ont pris le chemin de l’Amiral, je suis monté dans ma chambre. M.de
ut de la Ligne : on ne doit pas s’étonner si le vaisseau fait plus de chemin qu’en la montant. Du samedi 6 mai 1690 J’av
tais, et m’informais sur la carte des routes des nations, et par quel chemin on avait abrégé le cours des voyages. Ils me les
e ; et, pour faire échouer ce vaisseau sur cette île, il lui trace un chemin par la mer d’Ormus et la mer Rouge, en homme sava
ureur de dévotion, se sont mis à la mer pour aller à La Mecque par un chemin plus prompt et plus aisé que celui des déserts. L
r dans le bois, comme à Saint-Yago, pas si loin effectivement, par un chemin infiniment plus rude, puisqu’il faut faire passer
et comme insensiblement leur inspirer la bonne. Je crois que voilà le chemin qu’on doit suivre ; du moins, c’est celui que la
r ville me prit : c’est la demeure de leur roi ou cheik. Je me mis en chemin jeudi dernier, et n’emmenai avec moi que mon nègr
qu’à deux lieues du camp dans les terres. Je fis environ la moitié du chemin par un sentier battu et étroit, sans rencontrer p
oche du mouillage ; et qu’ils me priaient de retourner. Je suivis mon chemin . Un d’eux coupa à travers le bois, et un quart d’
rés de latitude Sud ; et, suivant la route que nous avons tenue et le chemin que nous avons fait, les cartes marines hollandai
ns l’Est-Nord-Est. On dit ici, et je crois que cela pourra être, que, chemin faisant, nous irons visiter les comptoirs de nos
nuit, qui est l’Est-Sud-Est, nous ne devions point en trouver sur le chemin que Ceylon, où nous allons, et dont nous nous cro
ou pour empêcher sa chaloupe de gagner terre, en allant lui couper le chemin , pendant que je resterais à la flûte à remplir le
comme des corps saints, ou du moins exécutons nos ordres, et coupons chemin à la chaloupe qui fuit à terre. Eh, f..., monsieu
et ensuite l’a congédiée : et son monde étant rembarqué, il a pris le chemin du Général. Cela s’appelle-t-il des moineaux ? Va
ry, qui est l’endroit où nous allons. Il n’y a que pour deux jours de chemin , si nous allions en droite route. Nous avons donn
qui forme cette péninsule et l’isthme, et bouche du côté de terre le chemin de la montagne qui la couvre du côté de la terre
à tout gouverner ; mais à donner le mouvement à tout et suit un autre chemin , plus subtil : c’est par le commerce universel. I
is navires, qui ont arboré pavillon danois. Nous avons continué notre chemin sans leur faire plus au long décliner leur nom. P
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
croyions trouver déjà cinq ou six chevaliers vaincus, et vous dans le chemin de la gloire ; Monsieur le duc avait ordonné qu’o
sir pour leur pénitence. Avec de semblables discours ils reprirent le chemin du château, où nous les laisserons se reposer pou
le charme, sitôt que le sage Parafaragaramus lui en aurait ouvert les chemins , comme il le lui avait promis. Il s’arma de pied
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
ille de chambre. Du Val et moi montâmes à cheval. Nous prîmes tous le chemin de Paris. Je me fis montrer la maison de Jussy en
is. Je me fis montrer la maison de Jussy en passant, et pris après le chemin de ce quartier-ci. Je vous rencontrai au bout du
sse, et après avoir fort bien soupé, nous prîmes tous de compagnie le chemin de cette paroisse. Ce fut là que Jussy fit entrer
Nous rentrâmes à Paris sur les quatre heures du matin, chacun prit le chemin de chez soi, excepté moi qui couchai chez les mar
dit à présent, montons. Tout le monde sortit de la salle, et prit le chemin de la chambre de la bonne femme. Son fils donna l
15 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
perçus que les yeux de Clémence me regardaient sans haine. Pendant le chemin de là à Paris, je tins à peu près le même style q
dix-huit ans, sans avoir vu le monde : on appelle cela faire bien du chemin en peu de temps. Effectivement, poursuivit-il, le
’impose d’un mot. Ne craignant donc plus d’être découvert, je pris le chemin du couvent, et je demandai Clémence de la part de
re après qu’il fut parti, je remontai sur un cheval frais, je pris le chemin du couvent, et attendis au lieu marqué la réponse
se à me suivre, me répondit du succès de l’entreprise. Nous prîmes un chemin écarté de celui qu’il fallait tenir pour aller de
nous ; nos amis montèrent à cheval, et nous prîmes à toutes jambes le chemin de Lutry. Sitôt que nous y fûmes je me retirai av
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
ieur l’intendant, je le pris si haut qu’il vit bien que son véritable chemin était celui de la porte. Les deux hommes qui avai
demain j’en fis autant, et je la vis avec plusieurs filles prendre le chemin des boulevards : elles s’assirent sur l’herbe et
