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1 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
aie eue depuis longtemps. Vous vous rendez donc, poursuivit-il, à vos amis , après les avoir attristés par votre absence ? Ou
ttristés par votre absence ? Oui, reprit Des Frans, je me rends à mes amis , à mes parents, et à moi-même, en me rendant à ma
ement où aller loger. Vous ne vous souvenez plus que nous sommes bons amis , reprit en riant le conseiller, ma maison est ass
ui avait apporté une valise. Il changea d’habit et vint rejoindre son ami dans une salle où il l’attendait. Il s’informa de
de Dupuis et de Gallouin. Il apprit que Dupuis était toujours de ses amis , et que Gallouin était mort. Il est mort, interro
njure de me recommander à lui, et de l’assurer que je suis revenu son ami autant et plus que je n’étais parti. Des Ronais l
il pourrait, et sortit. Cependant Des Ronais qui était le plus intime ami de Dupuis, quoiqu’il fût brouillé avec sa cousine
s. Ils se firent l’un à l’autre toutes les caresses que deux parfaits amis peuvent se faire, après avoir été longtemps sans
le a pu, et plus même qu’elle ne devait, pour le désabuser, plusieurs amis communs s’en sont mêlés ; mais tout aussi inutile
compagnie d’une maîtresse est toujours plus agréable que celle de ses amis . Je ne puis me dispenser de me rendre aujourd’hui
t, et Des Frans et Des Ronais étant restés seuls, le premier pria son ami de lui tenir parole, et de lui raconter ce qui s’
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
e ses deux autres sœurs, et voulant connaître toute la famille de mon ami , je me mis volontiers de la partie avec d’autant
’avais dérangé une bonne partie des résolutions de Clémence. Pour mon ami il ne me parut pas y prendre beaucoup de part ; a
eter de l’eau bénite. Je revins donc comme j’étais allé. Je priai mon ami d’y aller ou d’y envoyer. Il me dit qu’il ne pouv
du de la laisser voir à qui que ce fût, qui ne fût de sa famille. Mon ami m’en témoigna son chagrin, j’en fus au désespoir 
et la couleur, que je ne me reconnus plus moi-même. J’allai voir mon ami ainsi déguisé, je lui donnai un billet de moi, pa
entendions. J’en partis chargé de lettres et de compliments pour mon ami , et voici celle que Clémence m’écrivait ; lisez-l
mphe de ma raison. Adieu, ayez soin de mon frère, soyez toujours bons amis  ; instruisez-moi de tout ce que vous ferez, et re
ariage. Enfin ces deux hommes donnèrent à rire à tout le monde. Leurs amis communs firent cesser ce scandale public en les a
sait que j’étais honnête homme, c’était le moyen de n’être pas de ses amis . Il ne donna aucune raison de son ridicule refus,
mpêché que Clémence ne m’aimât, et que son frère n’eût été mon intime ami  ; ce n’était point une des raisons du refus de so
longue main. Elles avaient été fort longtemps pensionnaires et bonnes amies ensemble. Elle lui confia notre secret, et la pri
père ignore, et non pas dans celui où j’étais, parce qu’il y a trop d’ amis . J’ai déguisé mon nom, on ne m’y connaît pas, et
l’autre, quoique ce fût en sa présence. Il n’est point encore de nos amis , je suis assez content qu’il ne nous chagrine poi
, lorsque je vis le changement de scène. Nous n’étions pas assez bons amis lui et moi, pour nous faire bon visage. Nous nous
aircissement guérira son amant. Nos malheurs sont bien plus cruels, l’ amie qu’elle a ici m’a assurée d’un secret inviolable,
épositions des témoins qui tous m’étaient favorables. J’avais de bons amis à Paris qui se chargèrent de travailler pour moi.
la troupe leur prêterait main forte au moindre bruit. Le reste de mes amis voltigeait autour de ce couvent, pour se saisir d
ui des grands mots. Je fis avancer le carrosse, et les chevaux de mes amis , et ceux d’eux qui étaient dehors montèrent à che
femme, et en même temps elle se jeta à corps perdu dans mes bras, mes amis et les gens de Monsieur de Lutry qui avaient appa
charmé. Ni elle ni moi ne regardâmes qui que ce soit en sortant. Mes amis nous firent faire place, nous montâmes elle et mo
int si promptement suivis. Nous emmenâmes la tourière avec nous ; nos amis montèrent à cheval, et nous prîmes à toutes jambe
es choses de fort bonne grâce, et me donna à table en présence de mes amis et de la tourière, un poignard qu’elle avait effe
revenus qu’avant-hier, afin de me faire recevoir à une charge que mes amis m’ont négociée. Voilà, Madame, poursuivit Terny,
affaire pressée, je vais vous donner satisfaction : mais vous, notre ami , poursuivit-il en riant, parlant à Dupuis, n’en c
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
votre départ, ayant été longtemps le sujet de la conversation de vos amis et de leur tristesse, surtout de celle de Mademoi
n amant, je lui rendis beaucoup de soins, et devins un de ses intimes amis . Comme j’y étais, Mademoiselle Dupuis y entra ave
emarqua que cette nouvelle l’avait attristé. Il était en effet de ses amis , mais non pas son amant, et n’a jamais parlé d’el
latèrent de rire. Le marquis le traita de fou, et de brutal, pria ses amis de tenir l’aventure secrète, et défendit à ses ge
qu’on ne lui parlât jamais de la marier, si on voulait rester de ses amis . Une réponse si précise fut un arrêt décisif. Sa
uis mon départ. Je suis engagé, poursuivit-il, avec un de mes intimes amis dont le fils aime ma fille aussi bien que vous, e
i vu personne depuis votre départ que le jeune Du Pont : son père est ami du mien ; mais pour l’aimer, la manière dont je v
e conseil qu’il lui donnait en honnête homme, et qu’il l’en priait en ami . Dupuis, qui ne s’attendait pas à cette prière, e
c moi, il me dit d’aller terminer mes affaires. Qu’on connaissait ses amis dans le besoin ; qu’il était le mien plus que je
? J’avouai que oui. Et voilà justement l’endroit, reprit-il. Mon cher ami , poursuivit-il en me frappant sur l’épaule, sois
ce soit le soupçonnât, mais enfin il fut découvert. Dupuis avait des amis partout, il fut informé que cette fille était prê
, il envoya chercher un sergent, qu’il connaissait pour être des bons amis de cette fille. Il lui mit le décret en main, mai
ect, et je perdis ma rhétorique aussi bien que Madame Dupuis et notre ami son fils, qui comme moi, firent leur possible. L’
parler sitôt de notre mariage. Madame Dupuis sa tante, mère de notre ami , qu’apparemment elle avait priée d’en agir ainsi,
plus amoureux que Gauthier. À Grenoble, le... De bonne foi, mon cher ami , qu’auriez-vous fait en ma place ? Quel parti aur
alla ensuite passer le reste de l’après-midi chez la maîtresse de son ami . Ils se firent mille civilités l’un à l’autre. La
je n’en suis point consolée ? Mais enfin il faut finir. Vous êtes son ami , ayez pitié de l’état où nous sommes lui et moi.
