lle sera mieux qu’ici. L'Écueil, sur lequel je suis, est commandé par
M. Hurtain
, lieutenant de vaisseau. C’est un vieux matelot,
niment, beaucoup de service, et bonne mémoire. Il aime aussi bien que
M. Hurtain
à boire le petit coup : et je ne le hais pas ; to
ui avait pris possession du vaisseau en qualité de capitaine, et dont
M. Hurtain
n’était plus que lieutenant, me pressait sans qua
neur Albus, non sans quelque parole peu honnête, je me concertai avec
M. Hurtain
, et j’écrivis à M. Le Mayer, directeur pour la Co
u de faire jeter le pain avant que de démarrer, malgré les prières de
M. Hurtain
et les miennes, parce qu’il n’y avait rien à espé
ent parlé. Je leur écrivis que le même M. de Combes nous avait dit, à
M. Hurtain
et à moi, qu’Albus voulait obliger les vaisseaux
. J’en trouvai ; mais je n’arrêtai point le prix du louage, parce que
M. Hurtain
n’y était pas présent, et que je ne voulais rien
le passager du Rocher à Recouvrance, pour aller à bord pour en amener
M. Hurtain
, je trouvai deux capitaines ou maîtres de vaissea
ulais envoyer quérir. Ils me demandèrent qui c’était : je leur nommai
M. Hurtain
. Ils ne se sentirent pas d’aise, et voulaient tou
s propre que j’avais pu, bien certain que je ne le paierais pas. NiM.
Hurtain
ni moi, comme nous en étions convenus, ne dîmes p
ire le sujet de leur séjour à Brest. Tiens, l’écrivain du roi, me dit
M. Hurtain
, il ne tient qu’à toi de tirer ces pauvres diable
s en faudrait pour notre voyage de Canada. Écoute, Chaviteau, lui dit
M. Hurtain
, va toi-même sur la rive, demande le canot ou la
ir de le donner à cent sols, c’eût été cinq cents écus de profit pour
M. Hurtain
et moi, si nous avions été de la côte ou tribu d’
onnèrent des arrhes, payèrent le dîner et allèrent chercher des sacs.
M. Hurtain
et moi allâmes chez M. l’intendant, à qui nous ne
rdait de son véritable point de vue. Ils se parlèrent ensemble lui et
M. Hurtain
, et celui-ci me donna ordre d’aller au magasin du
s l’ordre ; et pour surcroît de plaisir, j’y trouvai MM. de Combes et
Hurtain
avec deux autres capitaines de vaisseau, qui sont
cela était de concert, entre MM. de Combes, de Beaujeu, de Ferville,
Hurtain
et moi ; ainsi, ils savaient ce qui devait réussi
entaient outragés dans moi. Je leur ai l’obligation de m’avoir vengé.
M. Hurtain
et moi arrivâmes enfin à l’intendance. Il faut ob
des vaisseaux du roi. Il est aisé, dit M. de Ferville en interrompant
M. Hurtain
, de voir que votre écrivain est honnête homme, et
a conduite et son honneur y paraissent intéressés. Du moins, a ajouté
M. Hurtain
, je suis certain qu’il n’écrira point de sottises
t la fichue figure que je fais ici. Point de mainmise ni de violence,
monsieur Hurtain
, je vous en prie, lui a dit M. l’intendant. Votre
e commis tout à l’heure, et qu’il n’entre jamais à la boulangerie que
M. Hurtain
et l’écrivain du roi ne le ramènent, qu’ils ne vo
, et qu’il ne leur ait demandé pardon à l’un et à l’autre. Allez voir
M. Hurtain
dans son vaisseau, faites-lui excuse et satisfact
îné chez M. l’intendant. Le lendemain, j’y allai avec M. de Combes et
M. Hurtain
, pour avoir des pavois. Je me disposais à me reti
’il dîne avec nous : sinon, je m’en vas avec lui ; et nous emmènerons
M. Hurtain
. Je ne croyais pas, dit l’intendant, qu’il fallût
ouvrance : ainsi, nous fûmes obligés d’entrer dans un cabaret, où MM.
