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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
pas voulu découvrir son mariage, crainte que cela ne lui fît quelque affaire avec Monsieur le prince de Lonne, de la main de q
n de qui il avait refusé un bon parti. Comme on aime à gloser sur les affaires d’autrui, des gens toujours à l’affût pour médire
ence avec sa femme était connue, il craignit qu’on ne lui fît quelque affaire , d’autant plus qu’il commençait à courir des brui
arti plus avantageux. Tout cela nous faisait croire que ce serait une affaire aussitôt faite que proposée, nous nous trompions.
ui qu’on lui offrait dans son gendre, il n’en avait aucun besoin, ses affaires ne demandant ni protecteur, ni solliciteur ; qu’e
dans l’autre monde. Je fus obligé d’aller en Angoumois pour quelques affaires de famille où j’avais le principal intérêt. Je cr
que, elles se firent mes confidentes. Je pressai la conclusion de mes affaires le plus que je pus ; je restai cependant encore p
mède. Il vous a dit que j’étais à vous si j’y consentais, ce sera une affaire bientôt faite. Je suis prête à lui déclarer mes s
à peine fut-elle sortie qu’il envoya quérir Du Pont le père, pour une affaire qu’il supposait pressée. Il vint aussitôt, et le
nce. Ils accordèrent à Dupuis tout ce qu’il leur demanda ; et enfin l’ affaire fut traitée si sérieusement, que c’eût été une ch
tes de gens font souvent belle figure aux dépens d’autrui, et que les affaires de celui-ci étaient hors d’état de pouvoir me rem
dont il avait coutume d’agir avec moi, il me dit d’aller terminer mes affaires . Qu’on connaissait ses amis dans le besoin ; qu’i
Quand je vis qu’il agissait sans façon, j’agis de même. J’allai à mes affaires , dont par son secours je sortis à ma satisfaction
se trouva fort embarrassée, voyant bien qu’on lui ferait de terribles affaires , si malgré des gens infiniment plus riches qu’ell
ommodement, et Dupuis s’y prit si bien et si vivement, que ce fut une affaire terminée en deux jours à peu de frais. Il est vra
i lui fit un présent de noce, m’obligea de contribuer à sa dot. Cette affaire -ci m’avait un peu brouillé avec votre commère, qu
mais dont elle ne perd pas un moment. Un cavalier avance plus là ses affaires en un quart d’heure, qu’il ne fait en six mois qu
elle, je la conduisis chez moi, ayant pris cette maison-ci, sitôt mon affaire arrivée chez Madame de Ricoux avec qui j’étais br
n rien, et je consentis d’autant plutôt, qu’il m’était arrivé quelque affaire en Angoumois où il était à propos que j’allasse.
e partie est située en province, elle pouvait avoir relation pour ses affaires avec des gens à qui elle était obligée d’écrire.
endre chez elle. J’étais prévenu que ces lettres ne parlaient que des affaires qui concernaient son héritage, et qu’elle ne sera
reprit cette dame, et si j’étais fâchée de ce que quelqu’un sait mes affaires , ce serait de ce qu’il les sait lui-même, sans av
venu pour vous voir. J’ai fait mon possible pour le retenir, mais ses affaires ne lui ont pas permis de vous attendre. Je l’ai r
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
ur d’un voyage que j’avais été faire à la suite du Roi, pour quelques affaires que j’avais à la suite du Conseil, j’appris que M
de l’emploi en France jusqu’à sa mort qui laissa sa veuve chargée des affaires de sa famille, entre autres d’un procès maudit qu
Sainte-Chapelle, pendant que sa mère serait au Palais avec des gens d’ affaire . Je vins reprendre mon jeu fort aise que mon intr
ma connaissance, et là sans affectation, nous traitâmes à fond de nos affaires . Je la remerciai de sa sincérité. Elle me dit que
Une paire d’heures, des gants, une canne, une tabatière me tirèrent d’ affaire avec les autres. Mais avec elle, non. Outre une p
re n’était point en état de lui parler ; qu’il était enfermé pour une affaire qui devait l’occuper longtemps. Je la priai de s’
vait comme il a déjà fait, me procurer le moyen de vous parler de mes affaires . Il a été d’une société de jeu ; je ne sais point
n mérite, je vous supplie de vous les épargner. Si je n’avais point d’ affaire , ajouta-t-elle, avec un air de dépit, et si mon p
lle de l’Épine, mais si je ne voyais pas tous les jours sa fille, mes affaires n’en avancèrent que plus. Elle ne manqua pas de v
soin, je vous assure d’un présent de cinquante louis d’or sitôt que l’ affaire sera faite, et d’une pension de vingt écus par mo
, je pouvais paraître en assurance. Que si il se rendait, c’était une affaire faite ; et que s’il ne se rendait pas, nous n’en
e vous amène, dit-elle en me le présentant, vous pouvez parler de vos affaires ensemble tant que vous voudrez. Nous entrâmes lui