nes. Vous voyez bien, poursuivit-elle, après qu’il eut lu, que votre ami a pris tout de bon la chèvre. Vous voyez bien que
e donne à plaisir. Je n’ai montré cette lettre qu’à deux dames de mes amies . Si mon cousin l’avait vue, ils ne seraient pas s
de mes amies. Si mon cousin l’avait vue, ils ne seraient pas si bons amis qu’ils sont. Je vous la confie pour la rendre à M
sieur Des Ronais ; je suis fort trompée si nous ne nous séparons bons amis . Et si Monsieur Des Ronais, dit Des Frans en rian
driez la voir aujourd’hui, c’est ce qui m’y a fait venir. Vous êtes l’ ami de Des Ronais, dites-lui de ma part que je suis s
Contamine que j’ai laissée chez elle. Vous êtes trop heureux en bonne amie et en maîtresse ; on vous aime toujours, et on es
me de Mongey. Il est vrai, dit Des Ronais, qu’elle n’est point de ses amis . Elle en parle comme d’un fourbe. Vous en saurez
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ue je n’ai jamais eu qu’un frère, et que nous n’avons jamais été bons amis  ; cela n’est pas rare. Il avait dix ans plus que
exercices. L’écuyer de Monsieur le duc de Ledune était de ses intimes amis , aussi bien que de mon oncle. Ils le prièrent d’a
encement pour un nouveau débarqué. Je vis bien que pour être de leurs amis dans la suite, il fallait en bien battre tout au
our prendre un mousquet, il me mit dans la compagnie d’un de ses bons amis . Mon père voulut, qu’avant que de partir, j’allas
plaisir de les voir mariés inutilement. J’avais entendu parler à mes amis de débauche d’une composition qui dissipait toute
âmes de déjeuner, et je les quittai en apparence le meilleur de leurs amis  ; ce coup-là se fit vers les Rois. J’allai passer
tagne aux terres de Monsieur de Rohan avec un de ses officiers de mes amis . Nous ne revînmes qu’après les fêtes de Pâques. J
ans le fond du cœur elle ne m’aime guère, quoique nous ayons été bons amis . Voilà de quelle manière finit ma première intrig
. Attachez-vous à elle, elle s’apaisera, et nous redeviendrons bonnes amies . Je m’en suis toujours douté, repris-je, non pas
e batelier n’osa contredire un homme aussi en colère que j’étais. Mes amis me rejoignirent, j’étais dans une fureur épouvant
ils, et le pis que je pus ; après cela je me laissai conduire par mes amis avec qui je remontai en carrosse pis qu’enragé, t
ire connaître aussi que je suis trop homme d’honneur pour tromper mes amis , ni souffrir qu’ils le soient. Un de mes amis de
onneur pour tromper mes amis, ni souffrir qu’ils le soient. Un de mes amis de débauche nommé Grandpré, de bonne famille dans
arfaitement honnête homme, et comme je vous ai dit, un de mes intimes amis . Je lui en dis ma pensée ; il me répondit que j’é
e lui en voulais, et je pris avec plaisir l’occasion de détromper mon ami . Si j’avais été tout à fait scélérat, j’aurais pr
nt sa demeure. Elle ne vient ici qu’à cause de l’absence d’une de mes amies , et tout ce que j’en sais, c’est que c’est une fi
son, ne lui dis pas le mien : dis-lui seulement que je suis un de tes amis . Ne vous mettez en peine de rien ; venez seulemen
fait venir, lui dis-je, c’est pour vous-même. Vous êtes celui de mes amis que je considère le plus, et à qui je tâcherai to
vice suivant ses inclinations. Vous aimez les belles personnes, entre amis , le personnage ne me fait point de honte. J’ai de
la vérité. Il en faut bien moins que cela pour obliger les meilleurs amis et les frères même, à se couper la gorge ensemble
e, parce qu’elle parla plus français. Ah, ah, dit-elle d’abord, votre ami a donc trouvé à son gré la demoiselle que j’ai ét
urant. Pas trop, lui dis-je ; ne suis-je pas honnête homme, et de vos amis  ? Allons, continuai-je, en parlant à la Delorme,
e soir même dans la rue où la veuve logeait. Je soupai avec un de mes amis dans un cabaret proche de chez elle. J’y allai tr
. J’y paraissais comme un homme sans conséquence, et seulement un bon ami . Elle n’était plus obsédée d’aucun soupirant, par
aissez ; nous ne sommes point scrupuleux, restons sur le pied de bons amis et d’amants comme nous sommes ; nous nous en aime
la mère, et un de ces hommes propres à faire enrager les enfants, les amis et les domestiques d’une maison, quand ils se son
eurs, je puis vous dire que vous perdez votre peine. Nous sommes bons amis lui et moi, je connais sa manière de vie, et je p
de vie, vous n’y verriez rien qui pût choquer votre vertu. Voilà mon ami beaucoup plus honnête homme que moi, qui peut vou
’envie que j’avais de vous mettre l’esprit en repos, le parent de mon ami a tellement combattu mon dessein, qu’il en a reta
n me contraindre, ou me résoudre à ne plus voir l’aimable sœur de mon ami , qui est à présent Madame de Londé. Vous la conna