Hurtain
et La Chassée étaient ; et au lieu d’une bouteill
t vidées de bonne amitié ; du moins ce fut sans rancune de la part de
M. Hurtain
et de la mienne, mais je ne connaissais pas le gé
point ce qu’était devenu le pain de la Compagnie, et qui croyait que
M. Hurtain
et moi en avions fait notre profit, lui parla de
er l’orgueil du reçu que j’en avais donné, concluant de tout cela que
M. Hurtain
et moi, de concert, avions vendu celui de Holland
spèce de procès-verbal et d’apologie, fut signée par MM. de Combes et
Hurtain
. M.de Seignelay, suivant sa prudence ordinaire, r
nous aurions été ravis de nous égratigner. Il nous convia à dîner MM.
Hurtain
, de La Chassée, et moi. Nous y allâmes, fortement
ses dépens, et de lui jouer pièce, puisqu’il avait voulu nous perdre,
M. Hurtain
et moi. Il parla des rations fournies pendant la
ures du soir d’où nous sommes partis ce matin. Je vas à l’Amiral avec
M. Hurtain
, au sujet de ce qui s’est hier passé ici. Mon paq
s allons tous aller à l’Orient pour la même affaire de dimanche, dont
M. Hurtain
est outré aussi bien que moi, quoiqu’elle ne le r
r ; tant pis pour lui : il a fait la faute, et la boira ; ou bien MM.
Hurtain
, de La Chassée, ni moi ne ferons assurément pas l
re jugea à propos de se servir du temps de mon absence et de celle de
M. Hurtain
pour faire une entreprise de laquelle je ne sais
ivres ou aux marchandises. Nous étions allés à l’Orient le samedi 25,
M. Hurtain
et moi : il était venu avec nous, et resta au Por
ne cave de seize gros flacons, pleins de cette liqueur. Il savait que
M. Hurtain
ni moi n’y étions point ; il ne s’était pas même
ui avait permis de laisser son eau-de-vie sur le pont, jusqu’à ce que
M. Hurtain
ou moi fussions de retour. M. de La Chassée lui d
utenant du vaisseau, il pouvait commander les soldats en l’absence de
M. Hurtain
. Il ne le fit pourtant pas ; et présupposant que
ts, il ne tabla que sur son autorité. Voici le diable. Sans savoir si
M. Hurtain
et moi le trouverions bon. il fit enlever par l’a
bligea le charpentier de lui donner. Il croyait en être quitte ; mais
M. Hurtain
et moi étant revenus à bord le lundi matin, et ay
ès-verbal, et à l’assignation ; mais il fut terrassé au compliment de
M. Hurtain
, qui lui dit platement qu’il ne savait ni command
le mot pour rire, ni à retrousser sa moustache. Il fit des excuses à
M. Hurtain
et lui demanda même pardon. Non, non, monsieur, l
étaient rendus pour souper avec M. du Quesne. Ils comptaient bien que
M. Hurtain
serait des leurs ; mais ils ne comptaient pas sur
M. de Bouchetière s’était donné la patience d’attendre l’arrivée de M
Hurtain
ou la mienne, on aurait, sans doute, eu pour lui
t pour bordage d’artimon dans les mauvais temps, sur la conscience de
M. Hurtain
. capitaine, et celle de son écrivain du roi ; les
jamais vous mêler de ce qui ne vous regardera point, et de remercier
M. Hurtain
d’avoir intercédé pour vous ; car sans lui, tout
sque nous entrâmes tous en même temps. Après les premières civilités,
M. Hurtain
entra en matière, et présenta à M. Céberet l’orig
s me faisant signe de ne la pas refuser, je l’acceptai. MM. Joyeux et
Hurtain
se joignirent à nous. Il me dit devant eux que j’
t en train, et qu’on ne peut plus nous ôter le fruit de l’économie de
M. Hurtain
. de M. de La Chassée, du distributeur des vivres,
vint dans l’esprit de ce que j’avais à faire. Je la communiquai à MM.