avais pas vu : je l’appelai, et il ne répondit pas. Je poursuivis mon chemin bien en peine de ce qu’on m’écrivait par une voie
ouvait, en ayant eu une à peu près de son âge morte depuis peu sur le chemin de son pays à Paris. On lui mandait le nom et la
t morte en deux jours de maladie à Illiers. Qu’il avait poursuivi son chemin pour postuler auprès du fils de celui à qui il s’
mais en effet cruellement déchiré dans moi-même. J’avais rêvé dans le chemin au parti que Silvie m’avait proposé ; j’en trouva
rant à ma mère. Ce fut là notre résolution. Nous reprîmes ensemble le chemin de Paris, et nous nous séparâmes à une lieue d’ic
tre fut-ce le coquin qui me vendit ; du moins me fit-il passer par un chemin que je n’avais point vu les autres fois ; mais il
s obligé d’y rester malgré moi, n’étant pas en état de me remettre en chemin . J’écrivis dès le jour même à ma mère ce qui m’ét
ous nous séparâmes sur les trois heures : Silvie et sa troupe prit le chemin de Paris. J’allai moi à Fontainebleau où la Cour
bien que par appel elle viendrait au Parlement de Paris, j’en pris le chemin , et laissai le soin de la poursuivre à un procure
faible m’y voulût incessamment conduire ; et m’étant indifférent quel chemin je prendrais, je pris celui de Paris dans le dess
esté toute ma vie ; mais cette vie unie me dégoûta. Je poursuivis mon chemin , j’allai à Rome, où je trouvai Monsieur de Quervi
s cette raison valable, promit de l’amener, après quoi chacun prit le chemin de chez soi. Monsieur et Madame de Contamine rest
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
ncèrent dans la forêt. Don Pedre qui avait le visage tourné vers leur chemin , ne vit pas plutôt sa belle-sœur, qu’il courut à
rs fort bien montés, que les cris d’Eugénie avaient fait détourner du chemin pour venir à elle. Les questions qu’ils leur fire
18 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
mêlé ; car sans lui toute sa vertu et sa beauté l’auraient laissée en chemin . Elle ne se méconnaît point ; c’est ce qui fait d
Mademoiselle de Vougy avait entreprise pour son parent, était pour un chemin qui avait été reculé par un fermier de Madame de
r les terres du cousin de cette demoiselle. Son prétexte était que ce chemin était plus court et plus droit : mais en effet c’
r conversation. Mademoiselle Dupuis sut de l’autre qu’elle prenait le chemin du faubourg Saint-Germain. Elle lui offrit une pl
la voir. Elle mit pied à terre dans cette maison, qui était dans son chemin  ; elle la vit et l’examina ; cherchant à se souve
Foire, sans chercher Contamine. Elle remonta en carrosse, et dans le chemin elle chercha son excuse auprès de ces filles. Ell
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
apprit au chevalier de la Manche. Notre héros allait continuer son chemin et sa morale s’il n’avait pas été interrompu par
eureuse, ainsi permettez-moi de prendre de vous un congé éternel. Les chemins sont sûrs, et mon équipage est assez grand pour m
20 (1721) Mémoires
r chariot et qui le conduisent mériteraient bien de trouver dans leur chemin un Jupiter qui arrêtât leur course. 15. Il s’est
ut se taire. Morbleu ! dit-il, voyez-vous bien tous ces gens-là et le chemin qu’ils suivent ; allez à Charenton, faites-vous c
ants et de pieux, il ne s’en soit pas trouvé un seul qui ait suivi le chemin que saint Ambroise leur a tracé end parlant face
toile en est assurément bonne. Quoi qu’il en soit, la Reine était en chemin , et suivait son zèle ; et rencontra proche de Cha
vriers qui travaillaient au remuement des terres et qui faisaient les chemins où les tuyaux de fer et de plomb devaient être mi
ursise que jusques à l’arrivée de la cour à Versailles, et pendant le chemin il parla très mal de M. Colbert à son épouse. A l
ous avertir que vous trouverez de très grandes difficultés dans votre chemin . J’espère pourtant que vous réussirez, puisque ce
barrasser de ce que ses sujets en pouvaient penser, alla toujours son chemin . Dans ce lieu tout rempli de joie et de délice O
vie. 195. Le marquis reconduisit M. de La Faluère à Paris, et dans le chemin celui-ci lui avoua ingénument qu’il n’avait pas a
r ta faiblesse, C’est aux enfers que je t’attends, et poursuivit son chemin . Mais à peine fut-il sur l’échelle qui donnait de
t contre eux, et ils eurent l’honnêteté de ne point interrompre notre chemin que nous continuâmes jusque proche de l’île de Wi
agère il leur en ouvrait une éternelle, où ils allaient entrer par le chemin le plus court qui était le martyre. Il entassa qu
ien savoir ; et par un arrêt du Conseil affiché à des poteaux sur les chemins de la Cour, il fut fait défense à tout mendiant s
courir à toutes jambes pour gagner le Palais-Royal. Il fut arrêté en chemin , et après avoir été bien battu par les gens de Bo