capable et en état de servir son prince, sa patrie, le public et ses amis , aille s’ensevelir pour toute sa vie, ni qu’il re
que cette prédiction me revient dans l’esprit : et en effet, tout mon ami que vous êtes, si j’étais mis en justice pour ce
ai de l’aimer. Pour me consoler de sa perte et du chagrin de voir mes amis dispersés l’un dans un convent, d’autres en provi
is dessein de me retirer du monde, comme ont fait quelques-uns de mes amis  ; mais les sentiments de dévotion que j’avais et
olitude ; mon chagrin et des livres ont fait toute ma compagnie ; mes amis même, avec qui j’ai rompu tout commerce, ne me re
n secret que j’ai toujours caché avec tant de soin, et que mon intime ami , même proche parent de ma maîtresse, a toujours i
’expliquer. Dites-moi son nom, dit-elle, peut-être qu’elle est de mes amies , et je l’en informerai pour vous. Je consens volo
Honoré trouver le frère de Madame de Londé. Nous étions toujours bons amis  ; mais je ne lui avais jamais parlé de l’amour qu
il sitôt qu’il la vit. Que diable, ne soyez pas quelquefois si bonnes amies ensemble, et ne vous brouillez pas si souvent. Et
é à ne la plus regarder comme ma femme, mais seulement comme ma bonne amie . Mais ne craignez-vous pas, repris-je, qu’elle se
vous vîtes il n’y a pas longtemps, ce qui n’est pas rare, car bonnes amies à midi, la querelle s’en mêle avant la nuit. Elle
mauvais ménage ensemble, nous vivons chacun en liberté, et comme bons amis seulement, ou bien plutôt comme frère et sœur, pu
e dans l’unique chemin où il pouvait la trouver. La perte d’un si bon ami et d’un si saint homme me fut extrêmement sensibl
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
comme je vous ai dit, Madame, ne nous servait que de prétexte ; cette amie qui jouait avec nous, ne nous était point suspect
allai trouver Phénice, pour savoir d’elle en quoi j’avais offensé son amie . Elle ne put, ou plutôt elle ne voulut me rien di
s voulez m’abandonner à mon malheur, ou si vous voulez faire agir vos amis . C’est Monsieur… qui m’a interrogée, et qui est m
le Président… qui est mon juge. Ils sont tous deux parents et intimes amis de Sainville ; il peut tout sur eux, et vous pouv
voulant rentrer chez lui il avait vu à sa porte deux carrosses de ses amis qui l’attendaient, et qu’il avait évités, parce q
nt impossible de ne pas répandre mes douleurs dans le sein de quelque amie fidèle, je lui appris tout ce que je viens de vou
s de lui ; je connaissais de réputation un homme vertueux, son intime ami , qui depuis peu s’était retiré du monde. J’allai
mmun avec la baronne, je la lui recommandai comme la meilleure de mes amies , et comme une dame de qualité digne de pitié et a
à tort, et le suppliai d’employer en sa faveur tout ce qu’il avait d’ amis . Cet homme de vertu n’envisagea là-dedans que la
d’affaire. Il remua pour cet effet tant de ressorts, et fit agir ses amis avec tant de vivacité, et Sainville lui-même, qui
la trouverait. Il demanda pour cet effet une lettre de cachet, et les amis qu’il avait en Cour, qui ignoraient les justes su
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
vint qu’environ trois mois après. Comme nous avions toujours été bons amis , j’allai le voir. Je le trouvai pâle et défait ;
rt à sa tristesse, et tâchai de le consoler. Le coup est là, mon cher ami , me dit-il, en mettant le doigt à l’endroit du cœ
lutions ; mais hardie à les exécuter. Elle était désintéressée, bonne amie et plus fidèle maîtresse : elle était si peu ambi
me qu’elle me nomma ; je lui dis qu’il était de mes plus particuliers amis , et que j’étais persuadé qu’il lui rendrait servi
é mendier cette saisie pour s’empêcher de payer. Je la menai chez mon ami , qui à ma prière lui donna tout ce qu’elle demand
Je vous proteste que je ne laisserai pas d’être toujours le meilleur ami que vous puissiez avoir au monde ; que vous pouve
sez pour que personne qui vive ne soupçonne même que nous sommes bons amis . Si elle devient grosse, ajoutai-je, sa mère en s
ec une de mes sœurs. De là j’irai voir une dame qui est de mes bonnes amies , et de celles de ma mère. Je la prierai de m’envo
quelque temps. Je lui promis de le servir, soit par moi, soit par mes amis , pour lui faire avoir un emploi stable. Je l’ai f
elui-ci lui dit que oui, ce qui était vrai : parce que Gallouin votre ami et le mien qui s’était mis dans cet ordre, avait
qui demeuraient proche de là, et un officier de campagne, tous de ses amis  ; et dont il avait répondu. Il nous fit en leur p
lées par les habiles gens de justice, et surtout de probité et de vos amis . Je crois qu’après cela il n’y avait plus rien à
