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1 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
idi sur les cinq heures par un assez bon vent de Nord-Est. C’est avec beaucoup de chagrin que je pars sans vous avoir écrit pour pr
est un fort honnête homme, fort brave, bon soldat, bon matelot, et de beaucoup de conduite. Tout le monde en dit du bien, et c’est
que moi ; vous avez chez vous la source des sciences, et n’aurez pas beaucoup de peine à trouver une solution juste sans sortir de
e moins méchant, l’eau n’en valant rien ou peu de chose, et qui donne beaucoup de peine à conduire jusques à la rive, à cause du ch
t aujourd’hui. Du lundi 3e. [avril] Même chose : point de vent, beaucoup de poisson. Je voudrais bien beaucoup de vent et poi
Même chose : point de vent, beaucoup de poisson. Je voudrais bien beaucoup de vent et point de poisson. Du mardi 4e. [avril]
ci. Je n’ose m’appliquer à rien ; moi qu’on n’a jamais accusé d’avoir beaucoup de génie, j’ai peur de perdre si peu que j’en ai. Mo
e ses maisons. Du dimanche 9e. [avril] Toujours bon petit vent, beaucoup de poisson. Nous avons passé la Ligne enfin à deux h
ertain que ce secrétaire qui écrit au nom de son maître lui fait dire beaucoup de choses que son maître aurait supprimées, et en pa
funeste. On lui a donné ce soir l’extrême-onction qu’il a reçue avec beaucoup de zèle pour la religion catholique apostolique et r
yablement comme les matelots aux fèves et aux pois ; plus de poisson, beaucoup de vin a coulé, notre beurre est puant, nous faisons
nous n’avons que peu de rafraîchissements, notre beurre ne vaut rien, beaucoup de notre vin s’est perdu dans le fond de cale soit p
raison qu’il en donne c’est qu’ils retiennent quelques noms juifs et beaucoup de cérémonies de l’ancienne loi, mais mêlées de maho
et trois poules pour demi-piastre ou demi-écu. Nous leur avons traité beaucoup de bagatelles, surtout des morceaux de fer pour plus
nie ne profitent pas de sa perte, et qu’au contraire il nous ait fait beaucoup de mal, c’est toujours un très grand avantage pour n
’étonner du sifflement des balles et boulets. C’est un jeune homme de beaucoup de cœur, et quelque chose qu’on ait pu lui dire, se
artie desquels elle a été prise. Elle avait quelques coffres d’armes, beaucoup de médicaments pour les mêmes endroits, et beaucoup
iam sont heureusement revenus à Pondichéry et qu’il y avait à présent beaucoup de monde. Quand j’y serai, je vous en écrirai plus a
it effectivement se brûler avec lui : elle répondit toujours oui avec beaucoup de résolution Nous à qui un pareil spectacle faisait
les entrailles des deux derniers sortir de leurs corps. Nous avons eu beaucoup de blessés mais s’il plaît à Dieu ce ne sera rien. M
ur fort beau temps, peu de vent, et fort chaud. Nous avons vu ce soir beaucoup de gros poissons, thons, marsouins et dorades. Nous
est un Portugais. Nous avons appris par lui que les ennemis ont perdu beaucoup de monde dont ils ne veulent pas dire le nombre. Que
terie et prendre de lui M. Du Mont. Mais comme Monsieur Daire a perdu beaucoup de vin, il n’a pas voulu faire le troc sans y gagner
le ventre. Du mardi 28 [novembre] Nous avons eu ici aujourd’hui beaucoup de communiants tant malades que convalescents et sai
ancêtres ne l’étaient pas plus qu’eux, Alexandre le Grand n’a pas eu beaucoup de peine pour s’acquérir une réputation qui ne finir
et autres, qui voulaient passer de Surate et de Bombay en Perse avec beaucoup de marchandises, avaient fait tout débarquer de dess
ance. On compte ici cinq mois avant que d’être à la Martinique, c’est beaucoup de temps sans voir terre, Dieu nous le donne beau et
encore entre vous et nous. Du mardi 6e. [février] Peu de vent, beaucoup de pluie, et chaleur immodérée et étouffante ; on ne
