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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
rdez un temps que vous emploieriez beaucoup mieux ailleurs avec votre amant . Je n’ai rien à vous répondre, Monsieur, lui dit-
dame votre mère ; et supposé que je regrettasse ici la compagnie d’un amant , vous êtes d’un ordre trop élevé, pour vous abais
ne faisait. Angélique qui l’entendit s’en plaindre, se flatta que son amant lui ferait avoir satisfaction en sa faveur. Elle
Vous n’approuveriez pas vous-même que je me déclarasse publiquement l’ amant d’une fille de chambre. Je serai pourtant bientôt
e. Non sans doute, je n’approuverais pas que vous vous déclarassiez l’ amant d’une simple servante, j’en aurais moins d’estime
courait risque faute de secours. On lui en offrait ; mais c’était son amant . Elle craignait de s’engager avec lui si elle s’e
ur : car dans le fond elle n’était pas fâchée d’avoir obligation à un amant qu’elle aimait, et qui s’y prenait d’une manière
de temps assez habile en ce dernier art pour faire le portrait de son amant , qui eut la complaisance de se laisser peindre pa
rrer fort honorablement, et considéra que si elle restait à elle, son amant pourrait venir la voir dans de certains moments q
nger, pour mettre sa sagesse en sûreté. Dans ce dessein elle pria son amant de trouver bon qu’elle se mît dans un convent. El
de Vougy entrèrent. Le cri que fit Angélique en les voyant retira son amant de la tristesse où il était abîmé ; il se leva et
dès que vous pourrez sortir ; je serai votre introductrice. Ces deux amants la remercièrent de ses bontés, et lui firent mill
qu’il n’y eût consenti ; mais grâce à Dieu je me justifie malgré mon amant . Je le sacrifie lui-même à la crainte de le perdr
le répéta encore à Angélique, qu’elle voulait absolument parler à son amant et qu’elle les attendrait tous deux le lendemain
t à mon bonheur avec la moindre répugnance. Vous êtes bon fils et bon amant , lui dit la princesse, et outre cela vous me para
ui Madame de Contamine ne pourrait rien refuser. Quelle joie pour des amants  ! Ils se voyaient sur le point d’être l’un à l’au
commère chez elle, où son père et moi l’attendions à souper. Ces deux amants s’étaient quittés tout remplis d’espérance de voi
rreur de payer si mal tant de tendresse. Tout le bon fils fit taire l’ amant , et sans renoncer à son amour, il se livra tout e
r y prendre un reliquaire. Angélique restée seule avec la mère de son amant et Mademoiselle de Vougy, ne perdit point le temp
rendu fou à courir les champs, était pour moi. Il était pour lors mon amant , il est à présent mon époux ; et pour vous ôter t
s après avoir dîné, s’il vous plaît. On se mit donc à table, les deux amants proche l’un de l’autre. Des Frans se mit entre Ma
n dîna fort bien. Ils parlèrent pendant le dîner des ombrages que les amants prenaient assez souvent de la conduite l’un de l’
2 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
me puisse faire, qui est d’accepter un rendez-vous dans un lieu où un amant peut être le maître. Verville prévit tout d’un co
ertu, lorsqu’elle compte de se retirer entière d’un rendez-vous qu’un amant lui a donné dans un lieu où rien ne s’oppose à se
s. Une femme qui accorde les dernières faveurs devient esclave de son amant favorisé. Silvie s’en aperçut, en ce que Verville
soulager son inquiétude, il attendit l’arrivée de sa femme et de son amant jusque vers les cinq heures du soir ; il les vit
ler à son rendez-vous, où il l’y suivit encore déguisé ; et comme les amants n’avaient aucune défiance de lui, ni de qui que c
èrent tous deux dans la chambre en même temps, et surprirent les deux amants . Justin qui s’était armé leur porta à chacun un p
us plaira, vous assurant que je n’y prends plus aucune part. Pour son amant , je lui pardonne de tout mon cœur, et ne lui dema
; on ne peut pas dire non plus que ce fût le regret de la mort de son amant , puisqu’il ne fut tué à l’armée que dix ans après
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
et la douceur de sa conversation me plut tellement, que sans être son amant , je lui rendis beaucoup de soins, et devins un de
lle l’avait attristé. Il était en effet de ses amis, mais non pas son amant , et n’a jamais parlé d’elle qu’avec vénération. D
oucher chez sa mère, qui la sacrifia à Monsieur Des Prez, père de son amant  ; et la pauvre fille fut conduite à l’Hôtel-Dieu,
ndre de vous. J’avais résolu de vous empêcher de voir Des Ronais, cet amant si poli et si chéri ; mais j’ai changé de pensée 
