pon. La suite le prouvera. Il est encore en place, après en avoir été
chassé
; et si M. du Pile est de votre connaissance, vou
sfaction, autrement je prendrai des mesures qui ne vous plairont pas.
Chassez
votre commis tout à l’heure, et qu’il n’entre jam
si, nous fûmes obligés d’entrer dans un cabaret, où MM. Hurtain et La
Chassée
étaient ; et au lieu d’une bouteille nous en bûme
é ravis de nous égratigner. Il nous convia à dîner MM. Hurtain, de La
Chassée
, et moi. Nous y allâmes, fortement résolus de bie
ur lui : il a fait la faute, et la boira ; ou bien MM. Hurtain, de La
Chassée
, ni moi ne ferons assurément pas le voyage. Je va
Bouchetière ne l’aurait assurément pas frappé avec impunité. M.de La
Chassée
fit retirer mon valet ; et toutes choses en serai
ait des leurs ; mais ils ne comptaient pas sur MM. Bouchetière, de La
Chassée
, ni moi. Ç a été moi qui ai commencé d’entrer en
orité légitime et suprême. Je lus le procès-verbal tout haut. M.de La
Chassée
, comme témoin oculaire, circonstancia les faits,
per, ces messieurs nous ont dit de sortir à MM. de Bouchetière, de La
Chassée
et moi ; et un quart d’heure après, nous ont fait
i averti dès en arrivant. Après son départ, nous avons trouvé M de La
Chassée
avec un de nos passagers. Ils étaient venus trop
t de ce que j’avais à faire. Je la communiquai à MM. Hurtain et de La
Chassée
qui l’approuvèrent ; et sur ce pied, au lieu de s
par ordre, et ne pas faire vie de cochon, courte et bonne. Le papa La
Chassée
a dit que j’avais parlé Évangile, et que M. Hurta
chaleur se fait sentir bien fort et est cause que MM. Hurtain, de La
Chassée
et moi nous frottons souvent le gosier. La hauteu
se montra le plus échauffé : ce qui nous a bien fait rire, MM. de La
Chassée
, Hurtain et moi. Entre autres Bouchetière, que pa
, bien persuadé qu’après le souper j’aurai visite ; MM. Hurtain et La
Chassée
ne sont pas gens à manquer au rendez-vous. Du
enue n’est pas fort bonne ; ce que nous avons connu au Gaillard qui a
chassé
sur son ancre et a été obligé d’affourcher. Le fo
prévenu ; et comme il sait l’union qui règne entre MM. Hurtain, de La
Chassée
et moi, il les avait priés de venir au-devant de
hois, des figues et de très bon vin d’Espagne, que MM. Hurtain, de La
Chassée
et moi lui avons donné, avec promesse de ne le la
’était moins rempli des uns et des autres ; et c’est en effet vouloir
chasser
le diable au nom du démon que de vouloir, par des
mercié et est monté dans ma chambre, où il n’a bu qu’un coup. M.de La
Chassée
et moi avons achevé la bouteille ; et tous trois
isson sans m’en rendre compte et sans mon ordre. MM. Hurtain et de La
Chassée
, auxquels je dis tout, ont très fort approuvé ma
ncertés sans affectation : je n’y ai pas pris garde moi-même. M.de La
Chassée
m’a fait un clin d’œil : je ne savais ce qu’il vo
e la main, M. de Chamoreau m’a enlevé mon assiette et le diable de La
Chassée
m’a ôté ma chaise : le maître d’hôtel est venu po
u ; mais le soleil nous brûle. Le trio, c’est-à-dire, MM. Hurtain, La
Chassée
et moi, nous sommes félicités dans ma chambre du
r ce que cela signifiait ; il n’a point répondu et est sorti. M.de La
Chassée
l’a mené dans sa chambre ; j’ai été les joindre.
it qu’il venait les changer contre quatre tranches de bonite. M.de La
Chassée
et moi nous sommes mis à rire, en nous regardant.
uvert toute la journée ; ainsi, on n’a point pris de hauteur. M.de La
Chassée
, l’aumônier et moi tâchons de nous consoler l’un
prisais tout de lui. Nous avons bu un coup dans ma chambre, MM. de La
Chassée
, Le Vasseur et moi : après cela, nous avons assis
corps de la dunette, porté par MM. de Bouchetière, Le Vasseur, de La
Chassée
et moi ; l’épée et le fourreau attachés ensemble
le tout en grand silence, avec de l’édification etdu respect. M.de La
Chassée
s’était mis à la tête des soldats, une demi-pique
nt pris le chemin de l’Amiral, je suis monté dans ma chambre. M.de La
Chassée
y est venu deux heures après ; et comme le quart
, et la bonne foi y est sans doute infiniment mieux observée. M.de La
Chassée
, qui s’était chargé de la garde des scellés, en a
ue je n’en espérais, et ont bu bien gracieusement à ma santé. M.de La
Chassée
n’a pas nui aux civilités qu’ils m’ont faites. Il
olives, des anchois, et du fromage de Hollande et de Gruyère. M.de La
Chassée
et moi avons vu avec plaisir sa surprise ; et, pe
er seul, il y a eu de la friponnerie de la part de MM. Hurtain, de La
Chassée
et de la mienne ; et puisque c’est moi qui l’ai s
ait saucer, et je vous ai fait rire, donnez-moi donc à boire. M.de La
Chassée
lui a donné un bon coup d’eau-de-vie. et le comma
endant plus d’une heure on se bat à coups de seilleaux d’eau. M.de La
Chassée
en avait un plein dans sa chambre : il m’en a coi
ressément défendu les voies de fait, et lui a promis justice. M.de La
Chassée
, obligé de calmer en enrageant, a dit qu’il regar
ner ici : C’est là que l’affaire de Bouchetière sera décidée. M.de La
Chassée
en est dans une impatience terrible. Nous avons,
ujourd’hui. La première du général et capitaines : MM. Blondel, de La
Chassée
et Le Vasseur ont été des leurs. Ainsi, ils étaie
Je vous entends, ai-je dit ; mais, que voulez-vous que je fasse de La
Chassée
, qui me persécute sur son procès-verbal ? Il m’en
um. Outre le gibier, qui est ici très commun parce qu’il n’est point
chassé
, ils ont des bœufs en très grande quantité. Ces a
vin. Nous n’étions qu’à trois cents pas au plus dans le bois. M.de La
Chassée
vint avec lui. Je donnai ce papier à ce prince si
é. Il faut savoir les railleries que cette aventure m’attire. M.de La
Chassée
me désole : je ne lui ferai point de quartier si
ier de Bouchetière, et ordonné qu’on lui fit ses compliments. M.de La
Chassée
s’est chargé de la commission, et s’en est acquit
s donnent de la sauce à tel qui aurait bien voulu manger sec. M.de La
Chassée
en a été échaudé à dîner. Il lui est tombé plus d
n vent : la répétition m’en plaît. Nous roulons terriblement. M.de La
Chassée
est si bien échaudé qu’il lui en coûtera la peau
ur les cinq à six heures sans faim ni soif, surtout le seigneur de La
Chassée
, qui a défrayé la Compagnie aux dépens de sa brûl
, et s’est mise à crier au meurtre et au viol, à pleine tête. M.de La
Chassée
, qui entend le hollandais mieux que moi le frança
prendre est bon à rendre, dit le proverbe. MM. de Porrières et de La
Chassée
ont été dîner chez M. du Quesne. Ils y ont appris