onnerais. Ne vous embarrassez pas de cela, me dit-elle, j’en fais mon affaire . Je n’en manquerai aucun, sitôt que vous paraître
eux ne pût pas attendre l’autre, et que nous nous instruirions de nos affaires . J’achevai de satisfaire notre hôtesse, elle me p
eu. Je restai avec eux, et enfin nous nous séparâmes pour aller à nos affaires , sans que je parlasse le premier d’en avoir. Je l
que cela soit. Dès demain matin, répondit-elle : ma mère n’a point d’ affaires hors du logis, elle y doit rester ; je lui envoie
ue à tout événement, elle avait déjà écrit ce billet-ci. BILLET. Une affaire qui vient de m’arriver, ma chère mère, et qui dem
entement, et en même temps que je vous y ferais consentir ; c’est une affaire faite, tout le bruit que vous en ferez ne servira
encore où sa fille était pour l’étrangler ; c’était, disait-elle, une affaire résolue, et je fus assurément très aise d’avoir s
eu raison de croire qu’une manière un peu brusque me tirerait mieux d’ affaire que toutes les soumissions. Elle me demanda où ét
un mot qui pût me donner le moindre soupçon. Il me demanda si j’avais affaire le lendemain matin, et me dit qu’il avait envie d
que j’irais avec lui partout où il voudrait me mener, et que la seule affaire que j’avais, était de me trouver au Palais aux pl
avait renvoyé la chaise qui l’avait apportée, ne croyant pas en avoir affaire , puisqu’elle était chez sa mère ; et elle ne fut
m’avait même autrefois chargé de la poursuite de quelques-unes de ses affaires . Vous vous trompez, lui dit Des Frans, ce n’est p
ivons toujours mon exemple. Je rentre assez souvent au logis chargé d’ affaires , j’y rêve, ma femme croit que je suis de mauvaise
Frans, interrompit Dupuis. Je sais, comme vous voyez, beaucoup de vos affaires , sans que vous m’en ayez jamais rien dit. Galloui
3 (1721) Mémoires
e Nimègue. 35. La France était respectée et crainte de ses voisins. L’ affaire de Rome, où à la barbe du pape il fut élevé une p
i neveu de Sa Sainteté pour faire cette satisfaction de vive voix ; l’ affaire du duc de Parme accommodée à la satisfaction du R
e plaît point aux maltôtiers ni à d’autres fripons qu’on nomme gens d’ affaires dont la même paroisse de Saint-Eustache est rempl
ns les informations, et par sollicitation de puissants protecteurs, l’ affaire fut assoupie, et la pierre remise, et le pont rét
demandait, ce qui est une somme très considérable pour un artisan. L’ affaire fut plaidée au Châtelet où les registres furent m
oulus voir la scène et me trouvai dans le cabinet de M. Le Camus où l’ affaire fut décidée. Marteau présenta son registre avec t
ant de faces différentes. 63. Le cardinal Mazarin était à la tête des affaires lorsque Louis XIII mourut et que Louis XIV son fi
u’il irait le joindre dans un moment sitôt qu’il aurait fini quelques affaires qui regardaient l’Etat. Le comte reçut fort bien
des médecins. Mais il fut étonné de ce que Madame de Chevreuse prit l’ affaire très sérieusement et lui ordonna de lui amener ce
mourut à la fin de l’année 16[42], laissa celui de Mazarin maître des affaires , et si le premier avait été sanguinaire, peu inté
es finances, et de faire rendre gorge aux maltotiers et autres gens d’ affaires qui s’étaient tellement enrichis des désordres de
e de laquelle celle qui subsiste aujourd’hui a été formée. Les gens d’ affaires y rendirent compte, et furent taxés chacun selon
s’imaginant que cet impôt ne serait plus que pour enrichir des gens d’ affaires , et non pas pour employer à la défense ou à l’emb
a toujours passé pour homme sincère et franc ; et quoique je susse l’ affaire quasi comme témoin oculaire et par lui-même dans
ui que ce soit ne doute qu’elle soit veuve de Louis à présent), fit l’ affaire et obligea ces bonnes dames de tant presser le Ro
lequel ne pouvant aller chez le Roi pour lui rendre compte de quelque affaire l’y envoya. II y fut, parla à Louis qui fut charm
s prévenir. Louis lui avait dit de lui renvoyer M. Picon, sur la même affaire lorsque les nouveaux mémoires qu’il en devait dre
lui ordonna de les porter au Roi et de rachever de lui en expliquer l’ affaire que ces papiers concernaient ; qu’il avait si bie
le lisait tout haut seul à seul avec le donneur. Celui-ci croyait son affaire faite, mais il se trompait, parce qu’il ne savait
à celui qui le lui avait donné qu’on lui avait parlé d’une semblable affaire , et dans les mêmes circonstances, mais que les au
mblable affaire, et dans les mêmes circonstances, mais que les autres affaires dont il avait été accablé ne lui avaient pas donn
ent, lui remettait peu à peu l’esprit, et lui disant [sic] que, cette affaire ne pouvant se faire sans plusieurs associés, c’ét
is se contentait d’un présent. Ainsi M. Colbert avait dans toutes les affaires des gens affidés qui lui rendaient compte des gai