Hurtain
et de La Chassée qui l’approuvèrent ; et sur ce p
e. Cela me lut accordé, et Guillaume, distributeur, ayant eu ordre de
M. Hurtain
de tenir la main à la distribution, sans pourtant
ver pour y faire la petite joie. Nous aurions bien pris la chambre de
M. Hurtain
pour en faire notre champ de bataille ; mais nous
grosse bouteille ; et M. de La Chassée et moi avons fait comprendre à
M. Hurtain
qu’il fallait mettre la table à bord au niveau de
Général, et que d’un autre côté notre vin en durerait plus longtemps.
M. Hurtain
goûte fort ce conseil ; et comme je suis chargé d
çaises font de si bonnes rôties. Je fis hier au soir mon compliment à
M. Hurtain
; nous étions tous à table. Je lui dis que nous a
et bonne. Le papa La Chassée a dit que j’avais parlé Évangile, et que
M. Hurtain
ne pouvait pas mieux faire que de le suivre. Les
Chassée sur la dunette : je lui ai dit où j’allais ; il m’a suivi, et
M. Hurtain
qui nous cherchait est entré un moment après. Je
tranquillité que dans une chambre. Pour moi, qui n’aime point le jeu,
M. Hurtain
et M. de La Chassée me viennent tenir compagnie d
de Salé, qui sortaient du détroit : peut-être sont-ce des algériens.
M. Hurtain
aurait bien voulu les avoir ; mais lorsqu’ils nou
s à souhait. La chaleur se fait sentir bien fort et est cause que MM.
Hurtain
, de La Chassée et moi nous frottons souvent le go
a le plus échauffé : ce qui nous a bien fait rire, MM. de La Chassée,
Hurtain
et moi. Entre autres Bouchetière, que par un effo
s’il était seul, nous serions à plus de cinq cents lieues de l’avant.
M. Hurtain
, M. de La Chassée et moi venons de boire à la san
s avec le jour, bien persuadé qu’après le souper j’aurai visite ; MM.
Hurtain
et La Chassée ne sont pas gens à manquer au rende
s cent cinquante-huit degrés quarante-cinq minutes longitude estimée.
M. Hurtain
nous a dit cet après-midi dans ma chambre, à M. d
uoiqu’il y ait environ seize ans qu’elle se soit passée. J’ai dit que
M. Hurtain
avait servi fort longtemps avec le grand du Quesn
comme l’année dernière, que nous avions M. de Combes pour capitaine.
M. Hurtain
est trop facile ; et si M. de La Chassée ne l’aid
ndements qui se contredisaient l’un l’autre. Je n’en excepterai point
M. Hurtain
, à qui M. de La Chassée et moi avons bien résolu
répondre au procès qu’on m’allait faire : il agissait de concert avec
M. Hurtain
; et tous deux avaient jugé à propos de me préven
je n’étais pas prévenu ; et comme il sait l’union qui règne entre MM.
Hurtain
, de La Chassée et moi, il les avait priés de veni
aient embarqués sur le Florissant ; et qu’il m’assurait de la part de
M. Hurtain
qu’il approuverait tel parti que je prendrais, qu
l avec Landais. J’ai trouvé tous ces messieurs assemblés, et avec eux
M. Hurtain
, qui avait voulu se donner la comédie. M.Joyeux a
rien. M’aviez-vous ordonné d’acheter quelque chose ? ai-je demandé à
M. Hurtain
. Non, m’a-t-il répondu : le vaisseau n’a besoin d
x chrétiens. Que diable as-tu donc été faire à la ville ? m’a demandé
M. Hurtain
. Ne le voyez-vous pas bien, lui ai-je répondu : j
sont rabattus sur les cabris, dont ils ont acheté plus de quarante :
M. Hurtain
en a acheté deux. Un cabri est l’enfant d’un bouc
du sel dans celui d’un cochon, uniquement pour l’empêcher de pourrir.
