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1 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
ement à La Rochelle, et que sur la route depuis cette ville jusques à Paris , nous avons fait telles journées qu’il a voulu, p
i point la raison, et ce ne fut que le jour même que nous arrivâmes à Paris , qu’il me dit ce que j’avais envie de savoir il y
rrivâmes au Bourg-la-Reine à sept heures du matin, je voulais venir à Paris  ; mais pour m’obliger à rester, il me conta ses a
aventures en ces termes, ou autres équivalents. Puisque nous sommes à Paris ou autant vaut, il est juste qu’avant que de nous
ôt que de se dédire du choix qu’elles ont une fois fait. Je suis né à Paris d’une assez bonne famille dans la bourgeoisie ; m
es ; et nous allâmes avec assez de bonheur jusqu’à dix-sept lieues de Paris , où nous fûmes arrêtés le matin du troisième jour
On la chercha partout ; et enfin comme on vit qu’elle n’était point à Paris , sans vous dire comment notre route fut découvert
puni d’un crime dont elle seule était coupable. Nous fûmes ramenés à Paris , j’y fus mis dans un cachot ; et elle qui avait r
de France sept ans et huit jours, et plus d’un mois davantage hors de Paris , où je ne rentrerai que lorsque Mademoiselle Feno
uis vous en instruire avec autant de certitude que si j’étais resté à Paris . Peu de jours après ses couches, qui arrivèrent a
os. Je confiai le tout à un marchand français qui revenait de Cadix à Paris , et qui passait à Madrid. Il rendit ce paquet à D
ui voulut s’en éclaircir aussi ; ainsi personne ne doute de ma mort à Paris , excepté ma maîtresse et Du Val. Quelle surprise
estiques. Car, poursuivit-elle en leur présence, vous n’étant point à Paris , je n’ai point voulu tenir de maison, et j’ai mie
rti à prendre que de présenter une requête à Monsieur l’archevêque de Paris , où tout cela sera énoncé, et le prier, pour évit
ne sera jamais fait. Il fut donc résolu que nous reviendrions tous à Paris dans la nouvelle maison de Jussy ; que sitôt que
ambre. Du Val et moi montâmes à cheval. Nous prîmes tous le chemin de Paris . Je me fis montrer la maison de Jussy en passant,
un curé son parent, dont la paroisse n’était qu’à une petite lieue de Paris , qui offrit son ministère quand on voudrait. Etan
t conclut par dire qu’ils allaient être mariés, et qu’à leur retour à Paris ils pourraient en informer qui bon leur semblerai
signâmes tous, après quoi nous déjeunâmes fort bien. Nous rentrâmes à Paris sur les quatre heures du matin, chacun prit le ch
rent un grand cri. Me voici ressuscité, continua-t-il, et de retour à Paris auprès de ma femme, vous demandant votre amitié,
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
t ses plaintes à mes oncles. Je le sus ; je le querellai. Je revins à Paris sans être mandé, et laissai les papiers et le bur
mes oncles, qui me donnèrent une commission à quatre-vingts lieues de Paris , plus belle que celle que j’avais quittée. Vous d
le regret de sa mort que Monsieur Des Ronais m’a apprise. Je revins à Paris , n’ayant plus rien à faire en province, y étant s
r ; et le temps de la campagne étant passé, je fus obligé de rester à Paris l’automne et l’hiver pour mon malheur. Je dis pou
étaient sa compagnie ordinaire, et nous allâmes nous promener hors de Paris . Il y fallut dîner ; je les régalai le mieux que
je prenais à ce qui lui arrivait : j’envoyai un homme au plus vite à Paris , chercher un carrosse ; parce que nous étions ven
les m’offrirent un autre emploi ; mais parce que c’était pour quitter Paris , je le refusai, et fis comprendre à ma mère, que
plus belle. On tenta toutes les voies imaginables pour m’éloigner de Paris . On mêla les intérêts de l’honneur avec ceux de l
ne à peu près de son âge morte depuis peu sur le chemin de son pays à Paris . On lui mandait le nom et la demeure de ce gentil
ue ce sont mes véritables sentiments, trouvez-moi prétexte de quitter Paris , soit pour une commission, soit pour la guerre, s
e, ses biens, sa fortune, ses emplois, et ce qu’il était venu faire à Paris  ; et j’accompagnai mes questions d’un grand verre
ssein de placer auprès de quelque dame de qualité : qu’il l’amenait à Paris pour cela ; mais qu’elle était morte en deux jour
r que cela n’arrive pas, nous prenons nos rendez-vous tout au bout de Paris , opposé au sien, c’est toujours aux Tuileries, ve
ces lettres là-bas ; je les montrerai, j’y répondrai, et reviendrai à Paris . Silvie et son amant viendront au carrosse au-dev
t joueur, et outre cela je craignais que ce ne fût de ces filous dont Paris est rempli ; mais n’ayant que peu d’argent que je
er ; mais je ne connaissais pas mon faible. Je traversai presque tout Paris , du Palais Royal proche la Bastille, et j’étais s
t, on arrêta Garreau prisonnier. Monsieur d’Annemasse n’était point à Paris , j’allai le trouver, je lui remontrai l’injustice
nt. Il désapprouva tout par écrit, et promit que sitôt qu’il serait à Paris , il ferait lui-même excuse à Garreau. Il y revint
que je lui avais témoignées ? Le moyen de lui justifier ma demeure à Paris , et mon retour vers Silvie ? Goûterait-elle sa ju
eran songerait à plus de quatre fois à me faire insulte, s’il était à Paris , mais il est parti il n’y a que huit jours pour a
ieur le commandeur de Villeblain vous ont dit là-dessus. S’il était à Paris , je vous aurais fait payer de vos avis, croyez-mo
ée assez favorablement pour en souhaiter l’éclat. Cela fera dans tout Paris un bruit terrible, qui viendra jusqu’aux oreilles
riblement embarrassé de la promesse que je lui avais faite de quitter Paris , sans qu’elle pénétrât le sujet qui m’y ferait re
ne l’ai pas seulement vue depuis les avis ; et si elle était seule à Paris , je voudrais que tout y renversât. Tant mieux, di