’homme du monde le plus chaud et le plus ardent, quand il prenait une affaire à cœur, entra dans la tribune du Roi. Puisque, lu
ui, Sire, répondirent en même temps la mère et le fils. — Ce sont vos affaires , leur dit le Roi avec une bonté digne du père de
publiques, en un mot toute la France pillée et à la merci des gens d’ affaires , et lui-même volé ; que les officiers n’étaient p
rce que pour se garantir des surprises et des friponneries des gens d’ affaires , il fallait savoir toutes celles qu’ils pouvaient
martin prit son parti, non par rapport à lui, mais à la situation des affaires . Il remontra que lorsqu’on avait besoin d’argent,
it de cet homme était si bien établi chez les banquiers et les gens d’ affaires qu’il les trouvait à point nommé, et qu’en le met
c’est-à-dire fermier général, ce qui est le nec plus ultra des gens d’ affaires . 221. On ne peut disconvenir que Deschiens ne fût
que la Chambre de Justice lui eût fait défense de se mêler jamais des affaires du Roi, M. Colbert l’y avait rappelé à cause de s
ue son confesseur lui-même n’en aurait jamais rien su ; et les gens d’ affaires n’auraient faites [sic] que celles qu’il aurait b
rti. Après le départ de ce laquais, le père parla au fils de quelques affaires domestiques, et le notaire et un autre étant venu
it voulu en être quitte pour dix mille écus. Ce fut ainsi que finit l’ affaire de M. Hindret avec Bourvalais. 263. On ne sait po
ette entrée, il se fourra ou il fut fourré dans toutes les meilleures affaires qui se faisaient. On prétend que M. de Pontchartr
te ; Bourvalais lui avait promis dix mille écus de gratification si l’ affaire était acceptée, M. de Pontchartrain la trouva bon
s craint que la part du gain qu’il faisait avec Bourvalais dans cette affaire n’eût été d’autant diminuée. Quoi qu’il en soit,
i dit qu’il était bien dur pour des gens qui étaient à la tête de ses affaires d’être menacés de la corde par Monsieur le premie
décision de ce procès. Bien des gens qui se piquent d’approfondir les affaires croient que son jugement, celui de Bourvalais et
uis m’empêcher de raconter ici une aventure dont j’ai été témoin. Une affaire qui regardait le commerce m’avait obligé d’aller
eur, et ces dignes messieurs, voyans [sic] bien qu’ils n’auraient pas affaire à lui seul, le laissèrent maître du champ de bata
nnue : Toutes les armes vont bientôt En France payer un impôt. Cette affaire est bonne et de mise : Que d’argent va tomber dan
ur ; mais Le Gendre voulut mourir comme il avait vécu, abîmé dans les affaires du monde, sans aucun soin de celles de l’éternité
mmis de Legendre). Il lui dicta plusieurs choses qui concernaient ses affaires et sa famille, et rien du tout qui concernât ni D
st pourtant certain qu’il y a été jusques au cou ; mais il a fait ses affaires avec tant de secret que tout ce qu’on peut en sav
n miroir de deux sols, une aiguille, en un mot des minuties en font l’ affaire . A l’égard des autres sauvages, ils s’en feront c
te acquitté à la satisfaction de tout le monde si il avait trouvé les affaires moins délabrées. Mais les pertes que le France av
le besoin augmentait plus l’argent devenait rare. Il taxa les gens d’ affaires et n’en tira pas le quart du secours qu’il en ava
our une pistole Ne trahît son meilleur ami. Nous connaissons tous nos affaires  ; Nous savons tous dans quel traité Un chacun de
ut d’un coup que s’exposer à de nouvelles satires. 300. Cependant les affaires allaient toujours leur train, c’est-à-dire que le
et la ruine entière du royaume, et les richesses odieuses des gens d’ affaires augmentaient de jour en jour. La mort de Monsieur
lier avec M. de Barbezieux, qui disait que dans l’état violent où les affaires étaient réduites, au lieu de s’amuser à taxer les
renfermerait le petit. Il ajoutait que ces gens, qui savent tous les affaires les uns des autres, feraient cet état plus juste
Que le peuple bénirait une exécution si prompte et si sévère. Que les affaires du Roi ne manqueraient ni de fermiers ni de trait
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
t que si j’en venais avec lui à quelque extrémité, cela me ferait des affaires auprès de l’intendant, qui malheureusement était
me donnerait le tort, il voudrait peut-être voir plus clair dans mes affaires qu’il ne serait à propos pour mes intérêts : qu’a
passer pour un homme fort modéré, incapable de se faire de méchantes affaires . On voulut nous raccommoder, il me fit une manièr
’avais tort, bien résolu de me venger. Je ne craignais plus rien, mes affaires étaient nettes, et moi en état de rendre compte,
de ses papiers entre les mains, il n’y avait qu’à signer, c’était une affaire d’un moment ; il croyait que j’allais continuer.