dans le moment. J’étais sur le rempart à me promener avec deux de mes amis  ; elle me vit de sa fenêtre, et écrivit ce mot-ci
nous achevâmes ce qu’il avait interrompu, et nous nous séparâmes bons amis . Nous passâmes tout le printemps, l’été et l’hive
avance était intéressée, elle avait encore besoin de moi auprès de l’ ami dont je vous ai déjà parlé : Madame Des Prez m’en
t, qui n’est point encore fini, parce que Des Prez a employé tous ses amis pour le faire perdre, ou pour en retarder la déci
e Contamine, c’est lui-même ? Je croyais m’être mépris. Eh bien notre ami , lui dit-il, êtes-vous enfin raisonnable, qu’en p
Madame de Londé chez elle. Madame de Mongey resta à coucher avec son amie , et Des Ronais et Des Frans retournèrent ensemble
emier. Sitôt que Des Ronais fut seul avec Des Frans, il demanda à son ami , sur quoi roulait la conversation qu’il avait eue
oi, ajouta Des Ronais ; et si vous suivez le conseil de vos meilleurs amis , vous ne laisserez point échapper une si belle co
s Frans lui dit qu’il venait lui demander à déjeuner avec deux de ses amis . Très volontiers, dit-il en se levant ; et passan
ien du mal. Ma foi, Mesdames, dit Dupuis en prenant la défense de son ami , il n’a pas lieu d’être content des femmes. Je n’
y fait une des premières figures, était comme vous savez, mon intime ami . Il est mort dans un habit de pénitence en odeur
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
s de la forêt, qui servait de valet de pied à Parafaragaramus son bon ami . En disant cela elle alla à lui, et lui, en gamba
comme un poulet de grain. Parafaragaramus est comme vous voyez intime ami de Madame la comtesse ; il n’a pu souffrir que vo
r le champ de bataille et lui abandonner ses armes. Tout bien de toi, ami Sancho, lui répondit Don Quichotte, tu as le cœur
oit-il pourtant qui mal y pense. Je ne croyais pas offenser votre bon ami Parafaragaramus, lorsque j’ai porté la main à l’a
us les diables en un mot s’en mêlent. —  Cela ne te doit pas étonner, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, ils sont seuls dan
n’y a mis que la discorde. —  Il n’y pouvait pas mettre autre chose, ami Sancho, reprit Don Quichotte, je voudrais que tu
8 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
ert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. Cid Ruy Gomez, l’ ami à qui Zulema, ou Henriquez de la Torre, avait con
bons que pour eux- mêmes, ou tout au plus pour quelques-uns de leurs amis , et qui ne comptent pour rien le reste du monde,
y Gomez, qui n’avait suivi Don Quichotte que pour rendre compte à son ami , ne se trouva pas d’humeur à faire part à qui que
mode en France, et que tout le monde en veut savoir un peu, un de mes amis , qui l’apprend, m’a fait voir quelques endroits q
9 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
t ; mais comme je ne suis pas d’humeur à approfondir le secret de mes amis qu’autant qu’ils le souhaitent, je ne lui en dema
a vint par le moyen de son cousin, qui lui dit un jour qu’il avait un ami qui chantait autant bien qu’homme du monde. Elle
faire tenir mes lettres, et avoir ses réponses. Je me suis servi d’un ami affidé, qui ne nous a point trahis. Je partis le
elle ne le prononçait jamais, ni devant ses parents, ni devant leurs amis . Elle ne paraissait pas s’en informer. Elle voyai
e veux point lui faire de tort, quoique nous ne soyons pas assez bons amis pour le lui donner moi-même. Cet homme le prit, e
joie, puisque c’est pour un homme de mérite, et que je regarde comme ami . Comme nous en étions là, nous entendîmes un carr
voir. Il s’en aperçut ; ne craignez rien, lui dit-il, c’est un de mes amis qui sera assurément des vôtres. Elle s’abandonna
ie parce que Jussy avait envoyé quérir ses deux frères et deux de ses amis , et que sa femme avait envoyé quérir de son côté
sa femme avait envoyé quérir de son côté quelques-unes de ses bonnes amies  ; de sorte que nous étions déjà quatorze conviés,
’elle sera contente de leurs honnêtetés et de leurs excuses. Ces deux amis acceptèrent la partie pour le lendemain matin. Je
s à miracles dans le siècle où nous vivons. Je suis très aise que mes amis soient tombés en bonnes mains ; mais pour moi, à
10 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
evalier Sancho, lui dit le duc, c’est vous que je croyais de mes bons amis , et vous empêchez le seigneur Don Quichotte de me
l’auras ; ceci mérite bien que nous nous arrêtions un peu, notre bon ami Parafaragaramus est trop civil pour nous laisser
d’une bouteille qu’il avait presque vidée seul, il fait bon avoir des amis partout, et en enfer comme ailleurs. Il y a de ma
s qui nous piquent comme guêpes, mais il y en a aussi qui sont de nos amis . Patience, nous les reconnaîtrons ; laissez-nous
