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1 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
rsouin : je vais vous tenir parole car je viens d’en manger. C’est un animal amphibie, si on peut appeler de même un poisson ;
d’y mettre la dent. Il a les testicules en dehors du corps comme les animaux de terre, séparées et longues. Il a entre cuir et
diminuent. La mer est toute couverte de poissons volants, qui est un animal fait à peu près comme un hareng, excepté qu’il es
en ai parlé à un de nos missionnaires qui m’a dit qu’il regardait cet animal que Dieu faisait naître pour la nourriture des au
une qui contredit la nature. On dit ordinairement qu’il n’y a point d’ animal qui ne tende à la propagation de son espèce et qu
e ? Telle est la morue. La guerre est-elle pas aussi grande entre les animaux de terre, je ne dis pas seulement les plus féroce
rois qu’ils mangeraient le diable s’il tombait entre leurs mains. Cet animal a la tête plate, les yeux aux deux côtés de la tê
ris de ce que Mr. Bergier de La Rochelle me dit une fois qu’un pareil animal avait coupé la cuisse d’un chirurgien qu’il avait
ent avec des cordes de bois les plus faibles qu’ils ont, afin que ces animaux extrêmement sauvages et méchants se délient plus
connaître que ce sont ici aussi bien que les sauvages de l’Acadie des animaux qu’on peut nommer amphibies, c’est-à-dire moitié
re en est comme celle des chèvres de France ; on jette le tête de cet animal parce qu’elle est pleine de vers, le reste est bo
t la terre ne produit point ou peu de bêtes venimeuses, mais bien des animaux inconnus dans notre Europe. Lorsque nous étions a
tétines pendantes qu’elles pourraient bien compter chacune cinq cents animaux de leur espèce provenant de leur estoc. Du mer
matelots ; c’est un plaisir de les voir tirer après. La chair de ces animaux fait ce qu’elle peut pour n’être pas dévorée et s
rpents d’une grandeur prodigieuse, et les eaux de caïmans, qui est un animal long de 20 à 24 pieds, fait comme les crocodiles,
ance, ce que n’a pas le crocodile qui a la sienne large et plate. Cet animal est fort beau à voir, mais dangereux à approcher.
lion fait fuir le tigre, et que l’antipathie est si grande entre ces animaux qu’ils ne se rencontrent jamais ensemble dans le
it que moi qui eût un fusil, et sachant que les buffles d’Italie sont animaux insociables, j’appréhendai que ceux-ci leur resse
seule cause, quoiqu’elle y contribue : c’est donc l’humidité que ces animaux contractent par leur nourriture dans une terre gr
femelles qui viennent à terre, le mâle restant toujours à l’eau. Cet animal ne fait que se traîner assez lentement parce que
et tendre, à peu près comme des crottes de mouton dans le corps de l’ animal avant que d’être jetées dehors. Le jaune n’est po
e cette peau obéit sans se crever. Il semble que Dieu ait donné à cet animal la connaissance de l’impossibilité où il est de f
les faire éclore. Et la nature pour ne point tromper l’ardeur de cet animal dans la propagation de son espèce, lui a donné l’
viennent à terre pour y mettre bas que les matelots les prennent. Cet animal a encore une autre propriété, c’est qu’il reste e
ne rien dire aux buffles que je trouvai à la chasse : un seul de ces animaux a terrassé le maître et le capitaine d’armes de l
il n’y a pas plus de trois mois. Si on en croit ce qu’on en dit, ces animaux sont ici plus grands que deux veaux de six mois.
se et ne sentent point tant l’huile et sont meilleurs à mon goût. Ces animaux sont si familiers qu’ils viennent à bord, se perc
aleur du soleil tout de même que celles de Négerades. La chair de cet animal est très bonne, bienfaisante, et semblable pour l
i point vu, mais oui bien des crottes et de la fiente de ces sortes d’ animaux  ; ainsi je suis assuré qu’il y en a, contre ce qu
u’en disent tous les navigateurs qui assurent qu’il n’y a aucun autre animal que des oiseaux. J’ai été jusques au milieu de ce
2 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
ue je l’en accablasse. Je connus par ses manières qu’il n’y a point d’ animal plus intraitable qu’un faquin de Gascon en place.