r de vous connaître de longue main, mais je ne connais âme qui vive à Paris  ; je vous prends pour mon confident, et vous vien
is plus chez elle pendant plus de quinze jours que je restai encore à Paris , mais nous nous vîmes tous les jours ailleurs. Je
mère. Ce fut là notre résolution. Nous reprîmes ensemble le chemin de Paris , et nous nous séparâmes à une lieue d’ici. Je le
barras où j’étais ; elle entreprit de me persuader de rester encore à Paris deux jours au moins. Je lui fis connaître que mon
x lettres, avec ordre de ne les rendre qu’après que je serais hors de Paris , et je montai à cheval dans le moment même. J’arr
uver de l’argent dessus, jusqu’à ce que j’eusse reçu des nouvelles de Paris . Il m’amena un joaillier qui retint mon diamant e
plus. Ce ne fut point d’elle que je reçus les premières nouvelles de Paris . Messieurs Des Frans n’y étaient pas, il avait fa
de la part de ma mère. Je pris des chevaux jusqu’à Lyon, et de Lyon à Paris je pris la diligence. Silvie vint au-devant de mo
avoir concerté ce que nous avions à faire, nous ne voulûmes rentrer à Paris qu’à huit heures du soir au mois d’octobre, c’est
t surtout ma mère, qui n’aurait garde de croire que je me marierais à Paris , elle qui me croirait toujours à Grenoble. Que mê
lendemain nous prîmes prétexte d’aller nous promener à six lieues de Paris avec des gens instruits de notre secret. Nous par
éparâmes sur les trois heures : Silvie et sa troupe prit le chemin de Paris . J’allai moi à Fontainebleau où la Cour était, et
plus de deux cents louis que je leur gagnai. Je revins le lendemain à Paris par le coche de Valvins pour ne me point fatiguer
es endroits que vous ignorez ; et outre cela lorsque je suis parti de Paris , c’était une des plus belles personnes du monde e
. À ce mot elle fit un grand cri, en me sautant au col. Il est donc à Paris , dit-elle, et tu l’as vu ? Oui repris-je, achève.
pant Silvie lui dit, que comme il n’avait point de domestique réglé à Paris , où il était obligé de vivre à une table emprunté
louer dans le quartier, qui ayant été autrefois le plus fréquenté de Paris , est à présent le plus désert, depuis que la butt
ar elle-même. Monsieur le commandeur de Villeblain qui était parti de Paris dans le temps de son déménagement, et qui y revin
ui appris, sans oser lui en dire les particularités. Il nous rendit à Paris auprès de ma mère et de mes oncles tous les servi
al me le persuadèrent. Cela me fit rester plus de quatre mois hors de Paris . J’en fus impatienté, et sans attendre la décisio
es lieux, prévoyant bien que par appel elle viendrait au Parlement de Paris , j’en pris le chemin, et laissai le soin de la po
drait le coup. Dans ce dessein je lui écrivis que je serais bientôt à Paris . Je reçus une lettre d’elle qui me fait encore fr
er. Oui, perfide, m’écriai-je, tu seras satisfaite ; je retournerai à Paris , mais ce sera pour laver dans ton sang ton infidé
pour laver dans ton sang ton infidélité, et mon infamie. J’arrivai à Paris enfin, si changé et si défait, que je n’étais pas
ir ses visites) elle partit le jour même pour aller à vingt lieues de Paris chez Monsieur le comte de Villeblain son frère. M
urait été d’un trop grand soulagement dans son supplice. Je partis de Paris sans la voir ; mais pour lui ôter tous les soupço
crit entre autres choses, que mon plus grand déplaisir m’éloignant de Paris était de me séparer d’elle, sa réponse fut qu’ell
rivis dans le moment même que je n’avais aucun dessein de retourner à Paris . Que je me lassais d’être contraint dans les visi
omme d’esprit. Je lui dis que j’avais débauché une fort belle fille à Paris qui venait me trouver, sans que ses parents en su
me je vous l’ai dit, à une lieue d’une ville où couche le carrosse de Paris à Bordeaux dans le Poitou. Il y alla le soir et d
romptement que je ne l’avais espéré. Je m’étais promis de retourner à Paris . Je n’en eus aucune envie. Je mandai à ma mère de
a punition était trop rude, et qu’elle l’aurait empêchée de partir de Paris si elle l’eût prévue. Elle me conseilla de l’obli
change pour des sommes très considérables à prendre en province et à Paris sur des gens à qui j’avais confié presque tout ce
e ; et m’étant indifférent quel chemin je prendrais, je pris celui de Paris dans le dessein de dire adieu à ma mère, et de me
ettre qu’elle écrivit à Gallouin, environ six mois après sa sortie de Paris  ; voulez-vous que je la lise ? Tout le monde l’en
3 (1721) Mémoires
es sujets. Chapelle était prêtre et chantre à Saint-Paul, paroisse de Paris où le peuple est le plus nombreux. Le jour du Sai
r là-dessus la harangue de Jean Gerson, chancelier de l’université de Paris au concile de Constance. Frère Paul ou Fra Paolo,
Les archives qui sont actuellement dans celle des tours du Temple de Paris qui est du côté du midi disent que ce pape et Phi
nce qui mît le premier [sic] un impôt dans le royaume, ou plutôt dans Paris seul, et cela sous de vains prétextes dont les ro
le premier connu en France fut mis sur le poisson salé qui entrait à Paris , sur quoi il y a deux choses à remarquer. La prem
me de Pierre Alaix ! 42. Messieurs de la paroisse de Saint-Eustache à Paris ne peuvent disconvenir de cette vérité ; leur cur
out ils firent faire sur ce Pont Alaix un feu si terrible le jour que Paris fit des feux de joie pour la naissance du duc de
is malhureusement pour eux, Monsieur d’Orsoi, prévôt des marchands de Paris , ordonna qu’il en fût fait enquête ; et comme il
e le simple nom de Cour supérieure, et par là ont mis le Parlement de Paris au niveau de tous les autres du royaume qui ne do
ler les différends de particulier à particulier. Mais le Parlement de Paris , le plus ancien du royaume, ne doit son installat
eine à croire. L’une est arrivée à Saint-Maixent en Poitou, l’autre à Paris . 53. La première est qu’une femme dont le mari ét