, qui était secrétaire et intendant de cette dame, et qui faisait ses affaires , qui leur avait indiqué l’endroit où était cet ar
, et qu’il fallait qu’elle prît promptement son parti, parce que si l’ affaire était une fois faite, et que l’Église y eût passé
oute la terre se moquât de moi, si je traitais mon aventure comme une affaire sérieuse : et afin que vous soyez certaine que ce
. Obligez une fois le monde à parler de vous en bons termes. Si cette affaire -ci ne vous rend pas sage, vous ne le deviendrez j
nt à sonner, l’obligea de nous quitter, et de me dire qu’il avait une affaire de la dernière conséquence qui l’appelait ailleur
parti pendant les troubles. Cet homme me paraissait fort instruit des affaires de son temps, et m’en parlait comme y ayant eu pa
s ne l’enlaidirait pas aux yeux de son amant. Mais poursuivis-je, une affaire comme celle-là, si elle était sue, pourrait avoir
re billet, écrivez-en promptement un autre pour achever promptement l’ affaire  ; le temps presse. Si Rouvière veut toujours bais
omme de pratique que Monsieur d’Annemasse avait chargé du soin de ses affaires , qui le crut, on fit l’inventaire. Cette somme, q
avec la méchante apparence qu’elle a déjà d’elle-même, on en fera une affaire à nous perdre d’honneur vous et moi. Croyez-moi,
rtant. Elle pleura, elle m’attendrit ; mais comme il s’agissait d’une affaire d’honneur, qui ne pouvait être décidée sans ma pr
de me presser, il fut réjoui de ma résolution. Il s’informa de quelle affaire il s’agissait, et je ne jugeai pas à propos de lu
temps à me reposer, jusqu’au jour qu’on avait choisi pour terminer l’ affaire en question. Elle regardait le comte de Lancy, et
le carrosse de Moulins, où elle m’avait mandé de passer pour quelques affaires qu’elle et moi y avions de peu de conséquence. Il
ne songeriez jamais à Silvie pour l’épouser : car à ce que je vois, l’ affaire est faite, sans que Madame votre mère le sache. O
e qu’il disait. Il la justifia dans l’esprit de ma mère, excepté de l’ affaire de Rouvière qu’il n’avait pas voulu supprimer, et
le temps de son déménagement, et qui y revint dans ce temps-là, fit l’ affaire . Il la mena chez ma mère comme sa parente, en eff
t manier ; et que la moindre queue qui y reste suffit pour abîmer les affaires d’un homme, à moins qu’il ne soit plus soigneux e
e qui y avaient été retirés par un gentilhomme du voisinage, dont les affaires n’avaient pas bien tourné. J’étais fort intéressé
ses écritures, était cause de l’incendie. Ce fut ainsi que des gens d’ affaires et mon procureur fiscal me le persuadèrent. Cela
de Paris. J’en fus impatienté, et sans attendre la décision de cette affaire sur les lieux, prévoyant bien que par appel elle
et n’allai plus lui en porter que tous les trois jours. Cependant mon affaire avec Gallouin s’était accommodée bien plus prompt
ma mère, qui approuva ma résolution. Je la priai d’avoir soin de mes affaires . Je donnai ordre à mon fermier d’aller de temps e
is était occupé ailleurs, et qu’il fut même obligé de sortir pour une affaire extrêmement pressée, il eut avec Des Frans une fo
5 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
que celui-là lui paraissait lui être propre, il crut que c’était une affaire faite. Le chirurgien avait avancé les choses sans
de la suivre partout où elle allait, et de se trouver partout où ses affaires la conduisaient ; qu’en un mot ç’avait été son om
nier mois qu’elle était restée à Paris ; mais que ses chagrins et ses affaires l’éloignant de toutes sortes de compagnies, elle
ec les Françaises, et s’étaient mutuellement fait confidence de leurs affaires . La duchesse de Médoc avait dit au duc son époux
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
, lorsque j’ai porté la main à l’arme infernale qui m’a attiré tant d’ affaires  ; et pour ma langue, qui diable pourrait s’en cho
car tu dis très souvent des choses qui pourraient t’attirer bien des affaires . —  Eh bien, répondit hautement Sancho, qu’elles
s leur couvent nourris, comme dit le proverbe, comme des moines, sans affaires qui les embarrassent, et sans souci pour le lende
oivent se mêler que de prier Dieu, et ne point tant s’embarrasser des affaires du monde, puisqu’ils y ont renoncé et qu’ils n’y
7 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
ans, je vous supplie de m’en dispenser ; et croyez qu’il faut que des affaires d’honneur et de conséquence m’appellent ailleurs,
fois ce que c’est ; pour le présent, poursuivit-il, parlons d’autres affaires . Commencez par me dire comment vous avez passé le