st celui que vous avez tué. —  Nous parlerons de cela une autre fois, ami Sancho, lui dit-il, toujours puis-je te dire, que
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
ce duc, et s’imagine peut-être qu’il ne lui en fit point. Lecteur mon ami , on t’a donné une trop belle idée de la civilité
e la sienne, qui s’était cassée, comme on a vu, en délivrant Eugénie. Ami Sancho, lui dit-il, ce sera demain le plus glorie
à un de mort. Pour moi, Dieu me préserve du baume de Fierabras. Mais, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, il me semble que t
l’alguazil, et franchement c’est un vilain métier. —  Tu te trompes, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, un chevalier et un
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LXI. Comment Don Quichotte et Sancho sortirent du château pour s’en retourner chez eux ; de ce qui leur arriva sur la route. Mort de Don Quichotte ; et ce qui s’ensuivit. »
dis-je ? Parafaragaramus au contraire n’est-il pas le meilleur de nos amis  ? C’est par l’intérêt qu’il prend à ma gloire qu’
écuyer, qui avait déjà ôté son bonnet pour boire dedans, arrête, mon ami , tu ne connais point la propriété de cette eau. N
lin ; cet enchanteur l’a faite exprès pour guérir un chevalier de ses amis de la passion qu’il avait pour une princesse ; ca
se plaignit d’un grand mal de côté. — Tu n’en dois pas être surpris, ami Sancho, lui dit Don Quichotte, il est impossible
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
qu’elle était sûre que le seigneur Parafaragaramus était trop de ses amis pour ne les pas voir avec plaisir, puisqu’ils éta
savez pas tout, Monsieur, lui dit Sancho. —  Qu’y a-t-il de nouveau, ami Sancho ? lui demanda notre héros. —  Il y a, répo
parce qu’un certain veilla-que d’enchanteur nommé Parafaragaramus son ami a dû le lui dire, et lui a sans doute dit ; dis-m
lui en donner des nouvelles le lendemain, après avoir parlé à son bon ami Parafaragaramus. —  Je voudrais bien, dit notre h
article, Seigneur chevalier Sancho, lui dit Eugénie, quoique mon bon ami me l’eût pourtant ordonné ; c’est que vos armes n
14 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
re une estime toute particulière, devinrent bientôt parfaitement bons amis . Le comte Valerio fut prié de dire par quelle ave
. Que pour le comte du Chirou, ils n’avaient pas toujours été si bons amis qu’ils étaient parce qu’ils avaient aimé la même
éussi, et que cette conformité d’aventures les ayant rendus fort bons amis , qu’ils s’étaient promis amitié et secours partou
eux épouses n’ayant eu aucun sujet de chagrin que par rapport à leurs amis , le comte Valerio et son épouse étant contents, S
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
uis l’enchanteur Parafaragaramus, le plus grand et le meilleur de tes amis , à cause du service que tu as rendu à la comtesse
e de la peur qu’il avait eue, mais enfin il reprit ses sens. Tu vois, ami Sancho, dit Don Quichotte, que les bonnes actions
urs chevaux, qu’ils croiraient tenir de la main d’un enchanteur, leur ami , les animerait davantage, et relèverait le courag
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
onnaître à la compagnie l’empressement où elle était de voir sa bonne amie Thérèse. Don Quichotte ne s’opposa point au desse
ur lors retire-toi dans ton domestique auprès de ta famille et de tes amis sans changer dorénavant ton train de vie ; observ
us en demanderai que pour boire de temps en temps chopinette avec mes amis , car pour chez moi j’aurai du vin en cave ; taill
ce coup-là, ma Thérèse, qu’il faut nous réconcilier et demeurer bons amis , car voilà qui est fait. Les ducs, les comtes et
n fou qui court après sa femme quand elle veut s’en aller. — Eh mais, ami Sancho, lui dit la duchesse, que tout ce tintamar
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
i fit mille caresses, et l’assura de tous les services que lui et ses amis pourraient lui rendre d’une manière à ne lui lais
le maître ni la maîtresse. Sitôt que nos aventuriers furent retirés : Ami Sancho, dit Don Quichotte, tu me parais triste, m
ils n’avaient pas fui, je n’en aurais pas laissé un en vie. Mais toi, ami Sancho, où étais-tu que tu n’as pas eu ta part de
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
Courage, poursuivit-il s’adressant à Deshayes, brave Roger, votre bon ami Roland est avec vous ; et en disant cela, il pass
e. Ces deux femmes étaient Eugénie et Gabrielle de Monsalve, sa bonne amie , qui voyant que Valerio était endormi, avaient eu
comtesse pouvait avoir besoin, que pour ne point incommoder un de ses amis dont il savait déjà l’aventure.