M. Hurtain
est inconsolable de la mort du pauvre François Ni
viable, ardent et bon enfant, et ne faisait la campagne qu’à cause de
M. Hurtain
, qui l’aimait et voulait en faire un bon pilote.
homme, j’appréhende bien fort que du Hamel ne trouve pas dans lui un
M. Hurtain
, un père de La Chassée, ni des amis tels que ceux
nfites, des anchois, des figues et de très bon vin d’Espagne, que MM.
Hurtain
, de La Chassée et moi lui avons donné, avec prome
ès son départ, nous avons été boire à sa santé dans ma chambre ; mais
M. Hurtain
, qui est un des meilleurs humains du monde, n’a p
chose ; et, pour consoler les affamés, M. Charmot a promis, au nom de
M. Hurtain
, que le jour de Pâques, et les deux autres jours
que celle d’aujourd’hui ! Il en faudra cependant passer par là ; car
M. Hurtain
est venu dès la pointe du jour dans ma chambre et
urons toujours douze grosses bouteilles, bien pleines, et inconnues à
M. Hurtain
aussi bien qu’à tous les autres. Landais a de bon
ert, serait un véritable régal du diable, et convenable à sa couleur.
M. Hurtain
ne nous a point tenu compagnie cet après-midi, à
e, son lieutenant. Ils m’ont promis d’y venir ; j’ai fait l’honneur à
M. Hurtain
de dire que c’était de sa part ; et lorsque je le
avec facilité soutenir l’extraordinaire. Ajoutez que douze veaux, que
M. Hurtain
a achetés à Groix, et qui ont été nourris à bord,
que ce soit de boisson sans m’en rendre compte et sans mon ordre. MM.
Hurtain
et de La Chassée, auxquels je dis tout, ont très
e 2 avril 1690 Il a fait beau toute la journée, et bon petit vent.
M. Hurtain
a pris à l’astrolabe hauteur dans le fond de cale
ral et de Conseil, qu’on a salué de trois coups de canon ; et quoique
M. Hurtain
n’attendît pas seize personnes, on a si bien fait
ès, puisqu’il est mutin, a repris M. Joyeux. Faites, messieurs, a dit
M. Hurtain
: je ne dois point avoir de voix. N’allons pas si
emps est beau ; mais le soleil nous brûle. Le trio, c’est-à-dire, MM.
Hurtain
, La Chassée et moi, nous sommes félicités dans ma
plus à midi qu’à deux degrés quinze minutes dans le Nord de la Ligne.
M. Hurtain
, qui paraissait se bien porter hier, ou du moins
goûté. Sa chair est blanche, très fade et très longue, ou filasseuse.
M. Hurtain
a beaucoup vomi cette nuit, et a reposé tranquill
é M. d’Auberville son lieutenant à bord, pour savoir comment se porte
M. Hurtain
, qui, comme j’ai dit, ne but, ni mangea lundi der
’ai qu’elle sera bonne. Il est reparti fort mortifié de la maladie de
M. Hurtain
. Du vendredi 7 avril 1690 M. Hurtain a été
mortifié de la maladie de M. Hurtain. Du vendredi 7 avril 1690
M. Hurtain
a été saigné ce matin, et est alité. Le sang qu’o
ut se soutenir ; avec cela il fait une chaleur qui étouffe. Le pauvre
M. Hurtain
pâtit de tout cela. Nous espérions tous que sa ma
r ; la respiration brûle les entrailles : c’est le plus fort grief de
M. Hurtain
, dont les forces diminuent de moment en moment. L
nson d’almanach : continuation de chaleur. M. du Quesne est venu voir
M. Hurtain
. La Fargue l’a prié de faire avertir les autres c
Ils y ont apporté tous les chirurgiens de l’escadre. Ils ont tous vu
M. Hurtain
, et La Fargue leur a fait son rapport. Ils ont to
chaude l’a emporté en trente-six heures. On n’a point parlé de ceci à
M. Hurtain
, crainte de lui donner de mauvais pressentiments
le soleil, et que nous ne pouvons attraper le milieu de ses maisons.