Beauregard et le chevalier de Château-Regnault et moi, qui venions à Paris par le messager, sortîmes de notre auberge, et en
étaient considérés et ménagés. 54. L’autre aventure qui est arrivée à Paris n’est pas si funeste, mais elle témoigne la pauvr
le les impôts avaient réduit tout le monde. C’était une bourgeoise de Paris dont le mari et leur famille auraient aisément vé
confiait sa conscience, je veux dire les Jésuites et l’archevêque de Paris . Chacun un petit trait ne leur ferait pas grand m
e qui est présentement dans leur couvent de la rue S[aint] -Antoine à Paris , et dans la maison de campagne du père de La Chai
son riche n’assiste point une maison pauvre ; par exemple l’église de Paris , trop riche sans contredit, ne donne aucun secour
L’exemple de mauvaise foi qui fut fourni à Louis par l’archevêque de Paris est trop récent et a fait trop de bruit pour être
ois de Noailles, ci-devant évêque de Châlons, à présent archevêque de Paris et cardinal, le Roi, toute la France, et moi-même
lui qu’on attaquait dans les troubles, et nullement le Roi, à qui ni Paris ni le reste de la France n’ont jamais songé à man
vu accommoder elle-même ; en un mot de vivre comme une bourgeoise de Paris sans pâtisserie, sans ragoût, sans vin d’Espagne
en avait offert, et aurait sur l’intérêt damé le pion aux fripiers de Paris , quoiqu’on dise que ce soit la quintessence de l’
out son cœur, et pria M. Jolly, curé de S[aint] -Nicolas des Champs à Paris , qui était ce confesseur dont l’âme n’était guère
st point ressentie de la stérilité des mauvaises années, et le pain à Paris ne valait ordinairement qu’un sol ou quinze denie
biller en religieuse la plus belle des infâmes qu’on avait amenées de Paris , et de la livrer à ces brutaux. Monsieur de Front
ces bons et chastes pères ; j’espère pourtant les retrouver encore à Paris , dans un vaisseau, dans S[ain] tYago aux Iles de
au cap de Bonne Espérance, à Pontichery [sic], à Goa, à Siam encore à Paris , et puis après en Flandre à Courtrai et à Douai.
duquel nous ne pouvons pas nous passer ; je me souviens l’avoir vu à Paris à quinze sols la livre de seize onces, il en vaut
ubsistait toujours. 143. On croit que ce fut Monsieur l’archevêque de Paris cardinal de Noailles qui en écrivit au pape. Mais
ut, jusques à entrer dans le plus petit détail de ce qui se passait à Paris et dans les faubourgs, même entre le mari et la f
parisien, marié depuis quelques [sic] cinq à six mois à une fille de Paris d’environ 18 à 19 ans, et lui âgé de 26 à 27. Tou
il eût quitté le dauphin, il monta à cheval et vint à toutes jambes à Paris , et se fit introduire dans la chambre de son père
nt dit à son père la volonté de Monseigneur, et qu’il voulait venir à Paris dans ce seul dessein, M. Hubert le père, pour évi
dévoué, fit nommer M. Pelletier, qui avait été prévôt des marchands à Paris . Celui-ci ne fut jamais ministre d’Etat ; il fut
i fit grâce de la vie. 195. Le marquis reconduisit M. de La Faluère à Paris , et dans le chemin celui-ci lui avoua ingénument
n, n’ayant pas pu obtenir son congé, il le prit lui-même. Il arriva à Paris et alla chez M. de Pontchartrain le jour même. Il
de fer que de vouloir attaquer un président à mortier au parlement de Paris , où sa charge seule le mettait en possession de f
à Rouen, où ils devaient prendre la voiture ordinaire du carrosse de Paris . 204. Celui qui servait de postillon à son carros
elui qui servait de postillon à son carrosse prit la poste de Rouen à Paris , où il rendit à M. de Congy une lettre infiniment
z en Normandie ? — Non, répondit M. de Congy, on les leur a fait[s] à Paris , car ceux qu’ils avaient sur leur corps à leur ar
et le mercredi après-midi il fit donner ordre à tout le magistrat de Paris , sans exception, de se trouver le vendredi suivan
et si bon juge que le Roi l’a nommé premier président du parlement de Paris et l’a honoré du cordon de son ordre. Je ne me so
sailles. Mons[ieu] r de Brissac, n’y entendant aucune finesse, vint à Paris , et n’y ayant pas plus de cent pas de sa maison à
que je viens de rapporter. Celui-ci, pis qu’enragé, revint chez lui à Paris où il fit éclater sa brutalité sur tout son domes
subsistance des troupes tant de terre que de mer, et en fit tant que Paris pensa en être affamé. Cela excita une espèce de m
en grains au courant du marché, et ces grains qui étaient conduits à Paris y triplaient de prix. En un mot cette manœuvre al
ts, mourir sur des tas de boue en pleine rue. Je ne dis rien que tout Paris n’ait vu, et je trouverais là-dessus deux million
e témoins s’il était nécessaire. 229. Sans m’écarter de la disette de Paris et de toute la France, à laquelle je reviendrai,
de la vérité de celui-ci, mais je sais que c’était le bruit public de Paris . 250. Louis dauphin, propre fils de Louis XIV, vo
ceux qui n’avaient que ces rentes pour leur subsistance, et on a vu à Paris des gens demandants [sic] l’aumône dans les rues
use d’une infinité de banqueroutes, de vols et de brigandages, tant à Paris que dans les provinces. Tant il est vrai que le c
d’une pareil le succession, il y eut un mandat de M. l’archevêque de Paris , cardinal de Noailles, qui défendit a ces pères d
sa mort : Thévenin est donc mort, ce n’est pas grand dommage : Tout Paris et la cour sont pleins de maltôtiers, De partisan
, et parmi lesquels il y en a plusieurs de pareille acabie. Il vint à Paris pour son bonheur, et entra laquais chez Thévenin
véquit ; plusieurs gens prétendent qu’il se fit valet du bourreau de Paris , et que ce fut lui qui pendit et secoua Vandeland
dit, le Régent le méprise trop pour le tenir digne de sa colère. Tout Paris disait au sujet de cette exécution que Cordier n’
e, dans la Saône et le canal, quantité de blé qui prenait la route de Paris . Enfin Monsieur de Harlay, premier président, se