19 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
ans la main, se donnent mutuellement du riz ; & les parents &  amis sont régalés pendant trois jours. Ces parents &am
arents & amis sont régalés pendant trois jours. Ces parents &  amis sont tous de la même famille, qu’ils appellent ca
croiraient manger l’âme, ou le vêtement de l’âme de leurs parents ou amis s’ils mangeaient quelque chose qui eût eu vie. On
tard un ennemi ; au lieu qu’en ne lui cédant rien j’en avais fait un ami sincère & qu’il était lui-même le premier à a
le chevalier de Bouchetière, car nous sommes à présent les meilleurs amis du monde. Il m’a demandé si j’avais préparé un bo
& son étui, en lui disant que j’avais promis à ma famille, à mes amis & à moi-même de retourner en Europe ; & q
sieurs fois, & toutes avant la mort de Le Vasseur. J’étais de ses amis avant sa lâcheté du samedi 29 juillet, que j’ai r
que personne ne s’y fie ; le marchand trompe la bonne foi, & ses amis les premiers. Il n’y a qu’un particulier qui se r
dant le temps de la paix d’Europe, ils étaient toujours ensemble bons amis , & se festinaient très souvent. À présent, ch
naient nullement à la sainteté de l’état dont il portait l’habit. Mon ami s’était aperçu de quelque minauderie entre sa fem
que le mari venait de quitter : le reste est facile à s’imaginer. Mon ami (qu’on me permette de l’appeler ainsi, son cocuag
pourpoint. Notre honneur dépend-il de ceux qui n’en ont point ? Mon ami donc, malgré son cocuage, content de ce qu’il ava
sort de sa Messaline. Il s’y cacha à tout le monde, excepté à un seul ami . sur la discrétion & le secret duquel il avai
s’embarquerait pour Marseille ou pour Venise ; d’où il écrirait à son ami , sur la réponse duquel il réglerait le reste de s
d’un paquet de plusieurs lettres, tant pour ses parents que pour cet ami . Je l ai fait : j’ai ce paquet ; & si je reto
e conserve, je rendrai le tout en main propre, particulièrement à cet ami , parce que c’est encore une de mes connaissances
petits saints ; &, qui plus est, j’assure qu’ils deviendront bons amis , les jésuites étant prêts de s’accommoder avec eu
ngt-quatre vieillards de la Société, ou du moins de Caramuel leur bon ami , j’entends des pères jésuites, j’assure qu’ils re
eu l’honneur de les faire conduire chez eux ; je m’en serais fait des amis  ; & peut-être aurais-je lié avec eux quelque
é & une paix apparente, qui les ferait prendre pour les meilleurs amis du monde si on ne les connaissait pas. Quoi qu’il
s ; et, au cinquième, pour éviter tout le scandale, malgré parents et amis de la belle, malgré les jaloux et l’indiscrète vi
nous a dit. Que le commandeur et M. d’Aire n’avaient jamais été bons amis , quoique jamais ils n’eussent eu de querelle ense
oi ; &, malgré tout cela, nous sommes lui & moi les meilleurs amis du monde. Il m’en a payé l’intérêt avec usure ; &
s appartient, qui sera toujours à votre service, de vous & de vos amis . Voilà, messieurs, a continué La Chassée, l’histo
ement que chez eux, ni d’autre table que la leur, à laquelle tous mes amis étaient bienvenus, & où tout était en abondan
paroles persuasives, nous ne fûmes pas plus longtemps à devenir bons amis . Le coup était peu délicat, & même scélérat ;
, avaient différemment sollicité pour elle : lui, par lui-même et ses amis  ; & elle par des dévotes. Et eut encore l’adr
our le mari, il allait toujours après les autres, en compagnie de ses amis , quelquefois à cheval, & le plus souvent à pi
ont chacun payé leur bonne part, nous ont désaltérés, elle & ses amies , lui & moi. Nous étions tous les soirs en fra
le malheur de ne la voir qu’en plein jour ; mais qu’ils seraient bons amis s’ils se voyaient par un trou. Elle n’en fit que
ien ne s’était passé entre eux : au contraire, ils nous parurent bons amis , & aussi peu émus que la Vénus l’était dans s
M. Ranché, premier secrétaire de M. de Goimpi, intendant. Il est bon ami du mari de Fanchon, auquel il a rendu & peut
après lui avoir fait une petite réprimande fort douce, & plutôt d’ ami que de magistrat, il l’engagea avec douceur de co
ambre de Bernard, devint amoureux de cette femme. Ils étaient intimes amis , Bernard et lui ; mais croyant que Bernard avait
t & où il n’y avait en effet que ces mots : « Si tu es autant mon ami que je le crois, empêche le porteur de revenir de
croyant pas que Vallière y prît intérêt, & étant tous trois bons amis , il lui montra le billet que Bernard lui avait éc
s qu’il fût d’un honnête homme de vouloir courir sur les brisées d’un ami . Il ne lui en témoigna pourtant rien ; &, ima
rnard, qui avait voulu se donner la comédie, avait été chez un de ses amis proche de là, d’où il avait tout vu. Vallière ava
t & malgré l’orage : ainsi rien ne pouvait le faire connaître à l’ ami de Bernard ; & lui, qui savait qui était si b
rait de la régaler à son tour. Bernard lui dit que Vallière était son ami , qu’ils mangeaient & couchaient ensemble ; &a
mer cet après-midi. J’en suis très fâché ; car, outre qu’il était mon ami , il était très honnête homme. Du mercredi 18 j
r : le Provençal nous a rejoints, & est venu dîner à bord. Il est ami de M. de La Chassée ; & ce diable, qui se moq
20 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
t demeuré avec elle chez Madame de Cranves, et qu’elle croyait de ses amies , que Silvie allait épouser un jeune homme fort ri
l’auteur de ces avis, je le tiens sans le connaître, pour le meilleur ami que j’aie au monde, et qui prend le plus de part
à mes peines autant de part que si elle avait été la meilleure de mes amies . Ce personnage qu’elle jouait si indigne d’elle,
ive, ne pouvant pas vivre longtemps, il fallait que je cherchasse des amis pour me maintenir dans l’état qu’elle m’avait fai
e je le vis raisonnable, je lui dis que s’il voulait servir un de mes ami je me faisais fort qu’on lui ferait un présent as
i boit bien. J’admirai les qualités qu’il fallait avoir pour être des amis de cet homme, mais je n’en témoignai rien. Comme
