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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
ster longtemps dans l’incertitude, et ne pouvant parler, j’écrivis ce billet -ci. BILLET. Vous êtes trop éclairée pour ne conn
ps dans l’incertitude, et ne pouvant parler, j’écrivis ce billet-ci. BILLET . Vous êtes trop éclairée pour ne connaître pas ce
de, tout le bonheur de ma vie dépend de votre réponse. Je lui mis ce billet dans la main, elle fit un mouvement qui me fit cr
nt d’avoir laissé tomber quelque chose, et en se baissant elle mit un billet dans la basque de mon justaucorps. J’avais trop d
la dernière fois. Je ne doutai pas un moment de quelle part venait ce billet , et j’allai à l’heure précise dans la même église
lle aurait voulu me parler le jour même. Qu’elle avait fait écrire le billet qu’on m’avait donné, et qu’elle l’avait mis entre
retournai et la vis : voilà Monsieur, me dit-elle d’un air enjoué, un billet qui vient de tomber de votre basque : votre maîtr
est bien à plaindre, d’avoir un amant si peu soigneux, et me donna ce billet sans s’arrêter. Ceux qui étaient avec moi la conn
e intelligence, ils me firent la guerre de mon peu de soin. Je lus ce billet et le déchirai avec tant d’indifférence, que je l
vait qu’un moment qu’elle était retournée. Je trouvai sur la table un billet qu’elle avait laissé. Le voici. BILLET. Je ne cr
e. Je trouvai sur la table un billet qu’elle avait laissé. Le voici. BILLET . Je ne croyais pas qu’un mari dût respecter le so
our aujourd’hui, et ce que vous me devrez pour demain. Je trouvai ce billet fort spirituel, et la plainte qu’elle m’y faisait
voulez, car le cœur me dit que je serai malade lorsque vous lirez ce billet -ci. J’ai craint de gagner votre mal ; et je ne ve
temps, et ne sera plus si respectueux. J’instruisis notre hôtesse du billet et de la réponse, et de ce qu’elle devait faire d
e lui dit que j’étais sorti la veille en colère, après avoir écrit le billet qui était sur la table. Ha mon Dieu ! s’écria-t-e
nt d’affaires hors du logis, elle y doit rester ; je lui envoierai un billet et un carrosse, et nous l’attendrons ici. Nous no
ion. Je la trouvai résolue à tout événement, elle avait déjà écrit ce billet -ci. BILLET. Une affaire qui vient de m’arriver,
rouvai résolue à tout événement, elle avait déjà écrit ce billet-ci. BILLET . Une affaire qui vient de m’arriver, ma chère mèr
humble fille et servante, Marie-Madeleine de l’Epine Elle envoya ce billet avec le même carrosse qui l’avait amenée, avec or
i envoyé quérir ; Mademoiselle votre fille n’a fait que me prêter son billet . Où est-elle, Monsieur , me demanda-t-elle ? Elle
pas la cause qui m’avait empêché d’aller chez elle, elle m’écrivit un billet qu’elle m’envoya par notre hôte. Je le lus, et me
ractère qui lui était inconnu, il l’ouvrit, et y trouva ces paroles. BILLET . M’avez-vous abandonnée, mon cher époux ? Quoi, d
se, où il y avait cinquante louis d’or, mon diamant, ma montre, et un billet de tout ce qu’il voudrait pour me permettre d’écr
t. Je le pris de ses mains, et avec mille peines je lus ces paroles. BILLET . Je meurs, je ne m’attendais pas à tant de malheu
que ces paroles, le reste n’étant ni formé ni de suite. Il reprit ce billet de ma main, le baisa et le remit sur son cœur, et
essus ; je ne puis plus y aller. J’ai su que sa mère avait emporté un billet qu’elle avait écrit. J’ai été chez elle ; elle me
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
rès souvent. Au lieu d’une lettre que j’espérais, je ne trouvai qu’un billet de deux lignes, qu’elle m’écrivait pour me faire
écrire ; je sais qu’il ne trouva pas votre lettre, mais seulement un billet , qui l’instruisait que vous n’aviez pas pu lui te