a apparence qu’il affraîchera. Il a fait beau toute la journée, mais beaucoup de pluie ce soir. Du dimanche 11e. [février] I
du le mauvais état où nous sommes, toutes nos légumes généralement et beaucoup de pain pourris et jetés à la mer, la disette de viv
e M. de Porrières ne devait pas douter qu’il n’eût aussi bien que lui beaucoup de choses gâtées, qu’il avait même beaucoup plus sou
et soldats sont gens ramassés d’un côté et d’autre ; il y a parmi eux beaucoup de voleurs et de fripons. Je vois quantité de commun
la n’en approche pas mal. Je vous ai dit que cette île est inhabitée. Beaucoup de nos gens disent y avoir vu des bœufs et des chèvr
lque accident, puisqu’il n’est point arrivé à l’Ascension avant nous. Beaucoup de gens qui sont ici et qui pour lui complaire donne
pu arriver à l’Ascension avant nous ; car premièrement il lui a fallu beaucoup de temps pour étancher ses voies d’eau et surtout po
le devancer ; secondement parce que, outre que nous n’avons pas perdu beaucoup de temps nous allons bien mieux que lui et que nous
-être des nôtres. Quoi qu’il en soit, n’étant point en état seul avec beaucoup de malades, chargé et sale comme nous sommes d’aller
s la dernière desquelles, contre le droit de la guerre, ils ont pendu beaucoup de Français. Ils ont assiégé la Gadelouppe (sic) et
affamer sans leur rendre aucun service (effectivement nous avons pris beaucoup de leurs vivres) ; que les Anglais sachant que nous
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
e homme, l’infâme personnage que ses frères y avaient joué lui ferait beaucoup de peine ; mais aussi qu’il en serait bientôt consol
Don Quichotte étant entrés dans la chambre en ce moment, n’eurent pas beaucoup de peine à le consoler, et ressortirent pour aller f
hayes et de Don Pedre à leur dernière demeure. Le duc qui avait amené beaucoup de gens avec lui, en attendait encore d’autres, qu’i
3 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
t y fit face à notre chevalier qui allait à lui l’épée à la main avec beaucoup de résolution. Ils se battirent quelque temps avec b
main avec beaucoup de résolution. Ils se battirent quelque temps avec beaucoup de valeur, et ne furent séparés que parce que le jou
Dulcinée. Ceux qui étaient commis à sa garde ne m’ont pas fait courir beaucoup de risque, et si tous tes démons ne sont pas plus mé
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
romit de le retirer avec le temps. Il les caressa néanmoins tous avec beaucoup de tendresse, et les reconnut parfaitement bien, don
el elle avait trouvé beaucoup d’agréments, comme aussi lui avait pris beaucoup de plaisir à sa conversation. Elle était bien faite
Madame, répondit Thérèse, nous avons toujours bien vécu quoique avec beaucoup de peine, car on ne gagne guère ; nous n’avons pourt
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
r aux mains. —  Eh ! qui sont-elles ces raisons ? demanda le duc avec beaucoup de douceur. —  Bouche close, interrompit Sancho, en
t enchantées, et n’hésitèrent pas de se jeter dans cette caverne avec beaucoup de résolution. On les y suivit à pied, l’épée d’une
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
it plus réservée que les autres ; ce qui faisait croire qu’elle avait beaucoup de part à votre éloignement. Gallouin et Dupuis fais
l’avait point violentée, elle serait encore fille, et vous auriez eu beaucoup de part à son célibat. Elle est présentement veuve,
onversation me plut tellement, que sans être son amant, je lui rendis beaucoup de soins, et devins un de ses intimes amis. Comme j’
tant d’avoir reconnu avant la mort, qu’il n’était pas né pour amasser beaucoup de bien, et de s’être enfin résolu à ne plus confier