oncement. Les mots écrits autour étaient ceux-ci. Rien ne retient un amant conduit par l’Amour. Ce présent était très riche
son choix en ma faveur, et qu’apparemment elle se destinait au nouvel amant dont il m’avait parlé. Je le prenais d’un ton si
, joignant les mains toute surprise, vous a dit que j’avais un nouvel amant  ? Oui, il me l’a dit, répondis-je ; et il m’a bie
t sur ce pied-là il ne veut point me marier de sa vie. À l’égard de l’ amant qu’il me donne, je ne sais sur qui jeter les yeux
la voilà encore grosse, et outre son mari, on dit qu’elle a encore un amant favorisé ; il faut donc que ce soit un grand plai
du monde, qui fait le sujet de l’admiration et de l’attache de leurs amants . Mais d’abord qu’il y a de la contrainte, bien lo
vertu, elle s’en dégoûte, et fait tout son possible pour obéir à son amant au hasard de tout. Par exemple, poursuivit-il, si
tu ne m’aurais pas obéi. Lorsqu’une fille donne des rendez-vous à un amant , qu’elle voit malgré ses parents, c’est un temps
le avait voulu me cacher l’adresse. Vouloir cacher quelque chose à un amant , c’est justement vouloir lui donner de la curiosi
me découvrir votre perfidie, je vous renvoie la lettre de votre cher amant , à qui j’en vais porter réponse pour ce qui me re
vous était adressée ; elle cadrait à vos aventures ; elle était d’un amant favorisé ; et je ne vois pas que Monsieur Des Ron
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ophie, qui depuis a épousé d’Épinai. Je ne croyais pas qu’elle eût un amant déclaré et favorisé. Si je l’avais cru, je n’y au
je ne devais ses civilités qu’au dessein qu’elle avait de ramener son amant par un peu de jalousie. Dans un autre temps j’aur
lui dans un fauteuil, et elle sur un tabouret entre les jambes de son amant , sur les genoux de qui elle avait les deux coudes
dit-elle, ce que vous cherchez ici ? J’y cherchais, répondis-je, deux amants heureux et contents ; je les ai trouvés et je les
querella, et je la quittai. Ne me souciant pas fort d’elle ni de son amant , je contai ce que j’en savais à quiconque voulut
er pour me punir des impertinences que j’avais dites d’elle et de son amant . Que j’en étais au désespoir et prêt de faire tel
-moi porter hors de Paris mon chagrin. Je ne veux de vous et de votre amant qu’un généreux pardon de mes folies et de mes méd
ccommoda de bonne foi avec moi, et voulut même faire ma paix avec son amant . Il arriva dans le moment, je lui fis des complim
on époux, ne soit d’un parfaitement honnête homme ; et d’un véritable amant , reprit-elle avec précipitation. Oui, sans doute,
ées et garnies ; il y en a quantité dans Paris, qui ne servent qu’aux amants heureux ; nous en avions une. C’était dans la plu
le, y allât-il de ma vie. Eh bien, repris-je, il faudra voir si votre amant voudra bien vous épouser après que je lui aurai p
la suite, le secret de pourvoir à ses besoins sans le secours de ses amants . C’était un de ces esprits libres et brusques en
fille de Paris la plus sage et la plus retenue. Vouloir désabuser un amant de la bonne opinion qu’il a de sa maîtresse, et c
en chaleur ; et de peur que ce petit animal n’allât chercher quelque amant à l’aventure, elle observait avec grand soin de n
n’est point venu comme il m’avait promis. Elle ne se donne pas à tout amant , comme je vous l’ai dit, elle craint les conséque
ssez nombreuse : chacun en dit ce qu’il en pensait. On disait que son amant lui avait promis de l’épouser ; et que bien loin
nt de cette femme et de la plaindre ; mais je me déchaînai contre son amant que je traitai comme le dernier des malheureux, e
n songe à elles, j’entends seulement celles qui ne se donnent qu’à un amant , telle qu’est celle qui a donné lieu à la convers
savait il n’y a que deux jours ; et on ne l’aurait jamais su, si son amant avait été honnête homme ; mais le public lui a l’
impossibilité ; elle aurait pleuré sa faiblesse et la perfidie de son amant  ; mais elle aurait du moins sauvé sa réputation,
le, pour la même liberté que Mademoiselle de Gironne a accordée à son amant . Et vous, Monsieur, qui paraissez soupçonner Mada
t regardée ; mais je ne crois pas qu’il y en ait, l’indiscrétion de l’ amant ne les aurait pas cachées, nous les saurions tout
dame, repris-je tranquillement, si Monsieur est Monsieur de Beauval l’ amant de Mademoiselle de Gironne, je n’ai point l’honne
ements qu’elle fit à toute la compagnie, et à moi en particulier, son amant lui ayant dit que c’était moi qui l’avais convert
lle m’en remerciait ; et qu’elle était très contente de l’accord de l’ amant et de la maîtresse. J’ai fait ce que j’ai fait sa