n effet, mais elle fut prise par une autre main que la sienne ; et le billet qu’il trouva n’était qu’un billet supposé, qu’il
ne autre main que la sienne ; et le billet qu’il trouva n’était qu’un billet supposé, qu’il ne put pas reconnaître, parce qu’o
fut encore augmentée le lendemain au soir que je reçus de sa part le billet que voici ; elle tira en même temps un billet qu’
je reçus de sa part le billet que voici ; elle tira en même temps un billet qu’elle donna à la marquise qui le lut. Mon dépa
urs après par d’autres sujets d’inquiétude et de chagrin. Je reçus un billet de la baronne qui me priait d’aller la voir seule
oiffure, j’approchai du miroir pour prendre votre lettre, et y mis le billet que Sainville a dû y trouver. Comme par votre con
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
 ; elle la prit sans réflexion. Elle était toute pleine d’or, et d’un billet qui en sortait, qu’elle lut. Il contenait ces mot
, et d’un billet qui en sortait, qu’elle lut. Il contenait ces mots. BILLET . Vous n’êtes point, belle Angélique, dans l’état
ngélique n’avait été si embarrassée qu’elle la fut à la lecture de ce billet . Elle était dans une très grande nécessité de tou
it qu’elle pouvait s’en servir en conscience, et suivre les termes du billet sans être engagée pour cela. Elle s’en servit don
coffre fermé, et un quart d’heure après il en envoya la clef avec un billet , par lequel il la priait de l’ouvrir, sans que sa
les intervalles. Elle fut surprise de ce présent, et ayant aperçu un billet qui était au haut de ce coffre, elle l’ouvrit et
erçu un billet qui était au haut de ce coffre, elle l’ouvrit et lut. BILLET . Il serait honteux, ma charmante cousine, que vot
lle envoya son laquais lui chercher un carrosse propre, et écrivit ce billet à votre commère. BILLET. Une aventure qui m’arri
i chercher un carrosse propre, et écrivit ce billet à votre commère. BILLET . Une aventure qui m’arriva hier, et que je ne pré
au nom de Dieu le plus promptement que vous pourrez. Elle envoya ce billet et le carrosse qu’il n’était pas plus de sept heu
l’a si vivement pénétrée, qu’elle en est au lit fort malade. Voilà le billet qu’elle m’a écrit, je n’ai pu refuser à ses empre
ous prendre demain dans mon carrosse, nous irons ensemble. Écrivez un billet à Mademoiselle Dupuis, je la prierai d’être des n
ous ne m’avez point encore vue. Elle écrivit à Mademoiselle Dupuis le billet que Contamine lui avait demandé. Il le porta lui-
4 (1721) Mémoires
e de Paris dont le mari et leur famille auraient aisément vécu si les billets de monnaie avaient été acquittés. Elle prenait du
i donner en présence même de la dauphine un paquet de papiers avec un billet de sa main sur l’enveloppe qui ne contenait que c
parla au marquis, l’obligea de prendre dix mille écus comptant et son billet du restant, et ne lui demanda rien autre chose qu
ours son bourreau avec lui, il prit une alarme si chaude que quelques billets que M. de Brissac lui écrivit et une visite de Mo
’en le mettant en justice c’était en même temps diminuer le cours des billets de place, et se priver soi-même d’une ressource c
d’autres ce qu’il leur devait, et qui n’avaient osé lui demander des billets , et qui se servaient du moment de sa mort pour tâ
r de Montigny, secrétaire de M. Desclouzeaux, pour y faire écrire un billet circulaire aux officiers. Il ne le trouva pas ; e
tes dans le public. Cette vaisselle y était reçus, et on la payait en billets , sur lesquels le décri est tellement venu qu’on d
e décri est tellement venu qu’on donnait pour cent françs comptant un billet de mille livres. Cependant les espèces étaient fa
maltôtiers et partisans, refusaient de prendre en paiement ces mêmes billets dont Louis avait reçu, ou dû recevoir la valeur.