erpétuelle de pertes et de malheurs ; mais parmi tant d’infortunes et beaucoup de débauches, j’y remarquai un fonds de probité inép
t qu’elle ne devait pas refuser. Je n’ai pas cherché ce Gauthier avec beaucoup de soin, parce que j’ai cru que la meilleure vengean
7 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
effectivement être brûlée avec lui. Elle répondit toujours oui, avec beaucoup de résolution. Nous (je fais parler les Français), à
autant que j’en ai pu savoir, c’est la secte de Hali. Ils retiennent beaucoup de choses des Juifs : ils brûlent les morts comme le
t trop forts : il nous a été impossible de lever notre ancre. Il fait beaucoup de vent d’Est-Nord-Est, une pluie très grande, &
Cette île est pleine d’étangs, qui nourrissent quelque poisson, &  beaucoup de canage sauvage. Ils nourrissent aussi quantité d’
M. Dumont, autre capitaine d’infanterie ; mais M. d’Aire, ayant perdu beaucoup de vin, n’a pas voulu faire le troc sans y gagner :
le ventre. Du mardi 28 novembre 1690 Nous avons eu aujourd’hui beaucoup de communiants, malades, convalescents & en bonn
ait remarquée en lui, lui donnèrent envie de venir en France. Il prit beaucoup de pierreries, & son dessein étant de venir à la
u de vent. Du dimanche 31 & dernier décembre 1690 Il a fait beaucoup de brouillard ce matin : il est tombé, & à midi
que dix-sept à dix-huit ans, il a soutenu & soutient encore avec beaucoup de constance & de vigueur tous les efforts du Mo
oine, si chanté par Quinte-Curce, & surnommé le Grand, n’a pas eu beaucoup de peine, ni de périls à courir, pour se faire une r
ait emmenant avec lui des hommes, des femmes & des enfants, &  beaucoup de bestiaux. Les noirs coururent se plaindre à M. Ma
x ennemi des Turcs, et dernier bouclier de la chrétienté, mais il y a beaucoup de conformité dans leur manière de faire la guerre.
eter une charge pour se retirer en province, qu’il lui fallait encore beaucoup de comptant ; que malgré cela, il avait donné sa par
min de La Rochelle, d’où il passa aux îles de l’Amérique, où il porta beaucoup de marchandises sous le même nom qu’il porte à Pondi
vie de voir ces Indes & l’Asie lui prit ; &, ayant devant lui beaucoup de temps, il retourna incognito à Paris, dans le des
et de s’établir sur leurs débris et leurs ruines. Qu’on croyait avec beaucoup de vraisemblance qu’ils avaient fomenté et nourri la
communiquer à MM. de Lagny, Soullet, & Gouault. Je n’attends pas beaucoup de secours du premier : non qu’il ne soit très honnê
mne. Du mercredi 7 février 1691 Toujours très peu de vent &  beaucoup de pluie, avec une chaleur excessive. Nous prenons d
sien. Nous y avons été : il est encore plus mal que nous. Il a perdu beaucoup de pain ; son gouvernail a fait comme le nôtre, ses
e trente hommes malades ou hors de service, toutes nos légumes, &  beaucoup de pain pourris & jetés à la mer, la disette de
s Français. Quoi qu’il en soit, n’étant nullement en état, seul, avec beaucoup de malades, chargé & sale, comme est l’Écueil, d
t ; car, outre l’infection des malades, nous avons effectivement pris beaucoup de leurs vivres. Ils disaient encore que les Anglais
te femme, ni de l’amour qu’il avait pour elle. Bernard eut de sa part beaucoup de peine à réduire cette femme ; mais enfin il en vi
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
de grands services. Mademoiselle Dupuis qui était charitable, en eut beaucoup de soin. Elle lui fit apprendre à lire et à écrire,
mme elle veut ; elle en a eu besoin pour parvenir où elle est. Elle a beaucoup de lecture, et une mémoire excellente ; elle chante
entilhomme, et augmenter d’autant le revenu de sa terre. Cela faisait beaucoup de tort au parent de Mademoiselle de Vougy, dont la