t bien ce qui en était, continua Dupuis : je suis plus informé de vos affaires que vous ne pensez, mais ne craignez rien, votre
8 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
tte demoiselle fut obligée d’aller chez Madame de Contamine, pour une affaire qu’un de ses parents avait avec elle, et qu’il lu
. Il ne lui parla point cette fois-là, il se contenta de l’admirer. L’ affaire que Mademoiselle de Vougy avait entreprise pour s
l’amiable. Les raisons de ce fermier paraissaient bonnes, ainsi cette affaire ne put pas se terminer sitôt ; et pour en venir à
de me voir, n’ont assurément point assez de crédit pour décider de l’ affaire qui nous y amène, et ne sont point assez considér
né si peu de disposition, la dernière fois que je lui parlai de cette affaire , que je la croyais échouée ; mais elle m’a dit hi
contraignait pour ne pas pleurer devant les gens qui l’écoutaient. L’ affaire méritait bien qu’ils se parlassent en particulier
r d’elle à quelle heure la princesse pourrait venir la voir, pour une affaire qu’elle ne pouvait communiquer qu’à elle-même. El
is bien savoir moi, de quelle manière Mademoiselle Dupuis se tirera d’ affaires . Elle s’en tirera bien, reprit Des Frans, ne vous
rent souper chez Dupuis qui les régala splendidement. Ils parlèrent d’ affaires , Des Frans les informa de ce qu’il avait fait ave
9 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
’injurieux qu’il ne m’en ait dit. Elles ont eu effectivement quelques affaires qui ont tourné à leur avantage. Il est certain qu
promis de nous épouser ; mais comme il ne me cache rien de toutes ses affaires , et qu’il sait toutes les miennes, nous nous somm
olu ensemble de lui trouver un bon parti avant que le désordre de ses affaires parût, tant pour rétablir sa maison que pour four
rtueux, qu’il alla la voir le même jour qu’il entreprit de la tirer d’ affaire . Il remua pour cet effet tant de ressorts, et fit
Ils revinrent à Paris pour faire de l’argent et mettre ordre à leurs affaires  ; et la marquise, dont j’ai l’honneur d’être pare
10 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
rapporta réponse telle que je la souhaitais… On avance bien plus ses affaires d’amour avec une cloîtrée, qu’avec une fille du m
n les accommodant peu de temps après ; mais le beau-père avait pris l’ affaire tellement à cœur, et s’était tellement fatigué à
pas mieux trouver que moi. Tous les gens à qui j’en parlai, crurent l’ affaire faite, elle ni moi ne le crurent pas. Il savait q
eu d’un zélé huguenot ; mon changement de religion fit diligenter mes affaires . Je revins à Grenoble pour les terminer tout à fa
t du même ton. Je levai ma canne, et assurément je me serais fait des affaires dont je me repentirais encore, si mon valet de ch
iquer en bonne compagnie, ainsi je lui dis sans façon que j’avais des affaires qui demandaient ma présence en France, et que je
prit l’aimable Dupuis. Puisque personne, reprit Des Frans, n’a aucune affaire pressée, je vais vous donner satisfaction : mais
11 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
ne suis pas d’humeur incommode ; mais cette fille cachait si bien ses affaires , que je lui crus le cœur libre, et sur cette croy
nement. Elle me reçut assez bien au commencement. Je crus avancer mes affaires , mais je me trompais, et je m’aperçus que je ne d
ir au moins que ma retraite d’auprès d’elle, crainte de lui faire des affaires avec son époux, ne soit d’un parfaitement honnête
s-je, mais cela ne serait pas arrivé, s’il ne s’était mêlé que de ses affaires . Ma mère s’emporta contre moi à mille reproches,
rt d’en user à ma tête. Pour ne plus vous parler de cette malheureuse affaire , qui fut assoupie par les soins de la famille, il
nous avons vécu en bonne intelligence, sans néanmoins nous mêler des affaires l’un de l’autre, qu’autant que nous nous en somme
rdre qu’on le lui rende sitôt qu’il sera éveillé, parce que c’est une affaire de très grande conséquence. Cela fut exécuté comm
orter l’entreprise. Je me fiais à mon laquais, je l’avais vu dans des affaires tout aussi délicates. Je l’instruisis afin de pre
je la fis manger et boire sans faim ni soif. Grandpré sortit mieux d’ affaire que je ne l’avais espéré ; il se remit peu à peu
il pût me parler, parce qu’il était occupé avec des gens de Cour et d’ affaires pour des remises sur les frontières. Je m’appuyai
r ici, Monsieur, me dit-il : je vois bien que vous croyez avancer vos affaires , en prenant le parti que vous prenez. Je n’ai auc
d’avouer que j’ai raison. Il y a, dit-il, quelque circonstance dans l’ affaire dont vous parlez qui pourrait en changer le fond.