ous ne sommes point scrupuleux, restons sur le pied de bons amis et d’ amants comme nous sommes ; nous nous en aimerons mieux e
encerais à vous craindre. Ne songez donc point au sacrement, mon cher amant , continua-t-elle en m’embrassant. Qu’as-tu à fair
ouvrir aux yeux qui m’ont charmé ? Ni presque leur dire que je suis l’ amant du monde le plus tendre et le plus passionné ? Ou
t vous ne vous cachez de moi que pour ne vous laisser voir qu’à votre amant dans un lieu solitaire où vous l’attendez. J’igno
a retenu pour me faire prendre une place que l’indifférence de votre amant me laisse vacante ; et vous m’accuseriez de ne pa
dis-je ? Je ne vous ferai aucune violence, mais j’attendrai ici votre amant pour lui faire un reproche de son peu de diligenc
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
s paroles de tendresse les plus expressives ; et lorsqu’après cela un amant les voit en particulier, il n’a que fort peu de p
nt comme l’unique port aux malheurs que je prévoyais dans le monde. L’ amant qu’on m’avait offert, m’avait inspiré de l’horreu
t lut ces mots. LETTRE. N’admirez-vous point notre malheur, mon cher amant  ? Vous auriez toujours été heureux si vous ne vou
ir de ce qui lui en coûte, mais un simple éclaircissement guérira son amant . Nos malheurs sont bien plus cruels, l’amie qu’el
mbattre plus longtemps sans espérance de les vaincre ? Adieu mon cher amant , conservez chèrement mon souvenir ; n’imitez poin
nce, malgré tout le monde, à la barbe de son père, de sa sœur, de son amant , de toute sa famille et des religieuses. Si j’ava
’un mari et d’une femme, le reste est encore entre nous sur le pied d’ amant et de maîtresse. Je suis très content d’elle : si
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
les que leurs enfants ; que cela faisait augmenter le nombre de leurs amants , et augmentait en même temps celui des sujets de
rande retenue ; et de rouges pour ceux dont les femmes payaient leurs amants , à qui d’ordinaire elles ne se contentaient pas d
ère témoin une fille de son village qui allait se laisser aller à son amant lorsqu’il vint mal à propos leur rompre les chien
7 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
fausse Italienne parlant bon français se fit connaître à elle pour un amant tendre et passionné. La surprise de Célénie ne lu
nt encore déterminée sur la manière dont elle en devait user avec son amant , prit tout d’un coup le parti que sa vertu lui co
dant tout ce temps-là Célénie fut exposée à toutes les attaques qu’un amant ardent et passionné peut livrer à la vertu d’une
yait la perte qu’elle allait faire s’abandonnait à sa douleur, et son amant qui n’était pas moins affligé qu’elle la secondai
venant à Célénie l’épée à la main ; mais le cavalier furieux comme un amant qui voit ce qu’il aime en danger, se jeta à lui e
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
l’examinèrent ; mais cela ne nous embarrassait pas. Vous avez quelque amant qui vous fait peur, ma belle commère, lui dis-je
La noblesse que je lui donnerais ne l’enlaidirait pas aux yeux de son amant . Mais poursuivis-je, une affaire comme celle-là,
-il, ce serait tout gâter : il ne faut pas qu’on me voie chez elle, l’ amant n’en bouge ; s’il me voyait avant que nous soyons
etournerai au pays. On déclarera qu’elle est ma fille ; on engagera l’ amant à m’écrire, et à mettre lui-même les lettres à la
je les montrerai, j’y répondrai, et reviendrai à Paris. Silvie et son amant viendront au carrosse au-devant de moi. Je saluer
interrompit Dupuis, la pauvre Silvie a toujours été la victime de ses amants maltraités ; toujours mal à propos soupçonnée, qu
une infidélité de votre part ni de la mienne. Résolvez-vous, mon cher amant , poursuivit-elle en me serrant la main dans les s
en doute pas, mandez-moi le jour, le lieu, et l’heure. Adieu mon cher amant  ; il me semble que je retarde le courrier ; qu’il
a regardant comme indigne de mes embrassements, et de l’enlever à son amant , sans qu’il pût savoir d’où viendrait le coup. Da
ffer ; je ne voulais pas éclater si tôt ; je voulais me venger de son amant avant que de me venger d’elle. Je me contentai de
l’imagination. Elle me regarda, mais bien loin de trouver dans moi un amant soumis, ou un époux pitoyable, elle n’y trouva qu
en lui montrant son collier, êtes-vous convaincue ? On a retiré votre amant de mes mains ; mais vous ne m’échapperez pas, et
it pas fait naître d’une humeur violente, j’aurais assurément percé l’ amant et la maîtresse ; en effet vous n’aviez rien à cr