ques-uns de ceux à qui ces magasins paraissaient appartenir autour de Paris . Ils y allèrent, et ce magistrat ne les menaça pa
s jeunes princes promener à toutes les guinguettes qui sont autour de Paris . On sait que ces guinguettes sont positivement ce
nde, et en Angleterre, et que c’est là l’endroit où le menu peuple de Paris va se divertir les fêtes et les dimanches, et dép
mmissaires se disposaient à partir incessamment, mais ils restèrent à Paris , parce qu’ils furent arrêtés par un arrêt du Cons
es d’amende et à quelques grains au profit de l’Hôpital général. Tout Paris fut surpris d’un pareil arrêt, parce que tout Par
tal général. Tout Paris fut surpris d’un pareil arrêt, parce que tout Paris espérait que Miotte serait pendu. Mais tout Paris
rêt, parce que tout Paris espérait que Miotte serait pendu. Mais tout Paris ne savait pas que cet arrêt avait été antidaté, e
faisaient un si damnable commerce. Du moins on disait publiquement à Paris que Madame de Maintenon en avait pour plus de qui
e la Maintenon et celle de ses complices. On attend avec impatience à Paris la décision de ce procès. Bien des gens qui se pi
aire, voleur et concussionnaire public, devant l’église cathédrale de Paris , la Chambre de Justice et le pilori, et là à geno
its imposés sur les corps et communautés des marchands et artisans de Paris , ayant même intérêt dans les traités, il a violem
ous différents faux prétextes commis envers toutes les communautés de Paris des vols, concussions et exactions sans nombre me
ion aux pauvres des communautés des Arts et Métiers de cette ville de Paris suivant le rôle qui en sera fait et arrêté en lad
core un temple de Vénus. 274. Hénault est fils d’un simple sergent de Paris . Il a de l’esprit, et adroit. Il a possédé de trè
ension au père, et de l’appui au fils, qui était déjà dans l’emploi à Paris  ; et comme sa manière était prévenante et insinua
ngue audience du ministre. Son dessein était de venir tout aussitôt à Paris . Il voulut monter dans son carrosse, et dans le t
it que peu ou point de mal. Ainsi, il remonta en carrosse et revint à Paris . Sitôt qu’il fut à Paris, il se mit au lit et env
l. Ainsi, il remonta en carrosse et revint à Paris. Sitôt qu’il fut à Paris , il se mit au lit et envoya chercher un chirurgie
un fruit de sa charité. La femme d’un commissaire des guerres, née à Paris dans sa paroisse, alla le trouver, et le pria de
e son époux était commissaire des guerres, et qu’il l’avait envoyée à Paris pour solliciter auprès de M. Chamillart le paieme
mais honnête femme. Elle avait un frère, nommé Faitout, connu de tout Paris , qui après avoir été chasse-chien était devenu be
nullement sa nation. Il était honnête homme, et je le connaissais dès Paris . Nous dînions chez Monsieur le cardinal de Maldac
en plaisanter me prouvent, pour me servir du proverbe populaire, que Paris a été bâti en un jour. Certes ce que nous admiron
ie de Grecs, et si nous savions quels sont les premiers fondateurs de Paris , nous trouverions, sans doute, que c’était fort p
ouverte en vue. Il m’en parla à Québec en 1683 et m’en parla encore à Paris avant le voyage funeste où il fut assassiné. Il a
qui leur conviendront le mieux aux degrés ou emplois que le bureau de Paris leur aura destiné[s]. Mais il faut que cette dest
s français qui allaient à la pêche de la morue parée, qu’on appelle à Paris de la merluche, avaient leur dégrat ou leurs chaf
uerelle que j’eus vers la fin de la même année m’obligeant de quitter Paris , ma famille m’en chercha un prétexte honnête. Il
e très jeune ; et M. de Chevry, président de la chambre des comptes à Paris , avait été son tuteur, et à ce titre s’était empa
de France à l’Acadie en 1685. Mon malheur voulut qu’il allât loger à Paris dans une auberge rue Jean Pain Mollet, à côté de
en parlai comme si je l’eusse connue toute ma vie. Il était parti de Paris avant moi ; cela me donna le champ libre à mentir
t de la cour, soixante mille livres de rente, et que lui il faisait à Paris une très belle et très magnifique figure. Je fis
4 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
a sœur, poursuivit-il, en montrant sa femme. Nous revînmes ensemble à Paris , je retournai à l’académie, et la campagne suivan
te j’entrai dans les Mousquetaires. Je revins encore passer l’hiver à Paris . J’y trouvai Bernay, notre amitié se redoubla. Je
tes qu’ils avaient pensionnaires dans un convent à quelques lieues de Paris , qu’ils iraient le lendemain et reviendraient le
yeux de Clémence me regardaient sans haine. Pendant le chemin de là à Paris , je tins à peu près le même style qu’au parloir,
ce moment nous nous sommes regardés comme frères. Il était attaché à Paris par une amourette, et moi par sa sœur. Nous aurio
t trop sensible pour en renouveler la douleur. J’eus des nouvelles de Paris toutes différentes, Clémence m’écrivit que Madame
qu’elle serait à moi du consentement même de son père, et je revins à Paris dans cette pensée qui me trompa. Je trouvai sa fi
ller nous épouser hors de France, ce que nous ne pouvions pas faire à Paris incognito pour plusieurs raisons très considérabl
mystère ; mais vous en allez être encore mieux éclairci. Je partis de Paris le lendemain de mon abjuration. J’arrivai chez ma
on père ; depuis plus de deux mois qu’il sait que vous n’êtes point à Paris , il les a redoublés. Je ne vous dirai point ce qu
je suis votre fidèle Clémence de Bernay. A… le 14. etc. Je revins à Paris , poursuivit Terny, le plus promptement qu’il me f
J’en fus au désespoir, je voulus vous désabuser, vous n’étiez point à Paris , j’écrivis à Grenoble une lettre pour vous, qu’on
oyée, je n’ai pu vous joindre depuis, parce que je n’ai point resté à Paris , où il n’y a que trois jours que ma femme et moi