pourrait en changer le fond. S’il y en a, répondis-je, j’avoue que l’ affaire peut être autrement regardée ; mais je ne crois p
n’ai point l’honneur de connaître Monsieur ; mais je sais bien que l’ affaire dont nous parlons ne convient point du tout à l’a
e ils étaient de province et qu’ils partirent huit jours après, cette affaire n’a point fait assez de bruit pour être venue jus
e de prendre hautement le parti des femmes n’avait pas peu avancé mes affaires auprès d’elle. Elle me regardait comme un homme i
t persuadé qu’elle l’était elle-même, que je la tirerais facilement d’ affaire , si son étoile voulait qu’elle y fût prise. J’ava
insensiblement je devins son confident. Il ne se cachait point de ses affaires de cœur, au contraire, il était le premier à en e
me répondait. Nous fûmes bientôt d’accord ; un rendez-vous termina l’ affaire . Elle y prit goût, et de si bon cœur, qu’elle me
12 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
ndrai ici le matin et en ressortirai le soir, parce que j’ai quelques affaires qui ne me permettent pas de paraître pendant le j
ez lui qu’on ne l’attendît point à dîner, ni même à souper, ayant des affaires qui le retiendraient chez Cléon toute la journée.
z grâces à Monsieur de la vie qu’il vous sauve ; car si vous aviez eu affaire à moi, ou qu’il ne vous eût pas accordé votre par
13 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
se est comme celle des valets ou pions, une roupie par mois en fait l’ affaire  : &, quand l’amant va voir la nymphe, il faut
ie des nations orientales & de leurs rois, qui ne se font pas une affaire de passer pour accoupleurs. On m’a dit, & mêm
avait servi. Ce qu’ils se sont dit m’inquiète fort peu. Ce sont leurs affaires , de très grande conséquence pour eux, & sotti
amp; a payé, qui plus est. Une bouteille de vin d’Espagne en a fait l’ affaire . Je suis entré dans ma chambre : & voici ce q
matin à l’issue de la messe l’autre soldat a passé en revue. Il avait affaire , très malheureusement pour lui, à un matelot qui
bon esprit, il en fit son facteur. M.Roi, ayant seul connaissance des affaires de son bon maître, a été assez heureux pour épous
Testament politique, que ces tribunaux sont pensionnaires des gens d’ affaires . Appel de cette sentence à la Cour des Aides de M
comptant pas beaucoup sur leur crédit dans le Languedoc, évoquèrent l’ affaire à Paris, où ils comptaient de l’emporter de haute
e joindre Rupli au Palais. Il le mena déjeuner & s’informa de son affaire . L’Arménien la lui expliqua le mieux qu’il put :
rit son parti : il fit en peu de mots, mais expressifs, un narré de l’ affaire  ; &, pendant qu’un clerc le mettait au net, i
maréchal de France, & l’autre gouverneur de Paris. Il lui conta l’ affaire de l’Arménien, lui fit connaître l’injustice cria
ult connaissait trop l’aversion que ce maréchal avait pour les gens d’ affaires pour douter de son entremise. Le rendez-vous fut
avaient laissé. Après que le roi eut lu le placet, il s’informa de l’ affaire , M. de Lédiguières lut le mémoire en entier ; &am
lbert était chef du conseil des Finances ; il fallut le solliciter. L’ affaire , du côté de l’Arménien, fut bientôt mise en état
ent marchande de poisson, qui de sa part s’était amourachée de lui. L’ affaire alla bon train, le cotillon enfla, il l’épousa ;
’obtenir, passer un contrat & l’épouser sur une dispense, fut une affaire terminée le quinzième jour de son départ de Paris
pour vouloir la reprendre & lui pardonner, après l’éclat que son affaire avait lait dans tout Paris. Il me dit qu’il compt
gros quart d’heure de lamentations, chacun retourne chez soi ou à ses affaires  ; mais tous disparaissent par différents chemins.