tour vers Dieu, que la rage qu’elle avait de laisser dans le monde un amant en état de se consoler de sa perte ; et francheme
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
utres pour leurs maîtresses et leurs épouses, et des dames pour leurs amants et leurs maris. Les Français convinrent, que l’am
ls ajoutèrent que ce n’était pas par un motif d’indifférence, que les amants et les hommes mariés abandonnaient en France leur
10 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
a volonté de leurs parents, en faveur de leurs maîtresses ou de leurs amants , soit en effet une action de vertu. Mon roman et
lle de Jussy fait voir, qu’une fille qui a eu de la faiblesse pour un amant , doit, pour son honneur, soutenir son engagement
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
bien fait, et fort bel homme, de réputation, d’esprit ; en un mot un amant accompli. Elle n’avait aucun prétexte pour le ref
une des plus belles personnes qu’on puisse voir. La maîtresse et son amant se firent mille questions. Je les interrompis pou
que vous fussiez de retour. Lorsque nous fûmes seuls, c’est-à-dire l’ amant et la maîtresse, Du Val, sa fille de chambre et m
fusément, et témoigna avoir envie d’en être tout à fait informée. Son amant ne s’en fit pas prier davantage, et chacun s’étan
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
pertinences si Parafaragaramus ne se fût retourné vers Balerme et son amant Durandar. Rien ne s’oppose à votre mariage, leur
vant que de sortir de son palais, il fallait solemniser les noces des amants . Là-dessus il se mit le premier à table, et convi
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
es d’honneur de l’infortunée Balerme qui songe à pleurer Durandus son amant dont elle porte le cœur à la main, pendant que lu
enait son cœur à sa main, et avec un canif elle ouvrit le côté de son amant et lui remit le cœur dans le ventre en présence d
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
oueurs, savoir les deux aînées, deux demoiselles du voisinage, et les amants de toutes quatre. Je ne vous les nomme point, leu
libraire où sa mère nous avait trouvés le matin, une histoire de deux amants , à qui leur amour avait coûté la vie. Elle avoua
ais une ennemie : une fille amoureuse ne consulte que son cœur et son amant . Vous êtes apparemment instruite par votre expéri
ber de votre basque : votre maîtresse est bien à plaindre, d’avoir un amant si peu soigneux, et me donna ce billet sans s’arr
Soit, dit-il, je t’aime toujours mieux que rien. Madame de Londé, son amant , et tous les autres se joignirent à la conversati
ut le plus agréablement du monde. Madame de Londé qui arriva avec son amant charma toute la compagnie. Elle était choisie, en
15 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
lets ou pions, une roupie par mois en fait l’affaire : &, quand l’ amant va voir la nymphe, il faut qu’elle le régale d’un
& se perd de réputation ; mais elle ne la perd pas pour avoir un amant . On donne cette apparence de veuvage à la vénérat
a patience de Coinda de n’avoir pas puni sa femme, aussi bien que son amant , & sa prompte réconciliation avec elle : car,
& surtout donner sujet de rire à sa propre famille ; mais, un des amants de sa femme n’ayant pas gardé le secret, il lui f
la porte ouverte. Sa femme était déjà à la fenêtre, qui donnait à son amant le passe-partout de la maison, attaché au bout d’
is, où elle était trop connue, & peut-être pour faire de nouveaux amants , les siens étant ou usés ou rebutés, elle promit
t pour jamais, bien certain qu’elle ne manquerait de rien si tous ses amants favorisés avaient la charité de lui donner seulem
rétion ; & une amourette ne faisant point de tort à un homme, son amant le sera. Il se nomme Caumont, & y a gagné la
u autres de même noM. Les rendez-vous journaliers ne parurent pas à l’ amant & à la maîtresse assez fréquents, & pouva
, quoique d’un rang bien plus bas. Je l’ai vue chez Fanchon, avec son amant , très bon enfant bien fait, & d’esprit. Elle
monde, ne sachant pas même que Fanchon la sait ; mais elle a tourné l’ amant de tant de côtés que malgré lui elle lui a tiré l
de tant de côtés que malgré lui elle lui a tiré les vers du nez. Cet amant est un nommé M. Bernard, parisien, fils ou neveu
se que la première chasse qui coûte, & que les embrassements d’un amant sont toujours plus vifs & plus ragoûtants que
à la jalousie de son mari, & à sa réputation ; & Bernard son amant lui en donna les moyens, en agissant de concert.