ion. Elle regardait le comte de Lancy, et je n’y paraissais que comme ami . Vous pouvez vous douter de ce que c’est. Il avai
oi à Fontainebleau où la Cour était, et où j’espérai trouver quelques amis qui ne manqueraient pas de dire qu’ils m’avaient
marquis de Buringe, comme un des officiers généraux et de ses intimes amis , un fort brave homme et un fort honnête homme. Il
nt, comme je vois que vous avez rompu, et si vous étiez encore de ses amis , je vous déclarerais qui elle est, quoique peut-ê
fils et fille, vous Monsieur, ajouta-t-il parlant à moi, du meilleur ami que j’aie jamais eu, et dont je puis dire que j’a
demanda où je pouvais trouver une somme si forte. Je lui dis que mes amis me la prêtaient ; et comme je vis qu’elle se dout
changer. Si mon fils veut tenir son mariage secret, nous serons bons amis , et je lui pardonnerai son peu de considération p
ui vous étiez. Je lui dis de vous tout le bien qu’on peut dire de ses amis et de fort honnêtes gens. J’en dis trop de Gallou
t plus, que je n’avais jamais passé pour querelleur, surtout avec mes amis , pour qui j’avais ordinairement beaucoup de compl
e, et après cela se retirèrent ensemble. Eh bien, dit Des Frans à son ami , sitôt qu’ils furent seuls, vous savez à présent
que outre Contamine, Jussy et leurs épouses, Madame de Londé et notre ami Dupuis en seront. Ajoutez, lui dit Des Frans en r
sèrent, et lui dirent fort galamment qu’elles avaient cru être de ses amies , et venir dîner chez lui sans façon : mais qu’ell
21 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
n’en manque pas ; mais il l’a timide. Il est sincère, obligeant, bon ami , d’une humeur fort douce, et pourtant capable d’u
e couvent où était votre commère ; mais dans ce moment une des bonnes amies de la défunte qui connaissait Angélique, la deman
igne de sa fortune. Elle est fort pieuse, fort charitable, fort bonne amie , secrète, point médisante ni satirique ; peut-êtr
Mademoiselle de Vougy, ajouta-t-elle, elle est votre parente et votre amie  ; au nom de Dieu sachez ce qu’on pense de moi. Je
te de lui en tenir compte, soit par mon crédit, soit par celui de mes amis . Il peut compter sur ma protection, et peut-être
rsuivit-il, en parlant à Des Frans, et que vous y amèneriez un de vos amis de ma connaissance ; ne serait-ce point par hasar
auvre garçon ne sait pas ce qu’il veut lui-même. Après cela ces trois amis sortirent, et allèrent souper chez Dupuis qui les
22 (1721) Mémoires
e Beauregard fut si bien mêlé, qu’il eut besoin du crédit de tous ses amis pour n’être pas cassé, tant sous le règne de Loui
ent bien s’en faire apporter d’excellent tant pour eux que pour leurs amis . Je sais celui-ci par moi-même, puisque j’ai été
» 154. J’avais un oncle receveur général des finances du Bourbonnais, ami de M. Picon, qui à cause de cela me témoignait bi
lui trouver ce secours dans sa bourse, ou du moins dans celle de ses amis . 158. C’était beaucoup s’humilier pour un jeune h
t encore taxé comme aisé à une somme si forte, que sans l’aide de ses amis et de sa famille, il n’aurait jamais pu la payer 
Roi ; d’intéresser dans leur parti tout ce qu’il avait de crédit et d’ amis à la cour, et de leur rendre tous les services qu
ns de robe et de plume, il entra joyeusement dans la vengeance de son ami , et allait introduire la mère et le fils dans la
aire, mais par rapport aux services qu’il aurait pu rendre, non à ses amis , non à ses parents, mais au Roi et à la France, q
cesse de Monaco alla en féliciter Mad[am] e de Pontchartrain sa bonne amie . Mais celle-ci, qui préférait l’utile à l’honnête
pailler, et Bourvalais n’était venu au Temple que pour y voir son bon ami Lanoue, qui pour ses bonnes et saintes actions da
brutalité elle-même sous une perruque et en figure humaine. Un de mes amis , M. Hindret, receveur des consignations à Vannes
vous ne saurez point ce qui m’amène, car cela ferait tort à un de mes amis . Et sans le saluer je lui tournais le dos. Il fut
bon vin, et j’obtins de lui vingt mille francs de diminution pour mon ami  ; qui était dix mille francs plus qu’il n’avait e
s hureusement un chanoine de Langres, nommé M. de l’Espinasse, intime ami du père Le Blanc, en avait une copie qu’il a fait
n que ces peuples abhorrent tant que la mauvaise foi. Ils se rendront amis des Français, si ils les traitent avec douceur, e
ce naturelle, la facilité de bien vivre avec eux et de s’en faire des amis , et la manière dont on pourrait les incorporer au
i. Il n’est aucun de nous qui pour une pistole Ne trahît son meilleur ami . Nous connaissons tous nos affaires ; Nous savons
ous sauver, voleurs, ou fuiriez-vous ? Vous n’avez sous le ciel aucun ami sincère. Vous, ministre, achevez, bannissez de vo
23 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
out lieu de croire qu’il n’aurait jamais vu le jour si un des intimes amis de l’auteur ne s’en était adroitement emparé à l’
les Hollandais, qui ne l’ont pas assez bien traité pour s’en faire un ami  : au contraire, il paraît qu’il en conserve un vi
yant été ensemble en Canada. C’est un très honnête homme, bien de mes amis , et avec lequel j’espère bien vivre. Il y a, sur
s envoyé quérir pour être grondé moi-même : c’est pour dîner avec vos amis et les miens. Eh bien ! dînons donc, dit-il : et
qui sont M. de Ferville et M. de Beaujeu le Jeune. Ils ne sont point amis d’Albus : ils burent pourtant à sa santé, mais à
contre moi, il pouvait compter sur sa révocation certaine ; qu’en bon ami , il lui conseillait de souffrir quelques dégoûts
ont été ruinés en 1688, par la révolution qui y est arrivée. Il était ami et très considéré de M. Constance, premier minist
us-même à la Compagnie. Vous savez ce qu’il contient ; mais comme vos amis , auxquels vous pouvez prêter mon journal, ignoren
z eux, parce qu’à tout venant beau jeu. C’est-à-dire, que lorsque des amis d’un soldat ou d’un matelot venaient le voir, le