se mettre pour respirer ? tout est plein de cages et de parcs. Si ces animaux ne se consommaient pas, nous serions trop heureux
asservie S’agite, s’assoupit, se réveille, et s’endort. Les plus vils animaux , plus heureux dans leur sort, Vivent tranquilleme
tat obscur où toi-même nous ranges, Nature, abaisse-nous aux sens des animaux , Ou bien élève-nous à la clarté des anges. Comme
ouvons-nous nombrer les espèces qui frappent nos sens ? Tels sont les animaux . Nous ne savons pas même combien il y en a de dif
s que l’homme est le plus malheureux et le plus disgracié de tous les animaux . J’en pourrais dans la suite faire une dissertati
ue aussi bon que le hareng frais ; ce qui est beaucoup dire. Ce petit animal n’a aucun repos, ni dans l’eau, ni dans l’air ; d
toujours en danger de la perdre. Ce qui nous est figuré par ce petit animal , qui est toujours en risque dans l’eau et dans l’
arages pleins de requins. Puisque l’occasion s’offre de parler de ces animaux , je crois devoir faire leur description, d’autant
plus servir qu’à polir les roues, tant elle a le grain grossier. Cet animal s’attache à la suite des vaisseaux d’un temps cal
que M. Bergier, lieutenant du roi dans l’Acadie, m’a dit qu’un pareil animal avait coupé d’un seul coup la cuisse de son chiru
isait sur lui du vaisseau, et les gaffes ou crocs de la chaloupe. Cet animal est toujours accompagné de deux, ou du moins d’un
ssance, c’est ce que je ne sais pas. Je sais seulement que ces petits animaux ne le quittent point et s’attachent sous son vent
ations : bien persuadés que la nature seule en sait plus que tous les animaux qu’elle produit, et que tous leurs remèdes ne ser
amère et par conséquent non potable aux hommes et très dégoûtante aux animaux  : mais aussi nous avons en même temps observé que
ur eux des jours mortels. C’est une manne, à la mer, que ces sortes d’ animaux . Nous étions à midi par vingt-sept degrés quarant
s ajouter ne me le paraît pas. On dit communément qu’il n’y a point d’ animal qui ne tende à la propagation de son espèce ; cel
ce ; cela est vrai et naturel : mais il est contre nature que ce même animal tende à la détruire ; ce qui est pourtant arrivé.
a mangé ce matin le plus gros et le plus gras de ses gorets. Ce petit animal , dévoré par sa propre mère, a crié de toute la fo
t ne plaida contre un renard, ni un agneau contre un loup ; et jamais animal n’a plaidé contre un autre : le plus fort dévore
ort dévore sans formalité le plus faible. Je ne dis pas seulement les animaux de différentes espèces, mais ceux aussi qui sont
e bon vin. On n’en a point encore pressé ; y en ayant trop peu. Leurs animaux domestiques sont comme les nôtres. Leur gibier es
ait des hommes et des femmes qui recherchent les embrassements de ces animaux . Lorsqu’un homme s’est joint à une guenon, ou une
se, en lui en voyant manger avec le plus d’appétit. On ajoute que ces animaux ont l’esprit de former des rendez-vous, où ils se
ontrer à découvert ce qui distingue l’homme d’avec la femme : que ces animaux y viennent en troupe et laissent le choix libre à
vont point sur les droits de celui ou celle qui est choisi ; que ces animaux aiment avec attache, et qu’un singe s’était fait
les troupes de Charles Quint avaient passé. La nature anime tous les animaux  : chaque mâle trouve sa femelle de même espèce qu
à une infinité de bœufs ou taureaux, vaches, chevaux, ânes et autres animaux sauvages, mais non malfaisants. Les bois y sont t
ibier, et de bêtes fauves, toutes bonnes à manger. Il n’y croît aucun animal malfaisant, ni lions, ni tigres, ni loups, ni our
ied d’un arbre, et l’abandonne à la voracité des corbeaux ou d’autres animaux carnassiers par qui ces innocents sont déchirés t
ru d’abord, que ce sont de gros fruits prêts à tomber de l’arbre. Ces animaux sont si communs qu’on en voit par vingtaine sur l
homme, et du peu de préférence que la nature lui donne sur les autres animaux , auxquels elle est sans doute plus libérale qu’à
’en tient servilement à son jugement sans vouloir approfondir que les animaux qu’il nomme brutes ont droit d’en appeler au trib
il n’est point chassé, ils ont des bœufs en très grande quantité. Ces animaux sont bons, et d’un bon suc. Ils ont entre les épa
nce crasse, et peut-être involontaire, n’en ont pour la tête d’un vil animal  ! Nous ne croyons point cette présence réelle ; e
nt leurs femmes comme leurs esclaves et leurs servantes, et comme des animaux immondes qu’ils n’admettent point dans leur parad