 grande compagnie, la soupe au perroquet la fit jaser & nommer un amant si libéral. M.du Quesne l’a su, & en même tem
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
pied d’une femme séparée d’avec son mari, et d’une femme qui avait un amant favorisé ; que sur ce fondement il avouait que le
17 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ez elle, elle croit que vous ne donnerez pas assez à la colère de son amant , pour lui refuser une visite. Non assurément, rép
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
on Quichotte en fût scandalisé, elle avait eu la malice de dire à son amant comme en secret, mais pourtant si haut que le hér
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
es et des gémissements impuissants ? La vengeance qu’ils prennent des amants de leurs femmes ne leur est pas plus honorable, p
20 (1721) Mémoires
t revenue une infinité de fois sous différentes figures pour voir son amant , tantôt en marchand, tantôt en religieux, tantôt
ait ordinairement la voiture qu’elle prenait tant pour venir voir son amant que pour s’en retourner après l’avoir vu. Il est
n quinze jours après ses couches et deux mois après le mariage de son amant , de venir à Versailles en courrier, et de lui don
lui-même que jamais maîtresse n’a dit de louanges de l’épouse de son amant , comme réciproquement jamais femme n’a parlé en b
ms cadrassent à son extrait baptistaire. Comme cette fille aimait son amant , et qu’elle aurait voulu que la cérémonie eût déj
on, son premier commis, dont la femme, aussi joueuse que facile à ses amants , le secondait aussi très parfaitement, et employa
ns un couvent. Madame d’Aguesseau ne survéquit de guière de [sic] son amant , et M. de Pontchartrain, fort aise que le défunt
urs. Nous ne nous servions point de ces fades douceurs Dont usent ces amants que l’on nomme fidèles. Nous savions mieux qu’eux
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIV. Départ de la compagnie. Comment Sancho fit taire le curé. Aventures diverses arrivées à cet infortuné chevalier. »
un mot une étincelle fait un grand brasier, et fille qui jase avec un amant enfile la mère Gaudichon, comme un aveugle son or
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
dit la duchesse, vous me paraissez trop sage pour faire entrer votre amant dans votre chambre, mais vous ne sauriez empêcher
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
resse que j’ai sur lui, j’ai encore celui de conquête. Mais, mon cher amant , mettez tout en œuvre pour achever d’unir deux cœ
24 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
e pays produit, ils leur en apportent, et distinguent le goût de leur amant , ou de leur maîtresse, en lui en voyant manger av
malheureuses, et on en a toujours vu. L’infidélité, la bassesse d’un amant , la honte, la peur de perdre sa réputation, et mi
trouve. Les filles de Madagascar n’y trouvent ni l’un ni l’autre. Un amant ne leur fait point de honte : au contraire, plus
escendent point des mahométans, jaloux au suprême degré). Le nombre d’ amants auxquels ces filles se sont prostituées se connaî
j’ai dit, se font avorter. Ce n’est ni la honte ni l’infidélité d’un amant qui en est la cause. Ce n’est point la peur d’êtr
25 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ir eu des enfants avant son mariage. L’infidélité ou la bassesse d’un amant , l’indignation des parents, la crainte de passer
mmée, mais ne la perd pas pour être simplement entretenue et avoir un amant , pourvu qu’il soit plus que n’était son mari. Cet
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