is jeté plus loin, & il en a été quitte pour nager. Au surplus, l’ affaire a été décidée en ma faveur. Nous sommes, comme j’
les de faire enrager leur prochain & ceux qui malheureusement ont affaire à eux, par leur avidité du gain temporel, & à
usse crevé, pour l’honneur d’Esculape, mais malgré lui je suis hors d’ affaire . Les dents commencent à me démanger : demain je l
t-à-dire vers la lin de l’année 1671, je vins en France pour quelques affaires domestiques : je n’y restai que fort peu de temps
un esprit aussi timide que le sien. Ainsi, c’était de ce côté-là une affaire immanquable. Je m’étais assuré avant que de parti
p & que, si ce vent-ci continue, tout faible qu’il est, c’est une affaire de huit jours. Avec un si, je ferais entrer un ân
mp; par celui d’aujourd’hui. Pour ce qui regarde les soldats, c’est l’ affaire de M. de La Chassée & de son sergent. Si l’éq
heureuse de toutes les femmes. Il est actuellement à Bordeaux, où des affaires indispensables l’ont forcé d’aller, & elle l’
tout le monde lui donne, je m’en suis personnellement aperçu dans une affaire qui me regardait peu, puisque c’était au sujet de
Saint-Esprit. Il n’a que vingt-six canons ; & il a bien fait ses affaires ici, ayant pris quatre navires anglais bien charg
ron huit jours après au Fort Saint-Pierre, mandé par l’intendant. Ses affaires étant faites, il résolut de partir dès le lendema
l’eût dit à sa femme. Il ne pouvait s’y tromper, ayant tous les jours affaire à lui. Dès le lendemain, la charpentière alla tou
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
errez le moyen que j’ai trouvé pour finir tout d’un coup, et sortir d’ affaire en un moment. Je ne savais ce qu’elle voulait me
ère enfant, c’est donc là ce moyen que vous avez trouvé pour sortir d’ affaire  ? Oui, Monsieur, ce l’est, me répondit-elle. Vous
us servir de témoin, si comme vous me l’avez dit, vous n’avez point d’ affaires qui demandent si promptement votre présence. À mo
gence sur la route. Je prends trop de part, lui répondis-je, dans une affaire aussi extraordinaire que la vôtre, pour ne pas so
15 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ut ce qu’on demande dans le monde, et outre cela ce ne sont point mes affaires . Il partit et alla bien monté. Pour moi j’eus mil
peut juger sur les apparences, le gouverneur est ici absolu, n’ayant affaire qu’aux Européens qui sont en fort petit nombre, e
eux ce que fait un morceau de pain sur un chien affamé. Quand ils ont affaire de vous ils vous flattent ; ont-ils ce qu’ils dem
nt façonnier, bon serviteur de la Compagnie, c’est un plaisir d’avoir affaire avec des gens de cette humeur, les choses s’en fo
sons rire les autres, et nous rions aussi. Nous parlons quelquefois d’ affaires sérieuses : il me fait la grâce de m’en entreteni
t la grâce de m’en entretenir. Il a de l’esprit beaucoup et parle des affaires du monde en politique raffiné, enfin c’est un hom
nous craignait plus qu’aucun ou si c’était à cause que nous avions eu affaire avec lui le premier qu’il nous en voulait, mais i
. Le petit Monsieur Le Mayer, fils de Monsieur Le Mayer directeur des affaires de Messieurs de la Compagnie à l’Orient, qui n’a
our eux, dans quelque état qu’on soit quand on est riche on se tire d’ affaires  ; cela me fait dire avec Ovide : Pauper ubique j
urs rois, qui malgré leurs richesses et leur faste ne se font pas une affaire de passer pour accoupleurs. Mahomet le connaissai
chante action de leurs mains, surtout celui de ce matin, car il avait affaire malheureusement pour lui, à un matelot qui sait m
e regardent comme un lieu d’exil quoiqu’ils y fassent fort bien leurs affaires . Lorsque nous y étions, il y était arrivé depuis
21 degrés de la Ligne ; nous allons à merveille. La diète m’a tiré d’ affaires , je n’ai eu aujourd’hui ni frisson ni fièvre.