s que sa pauvreté l’empêchait de se faire rendre par d’autres. Il eut beaucoup de peine à déterrer la maison, mais enfin à force de
défaite qu’elle lui avait donnée pour la quitter. Comme il y avait là beaucoup de vraisemblance, et que cela cadrait avec les parol
9 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
té dans toutes les guerres de Hollande : il a de l’esprit infiniment, beaucoup de service, et bonne mémoire. Il aime aussi bien que
-même ? On m’a donné là-dessus des raisons qui paraissent revêtues de beaucoup de science, mais vagues et peu convaincantes pour un
quérants. Les autres, qui en sont revenus, ont effectivement rapporté beaucoup de richesses ; mais aussi, ils ont rapporté les maux
n étant un peu saumâtre et ainsi ne valant rien et donnant d’ailleurs beaucoup de peine à faire, à cause de sa profondeur, et plus
rvation. J’ose encore hasarder une idée. Lorsque le mont Vésuve jette beaucoup de flammes, et porte l’inondation de ses feux plus l
r les trois heures après-midi d’une très grande faiblesse, qui tenait beaucoup de l’évanouissement. Ce ne peut pas être la petite d
aussi immobile que la mer. Du lundi 10 avril 1690 Toute la nuit beaucoup de pluie et de tonnerre, sans vent, assez beau le ma
. Guisain a servi de chantre. Tout l’équipage a entendu la messe avec beaucoup de dévotion et de recueillement. Après le dernier Év
ssager qui a de l’esprit comme un démon, mais qui ne paraît pas avoir beaucoup de religion. Ils l’ont nommé le ressac du diable, qu
venaison qui leur tient tête. On m’a dit et assuré une chose que j’ai beaucoup de peine à croire : cependant, celui qui me l’a assu
en avait plusieurs en Judée, lesquels Saül dispersa si bien qu’il eut beaucoup de peine à en trouver lui-même, pour évoquer l’ombre
e dont nous sortons, a environ neuf à dix lieues de tour, et contient beaucoup de peuple pour sa grandeur. Les géographes la metten
sseaux le temps de nous joindre : et le Florissant tomba sur lui avec beaucoup de résolution. Nous ne fûmes plus pour lors que spec
balles et boulets de fusil et de canon. C’est un enfant qui témoigne beaucoup de cœur, et qui réussira sans doute, pourvu que la f
moins, ce nombre de gargousses pleines manquent à nos poudres. C’est beaucoup de consommation : mais, nous avons été attachés avec
s elle a par conséquent été prise. Elle a des coffres pleins d’armes, beaucoup de médicaments pour les mêmes endroits, et de l’arge
doit beaucoup pleuvoir, et la chaleur par conséquent doit y engendrer beaucoup de corruption et bien des insectes. Il a calmé toute
qui étaient à Siam sont revenus à Pondichéry, où il y a présentement beaucoup de monde : que l’opra Pitrachard, qui avait usurpé l
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
duchesse sa parente ; il frémit du péril qu’elle avait couru, et eut beaucoup de douleur de voir Sancho dans l’état affreux où il
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
rtant pas le choc, et alla au-devant de Sancho, qui venait à lui avec beaucoup de fureur, après avoir fait aussi une invocation men
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
étranger. Ils ajoutèrent, qu’ils convenaient qu’il y avait en France beaucoup de maîtresses et même d’épouses, qui trompaient cett
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
re, le leur dit assez succinctement et assez juste, quoiqu’il y mêlât beaucoup de ses visions romanesques. Ce discours de guerre le
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
nt tempéré les ardeurs de ma rage, j’appris sans désespoir, mais avec beaucoup de surprise et de douleur, qu’elle avait épousé Desh
faveur de son époux que le vice-roi de Naples retient en prison avec beaucoup de dureté et fort peu de justice.