le moyen de son prétendu gendre, à quoi il réussit très mal. Étant à Paris je revins voir Mademoiselle Dupuis. Je la consola
ons des témoins qui tous m’étaient favorables. J’avais de bons amis à Paris qui se chargèrent de travailler pour moi. Je ne p
sible. Je la laissais en sûreté, et je me flattais que n’étant plus à Paris , son père la traiterait plus humainement. Je me t
vais qui sollicitaient ma grâce. La première réponse me fit revenir à Paris , où tout s’était passé à ma satisfaction. Je fis
et lui promit toute sorte d’assistance. Elle avait un frère artisan à Paris , elle alla le quérir, et lui promit monts et merv
nrent trois jours à Douvres. Je passai enfin à Calais, et me rendis à Paris le jour de la Trinité même ; c’est-à-dire la veil
, et d’y rester pour la cérémonie. Cela fait, je revins sur mes pas à Paris , je m’assurai d’un carrosse avec huit bons chevau
us prîmes un chemin écarté de celui qu’il fallait tenir pour aller de Paris à ce couvent, afin de n’être point découverts, et
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
yant fort longtemps qu’il est établi en province, et qu’il ne vient à Paris que rarement, nous vivons dans une assez grande i
ait quitté l’île pour suivre un homme de qualité qui l’avait amenée à Paris , et qui sans scandale lui fournissait de quoi viv
comme une étrangère qui avait épousé un Français qui l’avait amenée à Paris . C’était sur ce pied-là que le commandeur paraiss
pprenais à faire des armes chez un maître où quantité de bretteurs de Paris se rendaient. Je fis connaissance avec eux. Ils m
logis, à quoi contribua encore l’arrivée de mon frère qui arriva [à] Paris . Il fut reçu de ma mère en enfant gâté. Je compar
rement. Il me donna une lettre pour lui, et ne l’ayant point trouvé à Paris , je pris le parti d’aller la lui rendre à Versail
r assujettir avec tant de rigueur. Depuis son mariage et son retour à Paris , il vivait plus retiré que jamais ; c’était l’écu
ation de son cher enfant. J’étais instruit de tout ce qu’il faisait à Paris par un laquais du logis, qui non plus que moi ne
rme, qui faisaient enrager tous les domestiques. Depuis qu’il était à Paris , il y avait plus de six mois, je n’avais point vu
it commandée par Monsieur de Turenne, lorsque je reçus des lettres de Paris qui m’apprenaient que mon père était à l’extrémit
fin de juillet, et moi abandonné à ma bonne foi, je passai l’hiver à Paris avec des vagabonds, qui tout aussi bien que moi n
e de vous voir entre les bras d’un autre ; laissez-moi porter hors de Paris mon chagrin. Je ne veux de vous et de votre amant
ons dans des chambres empruntées et garnies ; il y en a quantité dans Paris , qui ne servent qu’aux amants heureux ; nous en a
fait faire cette demande, et le sut justement comme mon frère était à Paris . Nous logions tous deux chez elle ; mais nous n’a
se passer à la campagne jusqu’au carnaval, que je lui promis d’être à Paris pour nous voir pour toujours. Justement comme je
pas plus à Célénie que si je ne l’avais jamais vue. Je restai hors de Paris , non seulement l’hiver, mais une bonne partie du
que j’avais fait. Il est certain qu’il semblait que tous les chats de Paris eussent essayé leurs griffes sur mon visage. Je f
s méchant physionomiste, et que Mademoiselle Récard était la fille de Paris la plus sage et la plus retenue. Vouloir désabuse
dant le temps de mes débauches, j’avais connu tout ce qu’il y avait à Paris d’abbesses de Vénus ; et quoiqu’il y eût plus de
re les commissaires, et contre le bon ordre qu’ils établissaient dans Paris . Je l’interrompis pour lui demander si elle n’ava
cru que j’étais la femme du monde la plus heureuse, et lui l’époux de Paris le plus fidèle ; et en effet, ni vous ni personne
l avait attrapé la femme dont nous parlons, et s’était moqué d’elle à Paris , où elle l’avait suivi depuis peu de jours. Je ne
is, ajouta-t-elle en riant, plus de cent hommes et autant de femmes à Paris , qui voudraient être comme toi et moi. Ils ne peu
es de joie aux yeux. Je passai pour mon compte pour le jeune homme de Paris le plus retiré, et la chose alla si loin, que nou
e des Tartufes. Celui-ci qui aurait été un des plus saints prêtres de Paris , s’il n’avait pas été si délicat à la bouche, si
ntre vous deux ; qu’il n’avait osé se déclarer pendant votre séjour à Paris , crainte d’être mal reçu d’une fille dont il croy
se persuadant qu’il en apprendrait des nouvelles si vous reveniez [à] Paris , il alla au-devant de l’accommodement que Madame
ecret qui m’a mille fois fait trembler depuis. Il y avait autrefois à Paris un homme fort savant dans l’astrologie, qui avait
vous étiez allé, quelque perquisition qu’il en pût faire. Il revint à Paris , accablé de chagrin d’être revenu sans fruit. Il
n qui appartenait au chancelier de Monsieur, à une portée de canon de Paris . J’allai m’asseoir sur un banc à l’entrée d’une g
r sur un banc à l’entrée d’une grande allée qui donnait d’un côté sur Paris , et de l’autre sur une campagne à perte de vue. À
i le sujet. Elle me dit un soir que Londé était allé à deux lieues de Paris , où il coucherait à son ordinaire ; et que si je
s à notre aise. Nous nous avisâmes que son père et sa mère venaient à Paris tous les mercredis et samedis matin à la halle, e
attendre ma réponse. Je fus surpris de son procédé. Je revins dîner à Paris , où il fallut essuyer ses plaisanteries, qui me d
it mort de pleurésie, en deux jours à sa maison de campagne proche de Paris  : je n’en fus pas fort fâché, sa veuve la fut, et
il ne lui fallait au plus que deux jours pour revenir d’où il était à Paris  ; ainsi nous comptions d’être épousés le second j
6 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
je pouvais lui être utile. Je lui appris que mon mari n’était point à Paris , et lui dis en même temps qu’il me l’avait recomm