venu à bord voir le nôtre qui est fort mal. Je vous ai tant parlé des affaires de Siam que je suis honteux de vous en parler enc
. Ce capitaine n’a que vingt-six canons et si il a fort bien fait ses affaires à croiser ici. Nous avons vu ce soir la Dominique
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
urs été ce qu’elles sont, elles ont toujours fourré leur nez dans les affaires d’autrui. Don Quichotte, à qui il n’en fallait pa
commencer aujourd’hui à goûter un vrai repos en ne se mêlant plus des affaires du monde, pourvu que tu mettes à fin les aventure
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
s’offrent perdent tout leur prix ; mais, Monsieur, c’est une diable d’ affaire que l’amour dans le cœur d’une fille, il n’est qu
en dit du mal dans le village. — Un aveugle veut voir clair dans les affaires d’autrui, reprit la mère ; c’est la grosse Marie
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XL. Des armes enchantées que les deux chevaliers reçurent de Parafaragaramus, avec des chevaux infatigables. »
s dans le fond, outre que Don Quichotte n’aurait pas trouvé bon que l’ affaire se fût passée sans lui, le duc voyait bien qu’il
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LX. De l’aventure qui arriva au malheureux Sancho peu de temps après qu’il fut hors de chez le duc de Médoc, et de plusieurs autres choses qui ne sont pas de grande importance. »
euses, furent bientôt guéries. Comme les chirurgiens le voyant hors d’ affaire lui permirent l’usage du vin pour hâter son rétab
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVII. Des offres obligeantes que fit le duc d’Albuquerque aux dames françaises ; de la reconnaissance de Valerio et de Sainville, et de la conversation particulière que Don Quichotte eut avec Sancho. »
e prit la parole, et dit qu’il laissait le soin à Monsieur le duc des affaires de la marquise et de Silvie auprès du roi d’Espag
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIII. De l’accident qui arriva au chevalier Sancho, en tirant une arme à feu. Remède pire que le mal. »
tait vrai ; ainsi il leur avait si résolument dit qu’il voulait que l’ affaire fût terminée dès le lendemain par lui-même, qu’on
22 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
charges-tu d’un pareil compliment ? De quoi te mêles-tu ? Sont-ce tes affaires  ? Ha ! mon capitaine, lui répondis-je, je ne vous
t nous sortîmes sans que j’eusse ouvert la bouche. Ce fut ainsi que l’ affaire fut terminée avec Albus, qui fut moqué par une in
le mieux du monde, et nous allons tous aller à l’Orient pour la même affaire de dimanche, dont M. Hurtain est outré aussi bien
? Rendons-leur justice : elles font des traités pour le bien de leurs affaires  : elles y suivent le droit civil ; mais le plus f
dans le monde tout ce qu’on demande. D’ailleurs, ce ne sont point mes affaires  : je sais ce que c’est ; mais je ne dois pas m’en
Je ne sais que MM. Capistron et Palaprat qui soient bien dans leurs affaires  ; mais ils le doivent à leur patrimoine et à la l
à nouvel ordre, et d’en envoyer copie au commissaire. Voilà une belle affaire pour Bouchetière ! On a pris hauteur ; nous étion
, jour de la Pentecôte, ils viendront tous dîner ici : C’est là que l’ affaire de Bouchetière sera décidée. M.de La Chassée en e
tout ; et que les autres lui servissent de contrôleurs : ce sont ses affaires . Je retourne à Moaly achever ce qui m’en reste à
gé de grosses balles de plomb et de deux sacs de mitraille, en fera l’ affaire  ; c’est le seul parti que vous avez à prendre, et
é et demi au sud de la Ligne, c’est-à-dire à trente lieues. C’est une affaire pour cette nuit, si le vent continue. Du lundi
Ceylon. Il y aura quelque chapeau à vendre ; mais, ce ne sera pas une affaire , pourvu que je rapporte le mien, et que ceux qui
eux : dans quelque étal qu’on soit, quand on est riche, on se tire d’ affaire . Cela me fait dire avec mon Ovide, Pauper ubique
fuient à terre ; y viendront-ils à pied ? Un beau « Mêlez-vous de vos affaires  » a été la réponse. Je me suis appuyé sur le cano
e mon chagrin ; mais je craignais que cela ne me fît quelque mauvaise affaire avec M. du Quesne, qui est venu à l’issue du dîne
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIV. De l’arrivée de plusieurs personnes dans l’hôtellerie. Qui étaient ces personnes. Nouvel exploit de Don Quichotte. Sanglants combats. »
s lui la belle Dorothée, qui lui criait de ne se point mêler dans une affaire où il n’avait aucun intérêt. Ils reconnurent notr
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre L. Dissertation sur la différente manière d’aimer des Espagnols et des Français. »
nt déjà de lui un sujet de risée, qui est encore augmenté lorsqu’il a affaire à des gens qui ont l’esprit de les rendre inutile
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXV. Du tour ridicule et malin que fit Parafaragaramus au chevalier Sancho, et des événements tristes qui le suivirent. »
r était sur les épines dans la crainte que le scandale ne lui fît des affaires , mais voyant que tout le monde en riait, il en ri
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLI. Don Quichotte et Sancho s’arment pour aller combattre les brigands. Ces deux chevaliers font des actions de valeur inouïes. »
à l’endroit qui leur avait été marqué, où ils trouvèrent chacun leur affaire attaché en trophée avec des écriteaux chargés des
27 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVI. Pourquoi Sancho perdit ses armes enchantées, et du terrible combat qu’il eut à soutenir pour les recouvrer. »
se trouva Sancho après ces terribles menaces et sur l’inconstance des affaires du monde. Il dit que l’infortuné chevalier ne sav
28 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLIX. Repas magique. Apparition d’un nouvel enchanteur. Défi fait à Don Quichotte, et ce qui s’ensuivit. »
Quichotte son chevalier ne lui envoie pas un sol. Pour quelque petite affaire pendable Pluton m’avait fait enchaîner, mais enfi
29 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
elle lui persuada d’y mener avec lui son gendre, puisque c’était une affaire de famille qui lui était commune avec eux. Cet ho
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