hait pieds nus, et des gens de métier qu’il avait ruinés semèrent son chemin de plusieurs petits morceaux de bouteilles cassée
ncore à présent une de leurs principales maximes. Ils nous tracent le chemin , que ne le suivons-nous ? Mais ce n’est pas notre
vait ; que les canons n’étaient pas même montés. Ils remarquèrent les chemins par terre, et de plus ils apprirent qu’on n’y fai
qui avaient commencé à le turlupiner ne s’arrêteraient pas en si beau chemin , il aima mieux payer tout d’un coup que s’exposer
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
itôt que nous crûmes que Deshayes était endormi, nous nous remîmes en chemin . Cependant Silvie ne voulant pas que Deshayes qui
On nous avait dit que nous n’avions que pour quatre bonnes heures de chemin , et que nos chevaux les feraient bien sans repaît
ce et de leur brutalité, si Sainville, qui heureusement avait pris un chemin détourné, ne fût venu à nos cris, et n’eût ramené
22 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
s plus, j’allai à Versailles ; et fort peu de temps après, je pris le chemin de Flandres, en intention d’y faire ma première c
. Il est vrai, dit-elle, que j’y ai songé, et que c’est le plus court chemin  ; mais avouez avec moi qu’il est tout rempli de h
je vous ai dit où demeurait la Cadret, ainsi vous pouvez voir que le chemin est extrêmement long d’un endroit à l’autre ; cep
église, où ils avaient été épousés. Qu’au retour, ils avaient pris le chemin de la maison d’Alaix, où ils devaient coucher, et
is eu tout le reste du service. Je n’en voulais pas rester en si beau chemin  ; et assurément j’aurais réussi de la manière don
justes. Nous ne nous levâmes qu’à près de dix heures. Nous prîmes le chemin de la maison de la Delorme. Je mis mon laquais en
honnête homme, et je puis dire que c’est elle qui m’a mis dans le bon chemin , qui [a achevé] de me retirer des mauvaises compa
assassent par une forêt, et qu’ils en traversassent une partie par un chemin très peu fréquenté, étant un chemin de traverse.
n traversassent une partie par un chemin très peu fréquenté, étant un chemin de traverse. Il y avait dans cette même forêt des
funeste dont il était menacé, il n’a fait que se mettre dans l’unique chemin où il pouvait la trouver. La perte d’un si bon am
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
remière beauté, l’aventure t’en est réservée, et je t’en ouvrirai les chemins , mais le moment n’est pas encore venu. C’est par
24 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
e sa bonne disposition. Nous montâmes dans mon carrosse, et prîmes le chemin de Vincennes. Pendant tout le chemin à peine ouvr
dans mon carrosse, et prîmes le chemin de Vincennes. Pendant tout le chemin à peine ouvrit-il la bouche, du moins je ne l’ent
n libraire proche de là, nous nous mîmes dans sa boutique, c’était le chemin de sa mère de passer par-devant. Ce libraire étai
ui mettre l’esprit en repos. J’avais vu trois ou quatre fois dans mon chemin le même visage ; je ne fis pas semblant de le rem
vant jour par le jardin, et fis tant de tours avant que de prendre le chemin de l’église où je voulais aller, qu’il aurait fal
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
ts qu’elle avait de fuir Deshayes, c’était elle qui l’avait averti du chemin qu’elle prenait, et qu’elle lui avait écrit penda
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
u lieutenant, qu’il les enverrait avec Pedraria sécher sur les grands chemins , et qu’il se chargeait encore de faire supprimer
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
ais on le mit sur une espèce de brancard, et tous ensemble prirent le chemin du château de Valerio. Don Quichotte fut toujours
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
s, ou bien on les punissait plus sévèrement que les voleurs de grands chemins , contre qui tout le monde est en garde, par la ra
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
sans s’apercevoir ni d’une ficelle qu’on avait mis en travers sur son chemin , ni d’un paquet qu’on lui avait attaché au derriè
30 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
s’il était revenu sur ses pas ; après quoi ils partirent. Pendant le chemin , le beau-père félicita son gendre d’avoir eu la p
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
’on venait d’apprendre par celui qu’on avait mis en sentinelle sur le chemin . Toute la compagnie, et surtout la duchesse, étai
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
a en abbé, et alla le dimanche dès la pointe du jour se mettre sur le chemin qui conduit de la paroisse au château de Sotain.
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