pu permettre, je m’étais retirée chez ma mère. Deshayes qui revint à Paris trois ou quatre jours après la mort de la baronne
traite auprès d’une de ses sœurs abbesse d’un couvent fort éloigné de Paris . Silvie accepta son offre sur-le-champ, et la mar
dame sa tante, que sa mère a prié de l’accompagner, qui en partant de Paris ne savait pas elle-même où sa nièce allait, ni où
ainville de ne la point abandonner, et lui qui n’avait rien à faire à Paris , dont ses chagrins lui rendirent même le séjour o
séjour odieux, s’offrit avec plaisir à l’accompagner. Ils revinrent à Paris pour faire de l’argent et mettre ordre à leurs af
part de Silvie. Cependant Deshayes sut que son épouse était sortie de Paris  ; mais suivant les apparences, il n’apprit pas si
en à Sainville de ce qu’elle voulait faire ; mais sitôt qu’elle fut à Paris , elle écrivit à sa sœur", et la pria d’avertir un
7 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. Paris n’avait point encore l’obligation à Monsieur Pell
ire ? Non, répondit le conseiller, si ce n’est qu’ils ne sont point à Paris ni l’un ni l’autre. Tant pis, reprit Des Frans, c
émoin Monsieur de Jussy, dont vous avez tant entendu parler. Est-il à Paris , demandèrent à la fois Des Ronais et Dupuis ? Oui
puis plus de six ans, à cause de sa maîtresse ; par un homme que tout Paris croit mort depuis quatre ans, et qui retrouve sa
8 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
ruches de terre, à peu près comme les laitières apportent leur lait à Paris . Ces puits ont de tout temps été en usage par tou
éronne, frère de M. de Saint-Paul, contrôleur général de la Monnaie à Paris . La raison qui l’empêcha de nous y conduire, c’es
udrait toujours boire. Nos verres tiennent plus de chopine, mesure de Paris  ; & nous les vuidions à rasade. La peur, comm
lanche que celle de feu M. Lempereur. que je me souviens d’avoir vu à Paris longtemps y a, plus connu au Marais par sa barbe
marine, & leurs valets à tous. Nous venions tous de La Rochelle à Paris . Ces messieurs venaient sur leurs chevaux & n
pas de plus exquis. J’en emporte environ deux cents pintes mesure de Paris . Il est dans de grosses bouteilles de Perse, clai
tes chacune ; dont de six je destine quatre à Versailles & deux à Paris  : en un mot, c’est du vin de Chiras en Perse, si
mbourg, que Marie de Médicis, veuve de Henri le Grand, a fait bâtir à Paris  : ces deux faces sont semblables. Le bâtiment des
as beaucoup sur leur crédit dans le Languedoc, évoquèrent l’affaire à Paris , où ils comptaient de l’emporter de haute lutte.
e MM. de Créqui, l’un maréchal de France, & l’autre gouverneur de Paris . Il lui conta l’affaire de l’Arménien, lui fit co
s en parfaite santé, c’est que je vas déjeuner, et envoyer in petto à Paris bien des santés à des gens que je souhaite qui jo
; des anguilles, comme ces petites revendeuses de poisson qui courent Paris . Les instructions qu’on leur avait données ne les
e, n’avait pas fait évanouir toute sorte d’espérance. On lui offrit à Paris plusieurs partis : il les refusa & fit mal. I
dispense, fut une affaire terminée le quinzième jour de son départ de Paris , où on apprit plus tôt son mariage, qu’on ne sut
indre les chevaux, & alla effectivement à deux ou trois lieues de Paris où il avait à faire : & laissa en paix à sa g
t en Normandie, une autre dans le Maine, quatre maisons qu’il avait à Paris , & ses rentes sur l’Hôtel de Ville ; qu’il tr
e ne lui avait rien apporté. Dans le dessein où elle était de quitter Paris , où elle était trop connue, & peut-être pour
e sœur qu’il avait, religieuse à dix lieues ; &, à deux lieues de Paris , il feignit d’avoir oublié dans son cabinet un pe
dîner à trois lieues par-delà ; ce quelle fit. Pour lui, il revint à Paris , livra tout à l’orfèvre & au fripier, mit son
en véritables bottes de fatigue, n’ayant pas dessein de rentrer dans Paris  ; comme en effet il n’y rentra pas. Il dîna avec
qu’elle pourrait lui dire ; qu’ainsi, il était résolu de retourner à Paris . Elle trouva qu’il avait raison, & consentit
 ; &, ayant devant lui beaucoup de temps, il retourna incognito à Paris , dans le dessein d apprendre le sort de sa Messal
mp; lui pardonner, après l’éclat que son affaire avait lait dans tout Paris . Il me dit qu’il comptait de partir de Pondichéry
pour cet ami. Je l ai fait : j’ai ce paquet ; & si je retourne à Paris après le voyage fini, comme je n’en doute point s
dire aux reposoirs des saints de villages, mais à ce qu’on appelle à Paris un soufflet, ou à une brouette qu’un homme tire,
capacités : les miens ne tiennent qu’un peu plus de pinte, mesure de Paris . Cette terre transpire, & par son ferment &am
en & aussi délicatement que les cordonniers de l’Europe, & de Paris même, qui est le centre du bon goût. Les talons e
. (Par parenthèse, moi qui écris en ai vu & porté de semblables à Paris  ; &, n’y ayant pas longtemps, ils n’y sont pa
uader qu’ils n’en fassent point. Les fiacres ou carrosses de louage à Paris , sur lesquels on m’a dit qu’ils ont un droit fixé
u vingt fois les Lettres au Provincial, les Remontrances des curés de Paris & de Normandie, Vendrok qui en est le Comment
outeilles de vin de Grave, & en bus plus de cinq pintes mesure de Paris , sans rien manger du tout. J’ai sué, vomi & d
c nous, on n’a pas pu l’examiner. Cette éclipse n’a pas pu paraître à Paris , le soleil n’y étant pas encore levé & n’y po
mp; une petite pluie bien froide ; ce qui, pour me servir du terme de Paris , nous a donné un temps bien maussade, & comme
ar exemple, a-t-il poursuivi, voilà notre patriarche résolu d’aller à Paris pour se mettre sur les bancs & prendre le bon
lettre était à l’adresse du RP Germain, cordelier, au grand couvent à Paris  ; sans date ni nom du lieu d’où elle avait été éc