nture qui mérite d’être rapportée, et qui témoignera du moins que ces billets de monnaie ne lui étaient pas inconnues, ni le to
r quoi il n’y a rien à perdre. Car je ne l’ai pas payée comme vous en billets de monnaie. Louis le regarda, et changea de disco
es, mais bien de ses commettants, qui l’avaient obligé d’accepter des billets qu’il ne put acquitter faute de remises que ces m
ce que chacun d’eux devait avancer pour sa mise. Il leur présenta le billet du ministre, et les surprit étrangement en leur o
our une dernière fois chez Bourvalais pour avoir ou de l’argent ou un billet , et lui porta une [sic] écritoire à la tête. Bour
le paiement de quinze mil[le] livres qui lui étaient du[e] s, sur des billets de monnaie et d’ustensiles, et en même temps lui
billets de monnaie et d’ustensiles, et en même temps lui présenta ces billets et le pria de les prendre pour nantissement de si
cun bruit, et revint dans sa chambre garnie rue Joli. Elle écrivit un billet par lequel elle dit ce qu’elle avait fait auprès
ecousse, et accusa le peu de charité de ce curé de sa mort. (C’est ce billet qui a été trouvé qui a tout découvert. ) Après l’
ouvrit sa chambre, on la trouva pendue et étranglée, et on trouva le billet dont j’ai parlé. M.d’Argenson, lieutenant de poli
ntchartrain. On dit que sa fortune immense provient de la quantité de billets de monnaie, d’ustensile, d’extraordinaire des gue
ou escomptés, c’est-à-dire agiotés ; et a acheté pour cent francs des billets qui en valaient mille, lesquels billets de concer
a acheté pour cent francs des billets qui en valaient mille, lesquels billets de concert avec le ministre il faisait prendre po
il faisait prendre pour argent comptant au Trésor royal ; et que ces billets , dont le Trésor royal payait les créanciers du Ro
lé des coeurs. De bel argent comptant témoignait nos ardeurs ; Et des billets d’emprunt payables aux porteurs Nous ouvraient to
d’un million, jusques à son entier paiement en espèces sonnantes sans billets . Que le Roi leur donnait quarante-huit heures pou
leur présence ouvrir le gros tronc, le bien remuer pour que tous ces billets fussent bien mêlés et le retourner la gueule en b
tourner la gueule en bas, et le secouer jusqu’à ce qu’il en tombât un billet par le même trou qu’ils y seraient entrés. Prendr
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
tre autres un élu de l’élection de la même ville, qui venait pour des billets d’entrée franche qu’il avait. Comme il se prétend
personne qui me les avait mis en main. Il retourna et me rapporta un billet  ; je le rendis avec ordre de dire à l’élu, que je
u monsieur la naissance de la belle. J’ai encore reçu hier au soir un billet de la Morin : le voilà, poursuivit-il, en me le d
it en effet. Je le lus, voici ce qu’il contenait en propres termes : BILLET . Vous vous faites bien prier, Monsieur, vous êtes
sinon moins intéressé, du moins plus continent. À peine eus-je lu ce billet , que l’envie me prit de le garder. Je tirai de ma
ais je ne voudrais pas si j’étais à votre place, garder ces sortes de billets . Si cela était vu, on soupçonnerait quelque chose
ivis-je en le déchirant, et en le jetant dans le feu, c’est-à-dire ce billet que j’avais changé. Au lieu de se fâcher, il rit
mant frère ne s’est pas trouvé aujourd’hui aux Tuileries, voilà votre billet , écrivez-en promptement un autre pour achever pro
ue je lui serai fort obligée. Je la laissai faire, et elle écrivit ce billet  : BILLET. J’ai à vous parler, Monsieur, rendez-v
serai fort obligée. Je la laissai faire, et elle écrivit ce billet : BILLET . J’ai à vous parler, Monsieur, rendez-vous chez m