tion vagabonde, ils tirent leur plus forte subsistance du lait de ces animaux . Ce qui me le persuade encore, c’est que, comme l
; et prennent ces cordes les plus faibles qu’ils peuvent afin que ces animaux , extrêmement farouches, sauvages et méchants, les
nt pas plus approcher que le diable de l’eau bénite, étant pour eux l’ animal le plus exécrable et le plus immonde que la natur
né à une mort certaine ! Quelle horreur d’entendre le mugissement des animaux , consumés tout en vie ! Ce navire fut plus d’une
nt, ayant de petites ailes, lequel s’élance de dessus un arbre sur un animal , bœuf, cheval, âne, et même éléphant ; qu’assez s
souvent même il s’attaque aux hommes, femmes et enfants ; et que tel animal que ce soit, lorsqu’il est piqué de cet insecte,
3 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
ci sont, aussi bien que les sauvages du Canada & de l’Acadie, des animaux amphibies, moitié chair & moitié poisson. J’i
e sur le goût d’autrui, ayant naturellement horreur du grain dont ces animaux sont farcis. Ils le sont tous, sans aucune except
tête, toujours pleine de vers, qui s’engendrent dans la cervelle de l’ animal vivant ; la chair en est longue, mollasse & s
. La terre ne produit point ou peu de bêtes venimeuses, mais bien des animaux inconnus en Europe. On avait depuis peu de jours
la suite le respect que tous ces peuples idolâtres ont pour tous les animaux vivants, & jusqu’où va leur zèle & leur s
de, s’il peut, ce brûlement avec la métempsycose dans toutes sortes d’ animaux , que les bramènes font profession de croire, &
de chute, ils y vident ce qu’ils ont renfermé dans leurs boîtes. Ces animaux sont encore vivants : ils leur assurent leur subs
tétines pendantes quelles pourraient bien compter chacune cinq cents animaux de leur espèce, provenant de leur estoc. Du me
matelots : c’est un plaisir de les voir tirer après. La chair de ces animaux fait ce qu’elle peut pour n’être pas dévorée, &am
le François, ai-je repris : est-ce aujourd’hui ? Comment vis-tu donc, animal  ? m’a-t-il dit en ouvrant mes propres Heures : ti
naturaliste, je ne crois point celui-là, étant persuadé que tous les animaux , tels soient-ils, viennent par la voie de la géné
ns les buissons. Les eaux sont pleines de caïmans, qui est un furieux animal , long de dix pieds, fait tout de même qu’un croco
er de lance, & celle du crocodile est large & plate. Ces deux animaux n’ont du reste aucune différence essentielle. Ils
, aussi bien que l’inférieure, comme le perroquet ; & si ces deux animaux ne se faisaient pas une guerre perpétuelle, on le
outenir la réverbération, lorsque le soleil donne dessus. Lorsque cet animal dort, on le prendrait au soleil pour une continui
aude & de topazes. C’est dommage que cet éclat ternisse lorsque l’ animal est mort, & que par la suite du temps ces éca
que part que le lion fait fuir le tigre, & que ces deux espèces d’ animaux ne se trouvent point dans le même lieu. Cela est
eurs, & tous ceux qui ont été dans le bois, en ont vu ; mais, ces animaux ne font de mal à personne, & il avait été déf
issai passer, & fis bien, puisque deux jours après un seul de ces animaux a terrassé le capitaine des matelots & le cap
ient plus qu’au pot, parce qu’on en est bientôt rebuté autrement. Ces animaux sont d’un très grand secours pour un équipage, &a
femelles qui viennent à terre, le mâle restant toujours à l’eau. Cet animal ne fait que se traîner fort lentement, parce que
ce de boyau, à peu près comme le crottin de brebis dans le corps de l’ animal , avant l’expulsion. Ils ne valent rien à manger,
a nature (l’un n’est pas ici autre chose que l’autre) ait donné à cet animal la connaissance de l’impossibilité où il est par
our les faire éclore, & que pour ne point tromper l’ardeur de cet animal dans la propagation de son espèce, la nature lui
rps, coupe tout ce qu’on lui présente, même le fer. C’est lorsque cet animal vient à terre pour y faire sa ponte que les matel
, pendant que les poules & les jeunes paons paissent l’herbe. Cet animal est extrêmement méfiant : il y en a toujours troi
é y monter, non plus que moi, crainte de se casser le cou. Les autres animaux à plumes y sont les mêmes qu’à Moali, mais les pe
ire ni mal ni difficulté. M.de Porrières, touché des caresses que cet animal faisait à son faon, pria La Fargue, notre chirurg
rgien passe pour tel : mais, en voilà une vilaine preuve. Heureux les animaux de n’avoir ni médecins, ni chirurgiens de leur or
lt, Gassendi, La Chambre, & tous les autres qui ont donné sur les animaux leurs visions pour des vérités. Qu’il me donne, à