t mis en œuvre pour partir ; qu’il avait pris des lettres de change à Paris sur Amsterdam, pour le plus d’argent qu’il avait
es lettres que je reçus d’Anvers. La demoiselle que j’avais laissée à Paris n’avait plus ni père ni mère, & peut en avoir
; leur répétai le plan qu’ils devaient suivre. À peine fus-je hors de Paris qu’il sollicita un passeport pour lui & son f
e crois pas qu’elle regrette, non plus que moi, ce qu’elle a laissé à Paris . Notre union est parfaite, quatre enfants vivants
eillée & fort libre. Caractère tout opposé à celui quelle avait à Paris  : aussi était-elle la première à dire qu’il suffi
n passe un bras du suppliant, qui est, à cet égard, comme au pilori à Paris , mais plus gêné, à peu près comme était l’exécrab
mmes-nous à trois degrés près au même éloignement du soleil, de lui à Paris & de lui à nous. Toujours même chose que l’an
lle, en devint amoureux. Il la débaucha, & ils vinrent ensemble à Paris par la voiture des capucins. (Je voudrais me souv
voir le suivre ; &, quelques connaissances qu’elle avait faites à Paris lui produisirent celle de la femme d’un procureur
s semaines, jusqu’au retour de son mari, qui l’avait laissée grosse à Paris . Il ne croyait pas que j’eusse jamais vu la belle
, fulmina contre elle une lettre de cachet du Châtelet pour sortir de Paris & de la banlieue ; & elle ne jugea pas qu
ntérêt d’en appeler. Elle aurait peut-être fait son entrée pompeuse à Paris au cul d’une charrette ; & aurait été conduit
rre ; que sa mère était morte de chagrin, & qu’elle était venue à Paris pour demander pour elle la confiscation de tout l
& que, bien loin de la payer, elle était tout aussitôt partie de Paris & était venue toute seule, comme j’ai déjà di
u’elle ce qui lui était arrivé depuis ; qu’à son égard, en partant de Paris , elle s’était résignée à la Providence ; qu’elle
nts innocents. Je prends pour moi ce qu’Ovide fait écrire par Œnone à Paris , en parlant d’Hélène : Quae toties rapta est, ve
chelle : tant mieux ; j’y connais tant de monde que j’y serai comme à Paris , & j’aurai le plaisir d’y voir le marchand de
9 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
pas des étrangers. Quoique je pose la scène de toutes les histoires à Paris , elles ne s’y sont pas toutes passées, les provin
Saint-Antoine un air de l’opéra de Proserpine, et je pose la scène à Paris plus de dix ans après : cependant je dis que le q
t des noms usités, qui font oublier celui du père. Cet abus a infecté Paris , où nous voyons, à la honte de notre siècle, auta
10 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
ue toutes d’un ou de deux étages, couvertes de tuiles comme celles de Paris . Le chemin qui conduit de cette porte à la ville
pour la bonne chère et le coucher ; avions-nous beau jeu ? Rendez-moi Paris , c’est un paradis auprès de ceci. Nous bûmes bien
ue peuple du monde et qu’ils dameraient le pion, même aux fripiers de Paris , si ce qu’on en dit est vrai, quoiqu’ils passent
, et dormir. Ces pluies-ci ne sont autre chose que ce qu’on appelle à Paris guillées de mars. Monsieur Hurtain a la fièvre bi
concerne la religion dans ce pays-là. » J’ai demeuré fort longtemps à Paris sans autre occupation que la lecture. Je crois av
ie, et qui depuis étant venu en France en a soutenu une en Sorbonne à Paris qu’il avait dédiée au Roi, avec l’approbation de
e : vous l’aimeriez si vous le connaissiez et cela sera, car il ira à Paris au retour du voyage, et je l’accompagnerai ou lui
de notre dunette, quatre tonneaux d’eau qui sont seize feuillettes de Paris et plus. Cette eau est fort bonne excepté qu’elle
la peau sans écailles et les nageoires sont comme ce qu’on appelle à Paris le chien de mer dont les tourneurs se servent à p
urnée. Les inventaires à la mer ne se font pas avec tout le tracas de Paris et que la chicane a inventé ; mais en récompense,
le Tropique du Capricorne. Les chaleurs diminuent, elles sont comme à Paris au mois de juillet ; peut-être que le vent y cont
crois l’avoir déjà dit, n’est autre chose que ce que nous appelons à Paris guillées de mars, et qui ne dure pas plus longtem
ême ; nos jours maigres ressemblent aux vendredis-saints qu’on fait à Paris dans les bonnes maisons, si ce n’est que nous n’a
roite à gauche, mais fort vite et plus que nos clercs de procureurs à Paris . Leurs plumes sont un morceau de bois coupé au co
t] Bon vent. Nous étions à midi à soixante lieues de la Ligne vers Paris , mais il faudra retourner d’où nous venons avant
ans des pots de terre de même que les laitières apportent leur lait à Paris . Le fort est bâti à deux cents pas de la mer, des
ne sont pas tout à fait noires, mais qui sont ce que nous appelons à Paris mulâtres et qu’on nomme ici métis. Il ne me paraî
elle ne soit aussi blanche que l’était celle de Monsieur L’Empereur à Paris . Du mercredi 27. [septembre] J’avais clos l
bon garçon. Il était frère de Monsieur Le Vasseur avocat au Conseil à Paris . Il est mort tout à fait chrétiennement et a donn
eu du brancard une niche qui ressemble fort bien à ce qu’on appelle à Paris un soufflet ou une brouette qu’un homme tire. Cel
ait couvert, on n’a pas pu l’observer. Cette éclipse n’a point paru à Paris parce que le soleil n’y était point encore levé,
jours un peu avancé : nous étions à midi à 35 lieues de la Ligne vers Paris . Du mercredi 16e. [mai] Toujours bon petit
de Siam et des révolutions arrivées dans ce royaume l’ayant rappelé à Paris , le Roi l’a envoyé ici général des Iles à la plac
11 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
ait été son ombre pendant tout le dernier mois qu’elle était restée à Paris  ; mais que ses chagrins et ses affaires l’éloigna
mais il ne lui parla pas plus de son amour qu’il lui en avait parlé à Paris . Ce n’était cependant pas la discrétion qui l’en