M. Hurtain
s’affaiblit beaucoup. Il a encore été saigné ce m
la tisane, lui qui n’en but jamais ! Du vendredi 14 avril 1690
M. Hurtain
décline toujours : sa faiblesse augmente ; et l’a
nq lieues de la Ligne : deux heures de temps nous la feraient passer.
M. Hurtain
baisse toujours, et le pis de tout, à ce qu’on di
matin à bord pour y faire une nouvelle consultation sur la maladie de
M. Hurtain
. Faut-il tant d’ignorants pour tuer un homme âgé
vrai, et que l’expérience ne soutienne. Je suis au désespoir de voir
M. Hurtain
comme il est, et M. de La Chassée en est enragé ;
, en me remerciant de n’avoir pas souffert qu’il mît la main sur lui.
M. Hurtain
a encore été aujourd’hui recommandé à la messe ;
t de hauteur. MM. du Quesne et Joyeux sont venus à bord ce matin voir
M. Hurtain
. Ils ont donné ordre d’une flamme blanche au gran
e rouge, pour marquer qu’il n’y a point de diminution à la maladie de
M. Hurtain
. Le ciel a encore été couvert toute la journée ;
nous avons passé la Ligne. Nous sommes à deux degrés dix minutes Sud.
M. Hurtain
a reçu le viatique à la messe : on le lui a porté
passagers, M. de La Chassée et moi l’avons passée dans la chambre de
M. Hurtain
, celle du Conseil, ou la mienne. Il a conservé so
ai-je vivement répondu. Je crois pourtant, a-t-il ajouté, que puisque
M. Hurtain
est mort, je dois être le maître ici. Vous ! lui
l ne verrait rien. Je suis capitaine pourtant, a-t-il ajouté, puisque
M. Hurtain
est mort. Vous ! a repris M. de La Chassée avec f
andeur comme d’un très honnête homme, qui nous empêchera de regretter
M. Hurtain
. Amen. Nous avons tous bu d’avance à sa santé, et
loi, et personne n’entreprendra sur celui d’autrui, comme du temps de
M. Hurtain
. Il était trop bon, comme l’a dit ce matin M. du
ut avoir besoin dans un voyage de long cours, n’ont été ni du goût de
M. Hurtain
ni du mien ; et il a trouvé à propos de les arrêt
nsommation, ne fût-ce qu’une pomme de racage, sans le consentement de
M. Hurtain
, et sans que de ma part j’eusse fait sur leurs ré
nts. Depuis ce temps, il ne s’est fait aucune fausse consommation, et
M. Hurtain
, les officiers mariniers ni moi, n’avons plus eu
as vous en parler seul, il y a eu de la friponnerie de la part de MM.
Hurtain
, de La Chassée et de la mienne ; et puisque c’est
vie, nous en avions encore près des deux tiers, quoique la maladie de
M. Hurtain
y eût mis la mortalité. Que le tout provenait de
egrés quinze minutes Sud. Du samedi 29 avril 1690 La maladie de
M. Hurtain
, et l’occupation qu’on a eue depuis sa moi ! ont
temps de l’eau, qu’on épargne beaucoup la nôtre, et que la maladie de
M. Hurtain
en a beaucoup consommé, nous avons cherché un exp
Le commandeur a envoyé demander à Bouchetière son épée, celle de feu
M. Hurtain
, sa canne, et lui a fait défendre de sortir de sa
frères, par un pavillon en berne, comme il avait voulu faire pour feu
M. Hurtain
. Ceci est très sérieux, a repris M. du Quesne ; e
qui lui a tiré les larmes des yeux. Il s’est fait apporter l’épée de
M. Hurtain
et la canne de Bouchetière. Il a envoyé l’épée au
Ligne la première fois, la douleur que j’avais de l’état où je voyais
M. Hurtain
réduit, m’empêcha de faire une remarque de peu de