op facile ; et si M. de La Chassée ne l’aidait pas de ses conseils en ami et sans flatterie, il se précipiterait. Aujourd’h
Dans une guerrière aventure, D’espérer une sépulture ! On parle à ses amis , on parle à ses parents : Cela console en quelque
l ne trouve pas dans lui un M. Hurtain, un père de La Chassée, ni des amis tels que ceux qu’il laisse ici. Ce changement pou
iait de le laisser en repos, et qu’ils ne seraient pas longtemps bons amis s’il lui en disait la vingtième partie d’autant à
servait le grand coup de sa grâce efficace pour sauver son âme. Que l’ ami chez lequel il s’était retiré était véritablement
it véritablement converti depuis six ans, sans qu’il le sût ; que cet ami , connaissant le caractère du défunt incapable de
nvaincre qu’il était dans la mauvaise voie ; et qu’aussi bien que son ami il avait abjuré entre ses mains ; que depuis cet
r les brutalités de Bouchetière : lequel n’avait trouvé au Conseil ni ami , ni protecteur : que cependant, sans que M. du Qu
hassée ne serait pas de trop. J’aime à voir que tu te souviens de tes amis , m’a-t-il dit : avertis-le, et envoie-le dans la
ne manquerait de rien mais qu’il serait encore en état de régaler ses amis , avec propreté et magnificence, lorsqu’ils viendr
aigre, dont je crains que nous manquions : et quitte à quitte et bons amis . Combien veux-tu de figues ? m’a-t-il demandé. Je
re, que, chemin faisant, nous irons visiter les comptoirs de nos bons amis hollandais qui sont à Ceylon. Il y aura quelque c
t à son tour. Notre père La Chassée est un sac à péchés mortels, fort ami de la joie et du beau sexe. Il a su d’elle ce qui
24 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ous abandonne cette relation, à vous, Monsieur, et à vos particuliers amis , mais je vous supplie très humblement qu’elle ne
Au retour de Lorient j’ai passé au Port-Louis, où j’ ai trouvé de mes amis qui m’ont obligé de souper avec eux pour prendre
embarquer le lendemain, qui est aujourd’hui. Nous avons soupé en bons amis , c’est à dire que nous avons bu tant de santés qu
e lui vouloir du mal, il m’a enlevé le sieur Du Hamel, le plus intime ami que j’eusse ici, pour le mettre sur le Dragon, à
olé de sa perte parce qu’il sera bien. Cependant la présence d’un bon ami dans le sein duquel on décharge son cœur est beau
Il s’en est retourné bien affligé du péril manifeste où il laisse son ami . Nous avons dit peu après les prières des agonisa
naissais il y a plus de six ans. Je perds en lui non seulement un bon ami , mais un homme que j’honorais comme mon père. J’a
it à Monsieur de Bouchetière qui est un fort honnête homme. Un de mes amis du Gaillard m’écrit que je ne perdrai point au ch
t Dans une guerrière aventure D’espérer une sépulture. On parle à ses amis , on parle à ses parents. Cela console en quelque
r le Cap de Bonne-Espérance : les Hollandais ne sont pas assez de nos amis pour leur faire la civilité d’aller les voir chez
eau sont venus dîner ici et y ont amené plusieurs officiers et de mes amis en partie. Nous avons tous mis le vent dans nos b
comme pour la soutenir, l’emmène chez lui et y régale les parents et amis pendant trois jours. Il faut savoir que par paren
arents et amis pendant trois jours. Il faut savoir que par parents et amis j’entends les gens de même famille qu’ils appelle
ent plus. Pendant la paix d’Europe ils étaient toujours ensemble bons amis et se régalaient tous les jours, à présent chacun
di qu’il a calmé tout plat, la chaleur est excessive. Je perds un bon ami nommé Monsr. Desquadrelle lieutenant d’infanterie
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ue ses soins n’auraient découvert. Il revenait un jour avec un de ses amis où il avait été dîner, et d’où il sortait avec lu
déguisé comme la veille, et avait renvoyé ses gens en entrant chez un ami . Sitôt qu’il fut arrivé, il chercha le moyen de v
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIV. Ce qui se passa dans le château après cette expédition. »
non seulement n’épargnaient personne, mais de qui même leurs propres amis et les gens de leur connaissance avaient plus à c
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
p d’obligation à Sainville pour l’abandonner ; qu’il avait beaucoup d’ amis en France, et qu’il les ferait joindre aux siens,
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
dont je jouissais. Je suis Parafaragaramus votre protecteur et votre ami . C’est moi qui ai fait rompre vos lances dans vos
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVII. Du repas magnifique où se trouva Don Quichotte, et du beau et long discours qu’il y tint. »
line et modération, et à ne pas souffrir qu’ils fissent la guerre aux amis aussi bien qu’aux ennemis. On prenait une journée
30 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
contraires à celles des romans. J’ai écrit comme j’aurais parlé à mes amis dans un style purement naturel et familier ; néan
31 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
Monsieur le chevalier, reprit l’officier, Parafaragaramus est de nos amis  ; vous l’avez pris pour un autre, ou quelque autr
32 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
mis de l’aider de ses conseils, c’est pourquoi il lui cria : Courage, ami Sancho, avance toujours, évite le premier coup, e
33 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
toutes ces richesses sans aucune émotion. Je m’y étais bien attendu, ami Sancho, lui dit-il ; mais qu’est devenue l’illust
34 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
e veux rien dire à cause de ces dames qui m’écoutent. — Au contraire, ami Sancho, lui dit la belle Dorothée, dites tout ce
35 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
racher votre indigne époux d’une manière ou d’une autre. J’ai assez d’ amis en Cour pour le rengager malgré lui dans le servi
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