de cet instinct d’avec la raison de l’homme ; qu’il me prouve que les animaux ne sont que des êtres matériels & des machine
e qui ne sait rien de lui-même, & a si bien exalté le bonheur des animaux de n’être point frappés des terreurs de la mort,
à aggraver le malheur de ceux qui dépendent de nous, au contraire des animaux qui ne s’écartent jamais de l’instinct que la nat
nature a attaché à leur espèce ; en un mot, il a tellement relevé les animaux au-dessus de l’homme par rapport à la vie présent
& le caïman ne se faisaient pas la guerre, on les prendrait pour animaux de même espèce. L’antipathie que la nature leur a
lassor lorsque je vis d’un coup s’élancer dans l’eau l’un de ces deux animaux  : l’autre avait paru dans la rivière, & celui
sage du camphre & de quelle manière on représente toutes sortes d’ animaux dans l’artifice en feu : cette science est de trè
is oui bien quantité de fiente & de crottes de ces deux espèces d’ animaux . Ainsi, je suis très sûr qu’il y en a. J’ai été j
de quatre milliers ; &, outre le dîné et le soupé que ces petits animaux leur ont fournis, ils en ont encore consommé une
vant le Déluge ? L’Écriture me répondra qu’il fut universel, que tout animal vivant fut submergé, excepté ceux que Noé avait r
vec nous forme une créature égale à l’un ou à l’autre ? Je laisse les animaux de toutes espèces. Par qui ces hommes & ces f
, & se perdent à la pointe. C’est cette arme qui donne le nom à l’ animal , qui, dit-on, a une haine si forte pour la balein
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
z pas disconvenir. Ne regardons que les espèces animées ; il créa les animaux devant que de créer Adam, qui était plus parfait
imaux devant que de créer Adam, qui était plus parfait qu’aucun autre animal  ; il créa Adam devant Eve, et si j’ose me servir
a d’elle ; elle m’a dit mille fois que je ne suis qu’une bête, qu’un animal  ; vraiment elle me dirait bien cette fois-là que
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
le monde de parler. — Tenez, Madame, lui dit Sanchia, Nicolas est un animal qui y va tout à la bonne foi comme un âne qui pèt
t brisa de la tête le visage de son mari. Comme il est naturel à tout animal de vouloir se retenir à quelque chose, et surtout
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
rter au cheval deux grands coups d’épée dans les flancs. Tant que cet animal avait eu de la force, il avait fort bien secondé
7 (1721) Mémoires
é où il était de cultiver et de semer les terres faute de grains et d’ animaux de labour, qu’on lui ôtait comme je viens de le d
ens du pays suffisaient pour le défendre parce qu’il semblait que ces animaux avaient déclaré une guerre mortelle à tous les sa
s bêtes brutes car je sais qu’on nous regarde dans ton pays comme des animaux sans instinct et sans raison… Pourrait-il nous pu
ux dernières sont des armoiries parlantes et ainsi peu anciennes. Ces animaux donnèrent sujet à l’épigramme que voici : Le pet
sa pas, non plus que des caresses qu’elle faisait au précepteur ; ces animaux -là sont ordinairement caressants. Cependant, le t
e ; en effet il devait savoir que les enfants du cotillon étaient des animaux intactabilia, et ceux-ci en étaient. 246. J’en re
pour venir nous joindre. — De quoi riez-vous tant, leur dit-il ; cet animal -là, poursuivit-il en parlant de moi, a-t-il encor
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
le-même. Sa petite chienne était en chaleur ; et de peur que ce petit animal n’allât chercher quelque amant à l’aventure, elle
tite chienne. Je lui fis remarquer leurs caresses, et lui dis que les animaux nous montraient à vivre. Je poussai ma morale sur
es ; elle se mit en tête d’approfondir la vérité. Elle questionna mon animal de laquais, et le tourna de tant de côtés, que le
point entendu. Elle monta dans mon antichambre, et obligea mon grand animal de ne faire aucun bruit. Elle attendit tranquille
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
quelques jours sans lui rien dire de fâcheux ; mais un jaloux est un animal qui par la suite des temps ne se fierait pas à l’
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
t les fit manger à une petite chienne qu’elle avait. À peine ce petit animal en eut-il dans le corps, qu’il tomba mort sans br
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
Contamine, en lui mettant la main sur la bouche ; voici une espèce d’ animal amphibie, poursuivit-elle en riant, que je ne sai
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