à l’heure. Je vous attends seule, suivez le porteur. Elle envoya ce billet par son laquais, à qui elle recommanda de dire qu
us plaît-il, Mademoiselle, dit-il en entrant, je viens de recevoir un billet de votre part, serais-je assez heureux pour pouvo
dis-je. Elle voulait savoir ce que c’était, mais je la fis écrire ce billet -ci : BILLET. J’ai de bons espions partout, Monsi
voulait savoir ce que c’était, mais je la fis écrire ce billet-ci : BILLET . J’ai de bons espions partout, Monsieur, je vous
point la voir chez elle comme elle l’espérait. Dès le matin j’eus un billet de sa part, qui n’était rempli que de plaintes de
ommée Madame de Buringe. Elle répondit. Il lui mit entre les mains un billet , où je lui mandais qu’une chute que j’avais faite
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
es. Je sortis pis qu’enragé, je revins l’après-midi, je lui donnai un billet par lequel je l’assurais d’un amour éternel ; et
s plus moi-même. J’allai voir mon ami ainsi déguisé, je lui donnai un billet de moi, par lequel je le priais de me faire répon
s amené avec moi avertir sa sœur que j’étais arrivé. Je lui donnai un billet pour Clémence, par lequel je la priais de faire e
7 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
é chez elle, le troisième qui était celui des articles, je trouvai ce billet -ci le matin chez moi. BILLET. Ne précipitez rien
était celui des articles, je trouvai ce billet-ci le matin chez moi. BILLET . Ne précipitez rien dans votre mariage, vous pour
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
s et de pèlerinages hors de sa porte. Qu’à l’égard des lettres et des billets doux, il les laisserait volontiers courir, parce
fiance en moi, qu’il ne me parla jamais de lui faire ni obligation ni billet  ; et que lorsque je lui rendis une partie de l’ar
9 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
igé, en présence de l’intendant, d’en tirer sur moi dix milliers. Son billet était conçu comme d’un supérieur à un valet, et m
la main, et j’eus le plaisir d’humilier l’orgueil du Gascon. Quand ce billet aurait été le plus honnête du monde, il m’aurait
ix milliers de pain biscuit, etc. Le tout sans Monsieur ni Madame. Ce billet me fut rendu par un commis des vivres à la boulan
devait le prendre quand je le lui ai offert : rendez-lui son honnête billet de change ; et l’avertissez de ma part d’apprendr
atre ensemble, lorsque celui-ci y arriva avec ses deux commis, et son billet déchiré à la main, il fut assez bête pour les pri
Albus s’est servi en lui écrivant. Les commis qui lui ont apporté ce billet sont bien heureux de ce que je n’étais pas à bord
10 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
erdam de la perte de cette lettre, que je croyais avoir mise avec mes billets de change, je craignis de me perdre inutilement e
nze jours après vous avoir laissé à Douai. J’y reçus la valeur de mes billets , que j’avais toujours conservés dans une bourse p
clat de rire que fit à contretemps ce garde-magasin à la lecture d’un billet très court & où il n’y avait en effet que ces
re y prît intérêt, & étant tous trois bons amis, il lui montra le billet que Bernard lui avait écrit ; & ajouta qu’il
amp; ajouta qu’il ne doutait point que celui qui lui avait apporté le billet n’eût pour femme une belle personne que Bernard a
nterie qu’il avait préméditée pour donner un prétexte plausible à son billet & à l’absence de cet homme, sans aucun rappor
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
t ils n’en mettront pas plus grand pot au feu. Je vais vous donner un billet , dit-il à cette femme. Je n’ose y retourner sans
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