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
caractère qu’on lui donnait, je le crus coupable. Il n’était point à Paris lorsque j’y arrivai, et n’y revint qu’environ tro
de vous marier, il me paraît très difficile ; car quel est le curé de Paris assez hardi pour vous prêter son ministère ? De v
 : outre cela, cette voie ne me paraît pas honnête. Pour les curés de Paris , je n’en réclamerai aucun ; mon père en serait in
quérir le jour même au soir pour quelque partie de promenade hors de Paris . Je sais bien qu’elle n’y viendra pas ; mais touj
te votre vie. Qu’avant qu’il soit une heure d’ici elle ne sera plus à Paris , et que je ne la quitterai point que je ne l’aie
mille gueuses : tristes rebuts de la débauche et des mauvais lieux de Paris . Quelle horreur ! A peine ouvrit-elle ses yeux mo
r ne rien craindre de féroce de ma part ; mais bien loin de revenir à Paris , j’ai été en Normandie à une terre de Monsieur de
, venez, venez, je vais vous montrer une des plus belles dormeuses de Paris . Il le prit en effet par la main et le fit entrer
13 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
pour une fille qui paraissait si bien le mériter. J’avais un rival à Paris , c’était le fils d’un officier de la Maison du Ro
onner la bénédiction de mariage sans la permission de l’archevêque de Paris  ; mais qu’il ne doutait pas de l’obtenir dans l’é
de mes droits pour terminer promptement, et enfin je fus de retour à Paris quinze jours avant qu’on m’y attendît. J’allai ch
ge, à laquelle il a fallu me faire recevoir, m’ont forcé de revenir à Paris , il y en a environ trois plus animé contre elle q
qu’il ne leur demanda rien. Il leur témoigna qu’il voulait se fixer à Paris , et les pria de l’aider de leurs lumières pour lu
iselle pour qui elle était, sont mariés ensemble, et sont tous deux à Paris . Il est bon que l’éclaircissement se fasse en leu
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
terais point ; vous seriez à moi si vous vouliez y consentir ; mais à Paris  : mettons les charmes de votre personne à part, e
nt jamais vu que des paysans en province, ou des gens du tiers état à Paris . Angélique resta ainsi avec elle plus de deux ans
able, il a du moins une belle excuse. Je ne connais guère de filles à Paris plus belles, ni mieux faites. Ce n’est pourtant p
oujours chez la belle-mère, à moins qu’il ne soit obligé de sortir de Paris pour plus de deux jours ; car pour lors il faut q
le plus souvent à coucher avec elle, lorsque Contamine n’est point à Paris . Elle visite très souvent Mademoiselle Dupuis, qu
15 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
où il ne croît point de vin, eux qui l’avalaient de si bonne grâce à Paris , et avec qui j’en ai bu copieusement au Port-Loui
M. Hurtain, au sujet de ce qui s’est hier passé ici. Mon paquet pour Paris est prêt à votre adresse. Du mardi 28 et derni
otre allié. Je croyais avoir tout perdu par le retour de M. Gouault à Paris . Il m’a rendu tous les services qui ont dépendu d
e d’un tropique à l’autre. On a des jours de seize heures de soleil à Paris , ainsi de quatre heures plus que sous la zone tor
nemi dans une solitude. L’exemple des chartreux me le prouve. Ceux de Paris disent que l’année n’est pas mauvaise quand il n’
un cadavre dont on faisait la dissection dans le Jardin des Simples à Paris , une infinité de corps formés. Il ajouta que cett
nt un vin de liqueur, mais infiniment meilleur que celui qu’on vend à Paris . C’est qu’il est tel que la nature le produit. Po
de, et quarante-quatre pour le vin. Avions-nous beau jeu ? Rendez-moi Paris ou Québec : ce sont des paradis, au lieu de ceci.
es Juifs leurs ancêtres, et qu’ils dameraient le pion aux fripiers de Paris et aux maltôtiers qui écorchent la France ; quoiq
lit et s’est répandu sur l’habit gris de souris que vous m’aviez vu à Paris . J’en vas faire ôter le galon : du reste, la pert
e et rien autre chose ; et ne but qu’un demi-setier du vin, mesure de Paris , trempé dans une chopine d’eau. Il m’avait choisi
inonder toute la France de fraters ; comme la Normandie pour infecter Paris de porteurs d’eau, de pauvres prêtres, et de puta
lus encore sous la Ligne. Ce n’est autre chose que ce qu’on appelle à Paris guilées de mars, et giboulées ailleurs. C’est un
nôtre, c’est déjà un grand point, d’une demi-once par pinte mesure de Paris . Nous l’avons trouvée fort amère et par conséquen
appelle cela mettre tout à profit. On pourrait faire la même chose : Paris seul fournirait plus de cinquante mille canailles
eux des femmes et des filles. Cela est facile à croire : on en a vu à Paris des exemples. Les guenons de même taille sont aus
onsure de mouton, comme les nègres de Guinée, qui ne sont pas rares à Paris . Mme de Lédiguière, la douairière, en a huit, qui
ordinairement et en maturité trois demi-setiers de liqueur, mesure de Paris ) est rempli d’une pâte qui tient à son bois, et q
et autant que le plus stylé Paul Grifonnet, ou clerc de procureur de Paris . Leurs plumes sont un morceau de bois dur, taillé
ours bon vent : nous étions à midi à soixante lieues de la Ligne vers Paris  ; mais, il faudra retourner d’où nous venons avan
16 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVII. Suites agréables de la victoire remportée par le chevalier Sancho, et du projet que forma Don Quichotte pour le faire repentir de son indiscrétion. »
r aller répandre son venin dans l’armée du roi Agraman qui assiégeait Paris , il ne la put jamais trouver pour lui faire exécu
17 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
la défendant ; ou que du moins les parents de son mari, qui étaient à Paris , ne la laisseraient manquer de rien, dans un pays
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