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
ctuelles ; c’est pourquoi elle la sonda sur cet article, et n’eut pas beaucoup de peine à lui faire tout avouer. L’hôtesse qui étai
16 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
Nous allâmes tenir cet enfant ; nous y fîmes les figures ordinaires, beaucoup de civilités pour le nom, et enfin comme c’était une
arce que c’était la seule femme qui la connaissait, et qu’elle aurait beaucoup de peine à se passer d’elle, y étant accoutumée dès
t je l’obtins par le moyen de Monsieur le cardinal de Maldachini avec beaucoup de peine, parce que notre ambassadeur croyait avoir
e faute d’argent je souffris tout ce qu’un homme peut souffrir. J’eus beaucoup de peine à gagner Grenoble avec le peu qu’ils m’avai
t homme aux mains avec le scélérat de Valeran. Il nous témoigna avoir beaucoup de joie de savoir comme tout avait été. Il loua la c
our querelleur, surtout avec mes amis, pour qui j’avais ordinairement beaucoup de complaisance. Elle me demanda la cause de ce comb
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
ter. Il s’approcha de Don Quichotte avec un visage assez triste. J’ai beaucoup de choses à te dire, lui dit-il, dont quelques-unes
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
cher les rides, qu’il avait depuis peu de temps travaillé à cela avec beaucoup de succès, puisqu’il y avait des femmes âgées de plu
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
tout d’un coup sortir à côté de lui une flamme subtile et bleue avec beaucoup de fumée, recula en tremblant, et la terre s’ouvrit
20 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
es résolutions de Clémence. Pour mon ami il ne me parut pas y prendre beaucoup de part ; au contraire, il me dit en particulier qu’
lité qu’elle avait à me voir. Etant dans ces sentiments, je n’eus pas beaucoup de peine à la résoudre de se laisser enlever ; mais
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
es gens qui logeaient chez elle, parce que, poursuivit-il, comme j’ai beaucoup de nippes et d’argent que j’ai apportés de la campag
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
vait espéré en trouver à la Ribeyra, où il avait appris qu’il y avait beaucoup de gens de qualité. Le hasard voulut que Ginès de Pa
23 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
Le sermon sur une sincère conversion, et un vrai retour à Dieu, après beaucoup de désordres, fut poussé à fond, et en vérité l’air
’être content des femmes. Je n’en parle que sur un peu de lumière, et beaucoup de soupçon ; mais ce que j’en sais que je lui ai dit
e, Monsieur Des Frans, interrompit Dupuis. Je sais, comme vous voyez, beaucoup de vos affaires, sans que vous m’en ayez jamais rien
24 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
r, et qu’elle était venue ; mais que l’ayant reconnu, elle avait fait beaucoup de difficultés de prendre le paquet : qu’enfin elle
e d’esprit jovial, et un peu libertin que je lui remarquai, qui avait beaucoup de sympathie avec le mien, m’attira auprès d’elle. J
e le nombre n’en peut pas être exprimé. J’avoue, repris-je, qu’il y a beaucoup de femmes qui se gouvernent mal : (je ne parle point
oupçonné d’abord. J’en reviens à nos lois : elles ont été faites avec beaucoup de prudence pour retenir dans le devoir des veuves,
ut-être qu’un reste de fièvre chaude s’en mêlait, du moins il y avait beaucoup de fureur. Mais enfin je m’y résolus, et ce que je n
25 (1721) Mémoires
rsque Louis XIII mourut et que Louis XIV son fils vint à la couronne. Beaucoup de gens ont prétendu que ce cardinal qui n’était poi
ssi effrontée que lui, qui avait été soldat. Comme cela fit du bruit, beaucoup de gens se firent un plaisir d’aller voir leur conte
oindre, et je vis dans une espèce de cour devant la porte de l’église beaucoup de gens assemblés de toute sorte, et qui riaient tou
mploi, il en fut chargé, et peu après il s’associa avec eux. Il gagna beaucoup de bien là, mais le contrôle général des Finances ét
pouser son égal. Elle est toute aimable et n’en est pas plus hureuse. Beaucoup de gens croient même que son mariage n’a été consomm
qu’elle n’est pas cause de sa basse naissance, elle a personnellement beaucoup de mérite, et des manières toutes douces et engagean
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
ais. Je le nommerai Sotain. C’était un homme qui avait de la qualité, beaucoup de bien et sans contredit du mérite, si la jalousie
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